Vague d'attentats au Luxembourg

@ kowalski bien oui j'ai déduit cela de cet extrait et mis partièlement sur site depuis 8 mois je pense

c'est en cherchant bormes les mimosas que on tombe sur les deux liens + histoires des gallipettes possible

regarde aussi les rumeurs sur des "Manner-abenden" dans le bureau de Bou.. plus récents ,decembre ?

qui circulaient ds les coulours ,dixit qui,

toutes ces histoires de fesses ne m'auraient pas interessé s'il n'y avait pas le meurtre de l'enqueteur belge retrouvé décapité 25 ans après ds les bois de Bourscheid par un couple de touristes
allemands  .

Et à Bourscheid il y avait le chalet "boum boum" et un HOTEL de passe .....et une histoire de.....

mais bon c'est au letzenbourgois de se demerder avec leurs histoires .

tout cela ne nous fait pas avancer ici en Belgique

Citation :

Quelle serait cette "notification spécifique, indubitable et officielle" ?

l'annonce "Adolphe se porte bien" ,inversée ?

avis aux investisseurs au Luxembourg
comment placer son argent noir en securité:


Dans bank W on vous donne ceci comme avis :

Citation :

15h24 Oswald beantragt, noch weitere Zeugen für die Spur des Prinzen vorzuladen

et dans une banque T ou vous dit ceci:

Citation :

15:22 Staatsanwalt Oswald zitiert aus einem weiteren Schreiben eines Zeugen. Demnach gab es bei einem Treffen zwischen dem Zeugen seiner Frau und dem früheren Generalstaatsanwalt Wampach ein bristantes Thema. Wampach sprach von Prinz Guillaume als einen der Bommeleeër. Auch dieser Zeuge soll umgehend gehört werden

.


alors ?

"C'était le prince Guillaume"
A-t-on appris au tribunal

je me demande si c'est le même Serment "Stay-behind" (Gladio) de HERVE?

Me Vogels Verteidigungslinie besteht seit langem darin nachzuweisen, dass Stay Behind hinter den Bommeeër-Attentaten steht.

14:59 In dem Schwur heißt es, dass die Stay-Behind-Agenten niemals in ihrem Leben über ihren Dienst bei Stay Behind sprechen werden.

14:58 Vor Beginn der Verhandlung teilt Me Vogel ein Papier aus, auf dem angeblich der Schwur von "Stay Behind" aus Belgien steht

source: wort ticker

C'est le même ...

Oui la même source venant d'ici!

Sur Tageblatt.lu
"Weiteres Thema bei Gaston Vogel ist "Stay Behind. Es geht um Verbindungen zu "Nazis", Südamerika und einen belgischen Stay-Behind-Mitglied in Belgien. "

Un membre du STBH belge ? Vogel a cité un nom ?

Non pas de nom

bou : il y qqs mois  :......der prinzen


Cont : qoui pluriel ?  ça alors !

Bou  : je peux corriger  ?

Cont : c'est pas le bazar marocain ici !

Et oui!
C'était exactement ça!

http://www.lequotidien.lu/bommeleer/53460.html

Jean Disewiscourt: «Je ne peux rien dire»

2014-02-20 09:43:00

L'enquêteur principal Jean Disewiscourt aurait déclaré qu'il connaissait le Bommeleeër, mais qu'il devait emmener ce secret avec lui dans la tombe.

De notre journaliste
Fabienne Armborst

L'attentat contre le Findel du 9 novembre 1985 figurait à nouveau au programme de la 134e séance du procès Bommeleeër, hier. Parmi les témoins entendus figurait Josy Lorent, ancien journaliste du Luxemburger Wort, qui a été présent sur une douzaine de lieux d'attentats.

Le témoin Josy Lorent a en premier lieu été entendu hier au sujet du témoin Robert Schommer qu'il avait accompagné à la gendarmerie. Ce dernier avait fait une observation aux alentours du Findel un à deux jours avant l'attentat, mais on ne l'avait pas pris au sérieux.

De son tracteur, Robert Schommer avait aperçu un homme aux cheveux courts en uniforme paramilitaire et portant des bottines. À sa femme, il aurait dit : «Si quelque chose se passe au Findel, alors j'ai vu le Bommeleeër.» À la gendarmerie avait été établi un portrait-robot. Mais d'après Josy Lorent, les agents avaient embrouillé le témoin. Ce dernier n'aurait pas non plus été satisfait du résultat final.

En tant que journaliste, Josy Lorent s'est rendu sur une douzaine de lieux d'attentats. Ainsi, il a traversé le Palais de justice avant même l'arrivée de l'officier Zovilé qui a par la suite guidé la presse. Après le passage des enquêteurs sur les lieux de l'attentat de Heisdorf, il a ramassé une charge de Luxite qui n'avait pas explosé. La pièce avait ensuite été remise aux enquêteurs.

