Vague d'attentats au Luxembourg

I


II Milk an Honey, sorry Money ?!








http://www.eluxemburgensia.lu/BnlViewer/view/index.html?lang=fr#panel:pp|issue:1791914|page:5|query:US-Truppen

http://www.scowcroft.com/senior-advisor/james-l-pavitt





Phi Beta Kappa (ΦΒΚ) est un club estudiantin des États-Unis regroupant des élèves très brillants élus au cours de leur troisième ou quatrième année d'études universitaires ; un membre du club est un Phi Beta Kappa. Fondé le 5 décembre 1776 au College of William and Mary, il s'agit aujourd'hui du plus ancien et prestigieux club d'étudiants (bien que de tels clubs existassent déjà en 1776 au College of William and Mary et à l'Université Yale, il n'en reste plus aucun aujourd'hui).

Le nom du club vient de l'expression grecque « Φιλοσοφία Βίου Κυβερνήτης » (philosophia biou kybernētēs) qui signifie « la philosophie pour diriger la vie ».

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Intéressant de noter que le chef de station CIA à Luxembourg à l'époque "Bommeleeër" a ensuite dirigé la "réponse" de la CIA aux attentats du 11 septembre 2001 ...

https://www.fas.org/irp/cia/product/ddo_speech_062404.html


Remarks by Deputy Director for Operations James L. Pavitt
at the Foreign Policy Association

21 June 2004

(...)

James L. Pavitt est également membre de

http://www.caci.com/

http://investor.shareholder.com/caci/releasedetail.cfm?releaseid=527390

Voir aussi :

http://elementropy.blogspot.be/2013/04/a-goddamned-murder-incorporated.html

http://www.nytimes.com/2013/04/07/world/asia/origins-of-cias-not-so-secret-drone-war-in-pakistan.html?pagewanted=3&_r=4&

(...)  had a direct impact on the type of clandestine operations the C.I.A. chose to conduct.

The debate pitted a group of senior officers at the Counterterrorism Center against James L. Pavitt, the head of the C.I.A.’s clandestine service, and others who worried about the repercussions of the agency’s getting back into assassinations. Mr. Tenet told the 9/11 commission that he was not sure that a spy agency should be flying armed drones.  (...)

Par ailleurs :

https://www.youtube.com/watch?v=_E_YAthEvK0





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Ne faudrait-il pas demander à James L. Pavitt ce qu'il pense du Bommeleeër ?

Est-ce qu'on ne pourrait pas créer des fils séparés pour ce genre de choses ?

Il est à mon avis vraisemblable que ce James L. Pavitt qui était chef de station CIA à Luxembourg au moment des attentats Bommeleeër et qui semble être un spécialiste des opérations "spéciales" en sait beaucoup sur les commanditaires ...

Je crois donc qu'une discussion à son sujet est tout-à-fait pertinente sur ce fil de discussion.

Voir aussi :

http://www.historycommons.org/entity.jsp?entity=james_pavitt


Note : nous entrons dans une discussion intéressante sur les liens entre la CIA et la WACL. Il faut relire notamment la biographie de John Singlaub (très proche de Robert Close de l'IEPS et de Daniel O. Graham, aussi membre de l'IEPS). Il est clair qu'à l'origine, CIA et WACL étaient liés. Selon Peter Dale Scott, les choses sont devenues plus nuancées par après. John Singlaub a eu des ennuis sous la présidence de Jimmy Carter mais a été soutenu (comme la WACL) sous Ronald Reagan.

En 1982, le Turc Catli était entré aux Etats-Unis à Miami avec Stefano delle Chiaie (que l'on retrouve au Luxembourg et qui a rencontré Guillaume Vogeleer à Bangkok), un tueur néofasciste italien avec lequel il avait beaucoup en commun. Delle Chiaie était lui aussi connecté à des activités terroristes post-Gladio en Italie, à la Ligue anticommuniste mondiale (WACL) et plus spécifiquement à des escadrons de la mort travaillant pour l'opération Condor, pilotée depuis le Chili, en Argentine et en Bolivie.

