Vague d'attentats au Luxembourg

http://www.lequotidien.lu/bommeleer/52886.html

Dures critiques contre Harpes

2014-02-04 09:18:00

LUXEMBOURG D'après Pierre Kohnen, le colonel Harpes aurait empêché la mise en place du plan d'observation envisagé par le BKA pour le palais de justice.

De notre journaliste
Fabienne Armborst

C'est un tout nouvel élément que Pierre Kohnen, membre de la Sûreté à l'époque des attentats, a apporté hier lors de la 124e séance du procès Bommeleeër. Avant l'attentat contre le palais de justice, des spécialistes du BKA auraient envisagé le scénario d'un attentat contre le bureau du juge d'instruction. Scénario qui s'est en fin de compte réalisé.

Jusqu'à présent, l'attentat perpétré contre le palais de justice le 19 octobre 1985 était essentiellement associé à l'échec de l'observation Geiben. D'après de nouvelles déclarations faites par Pierre Kohnen hier après-midi, cela n'aurait pas été la seule observation à avoir échoué ce week-end.

Selon l'interprétation de l'ancien membre de la Sûreté, le colonel Harpes aurait empêché la mise en place de l'observation sur le palais de justice suite au scénario envisagé par le BKA (Office fédéral de la police criminelle allemande).

D'après le témoin, des spécialistes du BKA auraient en effet annoncé l'escalade du mur du palais de justice ainsi que le placement d'une bombe sous le bureau du juge d'instruction de l'époque.

Sur quoi avait été décidée une observation du palais de justice par le service de renseignement (NDLR : le SREL de l'époque). D'après le témoin, une pratique non exceptionnelle en pleine guerre froide où le service secret avait régulièrement été appelé à l'aide.

Depuis la fenêtre supérieure du musée (NDLR : l'actuel musée national d'Histoire et d'Art), les agents du service secret devaient observer le palais de justice. Ce que le témoin a fini par nuancer par les Trois Tours depuis lesquelles on peut effectivement apercevoir le mur escaladé par les auteurs.

Le témoin ne se rappelle plus de la composition exacte de la commission qui avait établi le plan d'observation. Une chose est néanmoins sûre : l'enquêteur Raymond Wagner n'avait pas décidé cela seul avec les hommes du BKA.

C'est de Raymond Wagner que Pierre Kohnen avait reçu l'information. Ce dernier travaillait en étroite collaboration avec le BKA qui avait une bonne expérience en raison des actes de Fraction armée rouge en Allemagne.

Les gens de la Sûreté – dont Pierre Kohnen – partaient donc du principe qu'une observation concrète avait eu lieu sur le palais de justice. En entendant la nouvelle de l'attentat à la radio le dimanche matin, Pierre Kohnen se rappelle s'être dit : «Ça y est, maintenant on les a.»

Mais tel n'était finalement pas le cas : il n'y avait pas eu d'observation et le scénario envisagé par les membres du BKA s'était réalisé.


Kohnen critique la justice de l'époque

Lorsque l'enquêteur Raymond Wagner s'était présenté auprès du colonel Harpes pour lui demander ce qu'il s'était passé et pourquoi on n'avait pas attrapé le Bommeleeër, ce dernier lui aurait simplement répondu : «Je crois que vous êtes le Bommeleeër, il n'y a que le Bommeleeër qui puisse connaître autant de détails.»

Le témoin avait encore d'autres critiques à l'égard des officiers Armand Schockweiler et Charles Bourg. En ce qui concerne Armand Schockweiler, il explique que c'est la première fois qu'il voyait un officier exécuter une commission rogatoire internationale (CRI) à l'étranger. Charles Bourg, quant à lui, l'avait frappé par sa bêtise et son incompétence. Suite à l'attentat de Heisdorf, ce dernier avait notamment organisé une battue dans la forêt.

Le témoin a également exprimé une large critique face à la justice. Le juge d'instruction de l'époque, Jean-Mathias Goerens, n'aurait rien fait pour faire avancer l'enquête. Ainsi, à la suite du quatrième attentat à la bombe, il aurait essayé de convaincre qu'il ne s'agissait pas d'une série d'attentats.

Quant au procureur d'État, Jean-Marie Hary, il l'aurait rencontré un matin sous l'influence de l'alcool en train de dévoiler des éléments concrets de l'enquête.

