Vague d'attentats au Luxembourg

ça cest pas evident on en trouve plein mais pas toutes les séances.je ne sais pourqoui

Attention attentat ala bombe pour le moment

OSWALD a fait peter la seance !!!

plein de gens ne peuvent plus etre que témoins mais doivent souscrire leurs déclarations et vont etre probalement mis en accusation pourt justisbehinderung et und zo weiter


suivre en direct maintenant !!!

le procès peut s'arreter . WALL STREET chute , les banques ferment les portes .

les STERES de bois ne sont pas nécessaires .....

qu'est ce qui va se passer .

dislaire peut commencer à préparer son deuxième édition

Citation :

15:09 Kurze Pause.

15:07 Das Gericht ruft eine Pause ein und will sich nun kurz beraten.

15:07 Die Anklage ist der Ansicht, dass man weiter verfahren könne, die Verteidigung eher nicht.

15:06 Gegen diese Personen müssten dann parallel zum Prozess Ermittlungen in die Wege geleitet werden. Ob der Bommeleeër-Prozess in diesem Fall weitergeführt werden kann, darüber gehen die Meinungen auseinander.

15:05 Die Verteidiger wollen zudem zuerst die ganze Liste jener Personen erhalten, die nun als Beschuldigte gelten sollen.

15:05 Oswald schlägt vor, dass diese Personen ihre Aussagen in einem separaten Raum durchlesen könnten. Die Verteidigung ist dagegen und will dies in öffentlicher Sitzung geschehen lassen.

15:04 Damit alles seine prozedurale Ordnung hat, müssten besagte Personen ihre transkribierten Aussagen lesen und unterschreiben.

15:03 Das Gleiche gelte für Armand Schockweiler und auch andere nicht genannte.

15:03 Er ist der Meinung, dass Weydert nicht mehr als Zeuge gehört werden kann, sondern gegebenenfalls als Beschuldigter betrachtet werden kann.

15:02 Staatsanwalt Oswald will einige Schlussfolgerungen vorbringen.

15:01 Die Richter treten ein. Die Sitzung ist eröffnet.

des mondes s'écroulent .... , des lustres de cristal vacillent

tagesblatt

Citation :

15:08
0 Marcel Weydert sitzt in der Pause zusammengekauert, tief in Gedanken versunken auf seinem Stuhl im Gerichtssaal.

Die Nachricht von Staatsanwalt Oswald über die juristischen Schritte platzte wie eine Bombe hier im Gerichtsaal ein.

Gaston Vogel fürchtet, dass der eigentliche Prozess jetzt "versandet".
Laut Vogel müsste der Hauptprozess solange ausgesetzt werden, bis die juristischen Schritte gegen die von Staatsanwalt Oswald genannten Namen abgeschlossen seien.

time is on our side et

c'est cette fois OSWALD qui a fait pêter un bombe au procès


W peut partir chez maman il n'est plus témoin

Citation :

15:29   Die Sitzung wird nun für heute aufgehoben. Morgen sollen weitere Zeugen gehört werden, darunter ein Ex-BMG-Mitglied.  

la torture médievale : le silence , ....face au juge est  fini pour aujourd'hui.

la vérité ratrappe toujours le mensonge.  il faut que du temps !   beaucoup de temps.

http://www.wort.lu/de/view/bommeleeer-weydert-und-schockweiler-als-potenzielle-angeklagte-52e7d14ee4b0516eb96d96f4

Veröffentlicht am 28.01.14 16:48 | Aktualisiert am 28.01.14 um 17:09

Bommeleeër: Weydert und Schockweiler als potenzielle Angeklagte

(...)

Dernières nouvelles :

Après la courte séance de cette après midi une perquisition a eu lieu chez M. Weydert

@wort.lu

Comme prévu ds les articles précédentes et aussi par d'autres membres il y a une partie des attentats commandités par la politique : "le grand jeu' + casemattes et c'est les lampistes du BMG qui trinquent pour cela, Kirschberg est pour les jours avenir , c'est indefini encore qui a arrêté Steil en Audi.)

mais c'est bien probable que le Jeu est intermélangé avec ds attentats à but lucratif pour pouvoir profiter des contrats de gardienage et je pense à Wort (déclencheur est même marque mais d'un autre type)

bizar est que les premier attaques de 1984 n'ont été que additionées que beaucoup plus tard;

en plus l'article FBI parle des explosif volées au debut de 1985 n'ont été qu'utilisées ala fin .

mais là se pose la question de Wagner ?ou Hellinckx? qui habite a qqs centaines de mètres de l'endroit ou LSD était situé firme qui en plus est déclarér en faillitte le même jour de Wagner.
et en plus Wagner et Hellinckx ont des voisin victimes collaterales aussi intéressantes.
complications, complications.....

Il faut donc relire le doc du tribunal pour trouver les types d'explosifs exactement en 1984 , 1985 et à la fin .

http://www.lessentiel.lu/fr/news/luxembourg/story/24222421

Des témoins bientôt sur le banc des accusés ?

