Vague d'attentats au Luxembourg

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Vous vous trompez dans votre jugement !

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Des menaces ou tentatives de menaces sont souvent une question d'appréciation. Ce qui compte c'est le témoignage en tant que tel !
Leurs a effectivement travaillé pour l'armée et pour le SREL. Il était affecté à la centrale téléphonique et il transportait du courrier diplomatique. Des tâches pour lesquelles il fallait à l'époque une clearance ! Une personne à laquelle on confiait à l'époque des tâches extrêmement sensibles serait aujourd'hui plus crédible ?
Comme par hazard Leurs cite les noms de personnes qui existaient et qui ont effectivement travaillé pour le SREL, Arm.ao et Diesbourg/Dieschburg comme personnes de contact. Les personnes en question ont travaillé pour l'ANS une branche du SREL responsable pour les clearances. Comme par hazard, des budgets de l'ANS ont été libérés à l'époque pour l'acquisition de matériel d'écoute destiné à la police. Sauf que le matériel en question n'est jamais arrivé à la police.
Puis Dieschburg/Diesbourg est également cité dans un autre context comme la source qui aurait confié à Fr.ank Sch.neider que le SREL aurait été détourné par des agents venant de la gendarmerie.

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quelques réflexions de la séance hier au tribunal

séance très intéressant mais aussi énormemént dégoutante

L'ignorance, l'arrogance et l'incompétence des juges et de Vogel étaient révoltants.

par example Vogel reprochait à Leurs de n'avoir pas pris une photo des assaillants après que ceux  l'avaient jété par terre et lui avait mis le canon de leur flingue contre son ventre en lui disant: la prochaine fois t'es foutu

d'autre façon je me demandait si tout ce procès n'est pas du grand cirque opaque , un "show process" pour blanchir les institutions ménacées par les retombées de l'affaire "bommeleer"

une note encore à tous les témoins potentiels: méfiez vous de la troika ( parquet, défense, juges)
après avoir assisté comme observateurs à maintes séances au tribunal, il me paraît que dès que votre tèmoinage touche quelque chose que la troika ne veut pas entendre, il vont vous griller; une vrai inferno dantesque, alors soyez prévenu!

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un article paru dans le Unwort digne de son propre nom

http://www.wort.lu/de/view/dislaire-stay-behind-und-die-ccc-5363ce62e4b0c042e914a316

Dislaire, Stay Behind und die CCC
Belgischer Ex-Söldner setzt Vielsalm und Stay Behind in Zusammenhang

Notre bonhomme luxembourgeois proche de l'Otan (qu'il dément) , maintenat chef du SRE

Lëtzebuerg brauch ee moderne Geheimdéngscht

Dat sot den Direkter vum "Service de renseignement" Patrick Heck e Samschdeg de Mëtten an eiser Emissioun "Background am Gespréich".

http://www.rtl.lu/themen/bommeleer/532277.html

Je me demande si Hamus a bien choisi sa profession de journaliste. Il ferait mieux se faire embaucher par Heck et Geiben comme leur porte parole out agent de PR (Public relations)?
Même un miniscule soupçon d'esprit critique fait défaut chez Hamus. Je me demande pourquoi. Bon de toute façon on ne finit pas par fâcher son interlocuteur; c'est déjà quelque chose si on veut faire une belle carrière au marienland ....

NB. Hamus est aussi l'auteur du bouquin " Der dünne Faden "
http://www.editions.lu/ben-geiben-revisited-der-rote-faden.html