L'audition de Pierre Kohnen se poursuit jeudi. Aujourd'hui seront entendus Marc Zovilé et Patrice Solagna au sujet de l'attentat lors du Sommet européen au Kirchberg.

la semaine dernière je pense avoir compris que ds le même batiment du palais de justice on avait livré des plantes pour le bureau que le grand -duc avait là aussi.


et je pense le scenario devait etre : que des anciennes plantes pourrait être recuperé par les hommes de BMG   proches du palais .

Ils ont utilisé les plantes pour attirer Geiben au palais  dans un  tracnard  le samedi soir.

Vu qu'il ne pouvait pas se liberer il est venu les chercher chez Steil que le dimanche matin avant d'aller au tir avec lui.


c'est pour cela que l'observation du palais de justice ,proposé par le BKA a été  arrêté
le tracnard était déjà mis en place.?

Citation :

Le témoin avait encore d'autres critiques à l'égard des officiers Armand Schockweiler et Charles Bourg. En ce qui concerne Armand Schockweiler, il explique que c'est la première fois qu'il voyait un officier exécuter une commission rogatoire internationale (CRI) à l'étranger. Charles Bourg, quant à lui, l'avait frappé par sa bêtise et son incompétence. Suite à l'attentat de Heisdorf, ce dernier avait notamment organisé une battue dans la forêt.

en plus premier lieutenant,  il était reçu par un general  et son adjoint  en Belgique !

le battu avec des centaines d'hommes avait effacé toutes les traces;


Bourg a du se mémorise le J.I. Prosper Klein jeune JI ,qui avait demandé de mettre en sécurité des traces

Bourg l'avait ignoré et était parti  .


le département identification n'avait même pas été contacté.
ils ne savaient même pas l'existence decet attentat et plus tard ils ont encore du chercher un baton de dynamite q'un journaliste avait recuperer là bas.

http://5minutes.rtl.lu/fr/actualite/alaune/507528.html

Procès Bommeleeër, jour 124: Critique acerbe des cadres par Pierre Kohnen

RTL - 03.02.2014, 06:19 | Dernière mise à jour: 03.02.2014, 19:59

Le procès Bommeleeër sera plein de suspens les jours prochains vu que toute une partie de hauts cadres de la police seront appelés à témoigner.

Kohnen: critique de Goerens et Hary

Le témoin a également expliqué avoir écrit un mémoire au sujet d’une réorganisation interne de la Sûreté. Seulement deux à trois officiers seraient intervenus dans l’enquête. Il a notamment critiqué le colonel Harpes et Armand Schockweiler.

Au-delà des officiers, le juge d’instruction Jean-Mathias Goerens aurait été absolument incompétent et fainéant. Il aurait même essayé après le quatrième attentat de convaincre les gens qu’il ne s’agissait pas d’une série d’attentats. Le procureur adjoint Jean-Marie Hary aurait été alcoolique. Selon Pierre Kohnen on aurait peu à peu soupçonné des connaissances d’initié chez les coupables et ces fuites d’informations n’auraient pu venir que de la Sûreté ou du Parquet lui-même.

Me Vogel: le colonel Harpes devrait être sur le banc des accusés

Selon Kohnen il n’y aurait pas de doute que le colonel Harpes ne faisait pas partie des Bommeleeër mais n’aurait pas non plus tout fait pour trouver les coupables.

Le témoin a ensuite parlé du fait que le palais de justice était sous observation suspecte de la part du SREL et par le Bundeskriminalamt allemand. Le groupe aurait bien annoncé où il pourrait y avoir des explosions mais le colonel Harpes aurait par la suite ordonné d’arrêter toute observation. Pierre Kohnen a indiqué par la suite qu’il était convaincu que les coupables avaient été arrêtés ce soir-là.

Me Vogel a ensuite dit que selon lui, le colonel Harpes devrait être sur le banc des accusés.

Harpes … “jusqu’ici encore un témoin"

Selon Kohnen, tout le monde aurait été fâché à cause de cette affaire et il y aurait eu beaucoup de discussions au sein de la Sûreté.

La présidente du tribunal, Sylvie Conter a ensuite précisé qu’à l’époque le scénario d'un des attentats avait été décrit de manière très précise à l’avance, tout comme celui du Kirchberg, et que le colonel Harpes était, du moins jusqu’ici, encore témoin.

