Vague d'attentats au Luxembourg

"Qui ne peut plus nier de savoir ce qui c'est passé ?" !

mais moi je suis d'avis si c'est une affaire d'état il faut très bien rechercher qui est/était impliqué

st sur google on retrouve rien sur Bourscheid

on retouve un tatouage de serpent sur le bras gauche de «Monsieur Jos»

quelqu'un en sait quelque chose ?

...hier à la barre, le témoin a retiré ses déclarations sur Jos Steil : «Je suis formel. Ce n'est pas le monsieur que j'ai cité.» Il a expliqué que lors de ces camps de survie sur fond militariste, avec ces scouts, il avait entre autres fait la connaissance d'un certain Jos, respectivement Josy, qui aurait également été une sorte de père pour lui. Ce «Monsieur Jos» – comme il l'a appelé hier – ne serait toutefois pas Jos Steil. Il s'en serait rendu compte au cours de son audition vendredi lorsque l'enquêteur lui aurait montré un album de photos de Jos Steil. Sur ces photos, Jos Steil ne présentait pas de tatouage de serpent sur son bras gauche. Or le Jos rencontré chez les «scouts de la terreur» en portait bien un.

http://www.lequotidien.lu/bommeleer/51229.html
Luxembourg: «Ce n'était pas Jos Steil»

je viens de lire le livre de guy bouten sur ls TBW et celui de Raes (le gendarme don quichote) et si je me remets dans l'etat d'esprit des deux livres je me demande si la bande de waldbillig n'aurait pas ete manipulee pur jouer le premier acte de la strategie de tension a la luxembourgeoise

de plus, en lisant que me vogel met en doute, pas pour la premiere fois, l''intégrité des enquêteurs, je me demande s'il s'agit seulement d'une tactique déplacée de la defense?

"Den Affekot ass vun enger Manipulatioun vum Zeien duerch d'Enquêteuren iwwerzeegt"

"L'avocat est sûr et certain que le temoin a été manipulé par les enqueteurs "

http://news.rtl.lu/wahlen/news/493299.html

ca me rapelle aussi l'episode du sherrif d'esch; histoire qui a été reprise par le tabloïd -Lux-Privat.
j'ai des vagues souvenirs que l'enqueteur Klein y été mêlé dans cette affaire de corruption, le proxénétisme et de prostitution?

quelqu'un me peut renseigner? merci

update:
- http://www.luxprivat.lu/content/search/?SearchText=carlo+klein&SearchButton=Search

http://www.lequotidien.lu/bommeleer/51268.html


«Où était Ben Geiben?»


2013-12-11 09:22:00

C'est la question-clé que le colonel Harpes aurait dû poser lorsqu'il a été informé de l'observation sur Geiben. Chose qu'il n'a toutefois pas faite...

De notre journaliste
Fabienne Armborst

Lors de la 101e séance du procès Bommeleeër, hier, l'ancien chef de la gendarmerie, le colonel Aloyse Harpes, a été cohérent dans ses déclarations pendant une heure et quart. Mais comme pour les autres officiers, est finalement arrivé le moment où la chambre criminelle a eu du mal à croire ce que lui présentait le témoin.

Le colonel Aloyse Harpes est un ancien chef de la gendarmerie, fonction qu'il a occupée à partir du 1er octobre 1985, succédant au colonel Wagner.

Peu après son entrée en fonction, le colonel Harpes avait créé le groupe d'enquête et le groupe d'observation et de recherche (GOR), son but étant de renforcer l'unité. Selon lui, la section de la sûreté n'était pas vraiment idéale pour mener une enquête d'une telle envergure, pas vraiment une élite.

En ce qui concerne l'avancement de l'enquête, ses connaissances se limitaient à ce que tout le monde savait des journaux. Durant les réunions des officiers, on n'aurait pas non plus envisagé des moyens pour déterminer l'initié au sein de la gendarmerie.

Le colonel Harpes a déclaré hier qu'il avait lui-même envisagé la piste Geiben. D'après lui, l'ancien chef de la BMG avait toutes les compétences pour organiser l'ensemble des attentats. Il en aurait parlé à Armand Schockweiler, le chef de la sûreté, qui, étant du même avis, se serait ensuite rendu chez le procureur adjoint, Jean-Marie Hary, pour mettre en place la commission rogatoire internationale (CRI) sur Ben Geiben.

À noter que dans ses déclarations, Armand Schockweiler avait indiqué que c'était Paul Haan qui avait rassemblé pour lui les éléments menant à la piste Geiben.

Parallèlement à la CRI, avait été organisée une observation sur Ben Geiben le 19 octobre 1985, le jour où il devait se rendre au Luxembourg. Or, celle-ci avait été abandonnée en fin de journée, soit quelques heures avant l'attentat contre le Palais de justice. L'observation avait été reprise le lendemain matin.


Harpes informé par Schockweiler


Le colonel Harpes n'aurait toutefois pas été au courant de cette observation. C'est seulement le lundi qu'Armand Schockweiler lui en aurait parlé. Dans ses déclarations, la semaine dernière, Armand Schockweiler faisait toutefois savoir qu'il n'avait pas été au courant de l'observation de Geiben au Luxembourg.

