Le Canal de Ronquières

Le même individu :

michel a écrit:

Le même individu :

Un lecteur attentif me signale que l'homme de gauche était un policier de Braine-le-Comte et celui de droite, un membre BSR de Nivelles.

michel a écrit:

michel a écrit:

Le même individu :

Un lecteur attentif me signale que l'homme de gauche était un policier de Braine-le-Comte et celui de droite, un membre BSR de Nivelles.

Rectification : Bsr de Soignies.

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@ Michel

La précision peut être importante : Soignies est dans la province de Hainaut, ce qui n'est pas le cas de Nivelles...

Hypothèse : si l'officier de gendarmerie Leroy était présent, il est cohérent de voir des membres d'une BSR du Hainaut. Qu'en pensez-vous ?

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Par ailleurs : 

Qui avait mandaté Jef Goossens et son plongeur pour une fouille en 1986 ? Je vois mal le juge d'instruction Freddy Troch demander à deux équipes de plonger le même jour.

En outre, Jef Goossens veillait à la sécurité de son plongeur en ce qui concerne la navigation fluviale. Qui faisait cela pour les autres ?

A quel endroit se trouvait la friterie à cette époque ?





Voir sur

https://www.bendevannijvel.com/forum/viewtopic.php?pid=51791#p51791

ce que Jef Goossens dit sur le passage d'une rive à l'autre :

Wij moesten dan stoppen, dit was zeker nog in de voormiddag. De Genie heeft dan de zoekactie voortgezet en hebben hun materiaal ook naar de oever langs de zijde van de frituur gebracht.”

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J'emprunte au forum néerlandophone la retranscription des interventions de Jef Goossens sur VTM :

https://www.youtube.com/watch?v=bZVnlzSfrNI

A partir de





“Hij trok dat touw, dus ik wist, ja, hij heeft iets. En op die moment hebben wij dan een jute zak gevonden. Ja, die was dicht. Uitei ... we hebben die gewoon, hij heeft me geholpen, aan de kant gelegd, hij was redelijk zwaar, 25, 30 kilo of zoiets was dat wel.”

“Dat was, volgens mij was dat een soort , ja, buizen. ’t Was metaal, ja  wat dat eigenlijk was weet ik niet. Ondertussen zijn die mensen gekomen wat daar een beke verder stond. Die hebben dan tot bij die zak geweest, die hebben die zak opgenomen, tot op het jaagpad gedragen. Die hebben daar in gekeken. Die hebben daar een baschke over gelegd en dan hebben ze gezegd, ’t is ok, ge moogt stoppen. We hebben wat we zochten.  Voilà ... dat was het."

Farouk: Zou het kunnen dat daar wapens ingezeten hebben.

“Tja, Het kan zeker hé. (Non-verbale communicatie, man kijkt opzij (onzekerheid), doet hij nergens anders in de opname.) Tja. Dat kunde niet zeggen hé. Als ge dat uit ’t water haalt, er zit slijk bij. Dat is ... ge voelt wel dat het iets met buizerij is. Kan zowel zijn een zak met rommel dat ze dichtgegooid hebben en er in gekapt hebben, ook hé. Dat is allemaal mogelijk. Ik heb nooit niet gevraagd, achter wat zoekt ge, wat moeten we hebben, of hoe of wat. Voor mij was het voornaamste dat hij in veiligheid terug boven kwam, dat er niks gebeurde, dat er  geen schade aan de dijken of zoiets. Voor de rest maakte het mij niet uit hé.”

Farouk: Waarom denkt ge dat het om rijkswachter ging?

“Tja dus met dat R4-ke. Dus dat waren ... wie komt er anders met 3 personen. In die tijd was dat zo wij zeiden daartegen, de mannen van de BOB, hé. Ik zag niet in wie dat anders zou geweest zijn, er was niemand anders bij hé.”

Woordvoerder parket in VTM versie:

“Wel, er is een vriend van de duiker ook verhoord geweest in der tijd en die man die bevestigd het verhaal duiker en van de assistent van de duiker. De duiker heeft hem dus in der tijd ook het soort verhaal verteld zoals het nu in het dossier staat.”
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Une photo de la police :




qui correspond à




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J'ai lu quelque part mais ou (???) que la BSR avait lancer délibérément un sac lesté dans le canal afin de voir si celui ci dériverait plus ou moins loin de la rive afin de savoir s'il fallait effectuer les recherches plus ou moins de la rive.
Se pourrait-il que ce sac aurait été lancer 1-2 jours avant les plongées de 86, pour +/- "coller" avec le témoignage de 85.
Que l'on fasse ensuite venir, le jour des plongées, l'ancien plongeur et son assistant, pour voir si on retrouve ce sac au même endroit que l'on l'a jeter, ou si il a dériver plus loin (et inutile de faire plonger le génie puisqu'on sait que ce sac est bien là).
Qu'ensuite (et comme le sac a été retrouver assez vite dixit Goossens)on remonte ce sac lesté (peut être de barres métalliques),qu'on en tire des conclusions pour les plongées du génie et qu'enfin on envoi le génie effectuer ses plongées?

