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| Vague d'attentats au Luxembourg | |
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Auteur | Message |
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K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Ven 20 Déc 2013 - 18:30 | |
| http://5minutes.rtl.lu/fr/actualite/luxembourg/496058.html |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Sam 21 Déc 2013 - 13:26 | |
| en octobre : - Citation :
- 17:44 Dabei seien zum Beispiel Sicherheitsfirmen observiert worden, so Zenners.
17:45 "Ben Geiben hatte auch eine Sicherheitsfirma mit dem Mossad gegründet", grunzt der Maître. "Komisch, dass Geiben auch hier wieder ins Spiel kommt. Sicherheitsfirmen werden observiert, aber Geiben nicht?"
17:48 Die Diskussionen driften nun ab. Es geht um Guy Santer, der bei der Polizei war und dann selbst eine Sicherheitsfirma gegründet hat.
17:49 Eine letzte Frage der Staatsanwaltschaft: Er will nochmals auf die Steil-Episode zurückkommen. Der Zeuge habe rumgedruckst. Oswald will mehr wissen.
17:50 "Ich bin ihm aus dem Weg gegangen. Ich hatte ihn im Verdacht, Kontrollen im Nachtmilieu den Betroffenen angekündigt zu haben. Mehr kann ich aber nicht sagen", so Zenners.
17:52 Er habe nichts beweisen können, deshalb möchte der Zeuge hierzu nichts sagen.
17:52 "Wir sehen Ihnen ab, dass Sie etwas los werden möchten", sagt die Richterin.
17:53 "Wir sind einfach nicht miteinander klar gekommen.
Als Steil über die Polizei hergefallen ist in der ,Affaire du siècle', das hat mich getroffen. Ich hätte ihm fast einen Faustschlag verpasst, wenn Geiben nicht dazwischen gegangen wäre", so Zenners.
17:54 Das Gericht fischt weiter. Doch der Zeuge will nicht mit der Sprache rausrücken. Auch den Prozessbeobachtern scheint, als wisse Zenners etwas.
17:56 Der Staatsanwalt will vom Zeugen wissen, ob er noch andere Zeugen kennt aus der Gendarmerie oder der Polizei, die Angaben zu dieser Affäre machen könnten. Neben Alain Thill natürlich, der auch vorgeladen wurde.
17:56 Ihm falle niemand ein.
17:57 Der Zeuge ist entlassen, der Prozess für heute beendet. je pensais d'avoir compris que cette affaire du sciècle était une affaire avec une équipe de compagnie aérienne qui avait loué ensemble qqs apparts à Luxembourg comme place de repos entre des étapes; cette va et vient de bel hommes et femmes hôtesses de l'air avait fait penser à un réseau de prostitution avec de trafic de drogue et cela a mis la gendarmerie en opposition avec la police . finalement il n'y avait RIEN ! mais cela a entrainé des blessures émotionelles graves entre les deux services , (policier en tôle ? )puis on parle aussi qu'on a voulu mettre la gendarmerie ensemble avec la police ce qui a donné d'autres tensions.. qui en connait plus sur cette affaire du sciècle ? add : bizarrement via Google on tombe sur une autre affaire avec collision polices et là dedans il y a un "STEIL" mais proprio d'un hotel de passe !!! mis en tôle. http://www.luxprivat.lu/News/EXKLUSIV-Steuern-auf-Huren-und-die-Jahrhundertaffaere-Jos-Hoffmanns-legendaeres-Zum-Schweigen-verdammt-XXIV comme écrit dans l'article le Luxembourg ne "manque qu'un toit " et c'est le plus grand bordel du monde ...... ou le premier, ficke , quand et où il veut . |
| | | VictoryII
Nombre de messages : 103 Date d'inscription : 09/04/2013
| Sujet: deleted by user Sam 21 Déc 2013 - 16:39 | |
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Dernière édition par VictoryII le Jeu 26 Déc 2013 - 1:29, édité 1 fois |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Sam 21 Déc 2013 - 19:42 | |
| http://www.eluxemburgensia.lu/R/3VUJMRHQFDJDNI7HJ835P6BAD3PFRTKGD9F8E8UU8BJ56SJMPI-03328
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| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Sam 21 Déc 2013 - 20:05 | |
| Letzeburger land
Nr 37 16 septembre 1983
Attaches douteuses
La WACL (World Anticommunist Ligue) qui tiendra son congres à partir de mardi prochain à Luxembourg, n'aura pas le plaisir d'accueillir Pierre Werner à sa séance d'ouverture.
C'est déjà une chose, mais cela n'enlève rien au fait que notre capitale inscrira son nom dans la liste particulièrement révélatrice des précédents lieux de rencontre de cette « étrange « organisation. Au choix : Taîpeh, Séoul, Saigon, Manille,Asuncion (Paraguay)... Qu'on la considère dans son implantation géographique ou par ses liens historiques, la WACL se dévoile être une organisation de liaison entre la droite musclée et l'extrême droite fasciste. Financée par les gou- vernements de Chine nationaliste, de Corée du Sud, des Philippines et de l'Arabie Saoudite, la WACL est divisée en régions mondiales regroupant des sections nationales. À Luxembourg, elle ne semble pas avoir d'autre implantation que la participation — isolée — de Pierre Grégoire à cette ligue peu avenante.
Ce n'est pas le cas de la Belgique.L'- European Committee for World Freedom • dirigé par le général Robert Close et le commandant Georges Rombouts qui a organisé la réunion de Luxembourg, se révèle être un lieu très riche en relation avec les anciens et nouveaux fascistes. Ces liens remontent en fait aux années 30 et à la période de la Ligue Nationale.
Le personnage-clé de ces « brigades noires « d'avant et d'après- guerre est Marcel De Roover (mort en 1970), tête pensante de l'extrême droite léopoldiste et principal homme de confiance de la haute finance belge pendant plus d un demi-siècle,et auquel Rombouts a été très lié. Le journaliste belge Walter De Bock rappelle ainsi que « financée en grande partie par la Banque de Bruxelles et la Brufina, deux institutions financières contrôlées par le baron de Launoit, De Roover put développer la WACL »
L'antenne de la WACL en Belgique est la « Ligue Internationale de la Liberté « qui entretient des rela- tions tant avec le CEPIC (aile droite du PSC-CVP) de Paul Vanden Boyenants, qu'avec le • Cercle des Na- tions », lui-même lié au Centre Européen de Documentation et d'Information (Otto Habsburg).
Une partie de ce joyeux monde a des attaches avec les fascistes belges réunis autour du • Nouvel Europe Magazine », mais aussi avec l'ABN (Antibolchevist Ligue of Nations) issue de l'armée Vlassov ... Autant dire que la semaine prochaine à Luxembourg, on retrouvera le gratin de l'internationale fascisme et néo -nazie. Thierry Daman |
| | | kowalski
Nombre de messages : 270 Date d'inscription : 28/03/2013
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Dim 22 Déc 2013 - 11:51 | |
| le courrier de leopoldine
est-ce que j'ai loupe quelque chose ou vous l'avez mis ,juste comme exemple, cet article?
merci
kowalski, ex agent 1000 ( 1 triple zero) |
| | | VictoryII
Nombre de messages : 103 Date d'inscription : 09/04/2013
| Sujet: deleted by user Dim 22 Déc 2013 - 13:09 | |
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Dernière édition par VictoryII le Jeu 26 Déc 2013 - 1:31, édité 1 fois |
| | | kowalski
Nombre de messages : 270 Date d'inscription : 28/03/2013
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Dim 22 Déc 2013 - 14:05 | |
| en luxembourgeois seulement R. Biever s'explique sur la chaine radio 100.7
http://www.100komma7.lu/emissions/2013/12/21/srel-bommeleeer-luc-frieden-de-robert-biever-erklaert-sech/
De Procureur Général d’Etat fuerdert eng Reform vun der Police Judiciaire. “Dir kënnt der Justiz déi schéinsten Onofhängegkeet gi vun der Welt. Wa se keng qualifizéiert Enquêteuren huet, dann ass dat wéi en Dirigent ouni Museker”, esou de Robert Biever an der Emissioun Riicht Eraus hei um 100,7. Et wier e Problem, datt d‘Enquêteurë vun vum Untersuchungsriichter dirigéiert ginn, datt se awer administrativ vun der Police an domat vum Policeminister ofhängeg sinn.
Seng Aussoen am Juni iwwer d’Roll vum fréiere Minister Frieden an der Bommeleeër-Affaire an iwwer d’Dysfonctionnementer am Geheimdéngscht, bereit de Procureur Général net. Dat hie reprochéiert krut, kuerz virum Mësstrauensvote géint de Luc Frieden e Rückzieher gemaach ze hunn, hätt hien extrem béis gemaach. “Déi Leit solle bei den Ourendokter goen”, esou de Robert Biever.
ps je n'ai pas encore trouvé un site de traduction lux-francais |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Dim 22 Déc 2013 - 14:35 | |
| De Procureur Général d’Etat fuerdert eng Reform vun der Police Judiciaire. “Dir kënnt der Justiz déi schéinsten Onofhängegkeet gi vun der Welt. Wa se keng qualifizéiert Enquêteuren huet, dann ass dat wéi en Dirigent ouni Museker”, esou de Robert Biever an der Emissioun Riicht Eraus hei um 100,7. Et wier e Problem, datt d‘Enquêteurë vun vum Untersuchungsriichter dirigéiert ginn, datt se awer administrativ vun der Police an domat vum Policeminister ofhängeg sinn.
