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 Vague d'attentats au Luxembourg

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kowalski

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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 9 EmptyMar 26 Nov 2013 - 15:25

Gladio-Prozess in Luxemburg: Interview mit Dr. Daniele Ganser
https://www.youtube.com/watch?v=IGZ5jlHNhFY

quelqu'un me peut renseigner si le debat complet d'RTBF sur Gladio anno 1991 (?) peut encore être accédé sur le web?

j'en ai trouvé qu'un extrait => https://www.youtube.com/watch?v=8p83Hz8zxGM

trouvé !

https://www.dailymotion.com/video/xgvi4w_debat-sur-le-reseau-gladio-brabant-wallon-2-6_news

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Henry

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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 9 EmptyMar 26 Nov 2013 - 15:49

A tout hasard, regardez sur le site www.annéesdeplomb.be cette émission y figurait.
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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 9 EmptyMar 26 Nov 2013 - 16:13


Citation :
15:00

Das Interesse an der heutigen Sitzung ist gross: Der Zuschauerraum ist rappelvoll und auch im Ticker tummeln sich bereits vor Verhandlungsbeginn mehrere hundert Leser.

to be or not to be (en tôle) ?

justice-behinderung ?
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HERVE




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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 9 EmptyMar 26 Nov 2013 - 16:24

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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 9 EmptyMar 26 Nov 2013 - 16:42

Citation :
16:26

 "Es muss schon zu seiner Zeit auf dem Kommando gewesen sein", so Bourg. Pour info: Steil war Bourgs Sekretär und rechte Hand in der Operationsleitung.  

16:26

 Oswald: "Wann war das dann? War Steil damals noch bei der BMG oder bereits bei Ihnen auf dem Kommando? Welche Funktion hatte er?"  
une dizaines de jours après l'attentat du palais de justice STEIL qui était au sécretariat du BMG et secretariat du GOR  ,est allé travailler au commando comme sécretaire de BOURG puis y est parti de nouveau à moment xx:xx:xx

plus tard ils sont devenus copains et ont passé des vacances ensemble.

le voilà:




Citation :
16:32 "Diese Frage hätten Sie stellen MÜSSEN!", regt sich der Staatsanwalt auf. Der Zeuge hätte spätestens nach Steils Aussage, dass er den Bommeleeër kenne, zu den Ermittlern gehen müssen, wenn nicht sogar zum Staatsanwalt.

16:31 "Ja, diese Frage hätte man sich stellen können", so Bourg.

16:31 "Man darf aber davon ausgehen, dass man sich daran erinnern kann, wenn der eigene Sekretär und späterer guter Freund als Tatverdächtiger gehandelt wird. Diese Frage hätten Sie sich doch stellen müssen!", so die Richterin.




Dernière édition par K le Mar 26 Nov 2013 - 16:45, édité 1 fois
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HERVE




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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 9 EmptyMar 26 Nov 2013 - 16:44

Je ne serais pas surpris d'apprendre que John Singlaub (WACL) était impliqué dans des trafics de drogue pour financer certaines opérations. Dans ce cadre, un éventuel lien avec Guillaume Vogeleer et des Laotiens (PKH ?) pouvaient lui être utile.

Le nom de Trafficante est dans les archives de la DNSA, notamment lorsqu'il est question de l'utilisation de tueurs de la mafia pour assassiner Fidel Castro


Vague d'attentats au Luxembourg - Page 9 Traf110


Extrait :


Vague d'attentats au Luxembourg - Page 9 Traf210


A noter : la mention de Richard M. Bissell (encore un ancien de Yale) dont il a été question par alleurs, en lien avec Lyman Lemnitzer.


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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 9 EmptyMar 26 Nov 2013 - 16:52


tagesblatt:


l'advocat Vogel est parti pour raison de santé , dedju!


puis on apprend que STEIl était locataire d'un maison de Bourg !!!!!

16:47
0 Anwalt Gaston Vogel hat den Prozess in der Pause aus gesundheitlichen Gründen für heute verlassen.


......

16:33
0 Obwohl Bourg von Steil die Information bekam, er kenne den/die Bommeleeër, und Steil als möglicher Täter in Frage kam, reagierte Bourg damals nie auf diese Behauptungen.
Anwalt Elvinger wirft vor Gericht ein: Und Jos Steil wohnte zur Miete in einem Haus von Ihnen
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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 9 EmptyMar 26 Nov 2013 - 17:02

concernant le ligue pour la liberté constitue en sept 1987, on y trouve un "L. E. Wagner" aussi et celui là est tout les jours dans l'audience !!!


parce que le bommelleers l'interesse pas ? rien à voir, circulez ?
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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 9 EmptyMar 26 Nov 2013 - 18:06

tagesblatt

Citation :
17:55
0 Anwältin Lorang: Herr Bourg, hören Sie sich selbst zu?
Richterin Conter: Wir können Ihren Antworten nicht folgen.

17:52
0 Bourg kann auch den Namen von dem Prinzen (Jean) nicht nennen, der immer wieder im Zusammenhang mit der Affäre genannt wird.
17:51
0 Bourg wiederholt: Ich kenne keine Namen der Prinzen.
Richterin Conter: Prinz Henri, Prinz Jean und Prinz Guillaume. Herr Bourg, Sie wissen aber, dass Sie in Luxemburg leben?

17:49
0 Bourg behauptet, er habe nur von Prinz und nicht Prinzen gesprochen.
Richterin Conter: Hier wird nicht gefeilscht, wir sind nicht auf dem Basar.
17:48
0 Waren Sie an den Attentaten beteiligt und decken Sie die Attentäer, fragt Staatsanwalt Oswald.
Bourg: Ich weise dies entschieden zurück.
Anwältin Lorang will, dass Bourg die Namen der Prinzen nennt. Er weigert sich und begründet: Ich kenne keine Namen.
17:45
0 Staatsanwalt Oswald fragt: Was war Ihre Rolle während den Anschlägen? Bourg weicht aus und spricht von Koordinierungsarbeit in verschiedenen Operationen (Patrouille, Obersvation, Straßenkontrollen).
17:41
0 Ob sich Bourg Gedanken gemacht habe, warum die Attentate nach dem Anschlag auf Colonel Wagner plötzlich aufhörten, fragt Staatsanwalt Oswald.
Bourg: Ich habe keinerlei Erinnerungen mehr.
il ne "connait" pas les noms des princes mais a été responsable dela protection des VIP.

donc de plus en plus on voit que le bataclan est mélangé avec l'affaire et c'est pour cela que

les gendarmes pissent du sang pour se taire.

étaient -ils commanditaires est c'est du a leurs forte connexion avec MI6, WACL ou autre secte de cowboys ? ds laquelle une plan de route a été etablie?

come and see next day to see épisode untel ! reu sur la latrine dinterrpol !







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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 9 EmptyMar 26 Nov 2013 - 18:40

Pour aller au fond des choses, je me dis qu'il peut très bien y avoir eu au Luxembourg un trafic de drogue semblable à ceux du BND (commandant François, supporté par Vanden Boeynants et Beaurir ainsi que par l'état-major de la gendarmerie). Les frères Bourg seraient bien entendu suspects.

Dans les trafics du BND, Guillaume Vogeleer avait joué un rôle important.

