Vague d'attentats au Luxembourg

@ Victory

excellent! avec vos liens je peux finalement imprimer quelques pages du mémoire de Kremer

@ marco mill

j'ai aussi mes doutes avec l'article de Arboit. On se retrouve dans le domaine du problème d'expert avec Arboit?

de plus on me confirme que l'ex boss du Srel Hoffmann aurait été très vague sur le passé des renseignements luxembourgeois. Un peu style: mein Name ist Hase und ich weiss von nichts! Mais il aurait quand nommé Arboit comme quelqu'un qui sait beaucoup plus sur les renseignements luxo que lui même!
De plus qu'on lui demandait sur quelles sources A. aurait eu recours, si on tient compte du fait que les archives du Srel n'ont jamais été accessible au public, Hoffmann était encore plus vague.

sur Kohnen- MIA ? (missing in action)

d'après un article paru dans le Wort , Kohnen serait en retraite depuis quelques jours et se trouvait quelque part en Allemagne.

Peut-être fait-il  ses petites recherches chez nos voisins germaniques?

http://www.wort.lu/de/view/leichenfund-am-wochenende-in-luxemburg-stadt-5301df5ce4b0f989a09f28a5

at K

vous pensez à quoi?

Eclat au tribunal

Carlo Klein s'en prend plein la gueule aujourd'hui!
Crédibilité douteuse de Klein confirmée après les événement de cet après-midi?

Affaire à suivre demain ...

Éclat au plateau du St. Esprit

Citation Tageblatt

Klein auf der Flucht

Für Aufregung sorgt am Ende noch Anwalt Gaston Vogel. Er stürmt in den Saal. Laut dem Anwalt war Ermittler Carlo Klein im Übertragungssaal. Vogel: "Er saß dort. Hat sich den Prozess via Leinwand angeschaut und seinen Ermittler-Kollegen im Saal SMS-Kurznachrichten geschickt." Aufregung im Gerichtssaal. Verdutzte Gesichter bei der Staatsanwaltschaft und Richter.
Laut mehrerer Prozessbesucher saß Klein bei den Technikern, die für die Videoaufnahmen aus dem Saal verantwortlich sind. Der Zeuge Kieffer hatte am Montag zu Prozessbeginn Ermittler Klein für seine Arbeit kritisiert. Er sprach von Drohungen und Druck. Vogel kommt wieder in den Gerichtssaal und brüllt. Er spricht von einer absoluten Frechheit. Anwältin Lorang: "Verarschen können wir uns selber." Es herrscht Aufregung unter den Prozessbesuchern.

Buhrufe

Tumultartige Szenen haben sich im Übertragungssaal abgespielt, dort wo Bommeleeër-Chefermittler Carlo Klein unter den Prozess-Zuschauern saß. Er musste fluchtartig unter Buhrufen den Saal verlassen. Unter den Prozessbeobachter herrschte große Aufregung. Ein Besucher vor Ort: "Es hätte nicht viel gefehlt und einige wären ihm an den Hals gegangen." Die Verteidigung (Vogel/Lorang) fordert Aufklärung vom Gericht.
http://www.tageblatt.lu/nachrichten/story/Kleiner-Eklat-um-Ermittler-Klein-19386553

Certainement on saura admirer les réactions du Maitre, au journal ce soir   

ce temoin Kieffer d'aujourdhui ex bmg -chiens, c'est le même qui a du partir du bmg pour affaire de ....ou c'est un autre ?

Citation :

Kieffer war auch Mitglied der BMG. Er war damals Hundeführer.

pour le corps je pensais au disparu ,

Non ça c'est un autre maitre chien.
Le premier avait du quitter la bmg parce qu'il avait oublié de remettre deux kg de cocaïne

a bon je pense qu'il avait fumé un pétard.

encore un autre c'est pendu mais je ne sais pas si c'est

au boulot ou
pour le boulot ou
par le boulot

ou d'autres enmerdes ,  mais je ne Veux pas savoir !

laissons le en paix

mais il savoir son existence pour complèter le décor.


c'st pas de tout repos là dans leur sous- sol , Bormes les Mimosa, villa de Heisdorf et d'autres chateaux..


normal qu'ils sont überfordet ,double , triple vie ?

http://www.lessentiel.lu/fr/news/dossier/bommeleeer/story/21092931

Affaire Bommeleeër

17 février 2014 19:56; Act: 17.02.2014 20:30

Un témoin fait scandale au procès

LUXEMBOURG - L'étrange comportement de l'enquêteur Carlo Klein, appelé à témoigner ce lundi dans le procès Bommeleeër, a indigné la défense.

