Le Canal de Ronquières

Une histoire de dingue .
Mais c'est vrai  le dernier m'annonce est passionnant
Ont attend la suite.
Au boulot Br !

je crois qu'il est déjà écrit, mais sa sortie a dû être reportée pour cause de prolongement du délai de prescription obtenu en partie grâce à la pêche miraculeuse...

Léonidas a écrit:

je crois qu'il est déjà écrit, mais sa sortie a dû être reportée pour cause de prolongement du délai de prescription obtenu en partie grâce à la pêche miraculeuse...

Vous avez beaucoup trop d'imagination Leonidas... Rien à voir avec une prescription quelconque.
Le deuxième livre, outre quelques nouvelles révélations, un retour sur l'instruction et le procès épique de la Cour d'assises s'emploie surtout à expliquer mon parcours dans le services de renseignements russes. Mais trop de détails ne sont toujours pas acceptés par ces services malgré le temps passé. Cependant j'ai l'espoir que les choses changent doucement.
Pour ma part, je continue à suivre les instructions d'une autorité que je respecterai jusqu'à mon dernier souffle.

NRB a écrit:

Pour ma part, je continue à suivre les instructions d'une autorité que je respecterai jusqu'à mon dernier souffle.

Pourquoi, quel intérêt?

pierre a écrit:

NRB a écrit:

Pour ma part, je continue à suivre les instructions d'une autorité que je respecterai jusqu'à mon dernier souffle.

Pourquoi, quel intérêt?
Qu ont il fait pour mériter pareille soumissions de votre part

A choisir vous préfériez trahir le peuple Belge plus tôt que le peuple Soviétique ?

Parce que les russes sont très rancunier. Pour exemple, l'affaire Sergueï Skripal

NRB a écrit:

Léonidas a écrit:

je crois qu'il est déjà écrit, mais sa sortie a dû être reportée pour cause de prolongement du délai de prescription obtenu en partie grâce à la pêche miraculeuse...

Vous avez beaucoup trop d'imagination Leonidas... Rien à voir avec une prescription quelconque.
Le deuxième livre, outre quelques nouvelles révélations, un retour sur l'instruction et le procès épique de la Cour d'assises s'emploie surtout à expliquer mon parcours dans le services de renseignements russes. Mais trop de détails ne sont toujours pas acceptés par ces services malgré le temps passé. Cependant j'ai l'espoir que les choses changent doucement.
Pour ma part, je continue à suivre les instructions d'une autorité que je respecterai jusqu'à mon dernier souffle.

Un agent ne dénonce jamais son véritable employeur.
Si celui-ci existe réellement, il demeurera dans l'ombre.
Il vous a payé ou recruté pour.

pami75 a écrit:

Un agent ne dénonce jamais son véritable employeur.

Déroge-t-il à cette règle?

On tourne rond

NRB

Vous n'avez toujours pas réagi au document posté + haut par Michel selon lequel Etienne prétend que vous aviez avec l'aide d'un réseau de 'dames' tenté de recueillir des informations dans les milieux politiques. Est-ce vrai.? Et si oui, à quelle fin. Une demande de vos 'Maîtres'?. Potentiellement un sujet en soi pour un autre livre, avec un énorme succès garanti.

Leonidas.

Léonidas a écrit:

NRB

Vous n'avez toujours pas réagi au document posté + haut par Michel selon lequel Etienne prétend que vous aviez avec l'aide d'un réseau de 'dames' tenté de recueillir des informations dans les milieux politiques. Est-ce vrai.? Et si oui, à quelle fin. Une demande de vos 'Maîtres'?. Potentiellement un sujet en soi pour un autre livre, avec un énorme succès garanti.

Leonidas.

  Voir réaction @michel le Mar 18 Juin 2019 - 5:34 et suivant à vous-même.
Et oui il y a eu ce type d'intervention dans des domaines politiques. Une certaine dame que j'avais préparée à cela, a même déclaré aux enquêteurs qu'elle devait approcher le ministre Moureau mais qu'elle a pris peur et qu'elle s'est désistée au dernier moment. Cela, c'était pour compte de la SE.