Il se peut qu'il en ait été de même au Luxembourg ... en impliquant peut-être le général Singlaub et la WACL.


Note : pour information, Trafficante a aussi été suspecté pour l'assassinat du président Kennedy ; quant à Interpol, on peut espérer qu'il y a eu une amélioration depuis Paul Dickopf ...

http://en.wikipedia.org/wiki/Paul_Dickopf

http://www.nytimes.com/1990/03/06/opinion/l-interpol-s-nazi-affiliations-continued-after-war-137690.html


Vague d'attentats au Luxembourg - Page 9 Nyt10


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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 9 EmptyMar 26 Nov 2013 - 19:06


Une autre personne à qui il faut s'intéresser :

John Jay McCloy

http://www.spartacus.schoolnet.co.uk/USAmccloyJ.htm

(...)

_ _ _


Selon un lecteur attentif :

McCloy a travaillé pour la Ford Foundation, JP Morgan etc. Très puissant. Avocat. Parmi ses clients e.a. IG FARBEN.

Invité de Göring aux Jeux Olympiques de 1936 à Berlin.

Son beau-frère Douglas = American Cyanamid (licences IG Farben aux USA), 'Drugs Cartel'

McCloy, en tant que High Commissioner en Allemagne, a assisté les chefs de IG Farben, Krupp, Thyssen etc lors des procès de Nürnberg.

Peu connu: McCloy était lié à Konrad Adenauer, tous les deux avaient marié une des filles ZINSSER.

Le parti de Adenauer (CDU, peu après lié au CSU bavarois de Franz Joseph Strauss) a été sponsorisé par les USA lors des élections en 1949 afin de boycotter les socialistes du SDP. ==> Démocrates chrétiens pro-USA au pouvoir, tout comme en Italie ...

http://www.larousse.fr/encyclopedie/personnage/Konrad_Adenauer/104058

(...) En septembre 1919 il a épousé, en secondes noces, Augusta Zinsser. (...)

http://theamericanscholar.org/a-cousin-from-cologne/#.UpTirOLY9mM

(...) In 1945 the promising young lawyer her mother married became the first chancellor of the German republic, a giant of the postwar world. In that role he came under the jurisdiction of the American high commissioner for Germany, John J. McCloy, who was the husband of the former Ellen Zinsser of the Hastings-on-Hudson clan. So it happened that the two men who collaborated most closely on the creation of the new Germany were Zinsser relatives.

It also happened that the American ambassador to the Court of St. James, in London, was Lewis W. Douglas, husband of Peggy Zinsser, sister of Ellen Zinsser McCloy. Their only other sibling, John S. Zinsser, was then head of an American chemical firm. That tribal link didn’t go unnoticed by the newspapers, which suggested that the future of Europe was being manipulated by the Zinsser family through its well-placed menfolk and their powerful wives. (...)


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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 9 EmptyMar 26 Nov 2013 - 19:25

Une autre notice biographique de quelqu'un qui est aussi passé par la "Ford Foundation" et qui a déjà été cité pour ses liens avec Lyman Lemnitzer :

Bissell, Richard M. Jr. (1909-1994)

An economist by training, Bissell got his start as a World War II economic manager and then a senior administrator in the Marshall Plan. He left government to work at the Ford Foundation but returned in 1953 as special assistant to CIA Director Allen W. Dulles. Bissell was a prime mover in the creation of such spy technologies as the U-2 reconnaissance plane and the Corona satellite. In the fall of 1958, Dulles made Bissell the CIA’s deputy director for plans, in which capacity he was responsible for all U.S. covert operations. In Indochina these included a (still disputed) fiasco in Cambodia in early 1959 where a coup against Prince Sihanouk collapsed before it could be conducted. In Laos the CIA’s mobilization of a clandestine army of Hmong tribesmen began under Bissell in the summer of 1960. In the first year of the Kennedy administration, Bissell chaired an interagency survey of U.S. capability to conduct clandestine warfare and counterinsurgency operations. The failure of the CIA’s covert operation against Cuba at the Bay of Pigs brought an end to Bissell’s reign at the agency’s Directorate of Plans even though he remained popular with the Kennedys. After a decent interval, he was replaced in February 1962. Bissell subsequently headed the Institute for Defense Analysis, which performed certain analytical work on Vietnam subjects. Later he retired to private industry, working for aircraft companies.

_ _ _


J'en retiens qu'il devait en vouloir à JF Kennedy (comme Lyman Lemnitzer) mais aussi qu'il a "utilisé" les Hmongs du Laos ... ce qui fait penser (plus tard) à Guillaume Vogeleer (au service de la DIA créée par Lemnitzer) ...

Voir aussi :

http://en.wikipedia.org/wiki/Pa_Kao_Her

Sur les Hmongs :

http://www.thedailypage.com/media/2007/04/12/McCoy%20memo%20-%20Vang%20Pao%20%28042007%29.pdf

et

http://en.wikipedia.org/wiki/CIA_activities_in_Laos

_ _


Selon Alfred McCoy
Professor of Southeast and Asian history at the University of Wisconsin
Author of The Politics of Heroin: CIA Complicity in the Global Drug Trade.

(...) Throughout the Cold War, the CIA used gangsters and war lords, many of them drug dealers, to fight communism. As the Cold War ends, our list of CIA's assets who use their alliance with the Agency to deal drugs grows ever longer. It includes Marseilles Corsicans, Lao generals, Thai police, Nationalist Chinese irregulars, Afghan rebels, Pakistani intelligence, Haitian colonels, Mexican police units, Guatemalan military, and look through your local paper for further listings. During the forty years of the Cold War, government intelligence services-our own CIA included--forged covert action alliances with some of Asia's key opium traffickers, inadvertently contributing to an initial expansion of opium production. (...)

These leaders exploited the CIA alliance to become drug lords, expanding opium production and exporting refined heroin. The Agency tolerated such trafficking and when necessary blocked investigations. Since ruthless drug lords made effective anti-Communists, and heroin profits amplified their power, CIA agents, operating alone, half a world away from home, did not tamper with the requisites of success in such delicate operations. (...)

In Laos a handful of CIA agents relied on tribal leaders to motivate their troops and Lao generals to protect the cover of this operation. After fighting in Vietnam spilled over into Laos in 1965, the CIA recruited 30,000 Hmong highlanders into this secret army, making the tribe a critical CIA asset. Between 1965 and 1970 the Hmong guerrillas recovered downed U.S. pilots, battled local communists, monitored the Ho Chi Minh Trail, and, most importantly, protected the radar that guided the U.S Air Force bombing of North Vietnam.

By 1971, according to a U.S. Air Force study, every Hmong family had lost members. To fight this secret war, the CIA sent in American agents in a ratio of one for every thousand Hmong guerrillas, numbers that made the Agency dependent upon tribal leaders who could mobilize their people for this endless slaughter. The CIA gave its chosen client, Hmong General Vang Pao, control over all air transport into Hmong villages scattered across the mountain-tops of northern Laos-the shipment of rice, their main subsistence commodity, into the villages and the transport of opium, the tribe's only cash crop, out to markets. With his chokehold over the household economy of every single Hmong family, General Vang Pao was transformed from a minor tribal warlord into a powerful man who could extract boy soldiers for slaughter in an endless war. Since opium trading reinforced the authority of these Hmong officers, the CIA found it necessary to tolerate the traffic. (...)




