Vague d'attentats au Luxembourg

il est resté "stay behind " dans le Luxembourg envahi par les zombies en uniforme et sans mémoire

on va falloir l'exfilter ?


http://www.wort.lu/de/view/bommeleeer-live-von-strommasten-und-erpresserbriefen-52fb4cc6e4b0f114b040d975

big drama



15:03 Noch ist die Sitzung nicht eröffnet.

15:03 Gretsch wird aber wohl dennoch aussagen.

15:02 Er ist auch bis dato nicht im Saal zu sehen.

15:02 Eigentlich sollte es vor Gericht zu einer Gegenüberstellung zwischen Gretsch und Kohnen kommen. Kohnen ist aber seit Anfang der Woche unauffindbar.

"Ich bin Stolz polizei officier su sein , die Officiere hier sind alle Feichlinge "


j'espère qu'il n'a pas payé de sa vie"

wort : aussi sur les GSM du police judiciaire

Est ce qu'il a été menacé ?


15:10 Er erklärt, dass die PJ auf Kohnens beiden Handy-Nummern versucht habe, ihn zu erreichen - ohne Erfolg. Kohnens Sohn wisse denn auch nichts von seinem Aufenthalt. Selbiges gilt für seine Frau.

tagesblatt

Citation :

16:07 Richterin Conter will wissen, wann das Treffen mit Harpes war. Kremer kann sich nicht mehr genau erinnern. Es muss nach dem letzten Anschlag (Colonel Wagner, 25. März 1986) gewesen sein. Kremer: Wir haben die Aussage von Harpes zunächst nicht ernst genommen.


16:11 Richter und Staatsanwaltschaft haben zahlreiche Fragen zu Kremer. Kremer: Wir trafen uns in einem Restaurant auf Cents. Wir hatten viele Fragen wegen der Anschläge. Die Antwort von Harpes war kurz: Leet Äre Kapp a Rou, do kënnt näischt méi no." Gaston Vogel: Harpes weiß also mehr. Wir müssen ihn hier vor Gericht hören.




16:15 Kremer: Wir hatten Harpes zum Essen eingeladen. Er kann sich aber nicht mehr genau an das Datum erinnern. Gaston Vogel will wissen, ob es darüber vielleicht noch einen Eintrag in einem Terminkalender gibt.

Richterin Conter: Vielleicht gibt es ja noch eine Rechnung von dem Restaurantbesuch. Anwalt Elvinger (Zivilverteidigung): Wir prüfen das nach.

Leet Äre Kapp a Rou, do kënnt näischt méi no."

laatste was.............., der komt niks meer na " Nl



le dernier c'est la fin , il n'y plus rien après.?




puis je demander une traduction correcte ??

Ne vous tracassez pas il n' y aura plus rien

Kow a écrit:

@ titu Je ne suis pas un esprit tatillon alors j'en passe ( modus operandi: wax in my ears) !

Le premier ministre a confirmé aujourd'hui que la commission de contrôle ainsi que la commission d'enquête avaient été informé de la pratique des voitures de fonction du SREL ! Satisfait ?

marco1000

merci c'est les mêmes mots que boubou a exprimé au même moment à peu près en Belgique
quand il lui demandait qqs chose sur les TBW

Citation :

Wo ist Pierre Kohnen?
Er hatte zunächst einen selbstsicheren Auftritt im Bommeleeër-Prozess, doch nun ist er für die Kriminalkammer nicht mehr zu erreichen. Pierre Kohnen (rechts) hatte vergangene Woche ausgesagt, er habe vom damaligen Armeechef Colonel Michel Gretsch (links) erfahren, dass die Armee für den Luxemburger Ableger des Nato-Geheimnetzwerks „Stay Behind“ verantwortlich gewesen sei. Zudem habe Gretsch ihm eine Liste aller „Stay-Behind“-Agenten gezeigt. Colonel Gretsch bestritt das einen Tag später gegenüber dem „Luxemburger Wort“ formell. „Stay Behind“ sei Sache des Geheimdiensts gewesen. Einen Safe habe er zudem nicht im Büro gehabt und sicher auch keine „Stay-Behind“-Liste.