L'enquêteur Carlo Klein a provoqué l'émoi ce lundi durant le procès Bommeleeër. Alors qu'il était venu témoigner devant le tribunal, il a passé son temps dans le local technique, situé de l'autre côté du mur de la salle d'audience.

Il aurait alors envoyé des SMS à ses collègues, qui étaient en train de répondre aux questions des magistrats, selon des personnes présentes au procès.

Un comportement qui a indigné la défense, à commencer par les avocats Lydie Lorang et Gaston Vogel, ce dernier évoquant un acte «insolent». Ils comptent demander dès mardi des explications au tribunal.

@ Marco Mill

Le premier avait du quitter la bmg parce qu'il avait oublié de remettre deux kg de cocaïne

pas mal? ça me fait penser aux abus de pouvoir et délits de corruption decrits par F. Raes, le gendarme don Quichotte, dans son propre livre

https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t1775-un-gendarme-don-quichotte-editions-epo-1983


est-ce qu'on l'avait au moins mis à la porte, l'ex-maître de chien qui avait un certain faible pour la poudre blanche?

La défense indignée min 2 :00

http://tele.rtl.lu/emissiounen/de-journal/3008535.html

http://www.lequotidien.lu/bommeleer/53368.html

André Kieffer mis sous pression

2014-02-18 09:39:00

LUXEMBOURG- Le témoin évoque une audition lors de laquelle les enquêteurs auraient essayé de lui faire dire que Pierre Reuland avait empêché l'enquête à Itzig.

La 132e séance du procès Bommeleeër, hier, s'est terminée dans une certaine agitation. À l'origine, les déclarations du témoin André Kieffer qui a lourdement critiqué les enquêteurs Carlo Klein et Joël Scheuer. Ces derniers l'auraient mis sous pression lors d'une audition... qui ne figure pas dans le dossier.

De notre journaliste
Fabienne Armborst

Le témoin André Kieffer était initialement appelé à la barre, hier après-midi, pour être entendu au sujet d'une observation qu'il aurait faite dans la nuit du 28 au 29 mai 1985 suite à l'attentat à Itzig. Il faisait partie de la première patrouille qui s'était rendue sur les lieux de l'attentat. D'après le témoin, lui et ses collègues se trouvaient depuis environ 20-30 minutes sur place lorsque la deuxième explosion avait retenti.

Au cours de son audition en 1988, André Kieffer avait évoqué un véhicule peu éclairé qui quittait les lieux. À la barre, le témoin ne se rappelle toutefois plus ce témoignage.

Il fait en revanche référence à une audition lors de laquelle il aurait été mis sous pression par les enquêteurs Carlo Klein et Joël Scheuer. On aurait notamment essayé de lui faire dire que Pierre Reuland avait empêché le travail d'enquête de se faire correctement à Itzig. D'après le témoin, cette audition remonterait à il y a quatre ans.

«Cela nous intrigue si vous avez encore été entendu une fois», a indiqué la présidente de la chambre criminelle, Sylvie Conter. Dans le dossier figurent en effet uniquement deux auditions d'André Kieffer, celles de 1988 et de 2006. La présidente a ajouté par ailleurs que jusqu'à présent, personne n'avait jamais évoqué la présence de Pierre Reuland à Itzig.

Étant donné que ni l'enquêteur Klein ni l'enquêteur Scheuer ne se trouvaient dans la grande salle d'audience hier, la chambre criminelle a décidé de les entendre plus tard. Le cas échéant, André Kieffer serait appelé une nouvelle fois à la barre. En fin de séance, le comportement de l'enquêteur Carlo Klein a toutefois provoqué une certaine agitation.

Le procureur d'État adjoint, Georges Oswald, a voulu encore connaître le nombre de présents à Itzig lors de la seconde explosion. D'après André Kieffer, ils auraient été moins de dix. Lui-même ne se serait pas senti en sécurité. Mais Romain Nettgen aurait refusé de déplacer sa voiture pour débloquer le chemin.


