Vague d'attentats au Luxembourg

Citation : http://www.lequotidien.lu/bommeleer/52709.html
"Le témoin évoque aussi ses contacts avec l'ancien agent du SREL, Gilbert Leurs. Ce dernier lui aurait dit au début du procès que quelqu'un s'était adressé à lui afin de récupérer la prime pour le Bommeleeër. Lors d'une entrevue avec le colonel Brück, Willy Bourg et un représentant de la Cour, on aurait toutefois demandé à Gilbert Leurs de ne rien entreprendre. Autrement, il risquerait d'être considéré comme persona non grata.../...La présidente de la chambre criminelle, Sylvie Conter, voulait savoir si Gilbert Leurs lui avait dit qui est le Bommeleeër : «Il m'a dit que les princes en faisaient partie», réplique le témoin. Gilbert Leurs n'aurait pas non plus connu le membre de la Cour présent lors de l'entretien.

... Du James Bond à la sauce luxembourgeoise! Ou vas t'on s’arrêter ?
C'est quoi cette histoire de prime Bommeleeër?
Le G.D.L se serait engagé à casser sa tire lire comme le Delhaize dans l'affaire des TBW?
Intéressant : combien?

kowalski a écrit:

le jour même de la publication de son article sur les Bommeleer (Bommeleeër : awer militäreschen Hannergrond beim Attentat op d’Kasematten ?)  Jean-Claude Wolff vient de décèder.

http://www.wort.lu/de/view/100-7-journalist-jean-claude-wolff-stirbt-bei-autounfall-52ecd188e4b0b554db09f176

100,7-Journalist Jean-Claude Wolff  stirbt bei Autounfall

Et dans un accident de la circulation???
Circonstances précises?
Etait-ce un journaliste qui connaissait bien le dossier "Bommeleer"?

Vague d'attentats au Luxembourg Séance Jeu 30 Jan
Citation : http://www.lequotidien.lu/bommeleer/52709.html

"Le témoin évoque aussi ses contacts avec l'ancien agent du SREL, . Ce dernier lui aurait dit au début du procès que quelqu'un s'était adressé à lui afin de récupérer la prime pour le Bommeleeër. Lors d'une entrevue avec le colonel Brück, Willy Bourg et un représentant de la Cour, on aurait toutefois demandé à Gilbert Leurs de ne rien entreprendre. Autrement, il risquerait d'être considéré comme persona non grata.../...La présidente de la chambre criminelle, Sylvie Conter, voulait savoir si Gilbert Leurs lui avait dit qui est le Bommeleeër : «Il m'a dit que les princes en faisaient partie», réplique le témoin. Gilbert Leurs n'aurait pas non plus connu le membre de la Cour présent lors de l'entretien."

Vague d'attentats au Luxembourg Aujourd'hui à 11:16
Dislaire :".. Du James Bond à la sauce luxembourgeoise! Ou vas t'on s’arrêter ?
C'est quoi cette histoire de prime Bommeleeër?
Le G.D.L se serait engagé à casser sa tire lire comme le Delhaize dans l'affaire des TBW?
Intéressant : combien?

........
CARNET NOIR
"01 février 2014 12:00; Act: 02.02.2014 11:54Print
Le journaliste Jean-Claude Wolff meurt sur l'A6
LUXEMBOURG - Le secrétaire général du Syndicat des journalistes du Luxembourg et ancien président de l’Association luxembourgeoise des journalistes (ALJ) est décédé vendredi soir sur la route.
Il était également journaliste à la radio 100.7 depuis 1997 et membre de la Chambre des salariés. Originaire de Luxembourg, Jean-Claude Wolff avait travaillé à la rédaction de Tageblattentre 1991 et 1997.
Il était également journaliste à la radio 100.7 depuis 1997 et membre de la Chambre des salariés. Originaire de Luxembourg, Jean-Claude Wolff avait travaillé à la rédaction de Tageblatt entre 1991 et 1997.
Il serait décédé d'un arrêt cardiaque, vendredi à l'âge de 52 ans, selon les informations de L'essentiel. La radio 100.7 a confirmé l'information sur son antenne en précisant qu'il a percuté un mur californien sur l'A6 après un malaise. Lorsque les services de secours sont arrivés sur place, la victime était décédée et n'a pu être ramené à la vie.../..."