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Cela pourrait tenir la route mais ne colle pas avec

https://www.bendevannijvel.com/forum/viewtopic.php?pid=51791#p51791

(...)  Goossens komt daar niet nu pas mee af. Zijn eerste getuigenis die heel toevallig ter sprake is gekomen, dateert van eind augustus 2013. De man werd nadien meermaals verhoord, zowel door de speurders van de CWB (vooraleer het dossier overgegaan is naar het federaal parket), het comité P als de nieuwste speurders (na de overheveling naar het federaal parket).  (...)

Je doute que tous les enquêteurs qui ont analysé les déclarations de Jef Goossens parfois depuis 5 ans soient passés à côté de cette explication.

En outre, un ami du plongeur a dit que le plongeur lui avait confié qu'il y avait des armes dans le sac en jute.

Enfin, je ne crois pas qu'un sac de 25-30 kg puisse dériver dans un canal.

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Le plus simple serait de poser la question aux officiers de gendarmerie sur place... qui pourraient bien être parmi les gens cités ci-dessous :

https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t2835p100-hubert-delmotte-soir-mag-2-3-16

(...)  Responsable de District (Colonel Breyer) , du Commandant de place (Major Christian Harzée) et du Lieutenant Colonius et de l'Adjudant Leroy  (...)

Sur Christian Harzée, voir :

https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t1338-harze-christian

On pourrait aussi demander à Christian Amory ce qu'il pense de Christian Harzée...

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Dans ce cas, le juge d'instruction Freddy Troch aurait dû être au courant, ce qui n'a pas été le cas.

Il est important de savoir qui a demandé au plongeur (de Jef Goossens) de fouiller en 1986. Si ce n'est pas Freddy Troch, qui a pris cette décision ?

Ce qui s'est vraiment passé à Ronquières en 1985/1986 pourrait être décisif pour l'enquête.

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Il y a une autre explication mais elle met en cause le juge d'instruction Freddy Troch : article de septembre 2014...




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"Mérovingien" mentionne une "excursion" de Eric Lammers avec Lionel Ruth et Alain Lachlan (récemment décédé) dans les environs de Ronquières la veille de la découverte des armes.

Gilbert Dupont écrit par ailleurs que la DH a été prévenue de la découverte des armes plusieurs heures avant les fouilles...







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https://sites.google.com/site/tueriesdubrabant/interviews/interview-eric-lammers

(...)

- Le 5 novembre 1986 vous avez été amené par les gendarmes Ruth et Lachlan au bois de la Houssière. Pouvez-vous donner plus de précisions sur cette descente sur les lieux?

Si mes souvenirs sont bons, le second inspecteur se nommait Dossogne, je crois.

- Mise à part le Bois de la Houssière, avez-vous encore été amené à d’autres endroits ce même jour?

Après cette visite sur les lieux, nous avons été boire un verre dans un café avant de rentrer à la prison.

- Quelle était le but de cette visite au Bois de la Houssière?

Leur montrer où nous avions fait des tirs d’entraînement, avec quelles armes et vers quelle direction.

- Avez-vous encore été amené par après par des enquêteurs au Bois de la Houssière? Si oui, au même endroit? Si oui, est-ce que la situation de ce lieu y avait changé depuis votre visite du 5 novembre 1986 ?

Plusieurs jours plus tard nous y sommes retourné. Le sol avait été complètement retourné et ils m’ont dit avoir été surpris de n’y avoir trouvé ni douille ni vieilles balles. Comme si quelqu’ un avait tout nettoyé derrière nous.

- Le 6 novembre 1986 la cellule Delta découvre les sacs des TBW dans le large de Fauquez à Ronquières. Quelle est votre impression sur cette pêche miraculeuse et sur le faite que cette découverte à lieu le lendemain de votre visite au bois de la Houssière?

Je n’y avait pas fait attention à l’époque. Vous me l’apprenez.

(...)
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HERVE a écrit:

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Il y a une autre explication mais elle met en cause le juge d'instruction Freddy Troch : article de septembre 2014....

Petite remarque concernant cet article de la DH: il me semble que la photo qui l'illustre ne correspond PAS aux fouilles de Ronquières (85/86) mais plus tôt d'une quelconque activité de plongée du service du Génie de l'Armée.

1) la camionnette Mercedes n'est vue sur aucune des images des reportages d'époque

2) la camionnette ne ressemble PAS du tout à un modèle des années 80 mais plus tôt des années 2000

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Et si Freddy Troch n'était tout simplement pas de la trempe de ceux qui fabriquent des preuves pour se forger une réputation?