Cela dit, nous sortons largement du cadre du fil 'Canal de Ronquières"
Il y a un fil "question à Beijer' dans lequel vous pourriez poser vos questions, histoire de ne pas embrouiller les sujets
Cordialement

pierre a écrit:

NRB a écrit:

Pour ma part, je continue à suivre les instructions d'une autorité que je respecterai jusqu'à mon dernier souffle.

Pourquoi, quel intérêt?

Pourquoi toujours parler d'intérêt et de soumission?
Le simple fait de retrouver ses racines et celles de son père efface toute notion d'intérêt pour remplacer cela par admiration et fidélité et aussi fidélité au père respecté ainsi qu'à ses croyances.
Quand à la "soumission" cela sous-entend une connotation négative de faire les choses contre son gré ce qui ne fût pas le cas, loin s'en faut.

Crédible

Pas crédible...

https://soirmag.lesoir.be/257021/article/2019-10-30/tueries-du-brabant-les-manipulations-nous-craignons-quelles-continuent

Tueries du Brabant: «Les manipulations? Nous craignons qu’elles continuent»

Mis en ligne le 30/10/2019 à 00:01 Par Philippe Engels

Nathalie et Diederik Palsterman ont vu leur père mourir devant leurs yeux d’enfants, le 9 novembre 1985, au Delhaize d’Alost.

Que cache le mystère de Ronquières ? Un an après la fin des tueries (28 morts de 1982 à 1985), en 1986, il semble établi qu’un groupe de gendarmes a menti. Ils avaient « trouvé » dans un canal les armes et le butin des agresseurs. Qui cherchent-ils encore aujourd’hui à protéger ?

Ils ne s’expriment quasiment plus sur ces « tueurs du Brabant » qui leur ont enlevé brutalement leur père, il y a bientôt 34 ans, au Delhaize d’Alost. Diederik Palsterman avait 13 ans à l’époque. Le 9 novembre 1985, il s’est caché derrière des bacs de Coca-Cola pour éviter les balles des assassins masqués. Sa sœur, Nathalie, pense qu’il s’agissait de « terroristes » payés pour faire peur. Leur hypothèse est la même que celle de leurs avocats actuels, Walter Van Steenbrugge et Johan Heymans, qui ont repris le dossier à zéro en 2017 : si les tueurs restent en fuite, c’est parce qu’« on » les a protégés. Ils estiment qu’en investiguant de manière indépendante, enfin !, sur les manipulations de l’enquête, il serait possible de démonter « un système criminel ». Mais les enfants de Jan Palsterman sont à nouveau très inquiets. Des gendarmes arrêtés en janvier 2019 auraient embrouillé l’enquête dès ses débuts. Leurs vérités pourraient mener aux tueurs. Mais ils se taisent et la justice belge paraît avoir renoncé à comprendre ces silences compromettants.

Comment avez-vous découvert la mort de votre père ?

Diederik Palsterman (DP) : On est arrivé vers 19h35 au Delhaize d’Alost. Normalement, c’est l’après-midi qu’on comptait y aller… Mon père est resté dans la voiture, sur le parking. Il devait prendre de l’essence. Ma sœur et moi, nous étions à l’intérieur, nous avions presque fini les courses – un produit pour son bébé – quand l’attaque a commencé. Nous n’avons pas vraiment vu les tueurs. Mais un d’entre eux est passé tout près. Nous étions cachés derrière des bacs de Coca. Le tueur a tiré sur un monsieur qui a glissé et, grâce à ça, il a pu s’en tirer. J’ai appris ensuite que c’était le gérant. Il y avait une fête du personnel ce soir-là. Il s’était acheté de nouvelles chaussures. Elles glissaient encore un peu.

Nathalie Palsterman (NP) : L’ancien gérant, on le voit encore deux fois par an. Il ne va pas bien. Je préfère ne pas en parler.

(DP) : On ne sait pas ce qui s’est passé sur le parking. On a retrouvé mon père mort. Il y a eu aussi trois victimes dans la famille de David (Van De Steen). Lui, il a pris une balle dans la jambe. Ses parents et sa sœur sont morts sous ses yeux.

Vous le voyez souvent ?