Le témoin a ensuite parlé du troisième officier qui était intervenu, selon lui, dans l’enquête: Charel Bourg. Le témoin l’a accusé de stupidité et d’incompétence, parce qu’il aurait organisé une chasse dans la forêt juste après l’attentat de Heisdorf.

Pierre Kohnen a souligné ne pas avoir fait confiance aux nouveaux enquêteurs ni à Carlo Klein parce que ce dernier avait manipulé des témoignages. Ainsi, un des documents du dossier sur la remise de l’argent présumée sur la place du Théâtre documentée au exactement le contraire de ce qu’il avait effectivement dit. Il n’aurait jamais dit qu’il s’agissait là d’un des gens du SREL.

Selon la présidente du tribunal un des employés du SREL aurait pourtant expliqué qu’il suivait en voiture et par hasard l’employé de la Sûreté en route pour son domicile.


Autres témoins de la semaine:

Le Directeur général Romain Nettgen sera le premier à être confronté aux juges.

Mardi ce sera au tour de Patrice Solagna et Marc Zovilé. Les questions porteront probablement sur l'attentat autour du sommet européen yaant eu lieu en 1985.

Mercredi l'ancien numéro 2 de la Gendarmerie Charles Bourg sera interrogé ainsi que Charles Hamen.


Au vu de la durée énorme du témoignage de Pierre Kohnen au lundi, ce programme ne pourra probablement pas être respecté...

Luxemburger Wort  - Jeudi, 30 janvier

Et ça continue avec Zovilé ancien Comandant de la Région Luxembourg de la Gendarmerie à l'époque qui ne se souvient de rien!
C'est honteux!

il ne faut pas surestimer les officier de la police

ca me rappelle quelque chose

Le Commissariat De Police

https://www.youtube.com/watch?v=mo2O1desNHA

Dures critiques contre Harpes

Témoin Pierre Kohnen :
Depuis la fenêtre supérieure du musée (NDLR : l'actuel musée national d'Histoire et d'Art), les agents du service secret devaient observer le palais de justice. Ce que le témoin a fini par nuancer par "LES TROIS TOURS" depuis lesquelles on peut effectivement apercevoir le mur escaladé par les auteurs.

Khonen de la Première Tour :
« Frère Harpes, ne vois tu rien venir ?

Harpes de la Deuxième Tour :
« Je ne vois rien que le soleil qui poudroie, et l'herbe qui verdoie ».

Agent du service secret de la troisième Tour :
« Je ne vois que la capitalisme qui merdoie et la route qui y mène qui poudroie. »

Seule solution pour supporter la crise : la poudre largement utilisée dans les narines des témoins qui défilent depuis un an déjà...

@Titu celui qui sait lire et qui s'est renseigné a un avantage.
Les cadavres de l'affaire de Waldbillig ont été découpés brulés et ensuite les restes ont été mis dans de l'acide. A moins que les journaux se trompent.
Voilà ce que marque le spiegel" Carlo Fett, der Organisator von 20 Überfällen auf Banken und Juwelierläden, hatte sie nacheinander zum Rapport bestellt und nach Feststellung der Strafverfolger mit Hammer oder Flinte zum Schweigen gebracht.

Nach der Mordserie erfüllte der Metzgergeselle Dieter Schuch gewissenhaft den Auftrag des Bosses Fett, die Leichen portionsgerecht zu zerteilen. In einer Tonne wurden die Stücke auf Briketts verbrannt, die Reste dann in einer Wanne in Salzsäure aufgelöst. "Mitwisser aus dem Fett-Umfeld", sagt ein Surete-Beamter, "zittern und bangen noch heute, sie könnten der nächste sein."

Arrêtez de faire des recherches sur le net et bouger votre cul. L'enqêteur Paul Haan ou un autre de son équipe vous dira qu'ils n'ont jamais utilisé de "bain d'acide"! C'est un détail, mais très révélateur sur la qualité des infos qui sont publié sur ce fil !

allez titu , soyez sérieux

il n'y a que 300 soldats au Luxembourg valides et 8 BMG qui peuvent faire le mur ! en plus
le Luxembourg n'est que une dixième de la Belgique , cela ne doit pas être difficile non plus .

Pourtant journalistes n'ont rien trouvé en 30 ans et c'est Oswald et le Juge Conter qui font leur boulot !