Le procureur exige une reforme dela police judiciaire . Vous connaissez une justice qui n'a une similacre d' independance du monde (societé). Où il n'y a pas d'enqueteurs competents ... cela est comme un dirigent sans musiciens , disait Robert Biever ds l'émission "TOUT DROIT en AVANT" chez 100.7 . Et nous avons un probleme que les Enquêteurs sont bien dirigé par le J.I. mais administratievement ils dépendent de la police et comme cela de la ministre de la police. .
Seng Aussoen am Juni iwwer d’Roll vum fréiere Minister Frieden an der Bommeleeër-Affaire an iwwer d’Dysfonctionnementer am Geheimdéngscht, bereit de Procureur Général net. Dat hie reprochéiert krut, kuerz virum Mësstrauensvote géint de Luc Frieden e Rückzieher gemaach ze hunn, hätt hien extrem béis gemaach. “Déi Leit solle bei den Ourendokter goen”, esou de Robert Biever
Ses déclarations en Juin sur le rôle de l'ancien Ministre Frieden ds l'affaire de Bommeleer et sur le dysfonctionnement de la SREL ne convienent ?(bereit?) pas le procureur General.
On lui a reproché d'avoir fait marche arrière juste avant le vote de confiance contre Luc Frieden et cela l'a faché énormément : Les gens doivent aller voir le medecin des oreilles , dixit Rober Biever
(l'oto-rhino-laryngologie ) |
| | | kowalski
Nombre de messages : 270 Date d'inscription : 28/03/2013
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Dim 22 Déc 2013 - 15:03 | |
| ah j'en ai enfin trouve un on se rapelle les nombreuses meeting en prives geiben avec biever plus enqueteurs le prince avec biver et frieden chez frieden dans sa barraque je me demande si la raison d'etre n'etait pas pour camoufler ces meetings si on se rencontre en prive et hors des batiments de la justice, on ne doit pas les noter dans des dossiers ergo ni vu ni connu, sauf si ca casse mais meme si ca se fait savoir on s'excuse style biever: oh, c'etait pas trop intelligent de ma part et oui le pauvre |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Dim 22 Déc 2013 - 18:42 | |
| il a declaré qqs part qu'il voulait avoir un impression qui était ce personne de Geiben en privé.
il semble avoir aussi demandé si il savait qqs chose . il a répondu que non .
dépendant de quelle piste que tu veut suivre cette réponse à multiple facettes
mais si c'est une amalgamme de faits disparates faite par des differents groupes c'est trop compliqué à le placer.
----- avec bou. , muhl. et backfish ds le WACL après 1986 et GREGO , déjà avant 1983 on peut supposer que les élections de juin 1984 ont été influencér par cette réunion du WACL fin octobre 1983 d'où les histoires de financements occultes venant de l'exterieur pour le cette élèction
mais c"est les socialistes qui ont fait le plus d'avancement :
Christian Social People's Party 1,148,085 36.7 25 +1 Luxembourg Socialist Workers' Party 1,104,740 31.8 21 +7 Democratic Party 614,627 20.4 14 –1 Communist Party of Luxembourg 165,960 4.4 2 0 Green Alternative Party 169,862 4.2 2 New Independent Socialist Party 81,002 2.4 0 New
il me semble que le calcul des sièges ont changé un peu aussi
Dernière édition par K le Lun 23 Déc 2013 - 16:46, édité 1 fois |
| | | kowalski
Nombre de messages : 270 Date d'inscription : 28/03/2013
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Dim 22 Déc 2013 - 18:51 | |
| ben voila; le grand biever dit aussi qu'il souffre d'amnesie; auto diagnose sur antenne et pas besoin d'un neurologue au frais de la princesse notre honorable biever affirme qu'ilne peut plus se rapeller pour quelles parties et candidats ils votaient en octobre pour les elections legislatives ne faite pas erreure; c'est un luxo du type electeur csv_ "csv staat mönch"; alors il ne souffre certainement pas d'un certain humeur belge .... |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Lun 23 Déc 2013 - 11:22 | |
| devant le tribunal:il y a des semaines : INFO: J.I. JAEGER :Jaeger bestätigt, zur Zeit der Attentate Untersuchungsrichter gewesen zu sein. Er habe das Dossier von Herrn Goerens übernommen Dies muss so zwischen September und November 1985 gewesen sein. après J.I. Prosper Klein>.nov 1991 - Zenne Enq. KLEIN déclare que Haan avait parlé à un moment avec Diwisicour SCHOCKW sur la possibilité que piste G est parmi les bommelaar... - Citation :
- 15:09
Es geht um die Zeugenvorladungen. Verschiedene Zeugen hätten schon angemeldet, dass ihnen die vorgeschlagenen Daten nicht passen. Dazu gehören Charles Hoffmann und der IGP-Direktor Marc Zovilé. Montag, den 21. Oktober 2013 15:09
15:09 Bevor die ersten Zeugen zu Wort kommen, will Ermittler Klein nochmals die Hauptpunkte der Attentatsserie durchgehen ... als Zusammenfassung. Montag, den 21. Oktober 2013 15:09 15:10 Er versucht, die Attentate zeitlich zu situieren. Die Sûreté sei zuständig gewesen für die Ermittlungen, drei verschiedene Abteilungen. Montag, den 21. Oktober 2013 15:10
15:11 Nach dem Wechsel an der Spitze der Gendarmerie habe auch ein Wechsel der Ermittlungsstrategie statt gefunden. Montag, den 21. Oktober 2013 15:11 15:12 Klein zählt nochmals die verschiedenen Ermittlungsbeamte auf. Montag, den 21. Oktober 2013 15:12
15:13 Nun zum Palais de Justice: "Wenn wir von diesem Attentat sprechen, dann kommen wir nicht umher, auch von der Spur Ben Geiben zu sprechen", meint Klein und geht im Schnelldurchlauf nochmals auf die Karriere des ehemaligen Offiziers ein. Montag, den 21. Oktober 2013 15:13 15:14 Am 1. August 1984 hatte er seine Demission eingereicht, die am 30. September in Kraft trat. Nur wenige Leute hätten von den wahren Gründen seiner Demission gewusst, darunter Colonel Wagner, Staatsanwalt Hary, aber auch Pierre Reuland, der Nachfolger Geibens bei der BMG. Montag, den 21. Oktober 2013 15:14
15:15 Schockweiler sei damals von Ermittler Haan über verschiedene Elemente bezüglich Geiben informiert worden, woraufhin der Sûreté-Chef den Gendarmerie-Kommandanten darüber in Kenntnis gesetzt hatte. Montag, den 21. Oktober 2013 15:15 15:16 Es wurden Elemente aufgezählt, die Geiben in den Kreis der Verdächtigen rückten: seine Ausbildung, die Art der Erpresserbriefe etc. Montag, den 21. Oktober 2013 15:16
- Berscheid déclare que c'est pendant la réunion du 9 octobre 1985 suivant la note de HARPES de reorganisation des recherches du 7 octobre 1985 que Haan avait lancé la piste G et qu' un grand silence était tombé .... (iso presto avant midi Schock est allé voir (ou pas) le J.I. de jaeger qui lui a filé un CRI ou pas ? et il est parti à bruxelles après que Harpes a téléphoné à bruxelles de ce premier entretien on ne sait pas grand chose en tout cas : - Citation :
- 17:15 ::Am 7. Oktober 85 wurden von Harpes die neuen Ermittler in der Bommeleeër-Affäre genannt. In einer Note aux Officiers stand Haan an erster Stelle. Doch er wurde nie darüber in Kenntnis gesetzt. Er wusste ganz einfach nicht davon.
>>- - Citation :
- Le 11 octobre 1985 le ministre de la Force Publique avait créé un comité des adjoints des
dirigeants de l'Armée, de la Gendarmerie, de la Police et du SREL aux fins d'établir une liste « d'objectifs possibles pour des attaques à la bombe perpétrées à la Ville de Luxembourg » et d'examiner toutes les possibilités susceptibles de guider les chefs de la Gendarmerie et de la Police dans le cadre du dispositif à mettre en place pour réprimer «la série d'actes criminels en question » et prévenir « à l'avenir » toute perpétration d'attentat à la bombe 280. Or, le délégué du SREL, Monsieur Jean WEYDERT, fut écarté du groupe par Monsieur le colonel de Gendarmerie Charles BOURG au motif qu'il n'avait pas la formation adéquate en la matière281!