(NP) : Non. Chacun a vécu ce « trauma » (ce traumatisme) d’une manière différente. Contrairement à nous, David apparaît beaucoup dans les médias. Il accorde beaucoup d’importance à ce qui se dit ou s’écrit… (David Van De Steen vient de coréaliser avec le cinéaste Stijn Coninx la fiction « Niet schieten », s’inspirant des Tueries du Brabant).

L’avocat Johan Heymans (JH) ajoute : « Nathalie et Diederik Palsterman connaissent très bien le dossier judiciaire. Il n’y a personne qui le connaît mieux qu’eux. »

Pourquoi ?

(NP) : Je veux connaître la vérité. Pas seulement qui étaient les tueurs. Mais aussi pourquoi et comment ils ont pu agir. Puis disparaître.

Vous travaillez dans quel domaine ?

(NP) : J’ai un travail administratif dans un hôpital.

(DP) : Et moi je suis imprimeur. Je contribue à imprimer le plus grand journal de Belgique, « Het Laatste Nieuws ».

Vous faites confiance aux journaux ?

(NP) : (Posément.) Non… Pas vraiment, pas vraiment. Ils déforment souvent ce qu’on dit. Et j’ai dû lire que ma mère aurait payé des tueurs pour liquider mon père ou qu’on avait mis un contrat sur sa tête en raison de ses activités professionnelles en Afrique.

Pourquoi l’a-t-on tué, selon vous ?

(NP) : C’était du terrorisme. Il s’agissait de marquer les esprits et de faire peur.

Entendu en 2016, seulement

Vous avez l’impression que la vérité a été cachée ?

(DP) : Oui. Des policiers nous ont dit que la tuerie d’Alost était évitable.

Sur ces 34 années d’enquête stérile, quelles sont les dates qui vous ont marqués ?

(DP) : 1989. L’année où Michel Libert, l’un des dirigeants du WNP (un groupuscule d’extrême droite), a reconnu qu’il avait fait des reconnaissances dans des magasins où les tueurs ont agi. 1995. Car c’est la première fois que les familles ont été informées des « avancées » de l’enquête. Avant cela, les dix premières années : rien. 2014. C’est l’année où a été détenu ce Jean-Marie Tinck. Tout le monde savait que c’était une fausse piste, mais il fallait faire croire que l’enquête progressait. Et puis 2016 : la première fois où j’ai été entendu par les enquêteurs…

Rien avant ça ?

(DP) : Non. Rien. Ils auraient pu m’entendre pour essayer de savoir si mon père avait eu l’intention de quitter sa voiture, s’il était sorti et revenu sur le parking où on l’a abattu. Mais, non, rien avant ça.

(JH) : Une seule audition, plus de 30 ans après les faits.

Vous y croyez encore, à la vérité sur les Tueurs du Brabant ? Étrange quand même : en néerlandais, votre langue usuelle, on dit « Bende van Nijvel ». Comme si au nord du pays, on a toujours pensé qu’il n’y avait qu’une seule bande de tueurs…

(NP) : Oui, j’y crois encore.

(DP) : Et moi aussi. Il n’y a pas une seule bande. C’est absurde. Avant 1985, les tueurs font peu de morts. Après, comme à Alost, ils abattent des femmes et des enfants.

Dans votre famille, on a souvent parlé de tout ça, j’imagine ?

(NP) : Nous sommes six frères et sœurs. Non, on n’en parle pas souvent. Même entre nous deux, c’est sensible quand une nouvelle piste est évoquée et que l’un y croit, mais pas l’autre.

(JH) : Il a été observé auprès des victimes que le traumatisme est énorme. Pas uniquement en raison des faits. Mais à cause de la façon dont ils ont été traités. Le silence, les mensonges, l’espoir, parfois sans aucun fond, diffusé dans les médias suite à tel devoir d’enquête.

(NP) : Pour nous, tout recommence à chaque fois. Les médias s’emballent parfois pour rien. Nous aurions aimé que l’État prenne ses responsabilités et dise, une fois, de manière claire : « Excusez-nous de vous avoir laissés si longtemps dans l’ignorance et d’avoir échoué à ce stade à trouver les assassins. » Ce n’est jamais venu.

