Vague d'attentats au Luxembourg

RTL montre enfin le mini interview avec Dislaire sous le titre "témoin intéressant"

play time minutes 14- 17

http://tele.rtl.lu/emissiounen/de-journal/3013797.html

Je laisse aux autres participants de réagir au témoignage de M. Dislaire.
Je voudrais donner une précision par rapport à ce qu'écrit wort.lu et par rapport au tömoignage de l'enquêteur Scheuer

In Wahrheit verfügte die Luxemburger Armee nie über Kommando-Einheiten im wahren Sinne des Wortes. Der Bericht eines ehemaligen Armeeangehörigen, der im April 2013 im Rahmen einer Artikelserie im Luxemburger Wort seine Erlebnisse während des „Oesling 85“-Manövers schilderte, zeigen, wie diese Übungen in der Realität aussahen. Er nahm mit einer zehn Mann starken Truppe an derartigen „Kommandoübungen“ teil, eine Bezeichnung, die er später als „etwas zu hoch gegriffen“ empfand, da seiner Aussage nach der Sinn dieser Einsätze darin bestanden habe „im Hinblick auf das anstehende Manöver die Belastungsfähigkeit der einzelnen Soldaten zu testen“. Zwar wurden tatsächlich Ziele wie Sendemasten „angegriffen“, doch die „Sprengladungen“ bestanden aus Lebensmittelrationen, die als Attrappen genutzt worden seien. Besondere Fertigkeiten in Spreng- und Sabotagetechniken, die über jene, welche in der Infanteriegrundausbildung vermittelt wurden, habe man nicht geübt. a écrit:

Eh ben ceci est tout simplement FAUX ! Les médias et la justice ne voient que l'écran de fumé qui a été érigé dans le cadre des exercices Oesling !

Oui, des soldats normaux s'entraînaient dans le cadre de ces manoeuvres avec les Special Forces ! Mais ces entraînements servaient de COUVERTURES pour des actions plus secrets !

Le but principale de la manoeuvre consistait du côté luxembourgeois dans l'entraînement d'une unité dont la justice (y compris la défense) ignore jusqu'à aujourd'hui l'existence !

Une unité dont les responsables militaires et politiques nient jusqu'à aujourd'hui l'existence !

Et il ne faut pas confondre cette unité spéciale avec les jeunes blanc-becs qui ont joué à la cachette dans le cadre des exercices Oesling !

Moi, je parle des soldats sélectionnés parmis les meilleures de l'armée qui sont alllés préparer les exercices Oesling en Ecosse avec les Special Forces. Ceux qui ont été parachutés en basse altitude au-dessus du Luxembourg avec leurs collègues US avec des explosifs et des munitions de guerre dans leur sac à dos !

Les médias luxembourgeois RTL Radio et Radio 100,7 ont rapporté des témoignages qui rejoignent mes recherches et qui sont très claires , le Luxembourg disposait d'une unité secrète spécialisé dans la guerre subversive / psychologique !

titu a écrit:

Je laisse aux autres participants de réagir au témoignage de M. Dislaire.
Je voudrais donner une précision par rapport à ce qu'écrit wort.lu et par rapport au tömoignage de l'enquêteur Scheuer



Eh ben ceci est tout simplement FAUX ! Les médias et la justice ne voient que l'écran de fumé qui a été érigé dans le cadre des exercices Oesling !

Oui, des soldats normaux s'entraînaient dans le cadre de ces manoeuvres avec les Special Forces ! Mais ces entraînements servaient de COUVERTURES pour des actions plus secrets !

Le but principale de la manoeuvre consistait du côté luxembourgeois dans l'entraînement d'une unité dont la justice (y compris la défense) ignore jusqu'à aujourd'hui l'existence !

Une unité dont les responsables militaires et politiques nient jusqu'à aujourd'hui l'existence !

Et il ne faut pas confondre cette unité spéciale avec les jeunes blanc-becs qui ont joué à la cachette dans le cadre des exercices Oesling !

Moi, je parle des soldats sélectionnés parmis les meilleures de l'armée qui sont alllés préparer les exercices Oesling en Ecosse avec les Special Forces. Ceux qui ont été parachutés en basse altitude au-dessus du Luxembourg avec leurs collègues US avec des explosifs et des munitions de guerre dans leur sac à dos !

Les médias luxembourgeois RTL Radio et Radio 100,7 ont rapporté des témoignages qui rejoignent mes recherches et qui sont très claires , le Luxembourg disposait d'une unité secrète spécialisé dans la guerre subversive / psychologique !