Kowalki Merci pour l'article dégoûtant paru Wort.lu !
Je me pose sérieusement la question de l’intérêt de rejoindre Luxembourg mardi.   
Tous compte fait j'en ai rien à foutre de leurs histoires.
Pour gouverne je n'ai jamais eu un P.V. fusse de roulage au Luxembourg ! Ni "été impliqué dans trois attaques sur les 1984 Supermarchés "pommeau en Huldange et trou Pommer " (mal traduit sans doute) et sur un véhicule blindé dans le Châtillon belge soupçonnée en 1983 "!
Je n'ai jamais été entendu, et je n'ai aucune connaissance de ces hold up de grandes surface ou j'aurais été "suspecté".
Si effectivement j'ai été arrêté au Luxembourg, l' Etat luxembourgeois, en la personne de son Ministre de la Justice et de son Ministre de l'Intérieur ont été condamnés pour cette extradition pour non respect des règles internationales et non respect des Droits de l'Homme.
Pour ce qui est de Scheur et ses déclarations imbéciles, je le renvoie à mon livre.
Pour ce qui est des CCC ici on atteint des sommets !
Le "collectif des prisonniers des CCC ",voila une source fiable pour nos investigateurs . Ceux la même qui sont responsables de la mort de 2 pompiers à Bruxelles , condamnés à perpétuité, qui s'autorisent à juger les autres et à vilipender le colonel Militis et qui nous affirme qu'il n'y a "jamais eu l'ombre d'un soldat américain dans cette affaire" alors que c'est le secret de polichinelle que les manoeuvres Oesling étaient menées conjointement par les codos Belges et Luxembourgeois et les S.F. US l'armée.
Le Luxembourg marche sur sa tête . Au secours!

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Ils en ont marre , Vogel et Lorang.

Ca n'avance pasdans un procès politque dans lequel la chappe de plomb refuse d'exploser
En plus nos pauvres " star avecoten* sont même plus payés pour leur travail herculéen de défense des deux inculpés.

En attendant Godot, un vrai mort vivant, un zombie bommeleer?
Quelqu'un qui dans ces dernieres jours dans ce monde merveilleux se mettrait à parler avant de passer dans l'au-delà?

at L. Dislaire

Du courage Monsieur Dislaire!

cet article du Wort n'est qu'une médiocre pâle imitation des mots de Scheuer.
si vous voulez savoir un peu plus, vous pouvez toujours lire les "live tickers" du Unwort et Tageblatt de cette séance fabuleuse.

Si vous rencontrez des problèmes à les retrouvez dans le cyber space, faites moi signe!

Dislaire:
Ni "été impliqué dans trois attaques sur les 1984 Supermarchés "pommeau en Huldange et trou Pommer " (mal traduit sans doute) et sur un véhicule blindé dans le Châtillon belge soupçonnée en 1983 "!

Unwort:
"So stand er im Verdacht 1983 und 1984 an drei Überfällen auf die Knauf-Supermärkte in Huldingen und Pommerloch sowie auf einen Geldtransporter im belgischen Châtillon beteiligt gewesen zu sein"

- des magasains de grandes surfaces *Knauf" à Huldange et Pommerlach

http://www.editus.lu/ed/de/knauf-shopping-center-huldange-6935.html

http://www.knauf-center.lu/

http://www.knauf-center.lu/default.aspx

https://www.google.lu/maps/place/Pommerloch/@49.9607452,5.8603692,16z/data=!3m1!4b1!4m2!3m1!1s0x47c004af9baad2e5:0x12424cfdb07c04f5

Merci pour l'encouragement car il faut être blindé dans cette foire d'empoigne.
Je serai demain à Luxembourg

Je viendrai écouter demain

http://www.lequotidien.lu/bommeleer/55895.html

Une histoire qui pose problème

2014-05-02 09:39:00

Même si le témoignage de l'ancien militaire Gilbert Leurs contient des détails spectaculaires, sans preuve, les faits sont aujourd'hui difficilement vérifiables.

D'après les membres du SREL entendus jusqu'à présent, le service secret ne se serait pas intéressé à l'affaire du Bommeleeër. Lors de la 160e séance du procès mercredi, le témoin Gilbert Leurs a toutefois déclaré avoir participé à la mise sur écoute du colonel de gendarmerie Harpes en 1985.

De notre journaliste
Fabienne Armborst

À l'époque des attentats, Gilbert Leurs était en charge du central téléphonique de la caserne militaire de Diekirch. En fin d'année 1983, il avait été engagé par le membre du SREL Detail pour effectuer différentes missions pour le service secret. On lui avait promis une rémunération de 20 000 francs par mois. Jusqu'en 1998, il a travaillé pour le SREL sans pour autant être rémunéré comme on le lui avait promis.