Le milieu international de la violence clandestine fréquenté par Catli et pas delle Chiaie - les Loups Gris, la WACL, la police secrète chilienne (DINA) et le gouvernement bolivien après le "coup d'Etat de la cocaïne" de 1980 - fut mondialement accusé de financer des opérations secrètes grâce au trafic de drogue. Sous la dictature du général Augusto Pinochet, l'armée chilienne et la police secrète (DINA) exportèrent des tonnes de cocaïne du Chili vers l'Europe.

Il y avait (il y a ?) une puissante coalition de forces ayant les mêmes objectifs et regroupant des réseaux de renseignement, des autorités judiciaires et policières officielles, des organisations ayant recours à la violence illégale mais autorisée, et des groupes mafieux disposant de connexions internationales.

C'était déjà le cap à l'époque de l'OPC (1948-1952) de Frank Wisner Sr.

Aujourd'hui, ce n'est pas seulement la CIA et le crime organisé, mais aussi d'autres pouvoirs qui ne rendent pas de comptes comme le complexe militaro-industriel (qui est de nos jours un complexe militaro-financier-industriel), les sociétés privées de mercenariat, les contractants dans le domaine des renseignements, etc...

Il faut ajouter malheureusement les médias ... Le milliardaire Rupert Murdoch perd 50 millions de dollars par an avec le New York Post, le milliardaire Richard Mellon Scaife perd annuellement entre 2 et 3 millions de dollars dans le Pittsburgh Tribune-review, le milliardaire Philip Anschutz perd au moins 5 millions de dollars chaque année avec The Weekly standard, et le milliardaire Sun Myung Moon a perdu entre 2 et 3 millions de dollars avec The Washington Times (à noter : Murdoch et Moon ne viennent pas des Etats-Unis).

Cette analyse vient en grande partie de Peter Dale Scott qui note que les fonds des "éminences grises" proviennent - au moins partiellement - du trafic de drogue en Asie ... l'argent généré par ce trafic a été recyclé aux Etats-Unis... La WACL, c'était aussi Sasakawa...

C'est notamment pourquoi il ne faut pas dissocier les Tueries du Brabant des trafics de drogue du commandant François (impliquant notamment Guillaume Vogeleer) et, peut-être aussi, de Paul Vanden Boeynants (dont le chauffeur connaissait Guillaume Vogeleer). Paul Vanden Boeynants n'était lui-même qu'un pion (important) dans tout cela ... il n'a pas organisé lui-même son enlèvement (qui l'arrangeait pourtant bien).

C'est pourquoi aussi il ne faut pas trop limiter les discussions "Bommeleeër" à un cadre uniquement luxembourgeois ... même si la recherche des exécutants est tout-à-fait pertinente elle aussi ...

pour l'attentat au Kirschberg:


l'appel anonyme apres l'attentat au KIRSCHBERG dont on ne parle pas au procès:

"Dat do war ni meng ARbescht "

ça là n'était pas mon boulot !

http://www.wort.lu/fr/view/proces-bommeleeer-l-enqueteur-klein-toujours-a-la-barre-5137792be4b0069c68d94b2d


c'est donc un copy cat (WORT par exemple ou Heisdorf 30 novembre 85 ) qui rale que cette
petite bombe au kirschberg est fait par d'autres copy cats !

on trouve aussi comme ds le doc du FBI que les explosif volées ds les carrières debut 1985 n'ont été utilisé que à la fin donc HEISDORF,et  HELLInCKX,WAGNER ?

http://www.wort.lu/de/view/bommeleeer-prozess-geht-weiter-immer-wieder-stay-behind-5233d4e0e4b0ece2ee9e3360

(...)

„The whole thing“

Ganz besonders ist dem Verteidiger von Marc Scheer eines der Dokumente ein Dorn im Auge. Es handelt sich dabei um ein Schreiben in englischer Sprache vom 19. November 1985, gekennzeichnet mit der Nummer 00176. Darin bedankt sich ein gewisser „Bill“ für ein besonders zufriedenstellendes Treffen in Luxemburg im Oktober 1985, zur Vorbereitung einer „Origan IV“-Übung. Besonders hervorgehoben wird darin auch der Cocktail-Empfang und das Dinner.

