Vague d'attentats au Luxembourg

Si je lis votre lettre de 2010, je me demande bien pourquoi la défense vous a appelé comme témoin Monsieur Dislaire. Est-ce que Me Vogel s'est prononcé sur ça? Il devait bien savoir que vous ne pouviez rien apporter de concret à décharge de ses clients?

http://www.lequotidien.lu/bommeleer/56149.html

2014-05-08 21:49:0

Frieden a peu de souvenirs

L'ancien ministre de la Justice se rappelle peu de choses concernant l'entrevue qu'il a eue en 2006 avec le Premier ministre et certains membres du SREL.

De notre journaliste
Fabienne Armborst

Appelés à la barre aujourd'hui, l'ancien ministre de la Justice, Luc Frieden, et l'ancien président de la Cour des comptes, Gérard Reuter, n'avaient pas beaucoup de souvenirs. De sorte que la 164e séance du procès Bommeleeër s'est terminée au bout d'une petite heure.

L'audition de Luc Frieden n'aura duré que quinze minutes, aujourd'hui. L'ancien ministre de la Justice était entendu au sujet d'une entrevue qu'il avait eue avec le Premier ministre Jean-Claude Juncker ainsi qu'André Kemmer, Marco Mille et Frank Schneider du SREL en janvier 2006. Il y avait été question de la théorie du SREL, à savoir une éventuelle implication du Stay Behind dans la série des attentats.

«On assiste à de nombreuses réunions si on est ministre de la Justice pendant onze ans.» Voici le début de la déposition de Luc Frieden. De la réunion de 2006, il aurait bien un souvenir, mais rien de concret. Il aurait régulièrement été convoqué à des réunions avec le Premier ministre et le SREL.

D'après ses souvenirs, lors de cette réunion, il avait surtout été question d'une affaire d'argent illégal sur un compte. C'est seulement en fin d'entrevue qu'étaient tombées quelques phrases sur la théorie du SREL. Ce n'étaient pas des preuves, mais plutôt des affirmations générales. Luc Frieden ne se rappelle de rien de concret. Selon lui, «c'est plutôt le rôle de la police et de la justice de se charger de cela».

Le deuxième témoin de la séance, Gérard Reuter, n'a pas plus de souvenirs que le précédent. Président de la Cour des comptes entre 1980 et 1990, Gérard Reuter avait comme mission de contrôler les comptes du SREL.


Une déclaration sans noms et détails

Lors d'une interview donnée l'année passée, il avait dit qu'il y avait un lien entre la CIA et le Bommeleeër. C'est à l'occasion de sa fonction de vérificateur des comptes au SREL qu'il aurait entendu certaines choses. À la barre, ces déclarations sont toutefois restées bien vagues : «Au SREL, des gens ont dit que les attentats n'étaient pas une affaire luxembourgeoise; le CIA et les Américains seraient impliqués.»

À la demande de la chambre criminelle, l'ancien magistrat n'avait toutefois pas plus de précisions ou de noms : «Je ne peux pas donner de détails qui remontent à il y a 30 ans.» Il n'aurait pas non plus connu les gens qui défilaient autour de lui au SREL. «Comment ont-ils donc pu vous faire des confidences, si vous ne les connaissiez pas?», a voulu savoir la présidente de la chambre criminelle, Sylvie Conter. Elle n'a pas obtenu plus de détails. «Ce n'est pas mon cru, on m'a dit cela», a encore déclaré le témoin, ajoutant avoir subi une certaine pression pour cette interview.

À la même période, Gérard Reuter était également membre de la commission du SREL, qui décide des écoutes. Il est sûr qu'on ne lui a pas demandé d'en faire une dans le cadre de l'affaire Bommeleeër. Le témoin est d'avis que le SREL ne se serait pas trop intéressé à l'affaire.

Il se rappelle encore que l'indemnisation qu'avait reçue Camille Hellinckx avait causé des discussions au sein de la Cour des comptes. Les Hellynkx avaient été la cible de l'attentat du 16 février 1986.

Le procès se poursuit lundi avec l'audition de Michel Gretsch et Gustave Moes. Mardi et mercredi sera entendu l'ancien Premier ministre Jacques Santer.


Suspendre le procès

Suite à la déposition de l'ancien directeur du SREL, Marco Mille, mercredi, la défense a déposé hier un corps de conclusion. La théorie de l'ancien directeur du SREL met en cause le milieu politique et militaire luxembourgeois. La défense demande une enquête supplémentaire dans ce sens et de surseoir (suspendre) en attendant le procès. Elle considère en effet la théorie de Mille «comme la seule qui donne une réponse à chaque question.»

Le procureur d'État adjoint, Georges Oswald, a proposé de reporter la décision jusqu'à l'audition d'autres témoins. La chambre criminelle a pris connaissance de cette demande. Le moment venu, elle fera part de sa décision.