LUXEMBOURG - Le 121e jour du procès pourrait apporter un tournant dans l'affaire Bommeleeër. Les enquêtes ont été lancées contre des témoins.

Les deux témoins Marcel Weydert, ancien membre de la Brigade mobile et Armand Schockweiler, ex-officier, figureront-ils bientôt sur le banc des accusés? Depuis mardi, il est en tout cas clair que des enquêtes judiciaires ont été lancées à leur encontre. Le procureur d'état Georges Oswald part du principe que les deux hommes, sur base des témoignages fournis à la barre ces derniers jours, devraient être considérés comme de potentiels accusés. Selon lui, ils pourraient bien être impliqués dans les attentats à la bombe perpétrés dans les années 80.

Pourtant, il n'y a pas lieu d'interrompre le procès pour l'instant et d’ex-honorer Marc Scheer et Jos Wilmes qui figurent sur le banc des accusés depuis près de 11 mois. Ils pourraient d'ailleurs y rester et les nouveaux accusés potentiels pourraient les rejoindre. Les enquêtes seront menées parallèlement au procès. D'autres personnes pourraient également être concernées par ces enquêtes, a expliqué Oswald au tribunal, mardi.

«La justice ne doit pas tout savoir»

L'audience de Weydert en tant que témoin a pour l'instant été repoussée, le temps de l'enquête. Il a en tout cas indiqué ne pas vouloir apporter de modifications aux témoignages déjà apportés. Une lettre adressée à l'accusé Marc Scheer et contenant des allusions bizarres avaient mis les enquêteurs sur sa piste. Par ailleurs, il avait apporté des témoignages confus en relation avec l'attentat des Casemattes. Avait-il ou non été sur place après l'attentat? Le témoin l'avait nié, puis confirmé.

Armand Schockweiler s'était empêtré dans des contradictions. Il n'était notamment pas arrivé à expliquer l'origine du portrait-robot des poseurs de bombes et avait à plusieurs reprises suscité la consternation lors de son audience. Interrogé sur les documents transférés au FBI au début de l'enquête sans que les juges d'instruction ne soient au courant, l'ancien officier de la gendarmerie avait répondu tout simplement: «La justice ne doit pas tout savoir». On le soupçonne par ailleurs d'avoir fait disparaître d'importantes pièces à conviction après l'attentat de Hollerich.

nouveau procès possible:

http://5minutes.rtl.lu/fr/actualite/luxembourg/505723.html


le proces pertuel !

time is on our side !

HERVE a écrit:

A titre d'information, vous pourriez être intéressés par

http://www.franceinter.fr/emission-rendez-vous-avec-x-laffaire-de-luranium-nigerien-0

Il y est question de Georges Tenet, directeur de la CIA, mais les informations provenaient très probablement de James Pavitt ("spécialiste" en non-prolifération) ...

Il y est aussi question, très brièvement, de Bruxelles ...

_ _


Complément :

http://www.nytimes.com/2003/07/06/opinion/what-i-didn-t-find-in-africa.html

What I Didn't Find in Africa

By Joseph C. Wilson 4th

Published: July 6, 2003

WASHINGTON— Did the Bush administration manipulate intelligence about Saddam Hussein's weapons programs to justify an invasion of Iraq?

(...)

_ _


L'épouse de Joe Wilson :





Voir aussi :

Fair Game: My Life as a Spy, My Betrayal by the White House
Par Valerie Plame Wilson

Titu: "Et voilà qu'on est reparti pour un tour. Désolé, mais puisqu'il n'y a plus d'autres intervenants sur le forum qui souhaitent s'échanger sur ce qui se passe REELLEMENT dans l'affaire des Bommeleeër, le forum perd tout son intérêt. Veuillez donc continuer avec vos théories conspiratives... sans moi !"

Voyons, Titu, elle n'est pas jolie la Valerie? De plus employé de la CIA ( donc suspecte  ). Une véritable James Bond girl?Encore mieux que l'autre Valerie! Une bombe de plus!(Toutes les bombes actuellement s’appellent Valerie   )
C'est pas de la bonne info?

"Chassez le naturel il revient au galop"  

http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20140128_00424652

Mise à jour : mercredi 29 janvier 2014 06h00

Grand-duché - Judiciaire

Vers de nouvelles inculpations dans le procès Bommeleeër ?

Fabienne ARMBORST (Le Quotidien)

Coup de théâtre hier mardi à la 121e audience du procès «Bommeleeër», à Luxembourg. Avec de nouvelles inculpations à la clé ?

Coup de théâtre, hier mardi au tribunal d’arrondissement de Luxembourg, où venait de s’ouvrir la 121e audience du procès Bommeleeër. Le procureur d’État adjoint, Georges Oswald, a présenté à la Chambre criminelle en charge du procès qui instruit les attentats à la bombe qui ont secoué la capitale grand-ducale au milieu des années 80 un corps de conclusion où il a récapitulé l’audition de l’ancien membre de la brigade mobile de la gendarmerie (BMG), Marcel Weydert, comme une «véritable corvée pour tout le monde».