„Worum ging es bei der Origan IV-Übung“, fragt Me Vogel. „Was ist ,the whole thing‘, das Luxemburg dem „Allied Clandestine Comitee“ ermöglicht hat? Und warum wird nicht mit einem Wort das Attentat auf den Flughafen erwähnt, das 10 Tage vorher stattgefunden hat? Dabei handelte es sich um ein Ziel von höchster militärischer Bedeutung!“ (...)

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http://www.nbcnews.com/id/6256256/ns/dateline_nbc/t/former-cia-spymaster-fires-back/

Former CIA spymaster fires back

Dateline exclusive: Intelligence insider weighs in on Iraq, war on terror, relationship with White House

NBC

updated 10/17/2004 9:05:42 PM ET

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http://www.fpa.org/topics_info2414/topics_info_show.htm?doc_id=230340

America's Clandestine Service

Author: James L. Pavitt

Source: FPA Event

The Foreign Policy Association presents James L. Pavitt, Deputy Director for Operations, Central Intelligence Agency speaking on “America's Clandestine Service.”

June 21, 2004

(...)

James L. Pavitt, chef de station CIA à Luxembourg de 1983 à 1986 ...

... aurait-il pu y rencontrer Licio Gelli et/ou Stefano delle Chiaie ?

Licio Gelli connaissait bien Alexander Haig et Stefano delle Chiaie connaissait bien Richard J. Slott (CIA) ...

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http://www.tageblatt.lu/nachrichten/story/Gelli-war-nicht-alleine-in-Luxemburg-21007640

(...)

"Operation Condor" in Luxemburg

Delle Chiaie wurde auch beim Kongress der Antikommunistischen Weltliga WACL zwischen dem 7. und 10 September 1986 in einem Hotel in Dommeldingen gesehen, so Zanussi Er soll auch gute Kontakte zu den verschiedenen Stay Behind-Netzen in Westeuropa gepflegt haben.

(...)


http://lafinanceoffshore.blogspot.be/2013/06/affaire-bommeleeer-licio-gelli-pourquoi.html

(...) Dés 1956, Gelli intègre la société « Permaflex »

(...) la société "Permaflex" a été plusieurs fois liée dans son histoire au Grand-Duché de Luxembourg , comme avec cette dernière entité « ...société y détenant ses droits (ou portage des marques) du groupe Permaflex n'était autre que "Europartimmo SA" »,inscrite au registre de Luxembourg (Pour certaines sources (?), présumée proche du Fininvest réseau et donc Berlusconi et consorts)... « Il serait peut être intéressant que les autorités luxembourgeoises s'intéressent aux détails de certains présumés transferts de cette entité aujourd'hui effacée, (notamment via d'autres sociétés aux Îles Vierges et voir les présumées garanties portées par certains -établissements bancaires de la place de Luxembourg- pour une opération dont le montage est pour le moins épique, mais relevant d'une opération logique pour qui vient créer une telle opération dans une place de l'optimisation fiscale... » Suggère et croit savoir une de nos sources à Luxembourg.

(...) en 1983, une commission d'enquête italienne, devait déjà plancher pour savoir si Andreotti pouvait avoir « favorisé (ou laisser) favoriser la société Permaflex dans un appel d'offres pour la fourniture de 40.000 matelas à destination de... l'OTAN! ». (...)

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Rappel :

https://www.dailymotion.com/video/x10viq4_scandale-au-luxembourg-stay-behind-rendez-vous-avec-x_news

http://aangirfan.blogspot.be/2006/12/bologna-bomb-1980-gladio-terrorism-in.html

(...)

In the early 1970s there was reportedly a meeting between Alexander Haig and Licio Gelli :

According to Searchlight:

In an interview, an ex-Nato operative said that Ted Shackley, the CIA's deputy station chief in Rome, "fixed a meeting between Alexander Haig and Gelli at the US embassy in Rome in the early 1970s, when Haig was President Nixon's Chief of Staff." Money, he said, was then filtered to Stay Behind or Gladio with the blessing and knowledge of both Haig and the then head of the US National Security Council, Henry Kissinger. Their aim was to prevent a communist takeover at all costs.