15:18 Am 14. Oktober wurden die Ermittler darüber informiert, von Jos Steil, dass Geiben am folgenden Wochenende nach Luxemburg kommen würden. -15 octobre 1985 commandement unique Gendarmerie -police apparait ds le journal (reorganisation)
-Une demande du Commandant de la Gendarmerie Aloyse HARPES du 15 octobre 1985 pourrenforcer l'équipe des enquêteurs ( !) par deux membres du Service de Renseignements poureffectuer des filatures spéciales est restée sans suite
- - Citation :
- Interessantes von Haan
Der ehemalige Chefkommissar der Sûreté Paul Haan hatte da schon Interessanteres zu berichten. Im Oktober 1985 sei es nämlich zum Bruch zwischen ihm und dem neuen Chef der Gendarmerie, Aloyse Harpes gekommen. Dieser habe ihm klarzumachen versucht, dass die Ermittlungen eine interne Polizei-Angelegenheit seien und er seine Funde nicht mit der Justiz zu teilen habe. Da er nicht einverstanden war, wurde er von den Ermittlungen abgeschnitten. Haan sollte später auch nie erfahren, dass er Anfang Oktober eigentlich noch als Chefermittler vorgesehen war.
Dennoch sollte er am 17. Oktober 1985 mit den Kommissaren Linden und Büchler sowie Sûreté-Chef Armand Schockweiler nach Brüssel fahren, um die CRI auszuführen. Dabei habe Schockweiler ihm eröffnet, dass dieser bereits eine Woche zuvor mit der Kriminalpolizei in Belgien gesprochen hatte. „Einfach lächerlich“, so das Fazit des Ex-Ermittlers. Schockweiler sei ohne offizielle Erlaubnis nach Brüssel gefahren, zurückgekommen, dann wieder zusammen mit drei Ermittlern nach Brüssel gefahren, nur um diese dann vor Ort von den Gesprächen mit dem belgischen Major auszuschließen
-Schockw y est retourné à Bruxelles le 17-18 octobre avec un CRI et avec HAAN et deux autres collègues ( Büchler ,....) et
Haan déclare qu'ils ne savaient pas pourqoui ils devaient y aller et en plus on les avait écartés des réunions et ils sont allés boire une bière de cérise avec les collègues belges.
- Citation :
- Der Rest ist inzwischen bekannt: Am 17. Oktober 85 fährt Sûreté-Chef Schockweiler mit drei Ermittlern – Paul Haan, Lucien Linden und Guillaume Büchler – zur Kriminalpolizei in Brüssel. Die drei Ermittler müssen draußen bleiben, während Schockweiler mit seinem Brüsseler Homologen über die Kooperation berät
.
-Schock retourne sans eux le même jour ?,ils retournent que le lendemain matin avec la deuxième voiture?
et là le vendredi devait y avoir une réunion vers 17h pour préparer une observation de G le WE qui est déjà préparée par Stebens depuis le mardi 14-15 octobre 1985
18 octobre 1985 commandement unique Gendarmerie -police apparait ds le journal ^
tout cela cloche de tout bord
1.:avant ,sous Wagner jusqu'en 1 octobre 1985 Haan a déclare qu' il n'enquêtait pas mais que Wagner lui avait demandé de ramasser toutes infos , mais qui enquetait donc avant le 1 octobre? QQs part on l'avait nommé "chef d'enquete" sur papier mais il ne l'a vu cela que 20 ans après!
add: - Citation :
- Er will auch betonen, dass er am 13. Mai 1985 von Colonel Wagner angestellt wurde "alles zu sammeln, was an Beweisen herein kam". Dies sei bis zum 1. Oktober 1985 der Fall gewesen.
Montag, den 21. Oktober 2013 17:10
Er sei nicht Ermittler beim U-Richter gewesen. Er habe nur diese Aufgabe gehabt: das Sammeln von Informationen, um sie dann an die Ermittler weiterzugeben. Montag, den 21. Oktober 2013 17:11
17:13 Harpes habe ihn in der ersten Woche zu sich gerufen, um ihm ans Herz zu legen, dass es sich hier um "eine polizeiliche Ermittlung" handele, und es nicht angebracht sei "Informationen an die Justiz weiterzuleiten". "Ich habe ihm zu verstehen gegeben, dass ich mit dieser Vorgehensweise nicht einverstanden war. Ab diesem Tag erhielt ich keine Informationen mehr", so Haan. Montag, den 21. Oktober 2013 17:13
17:14 Harpes hatte ihm also aufgetragen, die Justiz außen vor zu lassen. Montag, den 21. Oktober 2013 17:14 17:15 Am 7. Oktober wurden von Harpes die neuen Ermittler in der Bommeleeër-Affäre genannt. In einer Note aux Officiers stand Haan an erster Stelle. Doch er wurde nie darüber in Kenntnis gesetzt. Er wusste ganz einfach nicht davon. Montag, den 21. Oktober 2013 17:15
ADD :>>le sabotage de HAAN commence le 2 octobre 1985 déjà mais on oublie volontairement de le rayer comme chef ! sur papier !!! et c'était là déjà claire à HARPES que c'était une affaire politique tandis que on n'avait aucune piste !!!!!!!!!
2.:entre le 1 octobre ,date du retraite de Wagner et la note de ré-organistion des recherches par Harpes (7/10/85 je doute fort que qqs chose changait de soi -même .
3.: avec la note du 7 octobre 1985 et l'explication dans la réunion du 9 octobre le GOR et le GE sont constitués et qqs part DIWISICOURT est mis en avant comme chef des enquêteurs ; il n'a aucune experience criminelle et vient du departement "feu" !
il rapporte à Schockweiler avec dessus Bourg et Harpes.
aucun fait rapport au J.I. dejaegere.
entre le 9 et le 18 octobre l'observation est préparé tandis que à Bruxelles on essaie de suivre Geiben qui les remarque derrière lui.
- Citation :
- Dann kam es zur CRI nach Brüssel am 17. Oktober.
Montag, den 21. Oktober 2013 17:16
le 18 cela fait boum ds le palais de justice où se trouvent les dossiers du J.I.dejaegere qui ne fait le dossier bommeleer que depuis 6 semaines mais ds son bureau il y aussi les doc du J.I. Banco ambrosiano holding ?qui instruit la disparition de 250 million d'un compte et c'est pour cela que ce juge est parti en Uruguay où on lui file le fils de Gelli ds les pattes dès son arrivée à laeroporto.
- Citation :
- 16:21
Me Lorang schlägt nun vor, Me André Lutgen, den damaligen Untersuchungsrichter und Bürokollegen von Marc Jager, vorzuladen. Montag, den 21. Oktober 2013 16:21
16:23 Me Lutgen habe ihr vor wenigen Tagen erzählt, dass er zu dieser Zeit in Uruguay weilte, auf der Suche nach 250 Millionen Franken, die veruntreut wurden. Quasi als Willkomensgeschenk hätten die Uruguay ihm Licio Gellis Sohn ausgehändigt. Montag, den 21. Oktober 2013 16:23
:traduction:
Citation : - Citation :
- le collègue J.I. Luthen qui était dans le même bureau que le JI du bommeleer que les boemelaars ont soufflé le 19 octobre 1985 était à ce moment là parti en Uruguay à la recherche de 250 millions qui était disparus (au Luxembourg affaire du Holding Ambroziano?) reçoit comme cadeau d'accueil , le fils de Gelli ds ces pattes par les authorités Uruguaines.
vu que au même moment il y a en plus une attaque de banque du BIL avec la mort d'un policier on retire le JI Dejaeger du dossier bommeleer pour travailler sur la criminalité et la bande de wasserbillig ; Haan semble être retire aussi du groupe GE à peine commencé
-le même lundi ST.EBENS est parti en stage en Allemagne pour deux semaines
-le même lundi Reul reprends du service après sont stage en Allemagne
-le même lundi Zo.vile qui était de service est au répos après son travail de garde du WE
-le même lundi Bour^. se retourne encore et dort....
le même lundi Le groupe GOR déménage des bâtiments de BMG où ils étaient ensemble avec les membres du groupe BMG ne faisant pas parti du GOR (tiens et le secretaire en commun STEIL?)
-le même lundi personne ne s'occupe encore du piste G. en on tait tout cela jusqu'en 2003 où ds un dossier SREL cette observation fait surface.
je conclus que on doit essayer de retrouver les déclarations de HAAN (sur la periode Wagner >9 octobre 1985 pour savoir l'origine de la piste G. qu'on met sur son DOS.
et deuxièmement voir si l'attentat bommeleer n'est une diversion pas pour déranger le J.I du procès banco ambrosiano ??????
le fait que personne ne s'en occupe a partir du lundi est une indication que tous savait que la piste Geiben était une leurre pour le mettre les ou l'attentat bommeleer sur le dos , elle même diversion pour des magouilles financiers ds le cadre WACL-GELLI ???
mais à ce moment comment expliquer que ces officiers mettent " l'idee "Geiben== Bomm." 'sur l'excellent enqueteur HAAN ?
on l'a cherché visiblement car quand le JI Prosper Klein réclamait vers début 1986 d'avoir des vrais enquêteurs et plus ce Diwisicourt qui avait fait une fausse PV et qui était venu avec une pendule !!auprès de prosper Klein ,
deux enquêteurs dont HAAN qui voulait travailler pour Klein était de force promus à des postes qu'ils ne voulaient pas.!!!! et plus tard par note qui est allé jusqu'au backfish pour lui punir et retiré son arme de service !!!!!