Pierre Kohnen: Für die Kriminalpolizei seit dem Wochenende nicht zu erreichen.
Foto: Gerry Huberty
Ermittler Joël Scheuer erklärte der vorsitzenden Richterin gestern, dass man seit vergangenem Wochenende alles versucht habe, um Kohnen zu erreichen. Eines seiner beiden Mobiltelefone sei ausgeschaltet, auf dem zweiten gehe niemand ran. Die Kriminalpolizei habe ihm zudem eine Kurzmitteilung geschickt, in der um Rückruf gebeten wurde, doch die SMS sei bislang ohne Antwort geblieben. Inzwischen habe man auch Kontakt zu Kohnens Sohn aufgenommen. Der habe gemeint, sein Vater sei in Deutschland. Wie Ermittler Scheuer weiter ausführte, habe Kohnens Ehefrau, die ebenfalls kontaktiert wurde, gesagt, sie wisse, dass ihr Mann unterwegs sei, sie wisse aber weder, wo er sei noch, wann er zurückkomme. Informationen des „Luxemburger Wort“ zufolge ist Kohnen seit Dienstag offiziell im Ruhestand.

A la vitesse que des officiers prennent leur retraite soudaine la police sera décapité d'une generation

EMR de bruxelles

apret le deced d un journaliste dans un accident? ,un temoin disparait?
j ai bien compris?

La retraite de Kohnen était quand même prévue depuis un peu plus longtemps.
Dans la presse aujourd'hui on constate que le Luxemburger Wort a omis de révéler que l'ancien ministre Fischbach avait fait de fausses déclarations lors d'une conférence de Presse à l'époque. Quand on sait que le Wort étant le journal de l'archévêque on ne s'étonne pas que le wort ait oublié ce fait

http://www.lequotidien.lu/bommeleer/53195.html

Alexis Kremer: «Il n'y aura plus rien!»

2014-02-13 09:55:00

Alexis Kremer se souvient avoir entendu le colonel Harpes lui dire de ne plus s'inquiéter car il n'y aurait plus d'attentats.

De notre journaliste
Fabienne Armborst

Lors de la 130e séance du procès Bommeleeër, hier, c'était au tour d'Alexis Kremer, ancien directeur adjoint du service administratif de la Cegedel, de témoigner. Au cours de la série d'attentats, plusieurs installations de la Cegedel avait été visées.

À l'époque des attentats, Alexis Kremer était directeur adjoint du service administratif de la Cegedel. Suite aux événements, il avait rédigé un livre, une sorte d'aide-mémoire. Un exemplaire figure également dans le dossier.

La question se pose toujours de savoir si l'attentat de Beidweiler, survenu en 1984, fait partie de la série des attentats. «Cela est devenu sérieux avec l'attaque pyrotechnique contre les deux pylônes au Staffelter (27 avril 1985)», indiquait hier le témoin.

La Cegedel avait non seulement été visée lors des attentats de Staffelter, Schleiwenhaff, Itzig et Heisdorf, mais elle avait également reçu plusieurs lettres de menace. Le lundi suivant l'attentat au Staffelter, la Cegedel avait ainsi reçu une première lettre. Oblitérée avant l'explosion, elle réclamait notamment le versement de 250 000 dollars. La Cegedel en avait informé la gendarmerie en la personne du colonel Wagner.

D'après Alexis Kremer, la position de la Cegedel était claire : «Nous ne voulions pas faire l'objet d'un chantage.» Mais suite à une réunion des ministres Marcel Schlechter, Jacques Santer, Robert Krieps et Marc Fischbach le 9 mai 1985, il avait été décidé qu'ils devaient payer la somme demandée. À noter que seuls les ministres Fischbach et Krieps s'étaient exprimés en faveur de cette remise. Comme la Cegedel refusait toujours par principe, l'État avait finalement proposé de rembourser la somme par la suite. Il est connu que la remise des fonds dans la cabine téléphonique à Clervaux (15 mai 1985) avait en fin de compte échoué.