Dernière édition par HERVE le Mar 26 Nov 2013 - 21:19, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 9 EmptyMar 26 Nov 2013 - 21:12

enfin une explication pourqoui ds le doc du CIA on ne parle pas des premiers attentats:


Citation :
http://www.revue.lu/dossier-bommeleeer/belege-dafuer-dass-andere-kraefte-am-werk-gewesen-sind/

Die Chronologie der Bommeleeër-Affäre
30. Mai 1984
Die erste Bombe wird an einem Cegedel-Hochspannungsmast zwischen Brouch und Beidweiler gezündet. Obwohl es den Tätern nicht an Erfahrung mit Sprengstoff fehlt, misslingt der Versuch.
2. Juni 1984
Am gleichen Mast wird ein zweiter Sprengversuch unternommen. Erst seit der Pressekonferenz von Robert Biever im November 2007 werden diese zwei Attentate zu der Serie gezählt
12. April 1985
Im Wald bei Bourscheid fliegt ein leer stehendes Wochenendhaus, das seit kurzem dem Staat gehört, in die Luft.
celui au Bourscheid non plus était la dedans et en plus il y un cadavre décapité ,là ,retrouvé ds les bois , retrouvé que 25 ans après par des promeneurs allemands vers 2003


et les explosives volées en fevrier 1985 ds "cette vague avec lettre de chantages" n'ont été utilisées que  ala fin 'hell et Wagner?) dixit le doc du CIA

donc les premières attentats ont été faites avec les explosives vol"es plus tôt ?

--------
autres données : Vogel:ds revue

„Belege dafür, dass andere Kräfte am Werk gewesen sind“
01.02.2012 – Laurent Graaff

......

Hat unser Staat in der „Affär Bommeleeër“ etwas zu verstecken?

Da wird dann sogar das FBI im Rahmen der Ermittlungen zu Rate gezogen. Von wem? Nicht von der Justiz! Der Untersuchungsrichter bleibt außen vor und bekommt von dieser Maßnahme überhaupt nichts mit. 125 Beweisstücke werden dem FBI ausgehändigt. Warum? Von wem? 88 verschwinden. Das sind in meinen Augen eindeutige Belege dafür, dass andere Kräfte am Werk gewesen sind. Die Attentate müssen in dem historisch-politischen Kontext von damals gesehen werden. Als die Bombenserie stattfindet, befindet sich Europa noch mitten im Kalten Krieg
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HERVE




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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 9 EmptyMar 26 Nov 2013 - 21:35

Il semble bien que les "services" américains (je pense à la CIA et à la DIA) ne se soient pas opposés aux trafics de drogue tant que les profits de ceux-ci servaient (en partie) à la lutte anti-communiste, même quand la drogue était consommée par les soldats américains au Vietnam.

Cela semble clair pour le Laos ... existait-il une situation analogue en Belgique et au Luxembourg ?

En tout cas, il faut noter que Singlaub et Vogeleer pouvaient se connaître ...

Voir

Just vexations: essays on political culture
Arnold Molina Azurin
Kalikasan Press, 1990 - 208 pages


Vague d'attentats au Luxembourg - Page 9 Sing10


Singlaub, à la tête de la WACL, devait connaître Guillaume (Willy) Bourg, membre de la WACL et frère de l'officier de gendarmerie témoignant aujourd'hui au procès Bommeleeër ...

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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 9 EmptyMer 27 Nov 2013 - 6:30

Concernant les trafics de drogue, il faut s'intéresser à un aristocrate laotien, le prince Sopsaisana (membre de l'APACL); il n'a pas été arrêté mais il a eu des ennuis avec les autorités françaises vers 1971 (à l'époque où Vogeleer était en Belgique ou au Chili).

Sur ce point, voir Alfred McCoy, "The politics of heroin" (1972).

Un chercheur canadien pense que Sopsaisana a pu être piégé par un de ses rivaux laotiens.

Après 1975, Sopsaisana s'est installé comme réfugié en France

Quoi qu'il en soit le rôle de la WACL et de l'APACL dans le trafic de drogue est connu (mais plutôt par rapport au Guomindang en Birmanie dans les années 50-60 etc). Voir Peter Dale Scott , McCoy.

Concernant PKH et son groupe armé messianique anticommuniste (période post-1975), il n'y a pas d'éléments sur un trafic de drogue. Vu la multitude de mouvements de guerrillas qui pullulaient sur la frontière lao-thaïlandaise, il ne serait pas étonnant qu'une partie aient trempé dans le trafic de stupéfiants (surtout le groupe de Vang Pao, rival de celui de PKH).

Hiebert, Murray , 'Opposition or Opium: Surge in Guerrilla Raids Puzzles Observers.', Far Eastern Economic Review, 8 February 1990.

""(...) Their self-serving movements scattered into gangs to indulge in banditry raids into villages in Laos, to lure money from the Lao diaspora in western countries or to step up to trafficking opium."

Pour en revenir à Sopsaisana, voir McCoy (The politics of heroin, 1972). Sur le Laos, voir aussi Peter Dale Scott (la période post-1975 est traitée dans American War Machine).

_ _ _


"LADIES AND GENTLEMEN," announced the genteel British diplomat, raising his glass to offer a toast, "I give you Prince Sopsaisana, the uplifter of Laotian youth." The toast brought an appreciative smile from the lips of the guest of honor, cheers and applause from the luminaries of Vientiane's diplomatic corps gathered at the send-off banquet for the Laotian ambassador-designate to France, Prince Sopsaisana. His appointment was the crowning achievement in a brilliant career.

A member of the royal house of Meng Khouang, the Plain of Jars region, Prince Sopsaisana was vice-president of the National Assembly, chairman of the Lao Bar Association, president of the Lao Press Association, president of the Alliance Francaise, and a member in good standing of the Asian People's Anti-Communist League.

After receiving his credentials from the king in a private audience at the Luang Prabang Royal Palace on April 8, 1971, the prince was treated to an unprecedented round of cocktail parties, dinners, and banquets. (1) For Prince Sopsaisana, or Sopsai as his friends call him, was not just any ambassador; the Americans considered him an outstanding example of a new generation of honest, dynamic national leaders, and it was widely rumored in Vientiane that Sopsai was destined for high office some day.

The send-off party at Vientiane's Wattay Airport on April 23 was one of the gayest affairs of the season.

Everybody was there: the cream of the diplomatic corps, a bevy of Lao luminaries, and, of course, you-know who from the American Embassy. The champagne bubbled, the canapes were flawlessly French, and Mr. Ivan Bastouil, charge d'affaires at the French Embassy, Lao Presse reported, gave the nicest speech. (2) Only after the plane had soared off into the clouds did anybody notice that Sopsai had forgotten to pay for his share of the reception. When the prince's flight arrived at Paris's Orly Airport on the morning of April 25, there was another reception in the exclusive VIP lounge. The French ambassador to Laos, home for a brief visit, and the entire staff of the Laotian Embassy had turned out. (3) There were warm embraces, kissing on both cheeks, and more effusive speeches.

Curiously, Prince Sopsaisana insisted on waiting for his luggage like any ordinary tourist, and when the mountain of suitcases finally appeared after an unexplained delay, he immediately noticed that one was missing.