Un homme sort d'une bouche d'égout

Le deuxième témoin de la séance, Pierre Batholmé, était entendu hier dans le cadre de l'attentat contre la conduite de gaz à Hollerich (23 juin 1985). Il avait vu deux jours plus tôt un homme sortir d'une bouche d'égout.

En route vers la station de contrôle technique de Sandweiler, Pierre Batholmé avait dû s'arrêter à un feu rouge à Hollerich. C'est alors qu'il avait aperçu quelque chose à une quarantaine de mètres : un homme de stature normale, âgé entre 20 et 30 ans, sortant d'une bouche d'égout. Il avait escaladé une grille, et tenait dans sa main une valise de taille moyenne ainsi qu'un détecteur de métaux. Le témoin explique aussi ne pas avoir vu de camionnette de la Ville de Luxembourg ou des Ponts et Chaussées.

En apprenant l'attentat contre la conduite de gaz de Hollerich, Pierre Batholmé avait immédiatement fait le rapprochement. Il avait fait part de son observation à la gendarmerie de Mersch en 1985. Mais ce n'est qu'en 1988 qu'il avait été entendu pour la première fois.

Le procès se poursuit aujourd'hui notamment avec la lecture de la déposition d'Eugène Beffort. Ce dernier (décédé depuis) avait déclaré avoir vu le Prince le 9 novembre 1985 aux alentours du Findel.


Agitation en fin de séance

À la sortie de la séance, hier, régnait une véritable agitation au sujet de Carlo Klein. Les spectateurs de la salle de retransmission ont accouru et ont fait savoir que l'enquêteur principal avait suivi le procès avec eux.

Au moment où il aurait été question de sa personne, il aurait quitté la salle. La défense parle d'un scandale.

Beffort ( mort le 1.7.2012) confirme qu'il a vu le prince le jour de l'attaque au Findel

"Dobäi bleiwen ech esou laang ech liewen" , Eugène Beffort - sic! (je jure sur ma vie)

http://www.rtl.lu/themen/bommeleer/511660.html

Eugène Beffort um Dënschdeg am Mëttelpunkt

Extrait d'un interview RTL avec Bartholmé

De Reportage vum Eric Ewald (18/02/2014 - 7h30)

http://www.rtl.lu/themen/bommeleer/511660.html


Marc Thoma : "vous n'avez pas eu confiance dans la gendarmerie (aujourd'hui police grand ducale)? "

Pierre Bartholmé . "non, même pas aujourd'hui" - sic!

Et aujourd'hui il est mort!

"En route vers la station de contrôle technique de Sandweiler, Pierre Batholmé avait dû s'arrêter à un feu rouge à Hollerich. C'est alors qu'il avait aperçu quelque chose à une quarantaine de mètres : un homme de stature normale, âgé entre 20 et 30 ans, sortant d'une bouche d'égout. Il avait escaladé une grille, et tenait dans sa main une valise de taille moyenne ainsi qu'un détecteur de métaux. Le témoin explique aussi ne pas avoir vu de camionnette de la Ville de Luxembourg ou des Ponts et Chaussées.En apprenant l'attentat contre la conduite de gaz de Hollerich, Pierre Batholmé avait immédiatement fait le rapprochement."

Un mec qui sort d'une bouche d’égout avec sa valoche dans une main et un détecteur de métaux dans l'autre et qui escalade une grille c'est pas courant,faut l'admettre .  
Pour faire le rapprochement avec l'attentat   sur la conduite de gaz deux jours plus tard,il faut en déduire que ce Bommeleër en puissance était en repérage et qu'il avait pris les égouts pour la conduite de gaz.   L'erreur est humaine.
Ce qui n'est pas tellement cons car les égouts dégagent ou plutôt dégazent des gaz !Confusion olfactive sans doute   

http://5minutes.rtl.lu/fr/actualite/luxembourg/511709.html

Procès Bommeleeër 132ème jour: Nouveaux témoins aux observations intéressantes

RTL - 17.02.2014, 15:23 | Dernière mise à jour: 18.02.2014, 10:36

En 1985, Pierre Bartholmé a vu comment un homme suspect est sorti des égouts à Hollerich.