Le colonel Harpes, quant à lui, se souvenait hier parfaitement de l'expression que Schockweiler avait employée pour l'informer que Geiben avait quitté le pays. Ce dernier aurait filé vers la Belgique «à fond la caisse».

Pour le procureur d'État adjoint à Luxembourg, Georges Oswald, il n'y avait toutefois qu'une seule question logique à poser à cet instant : «Où était Ben Geiben lors de l'attentat contre le Palais de justice?»

Le colonel Harpes ne se serait pas posé de questions, il aurait juste réceptionné le rapport oral que lui faisait Armand Schockweiler. Sur ce, Georges Oswald a élevé le ton : «Non, non, cela ne va pas! Je ne peux pas accepter cela!»

Quelques instants plus tôt, le colonel Harpes avait encore expliqué qu'il croyait en la piste Geiben. Selon la présidente de la chambre criminelle, Sylvie Conter, cela était une raison de plus d'envisager que Geiben avait quelque chose à voir là-dedans. Mais pour le témoin, cela était une affaire qui avait mal tourné, «un point, c'est tout».

Le colonel Harpes n'avait pas non plus d'explication concernant l'abandon soudain de la piste Geiben. Il a évoqué dans ce contexte le «deal Geiben» : suite à une affaire de pédophilie, Ben Geiben aurait été prié de démissionner de la gendarmerie et de quitter le pays. Ainsi l'affaire aurait été classée. Le témoin expliquait hier avoir reçu cette information par un bon ami qui, lui, aurait appris cela de la part du procureur adjoint de l'époque, Jean-Marie Hary.

Pour Georges Oswald, dans cette affaire, il y a un hic : Jean-Marie Hary n'aurait dans ce cas pas fait établir la CRI.

Le procès se poursuit cet après-midi avec l'audition du colonel Harpes.

attention decapitation .

pour les enmerdes va vous informer auprès dun grand hotel à bourscheid le chalet devait etre pas loin de là

jai vu il y a  qqs temps un photo de ce chalet ds une doc du service de tourisme >>vieille photo

l'enqueteur belge ? prive ou journaliste N.S est disparu le 25 janvier 1985

Son corps est retrouvé qu'en 2004 dans les bois de Bourscheid par des touristes allemands.

on a essayé de foutre le feu avant l'explosion(pas ds le requisition)

Citation :

12. April 1985 Explosion in Bourscheid: Ein Weekend-Haus, das kurz zuvor an
den Staat verkauf) wurde, fallt ihr zum Opfer. Bis heute ist nicht eindeutig geklärt, ob das Attentat in
die Serie passt, denn es wurde keine kriminalistische Analyse der Spuren und des Sprengstoffs vorge-
nommen. Außerdem habe drei Wochen vorher jemand versucht, das Haus in Brand zu stecken.

il se peut que ce chalet joue un rôle ds l'histoire de Letzeburg >> restauration ?

informez vous auprè du service de tourisme là bas

mais comme à Reims ils savent souvent pas que les Senegalais ont défendu la ville !
alors si ce n'est pas la première friture belge de Luxembourg  ils vont pas connaitre l'existence de cette friture disparue .

http://www.tageblatt.lu/nachrichten/story/27218975


voici un artcile en allemand

vu la date de la disparution et les vols peu apres un lien est possible:

Citation :

Vols à Helmsangc au cours du week-end du 1er au 4 février 1985 et du 09 février 1985
D'une manière identique à celle de 1984 au moins deux auteurs ont pénétré les carrières de gypse
et la station séismographique sise à Helmsange pour y enlever du Luxite, des détonateurs
pyrotechniques et de la mèche 4
Le troisième vol fut perpétré par trois auteurs le 9 février 1985 à Helmsange dans la carrière de
gypse de la station séismographique, des outils divers ainsi que du matériel électronique y ayant
été volés 5.
Pour opérer l'effraction les auteurs ont utilisé un coupe-boulons, en découpant un anneau de la
chaîne fermant le portail, ce qui leur permit, lorsqu'ils quittaient les lieux, de replacer l'anneau
d'une manière telle que cet endommagement à la chaîne ne fut découvert que bien plus tard.

merci max

quelqu'un sait ou trouver cette lettre qui, selon rtl, circule sur l'internet concernant l'aveu du tmoin Gredt

E Bréif, deen elo um Internet zirkuléiert wier fir de Nico Graf eng Confirmatioun vun deem gewierscht wat den Zeie Gredt sot an duerfir wier hien frou gewierscht, wéi den Zeien op eemol sot, hi giff en Interview ginn. De Nico Graf huet och insistéiert, den Zeie wier virdrun natierlech ni ënner Drock gesat ginn, am Géigendeel: wéi am Geriicht vum Schléiwenhaff als Traininsplaz vun de Scouten geschwat gi wier, hätt den Zeien him esouguer geschriwwen, bréng de Schléiwenhaff dach an en hätt sech eben vu sech aus viru Mikro a Kamera gestallt.