Dernière édition par K le Lun 23 Déc 2013 - 17:39, édité 6 fois |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Lun 23 Déc 2013 - 13:46 | |
| et bien retrouvé le 76 ième jour dieu inventait la lumière !!!! Haan avait clairement déjà indiqué que les déclarations de Schockweiler contiennent des erreurs: - Citation :
17:16 Dann kam es zur CRI nach Brüssel am 17. Oktober. Montag, den 21. Oktober 2013 17:16
17:17 Er sei u.a. zusammen mit Sûreté-Chef nach Brüssel gefahren. Dieser habe ihm dabei eröffnet, dass er bereits eine Woche zuvor dort vorgesprochen hatte. "Ahhh, interessant", sagt Me Vogel.
17:18 Ob er sich denn nicht gewundert habe, dass er mit nach Brüssel genommen wurde, obschon er nicht wusste, dass er überhaupt auf der Liste der Ermittler stand. "Doch, schon", sagt Haan. Er habe halt Kontakte in Brüssel gehabt. Das hätte eine Erklärung sein können. 17:19 Die Richterin wundert sich, dass dann nicht die eigentlichen Bommeleeër-Ermittler um Jean Disiviscour mitgenommen wurden.
17:19 In Brüssel sei man von der Police judicaire (ADD en fait=BSR) empfangen worden. Doch habe Armand Schockweiler dort alleine mit den Offizieren "verhandelt". 17:20 "Wieso mussten Sie überhaupt zu Dritt nach Brüssel fahren, wenn Sie nicht mal wussten, dass Sie auf der Liste standen", will Staatsanwalt Oswald wissen. 17:21 Schockweiler hätte ihm noch in Luxemburg mitgeteilt, dass es um Geiben ging. "Die Politik sah ihn hinter den Attentaten", meint Haan und nennt den ehemaligen Abgeordneten Simon. 17:22 "Schockweiler behauptet, er habe die CRI aufgrund Ihrer Informationen angefragt", meint nun die Richterin.
"Nein, das stimmt nicht.
Uns wurde gesagt, der Chef wünsche sich diese Ermittlungen", sagt Haan und meint damit Schockweiler.
17:23 Die Richterin liest Haan die diesbezüglichen Aussagen von Schockweiler vor der U-Richterin vor.
17:23 Da sieht man schon, dass das falsch sein muss", sagt Haan und weist auf Ungereimtheiten in dieser Aussage hin.
17:24 Wie Staatsanwalt Oswald bereits vor zehn Minuten sagte: "Mich freut es zu sehen, dass endlich mal einer hier noch ein hervorragendes Gedächtnis hat".
17:24 "Was wurde Ihnen als Grund genannt, weshalb es nach Brüssel ging?", will die Richterin wissen.
17:25 "Schockweiler hat keine konkreten Erklärungen gegeben.
Er sagte uns nur, es gehe um Geiben.
Wenn unser Chef uns aufträgt, mit zu fahren, dann fahren wir mit", meint Haan.
Die Richterin weist aber darauf hin, dass Haan, Büchler und Linden aber in einem Auto fuhren, Schockweiler in einem zweiten.
17:26 "Lachen Sie nicht, aber es war im Endeffekt nur Schockweiler, der mit den belgischen Behörden sprach und verhandelte. Den Inhalt der Mappe, die er nachher erhielt, habe ich nie gesehen", so Haan.
17:27 "Mir sinn dono Kiischte-Béier drénke gangen. Daat ass daat, waat ech zu Bréissel geschafft hunn: Kiischte-Béier gedronk", so Haan.
Er sei mit den belgischen Gegenparts halt ein Bier trinken gegangen, nachdem er und seine Kollegen von Schockweiler weggeschickt worden waren.
17:28 "Uns wurde aufgetragen, eine Liaison herzustellen, zu den belgischen Kollegen. Das haben wir getan", meint der rüstige Rentner.
17:29 Beim "Kiischte-Béier" erfuhr Haan dann von einem belgischen Adjudanten, dass die Luxemburger Gendarmerie wollte, dass die belgischen Kollegen Geiben observieren und mitteilen sollten, wann er nach Luxemburg kommen sollte.
17:30 "Die Belgier hatten aber alle Hände voll zu tun mit den CCC", betont Haan. Eine Observierung hätte ja auch nichts gebracht. Nicht mit Dienstwagen.
17:31 "Sie hätten ja auch zivile Wagen nutzen können", meint die Richterin. "Woher nehmen ...", entgegnet der schlagfertige Zeuge.
17:33 Me Vogel greift ein. Er liest Haan nochmals seine Aussagen vor der U-Richterin vor. Aus diesen Aussagen vom 18. März 2004 bei der PJ geht hervor, dass Haan keine gute Erinnerung an diese Reise nach Brüssel gehabt habe.
17:33 Er sei nur wenige Minuten im Büro des Major Torres gewesen. "Wir haben Hallo gesagt und dann sind wir auf ein Bier gegangen", so Haan.
17:35 "Der ganze Bericht ist zum Schießen", sagt nun Haan.
"Er geht eine Woche vor uns bereits zu den Belgiern. Wenn ich das gemacht hätte, wäre ich geflogen. Eine Woche bevor die offizielle CRI unterzeichnet wurde. Dann kommt er zurück nach Luxemburg und nimmt uns wieder mit nach Brüssel. Was soll das denn?", so Haan.
17:38 Am gleichen Tag der CRI hätten sich die belgischen Magistrate doch noch wegen der "Tueries du Brabant" getroffen.
"Die hatten doch keine Zeit für unser Anliegen", meint Haan. Dies sei ihm beim Kirschenbier bestätigt worden. "Schockweiler war ,grouss an aal' genug, das selbst herauszufinden. Es war nicht an mir, ihn darauf hinzuweisen."
17:38 "Sie haben also nie erfahren, was bei dieser Unterredung zwischen Schockweiler und Major Torres herausgekommen ist", fragt die Richterin.
17:40 "Nein", sagt Haan. Es sei dann auch plötzlich 18 Uhr gewesen und man habe das Hotel aufgesucht. Die drei Ermittler blieben die Nacht über in Brüssel. Schockweiler war nach seiner Unterredung zurück nach Luxemburg gefahren. 17:40 Ob man Geiben in Brüssel getroffen habe. So etwas habe Büchler ausgesagt. "Dann aber nur aus puren Zufall", sagt Haan.
17:44 Im Zusammenhang mit dem Attentat auf den Justizpalast kann Haan sich erinnern, dass sich ein Zeuge gemeldet hatte, der einen "schönen Mann" beim Justizpalast gesehen hatte. Daraufhin wurde ein Phantombild erstellt. "Doch das hätte auf hunderte Luxemburger gepasst", meint Haan, der der Richterin nun belustigt erklärt, dass die Art der Phantombildherstellung damals recht komisch war. "Ich habe mal versucht, meine Frau nachzumachen. Das wurde nichts", so der Zeuge. 17:45 Wann er denn von dem Attentat erfahren habe? "VIelleicht am Sonntag im Radio, wahrscheinlich aber erst am Montag im Büro", so Haan. Pour info: Das Attentat hatte am Samstag zuvor stattgefunden.
17:46 "Spätestens im Büro hätte man sich doch fragen müssen: Wo war dann der Herr Geiben?", meint die Richterin. Haan habe doch von der CRI gewusst. Wurde nicht in Brüssel nachgehakt? Habe er nicht nachgefragt? 17:47 "Madame, ich war nicht betroffen. Ich hatte mein Leben lang Probleme mit Harpes. Ich habe immer versucht, diesen Mann nicht zu provozieren. Als Untersuchungsrichter Klein mich zwei Jahre später fragte, die Ermittlungen zu übernehmen, wurde ich nur beeinträchtigt. Es waren andere Ermittler betroffen. Das war deren Aufgabe", meint der Zeuge.
17:48 "Schockweiler hätte Marc Jaeger schon nach seiner Rückkehr nach Luxemburg briefen müssen. Spätestens aber nach dem Attentat", betont Haan. 17:49 "Sie hätten sich doch auf Fragen stellen müssen. Und wenn auch nur unter Ermittlern", meint die Richterin. "Sie waren schließlich zu Dritt nach Brüssel. Haben Sie nicht mit Linden und Büchler gesprochen?"
17:50 "Ach, wissen Sie, das war Gewurschtels bei uns im Gebäude", antwortet der Zeuge.
17:52 Haan erklärt, er sei mit dem Zeugen vom Justizpalast noch vor Ort gewesen nach dem Anschlag. Er könne sich aber nicht mehr an dessen Namen erinnern.
17:54 Der Zeuge habe ihm daraufhin gezeigt, wo er den Verdächtigen gesehen hatte. "Und das war keine Stelle, von der man den Überblick hatte. Es wird immer gesagt, er sei Schmiere gestanden. Doch ich bezweifele, dass das von dieser Stelle aus möglich war", so Haan.
17:55 "Was wurde dann montags im Büro über das Attentat gesagt", fragt die Richterin. "Wie immer: Et huet geknuppt!", entgegnet der Zeuge.
17:57 Eine richtige Ermittlung sei zu jener Zeit sowieso nicht durchführbar gewesen, meint der Zeuge. "Das hatte Geiben als Chef der Sûreté selbst in einem Bericht niedergeschrieben. Er hatte bei seinem Antritt den Ist-Zustand der Sûreté analysiert und Tacheles gesprochen. Die Politik war nicht glücklich darüber", so Haan.