«Une lettre qui aurait dû faire réfléchir»

D'après le témoin, une autre lettre de menaces aurait dû faire réfléchir la gendarmerie. Y était inscrite l'heure à laquelle le colonel Wagner avait été informé de la première lettre. Or au sein de la Cegedel, très peu de personnes étaient au courant.

Le témoin a également fait référence à une conférence de presse en juillet 1985 lors de laquelle le ministre Fischbach aurait dit beaucoup de choses qui ne correspondaient pas à la réalité. Entre autres que la Cegedel n'avait pas informé l'État et qu'il n'y avait pas eu de tentative sérieuse de remise des fonds.

Suite à la deuxième tentative de remise de fonds place du Théâtre (12 juin 1985), la Cegedel avait bénéficié d'une certaine accalmie. Ce n'est que le 30 novembre 1985 qu'un nouveau pylône avait été renversé à Heisdorf. Celui qui alimentait le Kirchberg où avait lieu deux jours plus tard le sommet européen.

D'après le témoin, le colonel Bourg, présent sur les lieux, avait toutefois interdit aux hommes de la Cegedel de s'approcher du pylône. Enfin, Alexis Kremer se souvient d'une entrevue avec le colonel Harpes au restaurant Le Grimpereau au Cents. Elle est toutefois absente de son livre. «Ne vous inquiétez pas, il n'y aura plus rien!», voilà ce que le colonel Harpes aurait dit à Alexis Kremer et Alfred Giuliani, l'administrateur délégué de la Cegedel, qui s'inquiétaient des attentats. Le témoin n'arrive plus à situer la rencontre exactement dans le temps. Ce qui serait sûr, c'est qu'elle a eu lieu après l'attentat contre la maison du colonel Wagner, soit le dernier de la série.

Or, d'après Alexis Kremer, ils n'avaient pas pris ces mots très au sérieux. De fait, la Cegedel avait poursuivi la surveillance de ses installations par la firme Securicor jusqu'en 1988/1989.

Pour la présidente de la chambre criminelle, Sylvie Conter, il y a deux solutions : «Soit cette entrevue a eu lieu beaucoup plus tard, soit le colonel Harpes sait de quoi il parle.»

Une confrontation avec le colonel Harpes est donc prévue. Le procès se poursuit aujourd'hui avec l'audition de trois anciens collaborateurs du SREL.

Je me demande si beaucoup de témoins issus de l'appareil sécuritaire de l'état luxembougeois (Srel, armée etc) ne sont pas soient manipulés soient ne disent pas la vérité (attention: l'un n'exclut pas l'autre).

Si on se met dans la logique des enquêtes parlementaire belge portant sur les TBW, Gladio et ingérence de services de renseignement en Belgique, je me pose la question suivante: est-ce que beacoups d'anciens acteurs et de nos jours "témoins" au tribunal ne sont pas protégés par une sorte de code secret militaire de l'otan ? On se rapelle en Belgique qu'un officier a refusé de s'exprimer car il n'avait pas de droit de le faire car c'était contre le secret militaire belge et celui de l'Otan.

Jusqu'à présent on n'a même pas posé cette question au tribunal.

Citation :

La retraite de Kohnen était quand même prévue depuis un peu plus longtemps

.


si c'est l'age standard lui et Reu peuvent avoir rentrer ensemble ds la gendarmerie avoir été ds les même classes de ERM a bruxelles .

Il en a plein qui voulaient pas faire le service militaire gratos en Belgique et un engagement ds la gendarmerie comptait comme service et c'était payé en plus. et au lux ?


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la disparaition peut être en relation avec ce que Vogel a fait la semaine dernière à la fin.
bizarre que les témoins sur place n'en ont pas pipé mot .