ACTUALISATION
Mon mail de ce matin n'est nullement a mettre en rapport avec la mort de Wolff car je n'étais pas informé.
Je relève cependant que j'avais prévu dans ce texte, une information pêchée dans un autre rapport ou le témoin fait état :"que Gilbert Leurs lui avait dit que "ce quelqu'un" qui se disait connaître le Bommelleër lui avait déclaré qu'il s'était par la suite fait tirer dessus et avait aussi été pris dans un accident de voiture"
(C'était pour moi un peu "l'homme qui avait vu l'homme qui avait vu l'ours")

...Il faudra demander à Gilbert Leurs ancien agent SREL qu'il précise que le journaliste Jean-Claude Wolff n'était pas "ce quelqu’un"....

dislairelucien a écrit:

Vague d'attentats au Luxembourg  Séance  Jeu 30 Jan
Citation : http://www.lequotidien.lu/bommeleer/52709.html

"Le témoin évoque aussi ses contacts avec l'ancien agent du SREL, . Ce dernier lui aurait dit au début du procès que quelqu'un s'était adressé à lui afin de récupérer la prime pour le Bommeleeër. Lors d'une entrevue avec le colonel Brück, Willy Bourg et un représentant de la Cour, on aurait toutefois demandé à Gilbert Leurs de ne rien entreprendre. Autrement, il risquerait d'être considéré comme persona non grata.../...La présidente de la chambre criminelle, Sylvie Conter, voulait savoir si Gilbert Leurs lui avait dit qui est le Bommeleeër : «Il m'a dit que les princes en faisaient partie», réplique le témoin. Gilbert Leurs n'aurait pas non plus connu le membre de la Cour présent lors de l'entretien."

Vague d'attentats au Luxembourg   Aujourd'hui à 11:16
Dislaire :".. Du James Bond à la sauce luxembourgeoise! Ou vas t'on s’arrêter ?
C'est quoi cette histoire de prime Bommeleeër?
Le G.D.L se serait engagé à casser sa tire lire comme le Delhaize dans l'affaire des TBW?
Intéressant : combien?

........
CARNET NOIR
"01 février 2014 12:00; Act: 02.02.2014 11:54Print
Le journaliste Jean-Claude Wolff meurt sur l'A6
LUXEMBOURG - Le secrétaire général du Syndicat des journalistes du Luxembourg et ancien président de l’Association luxembourgeoise des journalistes (ALJ) est décédé vendredi soir sur la route.
Il était également journaliste à la radio 100.7 depuis 1997 et membre de la Chambre des salariés. Originaire de Luxembourg, Jean-Claude Wolff avait travaillé à la rédaction de Tageblattentre 1991 et 1997.
Il était également journaliste à la radio 100.7 depuis 1997 et membre de la Chambre des salariés. Originaire de Luxembourg, Jean-Claude Wolff avait travaillé à la rédaction de Tageblatt entre 1991 et 1997.
Il serait décédé d'un arrêt cardiaque, vendredi à l'âge de 52 ans, selon les informations de L'essentiel. La radio 100.7 a confirmé l'information sur son antenne en précisant qu'il a percuté un mur californien sur l'A6 après un malaise. Lorsque les services de secours sont arrivés sur place, la victime était décédée et n'a pu être ramené à la vie.../..."

ACTUALISATION
Mon mail de ce matin n'est nullement a mettre en rapport avec la mort de Wolff car je n'étais pas informé.
Je relève cependant  que j'avais prévu  dans ce texte, une information pêchée dans un autre rapport ou le témoin fait état :"que Gilbert Leurs lui avait dit que "ce quelqu'un" qui se disait connaître le Bommelleër lui avait déclaré qu'il s'était par la suite fait tirer dessus et avait aussi été pris dans un accident de voiture"
(C'était pour moi un peu "l'homme qui avait vu l'homme qui avait vu l'ours")

...Il faudra demander à Gilbert Leurs ancien agent SREL qu'il précise que le journaliste Jean-Claude Wolff  n'était pas "ce quelqu’un"....