18:01 Dieser "Rapport Geiben" sei seiner Aussage vor der PJ nach - so die Richterin - auch einer der Gründe gewesen, weshalb Geiben gegangen sei. Dies habe Haan so ausgesagt. Haan bezweifelt, dass er richtig verstanden wurde. Dieser "Rapport" habe eher für Geiben gesprochen als gegen ihn.
18:02 Geiben habe die Gendarmerie auch nicht wegen seiner sexueller Orientierung verlassen müssen, so Haan.
"Geiben und Wagner hatten ein außergewöhnlich gutes Verhältnis", betont der Zeuge.
Mit Harpes hingegen habe Geiben aber ein schlechtes Verhältnis gehabt. 18:03 Nun meldet sich Me Vogel wieder vor Ort: "Ich wusste immer, dass das nicht der Grund war, weshalb Geiben die Gendarmerie verlassen hat. Sein Mentor, der Minister, war nicht mehr da. Seine Karriere war vorbei. Er wusste das", so Vogel.
18:05 Haan betont, dass Harpes als Polizeikommandant nicht glücklich darüber war, dass Geiben die Ermittlungen gegen den Hauptverdächtigen in der "Joërhonnertaffär" weiter getrieben hatte.
Das war nämlich der Polizeioffizier Rauchs.
18:05 Haan sagt jetzt auch, dass Geibens Orientierung in der Gendarmerie nie ein Thema gewesen sei. Das habe kaum jemand gewusst, meint der Zeuge.
18:07 Auf eine entsprechende Frage der Richterin entgegnet der Zeuge: "Von dem Moment an, an dem ich Colonel Harpes zu verstehen gab, dass ich nicht mit seiner Vorgehensweise einverstanden war, habe ich nichts mehr über die Affäre erfahren". 18:08
Die Sitzung wurde für heute aufgehoben. Morgen geht es um 15.30 weiter. Montag, den 21. Oktober 2013 18:08
18:08 Vielen Dank für Ihr Interesse! Montag, den 21. Oktober 2013 18:08 18:09
Verfasser :WORT.LU
Bommeleeër: Der 76. Verhandlungstag |
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| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Lun 23 Déc 2013 - 17:43 | |
| Citation : Überhaupt sei es vor allem die Politik gewesen, die die Ermittlungen gegen Geiben wollten, z.B. Josy Simon.
WICKI: p.e.: Simon war Abgeordneter des luxemburgischen Parlamentes für die ADR (Alternative Demokratische Reformpartei). Aufgrund eines Ausschlussverfahrens aus der Partei wechselte er 1991 in die DP (Demokratische Partei).
est ce que c'est le dernier parti dont on parle ici ? dont ce Simon était membre ?
Christian Social People's Party 1,148,085 36.7 25 +1 Luxembourg Socialist Workers' Party 1,104,740 31.8 21 +7 Democratic Party 614,627 20.4 14 –1 Communist Party of Luxembourg 165,960 4.4 2 0 Green Alternative Party 169,862 4.2 2 New Independent Socialist Party 81,002 2.4 0 New
non c'est pas possible car : c'est plustot une parti poujadiste et pour les senior :en plus ce nest que fondé apres les bommelleer donc ???
http://de.wikipedia.org/wiki/Alternativ_Demokratesch_Reformpartei
Die Alternativ Demokratesch Reformpartei (deutsch Alternative Demokratische Reformpartei, französisch Parti de réforme alternatif et démocratique), kurz ADR, ist eine politische Partei in Luxemburg, die am 12. Mai 1987 als Aktionskomitee 5/6 Pension für jeden (lux. Aktiounskomitee 5/6 Pensioun fir jiddfereen, fr. Comité d’action 5/6 de retraite pour tous) im Centre Convict gegründet wurde. Die Partei änderte im Verlauf ihrer Geschichte mehrmals ihren Namen, so benannte sie sich am 12. Oktober 1989 in Aktionskomitee 5/6 (lux. Aktiounskomitee 5/6, fr. Comité d’action 5/6) und am 22. November 1992 in Aktionskomitee für Demokratie und Rentengerechtigkeit (lux. Aktiounskomitee fir Demokratie a Rentegerechtegkeet, fr. Comité d’action pour la démocratie et les pensions) um. Ihren jetzigen Namen trägt sie seit dem Nationalkongress in Strassen am 2. April 2006 Die ADR setzt sich für den Erhalt und die Förderung der luxemburgischen Sprache im Gegensatz zum offiziell dominanten Französisch ein. Die euroskeptische und anti-föderalistische Partei wird als rechtskonservativ[13][14], katholisch-fundamentalistisch[14] und rechtspopulistisch eingeordnet.[15][11][16]
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| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Lun 23 Déc 2013 - 18:36 | |
| http://www.janda.org/ICPP/ICPP2000/Countries/2-ScandinaviaBenelux/27-Luxembourg/Luxembourg63-00.htm ..... - Citation :
- Continuity and Change in Political Parties, 1963-2000
Original Parties from 1950-1962, still continuing to 2000
271 Christian Social Party (CSV). The Christian Socialists have remained the dominant force in the politics of Luxembourg. Throughout the entire period of the original study, continuing to the year 2000, this party of the right has retained the highest number of seats in the Chamber of Deputies. From 1958 on, the CSV underwent a steady decline in parliamentary representation, with it actually falling out of the governing coalition from 1974 to 1979. However, in the 1979 elections, it recovered much of its losses. Unfortunately, this resurgence was short-lived, and the party has been slowly declining ever since, as smaller parties have slowly begun to erode at the support of Luxembourg's traditional ruling parties.
272 Socialist Workers‚ Party (LSAP). The LSAP has seen relative stability since 1983. While the Socialist Workers‚ Party has seen some electoral volatility since then, it has been minimal. LSAP consistently receives the second most electoral support of any party in Luxembourg.
273 Democratic Party. The Democratic Party reached the pinnacle of its strength in the early 1980s when it briefly eclipsed LSAP in electoral success. Since 1984, this party has undergone a slow but steady decline as smaller parties have made inroads into the electoral scene. However, while its electoral success often pales in comparison to the Socialist party, it has often been included in coalition governments with the Christian Social Party
- Citation :
- New Parties formed after 1962 and Continuing to 2000
275 Action Committee for Democracy and Social Justice. Also known as the Pensioner Party, this group changed its official name from the 5/6 party to its current moniker prior to the 1994 elections. This party was formed to increase pension benefits for citizens. The ADR, its German abbreviation, has steadily increased its electoral support since it first entered parliament in 1989.
2711 Green Alternative Party (GAP/Dei Greng). After forming in 1983 (Keesings, 1984: 33298), this environmentally-minded party underwent a schism in 1986. Two separate parties existed and contested elections until 1995 when the GAP fused with its splinter, the Green List Ecological Initiative, and ran under the name Dei Greng (Braz, 2000). After the 1995 consolidation, Dei Greng raised its parliamentary representation to eight percent.
2712 Green List Ecological Initiative (GLEI). This party formed in 1986 as a splinter from the Green alternative party. In 1989, it gained 3 percent of the seats in the Chamber of Deputies. In 1995, the GLEI rejoined with the GAP.
2713 New Left. The New Left was formed on January 30, 1999 as a conglomeration of former supporters of the Communist Party as well as other leftist groups. It is self-described as "postcommunist" (Dei Lenk, 1999), and supports a far-left agenda that includes a top-to-bottom redistribution of wealth. As of 2000, it had one representative in parliament, Andre Hoffmann.
Original Parties from 1950-1962 but terminating before 2000
274 Communist Party. The parliamentary representation of the Communists in Luxembourg steadily declined from its 1974 levels. By the 1989 elections, the Communist party was only able to secure one seat in the Chamber of Deputies, and did not contest the 1994 elections. Former Communist supporters went on to join with other activists to form the New Left Party.
New Parties formed after 1962 but terminating before 2000
277 Social Democratic Party. In 1971, M. Henry Cravatte, the leader of the LSAP, left the party, followed by many of his supporters, to found a new party. This faction believed that the Socialists should not enter into to coalitions with the Communists at the local government level. In addition, they were upset with the apparent "leftist" policies of the LSAP (Keesing, 1974: 26610). In 1974, the new party entered the elections independently. While initially they received a formidable amount of electoral support, over the next decade, that support evaporated, and the party dissolved in 1983. At that point one Deputy joined the CSV, and the other held his seat as an independent.
278 Enroles de Force. This "pressure group" (Keesing, 1979: 29901) was comprised of activists who called for the compensation from the West German government for the approximately 12,000 soldiers from Luxembourg who were forcibly enlisted into the German Army during World War II. While they gained enough support in the late 1970s to earn one seat in Parliament, they did not appear on the ballot for the 1984 election. At that point, its one Deputy in the Chamber of Deputies joined the CSV.
279 Socialist Independent Party. Led by M. Jean Gremling, the Independent Socialists formed to protest the fact that the LSAP was "compromising [its] ideals" (Keesing, 1979: 29901) The Independent Socialists garnered enough electoral support in 1979 to gain one seat in the Chamber of Deputies. However, by 1984, the party no longer had representation in parliament.