Kohnen n'était pas avec Heiland ensemble à l'ERM
Kohnen était tout d'abord simple flic (carrière de sous-officier) avant de promouvoir comme officier.Il serait intéressant de savoir plus sur ce chemin très exceptionel au moins à l'époque au Luxembourg

intéressant que quelqu'un des rangs qui a dit :Ich bin stolz....   feichlinge etc


j'avais l'impression que Vogel n'était pas content de son témoignage ...attendait il plus ?

ou c'était si peu convainquant ?


wort


17:08 Damit ist die Sitzung für heute beendet. Was kommende Woche auf dem Programm steht, wurde noch nicht mitgeteilt. Vom Zeugen Pierre Kohnen fehlt unseres Wissens noch immer jede Spur.

http://5minutes.rtl.lu/fr/actualite/

Procès Bommeleeër, 131e journée: Vogel: "Ne vous préoccupez de rien,vous n'arriverez à rien"

RTL - 13.02.2014, 15:51 | Dernière mise à jour: 13.02.2014, 18:28

Ce sont les activités du SREL dans le cadre de la série Bommeleeër, qui ont occupé la cour jeudi au 131e jour du procès.

Il serait préférable de parler d'inactivité, car il est apparu que le SREL n'avait absolument rien eu à faire dans l'enquête. 4 anciens fonctionnaires entendus comme témoins, ont déclaré qu'ils n'avaient pas été impliqués officiellement. Tant la Cour que le Parquet et la Défense ont été d'autant plus étonné que le SREL n'ait pas agi sur sa propre initiative.

Les 4 hommes ont fait comprendre qu'ils travaillaient sur la base d'ordres. La conclusion de Maître Gaston Vogel: "Ne vous préoccupez de rien, et vous n'arriverez à rien."

Le témoin Paul Mehlen s'est dit étonné par de nombreuses choses qui sont venues sur le tapis ces derniers mois et semaines. Il se serait déjà x fois demandé s'il n'avait pas été trop naïf ou bien s'il n'avait pas suffisamment posé de questions.

Comme l'a déjà remarqué Kowalski, Kohnen était sous-officier et il a repris ses études par après pour devenir officier.
C'est une situation exceptionnelle à la Police respectivement l'ancienne Gendarmerie.
D'ailleurs Kohnen n' a jamais été vraiment accepté comme un des leurs par les cadres Superieurs ( anciennement offficiers)

http://www.lequotidien.lu/bommeleer/53236.html

Le SREL inactif dans l'enquête

2014-02-14 10:03:00

LUXEMBOURG- Les quatre anciens membres du SREL entendus hier déclarent ne pas avoir été sollicités. Et ils ne se sont pas non plus saisis eux-mêmes de l'affaire.

Pourquoi le SREL n'a-t-il rien entrepris durant la série des attentats? C'est une question qui reste en suspens après la 131e séance du procès Bommeleeër, hier. Malgré vingt explosions à la bombe, l'esprit d'initiative du SREL semble s'être limité à collectionner quelques articles de journaux.

De notre journaliste
Fabienne Armborst


Les quatre anciens membres du SREL entendus hier, Jean Weydert, Jos Meier, Carlo Kremer et Paul Mehlen, ont tous déclaré qu'ils n'avaient pas été officiellement impliqués dans l'enquête.

Jean Weydert, responsable du volet terrorisme au sein du SREL à partir de 1978, explique ainsi qu'il n'y avait pas eu de demande de coopération de la part de la gendarmerie. C'est de sa propre initiative qu'il a découpé et classé des articles de journaux sur l'affaire. Au cas où on lui aurait demandé des informations depuis l'étranger, il aurait pu livrer un début de réponse.

«Peut-être la gendarmerie nous aurait contactés si cela avait été du terrorisme politique», remarque-t-il encore. Lui-même ne sait pas où a été prise la décision que le service secret n'obtiendrait aucune mission.

Or d'après le procureur d'État adjoint, Georges Oswald, Jean Weydert aurait dû agir de sa propre initiative en tant que responsable du volet terrorisme.

Jean Weydert a également été délégué par son chef, Charles Hoffmann, au groupe des adjoints chargé de la coordination dans le cadre de la lutte contre le terrorisme. Même s'il n'a assisté qu'à une séance, il est cosignataire d'une lettre dans laquelle il est écrit que le ministre a voulu créer ce groupe, mais que la gendarmerie a continué à travailler comme si de rien n'était.