 

"Ces entraînements servaient de couverture"...unité secrète spécialisée dans la guerre subversive/psychologique...
Dont le but était???
Eviter la mise en place d'une coalition politique non conforme aux intérêts de l'OTAN?
Dans le contexte de confrontation Est-Ouest de 1984-85 (Euromissiles?)

Dont le but était le combat derrière les lignes ennemies en cas d'occupation soviétique. Et il existe un terme pour cette stratégie: STAY BEHIND !

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http://www.lequotidien.lu/bommeleer/56063.html

Pas de rapport entre Vielsalm et le Bommeleeër

2014-05-07 09:03:00

Le témoin Lucien Dislaire n'a pas livré d'éléments qui permettent de lier l'attaque contre la caserne de Vielsalm aux attentats au Luxembourg.


À la demande de la défense, le témoin Lucien Dislaire était appelé à la barre, hier, lors de la 162e séance du procès Bommeleeër. Il a été interrogé sur le rapport entre l'attaque contre la caserne de Vielsalm (B) et les attentats à la bombe au Grand-Duché. Ses déclarations étaient en partie confuses.

En 2012, Lucien Dislaire a publié un livre intitulé La Nuit des commandos, dans lequel il revient sur l'attaque contre la caserne de Vielsalm (B) où l'officier adjudant Fresches avait été abattu. Lui-même avait été inculpé pour cette affaire; au bout de huit ans, un non-lieu avait été prononcé.

L'attaque contre la caserne a eu lieu dans la nuit du 12 au 13 mai 1984, soit deux semaines avant le premier attentat perpétré au Grand-Duché : l'attaque contre le pylône de Beidweiler le 30 mai 1984.

«Quel est le lien entre l'attaque contre la caserne de Vielsalm et l'affaire du Bommeleeër?», voulait savoir du témoin la présidente de la chambre criminelle, Sylvie Conter, hier. La défense, quant à elle, rappelle qu'à la même époque avait eu lieu la manœuvre «Ösling 84».

Lucien Dislaire explique avoir relié l'attaque contre la caserne et l'affaire Bommeleeër, car lors de la manœuvre «Ösling 84», les commandos avaient été formés à des opérations de destruction. Lors de cette manœuvre, il y avait également eu un groupe de commandos luxembourgeois. Le témoin se demande d'ailleurs pourquoi ces derniers n'ont jamais été interrogés.

D'après lui, ceux qui ont participé à l'opération «Ösling 84» avaient donc les connaissances pratiques et techniques pour faire sauter les pylônes au Luxembourg.

C'est Lucien Dislaire qui avait transporté la nuit les auteurs de l'attaque à la caserne de Vielsalm. Il ne les a toutefois pas interrogés. «Quand on me demande quelque chose au niveau militaire, je ne pose pas de questions», précise-t-il.

Au cours de la séance, le témoin a fini par ajouter qu'il ne possédait aucun élément qui pourrait rattacher les Belges ou les forces américaines aux événements qui ont eu lieu au Luxembourg. Il a également indiqué ne pas savoir si des membres du SREL avaient participé à la manœuvre Ösling.

Lucien Dislaire a par ailleurs rejeté la déclaration de l'ancien Premier ministre Jacques Santer, selon laquelle les commandos luxembourgeois n'auraient pas été aussi bien formés. Selon le témoin, la formation était identique pour tout le monde.


L'observation du Conseil d'État fin octobre 1985

Le procureur général d'État adjoint, Georges Oswald, a fini par citer une récente déclaration écrite de Lucien Dislaire d'après laquelle la manœuvre Ösling n'aurait rien à voir avec l'attaque de la caserne et l'affaire du Bommeleeër. Ce que le témoin a confirmé. Le rapprochement dans le temps entre l'attaque sur la caserne et le premier attentat au Luxembourg le gênerait toutefois un peu.

En fin de séance, l'enquêteur Joël Scheuer est revenu sur l'observation sur le Conseil d'État. Comme 35 autres bâtiments, il aurait bien été surveillé. Durant la période d'observation (du 26 octobre au 4 novembre 1985), aucun élément marquant n'aurait toutefois été décelé. Sylvie Conter, quant à elle, a rappelé que le témoin Jean Kuffer avait parlé d'une observation de la pelouse à l'arrière du palais de justice et non du Conseil d'État en lui-même. Les enquêteurs ont indiqué poursuivre l'enquête.

Le procès continue aujourd'hui avec l'audition de Marco Mille, le directeur du SREL entre 2003 et 2010.