Suite à ses déclarations des derniers jours, le parquet considère Marcel Weydert comme «potentiel inculpé». Après plusieurs jours d’errements sur sa présence ou non lors de l’attentat à la bombe sur les casemates de Luxembourg en 1985, le parquet a tranché hier. «Le moment est venu pour dire au témoin qu’il n’a plus besoin de dire quoi que ce soit à la barre qui le chargerait», a indiqué Georges Oswald.

Cette décision ne concernerait non seulement Marcel Weydert, mais encore Armand Schockweiler, le chef de la Sûreté à l’époque des attentats à la bombe. Ce dernier est suspecté d’être venu récupérer des pièces à conviction après 1996. Il est fort probable qu’à cette occasion il ait emporté les pièces d’un autre attentat à la bombe dans les années 1980 qui ont complètement disparu aujourd’hui.

Le procureur d’État adjoint a également annoncé l’ouverture de procédures contre d’autres témoins dont il n’a toutefois pas cité les noms.

En attendant, le procès se poursuit

Après une courte suspension, la présidente de la chambre criminelle, Sylvie Conter a annoncé à Marcel Weydert: «Au regard du contenu du réquisitoire du procureur et de vos déclarations, nous avons décidé l’arrêt de votre audition comme témoin.»

Marcel Weydert, est toutefois resté sur ses déclarations: «Je peux juste dire que je n’ai pensé à rien au moment de mes déclarations. Je ne voulais en aucun cas induire quelqu’un en erreur.»

Après la transcription des déclarations de Marcel Weydert et sa signature, ces dernières seront transmises au cabinet du juge d’instruction qui prendra la décision s’il y a assez d’éléments pour inculper Marcel Weydert. La présidente de la chambre criminelle a annoncé cette même procédure pour Armand Schockweiler et André Glodt. Ce dernier, ancien chef de section au sein de la police technique, avait déclaré qu’Armand Schockweiler était venu chercher des pièces à conviction.

En attendant, le procès se poursuit. Aujourd’hui seront entendus de nouveaux témoins.

Quelles sont les conséquences pour le procès actuel en cas d’une ou plusieurs nouvelles inculpations par le juge d’instruction? En cas d’une inculpation, le tribunal arrêterait le procès. «En théorie, le procès pourrait se poursuivre», expliquait hier le procureur général d’État, Robert Biever. Il poursuit: «Dans ce cas, le tribunal craindrait une contradiction. Un procès équitable s’avérerait difficile.»

En effet, les avocats des deux prévenus, Marc Scheer et Jos Wilmes, n’auraient notamment pas accès au dossier des potentiels inculpés, Marcel Weydert, Armand Schockweiler et André Glodt.

l'imbroglio laisse le temps aux journalistes de chercher et d'écrire...

RTL - 29.01.2014, 12:22 | Dernière mise à jour: 29.01.2014, 14:59
L'avocat de la Défense a surtout dans sa ligne de mire des officiers, qui sont déjà passés au procès

Dans l'affaire Bommeleeër, on va maintenant à nouveau enquêter sur quelques anciens gendarmes.   C'est ce qu'a annoncé le procureur Georges Oswald mardi; le juge d'instruction et ses enquêteurs travaillent déjà.  
C'est ce que l'on sait depuis la 121e journée du procès. Mais que va-t-il se passer avec toutes les plaintes que Maître Gaston Vogel avait annoncées?

Au cours du procès, Gaston Vogel a donné 10 noms, des noms de personnes qui doivent s'attendre à une plainte. Mercredi matin, il a dit ceci:

"Ces plaintes sont pratiquement prêtes, déjà depuis un bon moment. Je viens encore aujourd'hui de commander le verbatim de Geiben. Et j'ai également commandé le verbatim de Charel Hoffmann. Cela donne une plainte globale. C'est un peu tôt. Je regrette que l'on n'ait pas pu directement joindre les plaintes de Stay behind.

Gaston Vogel a dans sa ligne de mire les officiers, qui sont déjà passés au procès: Harpes, Geiben, Steil...

Un autre ne pourra pas manquer: "Bourg".

Cependant Gaston Vogel ne pense pas du tout que la ligne du Procureur général Robert Biever contre la brigade mobile, a eu du succès. Au contraire, à cause de la plainte dans le procès contre Scheer et Wilmes, ce procès est maintenant dans un cul de sac.

L'avocat regrette, "que nous n'en soyons pas venu à Stay behind". Ce sera alors pour l'avenir!  

S'il y a un avenir pour ce procès. Car pour Gaston Vogel, c'est évident: ce procès va mourir de ses longues questions procédurales.