En 1985 ce témoin s'est rendu au contrôle technique à Sandweiler 2 jours avant la Fête nationale. A Hollerich à hauteur d'un feu rouge il a aperçu un homme sortant d'un égout.

Cette personne âgée entre 20 et 30 ans avait un physique ordinaire, portait un détecteur de métaux et une grande valise et ensuite prit la direction Centre-Ville. Le témoin a trouvé cela bizarre, mais il est parti en vacances le soir même. Par la suite il a entendu qu'une conduite de gaz avait explodé à Hollerich.

Il a vite fait le rapprochement des 2 choses et a rapidement conclu que la personne qu'il avait vue n'était certainement pas dans les égouts pour travailler. Le témoin a d'ailleurs lui-même été entendu 3 ans plus tard.


André Kieffer: "J'ai été mis sous pression"

Ensuite le policier André Kieffer a été entendu. Le soir du double attentat il était en patrouille à Itzig et s'est rendu auprès du pylône concerné après la 1ère explosion. Le témoin a affirmé n'avoir vu aucune voiture dans la forêt. L'homme a également parlé d'un interrogatoire étrange ayant eu lieu en 2006 où on lui a posé des questions qui devaient juste être répondues par oui ou par non. Or après qu'on lui aie fait remarquer qu'il avait lui même dit avoir vu une voiture avec les phares allumés dans la forêt (question posée en 1988 lors d'un autre interrrogatoire) le témoin André Kieffer a affirmé ne plus pouvoir se souvenir de ses propres propos. Il a par contre montré du doigt les enquêteurs, Carlo Klein était entres autres concerné. André Kieffer a affirmé qu'il avait été mis sous pression par les enquêteurs et aurait été forcé d'affirmer que Pierre Reuland avait gêné l'enquête.

Lorsque la juge Sylvie Conter et le procureur Georges Oswald ont précisé que Carlo Klein n'était même pas présent au soi-disant interrogatoire André Kieffer a répondu qu'il a été entendu à nouveau par Carlo Klein et Joël Scheuer il y a environ 4 ans.

Or Sylvie Conter s'est étonnée vu qu'il n'y a aucune trace prouvant qu'un tel interrogatoire a bel et bien eu lieu. Or André Kieffer a insité sur le fait qu'il a signé un document lors de cette rencontre avec les enquêteurs.

Sylvie Conter a précisé ne jamais avoir entendu le nom de Pierre Reuland dans ce contexte. La Présidente du Jury a dit qu'il faudrait évidemment vérifier ces affirmations et éventuellement faire revenir André Kieffer.

Le Procureur Georges Oswald a encore voulu savoir combien de personnes étaient sur les lieux lors de la 2ème détonation à Itzig. D'après André Kieffer il n'y avait pas trop de monde, peut-être une dizaine de personnes. Or Romain Nettgen était également sur les lieux et il aurait refusé de déplacer sa voiture malgré que le témoin le lui aurait expressément demandé. Le Chef actuel de la Police était sûr de lui. André Kieffer a aussi précisé que la 2ème explosion n'avait pas causé d'ondes de choc.

A la fin le tribunal a encore lu à haute voix la déposition du témoin belge Lucien Thilquin qui est en relation avec l'attentat des casemates. Cet homme aurait confirmé ses premières affirmations par rapport à l'enquêteur Paul Haan.

Tout à la fin de la session un éclat a eu lieu car des gens qui suivaient l'audition depuis la deuxième salle ont affirmé que Carlo Klein était présent et qu'il s'est enfui après fois avoir entendu son nom prononcé. Les avocats de la défense ont crié au scandale !

Il a été murmuré que les princes Jean et Guillaume seront appelés à la barre le jeudi de la semaine prochaine !

Eugène Beffort au centre des discussions mardi

Dans le procès Bommeleeër, l'homme, qui sera au centre des débats mardi, ne peut plus témoigner - comme de nombreux autres témoins. Il s'agit d'Eugène Beffort, le témoin qui avait vu une haute personnalité en novembre 1985, avant l'explosion au Findel, et qui avait voulu confier le nom de celle-ci au Premier ministre Jean-Claude Juncker en 2005.
Quelques mois plus tard, l'homme était entendu par la juge d'instruction, avant de donner une interview sur notre antenne, que l'on pouvait résumer ainsi: à l'époque, il aurait vu le Prince Jean au Findel et aurait été dès lors mis sous pression. Jusqu'à sa mort, le 1er juillet 2012, Eugène Beffort s'en est tenu à cette version.