En 2008, il s'était adressé au médiateur Marc Fischbach pour faire état de ce litige. Sur quoi, Gilbert Leurs avait été orienté vers la justice. À la barre, Gilbert Leurs a confirmé mercredi ses déclarations faites lors de son audition en 2009.

En 1985, l'agent du SREL Detail lui avait demandé d'installer un système d'écoute dans la caserne dans le cadre de l'affaire Bommeleeër. Selon la personne qui l'avait engagé, ce sont les communications du «Monni» (surnom donné au colonel de gendarmerie Aloyse Harpes) qui auraient intéressé le SREL.

Dans le cadre de cette même mission, Gilbert Leurs avait également introduit clandestinement deux hommes au sein de la caserne pour le compte du SREL : un certain Armand ou Arnaud et un certain Jean.

L'écoute a débuté en automne 1985 et a duré plus ou moins un an. Gilbert Leurs était chargé de changer les cassettes et de transmettre les enregistrements à l'agent Detail.

À la question de la présidente de la chambre criminelle, Sylvie Conter, de savoir si le témoin avait écouté ces cassettes – une récompense pour tout indice faisant avancer l'enquête ayant été promise – le témoin a répondu par la négative.

La présidente a également fait remarquer que l'appareil mobile d'écoute tel que décrit par Gilbert Leurs n'existait pas d'après les déclarations de Jean Kuffer. Ce dernier a en effet déclaré mardi que le SREL ne possédait pas d'appareil mobile à l'époque. Les écoutes étaient donc toujours faites au central du SREL.


Menacé de mort depuis le début du procès

D'après le témoin, le SREL était mêlé à l'affaire Bommeleeër. L'ancien agent du SREL Disbourg l'aurait régulièrement intimidé lorsqu'il était en retraite. Gilbert Leurs explique également avoir été menacé de mort à plusieurs reprises depuis le début du procès. On lui aurait fait comprendre qu'il devait faire attention à ses futures déclarations. Le procureur d'État adjoint, Georges Oswald, a confirmé qu'une enquête était en cours à ce sujet.

Gilbert Leurs est également revenu sur une rencontre avec un certain Armao qui lui avait proposé de récupérer la récompense pour le Bommeleeër. Ce dernier lui avait dit qu'il savait qui était le Bommeleeër et qu'il avait des preuves. Il avait cité les noms du Prince Jean et de plusieurs membres de la brigade mobile de la gendarmerie (BMG) : Steil, Reuland et Scheer ainsi que deux autres noms dont Gilbert Leurs ne se rappelle plus.

Lors d'une entrevue avec le colonel Bruck de l'armée, l'homme politique Willy Bourg et une autre personne, on a fait comprendre à Gilbert Leurs que s'il citait une nouvelle fois le nom du Prince Jean ou d'un autre membre de la famille grand-ducale, il serait considéré comme persona non grata. Selon le témoin, à la suite de cela, il n'y a plus jamais eu d'attentat à la bombe. Le certain Armao, quant à lui, lui a déclaré qu'ils ne se connaissaient plus. Et il ne l'a plus jamais revu par la suite. Il ne lui a donc pas non plus transmis les fameuses preuves.

Pour la présidente de la chambre criminelle, Sylvie Conter, l'histoire de Gilbert Leurs soulève certaines questions : «Nous avons un sérieux problème, nous ne pouvons rien vérifier puisque vous vous êtes manifesté si tard. En 2009, toutes les personnes citées étaient mortes.»

Le procès se poursuit lundi avec l'audition de Claude Frieseisen, secrétaire général de la Chambre des députés, et Charles Hoffmann, ancien directeur du SREL.

et oui, si les personnes "inculpées" par Leurs auraient fait tabula rasa pour se débarasser de leur conscience polluée par un passé de chantage au nom de la patrie ....