http://news.rtl.lu/wahlen/news/492956.html

http://www.tageblatt.lu/nachrichten/story/-Mein-Computer-wurde-geputzt--16301250

voici un autre lien

la lettre est dun témoin anonyme et se trouve sur le site ici je vais la rechercher

Une connaissance commune m’a conseillé de vous écrire
Comment vous expliquer.... Je fait toujours parti d’une Organisation de Renseignement (surtout contre espionnage industriel). Donc une Société. Mon ami qui m’a conseillé de vous écrire ces quelques mots., est employé dans une Société similaire. Bon, apparemment il ne vous l’a pas dit.
Quel est notre point commun.
Les années 82-86 ainsi 94- aujourd’hui (il y avait les études entre ces périodes)
Nous avons été recruté par Monsieur Joseph Steil. Bon l’histoire vous la connaissait apparemment (1982-1986)
Moi je voudrais vous parler de la suite.
Certes c’était Politique, mais surtout une Période très intéressante, où lla Partie Bommeleeër n’est peut être pas la plus excitante. C’était la Période du renouveau Economique au Luxembourgh vu la chute de l’ARBED. En plus le Rideau de Fer yétait encore.
Conclusion: Des Contrats juteux et surtout des places a prendre. La politique a perdu le contrôle des choses déjà durant cette Période. Donc rien de nouveau par rapport a 2013.
Quel était notre rôle à nous.
Vu la très bonne Formation de Joseph Steil et du grand Homme Geiben et Lucien, un Français.. Il y avait aussi un Para Belge. Avec ce Belge certains d'entre nous avait accés dans une Caserne en Belgique, à Vielsalm.. Certains de nos armes et autres proviennent de la. Il me semble qu'un commando les avait volés.
Notre job à nous était de contrôler des Politiques ainsi que des Industrielles.
Cette demande était souvent faite contre contrat par une Société qui voulait s’implanter ou une autre qui voulait influencer le Politique. Donc il fallait être au courant des indiscrétion d’un Ministre ou d’un autre Ministre.
Il y avait certes Stay Behind... mais ceci n'avait rien avoir avec nous. Eux c'était plus l'Armée et Bommeleeër ainsi les petites jalousie entre Gendarmerie et Police. Ceci est l'affaire Bommelëer.
Nous pendant ce temps, nous profitions du chaos pour nous former et apprendre à manipuler des Pistes de Personnes et Situations.
Ce n’est qu’après un certain nombre d’entre nous sommes aller faire des études bien spécifiques à l’étranger. Angleterre et surtout État Unit. Aujourd’hui certains d’entre nous sont employés dans des Sociétés de Renseignements privées (pas confondre avec un Détective, rien à voir) Nous sommes dans le contre espionnage Industriel.
Voilà un peut l’Historique a aujourd’hui.
Maintenant notre rôle durant la Période de l’Affaire qui nous intéresse tellement.
Nous étions tous recrutés par un Membre de la Gendarmerie ou l'Armée Luxembourgeoise. Nous sortons tous d'un mouvement scout. Membre de la FNEL. On vient tous de la même Troupe.
Nous étions formé à différent tactique / Munitions, Armes / Dynamite (pour certains) / Surveillance / Ecoutes / Défense/.
Notre Base était un Chalet à Heiderscheid . (pour l’élite) les autres étaient à Rippig (je crois) et une ferme près de Mersch. Le chalet en Question a été détruit par une autre Personne. M.S. l’ordre venait de Monsieur Joseph Steil. Une autre détente sur demande de Monsieur Steil et Geiben était la cour de justice (l’ancienne). Ceci a été fait par M.S. et deux autre Personnes dont un certain M.S et un future Directeur de Police, je crois R....
Les Politiques étaient aux courant. Surtout Monsieur Santer.
Le Problème dans votre Enquête est que au Luxembourg, les Ex – de l’Affaire sont a tous les Postes. Direction Police / Service de Renseignement / Politique / Administration et dans le Privé. Donc vous imaginez que beaucoup de Personnes n’ont pas trop envie que tous ce Bazar ce sache !
Sutrtout ceux dans l’Opposition seraient bien conseillé de ne pas oublier le Passé de leurs Partis. Car ils ont tous des Cadavre dans leurs tiroirs.
Nous, certaines Personnes (étant employées dans diverses Sociétés), cela déplait pas certaines Personnes du privé que toute cette affaire arrive au bon Moment. Car plus vous allez creuser plus on se dirigera vers une Crise Politique. Et Deiu sait, qu’il nous faut un changement assez vite. Car beaucoup d’investisseur Intl. Ne veulent pas investir au Luxembourg au cause des Dirigeant actuel. Il faut savoir qu’il y a un Paquet de ceux-ci qui aimerait bien venir au Luxembourg.
Donc nous sommes Preneur.
A oui, j’allait oublier. Faite Pression sur le Premier Ministre J-C Juncker. Il a des Informations concernant votre Affaire et certaines Personnes encore a de bonne Place.
Le Prince de Paris, Jean de Nassau, que je connais très bien... Était au courant de choses, mais n’a jamais activement participé a diverses événement. Il était juste un Garçon qui se rebellait contre sa Famille. (ne l’étions nous pas tous a un certain moment de notre jeunesse?). Il était attiré par l’extrême Gauche, mais comme on le sait, aime les Affaires et contrat juteux. Quel hypocrisie.
L’Hypocrisie est un Mot d’ordre dans votre Affaire.
Bon voilà, c’est tous ce que jepeux vous dire. Je pourrais pas vous contacter ou vous voir. Je travaille toujours ds le privé. Plus pour Geiben. Mais à Luxembourg
Comme dirait votre collègue, Affaire à suivre... Je vous souhaite bon vent