  

tagesblatt plus bavard cette fois que wort: un extrait

Citation :

....
Verteidigung Lorang bringt Ben Geiben als möglichen Hellinckx-Liebhaber ins Spiel. Geiben war bei den Frauen beliebt. Die Verteidigung will, dass Hellinckx und Geiben dazu befragt werden.
16:44
0 Ermittler Carlo Klein: Wir haben natürlich die Tochter damals befragt. Es gab keine Verbindung zum Hof. Sie fing erst nach den Anschlägen ihren Job beim Hof an.
16:40
0 Am 17. Februar 1986: explodiert die letzte Bombe beim Notar Hellinckx. Laut Steffen gab es damals Gerüchte, dass ein früheres BMG-Mitglied eine Affäre mit einer Hellinckx-Tochter hatte. Nachdem das vorbei war, explodierte der Sprengsatz unter dem Wagen der Tochter. (Camille Hellinckx war damals unter anderem Notar für den großherzoglichen Hof).
16:38
0 Richterin Conter: Warum haben die Offiziere einen Eid gelegt und dann kriminell gehandelt? Steffen: Das ist die berühmte Omerta. Fällt ein, fallen sie alle. Richterin Conter: Wer fällt zuerst? Steffen spricht von Weydert, Stebens und Schockweiler.
16:36
0 Richter, Staatsanwaltschaft hören gespannt den Aussagen/Überlegungen von Steffen zu. Richterin Conter: Warum haben die Offiziere dann einen Eid abgelegt und lügen. Steffen zitiert den damaligen Untersuchungsrichter Prosper Klein: Wer die Warheit sagt, ist ein Esel.
16:33
0 Richerin Conter ist neugierig: Haben Sie mit Loers über die Attentäter gesprochen? Steffen: Natürlich haben wir darüber gesprochen. Wir haben auch über die BMG gesprochen und den Zusammenhang zur Monarchie. Steffen unterstreicht. Auch die Offiziere wissen etwas. Sie haben einen Eid geleistet. Darum schweigen sie. Es müsse nur einer umfallen. Steffen betont: Das sind alles nur Überlegungen. Ich stehe zu meinen Aussagen. Ich unterschreibe sie auch.
16:31
0 Laut Steffen gab es eine Unterredung zwischen Loers, Colonel Bruck und einem Vertreter vom Hof. Richterin Conter will wissen, ging es um Prinzen oder einen Prinz. Steffen will den Namen des Prinzen (Jean) nicht nennen. Er spricht von Prinzen und auch dem Geheimdienst. Steffen: Wüsste ich welcher Prinz gemeint war, würde ich den Namen hier auch sagen.
16:28
0 Laut Steffen wollte sich Loers das Belohnung mit einer anderen Person teilen. Wer das war, weiß Steffen nicht. Gaston Vogel wird beim Wort Prinzen hellhörig: Auf welchem Mist bewegen wir uns hier?
16:24
0 Laut Loers gebe es eine Spur zu den Prinzen. Daraufhin wurde er unter Druck gesetzt. Laut Steffen drohte man ihm: Wenn er sprechen würde, sei er "Persona non grata", so Steffen.Loers spricht von Druck von drei bis vier Leuten. Loers soll auch einen komischen Unfall gehabt haben. Nach einer Feier auf dem Herrenberg fuhr er heim. Dabei wurde er von einem anderen Fahrzeug von der Straße gedrängt.
16:18
0 Steffen spricht von Ex-Geheimdienstmann Loers: Ich kannte Ihn noch aus der Armee-Zeit. Loers hatte damals bei einem Lauschangriff Bänder gewechsel. Laut Steffen war Loers auch an einer Aktion beteiligt. Es ging um einen "Finderlohn" im Zusammenhang mit den Bombenleger. Laut Loers wusste er wer die Täter waren. Auf dem Herrenberg konfrontierte er damit damals Colonel Bruck.

....

pink noise

on savait déjà que le J.I. de Jaegere avait eu un accident bizarre mais pas daté , mais ici on parle d'un autre forfaiture

Citation :

tagesblatt
16:24
0 Laut Loers gebe es eine Spur zu den Prinzen. Daraufhin wurde er unter Druck gesetzt. Laut Steffen drohte man ihm: Wenn er sprechen würde, sei er "Persona non grata", so Steffen.

Loers spricht von Druck von drei bis vier Leuten.

Loers soll auch einen komischen Unfall gehabt haben.

Nach einer Feier auf dem Herrenberg fuhr er heim.

Dabei wurde er von einem anderen Fahrzeug von der Straße gedrängt

wort:

Citation :

16:21 Steffen erklärt, dass Leurs ihm erzählt habe, dass er für den Srel gearbeitet habe.

16:22 Leurs habe auch berichtet, jemand (nicht genannt) habe ihn angesprochen, um ein "Ding" zu drehen, um die Belohnung zur Ergreifung der Bommeleeër zu erhalten.  