Angrily Sopsai insisted his suitcase be delivered at once, and the French authorities promised, most apologetically, that it would be sent round to the Embassy just as soon as it was found. But the Mercedes was waiting, and with flags fluttering, Sopsai was whisked off to the Embassy for a formal reception.

While the champagne bubbled at the Laotian Embassy, French customs officials were examining one of the biggest heroin seizures in French history: the ambassador's "missing" suitcase contained sixty kilos of high-grade Laotian heroin worth $13.5 million on the streets of New York,(4) its probable destination. Tipped by an unidentified source in Vientiane, French officials had been waiting at the airport. Rather than create a major diplomatic scandal by confronting Sopsai with the heroin in the VIP lounge, French officials quietly impounded the suitcase until the government could decide how to deal with the matter.

Although it was finally decided to hush up the affair, the authorities were determined that Sopsaisana should not go entirely unpunished. A week after the ambassador's arrival, a smiling French official presented himself at the Embassy with the guilty suitcase in hand. Although Sopsaisana had been bombarding the airport with outraged telephone calls for several days, he must have realized that accepting the suitcase was tantamount to an admission of guilt and flatly denied that it was his. Despite his protestations of innocence, the French government refused to accept his diplomatic credentials and Sopsai festered in Paris for almost two months until he was finally recalled to Vientiane late in June.

Back in Vientiane the impact of this affair was considerably less than earthshaking. The all-powerful American Embassy chose not to pursue the matter, and within a few weeks everything was conveniently forgotten (5) According to reports later received by the U.S. Bureau of Narcotics, Sopsai's venture had been financed by Meo Gen. Vang Pao, commander of the CIA's Secret Army, and the heroin itself had been refined in a laboratory at Long Tieng, which happens to be the CIA's headquarters for clandestine operations in northern Laos.(6) Perhaps these embarrassing facts may explain the U.S. Embassy's lack of action.



Dernière édition par HERVE le Jeu 28 Nov 2013 - 5:37, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 9 EmptyMer 27 Nov 2013 - 11:10

http://www.tageblatt.lu/nachrichten/story/Gelli-war-nicht-alleine-in-Luxemburg-21007640

23. Mai 2013 10:52; Akt: 23.05.2013 14:17


Vague d'attentats au Luxembourg - Page 9 Stef10


Ob SREL-Affäre oder Bommeleeër-Prozess: In den vergangenen Wochen tauchten immer mehr Namen von dubiosen "Kalten Kriegern" und ihren Machenschaften vor 30 Jahren hier in Luxemburg auf. Der überzeugte Faschist, Logenmitglied (P2) und italienischer Gladio-Mitbegründer Licio Gelli lebte zwischen 1984 und 1986 in Luxemburg. Seine Wohnung war in der rue Notre-Dame, er verfügte über eine Sozialversicherungsnummer und ging unbehelligt hierzulande seinen Geschäften nach. Doch er soll nicht alleine gewesen sein. Das schrieb der 2004 verstorbene LSAP-Politiker Marc Zanussi in einem Tageblatt-Artikel aus dem Jahr 1999. Er beruft sich dabei auf paraguayische Geheimdienstberichte.

Im Dunstkreis von Gelli soll sich sein alter Kampfgefährte "ALFA" ebenfalls in Luxemburg aufgehalten haben, schreibt Zanussi. Sein Klarname ist Stefano Delle Chiaie. Der damalige Anführer der "Avanguardia Nazionale" in Italien war eine große Nummer im internationalen Rechtsterrorismus. Er trieb sein Unwesen (Terror und Tötungen) in Italien, Spanien Portugal und Mittelamerika. Der Klaus-Barbie-Freund soll, wie Gelli, für das Attentat auf den Bahnhof von Bologna 1980 verantwortlich sein.

"Operation Condor" in Luxemburg

Delle Chiaie wurde auch beim Kongress der Antikommunistischen Weltliga WACL zwischen dem 7. und 10 September 1986 in einem Hotel in Dommeldingen gesehen, so Zanussi Er soll auch gute Kontakte zu den verschiedenen Stay Behind-Netzen in Westeuropa gepflegt haben.

Marc Zanussi brachte 1999 einen weiteren Namen ins Spiel: Michael Vernon Townley. Der ehemalige CIA-Mitarbeiter war ein Freund von Delle Chiaie. Er war ein wichtiges Glied in der "Operation Condor". Damit hatten die damaligen Militärdiktatoren in Lateinamerika die Unterdrückung von Regimegegnern koordiniert. Townley arbeitete auch, laut der spanischen Zeitung "El Pa�s", für Pinochets Geheimpolizei Dina. Auf sein Konto gehen zahlreiche Morde.

Fragen an Juncker

Im Frühjahr und Sommer 1975 bewegte sich Michael Townley unter dem Decknamen Andres Wilson in Luxemburg. Laut Geheimdienstberichten soll er Asylorganisation aus Lateinamerika in Luxemburg beobachtet haben. "Es ging um eine mögliche Unterwanderung und sogar Killeraktionen," schreibt Zanussi.

In seinem Tageblatt-Artikel stellt Zanussi fragen: Was tat der Killer in Luxemburg? Wer waren seine Kontaktpersonen und wie war es damals um die Effizienz des Luxemburger Geheimdienstes gestellt? "Gut wäre es daher, wenn wenigstens nachträglich die damaligen Vorgänge hierzulande präzise geklärt würden. Staatsminister Juncker, als Chef des 'Service des Renseignements', ist gefordert," schreibt Zanussi 1999. Eine Antwort gibt es bis heute nicht.

CIA-Killer Townley lebt in den USA im Zeugenschutzprogramm unter polizeilicher Obhut.


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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 9 EmptyMer 27 Nov 2013 - 11:19


Ce qui précède mérite un bonne traduction et est important.

En effet, une source très bien renseignée affirme que Guillaume Vogeleer avait des contacts avec "Richard Scott from the CIA in Bangkok and a man called Stefano, Around 45 years old that time, With a fringe of beard, Dark hair."

Il faut relire :

http://libcom.org/files/Stefano-Delle-Chiaie.pdf


Vague d'attentats au Luxembourg - Page 9 Stef110


Notamment la page 75 :


Vague d'attentats au Luxembourg - Page 9 Stef310


(...)


Vague d'attentats au Luxembourg - Page 9 Stef210

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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 9 EmptyMer 27 Nov 2013 - 11:32

sauf dans l'affaire de "jahrhundret" où la police et la gendarmerie sont grimpés aux rideaux je n'ai rien lu sur trafic de drogue au lux    (exception  congel ? cité en Belgique )

ce qui est plus interessant c'est ce qui c'est passe avec l'enqueteur HAAN car il me semble avoir lu qu'on a fait rapport contre lui qui est aller jusqu'à Fishb ministre de la Force Publique qui était aussi ds WACL


ce serait la deuxième piste vers ce secte.


de mémoire

1. Haan était charger par Wagner de ramasser tout sur bommeleer

Citation :
17:10  :HAAN
Er will auch betonen, dass er am 13. Mai 1985 von Colonel Wagner angestellt wurde "alles zu sammeln, was an Beweisen herein kam". Dies sei bis zum 1. Oktober 1985 der Fall gewesen.

