Vague d'attentats au Luxembourg

La privatisation du service public étendue à l'espionnage ... cela semble correspondre au prince Jean qui a fait partie de la "Grace Commission" ...


Voir à partir de la page 38 de

Spies for Hire: The Secret World of Intelligence Outsourcing

By Tim Shorrock


http://books.google.be/books?id=qTnGl9nmNw8C&printsec=frontcover&dq=Timothy+Shorrock&hl=en&sa=X&ei=N2m3UcfMBbTW0gHenIHIDQ&redir_esc=y#v=onepage&q=Timothy%20Shorrock&f=false

Et si on voit trop?
Une petite réflexion sur  Booz Allen et le Prince Jean

Toute cette discussion ici sur Booz Allen me fait penser au corporatisme americain et surtout à ce qu'on appelle dans la terminologie anglosaxone le  "control fraud" et "revolving door politics";

en tout court: il s'agit de la corruption ou fraude "légale" endemique voire chronique au pays des yankees mais aussi bien présente dans les pays de la communauté européenne. Comme ca on retrouve par "hasard" of course un "ancien"  partenaire (partner) de Goldman Sachs, qui a été dans sa fonction de"banquier" un architecte de la faillite postérieure grecque, comme chef de la banque centrale européene. Honi soit qui mal y pense!

Le lien ici avec le prince et Booz Allen?
Il ne faut pas aller chercher trop loin. Corporatisme , politique et les services de renseignements US, le tout se mélange pour (comme je viens de le décrire).
Pour être plus clair; si vous voulez trouver des ramifications entre le corporatisme et les services de renseignments américain, vous n'allez pas tarder à vous ennuyer: c'est plein de telles magouilles.

Ca n'empêche néanmoins pas que certaines boîtes US sont plus impliquées dans cette "corruption légale". Et Booz Allen? J'en sais pas, mais même si c'est le cas il faut se méfier à trop voir dedans!

Revolving door politics
http://en.wikipedia.org/wiki/Revolving_door_(politics)

Control fraud
https://www.youtube.com/watch?v=j3iQHplnfT8
http://en.wikipedia.org/wiki/Control_fraud

.

Le prince Jean a travaillé pour J. Peter Grace, puis pour Booz Allen...

Il est impossible qu'il ne sache rien des services secrets américains.

Il faut donc conclure qu'il a menti au tribunal ... ce qui est très grave.


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J. Peter Grace has a long history of involvement in CIA-linked projects, such as the American Institute for Free Labor Development (AIFLD). In addition, he was involved with the CIA-backed Radio Free Liberty and Radio Free Europe projects in Europe, and Grace representative Francis D. Flanagan belonged to International Telephone and Telegraph's (IT&T) "Ad Hoc Committee on Chile" during the l973 overthrow of Salvador Allende in Chile. IT&T had CIA backing for its efforts against the Allende government.


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http://articles.chicagotribune.com/1991-12-16/business/9104230128_1_head-of-commercial-banking-first-american-bankshares-booz-allen-hamilton

(...) Booz Allen & Hamilton is teaming up with former Secretary of State Henry Kissinger to focus on problems and opportunities arising from the so-called new world order.

The giant consulting firm has formed an international advisory board to study the impact of government changes on business in the former Soviet bloc, Latin America, China and Southeast Asia. Kissinger is the board`s chairman.

Booz Allen and Kissinger Associates also signed a ``cooperative agreement`` to provide consulting services for government-owned companies being privatized in countries such as Mexico, Poland, Hungary, Czechoslovakia and the former East Germany.

``We also want to work with our clients who might be interested in investing in these new companies,`` says Cyrus F. Freidheim Jr., vice chairman of Booz Allen.

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http://articles.baltimoresun.com/2008-05-23/business/0805220251_1_carlyle-intelligence-budget-booz-allen

May 23, 2008

(...) On her blog, The Spy Who Billed Me, journalist and novelist R.J. Hillhouse used conference information to figure that the U.S. intelligence budget is $60 billion - almost a fourth higher than people thought.