"Italians have learned that...General Vito Miceli received an $800,000 handout from the Americans; that Miceli was linked to an abortive coup in 1970 led by Prince Valerio Borghese, a wartime mini-sub commander...Miceli received parliamentary immunity as an MSI (neo-fascist) MP, while Borghese was spirited out of Spain by ex-Nazis." (William Scobie, Observer,18/11/90)

(...)

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Borghese connaissait très bien Stefano delle Chiaie ...

Voir à nouveau

https://www.youtube.com/watch?v=TWZWlJrBvKc

et, au sujet de Henry Kissinger :

http://fr.scribd.com/doc/130910197/Kissinger-Violet

(une réunion importante qui a précédé de peu le "coup Borghese" qui impliquait aussi Stefano delle Chiaie ; Andreotti et Pesenti étaient présents)

Pour en revenir à mon message de 13h37 ci-dessus ...





Il s'agit d'un document lié aux réseaux "stay-behind" vu qu'il est question de l' ACC.

ACC = Allied Clandestine Committee

Selon un lecteur attentif, les seules opérations ORIGAN à sa connaissance étaient des opérations impliquant des paras francais dans les années 1970-1980.

C'est une piste intéressante.

Voir :

http://www.hemaridron.com/annees-70.html

Le 21 octobre (1970) opération aéroportée ( opération Origan )  





Il semble bien y avoir un lien avec

http://fr.wikipedia.org/wiki/11e_r%C3%A9giment_parachutiste_de_choc

Le 11e Choc est une unité parachutiste d'élite de l'armée de terre française ayant connu plusieurs appellations au cours de son histoire. C'était autrefois le bras armé du service Action du Service de documentation extérieure et de contre-espionnage (SDECE).


Personnalités ayant servi au sein du régiment

Général Paul Aussaresses ;
Erwan Bergot, écrivain et journaliste français ;
Raymond Muelle, officier parachutiste et écrivain français ;
Guy Penaud, ancien commissaire de police et historien français ;
Colonel Déodat du Puy-Montbrun, fondateur du service action du SDECE et aide de camp du général de Lattre en Indochine ;
Colonel Jean Sassi, membre des Forces spéciales durant la Seconde Guerre mondiale et la guerre d'Indochine ;
Yves Guérin-Sérac
Colonel Michel Vallette d’Osia.
Jo Sohet, adjudant-chef qui a participé à la campagne d'Indochine, de Suez, d'Algérie et à des opérations du SDECE. Chef de harka et de supplétifs vietnamiens. Instructeur parachutiste. Écrivain, conférencier, puis attaché parlementaire, spécialiste des questions islamistes, raconte la campagne d'Indochine dans son livre Guetteur, qu'en est-il de la nuit. Grand officier de la Légion d'honneur.


A noter :

Général Paul Aussaresses
Yves Guérin-Sérac


Le premier est bien connu pour avoir défendu la torture.

Le second, c'est Aginter Press ... un ami de Stefano delle Chiaie ...

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http://division.canalblog.com/

(...)

Le service action des services secrets français (le 11 choc du SDECE) à chapeauté les stay-behind français jusqu'au début des années 90. Longtemps commandé par Paul Aussaresses,il dépendait en fait de l'Otan par l'entremise du colonel Focart,surveillant général de la Françafrique. Ces réseaux étaient dirigés des Etats-Unis par un service ultra-secret, l'OPC (bureau pour la coordination politique). Celui-ci ne répugnait ni au assassinats, ni aux manoeuvres de déstabilisation, jusqu'aux coup d"Etat. En France,il appuya lourdement le retour au pouvoir du général De Gaulle en 1958, et encouragea en 1961 le putsch des généraux d'Alger. Il provoqua aussi le coup d'Etat des colonels grecs et les prises de pouvoir des juntes latinos-américaines. Il suscita en Italie la "stratégie de la tension",une série d'attentats de l'extréme-droite. Son instument la loge P2(dont fit partis Silvio Berlusconi) nouait fraternellement les intérêts de la mafia,du Vatican,des affairistes et de la majorité ultra-réactionnaire des services secrets.