(JH) : Un exemple de ce manque de considération : mes clients reçoivent une lettre : « Cher monsieur… » Et c’est adressé à Nele, par exemple…

Pour vous, l’enquête sur les Tueries du Brabant a été manipulée ? Dès 1986, quand des armes jetées dans le canal ont été soudain découvertes à Ronquières ?

(DP) : Oui, l’enquête a été manipulée. Et nous avons désormais la conviction que cela date des débuts de l’enquête. En 1986, effectivement, « on » n’a pas voulu trouver les auteurs, les mobiles des tueurs étant sans doute inavouables. L’État a donc accepté que des terroristes le déstabilisent.

Ronquières, «la» piste

Novembre 1986  : la plus importante découverte de pièces à conviction dans l’affaire des Tueries du Brabant, un an après la dernière attaque, celle d’Alost. Cette pêche miraculeuse dans le canal de Charleroi, à hauteur de Ronquières, aboutira à une hypothèse majeure, aujourd’hui déconstruite : il y avait une seule bande de tueurs. Dès que les enquêteurs ont été sur la trace de suspects, il fallait établir leur responsabilité dans toutes les agressions. En cas d’alibi sur une attaque, ils étaient innocentés.

1997  : une seconde commission d’enquête parlementaire sur les échecs de la justice recommande de creuser la piste d’une manipulation importante à Ronquières. Les gendarmes travaillant pour le juge de Termonde Freddy Troch lui auraient caché des choses. Mais rien ne bouge sur ce front-là, à l’époque.

2013  : il a fallu attendre l’arrivée d’une sixième juge d’instruction, la Carolo Martine Michel, pour enquêter réellement sur l’énigme de Ronquières : pourquoi a-t-on retrouvé des armes dans le canal là où rien n’avait été trouvé un an plus tôt ? La police scientifique établit en 2013 que la découverte de 1986 était « fake ». Cela accrédite la thèse d’une manipulation. Mais qui ment ?

Février 2019  : six ans plus tard, seulement, deux gendarmes de Termonde (ceux qui auraient reçu un tuyau pour retourner plonger à Ronquières) sont poussés dans leurs derniers retranchements. Placés en détention préventive, ils résistent à des interrogatoires serrés sur les mobiles d’un sabotage de l’enquête, dès 1986. L’affaire devient vaguement communautaire (des policiers de Charleroi accusant des ex-gendarmes de Dendermonde/Termonde), elle divise comme toujours les journalistes et les gendarmes sortent de prison après quelques jours.

Octobre 2019  : plus aucune information sur cette piste ayant forcément ranimé la thèse de protections au sein même de l’ex-gendarmerie, y compris à son sommet.

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Deux PV avec des contenus différents

Concernant Ronquières (lire l’encadré), d’anciens gendarmes de la cellule d’enquête dite « Delta », établie à l’époque à Termonde, ont été détenus pendant quelques jours au début de cette année. Vous doutez, vous, de cette ancienne cellule de Termonde, qui était dirigée par le juge d’instruction Troch ?

(DP) : Oui.

Vous pensez que ces gendarmes ont caché des choses ?

(DP) : oui.

(NP) : À Charleroi, nous avons pu voir deux procès-verbaux de l’époque, établis par la cellule d’enquête de Mr Troch, ayant le même numéro mais comportant des contenus différents.

Cela portait sur quoi ?

(DP) : Sur la découverte de Ronquières.

Quoi en particulier ?

(DP) : Sur les raisons, les informations qui les ont incités à plonger dans le canal, en 1986, alors que d’autres plongeurs n’avaient rien trouvé un an plus tôt.

(NP) : À Charleroi (où une sixième juge d’instruction et de nouveaux policiers ont été désignés en 2012), on nous a montré un dossier « manipulation ». Dedans, il y avait notamment ces deux PV différents relatifs à Ronquières. Ces derniers mois, on a demandé où en était ce volet « manipulation ». On nous a simplement dit qu’il avait été intégré dans le dossier global.