The question now for Maryland and other regions swimming in the money is: How long can it continue? The apparent answer from the politically connected Carlyle Group: A while.

Washington-based Carlyle is buying a majority stake in Booz Allen's government contracting arm, which does secret work for the National Security Agency at Fort Meade and has been called "the shadow intelligence community," for $2.5 billion.

"We like it and think budgets will continue to grow," Peter Clare, head of Carlyle's aerospace and defense business, says of the kind of high-tech intelligence and security work that Booz does. "We'd like to invest further in this area."

(...)

Intéressant article dans Marianne Edition belge de ce samedi ...

Un rappel du fait que plusieurs prête-noms belges de Léon-François Deferm apparaissent dans les grandes affaires judiciaires de ces 25 dernières années (si pas plus) :

Michel Vander Elst, Philippe Cravate, Claude Scailquin, Gérard Martin, Jean-Philippe Lautraite ...

Michel Vander Elst est l'éminence grise de Deferm et l'architecte de ses montages financiers ...

Il n'est pas fait mention de Félix Przedborski mais il ne devrait pas être loin.

Reste une question ouverte : y a-t-il un lien entre Félix Przedborski et James Pavitt qui ont été en poste à Vienne à la même époque ?

Pavitt était le chef de la station de la CIA à Luxembourg à l'époque du Bommeleeër ...

Au sujet de J. Peter Grace :

http://www.thefreelibrary.com/J.+Peter+Grace+-+Business+Executive,+leading+Catholic+layman,+Advisor...-a016836280

(...) Mr. Grace was chairman of Radio Free Europe/Radio Liberty Fund Inc., a member of the Council of Foreign Relations Inc.; a Founding Member of the Emergency Committee for American Trade; a Member of the Development committee of the National Bureau of Economic Research Inc. and a Trustee of the United States Council for International Business. (...)

Voir :

http://digitalarchive.wilsoncenter.org/collection/104/Radio-Free-Europe-and-Radio-Liberty

Radio Free Europe and Radio Liberty

Nous entrons là dans le domaine de Frank Wisner et de l'OPC ...

Grace representative Francis D. Flanagan belonged to International Telephone and Telegraph's (IT&T) "Ad Hoc Committee on Chile" during the l973 overthrow of Salvador Allende in Chile. IT&T had CIA backing for its efforts against the Allende government.


Death in Washington: The Murder of Orlando Letelier

Donald Freed, Fred Simon Landis
Lawrence Hill, 1980 - 254 pages

In an interesting coincidence, while the Carlyle/BDM subsidiary Vinnell Corp was training the Saudi Arabian National Guard, SAIC was training the Saudi Navy and bringing Saudi military personnel to company headquarters in San Diego for further study. Simultaneously, Booz Allen Hamilton was managing the Saudi Marine Corps and running the Saudi Armed Forces Staff College.

Tim Shorrock, Spies for Hire, Simon and Schuster, 2008

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L'article de journal me semble très intéressant... Vu le CV du prince Jean, je pense la même chose ...


Spies for Hire: The Secret World of Intelligence Outsourcing
Par Tim Shorrock

Quelques extraits :






(...)





(...)

http://www.luxprivat.lu/Archiv/edition_368/Prinz-Jean-war-der-ideologische-Kopf-der-Bommeleeer2

Quelques autres extraits de

Spies for Hire: The Secret World of Intelligence Outsourcing
Par Tim Shorrock





(...)

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@Victory: Mais non, vous n'êtes toujours pas arrivé à la famille gd. comme la défense et luxprivat le prétendent ! Je n'ai aucune idé, d'où la défense tient l'info qu'un des princes aurait participé à la conférence de la WACL ! Elle me semble être fausse !!! Les faucons du CSV étaient présent ! Le premier ministre Werner avait prévu de tenir un discours. Mais au vu des réactions dans l'opinion publique, il aurait laissé tomber. Mais tout cela est largement connu depuis des années.Je constate que le forum se reproduit et que les recherches piétinnent. On ne sait toujours rien de plus sur les activités réelles de la LIL/WACL à Luxembourg, les congrès mis à part ! La WACL était une vitrine, un salon de débat et non pas le lieu aproprié pour prendre des décisions conspiratives et certainement pas le cadre pour planifier ou exécuter les actions des Bommeleeër.

deleted by user

Je ne crois pas que des actions concrètes - et illégales - sont discutées à la tribune ... que ce soit à la WACL ou au Bilderberg.