Cordialement

merci max

on est bien en avance ici sur les luxos dans leur petit pays

un bon jour ils finiront peut-être a contacter Martine MICHEL ...

parlons de la Cellule Brabant Wallon

quelqu'un en a eu à faire avec la cellule?


le live ticker de hier pour les amateurs
http://www.wort.lu/de/view/bommeleeer-aloyse-harpes-im-zeugenstand-52a708b4e4b010cbc9a385d2

DOLIBOIS A VIELSAM


Peu-être quelqu'un se souvient de l'annectode de l'ambassadeur us au gd, un nommé dolibois qui se rendait à la caserne de Vielsam just avant l'attaque de cette dernière?

hélas le rapport de la Commission de Contrôle parlementaire du Srel n'est plus acccesible que par  la fonction google cache. si vous voulez acceder au rapport par le site du gouvernement vous n'arrivez plus; de la mauvaise foie de la part des institutions luxembourgeoise? Honi soit qui mal y pense !

[PDF]
Rapport de la Commission de Contrôle parlementaire du Service de ...
www.gouvernement.lu/...commission/STBH.pdf‎Diese Seite übersetzen
07.07.2008 - renvoyer le dossier devant la Commission de Contrôle ...... "Depuis sa création, le SREL s'occupe de la mise en place, de l'entraînement et de ..... est un memorandum for Ambassador Swaebe/Dolibois du 4 mai 1984 de.

dead link

http://www.gouvernement.lu/error-403

document en google cache

http://webcache.googleusercontent.com/search?q=cache:LVqGZ7Nq4UYJ:www.gouvernement.lu/salle_presse/actualite/2008/07-juillet/10-chd_commission/STBH.pdf+&cd=1&hl=de&ct=clnk&gl=lu&client=firefox-a



Rapport de la Commission de Contrôle parlementaire du Service de Renseignement de l'État Les activités du réseau "Stay behind" luxembourgeois; 7 juillet 2008


Déplacements éventuels sur le territoire belge ou vice versa

A.
Déplacement de participants luxembourgeois sur territoire étranger et plus particulièrement à
Vielsalm

Dans les documents de l'exercice qui existent la Commission n'a trouvé aucune indication relative à un
déplacement de participants luxembourgeois à l'étranger et plus particulièrement à Vielsalm.
Le seul déplacement vers Vielsalm mentionné dans un document américain est celui des ambassadeurs
américains Dolibois (Luxembourg) et Swaebe (Belgique).
En effet, le déplacement de l'ambassadeur Dolibois de Luxembourg à Vielsalm avait eu lieu le 11 mai
1984 entre 9.30 et 11.00

Le document de référence est un memorandum for Ambassador Swaebe/Dolibois du 4 mai 1984 de
l'Office of Defense Cooperation Belgium-Luxembourg.
Par ailleurs, les documents ne mentionnent la localité de Vielsalm qu'à travers un message "in and out"
de l'exercice, le 13 mai à 2.35 heures ZULU. Le message avait la teneur suivante: "La caserne RATZ
de Vielsalm vient d'être attaquée par un commando de malfaiteurs qui ont blessé gravement une
sentinelle (4 coups de 45 mm) et dérobé un certain nombre d'armes. Ceci est un message REEL.

sur Swabe
https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t2358-geoffrey-swaebe



2012-2013 Rapport d'activités du srel établi la commission de contrôle parlementaire

un autre document très intéressant

http://chd.lu/wps/wcm/connect/4ab51732-c035-42b1-b89c-67b67dfa6a1f/SREL-contr%C3%B4le-rapp-actvites2012.pdf?MOD=AJPERES&CACHEID=4ab51732-c035-42b1-b89c-67b67dfa6a1f


il faudrait l'enregistrer avant que ce document soit pris off line ....

avis aux amteurs-rices

à voire aussi https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t2582p450-vague-d-attentats-au-luxembourg

Le prince Jean a donc assisté à la manoeuvre en 1985. Et en 1984 ?
Passage issu du rapport STBH du parlement lux.
"Le seul déplacement vers Vielsalm mentionné dans un document américain est celui des ambassadeurs américains Dolibois (Luxembourg) et Swaebe (Belgique).
En effet, le déplacement de l'ambassadeur Dolibois de Luxembourg à Vielsalm avait eu lieu le 11 mai 1984 entre 9.30 et 11.00"
Cette délégation, personne ne s'en souvient, ni à la caserne, ni au mess des officiers. Par contre, la rumeur court qu'un prince luxembourgeois en aurait fait partie, le prince Jean !

http://www.paperjam.lu/article/fr/du-cd-crypte-la-chute-de-la-maison-juncker


Comment en est-on arrivé là ?