Que faudrait-il faire ? Ces ex-gendarmes mentiraient, ils ont été réinterrogés longuement, ont passé plusieurs nuits en prison, puis il a fallu les libérer. Des magistrats disent : « Comment les forcer à parler s’ils ne le veulent pas ? » Vous feriez quoi, vous ?

(NP) : Ils ont peur. On nous a expliqué qu’ils craignent d’en dire trop. À Termonde, on sait qu’il y a eu des armoires qui appartenaient à la cellule Delta, qui comportaient des éléments sans doute utiles à l’enquête, qui ont été stockées dans des caves et dont le contenu exact reste introuvable. Il faudrait pouvoir comparer ces pièces cachées avec le dossier tel qu’il est aujourd’hui.

Cette situation-là semble bloquée : ils ne parlent pas et les enquêteurs actuels ne peuvent ou ne veulent aller plus loin. Que faire ?

(DP) : J’ai lu il y a quelques semaines que d’anciens magistrats recommandaient de mettre en place un comité réellement indépendant.

Vous parliez de « terrorisme ». Selon de nombreuses versions, les tueurs d’Alost auraient agi comme un véritable commando. Même si vous aviez seulement 13 ans, comment avez-vous ressenti ça ?

(DP) : Ça allait vite. J’ai compris ça seulement après. J’ai découvert le mot « angry men ». Et ces gens-là, c’étaient des angry men. Ils étaient dans un état de furie extrême.

En 2017, votre famille a lancé un appel de fonds pour financer une équipe d’enquêteurs indépendants, comme il en existe aux Pays-Bas pour ranimer des « cold cases », par exemple. Où cela en est-il ?

(JH) : Nous avons demandé au ministre de la Justice s’il était possible de mobiliser des fonds publics ou privés afin d’effectivement faire travailler des experts. Nous n’avons pas trouvé les bons moyens, à ce stade, pour y arriver.

(NP) : Ça a marché deux jours. Puis des voix se sont élevées, dont celle de notre ancien avocat, Jef Vermassen. À ce moment-là, il a annoncé dans la presse qu’il avait un conseil en or. Cela donnait l’impression que notre initiative était inutile, parce que la vérité, prétendument, était déjà connue.

La meilleure, la seule piste, c’est de comprendre les manipulations ?

(JH) : Oui, notre stratégie d’avocats repose sur cela.

Vous pensez qu’il y a encore des manipulations, des freins, aujourd’hui ?

(JH) : Il faut se méfier de faire de grandes déclarations sur ce plan-là. Mais c’est clair qu’il reste des difficultés. L’enquête avance très, très lentement, alors qu’il y a des devoirs à mener de manière utile et rapide pour faire la clarté sur ces manipulations.

(NP) : Laisser traîner ces enquêtes, éviter de comprendre ces manipulations déjà évoquées par une commission d’enquête parlementaire, en 1997, pour moi, en soi, c’est une forme de manipulation.

Bonjour,

Dans le lien ci-dessous, une vidéo de 2,18 min. intitulée "Tueries du Brabant résumé de l'enquête en 2 minutes" RTL 29 octobre 2017, à 1,04 min. on visionne une voiture tirée hors de l'eau, et le commentaire fait état d'état d'une voiture, 1 Riot-gun, un gilet pare-balles.

Je n'avais jamais entendu parler de cette voiture. Quelqu'un sait quelque chose?

https://youtu.be/4cxGjtDqidA

Jamais entendu qu'une voiture des tbw avait été repêchée. Personne ne sait où sont passés leurs RG.
Combien de gilets ont été retrouvés ?

on dirait bien une bmw série 7 fin 70, début 80

Peut-être cette voiture ne s'est-elle ajoutée à la pêche-Ronquières-tdB qu'après avoir été prise dans la trop grande épuisette avec laquelle les journalistes alimentent la grande soupe dont ils nous abreuvent depuis 35 ans ?

La clarification nécessaire se trouverait-elle ici :

Frédéric Loore, dans 'Paris-Match' a écrit:

[...]
Peut-on parler de « pêche miraculeuse » ?