Une analogie possible : lors des funérailles de Franco, à Madrid, le 20 novembre 1975, Stefano delle Chiaie  rencontre Manuel Contreras (DINA) ainsi que Pinochet afin de préparer un attentat contre Carlos Altamirano, le chef du Parti socialiste chilien. Il croise aussi, lors de cet enterrement, Yves Guérin Sérac qui a mis en place l'Aginter Press dans le Portugal de Salazar et qui a émigré en Espagne après la « révolution des œillets » d'avril 1974. Il a pu y rencontrer Léon Degrelle. Bernard Mercier et Jean Bougerol étaient eux aussi présents.

Par ailleurs, quelqu'un comme John Singlaub était orienté vers l'action !

Washington's War on Nicaragua
Par Holly Sklar

Ce que VictoryII dit plus haut se retrouve aussi sur

http://www.land.lu/2013/06/07/nuisibles%E2%80%A9/

(...)  la succession de Charles Hoffmann. Ce dernier, tout au long de son règne – 18 ans – se focalisa davantage sur des missions internationales que sur le volet luxembourgeois, en jouant notamment le sous-marin des services de renseignement américains dans des pays peu fréquentables comme l’Afrique du Sud au temps de l’apartheid ou des dictatures d’Amérique du Sud.  (...)

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J'ai l'impression qu'il y a ici encore des problèmes de loyauté qui semblent parfois difficiles à gérer quand il s'agit de pays "alliés". Pour être clair : est-on loyal vis-à-vis d'un service secret étranger et allié ou envers ses concitoyens ? Pas si évident lorsque des concitoyens très importants semblent avoir fait le choix en faveur du service secret étranger.

On retrouve des problèmes de ce genre dans le reportage suivant :

https://www.youtube.com/watch?v=UUv-uoR_7lM

avec Paul Dickopf. Faut-il le qualifier de "traître" ?

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Je pense aussi au prince Jean qui semble nier tout contact avec la CIA.

Cela me semble très peu crédible pour quelqu'un qui a travaillé avec J. Peter Grace (lien Flick) et pour Booz Allen (lien Kissinger).

S'il n'a pas dit la vérité au tribunal, est-ce parce que la défense de services étrangers mais "alliés" lui semble plus importante qu'un serment devant un tribunal luxembourgeois ?

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Des cas de ce genre se rencontrent souvent dans les dossiers qui nous intéressent.

Des membres du WNP ont pu honnêtement croire qu'ils travaillaient pour leur pays.

Des gens qui ont obéi à John Singlaub ont pu croire qu'ils obéissaient à William Casey, le patron de la CIA (et ami de très longue date de John Singlaub), et donc au président Ronald Reagan ... alors que ce qu'on leur demandait était illégal.

Il est intéressant aussi de voir l'admiration "béate" de quelqu'un comme Guillaume Vogeleer (reportage sur Youtube) face à des anciens combattants américains du Vietnam.

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Quand on propose à quelqu'un un projet semblable à celui de l'opération Northwoods, va-t-il accepter ou refuser ? Lyman Lemnitzer a accepté, J-F Kennedy a refusé.

Je crois que nous allons rencontrer un autre cas difficile : celui de Jacques Santer.

Il retient mon attention car il a voulu avoir à son service Pierre Eveillard, pourtant inquiété dans une histoire de contrat avec la firme Securitas. Comment a-t-il pu connaître son existence ? Pierre Eveillard est au centre du schéma de Paul Latinus ...