On est le 9 novembre 1985 tôt le matin. Eugène Beffort est en route pour son travail chez Dupont de Nemours, quand il aperçoit derrière Kalchesbruck, près du bassin de rétention d'eaux, une voiture à l'arrêt dans un chemin de terre. Beffort se dit que cette personne est en panne et il va voir.

La porte de la voiture est ouverte, des câbles traînent à l'intérieur et le conducteur est en train de chipoter à ses chaussures. L'homme lève la tête et il effraie Beffort quand ce dernier croise son regard noir. Le témoin fait demi-tour et reprend son chemin. En route pour son travail, Eugène Beffort se rappelle qu'il connaît ce visage. Il ne veut cependant pas vraiment le croire.

Au boulot, le témoin raconte ce qu'il vient de voir près du Findel. Certains lui conseillent d'appeler le numéro de téléphone spécialement mis en place par la Gendarmerie. Après avoir effectuer sa pause, Eugène Beffort a encore fait une drôle de rencontre à hauteur du "Irgäertchen". Là, une voiture a surgi à toute vitesse du bois, au point que Beffort a eu des difficultés à éviter un accident. Cette voiture roulait en direction de Luxembourg-Ville et Eugène Beffort est rentré chez lui.

Le soir, Beffort entend un boum. Peu après, vers 22h30, on sonne à sa porte. Il s'agit à nouveau des 2 hommes de la Sûreté. Ils veulent une nouvelle fois parler avec Beffort du nom, mais il est déjà trop tard pour lui et il demande aux 2 hommes de partir.

Le reste est connu. Le témoin prend contact avec RTL et dit qu'il ne veut confier qu'à Jean-Claude Juncker le nom de celui qu'il a vu à l'époque dans le cemin de terre. En novembre 2005, Beffort est reçu par le Premier ministre, et quelques mois plus tard, il est entendu par la juge d'instruction, Doris Woltz. La juge écoute patiemment le témoin pendant 2 heures et lui pose des questions. Notamment pourquoi Eugène Beffort a contacté RTL et pas la Police?

Jusqu'à son décès le 1er juillet 2012, Eugène Beffort s'en est tenu à son témoignage, un témoignage dont il va maintenant être question au procès Bommeleeër. Les bandes de l'interview avec RTL seront diffusées à cette occasion, dans leur intégralité et sans coupure.

tagesblatt:

Citation :

15:06  Richterin Conter: Herr Klein, wir sind davon ausgegangen, dass Sie nicht hier waren. Sie hätten auch hier bei uns im Saal sein können? Klein: Ich habe zwei neue Ermittler in meiner Gruppe. Ich wollte den beiden das "Umfeld" im Bommeleeër-Prozess. Dort konnten wir auch miteinander Reden.


15:08 Klein spricht von einer Eskalition im Übertragungssaal: Ich war schockiert von "speziellen" Zuschauern in dem Saal. Sie forderten uns auf, rüber in den Gerichtsaal zu gehen. Wir verließen daraufhin den Raum. Hätten Sie uns gerufen, wären wir natürlich sofort gekommen.

vu le dossier  volumineu & sensible ,on essaie de déstabiliser le moindre faux pas des enquêteurs .

le public dans la salle est manéable... Il suffit un ou deux crieurs en salle et les bûchers sont amenés.

Citation :

17:08
0 Beim Anschlag auf Findel am 9. November 1985 will Prinz Jean auf einer Jagd bei der französichen Familie Giscard d'Estaing in Frankreich gewesen sein. Darüber gibt es eine schriftliche Bestätigtung durch Louis Giscard d'Estaing. Laut Gaston Vogel stimmt da was nicht. Das Alibi klappt nicht. Wo war Prinze Jean am 8. November? Und warum fuhr er am 9. November angeblich zu seiner Verlobten zurück nach Paris, obwohl sich seine Zukünftige in einem Brief darüber beschwerte, dass er am 10. noch immer nicht in Paris war.