L’expression est souvent utilisée par opposition à la pêche infructueuse de 1985. Il n’y a pourtant rien de miraculeux dans la découverte de 1986. Simplement, les moyens mis en œuvre dans les deux cas n’ont aucune commune mesure. En effet, comme en témoigne le procès-verbal de la gendarmerie de Soignies, le 12 novembre 1985, c’est Monsieur Vandamme, un plongeur employé par les voies navigables du Hainaut, qui effectue seul une recherche dans le canal où il a pour mission ordinaire de débarrasser celui-ci de tout ce qui peut gêner la circulation des péniches (épaves, etc.).

https://parismatch.be/actualites/societe/242069/lenigme-de-ronquieres-deconstruction-dune-hypothese-fumeuse


?

Bonjour,

Je pose la question sur YouTube à un certain Jean Hervé qui aurait mis en ligne.
Merci pour les réponses apportées.

Certains "objets" repêchés à Ronquieres ont été identifiés comme pièces provenant d'un RG Winchester Defender. Entre une pièce en caoutchouc normalement fixée sur la crosse.

Ben, l'administrateur du forum néerlandophone a reçu l'avis d'un cycliste datant du 22 Avril.
Celui ci roulant le long du canal à Ronquières et arrivé au large de Fauquez a remarquez qu'une firme privée est occuper à draguer le fameux large.
Le dragage se fait sur une profondeur de 3-4 m de profondeur.
Le limon,la boue retirée est transvaser dans des péniches.
Ces péniches se rendent ensuite vers Clabecq. Là, le limon est retiré et est passé à travers une grille.
Tout les déchets métalliques et rouillés sont entassés dans une autre péniche, tandis que le reste du limon est pomper sur une autre parcelle.

Serait on occupé à refaire des recherches plus approfondies, ou est ce un simple dragage du canal?
Dans le 2 ième cas, pourquoi simplement au large de Fauquez et pas ailleurs?
Affaire à suivre.

Et pourquoi passer le tout aux tamis.
Si ils n’ont pas communiqués sur cette fouille minutieuse, ils risquent de garder le résultat pour eux.

Un retour sur la prétendue énigme de Ronquières .

5/12/1985, c'est le cambriolage nocturne du Delhaize de Lokeren , qui conduit à l'arrestation des menbres de la bande de Baasrode.
Compte-tenu de certaines similitudes de modus operandi, les enquêteurs se demandent s'il n'y a pas un lien avec les T.B.W.
Ceci est fort bien résumé dans un excellent ouvrage :


Puis 2 informations sont apportées aux enquêteurs :
- la bande de Baasrode a l'habitude de se débarrasser d'éléments matériels dans le canal Bruxelles / Charleroi
- un menbre de la bande, N. K ( celui qui a donné l'info précédente ? ) , rapporte des propos que PDS lui aurait tenu en prison selon lesquels il aurait " 28 morts sur la conscience ".




On peut supposer que ces propos rajoutés au cambriolage de Lokeren ont conduit les enquêteurs à mettre le paquet pour exploiter l'info donnée sur le canal, qui pouvait les conduire au-delà des seules attaques de la bande de Baasrode pour lesquelles ils avaient déjà plusieurs aveux , vers les T.B.W.
Comme le rappelle le camarade Glen, Delta a commencé ses recherches du côté d'Anderlecht avec le fameux matériel de recherches allemand.
Les enquêteurs de Termonde se seraient-ils donnés tant de mal et de moyens s'il s'agissait  seulement de coincer la bande de Baasrode, et non d'essayer de remonter également la filière T.B.W ?
Et c'est alors qu'est donnée une nouvelle information sur les témoignages des 2 personnes qui ont vu des objets jetés dans le canal  après Alost .


Il apparaît donc :
- que les investigations ont été menées normalement en fonction des informations données , malgré les rivalités existantes chez les enquêteurs
- que l'emploi d'un matériel sophistiqué a permis de découvrir en 1986 ce qui ne l'avait pas été en  1985, ce qui autorise à penser que les T.B.W ne voulaient absolument pas que ces éléments soient un jour retrouvés
- qu'une  coïncidence pourrait exister entre l'habitude de la bande de Baasrode d'utiliser le canal comme décharge et le fait que des éléments ramenant aux T.B.W y ont été retrouvés.