Er sei nicht Ermittler beim U-Richter gewesen. Er habe nur diese Aufgabe gehabt: das Sammeln von Informationen, um sie dann an die Ermittler weiterzugeben.
2.:Haan était enqueteur avant la constitution des groupes GOR(observation sous STEBENS) et
   GE sous Schockweiler)ds ce groupe Haan devait travailler sous DIWISICOUR qui semble pas avoir de l'experience criminel sauf pour les histoires de feu.

Diwisicour voulait a un moment utiliser une pendule pour VOIR qui était les bommeleeers dixit le juge instruction Prosper Klein .

Am 1. Oktober 1985  sei es zum Wechsel an der Spitze gekommen. Colonel Harpes kam für Colonel Wagner.(regarde date du fête de retraite de Wagner ?>>attentat aussi ?)

>>Harpes habe ihn in der ersten Woche zu sich gerufen, um ihm(HAAN) ans Herz zu legen, dass es sich hier um "eine polizeiliche Ermittlung" handele, und es nicht angebracht sei "Informationen an die Justiz weiterzuleiten". "Ich habe ihm zu verstehen gegeben, dass ich mit dieser Vorgehensweise nicht einverstanden war. Ab diesem Tag erhielt ich keine Informationen mehr", so Haan.



3. Haan était aussi nommé sur papier, chef enqeteur début octobre 85 mais il a appris cela que en 2004

4.:vers le mi octobre il est allé avec collègues ensemble (voiture 2 -sous OFF )avec Schockweiler  ds une deuxième voiture pour OFF
pour commission rogatoire   voir TORRES à Bruxelles :les sous OFF(dont HAAN)  n'ont pas pu participer aux discussions entre  Torres et Schockweiler pour organiser l'observation de Geiben ;
Il devait aller boire un bac de bières avec des gendarmes belges et cela en plein deuxième vague TBW et attentats CCC., à peine deux semaines après Overijse ou Torres était sur le sol près des caisses de Overijse pour protéger sa famille .

Citation :
Dennoch sollte er am 17. Oktober 1985 mit den Kommissaren Linden und Büchler sowie Sûreté-Chef Armand Schockweiler nach Brüssel fahren, um die CRI auszuführen. Dabei habe Schockweiler ihm eröffnet, dass dieser bereits eine Woche zuvor mit der Kriminalpolizei in Belgien gesprochen hatte. „Einfach lächerlich“, so das Fazit des Ex-Ermittlers. Schockweiler sei ohne offizielle Erlaubnis nach Brüssel gefahren, zurückgekommen, dann wieder zusammen mit drei Ermittlern nach Brüssel gefahren, nur um diese dann vor Ort von den Gesprächen mit dem belgischen Major auszuschließen
.

et

Citation :
Citation:
- Zwei Extreme standen sich am 76. Verhandlungstag im Bommeleeër-Prozess gegenüber.

Auf der einen Seite wurde ein nicht gerade mitteilsamer Marc Jaeger vor Gericht befragt,
auf der anderen Seite teilte der Ex-Ermittler Paul Haan den Richtern alles mit, was sie wissen wollten.
Und noch mehr.

Das Gericht hat sich dazu entschieden, das „Palais de Justice“-Attentat von den anderen abzutrennen und nun die betroffenen Zeugen vorzuladen. Wohl mit Recht, wirft dieser Anschlag mit seinen Nebenschauplätzen fast so viele Fragen auf, wie alle anderen Attentate zusammen.

Das Attentat selbst fand am Abend des 19. Oktober 1985 in der Hauptstadt statt. Den Sprengsatz deponierten die Bommeleeër unter das Bürofenster der Untersuchungsrichter. Im Visier, so zumindest die bisherige Annahme, hatten sie Marc Jaeger, damals Untersuchungsrichter im Dossier Bommeleeër und heute Präsident des Gerichts der Europäischen Union. Der junge Magistrat hatte kaum eine Woche zuvor ein Rechtshilfeersuchen unterzeichnet, das die belgischen Behörden um Hilfe bei den Ermittlungen gegen Ben Geiben in Brüssel beten sollte.

Der Rest ist Geschichte

Der Rest ist inzwischen bekannt: Am 17. Oktober 85 fährt Sûreté-Chef Schockweiler mit drei Ermittlern – Paul Haan, Lucien Linden und Guillaume Büchler – zur Kriminalpolizei in Brüssel. Die drei Ermittler müssen draußen bleiben, während Schockweiler mit seinem Brüsseler Homologen über die Kooperation berät.

Zwei Tage später organisiert die BMG die Beschattung Geibens, der am 19. Oktober nach Luxemburg kommen soll. Die Observierung schlägt fehl, da Steil den Agenten vorflunkert, Geiben komme nicht. Im Anschluss explodiert die Bombe und die Beschattung Geibens wird drei Stunden später auf Geheiß von BMG-Chef Pierre Reuland wieder aufgenommen, nur um Geiben wieder nach Brüssel von Dannen ziehen zu lassen. Damit ist die Spur Ben Geiben zumindest in Ermittlungskreisen gestorben. Von der Beschattung erfährt die Justiz erst 2004.

Und genau dort versucht das Gericht nun anzusetzen. Warum wurde die beste Spur nicht weiter verfolgt? Warum wurde Geiben nach dem Attentat nicht angehalten? Warum wurde den Justizbehörden nicht mitgeteilt, dass sich der Verdächtige zur Tatzeit im Land befand? Fragen, die nun mehrere Zeugen in naher Zukunft beantworten sollen. Angefangen mit Marc Jaeger, der aber am Montag angab, sich nicht mehr an die Details erinnern zu können.

Feinde von Jaeger oder Feinde von Lutgen?

Ja, er könne sich noch erinnern, die CRI („Commission rogatoire internationale“) unterzeichnet zu haben. Wer nun aber neben Staatsanwalt Jean-Marie Hary noch bei ihm vorgesprochen habe, das wisse er nicht mehr. Auch die möglichen Argumente seien ihm entgangen. Er habe sich auch keine größeren Gedanken gemacht, als wenige Tage nach der CRI der Sprengsatz explodierte. Er habe sich zumindest nicht gefragt, ob er irgendwelche Feinde habe.

Was alle anderen Parteien nicht verstehen konnten: „Also, wenn mir so etwas passiert wäre, hätte ich sämtliche Dossiers durchwühlt, auf der Suche nach einem möglichen Täter“, meinte die Anwältin Me Lydie Lorang. Sie wollte vom Gericht dann auch Me André Lutgen vorladen lassen, der zu dieser Zeit ein Büro mit Marc Jaeger teilte. Lutgen habe ihr erzählt, dass er zur Zeit des Attentats in Uruguay weilte und man ihm dort Licio Gellis Sohn ausgehändigt habe, der kurz zuvor verhaftet worden sei. Es bestehe also zumindest die Möglichkeit, dass die Bombe nicht Jaeger galt, sondern Lutgen, so Me Lorang.