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Jacques Santer, président du gouvernement de 1984 à 1989, puis Premier ministre du Grand-duché de Luxembourg de 1989 à 1995. Il présida la Commission européenne de 1995 à 1999, et dut démissionner dans un scandale de népotisme et de corruption. En 2000, il entra au conseil d’administration de General Mediterranean Holding, la holding de l’agent britannique Nadhmi Auchi.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Nadhmi_Auchi

(...) Une assistante (Sabine de la Laurencie) travaillant pour Bernard Guillet, le conseiller diplomatique de Charles Pasqua, a évoqué devant le juge Philippe Courroye et la presse des sommes d'argent liquide données par Nasir Abid, le bras droit de Nadhmi Auchi, à destination du RPF ou de ses associations satellites (type AFAO). Plus précisément, il aurait remis des mallettes d'argent liquide à Natalia Katliarova et Sabine de La Laurencie, collaboratrices de Bernard Guillet, conseiller diplomatique de Charles Pasqua et animateur de plusieurs associations gravitant autour de Demain la France et du RPF.

Financement occulte du RPR ? - Dans son livre paru en octobre 2001, Affaire Elf, affaire d'État (Le Cherche Midi éditeur), Loïk Le Floch-Prigent évoque "des liens à éclaircir" entre Nadhmi Auchi et le RPR, évoquant notamment un homme d'affaires français, Patrick Maugein. "Si la justice voulait vraiment enquêter sur les fonds qu'aurait distribués Auchi, elle tomberait peut-être sur le RPR que présidait Jacques Chirac", écrit-il sans préciser davantage.

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Pour qui roulait Jacques Santer ? Envers qui était-il loyal ?

http://www.liberation.fr/societe/2001/04/20/les-confidences-d-une-assistante_361841

Une autre famille intéressante : celle des Pays-Bas ..

http://fr.wikipedia.org/wiki/Constant%C4%B3n_des_Pays-Bas

Le prince Constantin des Pays-Bas

Après avoir étudié le droit à l'université de Leyde aux Pays-Bas, où il obtient un master en 1995, le prince travaille à Bruxelles auprès du commissaire européen Hans van den Broek de 1995 à 1999.

Il complète ses études en décrochant en 2000 un MBA à l'INSEAD de Fontainebleau en France, avant d'effectuer un stage au sein de la Société financière internationale, agence de la Banque mondiale à Washington.

En 2001, après son mariage, il s'installe à Londres où il travaille pour le cabinet de conseil Booz Allen et Hamilton (Associate Analyst) jusqu'en 2003. Il rejoint Bruxelles en 2004, où il est chef de cabinet adjoint, puis en 2013, chef de cabinet de Neelie Kroes, commissaire européen. tout en travaillant pour RAND Europe.

De 2003 à 2010, il est en outre conseiller auprès du ministère néerlandais des Affaires étrangères.

Booz Allen & Hamilton

dans

American War Machine: Deep Politics, the CIA Global Drug Connection, and the ...
Par Peter Dale Scott






(...)

Sur la famille Flick (proche de la famille Grace, pour qui le prince Jean a travaillé) ...

Hitler, le pouvoir et l'argent: Au coeur du financement du Reich et de la ...
Par Gérard Chauvy










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Il est question de cette réunion dans

http://en.wikipedia.org/wiki/Kurt_Schmitt

(...)  Allianz's leadership, represented by directors Kurt Schmitt and Eduard Hilgard, led a policy of drawing nearer to the Nazis, even before they seized power. Already in October 1930, ties were forged with Hermann Göring. These contacts were realized through company dinners and by providing private financial loans. Heinrich Brüning and Franz von Papen tried without success to get Schmitt a ministerial office.

Schmitt, who was also General Director of the Stuttgart Social Insurance Corporation (Stuttgarter Verein-Versicherungs AG) by 1931 (5), was included in Hjalmar Schacht's objectives in mid-1931.