Même les auxillaires SREL et détectives sont Belges , pourqoui pas les bommeleeërs !

Attendons le témoignage de Dislaire ,Giscard et d'autres lustres du palais ...

on va encore s'amuser!

C'est ça, amusez-vous ! Les jeux de mots, les tournures tordues, les rigolades prennent le dessus sur l'info ! C'est du mauvais cabaret !
Des liens entre la Belgique et le Luxembourg ? Biensûre il y en a ! Mais pas au niveau des agents du SREL ! Il y en a eu UN seul qui était belge ! Et encore, il vivait depuis des années au Luxembourg !

De nouveau, la plupart des questions ont été posée et les pistes à suivre ont été dressé sur le forum, il y a longtemps. Mais les réponses à ces questions ne se trouveront pas dans des articles de journaux ou sur le net.

C'est du mauvais cabaret !

absolument

les rigolades prennent le dessus sur l'info ! C'est du mauvais cabaret !

car j'avais con-staté tout de suite que le presse  de qualité  LIVE de WORT

ne notait pas ce qui est dit au tribunal tandis que au même moment Tagesblatt le notait bien dès que on parlait de SANTER .

je ne pense pas qu'il y a eu critique au Luxembourg sur cela !

mais c'est vrai  , c'est du mauvais cabaret ici et chez vous aussi ds la presse !


puis pour les faits reu semble avoir dit a un haut placé ds la justice :

"nicht  so hoch " donc il ne reste pas beaucoup de commanditaires vu que le ministre de la farce publique était fanat de l'utilisation de pendules  par le chef des enquêteurs diwi pour faire des recherches !.

et cela est aussi déclare par le J.I. Prosper Klein. qui fait mention de cela ds son audition.

puis récemment les déclarations de Kohnen établissent un beau portret de la situation !

http://www.lequotidien.lu/bommeleer/52917.html

L'amnésie de Zovilé se poursuit

2014-02-05 09:25:00

La chambre criminelle a du mal à croire au désintérêt de Marc Zovilé qui ne se rappelle pas avoir cherché à savoir qui se trouvait dans la voiture interceptée.

De notre journaliste
Fabienne Armborst

Les officiers Marc Zovilé et Patrice Solagna sont encore et toujours amnésiques. Appelés une nouvelle fois à la barre hier lors de la 125e séance du procès Bommeleeër, l'ancien commandant de gendarmerie de la circonscription Luxembourg et l'actuel chef de la police judiciaire ne se rappellent quasiment rien de la soirée de l'attentat lors du Sommet européen au Kirchberg.

Dans le cadre de l'attentat lors du Sommet européen (2 décembre 1985), plusieurs témoins avaient déclaré avoir aperçu, voire entendu, une voiture.

Le témoin Théo Arensdorff avait été très précis en évoquant même une Audi 100 blanche de laquelle un bras – côté passager – avait jeté quelque chose de noir par la fenêtre. Théo Arensdorff témoignait encore avoir entendu l'officier Marc Zovilé appeler à poursuivre cette voiture.

Marc Zovilé, engagé en tant que chef du dispositif de sécurité lors du Sommet européen, n'a aucun souvenir de cela. Appelé hier après-midi à la barre, l'ancien commandant de gendarmerie de la circonscription Luxembourg a déclaré ne pas se souvenir avoir passé l'ordre de poursuivre la voiture. Ce qui va à l'encontre des déclarations du témoin Théo Arensdorff.

Marc Zovilé explique s'être trouvé au poste de commandement au moment de l'explosion. Le colonel Charles Bourg aurait été à ses côtés. Il ne sait toutefois plus si Jos Steil était également présent.

Sa mémoire ne lui permet pas non plus de se rappeler qu'une voiture aurait été arrêtée au bout de l'autoroute. «Le message "nous avons arrêté quelqu'un, mais le résultat est négatif", je ne l'ai appris qu'en passant», déclare ainsi Marc Zovilé.

Sa première priorité aurait été la sécurité des délégations lors du Sommet au Kirchberg. Il n'aurait pas agi par désintérêt, mais, selon lui, l'organisation de la poursuite se serait faite au niveau du poste de commandement qui avait d'autres moyens.