HERVE a écrit:

http://www.lequotidien.lu/bommeleer/55895.html

Gilbert Leurs explique également avoir été menacé de mort à plusieurs reprises depuis le début du procès. On lui aurait fait comprendre qu'il devait faire attention à ses futures déclarations. Le procureur d'État adjoint, Georges Oswald, a confirmé qu'une enquête était en cours à ce sujet.

Je suis impatient de lire ce que cette enquête va révélé ...

Cette enquête va révéler que Leurs est un fabulateur!

http://5minutes.rtl.lu/fr/actualite/luxembourg/532749.html

Bommeleeër / Loi d'amnistie: Requise par la défense, refusée par le gouvernement

RTL - 05.05.2014, 14:12 | Dernière mise à jour: 05.05.2014, 15:27

Dans une lettre envoyée en décembre, les avocats de la défense Lorang et Vogel ont suggéré au gouvernement de faire voter une loi d'amnistie.

Reste la question:

Pourquoi la défense prend-elle l'initiative pour une telle loi?

D'abord, il faut dire que la lettre peint un portrait assez correct de la situation: le procès serait kafkaesque, le pays se ridiculiserait, les deux accusés Scheer et Wilmes ne joueraient même pas un rôle accessoire dans leur propre procès, le dossier des indices contre eux serait extrêmement pauvre - et si l'on lit la lettre des deux avocats, on remarque que l'argument du procureur et de la juge - pour une loi d'amnistie afin de faire parler les gens - ne joue aucun rôle dans la demande des avocats. Au contraire, il semble que la lettre est en premier lieu censée faire passer l'éponge sur toute l'affaire. La question est si cette lettre peut être vue comme une sorte d'aveu de Scheer et Wilmes. Après tout, elle n'a pas été rédigée par des collègues, des hommes politiques ou des syndicalistes mais par les avocats des deux accusés. Ceux-ci devraient savoir quel sera l'effet d'une telle demande: on se pose la question si les deux accusés ont dit davantage à leurs avocats qu'au tribunal, et s'il tentent, sur la dernière ligne droite, de faire oublier toute l'affaire une bonne fois pour toutes.

Qui a besoin d'amnistie, après tout? Des accusés coupables, personne d'autre, pense le non-juriste primitif.

Les juristes pensent différemment; ils parviennent à dire des choses comme: "Madame la juge, mon client est innocent, dit-il, vous n'avez pas beaucoup de preuves contre lui. Si vous pensez quand-même qu'il faut le condamner, veuillez considérer les circonstances atténuantes suivantes, et veuillez être indulgente."

La grande circonstance atténuante qui revient régulièrement au procès est, comme le disait Gaston Vogel: même si nos clients étaient les auteurs des attentats, ils ne seraient que des marionnettes. C'est-à-dire: d'autres ont ordonné les crimes, des personnes qui se trouvent aux échelons supérieurs de l'hiérarchie. Les grands auraient ordonné, les petits auraient exécuté des ordres


Conclusion de la défense: amnistie pour tous - et puis nous serons tranquilles.

Ce voeu est compréhensible, contrairement à la lettre envoyée au gouvernement. Le gouvernement actuel est au pouvoir en partie grâce à l'affaire Bommeleeër, et ne peut donc pas répondre par l'affirmative à une telle demande.

Ce serait d'ailleurs le scandale du siècle si l'affaire se terminait ainsi.

Les avocats demandent donc une loi amnistiant les infractions - oui, infractions - je pensais toujours qu'il s'agit de crimes. Crimes d'état, bien sûr, mais néanmoins des crimes.

En fait, dans cette histoire, on ne sait plus qui ment ou dit la vérité et ce n'est pas une enquête de plus qui va prouver quoi que ce soit.
Il restera toujours un doute et ce doute pèsera sur l'ensemble de cette histoire, je devrais dire de cette légende "La légende du Bommeleeër".

http://www.lequotidien.lu/bommeleer/56012.html

Le SREL a travaillé

L'ancien directeur du SREL Charles Hoffmann affirme que le service a été actif à l'époque des attentats.