 

Vielleicht könnte Gisca auch bestattigen das einer seiner Söhne geschäft gemacht hat  im Braine l'Alleud hinter der Delhaize? in 2000  und war das bereits so in 1985?

l'autre fiston et papi étaient à la chasse dans le chateau avec le fameux escalier , endroit réservé aux chasses présidentièles  ,
chasses dont Mitterand s'en foutait royalement et l'avait mis sous les bonne direction de Grossouvre,
l'homme tout faire , qui lave plus blanc .

, l'homme  qui a pêté à un moment et à fait pêter les plombs de l'Elysee  et plus..

Citation :

17:14
0 Vogel: Ich habe große Zweifel an dem Brief von Giscard d'Estaing. Zwischen dem Jagdgebiet und Luxemburg sind es nur 500 Kilometer. Das schafft man mit einem Auto locker in vier Stunden. Wo war der Prinzi wirklich?

Google

Chambord -  Luxembourg    5h-5h30)
Bormes les Mimosas : chateau fort , villegature des présidents F  et voisin avec le villa du Herzog lux

on se prête bien une tondeuze en voisins non?

c'était aussi là que Bourg après sa retraite vers 2002  a entendu de STEIL la fameuse phrase:

"Ich Weiss wie der B........ ist. !"


les ex BMG y ont encore un tarif réduit ?

pas mal , ce resto " chez le Bimboër" ?

Citation :

17:10 Hierzu liegt eine eidesstattliche Erklärung von Louis Giscard d'Estaing sowie ein Schreiben von der Verlobten von Prinz Jean vor.

17:10 Me Vogel ergreift das Wort.

17:11 Er erklärt, dass die eidesstattlichen Erklärung von Giscard d'Estaing nicht mit den Angaben von Prinz Jean übereinanderstimmen würde.

17:14  Prinz Jean hatte erklärt, dass er am Abend des 9. November 1985 nach Paris zu seiner Verlobten heimgefahren sei. Giscard d'Estaing schreibt aber, der Prinz habe auch die Nacht zum 10. am Rande der Jagd verbracht. Auch schreibt Giscard d'Estaing - anders als der Prinz  - kein Wort davon, dass Prinz Jean bereits am 8. November bei der Jagd gewesen sein soll.

17:14  Me Vogel findet das alles sehr befremdlich.

maintenant on parle des "STAY before"   ceux qui se mettent toujours en avant dans la lumière

les sangs bleus , les présidents et leurs fistons

mais c'était donc des voisins avant 1982 quand Gisca était encore aux manivelles.

et juste après quand Mittera.  et les cocos venait aux pouvoir  on ne parle que de STAY behind !!!

mais c'est bien Mittera. qui a couvert le volet financier du dossiers sur avions renifleurs de gisca et chira


et aussi donc ici il délègue ces responsabilités à son ami Gross pour couvrir les gens au pouvoir ailleurs.

Avec les réserves d'usage, voir

http://secretebase.free.fr/complots/organisations/bilderberg/bilderberg.htm

sans oublier que, selon le juge italien Ferdinando Imposimato, le Bilderberg est à la source des années de plomb en Italie.

Extrait :

(...) La presse a fait le silence sur les révélations de leurs fréquentes réunions secrètes, si bien que le grand public ignore tout des véritables desseins des politiciens et de financiers qui se réunissent, périodiquement, pour déterminer l'avenir du monde et resserrer leur contrôle sur les rouages essentiels des organismes supranationaux. La conférence de 1976 fut annulée après le scandale des pots-de-vin de Lockheed, qui provoqua la démission du prince Bernhard de Pays-Bas; mais la tradition fut reprise, l'année suivante, à Torquay, en Grande-Bretagne, les 21,22 et 23 avril 1977, sous la présidence de Lord Home, ancien Premier ministre britannique (Sir Alec Douglas-Home).

Le Daily Mirror avait dévoilé, trois semaines plus tôt, le 4 avril exactement, les noms des personnalités qui devaient y participer. Parmi elles, naturellement, le financier David Rockefeller et Henry Kissinger mais aussi, le président Giscard d'estaing (qui n'y est finalement pas allé à cause du grand bruit que le canard enchaîné a fait sur la réunion) . De son côté, la canard Enchaîné indiquait, le 13 avril, que parmi les invités figuraient: Helmut Schmidt; Niarchos, le célèbre armateur grec; Agnelli, le "patron" de Fiat; le Premier ministre britannique; le président de la Chase Manhattan Bank; etc. Coïncidence: la réunion de Torquay précedait de qulques jours seulement deux sommêts de ce mois à Londres, l'un des "grands" de l'économie mondiale et l'autre des membres de l'OTAN.