Josy Lorent explique par ailleurs avoir voulu aider l'enquête en tant que journaliste et citoyen, mais qu'il avait été repoussé par les enquêteurs. Ces derniers lui auraient indiqué qu'ils avaient déjà de gros dossiers et qu'ils manquaient de personnel. Vu dans le contexte global, Josy Lorent interprète l'attentat contre le Luxemburger Wort comme une sorte de mise en garde.

Le témoin a terminé hier par une nouvelle révélation : en 2002, l'ancien enquêteur principal Jean Disewiscourt avait fait écrire un livre par le journaliste Jean-Paul Schneider. Au cours d'une de leurs discussions, Jean Disewiscourt aurait annoncé : «Je sais qui est le Bommeleeër, mais je ne peux pas le dire. Ma femme n'est pas non plus au courant. J'emmènerai cela dans ma tombe.».

Josy Lorent explique avoir appris cela samedi dernier lors d'un repas avec son ancien collègue.


La victime de la lampe de poche à la barre

La séance s'est poursuivie avec l'audition du témoin Daniel Lauckes. Ce dernier avait aperçu en rentrant du travail le 9 novembre 1985 un peu avant 22 h deux individus traverser la route près du Findel. Il avait dû donner un coup de frein. L'un mesurait plus de 1,80 m, l'autre était plus petit. À 22 h 13 a eu lieu l'attentat. Suite à ces déclarations, la présidente de la chambre criminelle, Sylvie Conter, retient : «Il est possible que les deux hommes aperçus soient deux auteurs.»

En troisième lieu a été entendu Jean Feyereisen, la victime de la lampe de poche. Appelé sur le site du Findel le lendemain de l'attentat, il avait ramassé une lampe de poche en fin d'après-midi vers 16-17 h. Celle-ci avait explosé dans sa main.

Le témoin explique avoir eu l'habitude de ramasser ce qui traînait sur les chantiers. Il était également d'avis que suite à l'attentat le site avait complètement été sécurisé. Même si le témoin ne se rappelle plus si la torche était sèche ou mouillée, il estime qu'elle aurait dû être repérée au moment du relevé des empreintes, car elle était bien visible sur le gazon. Cela peut laisser supposer que la torche a seulement été placée en journée.

Le dernier témoin de la séance était Roland Block, un ancien collègue d'Eugène Beffort. Ce dernier lui avait raconté qu'il avait vu le Prince Jean le matin vers le Findel et qu'il avait par la suite été poursuivi. Roland Block remarque par ailleurs que suite à ces révélations, Eugène Beffort avait changé : «Ce n'était plus le même homme qu'avant.»

Le procès se poursuit aujourd'hui avec plusieurs confrontations entre Alexis Kremer, Aloyse Harpes, Pierre Kohnen et Michel Gretsch.


Audition de Juncker

La présidente de la chambre criminelle, Sylvie Conter, a annoncé hier que l'ancien Premier ministre Jean-Claude Juncker sera entendu mardi. Ce jour-là, le procès «fêtera» également son premier anniversaire.

K a écrit:

@ kowalski bien oui j'ai déduit cela de cet extrait et mis partièlement sur site depuis 8 mois je pense

c'est en cherchant bormes les mimosas que on tombe sur les deux liens + histoires des gallipettes possible

regarde aussi les rumeurs sur des "Manner-abenden" dans le bureau de Bou.. plus récents ,decembre ?

qui circulaient ds les coulours ,dixit qui,

toutes ces histoires de fesses ne m'auraient pas interessé s'il n'y avait pas le meurtre de l'enqueteur belge retrouvé décapité 25 ans après ds les bois de Bourscheid par un couple de touristes
allemands  .

Et à Bourscheid il y avait le chalet "boum boum" et un HOTEL de passe .....et une histoire de.....

mais bon c'est au letzenbourgois de se demerder avec leurs histoires .

tout cela ne nous fait pas avancer ici en Belgique

En résumé, où se documenter sur le site sur l'épisode "galipettes" et quel est le nom de l'enquêteur belge décapité?
Merci.

je ne sais plus !


mais il y en a d'autres à rechercher

https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t1262-rififi-a-lux#23876

N.S. de EUPEN est disparu le 25 janvier 1985 .
il faisait des enquetes sur cet hotel.