La présidente de la chambre criminelle, Sylvie Conter, avait pourtant du mal à croire que Marc Zovilé ne se soit pas attaché à savoir qui se trouvait dans la voiture arrêtée. «Nous en avons certainement discuté, mais je n'ai plus de souvenirs de ce qui s'y est dit,» réplique finalement Marc Zovilé. Il n'aurait pas entendu que Jos Steil se trouvait dans la voiture.


Solagna n'a plus qu'une seule image en tête

Patrice Solagna, l'actuel chef de la police judiciaire, se souvient encore moins de la soirée de l'attentat au Kirchberg. D'après ses déclarations d'hier, il n'aurait ni entendu parler de la poursuite d'une voiture par la brigade volante, ni de son interpellation au bout de l'autoroute, ni du résultat négatif du contrôle.

Le soir de l'attentat, il occupait le poste de nuit, il était arrivé un peu avant le début de sa mission. Lorsque la déflagration avait retenti, il se trouvait dans le hall.

De cet attentat, il ne lui reste plus en tête aujourd'hui que l'image de l'onde de pression et de l'explosion. Charles Bourg et Jos Steil se trouvaient devant lui.

Patrice Solagna n'a pas non plus de souvenirs d'un contrôle d'une personne suspecte qu'il avait ordonné ce soir-là. D'après le procureur d'État adjoint, Georges Oswald, le dossier indique néanmoins Patrice Solagna comme l'auteur de cet ordre.

«Je ne me souviens de rien. C'est la méthode la plus sûre pour ne pas se trahir», a fini par conclure la présidente de la chambre criminelle, Sylvie Conter.

Le procès se poursuit aujourd'hui avec l'audition de Charles Bourg et de Charles Hamen. Ils seront également entendus dans le cadre de l'attentat lors du Sommet européen.

parce que pour raison d'informatique du serveur les 50 premières pages sont difficille de retrouver il suffit au lecteurs sérieux de reprendre les mails suivants
pour comprendre un peu pourqoui Titu se fache ...

regarde bien les dates

https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t1329-liens-entre-la-gendarmerie-belge-et-luxembourgeoise

K : "Attendons le témoignage de Dislaire ,Giscard et d'autres lustres du palais ..."

Dislaire, tous le monde connaît.  
Mais Giscard, c'est qui ça?  

http://5minutes.rtl.lu/fr/actualite/luxembourg/508269.html

Procès Bommeleeër, 126e journée: préservation des preuves était catastrophique à l'époque

RTL - 05.02.2014, 15:39 | Dernière mise à jour: 05.02.2014, 17:30

Charel Hamen, qui était gendarme au moment des attentats, a été le premier témoin entendu mercredi après-midi dans le procès Bommeleeër.

Il a déclaré être arrivé à la Gendarmerie et là, auprès d'Armand Schockweiler, après le départ de Ben Geiben, pour l'aider dans l'affaire Bommeleeër; il n'aurait cependant pas été mis au courant, il n'aurait jamais eu de contact avec les juges d'instruction, le Parquet et les enquêteurs et il n'aurait jamais enquêté non plus.

Charel Hamen a expliqué avoir été sur les lieux de 3 attentats dont au Kirchberg après l'attentat lors du sommet européen. Il peut se souvenir que la préservation des preuves était, à l'époque, catastrophique; c'est pourquoi il aurait réfléchi à améliorer cela, mais cela n'aurait pas suffi.

Ben Geiben et Jos Steil n'auraient pas été un sujet comme auteurs des attentats; il n'aurait rien appris non plus au commando de la Gendarmerie, de sorte que c'est dans un plus petit cercle que l'on en aurait discuté.

Selon Charel Hamen, Charel Bourg aurait été réservé à son égard. Selon le témoin, on aurait à l'époque travaillé sur d'autres pistes que la militaire, mais, à son avis, à l'aveuglette; c'est pour cette raison que le témoin n'a pas eu l'impression que l'on a travaillé très précisément sur des personnes. L'homme admet aussi avoir vu les portraits-robots.

En 1998, on lui aurait montré des éléments de preuve de l'affaire Bommeleeër, mais il n'aurait pas entendu dire qu'Armand Schockweiler serait allé les chercher.

Lors de l'attentat au sommet européen, le témoin se trouvait au poste de commandes quand il a entendu l'explosion. Selon lui, Charel Bourg aurait été là par intermittence, Jos Steil certainement aussi, mais il y aurait eu du va-et-vient; par contre, Charel Hamen n'a aucun souvenir de la présence à cet endroit de Marc Zovilé, et il n'aurait rien su d'une voiture blanche suspecte ni de la présence de Jos Steil à l'intérieur.