De notre journaliste
Fabienne Armborst

Ce n'était pas la première fois que l'ancien directeur du SREL Charles Hoffmann passait à la barre dans le cadre du procès Bommeleeër. Lors de la 161e séance, hier, il a plus particulièrement été entendu au sujet du Stay Behind, mais également sur le rôle du SREL à l'époque des attentats.

Je ne suis pas d'accord avec la déclaration selon laquelle le SREL n'a rien entrepris à l'époque des attentats.» Voilà l'une des phrases clés de Charles Hoffmann lors de la séance d'hier.

D'après l'ancien directeur du service secret (1985-2003), même si le SREL a été laissé en plan, le service a travaillé : «Nous n'avons pas fait d'enquête ponctuelle, mais une enquête horizontale en nous basant sur les personnes auxquelles nous nous intéressions de toute façon.» Pour la présidente de la chambre criminelle, Sylvie Conter, et la défense, il manque toutefois les résultats du travail concret du SREL. Ils remettent en doute l'intérêt du SREL pour l'affaire du Bommeleeër.

D'une manière générale, Charles Hoffmann partait du principe que la police, la gendarmerie et la justice menaient l'enquête. «S'y on m'y avait invité, j'aurais bien aimé coopérer», explique le témoin.

Le SREL aurait aidé ponctuellement la gendarmerie, dans le cadre de l'observation Geiben (week-end du 19 octobre 1985). À la fin de cette observation, l'agent du SREL Armand Kaudé avait remis à Charles Hoffmann le rapport, dont une partie contenait des motifs de suspicion contre Jos Steil. Ce rapport sur l'observation Geiben n'est toutefois parvenu qu'en 2004 aux enquêteurs.

L'ancien directeur du SREL donne pour explication qu'à l'époque de l'observation, il n'avait pas voulu faire sortir un document du SREL, ne sachant pas ce qui se passerait avec le rapport par la suite. Mais il partait du principe que l'information atteindrait les rangs de la gendarmerie. Armand Kaudé, quant à lui, avait expliqué à la barre qu'il pensait que l'information serait transmise par voie hiérarchique à la gendarmerie.

Dans ce contexte, le procureur général d'État adjoint, Georges Oswald, est revenu sur une lettre datée du 15 octobre 1985 dans laquelle le colonel Harpes demande le «renforcement de l'équipe chargée de l'enquête "attentats à la bombe" par deux membres du SREL» pour effectuer des filatures spéciales. Juste après cette lettre, Charles Hoffmann avait reçu le rapport Kaudé. Selon Georges Oswald, le chef du SREL aurait donc dû faire le lien.


Le SREL a tout fait pour aider l'État

Charles Hoffmann a en outre insisté sur le fait qu'il a tout fait pour aider l'État. La présidente a alors fait remarquer que le SREL aurait pu tout faire pour que rien n'apparaisse au grand jour. «Qui aurions-nous dû protéger? Nous n'avions personne à protéger», a répliqué le témoin.

Dans la deuxième partie de la séance, il a été question de Stay Behind. Charles Hoffmann s'est dit «un peu surpris» lorsqu'en 1990, le Premier ministre avait donné l'ordre de démanteler le réseau. Les agents auraient été contactés pour rendre leur matériel. Or l'ancien directeur ne sait pas où sont passés les documents du «Plan» qui font défaut aujourd'hui. «Je n'ai demandé à personne de tout détruire», précise-t-il. Il confirme par ailleurs que les membres du «Plan» ont uniquement effectué des exercices d'infiltration et exfiltration dans le pays.

Prinz Jean gibt Pressekonferenz
Price Jean donne une conférence de presse

http://www.wort.lu/de/view/prinz-jean-gibt-pressekonferenz-53688447e4b0c1eb30fa56b9#.U2iHxVa195E.twitter

qui s'excuse, s'accuse?
seulement des "embedded" journalos sont invités
"Prinz Jean lädt [nur] ausgewählte Journalisten zu einem Pressetermin ein"
ah, ça promet déjà bien des choses même avant cette "con-férence*

NB
"Embedding' journalists is now the standard method for reporting conflicts. But what makes a good story might not be the right story"  Patrick Cockburn