16:23 Leurs habe dann mit Colonel Brück gesprochen.
Später habe es ein Treffen mit dem Abgeordneten Bourg, Brück sowie jemanden vom großherzoglichen Hof gegeben.
Dabei habe Leurs versichern müssen, nichts in dieser Sache zu unternehmen, er sonst als persona non grata erklärt werde.

16:25 Dies habe Leurs ihm beim Prozessauftakt erzählt, so Steffen.

Leurs habe auch erzählt, dass mal auf der Autobahn auf ihn geschossen worden sei.
Ein anderes Mal sei er von den Straße gedrängt worden.
Zudem habe man seinen Wagen durchsucht.


16:25   Richterin: "Hat Leurs Ihnen denn gesagt, ob er wisse, wer die Bommeleeër seien?"


16:26 Steffen: "Er hat gesagt, die Prinzen seien dabei gewesen. Dies habe er von jener Personen erfahren, die die Belohnung wollte. Wer dies war, das weiß ich auch nicht."


16:27 Leurs wird im weiteren Verlauf des Prozesses angehört werden.

avec une armée pareille les Letz ont certainement besoin d'une armée STAY behind !

16:51 Die Richerin will mit dem Zeugen Steffen fortfahren.

16:51 Steffen erzählt vom Offizier Moes.
              Der sei einmal verschwunden gewesen und sein Gewerh sei bei einem S(t)rommasten     gefunden worden.

16:51 Die Richerin sagt, das sei bekannt und auch ihm Dossier enthalten.

des majorettes , qoui  pour vous défendre contre l'ancien régime.

Pour information (en allemand) :

http://www.wort.lu/de/view/bommeleeer-die-bmg-die-prinzen-und-noch-viel-mehr-52e96bd2e4b0b554db09ed39

29.01.14 22:00

Bommeleeër: Die BMG, die Prinzen und noch viel mehr

_ _

http://www.heise.de/tp/blogs/6/155764

Afär Bommeleeër: Aus Zeugen werden Angeklagte

Markus Kompa 29.01.2014

je me demande si tous les letz sniffe du "nitrate d'ammonium" ?

il n'y que le temoin hier ,
qui a du fumé un pétard de hashis car il a été condamne "1fois" ..., un 2peu ,et foutu dehors le BMG avec son chien renifleur vers la police ,
qui semble avoir une vue sur ce qui s'est tramé ds les différentes services et brocanteries ;

toutes les autres ont oubliés , effet secundaire du sel de nitrate? avec lequel ils se sont abusés tous.

http://5minutes.rtl.lu/fr/actualite/luxembourg/506215.html

Bommeleeër, 122e journée: Témoin: Schockweiler a emporté des éléments de preuves

RTL - 29.01.2014, 15:30 | Dernière mise à jour: 29.01.2014, 18:24

Mercredi après-midi, le procureur Georges Oswald a expliqué au début du 122e jour de procès, qu'il avait reçu un courrier d'André Glodt. Ce dernier y aurait confirmé sa déclaration devant la Cour, qu'il n'a personne d'autre en tête qu'Armand Schockweiler, quant à la personne qui aurait une fois emporté des éléments de preuve de l'affaire Bommeleeër.

Nico Biver: pas réellement un sujet

Le 1er témoin de l'après-midi a été Nico Biver, qui était policier au moment des attentats. On aurait eu recours à lui pour la surveillance de pylônes et il n'aurait été sur les lieux d'aucun fait. Il est arrivé à l'armurerie en 1981. Son chef était Henri Flammang, que le témoin a décrit comme un"cinglé des armes". Henri Flammang s'est suicidé en 1995.

Le témoin n'aurait parlé avec son chef que de l'explosion à Asselscheuerhof. Selon Henri Flammang, là, l'explosif aurait été préparé contre le démineur, mais tout le monde aurait pu fabriquer ce piège explosif.
Sinon l'affaire Bommeleeër n'aurait jamais été un sujet entre ces deux-là.

Le némoin ne sait rien non plus de la présence d'Henri Flammang sur l'un des lieux des faits, et son chef n'aurait pas été mis en relation avec les attentats. L'affaire Bommeleeër n'aurait pas été un sujet à cette époque, et par conséquent, aucun nom n'aurait été cité, selon Nico Biver.

André Steffen: "Pas assez confiance en toi"

C'est ensuite André Steffen, un ancien membre de la BMG, qui a témoigné. Ben Geiben aurait été un bon chef et à son époque, l'ambiance aurait été très bonne; avec Pierre Reuland, cela aurait changé, car ce dernier n'avait pas le même caractère. L'amitié au sein de la Brigade mobile n'aurait plus été aussi bonne et différents groupes se seraient formés.

Ce dont il se souveient, c'est qu'un matin, Marc Scheer et Jos Wilmes sont arrivés au bureau et que Marc Scheer a parlé du fait que quelqu'un s'était promené la nuit. Quand il avait demandé où ils étaient, il aurait reçu la réponse suivante: "Oû nous étions, nous ne pouvons pas t'y emmener, car nous n'avons pas assez confiance en toi!"