On souhaite que ce journaliste ait pris la précaution de laisser ses "secrets" à une tierce personne. Car lui est décédé opportunément. D'où sortait-il avant de prendre le volant? restaurant, rendez-vous, cocktail?
La présidente de la Cour peut-elle ordonner d'initiative une enquête un peu plus fouillée que la routine habituelle?

http://www.wort.lu/de/view/bommeleeer-neue-woche-neue-fragen-52ee9e68e4b0b554db09f318

Veröffentlicht am 02.02.14 20:37

Bommeleeër: Neue Woche, neue Fragen

Mit Nettgen, Solagna, Zovilé, Hamen und Bourg steht das Who-is-Who der Polizei im Zeugenstand.

(...)

Charles Bourg témoignera mercredi ...

Les frères Bourg devraient retenir l'attention ...

Le journaliste est mort d'une crise cardiaque. Il détenait les infos sur l'exercice à Senningen lors de l'attentat dans les casemates de moi depuis 15 jours. Il anfait des recherches supplémentaires et son reportage contient des infos qu'il ne tenait pas de moi!
J'ai d'ailleurs remis un dossier au proc adjoint vendredi midi. Quelques heures avant la mort du journaliste qui avait des antécédants cardiques

http://www.paperjam.lu/article/fr/deces-du-journaliste-jean-claude-wolff

Hommage

Décès du journaliste Jean-Claude Wolff

(...)

Sa disparition a crée une onde de choc dans la presse luxembourgeoise tant Jean-Claude Wolff était apprécié pour son professionnalisme et la pertinence de ses enquêtes, notamment sur l’affaire du Bommeleeër, dont il suivait méticuleusement le procès depuis des mois. C’est lui qui aura fait le premier le lien entre les attentats à la bombe au milieu des années 1980 et les réseaux paramilitaires proches de la mouvance du Stay Behind et des réseaux clandestins anti-communistes. Ses chroniques, sa voix et sa personnalité vont manquer dans un monde de presse qui a tant à perdre de l’aseptisation contre laquelle le journaliste se battait précisément.

(...)

@ Lucien D.

Bommeleeër: Procureur erënnert un 350.000 Euro Belounung

prime de 350.000 euro

malheureusement prime nominative et non pas ajustée pour l'inflation (estimation 950.000 euro !)

on y retrouve de nouveau l'incompétence et l'avarice étatique

http://www.rtl.lu/themen/bommeleer/491998.html

"...De Georges Oswald huet geäntwert, dass dat fir hien nach e Phantom a keen Zeie wär. Hien huet dofir un déi Persoun appeléiert, fir sech ze mellen, an ënnerstrach, dass u sech nach eng 350.000 € Belounung opstéinge fir Leit, déi dozou kënne bäidroen, dass d'Bommeleeër fonnt ginn. D'Riichterin Sylvie Conter huet an deem Kontext gemengt, et kéint och en Amnestiegesetz gestëmmt ginn!"

Amnestiegesetz ?
salut mes chers magistrats; bon,c'était moi, mea culpa, aua! mais maintenant faites moi un virement de 350 mille balles en euro et dolce vita pour moi

toutes lives sur les bommelleer procesmais rien sur aujourdhui

qué passa ?

http://www.wort.lu/de/view/die-grosse-bommeleeer-liveticker-sammlung-52ebb30ee4b0b554db09f05a

http://www.wort.lu/de/view/bommeleeer-live-nettgen-kohnen-und-ruppert-52efa0bae4b00e3c1fcf065c


http://www.tageblatt.lu/nachrichten/luxemburg/story/Prominente--Zeugen-28983515

et #Bommeleeer

http://www.wort.lu/de/view/300-stunden-bommeleeerprozess-die-protagonisten-52a5ae81e4b010cbc9a38372

ni humains, ni animaux, mais des officiers- sic!

Polizeikorps: Der Fisch beginnt am Kopf zu stinken

Corps de police: Le poisson commence à puer par la tête

http://www.wort.lu/de/view/polizeikorps-der-fisch-beginnt-am-kopf-zu-stinken-51f66816e4b09985a9551771

„Et ass kee Mënsch, et ass keen Déier, et ass en Offizéier!“ – So oder ähnlich haben wir vor mehr als 30 Jahren, während der Militärzeit, unseren Frust über sternenbeschulterte Vorgesetzte losgelassen, die allzu oft und allzu laut entweder auf dem Drill-Square oder bei einer Inspektion mit uns herumgeschrien haben.