Interessantes von Haan

Der ehemalige Chefkommissar der Sûreté Paul Haan hatte da schon Interessanteres zu berichten. Im Oktober 1985 sei es nämlich zum Bruch zwischen ihm und dem neuen Chef der Gendarmerie, Aloyse Harpes gekommen. Dieser habe ihm klarzumachen versucht, dass die Ermittlungen eine interne Polizei-Angelegenheit seien und er seine Funde nicht mit der Justiz zu teilen habe. Da er nicht einverstanden war, wurde er von den Ermittlungen abgeschnitten. Haan sollte später auch nie erfahren, dass er Anfang Oktober eigentlich noch als Chefermittler vorgesehen war.

Dennoch sollte er am 17. Oktober 1985 mit den Kommissaren Linden und Büchler sowie Sûreté-Chef Armand Schockweiler nach Brüssel fahren, um die CRI auszuführen. Dabei habe Schockweiler ihm eröffnet, dass dieser bereits eine Woche zuvor mit der Kriminalpolizei in Belgien gesprochen hatte. „Einfach lächerlich“, so das Fazit des Ex-Ermittlers. Schockweiler sei ohne offizielle Erlaubnis nach Brüssel gefahren, zurückgekommen, dann wieder zusammen mit drei Ermittlern nach Brüssel gefahren, nur um diese dann vor Ort von den Gesprächen mit dem belgischen Major auszuschließen.

Auf ein Bier in Brüssel

„Und was haben Sie in der Zwischenzeit gemacht?“, wollte die Richterin wissen. Ihnen sei aufgetragen worden, Kontakte zu knüpfen. Also seien sie mit den belgischen Kollegen auf ein Bier gegangen, so der rüstige Rentner: „Dunn wore mer einfach ee Kiischte-Béier drénken“. Die saloppe Ausdrucksweise darf aber nicht darüber hinweg täuschen, dass Haan sich noch gut an Einzelheiten erinnert und seine Vorgesetzten in keinem guten Licht erscheinen.

„Ordentliche Ermittlungen waren überhaupt nicht drin“, meinte Haan auf die Frage der Richterin, weshalb nach dem Attentat nicht weiter in Richtung Ben Geiben ermittelt wurde. Geiben habe den desolaten Zustand der Behörde doch noch selbst in einen Bericht angeprangert. Der „Rapport Geiben“ habe vielen Ermittlern aus dem Herzen gesprochen. „Doch der Politik kam der Bericht nicht gelegen“, so Haan . Überhaupt sei es vor allem die Politik gewesen, die die Ermittlungen gegen Geiben wollten, z.B. Josy Simon.

Im Endeffekt habe er aber nie herausgefunden, was bei dem Gespräch zwischen Armand Schockweiler und Major Torres in Brüssel herausgekommen sei. In Bezug auf Geiben bezeugte Haan seinem ehemaligen Chef (Geiben war auch Sûreté-Chef) ein ausgezeichnetes Verhältnis zu Colonel Jean-Pierre Wagner. Zu Harpes sei dessen Verhältnis aber eher unterkühlt gewesen. Das habe jeder gewusst, betonte Haan. Nicht überall bekannt sei aber Geibens sexuelle Orientierung gewesen, weshalb Haan auch nicht davon ausgeht, dass Geiben deswegen die Gendarmerie verlassen musste.

Der Prozess wird am Dienstag mit den Herren Haan, Büchler und Linden fortgesetzt.
5.qqs part vers fin 1986 un rapport de enquete doit être ecrite et c'est le chef de groupes GOR observations =Stebens qui s'en charge, un groupe d'observation qui n'enquete pas ! et qui se plein de rien savoir sur les enquetes

6.plus tard Haan a un rapport contre lui qui va jusqu'à fisb

7.:on lui retire son arme


8.0 Haan voit que tout est sabotér et garde des copies ala maison : heureusement car plein est disparus et dans perquisityion aus SREL en 2003 on retrouve traces :

Citation :
Eine homogene Tätergruppe aus Luxemburg





Sichergestellt werden konnten die Berichte des FBI erst im Jahr 1999, als der ehemalige Ermittler Paul Haan der Kriminalpolizei seine persönliche Bombenleger-Akte aushändigte. Im „offiziellen“ Dossier waren die Dokumente nicht. Konkrete Spuren der FBI-Dokumente und inhaltliche Elemente dieser Arbeiten wurden auch bei zwei Durchsuchungen beim „Service de renseignement“ im Jahr 2003 gefunden. Ermittler Marx gab bei seinen Ausführungen unter anderem auch zu bedenken, der ehemalige Premierminister Jacques Santer habe vor der Untersuchungsrichterin zugegeben, von den FBI-Dokumenten gewusst zu haben. Die Berichte seien an die zuständigen Stellen weitergeleitet worden. Bei der inhaltlichen AnaIyse der FBI-Dokumente strich Marx folgende Schlussfolgerungen der US-Behörde hervor: Die technischen Fähigkeiten der Attentäter wurden im Lauf der Zeit immer besser; die Bombenleger sind im Inland, sprich im Großherzogtum zu suchen; die Täter sind sehr selbstbewusst, haben Insiderwissen, sind gut geschult und informiert; der Anführer hat eine starke Persönlichkeit; die Bombenleger gehören einer homogenen Gruppe mit gemeinsamen Interessen an (Familie, paramilitärische Gruppe, „Business Partnership“). Was die Motive anbelangt, so liegen diese entweder im Bereich persönlicher Unstimmigkeiten mit der Cegedel bzw. dem Verwaltungsapparat oder sie haben einen politischen Hintergrund (rechter Druck auf die Regierung). Ein anderes Motiv könnte rein egoistischer Natur sein. Den luxemburgischen Ermittlern riet das FBI, sämtliche Erkenntnisse in diesem Fall zu zentralisieren und eine Datenbank einzurichten. Erinnert sei an dieser Stelle noch an den Umstand, dass sogar wenn die FBI-Expertise schlüssig gewesen wäre, diese aufgrund der Art und Weise ihres Zustandekommens für null und nichtig erklärt werden müsse, wie Robert Biever in der Anklageschrift unterstrich. Denn es gab keine untersuchungsrichterliche Grundlage für das Gutachten
.

9.0 pendant le proces il a donné récemment un copy de ses docs ala justice pour reconstituer des affaires qui sont disparus et inconnus

10.0  pendant le procès un collègue déclare que Haan était le meilleur enqueteur de l'époque.


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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 9 EmptyMer 27 Nov 2013 - 11:53


Il ne faut absolument pas minimiser l'importance du fait que Guillaume Vogeleer et Stefano Delle Chiaie se connaissaient.

Il faut notamment revoir

https://www.dailymotion.com/video/x168cd7

avec l'interview de Delle Chiaie.

Cela dépasse le volet "trafic de drogue" (qu'il ne faut pas négliger ... probablement via les Hmongs).

Cela montre clairement dans quel milieu vivait Guillaume (Willy) Bourg et très probablement son frère.

Cela éclaire aussi l'affaire des Tueurs du Brabant.

Il faut relire le fil de discussion sur Guillaume Vogeleer et regarder à nouveau :

https://www.youtube.com/watch?v=ikpa3a7I8xg

(notamment à la minute 12'30")

Guillaume Vogeleer était lié au chauffeur de Vanden Boeynants, à la DIA, à la CIA (Richard Scott à Bangkok), à des trafiquants de drogue, à Jim Coyne de Soldier of Fortune, à la pègre lyonnaise, au commandant François, à "Bruno" Farcy et à Josef Vienne ... ainsi qu'à beaucoup d'autres.