Du CD crypté à la chute de la maison Juncker


Un ex-agent de Srel livre son récit d'une entrevue avec Jean-Claude Juncker. La défiance entre Marco Mille et le Premier ministre provient de l'humiliation du premier par le second. Un CD de 45 minutes toujours indéchiffrable, mais au contenu sensible.


L ’enregistrement que Marco Mille, l’ancien directeur du Service de renseignement de l’État (Srel), fit en janvier 2007 d’une conversation avec le Premier ministre Jean-Claude Juncker, dans le bureau de ce dernier, puis la révélation de son contenu, auront été les éléments déclencheurs de la chute de la maison CSV et de son chef.

La commission d’enquête parlementaire sur les dysfonctionnements du Srel a cherché, bien que mollement, le motif ayant poussé un homme aussi intelligent et futé que Marco Mille à la faute: emprunter une montre du service pour voler une conversation sensible avec le Premier ministre, du fichage des citoyens à la chasse aux gauchistes dans les années 1980. Dans ses auditions devant les membres de la commission d’enquête, M. Mille a tenté de justifier son acte en racontant qu’il avait cherché ainsi à protéger son service. Il s’agissait, pour lui, d’obtenir de Jean-Claude Juncker la preuve que ce dernier avait bien autorisé, au préalable, la mise sur écoute du fameux «Monsieur M.» (en l’occurrence Loris Mariotto), pour tenter de percer le mystère d’un CD crypté relatif à une audience que le Premier ministre avait eue avec le Grand-Duc Henri au Palais, vraisemblable–ment en 2006, dans le contexte de l’affaire du Bommeleeër.

Pour rappel, l’enquête sur les attentats à la bombe des années 1980 avait été relancée après le témoignage d’un homme ayant aperçu le Prince Jean, frère du souverain, à proximité d’un endroit où une explosion eut lieu. Ce témoin est aujourd’hui décédé. La vraie raison de l’enregistrement de Mille avec Juncker serait toutefois à chercher ailleurs, plus précisément dans la défiance que le chef du renseignement luxembourgeois avait envers le Premier ministre, son supérieur hiérarchique direct. Pourquoi? Le motif tiendrait à la personnalité même de Jean-Claude Juncker et à un de ses travers: un mélange d’arrogance et d’agressivité que d’aucuns attribuent à des déjeuners parfois très arrosés.

Il y eut une cassure entre les deux hommes, au point que l’un ne fera plus confiance à l’autre. Cela remonte au début de l’année 2007, lorsque le Srel prit connaissance de l’existence de l’enregistrement au Palais grand-ducal et alla en informer le chef du gouvernement.
L’affaire de la montre

Un récit, encore à paraître, et dont paperJam a eu connaissance, sobrement intitulé «Die Sache mit der Uhr» (L’affaire de la montre), livre une version de ce qui s’est passé dans le bureau du Premier ministre un soir de 2007, aux alentours de 18h30. Son auteur est André Kemmer, ancien agent du Srel et ex-conseiller en sécurité au ministère du Commerce extérieur. L’homme est actuellement suspendu de ses fonctions pour avoir été l’un des protagonistes de l’affaire du Srel avec Marco Mille et Frank Schneider, ancien directeur des opérations du Service de renseignement. C’est d’ailleurs Kemmer qui révélera plus tard au Premier ministre l’existence de l’enregistrement entre lui et Mille et lui en apportera une copie. Juncker l’avait d’ailleurs perdue.

Tous les trois étaient dans le bureau du Premier ministre et la description que Kemmer a faite de cette réunion a été corroborée par Frank Schneider. Tous les deux affirment d’ailleurs avoir apporté leur témoignage lors de leurs auditions respectives devant les officiers de police judiciaire dans le cadre d’une enquête ouverte fin 2012 sur des écoutes présumées illégales.

L’ancien agent du Srel, dans son récit qui tient en 14 pages, remonte le fil du temps et évoque dans un premier temps le parcours du fameux CD crypté de la conversation de 45 minutes entre M. Juncker et le chef de l’État, tantôt en français, tantôt en luxembourgeois. Les circonstances dans lesquelles M. Mariotto dit en avoir eu connaissance restent encore assez floues: deux employés du Palais lui auraient fourni l’original de l’enregistrement qu’il a conservé et crypté (ce sera en quelque sorte son assurance vie) selon des procédés que l’ingénieur autodidacte avait acquis de ses contacts avec les milieux militaires italiens.

Au Srel, l’ingénieur ne remettra seulement qu’en 2008 une copie cryptée, que personne jusqu’à présent ne serait parvenu à déchiffrer, pas même des experts suisses mandatés en début d’année 2013 par la commission d’enquête parlementaire.