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quelques réflexions

Mill; RAS (rien de nouveau à signaler)

je viens de louper la séance de Mill, mais ce qui me surprend (en lisant les tickers) c'est que la Troika ne semble pas été au courant jusqu'à présent de l'hypothèse de travail de Mill.
Fait hallucinant, car Mill avait déjà fait gober sa hypothèse de travail à la commission d'enquête parlementaire SREL; et ça non pas dans une séance close, mais dans une séance publique.

hypnotique Frieden

Frieden semble voir eu un pouvoir hypnotique. La défense et le parquet étaient sourd muet et on avait l'impression bizarre que la troika avalait les mots de Frieden comme la parole de Dieu. Même l'agnostique maître Vogel semblait était touché par la grâce profonde de Frieden.

Malheureusement on n'était pas tellement réceptive à son pouvoir occulte dans la salle d'audience, parce que là, personne lui croyait. Un spectateur ludique se lassait même porter à la remarque,  si Fieden aurait un nez de Pinocchio, l'écran pésentant des tailles déjà assez bien proportionnés , serait trop petit pour son nez qui était en train de prendre une longueur hallucinante même dépassant les extrémités de l'écran.

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je ne comprends rien du tout; je ne reconnais même pas les personnes qui se cachent derrière d, dur, m (mill?)
vous me pouvez éclairer? merci

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Dans l'article Poujol,
D.=D.urant (détective belge, "mercenaire" du SREL), voir aussi:
http://www.wort.lu/fr/view/proces-bommeleeer-andre-kemmer-tourne-en-rond-51c1809be4b0c46958611e37

M.=M.ariotto, L.oris (décrypteur énigmatique de la CD Juncker/Grand-Duc; aussi premier aux lieus de l'accident Luxair/Senningerberg), voir aussi:
http://operation-gladio.net/fr/node/421

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L'effet dominino de Mill (cascade effect) ?

BND-Akten: Weltkriegsveteranen bauten geheime Armee auf

traduction: des véterans de guerre de la ss & Wehrmacht créaient une armée secréte

http://www.spiegel.de/politik/deutschland/veteranen-von-wehrmacht-und-ss-gruendeten-laut-bnd-geheime-armee-a-968727.html

je reprends l'article

"Espionnite au palais de justice et contre des enquêteurs du Bommeleeër  
L’homme à tout faire du Srel , "Véronique Poujol

en lisant :

Monsieur D. a été un peu l’homme à tout faire du Service de renseignement de l’État sous l’empire de Marco Mille, où il est présenté comme la « source technique » la mieux payée, puisqu’il touchait entre 1 000 et 1 500 euros par mois pour sa collaboration. ce qui serait d’ailleurs loin d’être le cas. Ancien technicien en Belgique, recyclé dans le renseignement privé au Luxembourg et proche de l’extrême-droite, ce dont il ne se cache pas, l’homme a été utilisé, sinon exploité par le Srel pour des sales besognes et les coups tordus. Il avait aussi travaillé pour la Police judiciaire, avant de suivre André Kemmer lorsque ce dernier fut muté au Service de renseignement

je me pose la question si la pj -police judicaire, l'ex sûreté de l'état, n'est pas un autre service de renseignements au Luxembourg. car les méthodes de travail me semblent être pareil ....

at K

même en lisant tous vos links ici, je ne comprends pas encore votre argumentation

d'après vous, Mill racontait n'importe quoi?

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Voir aussi (en néerlandais) :

http://www.powned.tv/nieuws/buitenland/2014/05/geheim_leger_exssers_in_brd.html

mei 2014-20:16

Geheim leger ex-SS'ers in BRD

#Duitsland

Oud-SS'ers en oud-militairen van Hitlers Wehrmacht zijn al in 1949 begonnen met de opbouw van een geheim leger in de Bondsrepubliek. Dit gebeurde eerst buiten de regering om.

Toen bondskanselier Konrad Adenauer er in 1951 weet van kreeg, deed de christen-democraat er niets tegen. Het geheime leger, waar zo'n 2.000 man aan meededen, wilde klaar zijn om tegen de Sovjet-Unie te vechten, als "de Russen" zouden komen. Voor de daarvoor nodige wapens werden lijntjes gelegd met politie en grenswacht. Ook waren er plannen om in het toen nog fascistische Spanje te gaan oefenen.

Het geheime leger bracht ook linkse West-Duitsers in kaart. In het geval van een burgeroorlog in West-Duitsland wilde men tegen 'communisten' gaan vechten. Dit meldt weekblad Der Spiegel na onderzoek in de archieven van geheime dienst BND.