Sur Stefano Delle Chiaie, voir aussi :

http://trogholm.panshin.net/wiki/pmwiki.php/Main/StefanoDelleChiaie

Stefano delle Chiaie was perhaps the major force behind the "strategy of tension" in Italy, which carried out false flag operations to implicate the left. He was behind a bombing in 1969, a failed coup attempt by Prince Valesio Borghese in December 1970, and the bombing of the Bologna train station, which killed 85 people, in 1980.

When right-wing dictatorships declined in Europe after 1974, he moved the center of his operations to Latin America, becoming involved first with the Chilean secret police and then, around 1976-80, with the World Anti-Communist League. He attended the 1980 conference of the Latin American Anti-Communist Confederation (CAL), a WACL affiliate, which was held in Buenos Aires at the height of the "dirty war."

By then, Delle Chiaie was running a drug-smuggling-and-assassination ring in Bolivia along with fugitive Nazi Klaus Barbie, and the two played a leading role in that country's "Cocaine Coup" in 1980. According to "The Iran-Contra Connection: Secret Teams and Covert Operations in the Reagan Era," "Barbie and delle Chiaie were both deeply involved in the CAL project to identify and exterminate leftists and radical priests. Through this project delle Chiaie had advised d'Aubuisson by 1979; and at the September 1980 meeting of CAL in Argentina, delle Chiaie and d'Aubuisson met and arranged for weapons and money to be sent to d'Aubuisson in El Salvador."

There are allegations that he was tied to the heroin smuggling by the Turkish Grey Wolves, in which heroin brought through Bulgaria to Italy was exchanged for NATO weapons to be sold in the Middle East. Italian investigators linked this trade to Roberto Calvi and Banco Ambrosiano.

According to Le Monde diplomatique, "Abdullah Çatli is accused of having organised the escape from prison and flight to Europe of Mehmet Ali Agça, the man held responsible for the murder of the editor of the liberal daily paper Milliyet. He was also reportedly the person who, at the request of Turkish mafia chief Bekir Celenk, organised the assassination attempt on the Pope, in exchange for the sum of 3 million marks for his gang. He was also seen in the company of Stefano Della Chiaie, of the Italian branch of Gladio, while touring Latin America and on a visit to Miami in September 1982."



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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 9 EmptyMer 27 Nov 2013 - 12:14

j'ai presque rien sur Gelli a Luxembourg sauf que le holding Ambrosiano était là et qu'il était enregistré auprès une caisse de maladie;

j'ai déjà Vogel , Vogeleer est au soleil , trop loin ce  lien ,aucune trace ds les diverses déclarations.


connaitre ce dossier bommeleer  pour suivre le procès est déjà assez compliqué.


Dernière édition par K le Mer 27 Nov 2013 - 12:19, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 9 EmptyMer 27 Nov 2013 - 12:18


Cela vaudrait la peine de poser à Charles Bourg quelques questions sur la WACL au Grand-Duché ... Son frère en faisant partie, il devait la connaître ...

Par ailleurs, ne savait-il rien sur Licio Gelli ?


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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 9 EmptyMer 27 Nov 2013 - 12:27

le juge Conter reste à l'interieur du dossier préparé par les enqueteurs contre Wilmes et Scheer
elle n'est pas juge dinstruction.


d'ailleurs je ne sais pas qu'un juge dinstruction peut sortir de son mandat non plus;
si un enqueteur chargé par un juge d'instruction dans l'affaire x découvre en route des affaires
Y, z , ......non connexes il ne peut pas instruire cela mais doit le mentionner à ces supérieures qui je pense qui charge un autre J.I d' enqueter les affaires X, Y .? non ,

va savoir comment la justice travaille ...ou pas !.

c'était pas évident pour démarrer une perquisition et d'enqueter pour chercher les dents de Lumumba ,même si Soete l'avait  dit dans une programme de télévision et dans HUMO .
cela leur a pris deux semaines !!!

alors pour questioner (sur) Gelli  , il faut d'abord tondre la plage.
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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 9 EmptyMer 27 Nov 2013 - 14:07


Il est question de liens entre la WACL et les trafics de drogue dans le livre de Peter Dale Scott "La machine de guerre américaine".

Exemple (page 92) :

Aussi bien en Asie qu'en Amérique latine, les membres de la WACL ont été, de manière répétée, accusés de trafic de drogue et d'activités en lien avec ce trafic. Le cas le plus emblématique est le Cocaine Coup de 1980 en Bolivie, grâce auquel un trafiquant de drogue important installa son cousin au poste de ministre de l'Intérieur avec l'aide de la WACL.

_ _

La note 71 rappelle notamment qu'en avril 1971, le chef laotien délégué à la WACL, le prince Sopsaisana fut arrêté à Paris en possession de 60 kilos d'héroïne pure, d'une valeur de 13,5 millions de dollars à la revente dans les rues de New York.

_ _

http://fr.wikipedia.org/wiki/Luis_Garc%C3%ADa_Meza_Tejada

Klaus Barbie (sous le pseudonyme d'Altman), criminel de guerre, ancien chef de la Gestapo de Lyon, Stefano Delle Chiaie, membre de Gladio, qui participa à la stratégie de la tension pendant les années de plomb, ont pris part au "Cocaine Coup" de Meza Tejada, soutenu à Buenos Aires par la junte de Jorge Rafael Videla (voir Opération Charly) ainsi que par le parrain de la drogue Roberto Suárez Goméz.

Officiellement président, Meza Tejada était un dictateur corrompu, rapidement isolé sur la scène internationale. Le régime était financé par le trafic de stupéfiants, en particulier de cocaïne. Luis Arce Gomez, son ministre de l'Intérieur, fut extradé aux États-Unis sous le gouvernement de Jaime Paz Zamora pour ses responsabilités dans le trafic de drogue. Il dut quitter le pouvoir dès le 4 août 1981.

Le gouvernement de gauche d'Evo Morales a mis en place, en 2010, une commission civile chargée d'élucider les crimes politiques commis par les forces de sécurité de la dictature. Présidée par le procureur Milton Mendoza, elle est notamment saisie de l'assassinat de Marcelo Quiroga Santa Cruz (en), candidat socialiste à la présidentielle et ex-ministre. Le ministre de la Défense Rubén Saavedra (en) a annoncé le 31 mai 2010 la déclassification des archives de la dictature afin de permettre à la commission civile d'instruire ces enquêtes.

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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 9 EmptyMer 27 Nov 2013 - 14:11

http://www.tageblatt.lu/nachrichten/meinung/story/Dysfonctionnements-graves-12030761



Éditorial


23. November 2013 08:46; Akt: 23.11.2013 08:49 Print

Citation :
Dysfonctionnements graves

Dysfonctionnements gravesvon Danièle Fonck

- Ce n’est pas n’importe quel magistrat qui parle. Et si ce qu’il a dit est vrai, le Luxembourg se trouve face à un grave souci, celui du fonctionnement démocratique des institutions.


Prosper Klein est l’un des juges les plus réputés en matière pénale. Il n’est pas connu pour être particulièrement tendre dans l’exercice de ses fonctions et plus d’un prévenu s’est senti mal à l’aise face à ses questions pertinentes et insistantes.