On ignore d’ailleurs quelles sont les mesures de contraintes que la justice a prises pour demander à M. Mariotto de rendre l’enregistrement lisible. Les enquêteurs disposent en tout cas du résumé qu’en fit l’ingénieur à André Kemmer, lorsqu’il fut enregistré par un téléphone du Srel. Cet enregistrement constitue l’une des pièces de l’instruction menée dans le cadre de l’enquête pénale sur les dérives présumées du Service de renseignement luxembourgeois.
Déballages

On ne sait pas non plus si M. Mariotto a été interrogé par la police. Il est probable que oui. En tout cas, la commission d’enquête parlementaire ne l’a jamais convoqué, sans doute pour ne pas créer d’interférence avec l’enquête judiciaire. L’ex-Premier ministre avait indiqué, pour sa part, aux membres de la commission que sa conversation au Palais n’avait pas porté sur des sujets «brisants».

Selon le récit qu’en fait André Kemmer, Loris Mariotto s’en fera une toute autre opinion. L’ingénieur fournira d’ailleurs à l’agent des mots-clés prononcés par le Grand-Duc et qui serviront au Srel à tester auprès de M. Juncker la crédibilité de ses informations. Dans le vocabulaire et les expressions choisis, Kemmer évoque le mot «tourbillon» qu’Henri aurait prononcé pour décrire la situation dans laquelle fut la famille grand-ducale après les révélations du témoin en 2006.

L’ex-agent du Srel raconte encore que la conversation au Palais aurait viré à un déballage d’une affaire d’État susceptible de faire sauter Jean-Claude Juncker de sa position et qui relevait des «affaires internes du CSV». On aurait donc évoqué au Palais une affaire «qui aurait coûté 300 kilogrammes de têtes de nègres». Derrière cette expression subodorant la supériorité occidentale (à moins qu’il s’agisse des fameuses têtes en guimauve enrobées de chocolat…), M. Kemmer y décrypte, dans son récit, une référence à l’affaire Lissouba, ancien président du Congo-Brazzaville, dont des comptes furent découverts au Luxembourg, ce qui valut d’ailleurs une autre visite de Marco Mille, Frank Schneider et André Kemmer chez Jean-Claude Juncker. Une réunion à laquelle participa d’ailleurs l’ancien ministre CSV de la Justice et des Finances, Luc Frieden.

L’enregistrement au Palais, selon ce qu’en avait rapporté M. Mariotto à M. Kemmer, évoque aussi une conversation insolite que Jean-Claude Juncker aurait eue avec Jean-Claude Trichet (gouverneur de la Banque centrale européenne) dans un endroit tout aussi insolite. Bref, il n’y aurait pas eu que des échanges de banalités entre le chef de l’État et le Premier ministre d’alors. André Kemmer écrit qu’un des points abordés aurait pu, s’il avait été révélé, coûter définitivement son mandat à M. Juncker.
Agressivité et propos en dessous de la ceinture

C’est donc dans le but d’évaluer le risque que ce CD était susceptible de faire peser sur le Luxembourg et ses dirigeants que Marco Mille, accompagné d’André Kemmer et de Frank Schneider, prit rendez-vous avec Jean-Claude Juncker, un soir de janvier 2007, après les heures de bureau.

M. Kemmer fait alors le récit d’une scène qu’il n’a pas osé révéler lors de ses auditions devant les membres de la commission de contrôle parlementaire: Jean-Claude Juncker était sans doute sorti d’un déjeuner bien arrosé, car il est décrit titubant. Mais il va surtout déverser pendant plus de 10 minutes des torrents d’agressivité contre Marco Mille et invectiver ce dernier avec des propos en dessous de la ceinture.

paperJam reproduit ci-dessous, et dans la langue originale du récit, la scène que vécurent les trois hommes du Srel, et que l’auteur du récit a appelée «Das Treffen mit dem Staatminister. ‘Das Aus’». En sortant du bureau de Jean-Claude Juncker, Marco Mille sera blanc comme un linge et surtout furieux: «Je vais le tuer», aurait-il alors dit à ses deux acolytes, tandis que Frank Schneider tentait de calmer le jeu et les esprits. «Juncker s’est forgé lui-même un solide ennemi», écrit l’ancien agent, qui dit comprendre pourquoi son directeur est allé plus tard enregistrer une de ses conversations dans le bureau du Premier ministre.

André Kemmer indique que c’est à partir de cet épisode que Jean-Claude Juncker a perdu toute autorité et la confiance de son chef du renseignement. La maison Juncker connut là sa première fissure sérieuse. On connaît la suite…




L'extrait explicite du récit d'André Kemmer

Lettre de Haig à l'egard de Luns dont Vogel parlait hier avant les caméras des journalistes
selon vogel une pièce clef de la strategie de la tension orchestrée en europe par l'otan


Me Vogel hat den Journalisten einen Brief von General Alexander Haig, Supreme Allied Commander, an den Generalsekretär der Nato vom 26. Juni 1979 vorgelegt. Dabei handele es sich um ein Beweis für die Stay-Behind-Machenschaften.