Défense en colère ...

Cette déclaration a provoqué la colère des avocats de la Défense, car, selon Me Vogel, elle ne figurerait nulle part! Le témoin a répliqué qu'il n'aurait même jamais été entendu!

Quand Me Lorang a demandé si le témoin avait un casier, la juge Sylvie Conter a trouvé que cela n'avait rien à voir! Le témoin aurait bien été condamné une fois, mais cela ne constituerait pas pour lui une interdiction de témoigner.

André Steffen: 5 à 6 personnes constituait le noyau de la BMG

Sinon pour André Steffen, il y avait encore des entraînements dans des carrières et des marches de nuit parmi les souvenirs. A la BMG, 5 à 6 personnes auraient appartenu à un noyau: Marc Scheer, Jos Wilmes, Michel Schickes, Jos Steil, François Hentzen et Jean-Claude Berscheid.

Le témoin a encore ajouté avoir un temps pensé que les Bommeleeër venaient de la BMG; ils n'auraient pas eu de matériel, mais tout à coup, cela aurait été là, et des gens seraient aussi arrivés.

Après que la présidente de la Cour ait rappelé qu'au 1er jour du procès, l'homme a dit que 2 personnes manqueraient sur le banc des accusés, Jos Steil et Ben Geiben, André Steffen a souligné qu'il n'aurait rien entendu de concret à ce propos. Par contre, il aurait compris quand, après une perquisition au domicile d'Henri Flammang, un enquêteur a dit: „Maintenant nous avons un Bommeleeër. Nous avons une lettre d'adieu, et il y a fait ses aveux!“

Me Vogel a alors remis en question la crédibilité du témoin.

Le directeur de la Police et une lettre

L'enquêteur en chef Carlo Klein a dit à ce propos que le fait de la perquisition était exact, jusqu'au détail de la lettre; il ne pourrait cependant pas se souvenir d'une telle conversation, mais bien que l'actuel directeur de la Police, Romain Nettgen aurait été là.

Selon Me Vogel, ce dernier aurait peut-être fait disparaître une telle lettre. A son avis, ou bien le témoin ment, ou la lettre aurait disparu!

Témoin cite l'homme du SREL, Gilbert Leurs

Le témoin a alors parlé de son contact avec l'ancien homme du SREL, Gilbert Leurs. Ce dernier lui aurait dit au début du procès, qu'il voulait recevoir la prime du Bommeleeër; il en aurait parlé avec le Colonel Brück, car il savait qui seraient les Bommeleeër. Il aurait alors été convoqué au commandement de l'Armée, où le Colonel Brück, l'ancien député Willy Bourg et éventuellement un membre de la Cour, lui aurait dit que s'il disait quelque-chose, il serait considéré comme persona non grata. Il aurait également dû signer quelque-chose et on lui aurait dit de bien faire attention; ensuite on lui aurait tiré dessus, et par ailleurs, un accident aurait été provoqué, dans lequel il était impliqué. Ce Gilbert Leurs lui aurait notamment dit qu'un Prince aurait été présent lors des attentats.

"Omerta"

La BMG aurait également eu des contact avec la Cour, et ce serait peut-être ainsi qu'il faudrait expliquer l'amnésie des officiers, selon le témoin, pour qui rien ne se passe si chacun participe à l'omerta; si l'un tombait, tous les autres tombaient, et là, il pourrait être question de Marcel Weydert, Guy Stebens et Armand Schockweiler.

Une rumeur et son démenti

Par ailleurs, le témoin aurait entendu une rumeur à propos de l'attentat Hellinckx, selon laquelle, un membre de la BMG aurait eu une relation avec la fille du député; la bombe aurait été jetée suite à une rupture.

L'enquêteur Carlo Klein a alors précisé que cela avait été vérifié et que cela n'aurait pas été le cas; le procureur Georges Oswald l'a confirmé.

Jeudi, l'ancienne compagne de Jos Steil sera notamment entendue au procès Bommeleeër.

Pour information ...

Il est question de Pavitt dans

http://polska.newsweek.pl/cia-i-tajne-wiezienia-w-polsce-na-newsweek-pl,artykuly,279703,1.html

L'article est basé en partie sur

http://www.washingtonpost.com/world/national-security/the-hidden-history-of-the-cias-prison-in-poland/2014/01/23/b77f6ea2-7c6f-11e3-95c6-0a7aa80874bc_story.html

Voir aussi

http://www.nytimes.com/2006/11/29/world/europe/29detain.html?_r=0

http://www.lequotidien.lu/bommeleer/52709.html

Divisions au sein de la BMG

2014-01-30 10:16:00

LUXEMBOURG- Le témoin André Steffen évoque une discussion où son collègue Marc Scheer aurait refusé de lui donner plus d'informations par manque de confiance.