Or voilà que cet homme, expérimenté et mature, déclarait ce lundi que le dossier „Bommeleeër“ ne devait jamais être éclairci, car considéré en haut lieu comme étant „une affaire d’Etat“.


En d’autres termes, il sait que d’autres savent et savaient, qu’ils ont manipulé l’opinion en se servant habillement de la presse ou du moins en essayant.

Quitte à déplaire à ceux qui – quelques „témoins“ compris – aiment à fantasmer, il faut remonter à la guerre froide et la haute politique, quand le Luxembourg, fidèle allié de l’ami américain au sein de l’OTAN, avait sa (petite) partition à jouer.

Il fallait à l’époque que la peur du „rouge“, celle de Moscou, soit accréditée partout.

Instabilité, menace: tels étaient les maîtres-mots.

Il faut sanctionner. Énergiquement.


Au Luxembourg donc de contribuer au climat ambiant avec son lot d’attentats.

Les responsables de l’époque, au ministère d’Etat et de la Défense, étant parfaitement au courant des tenants et aboutissants, avec une petite réserve.


A savoir qu’une bande institutionnalisée dans le corps de la gendarmerie et de la police organiserait un véritable complot.

OTAN, Stay-behind: évidemment, tout devant être fait pour garder ensuite le couvercle sur la marmite, nul ne devant par la suite découvrir la triste vérité.

Pourquoi a-t-on tant de mal à retrouver le nom d’un juge d’instruction entre 1990 et 2000?

Qui donc enquêtait?

Pourquoi Luc Frieden, ministre de la Justice, a-t-il pu, osé, affirmer qu’entre la justice et la police, la première serait „perdante“?


Que de graves dysfonctionnements institutionnels!

Quel mépris de la démocratie!

Que d’inégalités!

Une chose est claire comme de l’eau de roche: non seulement tous les membres des forces de „l’ordre“ doivent être sanctionnés d’une façon ou d’une autre.


Peut-être quelques-uns devraient-ils être rétrogradés ex-post et se retrouver avec des retraites au SMIC.


D’autant qu’ils continuent de discréditer tout le corps de forces de l’ordre actuelles.


Mais les politiques à leur tour devraient être mis au pilori pour avoir menti au bas peuple.

Pourquoi aucun responsable vivant de l’époque n’est assailli de questions devant les juges?


Complaisance encore? Pressions venues d’où?

Notre Etat de droit est une farce, puisque seuls quelques initiés ont accès aux coulisses du pouvoir.

En fait: „All animals are equal, but some animals are more equal than others.“


Une leçon est à tirer de toute cette triste affaire. Désormais, la séparation des pouvoirs devra être minutieusement réglementée par le législateur.

Et en la matière, le nouveau gouvernement aura du travail.

bien là , lit aussi les commentaires


là , je comprends pourqoui des bombes explosent à Namur quand Geiben part vers le Luxembourg
et que la voiture de Galand prend feu quand il arrive de nouveau a Bruxelles .

les missiles était déjà placésr depuis des mois c'était du rancune;
on n'a organisé , ...pas ,....que l'observation de Geiben mais on a mis simultanément des charges pour le charger comme une ane ! cela n'a pas marché au luxembourg ,

puis les CCC ont pris cela sur leur tête en Belgique ,qqs semaines avant leurs arrestation !

on comprend plus pourqoui Haan et collègues ne pouvait être présent à Bruxelles pendant les discussions...
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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 9 EmptyMer 27 Nov 2013 - 15:20


http://www.lequotidien.lu/bommeleer/50900.html

2013-11-27 10:14:00

Bourg, toujours amnésique

LUXEMBOURG- Le témoin livre très peu de réponses claires. Ses déclarations restent vagues.

Lors de la 93e séance du procès Bommeleeër, hier, Charles Bourg, l'ancien deuxième homme de la gendarmerie, a maintenu ses déclarations. Sa quatrième audition n'a pas été plus agréable pour le témoin que les trois précédentes.

De notre journaliste
Fabienne Armborst


Charles Bourg reste sur ses déclarations : Jos Steil ne lui aurait pas dit qui était le Bommeleeër. Il ne l'aurait pas non plus pris au sérieux.

La présidente de la chambre criminelle, Sylvie Conter, a toutefois toujours du mal à croire que le témoin n'ait pas questionné Jos Steil sur l'identité du Bommeleeër et a ajouté : «Si le nom de Steil circulait parmi les suspects, vous devez faire le lien s'il vous raconte qu'il connaît les auteurs.»

Durant toute la séance, Charles Bourg est resté vague. Comme lundi, «Je ne me souviens pas» était l'une de ses réponses récurrentes hier après-midi.

La chambre criminelle voulait notamment savoir pourquoi Charles Bourg ne s'était pas intéressé à Ben Geiben le lundi suivant l'attentat contre le Palais de justice en octobre 1985. Pour rappel, ce même weekend, une observation avait été organisée sur le suspect de l'époque, Ben Geiben.

«J'imagine qu'avec les occupations que j'avais à l'époque, je n'ai pas eu le temps de me renseigner. Et il y avait d'autres personnes qui travaillaient là-dessus», a tenté de se justifier le témoin. Pour la présidente, cela n'est pas un explication valable, il aurait en effet eu le temps de s'informer.

Charles Bourg n'avait pas non plus de réponse pour Georges Oswald, le procureur d'État adjoint à Luxembourg, qui voulait savoir qui l'avait informé de la rumeur sur Jos Steil : «Cela je ne peux pas vous le dire.»

D'après ses quelques souvenirs, il aurait appris la rumeur qui circulait sur Steil au moment où ce dernier était secrétaire au commandement.


Peu d'intérêt pour la rumeur sur Steil

Cette circonstance ne l'aurait toutefois pas amené à se renseigner davantage sur cette rumeur sur Steil. Il ne se souviendrait plus non plus s'il avait un jour essayé de poser un piège à Jos Steil pour voir s'il avait quelque chose à voir dans l'affaire du Bommeleeër.

Même si Charles Bourg est apparu la plupart du temps comme amnésique, sur certains points, il présente pourtant de très bons souvenirs. Ainsi, il se rappelle très bien que Ben Geiben avait reçu le titre de major afin de pouvoir suivre des cours, mais qu'en réalité, il n'aurait jamais eu besoin de porter ce titre. Ces faits remontent a bien plus loin que la discussion qu'il aurait eu en 2003 avec Jos Steil. Me Lydie Lorang, l'avocate à la défense de Jos Wilmes, a parlé dans ce contexte de «pertes de mémoire sélectives» du témoin.

À la demande du Parquet, Charles Bourg a précisé après un long silence son rôle dans le cadre des attentats : en tant que chef des opérations, il aurait organisé des mesures de prévention, la visite du pape ainsi que le Sommet européen. N'étant pas responsable de l'enquête, il ne s'en serait jamais mêlé.

Le procureur a finalement dû reformuler sa question : «Est-ce que Bourg était impliqué dans les attentats ou protégeait quelqu'un?» La réponse de Bourg : «Je rejette cela.»

Le procès se poursuit aujourd'hui avec l'audition de Pierre Reuland. La chambre criminelle a toutefois annoncé à Charles Bourg qu'il serait certainement rappelé pour être confronté à d'autres témoins.

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