"If argument, persuasion and impacting the media fail, wer are left with no alternative but to (unleserlich) the faint-hearted in Europe through the creation of situations, to convince them where their interests lie", schreibt Haig an Joseph Luns.

"This would call for appropriate action of sensitive nature, which we have frequently discussed and I have been greatly encouraged by the absence of disagreement between us regarding priorities", heißt es weiter.

http://www.wort.lu/de/view/bommeleeer-live-von-deals-beschattungen-und-amnesie-52a86fc2e4b010cbc9a3884f


il s'agit de la  lettre evoqué sous le point 85 ici

http://books.google.lu/books?id=DfjIAAAAQBAJ&pg=PA243&lpg=PA243&dq=soviet+active+measures+update+luns&source=bl&ots=TLkplLGHJ-&sig=wsgUMue2UaOVrlFH336jLmfdQd4&hl=fr&sa=X&ei=v4upUuO9IO6y0AWaloDoCw&ved=0CEUQ6AEwBA#v=onepage&q=soviet%20active%20measures%20update%20luns&f=false

dans le livre:

The Promise of Alliance NATO and the Political Imagination

https://rowman.com/ISBN/9780847685806

The nature and function of the North Atlantic Treaty Organization (NATO) are uncertain now that the alliance has accomplished its primary objective of defending Western Europe from the perceived Soviet threat. Despite uncertainty about NATO's role in the post-Cold War world, its political and military leaders agree that it can continue to play a vital part in enhancing European security and maintaining international stability. This superb analysis explores the evolving functions and future directions of this unique organization, paying particular attention to the political cultures and goals of its member states. The Promise of Alliance is important reading for students and scholars of international relations, foreign affairs, and political theory.

book review
http://www.h-net.org/reviews/showpdf.php?id=2139

Traduction de l'extrait Paper Jam

Juncker etait ivre mort, se faisait servir deux expressos et nous demandait de prendre place.
Sans aucune introduction il commencait à insulter Mill. "Je baise où, qui et quand je veux, tu m'as bien compris. Même toi tu pourrais baiser, mais t'en es pas capable ... [à cause de] ta précision allemande [expression luxembourgoise qui fait allussion aux prussiens, "houren Preis", damné prussien qui se fait remarquer par sa précision /exactitude exagérée.) tu ne peux pas. Jucker continuait à insulter Mill massivement pendant 5 minutes; [insultatations] prononcées que je ne veut pas reproduire ici pour des raisons morales.

La lettre de Haig est sur le fil de discussion qui lui est consacré.

Elle me semble en effet très importante.

Haig était admiré par Paul Latinus.

Il était aussi, comme Douglas MacArthur II, un pilier de la secte Moon et nous savons (par Libert) que celle-ci a rencontré le WNP.

http://fr.scribd.com/doc/165033326/Nato-Haig-Luns-Morning-Star-5-Feb-1983

Alexander Haig était à la 26° réunion du Bilderberg en 1978, avec Henry Kissinger ...

c'était exactement cette lettre. c'etait une copie de cetelettre apparue au  Morning Star - 5 Feb 1983;

me vogel répondit aussi ,dans le couloir du tribunal, sur la question d'où il tenait ce document qu'on lui avait fait parvenir ce document


La lettre de Haig est sur le fil de discussion qui lui est consacré.

https://i.servimg.com/u/f75/15/00/61/71/haig1010.jpg

https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t2339p90-alexander-haig

WACL  est derrière le coin:

Donnerstag, den 12. Dezember 2013

Citation :

15:37 Ley habe ihm erzählt, dass "unser Bourg" (Charles Bourg, Direktonsleiter der Gendarmerie) jeden Tag morgens um 8 Uhr bei Colonel Brück ein- und ausgegangen sei.
Donnerstag, den 12. Dezember 2013

15:37 Harpes: "Ja". Er sagt, Colonel Brück habe die Abhörung zusammen mit Willy Bourg und dessen Bruder eben organisert, Charles Bourg.
Donnerstag, den 12. Dezember 2013

15:36 Conter: "Herr Leurs war also Telefonist um Härebierg. Und Colonel Brück und Charles Bourg sollen das ganze organisiert haben??"

si en H est écouté par l'armée et SREL organisé par  B&B c'est que les supérieures de H n'ont pas confiance que H tient la barre ds la direction qu'ils veulent?

Cela explique aussi qu'il n'a plus contact avec les officiers superièures de l'époque comme c'est apparu au début de l'audition aujourd'hui .

cela promet pour le reste de la journée

tagesblatt

16:49 0 Es geht um die Versetzung von Steil. Der Minister Fischbach schrieb in einem Brief (29.11.1985) an Charles Bourg über die Versetzung von Steil. Harpes schreibt danach, dass auf Anordnung des Ministers Steil ins Kommando versetzt wird. Richter, Staatsanwaltschaft und Verteidigung finden dies eigenartig, dass ein Minister eine Versetzung anordnet.

http://www.lequotidien.lu/bommeleer/51291.html

Harpes sans solution

2013-12-12 09:25:00

Alors que le colonel Harpes croyait à la piste Geiben, il ne livre pas d'explication sur son abandon soudain.