(...)

La note ci-dessus, signée "Bill", date du 19 novembre 1985.

Hors, le 9 novembre 1985, le seizième attentat détruit les installations de l'aéroport du Findel

Malgré cela, il ne semble y avoir aucune inquiétude chez les responsables des services de renseignement et ils continuent à préparer un exercice Stay-behind ...

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Autre chose à noter : James Pavitt semble avoir joué un rôle dans la question des "armes de destruction massive" qui ont justifié, aux yeux des autorités américaines, la seconde guerre en Irak. Il s'occupait en effet de non-prolifération.


Phantom Menace or Looming Danger?: A New Framework for Assessing Bioweapons ...
Par Kathleen M. Vogel





Rappel historique :

http://www2.washingtonmonthly.com/features/2007/0710.ackerman.html

(...) Enter Bob Drogin's new book, Curveball: Spies, Lies, and the Con Man Who Caused a War, an insightful and compelling account of one crucial component of the war's origins. Drogin, a national security correspondent for the Los Angeles Times, meticulously recreates the story of a twenty-something Iraqi (codenamed "Curveball") who leveraged a desire for plush asylum in Germany into an inconsistent, fantastical account of biowarfare machines hidden on trucks. This nonsense claimed by Curveball traversed tensions between partner intelligence agencies and internecine battles within the CIA to provide a pretext for the invasion. Had Drogin merely pieced together Curveball's story, it alone would have made for a thrilling book. But he provides something more: a frightening glimpse at how easily we could make the same mistakes again.

Ahmed Hassan Mohammed was the false name on the passport Curveball used to fly to Munich in 1999 and apply for asylum. (Curveball still lives in Germany, under official protection; his real identity is a German state secret.)

Note : "Curveball" était d'abord passé par le "service" allemand (BND).

Pour en revenir à Paul Aussaresses ...

http://ultimaratio-blog.org/fr/archives/6338

(...) l’état-major affecte Aussaresses en 1961 au poste d’Officier de Liaison Instructeur auprès de l’école des troupes aéroportées de Fort Benning en Géorgie. C’est à cette époque que, sous l’influence de Kennedy et de l’évolution géopolitique de la guerre froide, l’US Army entre pleinement dans « l’ère de la contre-insurrection ». Pressé par ses anciens frères d’armes de partager ses compétences sur les guerres irrégulières, Aussaresses est également accrédité auprès du Special Warfare Center de Fort Bragg, aujourd’hui encore foyer des forces spéciales américaines. Dans un rapport à Paris, retrouvé dans les archives du SHD, Aussaresses écrit :

Lors d’une précédente liaison à Fort Bragg, le Général de Division Yarborough, commandant le centre de Guerre Spéciale me souhaitant la bienvenue m’a dit qu’il avait demandé depuis longtemps l’affectation de plusieurs officiers de liaison et instructeurs alliés. Mon accréditation auprès du Centre était une première satisfaction [....] Il m’a dit que cet instructeur devait être de préférence un officier retraité faisant autorité en matière de « contre-insurrection » et parlant couramment anglais. […] Je retiens de ces deux conversations que l’Armée française est bien considérée à l’Ecole de Guerre Spéciale [et] qu’on peut s’attendre à une demande officielle de l’Ecole de Guerre Spéciale en vue de l’affectation d’un instructeur « civil » français. [Fiche de l'OLI, 11 décembre 1962, archive du SHD, carton 10T 1073]

A Fort Bragg, Aussaresses travaille en binôme avec le commandant Carl Bernard, ancien membre des équipes White Star au Laos, devenu instructeur au Centre de Guerre Spéciale et qui n’aura de cesse de souligner l’influence d’Aussaresses dans son approche de la contre-insurrection. Dans une lettre écrite en 1991 à l’ancien Jedburgh et directeur de la CIA William Colby, Bernard reconnaît notamment que sa contribution à l’étude PROVN (source, selon certains, du tournant contre-insurrectionnel de l’US Army au Vietnam) « provenait d’Aussaresses ».