Ich ging dann zur Gendarmerie, wo ich wieder mit Offizieren zu tun hatte. Die haben zwar nicht mehr herumgeschrien, doch habe ich damals auch oft deren Daseinsberechtigung nicht erkannt. Ein mittlerweile schon lange pensionierter Kollege hat immer gesagt: „Die Offiziere brauchen wir nur, damit sie bei der Parade zu Nationalfeiertag ihren Säbel schwenken können.“ War die Zahl der Offiziere bei der Gendarmerie noch überschaubar, und man hat alle mit Namen gekannt, hat das neue Korps der Polizei deren gleich mehr als 70. Und diese werden in alle erdenklichen „Chefposten“ hineingequetscht, auch wenn diese Posten eigens geschaffen werden müssen. Da gibt es die Generaldirektion mit allen möglichen Unterabteilungen und vielen (wieder sternenbeschulterten) Offizieren (20), man hat Regionaldirektoren und ein bis zwei beigeordnete (12), man hat die „Services centraux“ (10), und bei der „Police judiciaire“ sind deren ebenfalls noch 20 zu finden. Der Rest sind abkommandierte oder versetzte Offiziere, die in allen möglichen Posten im Staatsapparat zu finden sind.

Eines ist mir in meiner mehr als 30-jährigen Laufbahn jedoch aufgefallen: Außer einigen wenigen Ausnahmen ist Polizeiarbeit diesen Herrschaften fremd. Sie wissen zwar immer alles besser, doch haben die wenigsten von diesen hochbezahlten Staatsdienern und -schützern jemals eine Vernehmung getätigt, einen Verkehrsunfall aufgenommen, eine Unfallskizze gezeichnet, eine Verkehrskontrolle durchgeführt und Avertissements erhoben, eine Einbruchsklage aufgenommen und dabei mit den Geschädigten gesprochen, einen Familienstreit geregelt und mit den aufgebrachten Parteien diskutiert, oder einfach einmal eine Untersuchung geführt oder gar geleitet, usw. usw.

Viele von unseren Offizieren haben zwar Lizenzen als Kriminologen, doch taugen sie höchstens als Manager, denn die Statistiken stehen vor allem. Resultate, oder wie der Verlauf einer Ermittlung ausschaut, oder wie lange sie dauern muss, ist zweitrangig, Hauptsache ist, man kann mit Statistiken prahlen. Wenn man nun in den letzten Wochen die Medien verfolgt hat, könnte man meinen, die luxemburgische Polizei bestünde aus eben diesen Offizieren. Doch die luxemburgische Polizei hat auch noch 1 671 Nichtoffiziere: 428 „commissaires-en-chef“, 347 „commissaires“, 96 „inspecteurschefs“, 268 „premiers inspecteurs“, 142 „inspecteurs“, 153 „inspecteurs adjoints“. Und in der Karriere der Brigadiers finden wir noch einmal 237 Beamte. Die allermeisten dieser Beamten sind loyal, gesetzestreu, ehrlich und voller Idealismus.

Wenn in den Medien behauptet wird, „die Polizei“ habe sich an Gesetzestexten gestört, oder dass in „Polizeikreisen“ ein Gesetz als Gesetz gegen die Polizei angesehen würde, oder gar von einem Konflikt zwischen Polizei und Justiz gesprochen wird, möchte ich deutlich hervorheben, dass damit nicht das Polizeikorps als solches gemeint ist (sein kann). Höchstens eine Handvoll dieser eben erwähnten Offiziere. Und viele von diesen Herrschaften scheinen denn auch alles andere als ein freies Gewissen zu haben. Ich habe jedenfalls den Eindruck, dass mancher meiner Oberchefs die Aufgaben und das Bestreben einer Polizei ganz aus den Augen verloren hat.

Der Fisch beginnt bekanntlich am Kopf zu stinken. Wenn nun der Rest nicht auch verderben soll, müsste dieser stinkende Kopf abgetrennt werden.