Bourscheid 12 avril 1985 41km de la ville lux donc hors périferie des bommelaars

wort.lu  a une site maintenant ou on peut trouver depuis qqs jours toutes les auditions en directs

trop de travail !  

et c'est en allemand  , je doute fort que les francophones qui n'apprennent plus le néerlandais , vont étudier l'allemand ce qui est 4 fois plus difficile encore .


pour ces insinuations  ,  ce n'est qu'une piste , stay behind une autre  

je suis et je constate un peu .... que peu de gens connaissent ce qui a été dit.....et mis sur papier.

des membres présents ont déjà largement dit que ce qui se passe ds la salle n'est ce qui se retrouve pas sur papier.
j'en ai donné encore une exemple d'aujourd'hui  et aussi un ancien exemple , :

1.le pluriel der Prinz  , die Prinzen !........laché par inadvertence par Bour. il y a des mois.

après on doit pas être  estomaqué que LES noms DES lustres du palais arrivent dans d'autres auditions.

2.ce bazar marocain est ds le texte de l'audition de bour.!!!

Il s'agit du détective Nor.bert Schol.zen. Au moment de sa disparition, il menait une enquête sur des personnes fréquentant la résidence "Les Laurentides" à Bourscheid. C'est là où le chalet à exploser en 1985. Scholz.en était un type bizarre. D'après ses notes, il n'enquêtait pas sur les Bommeleeër. Mais c'est possible qu'il se trouvait tout simplement au mauvais moment au mauvais endroit. Les enquêteurs du dossier Bommeleeër n'attribuent cependant aucune importance à cette épisode. Ceci est partiellement dû au fait que l'affaire Scholzen a été poursuivi avec persévérance par les journalistes de l'époque de la "Soko Presse" (RTL, Journal etc....) comme ils sont appelés de façon péjorative par les enquêteurs.

Dans l'arsenal caché de Flammang on a entre autres retrouvé des fusils FAL. Je pars du principe qu'on a vérifié les numéros de série et qu'ils ne correspondent pas à ceux volés à.... Question de démontrer la bonne collaboration transfrontalière. Pourquoi est-ce que je ne suis pas rassuré ?

bourscheid n'est pas si loin du lac du haute sure ou se trouvait les manoeuvre mil et pas si loin de Diekirch HK des mil


peu après le 25 janvier 1985 , en une vingtaines de jours une series de vols des explosives se passent entre autre ds ces carrières Feidt

1 fevrier  1985   Helmsange
4 fevrier 1985    Helmsange
9 fevrier  1985   Helmsange

15 février 1985  Brouch , Alwies , Senningerberg Ernzen
>
19 fevrier  1985


Congé  Oef  !!

Pâques   7 avril 1985

puis Bourscheid boem !  12 avril 1985

si je me rapelle bien on avait mentioné au tribunal que les FALs trouvés chez Flammang étaient des FALs de l'armée luxembourgeoise d'après les numéros de serie ingravés sur ces armes.

De plus on parlait des "Les Laurentides" à Bourscheid cette semaine au tribunal. C'était dans le contexte du prince et un petit groupe autour du prince. Feidt, Geiben et une autre personne.

Ce que Gretsch a dit hier c'est qu'il a vu Kohnen pourque celui là lui restitue les FALs de l'armée luxembourgeoise

http://www.lequotidien.lu/bommeleer/53498.html

Le Prince Guillaume dans le jeu ?

2014-02-21 09:08:00

L'ancien procureur général d'État Camille Wampach aurait indiqué à une de ses connaissances que le Prince Guillaume était le Bommeleeër.

De notre journaliste
Fabienne Armborst

Alors qu'au programme de la 135e séance du procès Bommeleeër, hier, figuraient trois confrontations, de nouvelles révélations sont venues marquer le début de la séance. Tandis qu'Armand Dousemont confirme dans un courrier les déclarations d'André Glodt, le nom du Prince Guillaume a été cité par un nouveau témoin.

Le Prince Guillaume est-il dans le jeu? C'est la question qui se pose suite à l'annonce du procureur d'État adjoint, Georges Oswald, en début de séance hier. Un témoin a appelé le procureur général d'État, Robert Biever, pour lui annoncer que l'ancien procureur général d'État Camille Wampach lui aurait dit que le Prince Guillaume (le plus jeune frère de l'actuel Grand-Duc Henri) était le Bommeleeër. Camille Wampach aurait raconté cela à sa connaissance à la suite d'un repas pris en commun.

Georges Oswald indique par ailleurs qu'Armand Dousemont, ancien membre de la police technique, confirme les déclarations d'André Glodt : Armand Schockweiler aurait bien récupéré des pièces à conviction. André Glodt lui en aurait parlé il y a quelques années. Dans son courrier adressé au parquet, Armand Dousemont indique également que Jos Steil était venu consulter les pièces à conviction avec d'autres membres. Personne n'avait toutefois pris la précaution d'enfiler des gants.

D'après Georges Oswald, ces déclarations rendent celles d'André Glodt d'autant plus crédibles. Armand Dousemont sera donc appelé à la barre lundi.

Dans les trois confrontations qui ont suivi, les témoins Alexis Kremner et Pierre Kohnen maintiennent leurs déclarations respectives.