West-Duitsland kreeg pas tien jaar na de Tweede Wereldoorlog, in 1955, weer een 'officieel' leger. Daarin kregen veel voormalige leden van het voormalige geheime leger een baan. Een van hen, Hans Speidel (generaal ten tijde van de Tweede Wereldoorlog), schopte het in 1957 zelfs tot opperbevelhebber van de landstrijdkrachten van de NAVO in Midden-Europa. (ANP)

http://www.spiegel.de/politik/deutschland/veteranen-von-wehrmacht-und-ss-gruendeten-laut-bnd-geheime-armee-a-968727.html

Sonntag, 11.05.2014 – 11:02 Uhr





(...) Schnez hatte Verbindungen zum ehemaligen SS-Obersturmbannführer Otto Skorzeny, der ein ähnliches Projekt plante. Ein Abteilungsleiter der Organisation Gehlen warf die Frage auf, ob man es sich "leisten könne", den Kampf gegen Skorzeny aufzunehmen. Der Geheimdienstler schlug laut SPIEGEL-Informationen vor, zunächst "die SS" zu fragen: "Sie ist ein Faktor, und wir sollten vor einem Entschluss die dortigen Auffassungen eingehend sondieren." Offenbar übten Netzwerke von Alt- und Exnazis Anfang der Fünfzigerjahre erheblichen Einfluss aus. (...)

http://www.heise.de/tp/news/BND-Akten-Kriegsveteranen-bauten-Geheimarmee-auf-2187045.html

BND-Akten: Kriegsveteranen bauten Geheimarmee auf

Markus Kompa 11.05.2014

Veteranen verschwiegen Bundeskanzler illegale Wiederbewaffnung

(...)

Ebenfalls war bekannt, dass sich Veteranenverbände im Nachkriegsdeutschland organisierten und das Interesse der Geheimdienste erfuhren. So finanzierte 1950 der US-Geheimdienst Counter Intelligence Corps rechtsextreme Organisationen wie den "Bund Deutscher Jugend", um die Kontrolle über Paramilitärs zu bekommen, die man ggf. hätte einsetzen können. Zudem bildete man patriotisch gesinnte Zivilisten als Stay-Behind-Kämpfer aus, die sich im Kriegsfall im Inland überrollen lassen sollten, um hinter den Linien einen Widerstand aufzubauen. Die Rolle der deutschen Dienste an diesen paramilitärischen Aktivitäten war bislang ein offenes Geheimnis, ist historisch jedoch nicht hinreichend aufgearbeitet.

1955 legalisierte die Bundesrepublik mit NATO-Eintritt ihre von Schnez aufgezogene Schattenarmee im Zuge der Wiederbewaffnung. Schnez wurde in der Bundeswehr schließlich Generalleutnant und Heeresinspekteur. Er vertrat dort erzkonservative Positionen und beklagte die „übertriebene parlamentarische Kontrolle“ des Militärs. General Gehlen kam als Militär nicht mehr zum Zug, sondern leitete ab 1956 den aus seiner "Org" hervorgegangenen zivilen Bundesnachrichtendienst (BND). Der BND erbte von den US-Diensten das deutsche Stay-Behind-Netz paramilitärischer Zivilisten, dessen Existenz seit 1990 bekannt ist. Akten hierzu sind NATO-weit noch immer unter Verschluss, wobei sich abzeichnet, dass es auch hiervon unabhängige geheime Streitkräfte gab. Diese Woche war die Vermutung des ehemaligen Luxemburger Geheimdienstchefs Marco Mille bekannt geworden, der im Großherzogtum ebenfalls eine von hohen Militärs kontrollierte geheime Einheit für möglich hält, die bis in die 1980er Jahre existierte.

http://www.nu.nl/buitenland/3772753/oud-ssers-bouwden-in-west-duitsland-geheim-leger-op.html

Gepubliceerd: 11 mei 2014 19:38

'Oud-SS'ers bouwden in West-Duitsland geheim leger op'

Oud-SS'ers en oud-militairen van Hitlers Wehrmacht zijn in 1949 begonnen met de opbouw van een geheim leger in het toenmalige West-Duitsland. Dit gebeurde eerst buiten de regering om, zo meldt Der Spiegel zondag.

Het weekblad komt tot die conclusie na onderzoek in de archieven van geheime dienst BND.

Toen bondskanselier Konrad Adenauer er in 1951 weet van kreeg, deed hij er niets tegen, aldus Der Spiegel.

Het geheime leger, waar zo'n tweeduizend man aan meedeed, wilde klaar zijn om tegen de Sovjet-Unie te vechten, als ''de Russen'' zouden komen.

Voor de daarvoor nodige wapens werden lijntjes gelegd met politie en grenswacht. Ook waren er plannen om in het toen nog fascistische Spanje te gaan oefenen.

Het geheime leger bracht ook linkse West-Duitsers in kaart. In het geval van een burgeroorlog in West-Duitsland wilde men tegen 'communisten' gaan vechten.

NAVO

West-Duitsland kreeg pas tien jaar na de Tweede Wereldoorlog, in 1955, weer een 'officieel' leger. Daarin kregen veel voormalige leden van het voormalige geheime leger een baan.

Een van hen, Hans Speidel (generaal ten tijde van de Tweede Wereldoorlog), schopte het in 1957 zelfs tot opperbevelhebber van de landstrijdkrachten van de NAVO in Midden-Europa.

Speidel werd in 1944 gearresteerd omdat hij tot een groepering behoorde die Adolf Hitler wilde liquideren. Een poging daartoe mislukte dat jaar in Hitlers hoofdkwartier Wolfsschanze. Speidel was het niet eens met de nazi-ideologiën.

Door: ANP/NU.nl