On 18 December 1932 he participated in a meeting of the Circle of Friends of the Economy (Freundeskreis der Wirtschaft), or Circle of Twelve (Zwölferkreis) at the Berlin Kaiserhof, where the Nazi Party agreed to lend its support. Schmitt now had closer relations with the Nazi leadership and on 20 February 1933, he, along with Hermann Göring, took part in a meeting that Adolf Hitler had with German industrialists, at which Schmitt made an election campaign donation to the Nazis of RM 10,000. In early 1933, Schmitt joined the Nazi Party (membership no. 2,651,252). He likewise took over the posts of Vice President of the Berlin Chamber of Industry and of the Chamber of Commerce in 1933.

Meanwhile, Schmitt was convinced that the National Socialists could deal with the problem of joblessness if the economy was led by people like him. Furthermore, he held Hitler to be a great statesman and believed that over time, the Führer would grow to become less radical. Moreover, he had a latent anti-Semitic attitude, which Gerald D. Feldmann describes as follows: "Schmitt shared the belief that Jews were overrepresented within the academic professions, and that the rôle that they played in politics, law, and the arts would have to be greatly limited, if not utterly eliminated. He believed, however, that they were entitled to a place in German economic life, and made it into a maxim of his year in office as Reich Economy Minister that there was no "Jewish question in the economy".(2)

On 30 June 1933 Schmitt was appointed Reich Economy Minister, succeeding Alfred Hugenberg, and he also took on honorary membership in the SS (no. 101,346). In August 1933 he took the function of Prussian Plenipotentiary in the Reich Government. In October of the same year he was appointed to the Prussian State Council. The Academy for German Law also took him on as a member.

(...)

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Voir aussi

http://www.multinationalmonitor.org/hyper/issues/1984/12/strawn.html

 

Au sujet de Booz Allen Hamilton (où a travaillé le prince Jean de Luxembourg ... et le prince Constantin des Pays-Bas ) :

La machine de guerre américaine
Par Peter Dale Scott






(...)









(...)

Sur Booz Allen Hamilton, voir aussi :

http://www.dailycensored.com/booz-allen-hamilton-helping-the-government-insure-domestic-tranquility/

Booz Allen Hamilton: “helping the government insure domestic tranquility” — Edward Snowden

(...)

Companies like Booz Allen Hamilton have combed the world’s continents looking for violence and war from which to profit handsomely.  The carnage they have left behind and the toll in human lives is unfathomable.

Donald Rumsfeld, a close friend of the PMCs and the PICs, escalated their use during the Iraq war in the decade of 2000.  Firms, like Booz Allen Hamilton, were involved at this time in such scandals and butchery as Iraq Abu Ghraib, the killing and burning of four contractors in Fallujah and the killing in 2007 of eight Iraqi civilians following a car bombing, to mention just a few.

(...)

Booz Allen Hamilton is actually a very old and semi-secretive company. It has been in business for 99 years. It was founded in 1914 by Edwin Booze, as a management consultant, i.e. the company specialized in advising companies on how to improve their processes and activities to be more productive.  However, it was during the Second World War when Booz Allen enjoyed its greatest growth.  For this is when it started collaborating with the U.S. Army. The long decades of the Cold War and constant spying on the enemy enabled Booz to become one of the leading consultants in the United States.  Currently, Booz Allen Hamilton is a government contractor, with 99% of its revenue coming from the US government (http://www.dailypaul.com/290258/booz-allen-hamilton-what-you-dont-know-about-snowdens-fomer-employer).

(...)

The following was reported at Daily Paul, online on June 24th, 2013:

“Among the individuals involved in running the company, we have:

James Clapper – current Director of National Intelligence (DNI), head of NSA, the man who lied to Congress about the fact that NSA is actively spying on Americans, is a former executive

Mike McConnell – a current executive of the company, had Clapper’s job (DNI) during George W. Bush’s administration (keep it in the family, eh?) — he worked for Booz Allen before Bush, then worked for Bush, then back to Booz Allen after Bush

James Woolsey – former CIA Director, current executive (see Jan Helfeld’s interview of Mr. Woolsey where it becomes clear that Woolsey has no interest in discussing principles, only war)