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Il faut toujours se méfier des homonymes ...

... mais " Yarborough " me fait penser à Allied Research Corporation :

http://www.softwar.net/jdcc.html#3

COMPANY NAME: Allied Research Corporation

ADDRESS:

Suite 750
8000 Tower Crescent Drive
Vienna, VA 22182

TELEPHONE/FAX/TELEX:

Tel. (703) 847-5268
Fax (703) 847-5334

PRIMARY BUSINESS: Ammunition, industrial security, systems technical support.

CORPORATE PARENT OF ANY):

POINT OF CONTACT: W. Glenn Yarborough, Jr., Corporate V.P.

YEAR ESTABLISHED/SIZE (EMPLOYEES & SALES): Est. 1962; $200 million sales.

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Allied Research Corporation a eu une filiale en Belgique : MECAR, active dans le domaine de l'armement, basée à Petit-Roeulx (près de Nivelles).

http://www.fundinguniverse.com/company-histories/the-allied-defense-group-inc-history/

1961:
Allied Research Associates, Inc. (ARAI) is incorporated.
1970:
Martin B. Ruffin acquires ARAI.
1987:
ARAI buys Illinois engineering firm Barnes & Reinecke.
1988:
ARAI is renamed Allied Research Corporation; company moves to Baltimore.
1993:
Headquarters are relocated to Vienna, Virginia.
1995:
MECAR subsidiary acquires security system supplier VSK Group.
2000:
Barnes & Reinecke is sold to United Defense.
2002:
Acquisitions include NS Microwave, Titan Dynamics, and SeaSpace Corporation.
2003:
Allied Research is renamed The Allied Defense Group, Inc.

Company History:

The Allied Defense Group, Inc. (ADG) owns several defense- and security-related businesses. ADG's largest unit, MECAR S.A. of Belgium, is a leading supplier of medium- to heavy-caliber ammunition and grenades, specializing in quick turnarounds on small orders. In 2004 MECAR was setting up a U.S. subsidiary at the site of Titan Dynamics, ADG's Texas-based pyrotechnics business. ADG also owns security equipment companies in the United States and Belgium.

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Allied sold most of its subsidiaries in the late 1970s after running into hard times. It acquired complete control of MECAR in 1983, reported the Baltimore Business Journal. The company immediately set out expanding its product line, from 15 items to more than 65. Revenues were $30.5 million in 1985, up from $25.8 million the year before. Net income slipped from $3 million to $2.5 million.

Allied itself had just two employees at the time, President and Chairman Martin Ruffin and Reinald W. Carter, then executive vice-president. MECAR was Allied's only holding at the time. Its history in Belgium dated back to 1938. Although MECAR had virtually no U.S. competitors, Allied management sought an American company to acquire to help increase Allied's marketability with the U.S. Department of Defense.

tagesblatt

Citation :

....

Immer wieder Steil

Der nächste Zeuge, François Hentzen, damals BMG-Mitglied, erzählt vor Gericht, dass Jos Steil, in Bezug auf die Observation Geiben, von mehreren Beamten in die Mangel genommen wurde. Dabei wurde Steil heftigst von mehreren Polizisten und Ermittlern kritistiert. Ob Steil neben Geiben auch als verdächtig galt, kann Hentzen nicht beantworten.

Hentzen erklärt, wie es zur Versetzung Steils (von der BMG ans Kommando der Gendarmerie) kam. Der damalige Minister habe grünes Licht gegeben, der Rest verlief mündlich. Steil wurde Assistent vom Offizier Charles Bourg. Gerüchten zufolge, wollte Steil eigentlich bei der BMG bleiben und Nachfolger von Ben Geiben werden. Über die Versetzung habe Steil wütend reagiert.

Phantomildzeichner Steil

Weil Jos Steil "so gut malen" konnte, soll er, laut Hentzen, Phantombilder gemalt haben. Steil habe ihm das damals erzählt. Der technische Dienst brauchte damals mehrmals seine zeichnerische Hilfe. Jetzt steht natürlich di Frage im Raum: Hat Jos Steil etwas die Phantombilder zu den Verdächtigen beim Anschlag auf die Kasematten gemalt?