2710 Popular Independent Movement. This movement holds the distinction that, in 1964, it was the first new party to gain seats in parliament since 1950. However, it had a short life, and, come 1968, when it had changed its name to the Party of National Solidarity, was no longer represented in the Chamber of Deputies (Keesings, 1969: 23142 ). je pense que on peut en conclure que ce representant Simon était probalement, casé et elu ds le CSV en 1983 mais qu'il en est sortie en 1987 un peu comme le CEPIC , jetée dehors par Deprez en Belgique ? qui finit aussi chez GOL PRL En plus on peut se demander pourqoui on parle de ce monsieur S au tribunal ds les audiences vu que très peu de gens le connaissait la raison pourqoui G avait donné sa démission ala gendarmerie ? |
| | | K
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| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Lun 23 Déc 2013 - 19:05 | |
| ah le touriste S des partis politiques il est sicherheits chef de RTL !!! http://www.land.lu/2013/04/26/unter-dem-tresen-des-csv-staats%E2%80%A9/ - Citation :
- 26.04.2013
Weil es im Staat kriselt, werden kurz einige unansehnlichere Herrschaftsinstrumente sichtbar
Unter dem Tresen des CSV-Staats
Romain Hilgert
Jeder anständige Gastwirt hat einen Baseball-Schläger unter dem Tresen liegen für den Fall, dass gegen Mitternacht Randale in der Schankwirtschaft ausbricht und er die Herrschaft über sein Lokal zu verlieren droht. So hält auch der Staat diskret einige grobschlächtigere Herrschaftsinstrumente für den Fall bereit, dass Randale in der Volkswirtschaft ausbricht und ihm die Herrschaft zu entgleiten droht. Für den Fall, dass die Produktion gesellschaftlicher Zustimmung ins Stottern gerät und dadurch die Hegemonie verschwindet, wie Antonio Gramsci das nannte. Der Philosoph wusste, wovon er schrieb, denn er musste im Gefängnis schreiben. Die während Jahren vertuschte und nun zu Tage beförderte Krise im Service de renseignement de l’État sowie der zeitgleiche Gerichtsprozess um die Terrorserie der Achtzigerjahre gewähren dieser Tage einen kurzen Blick unter den Tresen des CSV-Staats. Premier Jean-Claude Juncker nannte diesen Einblick in seiner Erklärung zur Lage der Nation vor 14 Tagen „keine Staatskrise, aber es kriselt im Staat“. Das derzeitige Kriseln im Staat offenbart, dass jenseits aller frommen Theorien über die parlamentarische Demokratie Herrschaft auch ihre unansehnlichen Seiten hat. Dass sie nicht bloß auf den viel gerühmten Konsensualismus vertraut, sondern zu ihrer Absicherung notfalls auch bereit ist, autoritär und repressiv zu sein sowie sich über ihre eigenen Gesetze hinwegzusetzen. Dazu dient beispielsweise ein Nachrichtendienst, der mit allen legalen und notfalls auch illegalen Mitteln Angriffe auf die herrschenden Verhältnisse abwehren soll, sei es durch fremde Mächte, Terroristen oder politische Gegner. Dazu dienen im Extremfall sogar terroristische Angriffe auf die herrschenden Verhältnisse, um die Durchsetzung autoritärerer und repressiverer Verhältnisse legitimieren zu können. Deshalb tummeln sich auch allerlei zwielichtige Gestalten um diese unansehnlichere Seite der Herrschaft im CSV-Staat, bieten ihre Dienste an und versuchen, Geschäfte zu machen. Wie etwa der Elektronikspezialist M., der als Informant unbehelligt den Geheimdienst mit der angeblichen Aufnahme eines Gesprächs zwischen dem Großherzog und dem Staatsminister narrt. Oder der Holzhändler Armand Giwer, der im Nachrichtendienst ein- und ausging, der Justiz einen Bericht des französischen Geheimdienstes zusteckte, mit dem die Untersuchung der Terroranschläge der Achtzigerjahre wieder ins Rollen kam, und den Ermittlern erklärte, dass er mit seinem geheimen Wissen „etwas Kleines zu verdienen“ versuchte. Manchmal geraten solche Gestalten auch außer Kontrolle, weil sie gleich für mehrere Auftraggeber arbeiten oder eine offene Rechnung begleichen wollen. Dann müssen die Herrschenden oder wenigstens die Regierenden bluten, beispielsweise durch sorgsam destillierte Indiskre¬tio¬nen, wie es nun an den Folgen der vor ein paar Jahren gescheiterten Privatisierung des Nachrichtendienstes zu sehen ist. In der Regierung wird befürchtet, dass damit ganz nebenbei auch der Premier, der seine historische Rolle erfüllt hat und dem nicht anders beizukommen scheint, kurz vor den Wahlen demontiert werden soll. Schließlich gab es im 19. Jahrhundert eine ganze Geschichtsschreibung, die der Einfachheit halber darauf hinauslief, alle politischen Akteure als bezahlte Agenten, subsidiarisch als Freimaurer und Jesuiten, zu entlarven. Diese Literatur wiederbeleben auch die Mythomanen und Komplotttheoretiker, welche sich derzeit voller Mitteilungsdrang bei der Strafkammer des Bezirksgerichts melden, wie der Zeuge Andreas Kramer aus Duisburg, um auf der Terrorwelle der Achtzigerjahre zu surfen, die bis heute nicht so genannt werden darf. Mitte der Achtzigerjahre wurde mit Menschenrechten und Mittelstreckenraketen zur Entscheidungsschlacht zwischen Marktwirtschaft und Sozialismus ausgeholt, bei der niemand abseits stehen durfte – nicht einmal im kleinen Großherzogtum. Bei dem damaligen Bombenanschlag in den Kasematten blieb ein Koaxialkabel unbeschädigt, das heimlich vom Geheimdienst auf dem Heilig-Geist-Plateau bis zur sowjetischen Botschaft in Dommeldingen führte. Einer der Geheimdienstagenten antwortete den Ermittlern, er habe sich nicht weiter für die Beschattung möglicher Terroristen interessiert, „denn ich war für die russische Botschaft zuständig“.
Es waren auch die Jahre nach der sozialliberalen Koalition und der Rückkehr der CSV an die Macht, so dass selbst in Armee und Gendarmerie zwischen „Reformfreudigen“ und „Konservativen“ unterschieden wurde, wie die DP- und die CSV-Offiziere genannt wurden. In den Frontverlauf mischten sich auch die Parteipolitik und selbst deren Klientelismus. Der ehemalige Polizeibeamte und Angestellte des WSA-Militärlagers Guy Santer, ein Vetter des Wasserbilliger Polizistensohns und damaligen CSV-Premiers Jacques Santer, hatte zusammen mit Ben Geiben versucht, eine Sicherheitsfirma in Luxemburg zu eröffnen. Mit dem ehemaligen Kommandanten der Brigade mobile de la gendarmerie, über den der damalige Generalstaatsanwalt Camille Wampach gesagte hatte, dass die Sicherheitskräfte ein Täterprofil des Bommeleeër anfertigen ließen und nur eine Person diesem Profil entsprochen habe. Er war „14 Tage lang“, so Richterin Sylvie Conter, die „beste Spur“.
Guy Santers Vorbild war die Brüsseler Sicherheitsfirma Monitor, für die Geiben nach seinem Austritt aus der Gendarmerie arbeitete. Laut Santer habe es sogar mit seinem Vetter, mit Ben Geiben und dem Leiter der Brüsseler Sicherheitsfirma ein Treffen gegeben, bei dem Premier Jacques Santer versprochen habe, Mittelstandsminister Jacques F. Poos (LSAP) um eine wohlwollende Begleitung der Firmengründung zu bitten. Doch aus der Firmengründung mit dem liberalen Geiben sei „aus politischen Ursachen“ nichts geworden. Guy Santer habe es dann auf eigene Faust versucht, seine Firma erst Monitor Luxembourg, dann Molitor und schließlich humorvoll LSD (Lëtzebuerger Sécherheetsdéngscht) genannt. Doch nach kurzer Zeit musste er Konkurs anmelden, weil sich herumgesprochen hatte, dass er im Verdacht gestanden habe, etwas mit den Terroranschlägen zu tun gehabt zu haben. Der Vetter des Premiers hatte sich unter anderem wegen seiner Beziehungen zu Geiben verdächtig gemacht und war dann weit länger als dieser überwacht worden. Andererseits sagte der ehemalige GOR-Ermittler Trierweiler aus, dass DP-Minister Emile Krieps sich als Verantwortlicher für die öffentliche Macht wiederholt für die Laufbahn von Ben Geiben eingesetzt habe. Geiben sei auch ein guter Bekannter von DP-Bürgermeisterin Lydie Polfer gewesen, die wiederum gute Beziehungen zu Gendarmerie-Kapitän Marc Zovilé gepflegt habe. Laut Trierweile habe 1984 sogar das Gerücht die Runde gemacht, dass im Fall eines Wahlsiegs der DP Geiben Chef der Gendarmerie würde. Doch 1984 verlor die DP die Wahlen, der christlich-soziale Notar Marc Fischbach wurde Minister der öffentlichen Macht. So wurde Geiben auch ein wenig ein Opfer des Index-Wahlkampfs und verließ die Gendarmerie und das Land. Als Geiben im Mai 1987 nach Luxemburg kam, um in der Synagoge einen Vortrag über Terrorismus zu halten, erzählte Marc Zovilé während eines anschließenden Essens mit Ben Geiben und dem liberalen Konsul und Geschäftsmann Henri Roemer, vorübergehend auch RTL-4-Direktor und FLF-Präsident, dass laut Gerüchten Prinz Jean der Bommeleeër sei. Die Anklageschrift schlussfolgert, dass Geiben oder Roemer die Geschichte weitererzählt haben muss, da Zovilé und sein Vorgesetzter vom Hofmarschall zu einer Gardinenpredigt in den Palast bestellt wurden. Ein Zeitungsartikel über Geibens Vortrag in der Synagoge war das einzige Dokument, das bei einer Hausdurchsuchung im Geheimdienst in der Akte „Ben Geiben“ gefunden worden war.