Selon Alexis Kremer, l'ancien directeur adjoint du service administratif de la Cegedel, le colonel Harpes, lui aurait dit de ne plus s'inquiéter car il n'y aurait plus d'attentats. Cette discussion avait eu lieu en présence d'Alfred Giuliani, l'administrateur délégué de la Cegedel, au restaurant Le Grimpereau au Cents.

Le colonel Harpes se souvient d'une telle rencontre, mais au bureau d'Alfred Giuliani. Il ne pense cependant pas avoir dit de façon aussi précise qu'il n'y aurait plus d'attentats. Cette rencontre aurait eu lieu après l'attentat contre la maison du colonel Wagner. À l'époque, il croyait en la piste Geiben et il était d'avis que c'était la dernière bombe.

À partir de ses agendas de l'époque, Alexis Kremer a retracé une date possible pour cette rencontre : le 23 mai 1989. Or à cette époque, le colonel Harpes était déjà à la retraite. Lors de sa précédente audition, le témoin avait également indiqué qu'au moment de l'annonce du colonel Harpes, la peur régnait encore parmi les membres de la Cegedel.


Gretsch a rencontré Kohnen une seule fois

Dans une deuxième confrontation, le colonel Harpes a été confronté à Pierre Kohnen, ancien membre de la Sûreté. Le colonel Harpes n'a pas souvenir d'avoir empêché la mise en place du plan d'observation du Palais de justice envisagé par le BKA (Office fédéral de la police criminelle allemande). Il ne se rappelle pas non plus avoir qualifié l'enquêteur Raymond Wagner de Bommeleeër quand celui-ci lui avait demandé ce qui s'était passé et pourquoi le Bommeleeër n'avait pas été attrapé. Pierre Kohnen, quant à lui, maintient ses déclarations : à l'époque il partait du principe qu'une observation concrète avait eu lieu sur le palais de justice. Comme Raymond Wagner, il avait donc été surpris que le Bommeleeër n'ait pas été attrapé.

La dernière confrontation de la séance opposait Pierre Kohnen au colonel Gretsch, l'ancien commandant de l'armée. Pierre Kohnen déclare avoir contacté – suite au suicide de l'armurier Henri Flammang en 1995 – le colonel Gretsch pour obtenir des informations sur le réseau Gladio/Stay Behind. Dans son bureau, le colonel Gretsch lui aurait présenté la liste des membres. Henri Flammang n'en faisait pas partie.

Alors que dans un entretien avec le Luxemburger Wort, le colonel Gretsch avait répliqué ne pas se souvenir d'un entretien avec Pierre Kohnen, il expliquait hier que le 29 juillet 1995, Pierre Kohnen lui avait rendu visite pour céder des armes à l'armée. «De ma part, il n'a rien entendu du Stay-Behind», poursuit-il. Il n'aurait pas non plus détenu une liste des membres du réseau.

Le procès se poursuivra lundi avec l'audition d'Armand Dousemont et la lecture des verbatims de la confrontation entre André Glodt et Armand Schockweiler.

La journée de hier a été très intéressante. Le Luxemburger Wort a omis de parler du Prince Guillaume et a aussi mal retransmis ce dires des témoins. Il faut se méfier du journal de l'évèché!!
La piste du Prince Guillaume n'émane de personne d'autre que l'ancien Procureur d'Etat en retraite! Donc des hautes sphères de l'Etat Luxembourgeois!
Fait flagrant était également les dires de Dousemont qui a confirmé que André Schockweiler avait récupéré les pièces à convictions alors qu'il n'était même plus à la Gendarmerie!
Et troisième fait marquant que tous les membres de la Brigade Mobile sont venus toucher ces mêmes pièces à convictions avant qu'ils ne soient enlevés par Schockweiler.
Donc la Brigade Mobile était bel et bien les exécutants des attentats .
Est ce qu'ils les ont fait ensemble avec le ou les princes?
Les officiers étaient tous au courant!
Reste la question s'il y avait l'Otan sous une forme ou une autre derrière?

@ MarcoMille

"Et troisième fait marquant que tous les membres de la Brigade Mobile sont venus toucher ces mêmes pièces à convictions avant qu'ils ne soient enlevés par Schockweiler."

il s'agissait seulement des membres de la BMG ou en tout court plus ou moins tout le monde la Gendarmerie? Si je me rappelle bien , ce qu'il avait dit au tribunal hier, c'était pas seulement la BMG ...

il y a toujours beaucoups de choses dites qu'on ne retrouve pas chez le wort& tageblatt ticker; simple lapsus ou de la mauvaise volonté? où les deux? l'un n'exclut pas l'autre

ce que j'avais écrit ici sur les fusils FAL et "Les Laurentides" faisait défaut dans les deux ticker