_ _ _


Il faut d'ailleurs relire avec attention le document suivant :

http://fr.scribd.com/doc/130910197/Kissinger-Violet

(Kissinger, Rockefeller, Violet, Pesenti, Andreotti ... en réunion quelques jours avant le "coup d'Etat Borghese" qui a impliqué Andreotti et Stefano delle Chiaie, financé par Pesenti)

http://www.wort.lu/de/view/bommeleeer-der-prinz-und-der-zeuge-5303c46ce4b0209117164b04

Veröffentlicht am 18.02.14 21:37

Bommeleeër: Der Prinz und der Zeuge

Verstorbener Zeuge Beffort will Prinz Jean am Morgen vor dem Findel-Anschlag gesehen haben

(...)

http://www.lessentiel.lu/fr/news/dossier/bommeleeer/story/Le-prince-Jean-va-devoir-rendre-des-comptes-27993452

18 février 2014 16:02; Act: 18.02.2014 18:11

Le prince Jean va devoir rendre des comptes

LUXEMBOURG - Le frère du prince Jean sera une nouvelle fois entendu par la justice le 27 février. Selon un témoin, il pourrait être impliqué dans les attentats à la bombe.

Le frère du Grand-Duc Henri sera entendu comme témoin le 27 février, comme l’a confirmé la justice ce mardi. L’audition portera principalement sur les déclarations d’Eugène Beffort, qui avait prétendu avoir vu le prince Jean sur le site de l'aéroport, le 9 novembre 1985, jour de l’attentat à la bombe au Findel. Entendu une première fois au tribunal en mars dernier, le prince avait nié toute implication.

Le témoin Eugène Beffort s'était en effet manifesté le jour des attentats au Findel, affirmant avoir vu le prince vers trois heures et demie du matin dans une voiture stationnée à proximité du Findel. Beffort, qui se rendait au travail à ce moment-là, s'était approché de la voiture, qu'il soupçonnait en panne pour prêter assistance au conducteur. Ce dernier paraissait absent et, sans un mot, a démarré le véhicule pour prendre la fuite. Le témoin, Eugène Beffort, entre-temps décédé, en était convaincu: «Si l’homme que j’avais devant moi n’était pas celui que je croyais reconnaître, il a en tout cas un sosie fantastique».


Le prince Guillaume pourra-t-il étayer les déclarations de son frère?


La police n'avait dans un premier temps pas donné suite aux déclarations mais des unités spéciales de la gendarmerie et de la sûreté auraient rendu visite à Beffort. Pour l’interroger, mais aussi pour l’intimider, avait affirmé le témoin. Ils lui auraient fait comprendre qu’il risquait d’avoir des «difficultés» s’il mentionnait le nom de la personne qu’il pensait avoir vu. Il s'était finalement confié aux journalistes de RTL en 2005.

Pourtant, Jean Nassau semble à priori disposer d’un alibi solide: l’ancien président français, Valéry Giscard d’Estaing, a confirmé dans une attestation tenant lieu de serment, qu’il avait reçu le prince Jean à Paris, le 9 novembre 1985, et qu’ils s’étaient rendus à la chasse ensemble. Le frère du prince Jean, le prince Guillaume, aurait également été présent ce jour-là, et sera prié d'en attester, lui aussi, à la barre, la semaine prochaine.

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Peut-on croire Beffort?

Les enquêteurs qui ont longuement analysé le témoignage de Beffort ont constaté de nombreuses contradictions par rapport aux descriptions, parfois peu exactes, fournies par le témoin.
Les rumeurs sur l'implication du prince Jean


Les rumeurs courraient depuis les attentats: y aurait-il derrière les poseurs de bombes une personnalité importante, peut-être même un membre de la famille grand-ducale? De telles suspicions avaient battu leur plein après la décision du prince Jean, en 1986, de renoncer à son titre de noblesse et à son droit de succession au trône en cas de décès de son frère aîné, Henri. Il était ensuite parti vivre à Paris.