Au lendemain du coup de tonnerre au procès du Bommeleeër, la chambre criminelle a poursuivi avec l'audition des témoins. Lors de la 122e séance, hier, c'était au tour de Nico Biver, policier à l'époque des attentats, et d'André Steffen, ancien membre de la section canine au sein de la brigade mobile de la gendarmerie (BMG).

De notre journaliste
Fabienne Armborst


Membre de la section canine de la brigade mobile de la gendarmerie (BMG) entre 1980 et 1984, André Steffen garde de très bons souvenirs de l'ambiance au sein de l'unité spéciale sous le chef Ben Geiben. Avec l'arrivée de Pierre Reuland, l'ambiance se serait dégradée.

Parmi les déclarations suivantes du témoin, une a particulièrement mis en colère MeGaston Vogel, l'avocat à la défense de Marc Scheer.

André Steffen se rappelle ainsi comment un jour Marc Scheer avait dit, en présence de Jos Wilmes à Michel Schickes (autre membre de la BMG), que durant la nuit ils étaient allés explorer un peu le terrain. À sa demande, Marc Scheer n'aurait cependant pas voulu donner davantage d'informations à André Steffen. Il lui aurait répondu : «Nous ne pouvons pas t'emmener avec nous, car nous n'avons pas assez confiance en toi.»

«Cela ne figure pas dans le dossier», s'exclame Me Vogel. Sur quoi, le témoin explique que jusqu'à présent il n'a jamais été entendu. Marc Scheer, quant à lui, ne se souvient pas de cet épisode.

André Steffen déclare encore avoir entendu un enquêteur dire après la perquisition de la maison de Henri Flammang qui s'était suicidé en 1995 : «Maintenant nous avons un Bommeleeër. Nous tenons une lettre d'adieu où il a fait un aveu.» L'enquêteur principal, Carlo Klein, présent lors de la perquisition, ne se rappelle pas d'une telle discussion. L'audition d'autres témoins en début de semaine prochaine devrait aider à clarifier ce point.

Le témoin évoque aussi ses contacts avec l'ancien agent du SREL, Gilbert Leurs. Ce dernier lui aurait dit au début du procès que quelqu'un s'était adressé à lui afin de récupérer la prime pour le Bommeleeër. Lors d'une entrevue avec le colonel Brück, Willy Bourg et un représentant de la Cour, on aurait toutefois demandé à Gilbert Leurs de ne rien entreprendre. Autrement, il risquerait d'être considéré comme persona non grata.

La présidente de la chambre criminelle, Sylvie Conter, voulait savoir si Gilbert Leurs lui avait dit qui est le Bommeleeër : «Il m'a dit que les princes en faisaient partie», réplique le témoin. Gilbert Leurs n'aurait pas non plus connu le membre de la Cour présent lors de l'entretien.


Il suffit qu'il y en ait un qui tombe...

C'est sur quelques réflexions personnelles que s'est terminée l'audition d'André Steffen. La BMG était aussi en contact avec la Cour. «Pourquoi les officiers sont-ils amnésiques? Il doit y avoir quelqu'un au-dessus», remarque le témoin en faisant référence à la monarchie et la politique. Il poursuit : «S'il y en a un qui tombe, vous les aurez tous.»

Nico Biver, le deuxième témoin lors de la séance d'hier, avait uniquement participé à la surveillance de pylônes à l'époque des attentats. En 1991, il avait rejoint l'armurerie. Il décrit son ancien chef, Henri Flammang, comme un grand amateur d'armes. Mais ce n'est qu'après son suicide en 1995 qu'il avait appris l'existence de son arsenal d'armes en participant à l'inventaire de ses armes.

Selon le témoin, on ne parlait pas de l'affaire Bommeleeër à l'époque. Le nom de Henri Flammang ne serait pas tombé non plus.

Avec Henri Flammang, il aurait juste parlé de l'attentat d'Asselscheuer. Selon ce dernier, le piège à feu était destiné au démineur. Mais tout le monde aurait pu mettre en place le dispositif.

Le procès se poursuit aujourd'hui notamment avec l'audition de la veuve de Jos Steil.

l'attrape  nigeot  : les plantes !!!

mal traduit ds wort ,même pas ds tagesblatt

15:16   Fuchs weiß nicht, dass Geiben am Wochenende des Justizpalast-Attentats bei Steil gewesen sein soll.

15:17    Sie meint aber nun, dass der damalige Erbgroßherzog Henri in der [b]gleichen Wohnanlage ein Büro gehabt habe.


15:17    Der Hof habe damals dort Pflanzen angeliefert, so Fuchs.

15:18   Die Richerin hatte Fuchs die Frage gestellt, ob Geiben je Topfpflanzen bei Steil abgeholt habe.

Das weiß Fuchs nicht. Hingegen sei Geiben aber öfters bei Steil zu Besuch gewesen. Über die Arbeit sei aber nie viel gesprochen worden


quelle  magouille pour couler G. !