Lucien Dislaire a déclaré : «Quand on me demande quelque chose au niveau militaire, je ne pose pas de questions».

Cela fait penser à la fameuse expérience de soumission à l'autorité de Stanley Milgram, reprise dans l'excellent film de Verneuil "I comme Icare" :

https://www.dailymotion.com/video/x3eeae_i-comme-icare-milgram_news

L'insolite métamorphose "du témoin intéressant" au "témoin ancien mercenaire au Kongo[subliminal-tueur?]"de RTL ; ça leur a pris moins que 24 heures!

de plus je constate encore une fois que RTL raconte encore une fois leur propre histoire des faits des séances au tribunal...

at Titu

si vous avez des preuves pour votre hypothèse pourquoi pas publier une lettre ouverte ici dans le forum et même l'envoyez à la troika?

comme je connais la défense, ils vont se régaler ....

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http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=dmf20140506_00472362

Mise à jour : mercredi 07 mai 2014 07h00

GRAND-DUCHÉ - Judiciaire

Pas de rapport entre Vielsam et le Bommeleeër


Le témoin Lucien Dislaire ne livre pas d’éléments qui permettent de relier l’attaque sur la caserne de Vielsalm avec les attentats au Luxembourg.


À la demande de la défense, le témoin Lucien Dislaire était appelé à la barre, hier lors de la 162e séance du procès Bommeleeër. Il a notamment été interrogé sur le rapport entre l’attaque sur la caserne de Vielsalm (B) et les attentats à la bombe au Grand-Duché. Ses déclarations étaient en partie confuses.

En 2012, Lucien Dislaire a publié un livre intitulé La Nuit des Commandos, dans lequel il revient sur l’attaque sur la caserne de Vielsalm (B) où l’officier adjudant Fresches avait été abattu. Lui-même avait été inculpé pour cette affaire; au bout de huit ans, un non-lieu avait été prononcé.

L’attaque sur la caserne a eu lieu dans la nuit du 12 au 13 mai 1984, soit deux semaines avant le premier attentat perpétré au Grand-Duché: l’attaque contre le pylône de Beidweiler le 30 mai 1984.

«Quel est le lien entre l’attaque sur la caserne de Vielsalm et l’affaire du Bommeleeër?», voulait savoir du témoin la présidente de la chambre criminelle, Sylvie Conter, hier. La défense, quant à elle, rappelle qu’à la même époque avait eu lieu la manœuvre «Ösling 84».

Lucien Dislaire explique avoir relié l’attaque sur la caserne et l’affaire Bommeleeër, car lors de la manœuvre «Ösling 84», les commandos avaient été formés à des opérations de destruction. Lors de cette manœuvre, il y avait également eu un groupe de commandos luxembourgeois. Le témoin se demande d’ailleurs pourquoi ces derniers n’ont jamais été interrogés.

D’après lui, ceux qui ont participé à l’opération «Ösling 84» avaient donc les connaissances pratiques et techniques pour faire sauter les pylônes au Luxembourg.

C’est Lucien Dislaire qui avait transporté la nuit les auteurs de l’attaque à la caserne de Vielsalm. Il ne les a toutefois pas interrogés. «Quand on me demande quelque chose au niveau militaire, je ne pose pas de questions», précise-t-il.

Au cours de la séance, le témoin a fini par ajouter qu’il ne possédait aucun élément qui pourrait rattacher les Belges ou forces américaines aux événements qui ont eu lieu au Luxembourg. Il a également indiqué ne pas savoir si des membres du SREL avaient participé à la manœuvre Ösling.

Lucien Dislaire a par ailleurs rejeté la déclaration de l’ancien Premier ministre Jacques Santer, selon laquelle les commandos luxembourgeois n’auraient pas été aussi bien formés. Selon le témoin, la formation était identique pour tout le monde.

L’observation du Conseil d’État fin octobre 1985

Le procureur général d’État adjoint, Georges Oswald, a fini par citer une récente déclaration écrite de Lucien Dislaire d’après laquelle la manœuvre Ösling n’aurait rien à voir avec l’attaque de la caserne et l’affaire du Bommeleeër. Ce que le témoin a confirmé. Le rapprochement dans le temps entre l’attaque sur la caserne et le premier attentat au Luxembourg le gênerait toutefois un peu.