Geiben war bei Hofe offenbar besser angesehen als Zovilé, da er in Luxemburg und im Feriendomizil Cabasson für den Personenschutz der großherzoglichen Familie zuständig war. Deshalb ging er notgedrungen „bei Hof ein und aus“, wie Gendarmeriekommandant Fernand Diederich sich erinnerte. Laut Kriminalpolizist Alain Thill soll Geiben auch fünf Monate lang eine Beziehung mit der Tochter von Hofmarschall Christian Calmes gehabt haben.
Als die Staatsanwaltschaft die beiden heutigen Angeklagten festnehmen ließ, den CSV-Justizminister Luc Frieden zur Dienstenthebung eines Teils der Polizeispitze zwang und auch dem CSV-Premier Jean-Claude Juncker unterstellten Geheimdienst Justizbehinderung vorwarf, kündigte DP-Präsident Claude Meisch Anfang 2008 den Konsens unter den Parteien auf, die Terroranschläge als Folklore abzutun. Für ihn wurde plötzlich „immer klarer, dass die Bombenlegeraffäre zu einer reellen Staatskrise wird“, und „die CSV ist nicht unschuldig, wenn das Land in eine Staatskrise rutscht“. Worauf CSV-Ehrenstaatsminister Jacques Santer über RTL drohte, jeder sei „irgendwie involviert in dieser Affäre“, denn die Regierungen seien „so zusammengesetzt, dass sie nicht einfarbig sind“. Außerdem seien die Ermittlungen Sache der Justiz und „nicht des Staatsministers, nicht des Justizministers, nicht des Armeeministers“.
Justizminister war bis 1984 Colette Flesch (DP), danach Robert Krieps (LSAP); Armeeminister war bis 1984 Emile Krieps (DP), danach Marc Fischbach (CSV).
Der während der Attentate für die Gendarmerie und deren Brigade mobile zuständige CSV-Minister Marc Fischbach hatte 2008 das Vorgehen des Staatsanwalts und ehemaligen CSV-Staatsrats Roby Biever in einem vom Luxemburger Wort wieder zurückgezogenen Interview „unmöglich“ genannt.
Sein Parteikollege und Amtsnachfolger Luc Frieden hatte als Justizminister gegenüber Biever laut darüber nachgedacht, ob die hohen Ausgaben für die Ermittlungen nicht eingestellt werden sollten, und Polizeidirektor Reuland hatte den Ermittlern während des Abschiedsfestes eines Kollegen im Oktober 2006 Gespräche über eine neue Beschäftigung angeboten, um auf „andere Gedanken“ zu kommen.
Wie Jacques Santer ganz richtig bemerkte, bringt das strenge Verhältniswahlrecht es mit sich, dass alle wichtigen Parteien mit der CSV in einer Koalition waren oder in eine Koalition mit ihr kommen wollen. Deshalb sind die unansehnlicheren Herrschaftsinstrumente des CSV-Staats auch ein wenig ihre, oder sie wollen, dass sie es werden. Dass Geheimdienstchef Marco Mille 2007 ein Gespräch mit Jean-Claude Juncker heimlich aufgezeichnet hatte, verschwiegen auch die Fraktionsvorsitzenden von LSAP, DP und Grünen eisern, bis die Verjährungsfrist erreicht war. Als sich der erste Sturm der öffentlichen Entrüstung über den Vorfall gelegt hatte, beschloss der parlamentarische Ermittlungsausschuss gleich, die Öffentlichkeit von seinen Sitzungen auszuschließen. Als Vorsitzender des Ermittlungsausschusses will LSAP-Präsident Alex Bodry nicht nur aus Koali¬tions¬räson der CSV keinen überflüssigen Kummer bereiten. Den Sozialisten ist auch unwohl in der ganzen Angelegenheit. Denn spätestens seit dem Versuch, einen Teil der Geheimdienstaktivitäten zu privatisieren, Geschäfte mit angeblichen Schurken und Schurkenstaaten zu machen, wusste der ehemalige LSAP-Wirtschaftsminister ¬Jeannot Krecké Bescheid. Ein Geheimdienstbeamter, Sohn des ehemaligen DP-Staatssekretärs Jos Schaack, ging vom LSAP-Wirtschaftsministerium zum Nachrichtendienst, der Geheimdienstbeamte André Kemmer ging vom Nachrichtendienst ins LSAP-Wirtschaftsministerium. Als einstige Spitzeldienstgegner wünschen die Grünen sich, dass so schnell wie möglich vergessen wird, wie sie sich jahrelang im parlamentarischen Geheimdienstkontrollausschuss als demokratisches Alibi für die unansehnlicheren Herrschaftsinstrumente des CSV-Staats zur Verfügung stellten. Damit legten sie für den Fall einer Regierungsbeteiligung ein bis dahin manchmal angezweifeltes Bekenntnis zur Staatsträson ab. Heute beteuern sie gegenüber ihren Wählern ihre Unschuld, in dem sie sich „naiv“ nennen.
Selbst die ADR, die einst Valissen-Affären erfand und Museumsfassaden maßlos zu Skandalen aufzubauschen verstand, bleibt stumm. Dabei hatte der ehemalige ADR-, dann DP-Abgeordnete und RTL-Sicherheitschef Josy Simon den Ermittlern noch erzählt, dass er nach verschiedenen Attentaten Ben Geiben im Café des Artistes im Stadtgrund gesehen habe. Simon hatte sogar gehört, dass Prinz Jean von der großherzoglichen Familie eine Abfindung von 70 Millionen Franken für seinen Thronverzicht erhalten haben soll. Doch heute hat die Partei noch gerade zwei Abgeordnete, einer von ihnen, Oesling-85-Kämpfer Fernand Kartheiser, drückte in der sehr rechten École royale militaire in Brüssel die Schulbank mit jenen Offizieren, die seit bald 30 Jahren eine Aufklärung der Terroranschläge zu verhindern versuchen.
Für Chefermittler Carlo Klein ist eines der größten Rätsel in der Geschichte der Terroranschläge, dass der Geheimdienst die Beschattung Ben Geibens am 19. Oktober 1985 kurz vor dem Bombenanschlag auf den Justizpalast unterbrach und seither fast alle Akten dazu verschwunden sind, keiner der Verantwortlichen sich daran erinnern kann. Klein bot diese Woche dafür zwei Erklärungen: Entweder verlief die Beschattung ergebnislos oder sie brachte eine Erkenntnis, „die wir nicht erfahren dürfen, die in eine Richtung zeigt, die nicht sein darf“. ]Vielleicht zeigte sie einen Augenblick lang den Baseball-Schläger unter dem Tresen des CSV-Staats.