Théo Arensdorff, auch ein Staatsdiener

Spielmann , merci pour le lien


c'est pour devenir silencieux aujourd'hui , la situation est très grave depuis 25 ans plus

j'espère que les juges , ministère public et la défense trouvent les forces nécessaires pour

tenir la barre du rafiot pourri jusqu'au bon port.

Le pendule de Fischbach

Abrakadabra et amen !

Richterin Conter: Und wie war Offizier Diseviscourt? Kohnen atmet bei dem Namen schwer. Er spricht von einer totalen Inkompetenz. Er nennt ein Beispiel: Im Auftrag vom damaligen Minister Fischbach war Diseviscourt in Mersch. Dort sollten die Täter mit Hilfe eines Pendels ermittelt werden. Das muss man sich mal vorstellen. Auf einer Karte blieb der Pendel im Raum Lintgen stehen ...

l'histoire a été raconté aussi par J.I. Prosper Klein .La scene se passant sur une grande carte avec la pendule dans le bureau de l'instruction.
Il a immédiatement dé-saisit diwisi et il a reclame des nouveaux enquêteurs comme Haan etc mais iso presto ceux ci ont été promus contre leur gré par HARPES après une grande querelle entre le JI et H.

Là on déclare que c'est bakfish  qui a pris l' initiative du pendule....B .plus tard au trib droit de l'homme pour neandertaler


on voit que de plus incompétent on est , de plus loin on arrive .... en Europe.

le témoin Kohnen aujourd'hui a été blessé par balles par la bande de Waldbillig (correction) dont

ce HERBERT et FETT étaient membres.

il faut lire ceci d'abord pour comprendre quelle était la situation au lux en cette periode là :

http://archives.lesoir.be/le-proces-des-dalton

Citation :

17:58  Er sei von Hertert und Fett angeschossen, demnach kein Angsthase. Wenn er eine Waffe dabei gehabt hätte, dann hätte er einen Auffahrunfall provoziert: "Dann hätt ech de Bommeleeër gehat".

donc

hertert und fett

Citation :

Le procès des Dalton de la Moselle
METDEPENNINGEN,MARC
Page 7
Mardi 14 mars 1989
Le procès des Dalton de la Moselle
Ils découpaient en lamelles les corps
de leurs complices et les brûlaient