Le deuxième témoin de la journée, Jos Meier, travaillait en tant qu'enquêteur au sein du SREL. Mais à part la surveillance d'un sac plastique dans les environs du Findel, il n'a participé à aucune autre observation. L'observation Geiben, il ne l'a apprise que par la suite au bureau.

Concernant la quasi-inaction du SREL dans l'enquête Bommeleeër, il explique : «Je recevais mes enquêtes du chef, je n'avais pas le temps de faire autre chose que ce qu'on me demandait de faire.»

Lors de son audition en 2004, Jos Meier a déclaré qu'il avait entendu dire que Ben Geiben avait fait l'objet de plusieurs observations. Hier, le témoin ne pouvait toutefois pas donner de noms à la demande de Georges Oswald : «Je me suis peut-être trompé. Une chose est néanmoins sûre : je n'y ai pas participé.»


Reuland actif dans l'observation Geiben

Carlo Kremer, quant à lui, s'est occupé des archives du SREL – les archives principales et celles de Senningen – entre 1981 et 2003. Lors de la perquisition du SREL, il n'était toutefois déjà plus en fonction.

Il s'agissait d'un archivage plutôt sélectif : il archivait en effet juste ce que les agents du service secret lui transmettaient. Ainsi le rapport de Kaudé sur l'observation Geiben en faisait partie, mais pas l'annexe intitulée «Moments de suspicion contre Jos Steil».

Il se rappelle également que suite à l'échec de l'observation, Armand Kaudé lui en a parlé et a évoqué la présence de Pierre Reuland. Pour Georges Oswald, cette déclaration s'ajoute à celles d'Armand Kaudé, de Guy Stebens, d'Alain Thill et de Georges Zenners. Pierre Reuland, quant à lui, nie avoir été présent lors de l'observation Geiben.

Paul Mehlen, le dernier des témoins à être entendu hier, a été actif au sein du SREL entre 1985 et 2002. Lui non plus ne se rappelle pas avoir été appelé par la gendarmerie pour l'enquête du Bommeleeër : «On ne nous a jamais sollicités officiellement», remarque-t-il.

La présidente de la chambre criminelle, Sylvie Conter, a toutefois une autre conclusion : «Même si le SREL n'avait pas été forcément sollicité, le service secret aurait pu se saisir lui-même de l'affaire.»

Le procès se poursuit lundi.

17 pages de mémoires d'Alexis Kremer, ancien directeur adjoint du groupe CEGEDEL, et 200 pages d'articles sur les attentats des années 1985-1990. Publiés par wort.lu et accessibles sur:
http://www.slideshare.net/wortlu/das-buch-von-alexis-kremer

Au menu la semaine prochaine

17 février 2014 – Pierre Batholmé, André Kieffer, Henri Knepper, lecture déposition Lucien Thilquin

18 février 2014 – Marc Weis, lecture déposition Eugène Beffort (+ film), Marc Schockmel, Joseph Lorent

19 février 2014 – Daniel Lauckes, Jean Feyereisen, Roland Block

20 février 2014 – confrontations Alexis Kremer/Aloyse Harpes + Pierre Kohnen/Michel Gretsch + Pierre Kohnen/Aloyse Harpes

SERVICES DE RENSEIGNEMENT

« Faites-vous oublier », Luc Caregari

Gérald Arboit est spécialiste de l'histoire du renseignement et s'intéresse entre autres à celle des services luxembourgeois.

http://woxx.lu/id_article/7130

C'est très léger comme article voire faux!
Les renseignements militaires ont bien existé avant la guerre de 1870. On trouve des plans d'espionnage des forteresses déjà au 17 et 18 ième siècle

http://fr.scribd.com/doc/207250853/buch-von-alexis-kremer

http://fr.scribd.com/doc/138518849/Comptes-Cegedel-de-1963-a-1987

http://fr.scribd.com/doc/176379392/Q-1985-O-U-0040