Témoin Charel Bourg: Steil dans la voiture? Je ne peux pas dire!

Ensuite cela a été au tour de Charel Bourg, qui était coordinateur pour le sommet européen, de témoigner. Ce jour-là, il se trouvait à l'intérieur, dans différentes pièces; quand l'explosion a eu lieu, il était assis dans une pièce du Centre de conférences.

Pour la juge Sylvie Conter, l'image de Patrice Solagna, qui aurait vu Charel Bourg dans le hall avec Jos Steil, est alors fausse.

Selon Charel Bourg, cela aurait été possible ensuite; après l'explosion, il se serait rendu au poste de commandes et Marc Zovilé serait sorti. Il ne pourrait cependant plus se rappeler tout ce qui se serait dit là par la suite; ces choses devraient figurer dans le compte-rendu correspondant.

Le procureur Georges Oswald s'est alors demandé où se trouverait ce dernier.

Cela se serait bien passé après que Marc Zovilé soit revenu, selon Charel Bourg.

http://www.wort.lu/de/view/bommeleeer-ein-hilfloser-haufen-52f2ad06e4b07ca9197da193

HERVE a écrit:

http://www.wort.lu/de/view/bommeleeer-ein-hilfloser-haufen-52f2ad06e4b07ca9197da193

C'était le WNP local... piste non aboutie. Curieux J'ai le souvenir qu'on a parlé de ce groupe en Belgique.
Des camps paramilitaires non? Avec photos à l'appui dans POUR. Là encore, une coincidence de plus?

Je sais très bien que ça n'a rien à voir avec les attentats mais le frère du témoin Hamen fût membre de la Brigade Mobile de la Gendarmerie et de ce fait membre de la garde rapprochée du Grand-Duc.
Ceci bien après les attentats!

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HERVE a écrit:

http://www.wort.lu/de/view/bommeleeer-ein-hilfloser-haufen-52f2ad06e4b07ca9197da193

ALIBI  
Presse Lux octobre 1985 "Die RAF und Lucien Dislaire"

"Am 1. Oktober sorgt eine Meldung über "terroristische Aktivitäten in Deutschland, die möglicherweise in Zusammenhang mit Luxemburg stehen "für reichlich Diskussionsstoff. Deutsche Staatsschützer haben offenbar zwei Terrorverdächtige , einen Mann und eine Frau in Trier beim Auskundschaften einer französischen Kaserne erwischt. Die Spur der Verdächtigen verliert sich in der Nacht zum 29. September, als sie in Richtung Luxemburg fahren."

"Die deutschen Sicherheitskräfte gehen davon aus, dass die mutmaßlichen Terroristen sich nach Luxemburg abgesetzt haben. Eine Woche zuvor, am 23. September, wird zudem in Remich der international gesuchte Belgier Lucien Dislaire verhaftet. Von Dislaire wird angenommen, dass er an einem Waffendiebstahl mit terroristischem Hintergrund beteiligt gewesen sein soll. Mögliche Zusammenhänge zwischen Luxemburg und der internationalen Terrorszene bringen die Gerüchteküche über Wochen und Monate zum Brodeln"

Pour les francophones
LA ROTE ARMEE FRAKTION ET LUCIEN DISLAIRE
« Le 1 octobre 1985, une déclaration « d’activités terroristes »en Allemagne qui pourraient être liées ensemble avec le Luxembourg et provoque matière à discussion. La Sécurité d’Etat Allemande a découvert deux présumés terroristes (un homme et une femme) à Trèves. Ils ont été surpris alors qu’ils espionnaient une caserne française. Les traces de ces suspects se sont perdues dans la nuit du 29 septembre, alors qu’ils roulaient vers le Luxembourg.

La sécurité allemande en déduit que les supposés terroristes se sont installés au Luxembourg. En outre, une semaine plus tôt (le 23 septembre) à Remich, le Belge Lucien Dislaire internationalement recherché, a été arrêté. Il est supposé que Dislaire aurait participé à un vol d’armes avec des intentions terroristes. Certains enchaînements entre le Luxembourg et la scène terroriste internationale, sèment une rumeur qui au fil des semaines et des mois amènent à un bouillonnement