DE NOTRE ENVOYÉ SPÉCIAL
Luxembourg, 13 mars.
Emoi et effervescence dans le centre historique de la capitale du grand-duché de Luxembourg. Gendarmes, policiers et fonctionnaires de la Sûreté grand-ducale ont pris position ce matin aux abords du palais de justice et imposent - c'est une première en ces lieux - aux avocats, justiciables et badauds pénétrant dans le prétoire de la cour criminelle l'épreuve du détecteur de métaux et du regard inquisiteur.
Luxembourg a peur. Peur de ces six hommes assis au banc d'infamie, ces Daltons de la Moselle qui répondent de seize hold-up dont l'un, perpétré en octobre 1985 contre la Banque internationale du Luxembourg (B.I.L), coûta la vie à un jeune policier, l'inspecteur Patrice Conardy.
Peur de Nico Reisdorf, 30 ans aujourd'hui, le chef de la bande, qui décidait de la vie et - à cinq reprises au moins - de la mort de ses comparses.
Peur de Carlo Fett et de Jos Bernardy, chargés par «le chef» d'exécuter les «ventres mous» de leur association de malfaiteurs.
Peur de Dieter Schuch, l'ex-apprenti boucher, qui mit à profit les acquis de ses études pour découper en lamelles les corps de ses complices condamnés à la peine suprême par Reisdorf et les faire brûler sur un sordide barbecue improvisé dans le repaire de la bande, une ferme perdue dans la forêt de Waldbillig.
Voyage au bout de l'horreur. Vendredi 30 octobre 1985. L'automne frileux et venteux incite les badauds à frôler les murs du boulevard Royal. Il est près de 16 heures. Les portes de la Banque Internationale de Luxembourg engouffrent les derniers clients de la journée. Il y a là des ménagères (le week-end de Toussaint sera long), des hommes d'affaires, des Belges aussi arrivés le matin par l'express de 9 h 15, le «train des épargnants».
Un jeune policier
abattu à bout portant
Soudain, un remou, un cri, une détonation assourdissante troublent la laborieuse sérénité des lieux. L'irruption de trois hommes masqués dans la salle des guichets fige clients et employés dans une même attitude de panique réprimée.
Carlo Fett menace avec autorité son petit monde captif. Son fusil italien à canon court Frenchi, en crachant le feu, traduit sa détermination. Une applique lumineuse, un lustre et une porte sont ses premières «victimes». Ses deux compagnons d'équipée, Jos Bernardy et Guy Hertert, n'ont d'oreilles que pour les billets qui bruissent dans les tiroirs-caisses. Un saut au-dessus des guichets, une sacoche de cuir pour emporter la «marchandise»... Affaire faite, sonne l'heure de la retraite.
Clients et employés respirent. Ils devront rapidement déchanter. Une voiture de police vient de prendre position devant la banque. Son chauffeur, l'inspecteur Patrice Conardy, prend position, l'arme au poing, face à la sortie. L'un des truands tire le premier. Le jeune policier s'écroule, atteint de plusieurs balles à la tête, à la poitrine et aux membres. Il est le premier gardien de l'ordre grand-ducal à périr en service.
Otage belge
Le temps presse pour le trio désormais meurtrier. Les forces de police arrivent en masse sur les lieux du drame. Hertert, Bernardy et Fett tournent le talons et pénètrent une nouvelle fois dans la banque. Ils se saisissent brutalement de deux clients, M. Naninis et la Bruxelloise Mme Royaux. Une folle course-poursuite s'engage hors des limites de la ville.
A l'occasion d'un changement de véhicule, des coups de feu sont tirés. Les policiers répliquent et blessent grièvement Mme Royaux dans le dos. Elle sera retrouvée agonisante au bord de la route de Contern après avoir été abandonnée par les truands.
Quelques kilomètres plus loin, à Moutfort, leur voiture percute un tracteur. Le deuxième otage en profite pour s'échapper. Le trio fait feu de toutes pièces, blessant une douzaine de policiers, d'agriculteurs et de fonctionnaires de la Sûreté.
C'est la fuite en avant, le sauve-qui-peut dans les forêts d'un gibier (de potence) autour duquel se tisse la maille du filet policier. Carlo Fett, épuisé, sera cueilli dans les bois de Moutfort tandis que ses complices qui avaient réussi à prendre un train seront arrêtés dans la soirée dans un café de Wecker.

Confessions
et coup de théâtre
Hertert et Bernardy parlent. Ils se prétendent réceptionnaires du butin et désignent deux hommes, Eloi Steines et Jean Szabo, comme les exécutants de l'attaque sanglante de la B.I.L. Leur version tient timidement le cap, d'autant moins qu'une rumeur faisant état de la mort mystérieuse de Steines et Szabo revient aux oreilles des enquêteurs luxembourgeois en février 1986.
Et puis en novembre, treize mois après le hold-up de la B.I.L., c'est le coup de théâtre, le «miracle» que les policiers n'osaient espérer. Hertert est pris d'une frénésie de la confession. Il parle à s'assécher la langue en pré«sence de policiers stupéfaits de voir s'élucider en quelques heures une quinzaine de braquages de banques demeurés impunis et la «retraite» inexpliquée de plusieurs mauvais garçons de la région.
Hertert a peur, il se sent menacé. Il dévoile l'existence de la bande et l'identité de son chef, Nico Reisdorf. C'est lui, affirme-t-il, le «cerveau» du casse de la B.I.L. Pour se mettre à l'abri des soupçons, explique-t-il, Reisdorf avait réintégré la prison de Luxembourg quelques jours avant le 30 octobre sanglant. Il devait y purger un reliquat de peine. C'est Reisdorf encore qui a fait exécuter cinq de ses comparses jugés «dangereux».
Sceptiques dans un premier temps, les enquêteurs luxembourgeois entreprennent des fouilles dans la forêt de Waldbillig où ils mettent la main sur un demi-fût recelant des restes humains calcinés. Il y a là les cendres du «repenti» Eloi Steines (que Hertert et Bernardy désignaient comme un des auteurs du casse de la B.I.L.) et celles de son amie, Patricia Fettes.
Cinq exécutions
par le couteau
et le feu
En juin 1985, Steines, à sa sortie de prison, annonce à Reisdorf son intention de remiser au placard ses habits de mauvais garçon et de quitter définitivement la bande. Le «chef» le convoque début juillet à la ferme de Wald-billig appartenant à Carlo Fett. C'est l'enfer et la mort qui sont au rendez-vous. Patricia Fettes subit les pires sévices avant d'être étranglée par Fett. Steines aura droit à une balle dans la tête.
A la mi-août 1985, la bande regagne son repaire après avoir commis un nouveau hold-up. Jean Szabo croit qu'il a «trop bien travaillé» au cours de ce braquage et demande une part importante du butin. Reisdorf ne tolère pas les «gourmands» et ordonne à Bernardy de le liquider. Ce sera chose faite dans une grange de Merl. Le corps de Szabo sera ramené à la ferme de Waldbillig dans un sac en plastique. Armand Welter, le doyen du gang, subira la même sort tandis que Robert Kerschen sera condamné à mort et exécuté pour avoir voulu révéler le stratagème utilisé par Reisdorf pour être disculpé de l'attaque de la B.I.L.
Cinq exécutions. Tous les corps subirent le même «traitement». Confiés aux couteaux de l'apprenti boucher Dieter Schuch, ils furent proprement découpés en lamelles avant d'être incinérés...
C'est de l'ensemble de ces faits que les six inculpés doivent répondre devant la Cour criminelle de Luxembourg au cours d'un procès exceptionnel qualifié dans la capitale grand-ducale de «procès du siècle». La semaine dernière, la cour avait dû différer l'examen de cette affaire, l'un des trois magistrats du siège ayant déjà siégé en chambre du conseil à l'occasion d'une audience consacrée à la prolongation du mandat d'arrêt d'un des inculpés.
MARC METDEPENNINGEN.