Der christlich-soziale Ehrenstaatsminister Jacques Santer drohte schon vor fünf Jahren über RTL, jeder sei „irgendwie involviert in dieser Affäre“, denn die Regierungen seien „so zusammengesetzt, dass sie nicht einfarbig sind“
Dernière édition par K le Lun 23 Déc 2013 - 19:37, édité 2 fois |
| | | K
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| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Lun 23 Déc 2013 - 19:31 | |
| un collègue de beijer ? agent double , triple , duvel santé ? - Citation :
Doch heute hat die Partei noch gerade zwei Abgeordnete, einer von ihnen, Oesling-85-Kämpfer Fernand Kartheiser, drückte in der sehr rechten École royale militaire in Brüssel die Schulbank mit jenen Offizieren, die seit bald 30 Jahren eine Aufklärung der Terroranschläge zu verhindern versuchen
http://de.wikipedia.org/wiki/Fernand_Kartheiser http://www.wort.lu/de/view/kartheiser-die-russen-an-der-nase-herum-gefuehrt-51b0b524e4b0e794460f8afd |
| | | spielmann
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| Sujet: Fréquenté par la bande à Reuland ERM Mar 24 Déc 2013 - 4:13 | |
| Voici encore l'article du Jeudi du 16/02/2012 de Michel Petit Fréquenté par la bande à Reuland L’école militaire belge était noyautée par l’extrême droite Dans les arcanes du pouvoir
Fréquentée par la bande à Reuland… Geiben, Reuland, Stebens, Schockweiler, Nettgen... Au faîte de l'Etat, ils sont «la génération Bommeleeër» Ce groupe G s'immisçait directement dans les enquêtes chaudes. Ainsi, ce gendarme du groupe G devint-il le secrétaire du chef d'enquête sur les tueries du Brabant. On se croirait un peu au cœur même de la brigade mobile de gendarmerie que conduisaient Pierre Reuland et Guy Stebens. Ces jeunes officiers luxembourgeois ont entendu parler (ou entendu tout court) le major belge J-M Bougerol chargé du PIO, le Public Information Office, créé en 1974, disposant d'une branche militaire et d'une autre civile. Les missions: infiltration et utilisation d'associations et de groupes comme l'aile droite du parti chrétien-social (B), conférences au Front de la jeunesse, conférences anti-communistes…, pour tenter de redorer le blason de l'armée et de la gendarmerie. Redorer le blason et, mieux encore, lui donner d'autres moyens. Aussi de «la génération Bommeleeer»: • J. Clement (sorti de l'ERM en 1976) qui pensait, vu son ancienneté, diriger la police; • N. Ries (1977), chef d'état-major, puis devance par son subalterne Gaston Reinig; • R. Nettgen (1977), dépasse par Reuland puis lui succédant; • M. Zoville (1977), participa à l'enquête, entra à l'inspection générale de la police; • N. Hirsch, commandant adjoint de la police. Naguère aide de camp au palais; • le duo J. Bock et P. Schiltz (1978 ), toujours très discrets eu égard à leur boulot au Service du renseignement; • F. Guth (1979) fut chef d'état-major adjoint; •R. Bombardella (1980), haut commissaire à la Protection nationale où il a accueilli Guy Stebens en disgrâce à la police; • J. Nurenberg (1980) représentant militaire du Luxembourg auprès de l'UE; • J. Pissinger (1980) est passe de l'armée à... la télévision (dans le Nord du pays); • G. Reinig (1980) mi-général, mi-colonel, il est passe par-dessus la tète de Nico Ries à l'état-major. Le tribunal administratif dira si le ministre Halsdorf a respectée la procédure de nomination/dégradation; • R. Moes (1980), officier de la gendarmerie, puis employé civil à l'armée, puis intègre dans le cadre; • F. Brosius (1981), aide de camp du Grand-duc Jean; • S. Luca (1981), d'abord enseignant en Belgique puis officier d'instruction; • C. Simon (1981) dirigea le centre de communication de l'Etat; • J. Schmit (1981), directeur général adjoint de la police; • M. Daubenfeld (1982), représentant militaire auprès de l'Otan; • Fernand Kartheiser (1982), ancien diplomate, fondateur de l'association des hommes, députe ADR; • G. Stronck, ambassadeur en Inde; • Andree Colas (1982), gendarme puis conseillère du Ministre Halsdorf; • C. Hamen (1982) directeur des opérations et de la prévention ä la police; • P. Solagna (1982) au service de la police judiciaire; • A. Duchesne (1982) chef d’état-major adjoint; • R. Biewer (1984), commissaire aux affaires maritimes. • Henri-Chrisnach (1984), aide de camp d’Henri. HITLER «Maintenant que vous le dites, se rappelle un officier supérieur luxembourgeois. Je me rappelle de deux faits, Le premier m'avait scandalise. Cet officier luxembourgeois (ndlr: il est devenu major) avait une photo de Hitler sur la table, dans sa chambre a I'ERM. Un autre élève était vraiment très "spécial". Ancien commando, il a quitte I ‘armée. Je l'ai revu au Luxembourg alors qu'il travaillait dans une société de transport de fonds.» Un para effectivement spécial. II accompagna son chef, major d'un régiment para commando base prés d'Arlon, qui fut effectivement responsable de cette société établie a Luxembourg. Laquelle fut d'ailleurs victime d'un casse particulièrement réussi, a la «commando». Le lieutenant en fut d'ailleurs soupçonné, jamais accuse. Spécial aussi dans la mesure où il entra brièvement a I‘Ordre du temple solaire, connu pour ses suicides collectifs. http://www.lux-forum.lu/politik-gesellschaft/l-tzebuerg/p24837-affaire-bommel-er/#post24837 http://www.lux-forum.lu/politik-gesellschaft/l-tzebuerg/p23680-affaire-bommel-er/#post23680 A savoir que "l'espion" à du quitter la présidence du parti en 12/2012 laissant son parti sans "leader" http://www.lessentiel.lu/fr/news/luxembourg/story/27401202 |
| | | kowalski
Nombre de messages : 270 Date d'inscription : 28/03/2013
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Mar 24 Déc 2013 - 10:51 | |
| ca me rapelle aussi la commission rogatoire internationale (CRI) ou les officier et sous officiers rencontrent le major Torres a Bruxelles
selon le wort ticker torres aurait dit " j'espère que vous êtes venus en tant qu'agents secrets" nos heroes ,en mission secrete de notre majesté, finiront par avaler "en Kiischebeier", des Kriek et non pas des gin martinis "shaken, not stirred"! |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Mar 24 Déc 2013 - 11:44 | |
| on a lu: Jeudi du 16/02/2012 de Michel Petit - Citation :
- Fréquenté par la bande à Reuland
L’école militaire belge était noyautée par l’extrême droite:
Dans les arcanes du pouvoir Fréquentée par la bande à Reuland…
Geiben, Reuland, Stebens, Schockweiler, Nettgen... Au faîte de l'Etat, ils sont «la génération Bommeleeër»
et - Citation :
- Angestrengt versucht die Staatsanwaltschaft, die Bombenanschläge der Achtzigerjahre zu entpolitisieren
- Citation :
- selon le wort ticker Torres aurait dit " j'espère que vous êtes venus en tant qu'agents secrets"
nos heroes ,en mission secrete de notre majesté, finiront par avaler "en Kiischebeier", des Kriek et non pas des gin martinis "shaken, not stirred"!
mais deux semaines avant - Citation :
- Torres sur le sol aux caisses de Overijse mais avec sa famille ?
mais aussi - Citation :
le victime,................ membre de la famille de Depretre parmi les victimes de braine / Overijse travaillait à ERM non ?et habitait , pas si loin de Walibi et X ou venait Latinus.
et - Citation :
- Mr.Finné venait de Luxembourg et avait déjà parlé , ici et là , des coups d'état préparés en diverse épisodes et endroits.
et Mrs P. Finné pas présent , menacé . et aussi .... mais les autres vicrimes ???est ce que il y a eu menaces sur les autres familles de Braine@ Overijse ???? (cfr histoire du garçon à Braine?le hasard m'a fait marcher dans une merde ce matin. bonnes fêtes (et donc les questions /décarations de HAAN lui sont mis ds la bouche par le même bande de connards qui lui on enmerder sa vie d' enqueteur. mais il y aussi Berscheid que je ne peux expliquer.) |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Jeu 26 Déc 2013 - 11:34 | |
| http://en.wikipedia.org/wiki/Shaken,_not_stirred
-le quatrième jour sa M. est débarqué , "shaken not stirred" ,aussi ?
-sauf le ministre des affaires étrangères qui était à Londres tout le gouvernement est resté au chaud au Canada.
-12.000 letz ont été incorporés des force ds l'armée allemande > ils ont même creé une parti politique pour soutenir leurs revendications de pension.
>société lux divisée profondément ? gluée ensemble à fortes doses de colle "MI6"
qui seche vite ? pourtant la villégature de vacances est à coté du fort où les présidents français d'époque ,passent leurs vacances |
| | | kowalski
Nombre de messages : 270 Date d'inscription : 28/03/2013
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Jeu 26 Déc 2013 - 19:57 | |
| beaucoup d'enrolés de forces et de restistants lux. se sont fait baiser deux fois. om pourrait parler d'un certain petit double; qu'ils sont libertins ces gens ...
une fois par les allemands dans la guerre et une deuxieme fois par leur propre gouvernement apres la guerre; doppelt genählt (oder genagelt) hält besser! oui je sais, on n'est pas allemand, ou encore: mir wellen keng preisen sin et tout ce bazard ...
et on parlait même à l'epoque que les ducs s'enfuiaient avec le tresor d'etat, et qui ,par miracle, se perdait au cours de la guerre bon de toute facon, les ducs n'avaient aucun sous avant la guerre pour devenir apres la guere super riche honnis qui mal y pense! |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Jeu 26 Déc 2013 - 21:04 | |
| les histoires de mis en sécurité des reserves d'or français , belges, hollandais et norvégien du début de la guguerre valent chacune un bouqin de james bond goldfinger .celle de Luxembourg je n'avais aucune notion mais elle serait encore plus cocasse alors.
il semble que GELLI a participé à la mise en sécurité de celle du roi de yougoslavie aussi vers 41 ?.
plus recent ,celle de Lissouba president élu et destitué , était stocké au BALABABA au Luxembourg est disparu des comptes vers 2000 et le contrecoup contre ELF- NGOUSSOU n'a pas pu être financé
mais là c'est les barbouzeries plus recentes de SREL et des français qu'il faut mettre sous loupe. |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Jeu 26 Déc 2013 - 21:09 | |
| La "mise en sécurité" du trésor de guerre nazi mérite aussi d'être connue ...
Voir
https://www.youtube.com/watch?v=TWZWlJrBvKc
Quant au "trésor de guerre" japonais, il a été recherché aux Philippines par un certain Singlaub (celui de la WACL) ... comme quoi ce n'est pas nécessairement éloigné de ce fil de discussion ...
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