De notre journaliste
Fabienne Armborst

L'observation Geiben se trouvait à nouveau au centre de la 102e séance du procès Bommeleeër hier. De nombreuses mesures avaient été entreprises sur Ben Geiben. Mais du jour au lendemain, on ne s'était plus intéressé à cette piste. À l'image du colonel Harpes, qui n'avait pas d'explication mardi sur son manque de curiosité.

L'ancien chef de la gendarmerie le colonel Harpes a de nouveau marqué la séance d'hier par l'absence de réponses concrètes.

Ainsi, le témoin n'avait toujours pas d'explication sur la piste Geiben, qui avait soudainement disparu après le week-end de l'attentat contre le Palais de justice. «Pour moi, l'observation Geiben était juste une observation normale qui avait mal tourné.»

Pour la présidente de la chambre criminelle, Sylvie Conter, il ne suffit pas qu'une observation tourne mal pour que l'affaire soit classée. Ben Geiben aurait notamment pu faire l'objet d'une nouvelle filature lors de son passage suivant au Luxembourg. Qu'il ait parlé à Armand Schockweiler de la piste Geiben prouvait bien qu'il la prenait au sérieux. Mardi, le témoin avait également déclaré Ben Geiben capable d'organiser l'ensemble des attentats.

Tout ce que le colonel Harpes pouvait dire hier, c'est qu'il ne voulait pas s'immiscer dans l'enquête. C'est pourquoi il ne se serait pas renseigné.

La chambre criminelle avait pourtant du mal à croire que personne n'ait cherché à savoir où se trouvait Ben Geiben au moment de l'attentat contre le Palais de justice surtout que tout le monde le connaissait. Le week-end de l'observation, il y aurait eu la possibilité d'arrêter le principal suspect qui était dans le collimateur.

Pas de coopération avec le juge d'instruction

Le colonel Harpes, qui était également chef de la sûreté, n'a pas su répondre lorsqu'on lui a demandé pourquoi le juge d'instruction n'avait pas été appelé le lundi pour être informé de l'observation. «Ce n'était pas mon travail. Je ne travaillais pas avec lui», assurait-il.

Et quand Sylvie Conter lui a demandé pourquoi l'affaire du Bommeleeër est la seule dont l'enquête n'a pas fonctionné correctement, le témoin a répliqué : «Là, vous devez poser la question aux enquêteurs.» Puis, il a assuré qu'il n'avait ni stoppé ni freiné l'enquête. Il aurait juste suggéré aux membres du groupe d’observation et de recherche (GOR) que les petites enquêtes policières sans importance ne soient pas transmises au juge d'instruction.

D'après le témoin, personne d'autre n'aurait donné l'ordre de mettre fin à la piste Geiben.

Comme la veille, la présidente de la chambre criminelle voulait savoir à quel niveau une telle décision pouvait être prise. Me Lydie Lorang, l'avocate à la défense de Jos Wilmes, a reformulé la question : «Qui avait le pouvoir de vous court-circuiter?» Le colonel Harpes a donné deux fois la même réponse : «Mais on a déjà parlé de cela hier. Je n'ai rien de plus précis à dire.»

Le procès se poursuit cet après-midi. Une troisième journée d'audition attend l'ancien chef de la gendarmerie.

document integrale de paperJam «Das Treffen mit dem Staatminister. ‘Das Aus’».

http://www.paperjam.lu/sites/default/files/article_pics/die_sache_mit_der_uhr.pdf


un analyse par Clement (en langue luxembourgeoise)

http://sven.lu/2013/12/die-sache-mit-der-uhr/

reaction de Kemmer

https://docs.google.com/viewer?url=http%3A%2F%2Fdownload.rtl.lu%2F2013%2F12%2F13%2F98846ed8e3f049110520eca62a855cac.pdf&docid=480ab0ce3992c24d7b11377bd10f6556&a=bi&pagenumber=1&w=523

sur le proces d'aujourd'hui comme je l'ai compris :

>>Harpes ancien commandant miltaire ,travaillant comme chef de la police depuis 10 ans devient chef de la gendarmerie le 1 nov 1985 mais la le bommeleer sont déjà à l'œuvre
personne sait comment il va suivre les directions prises avant et il est écouté au bureau et à la maison .
Ces écoutes sont organisés par le secondant Bourg, son frère et l'armée Bruck avec l'aide de la SREL sans que le chef Hofman, ancien responsable stay behind le sait ?

Steil a été gravement malade plusieures mois et début décembre il devient le sécretaire de Bourg avec la signature de Fishbach mais sans l'influence de Harpes?

si tout cela se confirme il y une fissure crée entre H et B ?

qui a suivi le procès ?

Vogel a en effet parlé de la lettre de Alexander Haig aux journalistes.

On le voit dans la vidéo au bas de la page :

http://news.rtl.lu/themen/bomm/493785.html