En fin de séance, l’enquêteur Joël Scheuer est revenu sur l’observation sur le Conseil d’État. Comme 35 autres bâtiments, il aurait bien été surveillé. Durant la période d’observation (du 26 octobre au 4 novembre 1985) aucun élément marquant n’aurait toutefois été décelé. Sylvie Conter, quant à elle, a rappelé que le témoin Jean Kuffer avait parlé d’une observation de la pelouse à l’arrière du Palais de justice et non du Conseil d’État en lui-même. Les enquêteurs ont indiqué poursuivre l’enquête.

Le procès continue aujourd’hui avec l’audition de Marco Mille, le directeur du SREL entre 2003 et 2010.

http://www.lequotidien.lu/bommeleer/56116.html

Mille expose son hypothèse

2014-05-08 09:26:00

Selon la théorie de Marco Mille, l'ancien ministre Emile Krieps (DP) est l'une des têtes de l'organisation des attentats. Il cite aussi le nom de Ben Geiben.

De notre journaliste
Fabienne Armborst

C'est en se basant sur un certain nombre de faits historiques que Marco Mille, ancien directeur du SREL (2003-2010), a exposé, hier, lors de la 163e séance du procès Bommeleeër, son hypothèse concernant les attentats à la bombe des années 1980.

D'après l'hypothèse de Marco Mille, c'est sous la tutelle politique de l'ancien ministre Emile Krieps (DP) qu'a dû être formé le groupe d'organisation des attentats.

«Je suis formel : il n'y a pas eu de volet action dans le "Plan"», a déclaré Marco Mille, hier. Selon lui, une structure parallèle bien organisée et sous tutelle politique a pu effectuer les attentats. «Pourquoi les attentats se sont arrêtés, une fois la réforme de l'appareil de sécurité de l'État?», poursuit-il. Le SREL, quant à lui, n'aurait pas eu de raison d'attirer l'attention.

C'est un groupe bien formé et cohérent qui aurait, selon lui, perpétré les attentats. Et un tel groupe ne se serait pas formé en deux mois, mais sur plusieurs années. La théorie du témoin se base sur des faits historiques. De 1959 à 1984, soit 25 ans, deux ministres ont eu le contrôle sur tout le complexe de la Force publique. À l'exception d'une petite interruption, le contrôle politique était donc continu.

Dans les années 1950, le Stay Behind fait partie de l'armée luxembourgeoise. Lors de la création du SREL en 1960, le «Plan» devient une branche du service secret. Or, d'après le témoin, il est possible que l'unité ait poursuivi ses activités au sein de l'armée. «Que sont devenus les 40 membres du Stay Behind de l'époque de l'armée?», demande ainsi Marco Mille.


Aux côtés d'Emile Krieps, Ben Geiben

En 1978, Ben Geiben, qui a de bonnes relations avec Emile Krieps, crée la brigade mobile de la gendarmerie (BMG). Soit un an après que le SREL a dit que le «Plan» ne comportait pas de volet d'action. En 1982, Ben Geiben rédige un rapport dans lequel il propose un certain nombre de réformes au colonel Wagner. Le ministre Krieps n'aurait alors pas été content que le rapport n'ait pas été pris en considération. Puis, Ben Geiben démissionne peu de temps après la non-réélection d'Emile Krieps (mai 1984).

Le premier attentat de la série a eu lieu en mai 1984. Or, d'après Marco Mille, «quand l'organisation est en place, vous ne devez pas être forcément ministre (pour participer à de telles actions). Vos hommes ont le contrôle sur le bâti.»

Marco Mille rappelle également que le militaire (NDLR : Mario Schmitz) qui a transporté d'autres militaires en mission secrète en 1981 avait appelé le chef de l'armée lorsque l'opération avait mal tourné. «Si l'exercice avait fait partie du "Plan", il aurait appelé son instructeur.», note-t-il.

Toujours selon l'hypothèse de Marco Mille, l'organisation des attentats se serait faite sous la tutelle politique de l'ancien ministre Emile Krieps. Cette théorie replace également Ben Geiben dans le jeu. Même si l'exposition de cette théorie a occupé une bonne partie de la séance, Marco Mille a également été entendu sur d'autres points. En 2003, lors de la perquisition au SREL, il en faisait partie.

Vu l'état désorganisé des archives du SREL, cette perquisition n'avait pas été très fructueuse. À part un classeur intitulé «attentats et explosifs», les enquêteurs aidés par deux membres du SREL n'avaient pas trouvé grand chose. Selon Marco Mille, le service secret leur avait promis de faire suivre les informations qu'ils retrouveraient par la suite. Le témoin n'a pas non plus d'informations sur une possible action de destruction des documents du «Plan» suite à son démantèlement en 1990.