Melissa Hathaway – former executive, also worked for McConnell during the Bush administration

Ian Brzezinski – former executive, son of Zbigniew Brzezinski, co-founder of the Trilateral Commission with David Rockefeller, central figure in the NWO crowd, and mastermind of Operation Cyclone

Dov Zakheim – this character is … unbelievable:

1993 – His company, System Planning Corporation, had a subsidiary called Tridata Corporation, which was the company that “oversaw” the investigation of the 1993 WTC bombing

2000 – Part of the neo-con Project for a New American Century, he is co-author of “Rebuilding America’s Defenses,” in which he is credited with the infamous line, “… some catastrophic and catalyzing event – like a new Pearl Harbor.”

2001 – He is appointed Comptroller of the Pentagon, in which $2.3 trillion promptly goes “missing” (http://www.dailypaul.com/290258/booz-allen-hamilton-what-you-dont-know-about-snowdens-fomer-employer).

These are the death merchants who trade in entrepreneurial violence at taxpayer expense while aggrandizing themselves and making millions if not billions from public funds.

According to the Spanish newspaper El Mundo:

“67% of the company is controlled by the private equity fund Carlyle. Carlyle, whose offices are in the Georgetown neighborhood in Washington, is led by billionaire and philanthropist David Rubenstein (a former adviser to Jimmy Carter), who is paying out of pocket half of the bill for the reconstruction of the Washington Monument, which was damaged in the earthquake of Washington, 2011 (the rest are borne by the State). His advisers, managers and investors, especially in the past, are George Bush ‘father’, the bin Laden family, former British Conservative Prime Minister John Major and former U.S. Secretary of Defense Frank Carlucci.

The former director of the CIA under Bill Clinton (who later switched to the Republican Party), James Woolsey, was vice president of Booz Allen for a time. Now, that position is held by Mike McConnell, Director of National Intelligence, that is, the person who coordinates the 50 U.S. intelligence agencies, which have an annual budget of 80,000 million (60,000 million euros). For comparison, that’s 10 times what Spain spends his entire defense.
And the current Director of National Intelligence, retired Lt. Gen. James Clapper? He also was director of Booz Allen” (http://www.elmundo.es/america/2013/06/10/estados_unidos/1370889794.html).

The Carlyle Group bought Booz Allen for 910 million dollars in 2010. Now, Carlyle’s share is worth 1,660 million dollars.  The publicly traded shares of the company, is only 30%. But the shares have appreciated by 50% since March 2013.
Like any other company in the hands of vulture capitalists, Booz Allen Hamilton is very generous with its shareholders. This is logical, because the ‘equity’ is the ultimate example of financial capitalism pure and simple. It is no coincidence that Gordon Gekko (bad, starring Michael Douglas in ‘Wall Street’ by Oliver Stone) and Edward Lewis (Richard Gere’s character in ‘Pretty Woman’) are directors of such investment vehicles.

(...)

In 1953 Booz Allen Hamilton was hired by the U.S. government to study and reorganize land ownership records in the Philippines in support of the counterinsurgency program there directed by CIA officer Edward Lansdale (Shorrock, Tim, Spies for Hire: The Secret World of Intellignece Outsourcing (New York, Simon and Schuster, 2008), 40, 41).

In the 1950’s the company also supplied a temporary home and nonofficial cover for the legendary CIA operative Miles Copeland, who later would act as a case officer for CIA asset and ‘cut-out’, arms dealer, Adnan Khashoggi (Summers, Anthony with Swann, Robbyn, The Arrogance of Power: The Secret World of Richard Nixon (New York, Viking, 2000), 244-245 ).

By 2006, according to Scott, the ‘private intelligence contractor’ (PIC) had 18,000 employees worldwide, including, (according to Information Week in 2002) more than one thousand former intelligence officers on its staff (Shorrock, Spies for Hire, 43, citing Information Week, February 25, 2002).



But even more, the PIC found a strong ally in the person of Defense Secretary Donald Rumsfeld, under the illegal regime of US president, George W. Bush.

(...)