http://archives.lesoir.be/le-proces-des-dalton

Je n'ai jamais entendu d' une affaire de Wasserbillig!!!

correction :Waldbillig

ils en sont pas fière : des cannibales au pays des merveilles !

cannibalisme donne creutzfellt Jacob , maladie de vache folle ,et amnesie

tiens où en a entendu cela aussi au prozess .

Marcomille, je trouve que c'est assez inapproprié de se faire passer pour qn que vous n'êtes tout simplement pas.

K: Je me sens de plus en plus au pays des merveilles sur le forum. Il n'y a pas eu de canibalisme dans l'affaire de Waldbillig !!!

Titu , je sais bien mais on n'est pas loin , j'extrapole un peu
on a découpé des gens en rondelles puis on les mis en barbecue .


des belges on fait la même chose avec Patrice Lumumba mais après l'avoir tué au fusil
il a été scié en pièces puis mis dans l'acide sulfurique et les restes ont été brulés !
En plus Soete a écrit un bougin sur cela et tous les belges travaillant au Congo l'ont bien compris.

je taquine les sensibles un peu car la vérité doit être plus grave qu' on peut concevoir .

titu a écrit:

Marcomille, je trouve que c'est assez inapproprié de se faire passer pour qn que vous n'êtes tout simplement pas.

C'est évident que je ne m'appelle pas marcomille. Tout comme titu tu ne t'appelles pas titu! Je l'espère au moins!

K a écrit:

Titu , je sais bien mais on n'est pas loin , j'extrapole un peu
on a découpé des gens en rondelles puis on les mis en barbecue  .

Le barbecue est nouveau! Ils les ont découpés puis il les ont mis dans de l'acide chlorhydrique pour faire disparaitre les traces. Peut être qu'ils ont brulés les restes après mais jamais de canibalisme!

@ Marcomille: C'est du grand n'importe quoi ! Ils n'ont jamais utilisé de l'acide chlorhydrique. C'est le genre d'histoires qu'on racontait aux enfants pour leur faire peur !

[quote="Marcomille"]

MarcoMille a écrit:

C'est évident que je ne m'appelle pas marcomille. Tout comme titu tu ne t'appelles pas titu! Je l'espère au moins!

Non ce n'est pas évident. On choisissant en pseudo le nom d'une personne impliquée dans l'affaire vous mettez l'administrateur du forum dans une sale situation. Mais continuer à jouer le mariolle.