En ce qui concerne le rapport Kaudé réapparu en 2004, Marco Mille indique ne plus savoir où il se trouvait. Pour lui, les relations tendues entre le chef du SREL et de la gendarmerie peuvent expliquer que le document n'ait pas été transmis.

Le témoin est également revenu sur la théorie du SREL que le «Plan» pourrait avoir un lien avec le Bommeleeër. Le service de renseignement se base sur une recherche académique de l'historien suisse Daniele Ganser sur le réseau Stay Behind. D'après Marco Mille, son livre publié en 2004 reprend l'idée que le «Plan» puisse être en lien avec le Bommeleeër. L'auteur écrit qu'au Luxembourg, le thème du Stay Behind n'a jamais été éclairé. En parallèle, il y aurait eu une série de 20 attentats. Deux faits séparables. Mais dans d'autres pays, le Stay Behind aurait quand même été l'auteur de tels attentats. Voilà pourquoi, le SREL a considéré «l'hypothèse de Ganser comme valable».

Le procès se poursuit aujourd'hui avec l'audition de l'ancien ministre Luc Frieden et l'ancien président de la Chambre des comptes, Gérard Reuter.

Un texte de Emile Krieps est sur :

http://fr.scribd.com/doc/215681074/Emile-Krieps

Extrait :





Guy Weber, ancien de la brigade Piron, grand ami du comte Yves-Jean du Monceau de Bergendal (IEPS), assistant de Lyman Lemnitzer au SHAPE, familier d'Argenteuil et de Léopold III est probablement lié au milieu des commanditaires des Tueurs du Brabant.

Il est donc tout-à-fait cohérent d'avancer que Emile Krieps est lié au milieu des commanditaires du "Bommeleeër".

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deleted by user

Beaucoup de gens que je vois derrière la "stratégie de la tension" ont montré leur courage lors de la seconde guerre mondiale. Cela inclut des résistants comme André Moyen et des membres de la brigade Piron (Guy Weber, Yves-Jean du Monceau de Bergendal, etc). Il en va de même de quelqu'un comme John Singlaub. Ce ne sont certainement pas des lâches. Il n'empêche que leur anti-communisme les a conduits, d'une façon ou d'une autre, à accepter des projets analogues à l'opération Northwoods de Lyman Lemnitzer afin de manipuler l'opinion publique et lui faire accepter un renforcement des forces de sécurité.

En allemand :

Steckte Luxemburgs Nationalheld Émile Krieps hinter der Bommeleeër-Affäre ?

Markus Kompa 08.05.2014

Ex-Geheimdienstchef Marco Mille vermutet geheime Partisanenkämpfer

(...)

Lucien Dislaire me fait parvenir le document suivant :

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Audience du mardi 6 mai Procès Bommeleeër

En fin des débats et afin de couper court sur le sujet de la connexion "possible " entre "Oesling" et le Bommeleeër le Procureur Oswald à brandi une lettre que LUCIEN DISLAIRE VIENT DE NOUS FAIRE PARVENIR !!! ( Voir plus haut )

IL OUBLIE ( bien sûr) de signaler à la Cour et aux médias que cette lettre était un RAPPEL D'UN DOSSIER sur le sujet que j'avais transmis LE 21 AVRIL 2010 ( IL Y A QUATRE ANS!!!) suite aux informations que j'avais relevées dans mes recherches sur le sujet aux dossiers judiciaires !!!

Ceci joint aux informations scandaleusement fausses faites par l'enquêteur Scheuer sur mon prétendu "pedigree" témoigne bien du marigot dans lequel vous mettez les pieds en vous plaçant à la barre de la 162 ème audience du Tribunal.
"Vous savez" me dit maître Vogel "nous avons battu un record du monde ! La longévité des débats!!!

Effectivement je me rapporte à titre comparatif (au niveau de la longueur des débats et à la hauteur des "crimes" ) et je dresse le parallèle entre le procès Bommeleeër et le procès de Nuremberg en 1946:
D'un côté quelques pylônes à la casse et quelques bombinettes traumatisant tout le peuple luxembourgeois   et de l'autre le massacre de 6 millions de Juifs et quatorze millions de pauvres bougres ( c'est approximatif: je n'ai pas recompté  )
Le procès de Nuremberg est expédié sur 9 mois...
Les jugements prononcés et la plupart des accusés pendus.
Au Luxembourg "Bommeleër" dure depuis 15 mois et personne n'a encore été pendu!

deleted by user

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Vous dérapez: que viennent faire les Fugas katangais et Dag Hammarksjöld dans le procès des Bommelleër??