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A relire :

http://fr.scribd.com/doc/147321401/Renifleurs-La-Verite
























































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Schéma de Paul Latinus (dans le livre de René Haquin) :



"G" est très probablement Giscard d'Estaing.

On retrouve plusieurs personnes impliquées dans l'affaire des avions renifleurs.

Certains se retrouvent aussi à la fameuse réunion dont il est question dans :

http://fr.scribd.com/doc/130910197/Kissinger-Violet

(Violet, Pïnay, Otto de Habsbourg, etc)

On y retrouve le "Cercle Pinay-Violet" et Kissinger / Rockefeller (Bilderberg, etc)


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http://www.cercle-gaulois.be/qui-est-qui/membres-dhonneur/

Membres d'honneur :





(...)

http://www.lequotidien.lu/international/53403.html

4-02-19 09:29:00

La piste du Prince Jean

LUXEMBOURG - La défense dénonce le traitement de faveur dont aurait bénéficié le Prince Jean. Les alibis fournis par la Cour n'auraient pas été vérifiés.

Au centre de la 133e séance du procès Bommeleeër, hier, se trouvait la piste du Prince Jean. Ce dernier avait notamment été mis en cause par le témoin Eugène Beffort (décédé entre-temps). Ce dernier avait déclaré avoir vu le Prince Jean le matin du 9 novembre 1985 aux alentours du Findel, quelques heures avant l'attentat.

De notre journaliste
Fabienne Armborst

L'enquêteur Marc Weis a débuté hier le volet Prince Jean (le frère de l'actuel Grand-Duc Henri) par une introduction. Les premières rumeurs seraient apparues entre 1985 et 1990. En septembre 1986, le Prince Jean avait renoncé à ses droits de succession au trône. L'enquêteur évoque des raisons privées.

Le témoin Eugène Beffort avait déclaré avoir vu le Prince Jean aux abords du Findel quelques heures avant l'attentat. Dans le cadre d'un reportage diffusé sur RTL en novembre 2011, retransmis hier, le témoin oculaire avait fait part de ses observations : le matin du 9 novembre 1985, en se rendant au travail, il avait aperçu un homme blond aux sourcils conséquents dans une voiture vers le Findel. C'est en poursuivant son trajet qu'il s'était rendu compte qu'il s'agissait du Prince Jean. Au travail, il avait fait part de son observation à ses collègues qui lui avaient conseillé d'appeler le numéro spécial instauré par la gendarmerie dans le cadre de la série d'attentats. Lorsqu'il avait prononcé le nom du Prince Jean, il y aurait eu un grand silence au bout de la ligne.

De retour du travail, vers 16 h 30, il aurait reçu la visite de deux agents de la Sûreté chez lui. On lui aurait conseillé de ne jamais citer ce nom en lien avec les attentats en public.


Où était le Prince Jean le 8 novembre ?

Le soir même, peu après 22 h, avait retenti l'explosion au Findel. Les agents de la Sûreté se seraient alors rendus une seconde fois au domicile d'Eugène Beffort, qui les aurait mis à la porte. Mais suite à cela, il aurait été poursuivi pendant près d'un mois.

Appelée à la barre hier, la veuve d'Eugène Beffort a confirmé que son mari lui avait fait part de cette histoire. Déclaration qu'il avait toujours maintenue.

L'enquêteur Weis a également rappelé les différents alibis du Prince. Le week-end de l'attentat contre le Findel, le Prince Jean aurait participé à une chasse à la résidence de la famille Giscard d'Estaing dans le département du Loir-et-Cher (France). Il y serait arrivé le 8 novembre et y aurait pris le repas du soir. Or, l'attestation fournie par Henri Giscard d'Estaing, le fils de l'ancien président de la République française, évoque uniquement les dates du 9 et du 10 novembre. Me Gaston Vogel insiste sur le fait que le Prince Jean n'a donc pas d'alibi pour la date du 8 novembre. La défense dénonce par ailleurs le fait que la vérification des alibis du Prince n'ait pas été poussée plus loin.


Le procès se poursuit aujourd'hui. Le jeudi 27 février seront entendus les Princes Jean et Guillaume.