Pour celles et ceux qui veulent revoir Valerie Plame Wilson, elle apparaît dans le reportage suivant sur BBC4 :  

http://www.bbc.co.uk/programmes/galleries/p01qr9xp

http://www.arcaajans.com/haber/siyaset/turk-medyasi-bu-oyuna-hep-geliyor/40386/

(James Pavitt est cité dans l'article ci-dessus ; je ne sais pas si c'est le cas dans le reportage).

James Pavitt est maintenant actif dans des sociétés comme CACI, Patriot Defense Group et Advanced Blast Protection (Armour Group) ... ce qui donne de lui une image très "militaro-industrielle".

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http://intellit.muskingum.edu/cia_folder/cia1990s_folder/cia99_folder/cia99gen7-12.html


Loeb, Vernon. "IntelligenCIA: Rebuilding Clandestine Operations." Washington Post, 20 Sep. 1999. [http://www.washingtonpost.com]

  DDO James L. "Pavitt, 53, a Phi Beta Kappa graduate of the University of Missouri," served tours "in Austria (1976-1978), Germany (1978-1980), Malaysia (1980-1983) and Luxembourg (1983-86).... When he first returned from overseas, Pavitt became special assistant" to then DDO Richard Stolz. In 1990, he was detailed "to the National Security Council as director for intelligence programs and became special assistant to the president for national security affairs during the final year of the Bush administration in 1992. He then went back to Langley and became deputy director for operations at the CIA's Nonproliferation Center, where he served until he was asked to start up a counterproliferation division inside the DO in 1995. From there, he became [DDO Jack] Downing's deputy two years ago before [DCI George] Tenet named him DDO in August" 1999.


Ignatius, David. "Where to Hide All Those Spies?" Washington Post, 12 Dec. 1999, B9. [http://www.washingtonpost.com]

   Interview with DDO James L. Pavitt on 6 December 1999. "Congress has given Pavitt and his colleagues more money to hire new spies.... But where should the CIA hide all these spies?... Should they be under 'official cover' -- posted abroad to U.S. embassies, trade missions and international organizations, where they'll have the protection of diplomatic immunity if they get caught spying? Or should more spies operate under 'non-official cover' -- as 'NOCs,' in the jargon of intelligence?"

Bommeleeër : awer militäreschen Hannergrond beim Attentat op d’Kasematten ?

http://www.100komma7.lu/emissions/2014/01/31/bommeleeer-awer-militareschen-hannergrond-beim-attentat-op-dkasematten/


...Laut Informatiounen, déi dem radio 100,7 zougedroe goufen, léich awer grad an deem internationalen Héichfrequenzkabel e méiglecht militärescht Motiv vum Attentat. Den Owend vum Attentat hätt nämlech de Groupe d’Alerte vum Centre National d’Alerte am Schlass zu Senneng eng international Übung gehat, an duerch d’Attentat wieren d’Telekommunikatiounsverbindunge mat den Übungspartner an Däitschland an an der Belsch ënnerbrach ginn.

De Centre National d’Alerte am Schlass zu Senneng gouf duerch d’Gesetz vun 1960 iwwert d’Protection Civile gegrënnt, an huet d’Aufgab am Fall vun engem Konflikt, d’Populatioun an d’Autoritéiten iwwert all Loftattack, radioaktiv, chemesch a biochemesch Tëschefäll ze warnen. De Centre National d’Alerte gëtt vun engem Groupe d’Alerte assuréiert, deen sech laut Internetsite vun der Administration des Services de Secours aus engem Chef an engen 30 Agents-Operateurs zesummesetze. D’Membere mussen als Fonctionnairen oder Employée beim Staat schaffe, mat Ausnahm vun der Arméi. En Deel vum Groupe forméiert haut de Groupe Cattenom, zu den Aufgabe gehéiert awer och haut nach d’Sammele vun Informatiounen am Fall vu militäresche Konflikter a vu Krisen am allgemengen. Fir hir Missioune sinn d’Membere vum Groupe d’Alerte am Kontakt mat den Zentre vun der Protection Civile, mam 112 do, mat der NATO, der Arméi a mat der Police.

Senneger Schlass (Chateau de Senningen) heberge (entre autres) le centre de communication du gouvernement

Division permanence des communications
http://www.ccg.public.lu/organisation/permanence/index.html
http://www.ccg.public.lu/missions/index.html

Sennenger Schlass
http://lb.wikipedia.org/wiki/Sennenger_Schlass#cite_note-10

le jour même de la publication de son article sur les Bommeleer (Bommeleeër : awer militäreschen Hannergrond beim Attentat op d’Kasematten ?)  Jean-Claude Wolff vient de décèder.

http://www.wort.lu/de/view/100-7-journalist-jean-claude-wolff-stirbt-bei-autounfall-52ecd188e4b0b554db09f176

100,7-Journalist Jean-Claude Wolff  stirbt bei Autounfall