Il intéressant de relire les articles de presse de l’époque. Voici ce que disait le témoin, qui a vu les agissements suspects dans la nuit du samedi 10 novembre au dimanche 11 novembre 1985 (probablement le frituriste Frank O.), sur le plongeur des Travaux Publics:

“C’est bien là que tout fut jeté, poursuit notre interlocuteur, tout près du bord. Il a bien deux mètres de vase à cet endroit. C’est sans doute pourquoi le plongeur qui ‘travailla’ il y a un an ne trouva rien. Nous le connaissons bien. C’est toujours à lui que les Travaux publics font appel, en cas de pépins. Il a encore retiré du canal, il y a peu, une demi-douzaine de voitures immergées. Il utilise une grande barre longue de près de 5 mètres, elle lui permet de situer les obstacles importants car dans l’eau, on ne voit rien. C’est un très bon plongeur mais il y un an, il ne ramena qu’une brique de béton. Il ne disposait pas de l’équipement adéquat, mais on aurait pu mettre alors les grands moyens en oeuvre. Pourquoi ne l’a-t-on pas fait? C’est incroyable!”

Source: Le Soir | 12 novembre 1986 (https://www.bendevannijvel.com/forum/viewtopic.php?pid=26523#p26523)

Et puis suite au témoignage de Goossens, ceci pourrait être important: D’après un article du Paris-Match d’octobre 2014 (que je ne retrouve plus), le frituriste Frank O. serait absolument certain d'avoir revu le grand homme, qu’il a aperçu dans la nuit du 10 au 11 novembre 1985 au bord du canal, parmi le public qui observait les plongées (pas clair s’il s’agit de la plongée de 1985 ou celle de 1986). Je n'ai pas d'autre source pour concernant cette information.

La voiture du plongeur est la jeep.

HERVE a écrit:

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Il y a une autre explication mais elle met en cause le juge d'instruction Freddy Troch : article de septembre 2014...




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Quelques réflexions concernant ce article:
-Tout d'abord quand je lis :"Troch a fait venir d'Allemagne un matériel lourd et sophistiqué. Le montant de sa location était d'1 million de francs belges.
Ceci est faux.Le matériel était déjà en Belgique et employé dans le canal à Anderlecht (pour une histoire avec De Staercke si je ne m'abuse).C'est l'opportunité de la présence de ce matériel sur le canal qui ont amené Troch à faire remonter le matériel plus haut dans le canal.
Matériel qui, en fait, n'a jamais été employer suite à une histoire de profondeur.
-Ensuite je cite encore Reyniers :"les armes ont étés extraites des sacs à Termonde et quand elles eurent le temps de bien sécher,nous fûmes inviter a venir les voir.Comme ils avaient tout fait sécher, les traces étaient anéanties.Troch a envoyé a Ronquières un commando de destructeurs de traces.
Qu'est ce qui permet a Reyniers de dire cela.Qui dit que des prélèvements n'ont pas étés effectuer entre le moment ou les sacs ont étés ouvert a Termonde et le moment ou Reyniers est venu les voir?
Une trace Adn n'a t-elle pas été trouvée? Si , alors quoi destruction de traces?

Je crois qu'ont assiste ici plutôt a une enième gueguerre des polices !!!!

HERVE a écrit:

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"Mérovingien" mentionne une "excursion" de Eric Lammers avec Lionel Ruth et Alain Lachlan (récemment décédé) dans les environs de Ronquières la veille de la découverte des armes.

Gilbert Dupont écrit par ailleurs que la DH a été prévenue de la découverte des armes plusieurs heures avant les fouilles...







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Il n'y a rien qui vous chiffonne dans ce article?
Je vous met ici la phrase qui m'interpelle :"or qui savait? A part un nombre très restreint de policiers à Termonde et quelques plongeurs de l'armée et agents des voies navigables "
Et qui est l'agent des voies navigables à Ronquières ? Goossens bien sûr.
Si notre homme devait servir d'aide à son plongeur et veuillez comme il le dit lui même dans l'émission" à veuillez qu'il n'y avait pas de dommages aux digues ", je suppose qu'il devait donc rester sur place quand la cellule Delta a plonger non?

Merovingien a écrit:

La voiture du plongeur est la jeep.

Donc il est bien clair que le plongeur,Goossens et la cellule Delta se sont rencontrer ce jour là.
Merçi Mero.

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Michel Libert a déclaré que s'il avait voulu faire disparaître des objets compromettants, il les aurait jetés en pleine mer...
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[quote="HERVE"].
"Mérovingien" mentionne une "excursion" de Eric Lammers avec Lionel Ruth et Alain Lachlan (récemment décédé) dans les environs de Ronquières la veille de la découverte des armes.

"

Il y en avait du monde dans ce coin On parle de Cocu qui y aurait également été vu "quelques temps avant" les fouilles permettant de trouver des armes.

Petit rappel
ALAIN MOUSSA DEUX JOURS EN CAVALE

HAQUIN,RENE

Mercredi 31 octobre 1990

C'est par ailleurs dans le cadre de l'enquête du juge d'instruction Troch sur la «bande de Baasrode» que le magistrat obtint, en 1986, une petite information sur des armes «chaudes» abandonnées quelque part au fond d'un canal, dans la région de Ronquières. Cette information fut recueillie dans l'entourage de Moussa et d'un coïnculpé, Nicolas Karasilis, et permit, on s'en souvient, la découverte en novembre 1986 des deux sacs contenant les restes des armes utilisées pour les tueries du Brabant.