SOMMET KIRSCHBERG:

comment coller cela?

1.-à peine 2 semaines apres avoir été engueulé par ces collègues BMG ,GOR pour avoir saboté l'observation de G ,St est déplacé vers le secretariat de B   et il proteste !
2.- plus tard , apres sa retraite ,il devient copain avec B
3.-il dessine les photo robots
4-.il declare a B qu'il connait le bommeleer
5. B. a fait la protection du papa avant donc c'est lui qui a geré la protection du sommet où cela a pêté;
6. St doit etre au Sommet car il commande le BMG & pol par radio
est ce que il était là comme secretaire de Bourg ou comme secretaire du BMG encore
où était Reu ?et STEv? pendant le sommet

parti en formation ou à un concours de pin pon ?

j'ai l'impression que l'operateur radio gerait deux canaux talkie walkie au même moment
d'où les interference d'un info sur le HP arrivant d'un reseau A qui passe sur le micro du reseau B en transmission.
de cette façon les policiers sur canal P entendent des bribes d'un canal qui n'est pas destiné à eux.


--Si ST a en effet fait les photos robot , on peut comprendre les déclarations sur la fin du feuilleton "dynasty"

http://www.wort.lu/de/view/bommeleeer-prozess-geht-weiter-immer-wieder-stay-behind-5233d4e0e4b0ece2ee9e3360

http://www.webpedigrees.com/pedigree.php?nid=295351

Je m'intéresserais plutôt au "pedigree" suivant :

http://www.glgresearch.com/Council-Member/William-Yarborough-100855.html


Mr. William Yarborough Jr.


William Glenn Yarborough is the President and Chief Executive Officer of WGY & Associates, a government relations and marketing firm. He retired as President and Chief Executive Officer of Allied Research Corporation after eight years in order to establish WGY & Associates, as a defense, management and government relations consulting practice. Previously, Mr. Yarborough served as Marketing Director for the Grumman Corporation. He has worked with detailed segments of the Department of Defense, Department of the Army, Air Force, Navy, DARPA, FBI, TSA, Department of Homeland Security, NSA, and the CIA, as well as the Authorization and Appropriation Committees of the House and Senate. Mr. Yarborough is a retired military officer. His last assignment was as Military Deputy to the Assistant Secretary of the Army for Research, Development and Acquisition. Mr. Yarborough is a member of the Board of Directors of Carleton Technologies, EADS North America, Valentec Systems, the Patton Museum of Armor and Cavalry, the United States Cavalry Association, So Others Might Eat, Easter Seals, Friends of the Mclean Community Center, the National Guard Corporate Advisory Panel, and the Moore School of Business at the University of South Carolina

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http://www.zoominfo.com/p/Glenn-Yarborough/15206140

(...)  Glenn joined Allied Research in 1993 as Vice President, Business Development. Previously he had been Director of Marketing of the Grumman Corporation. He was named President and Chief Operating Officer of Allied Research in June 1998, with responsibility for ARC's Operating subsidiaries, MECAR, S.A. and the VSK Group, both headquartered in Belgium, ARC Limited in the United Kingdom, and the Barnes & Reinecke, Inc. Arlington Heights, Illinois. He was named Chief Executive Officer in September 1999, and retired in January of 2001. During his tenure, Allied Research Corporation was named number 38 on Fortune Magazine's fastest growing list.

MECAR, S.A. produced a full range of offensive and defensive ammunition to include hand and rifle grenades, mortar and artillery ammunition, and tank and anti-tank munitions form 25mm to 120mm. The VSK Group produced a full family of unique, highly technical security equipment to include items of biometric content and barrier control. BRI provided technical engineering support to worldwide US Army commands and the upgrade of sophisticated military equipment.  (...)

http://www.vsk.be/fr-be/index.aspx

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La CIA installée à Petit-Roeulx-lez-Nivelles ?!

Il faudrait voir ce qu'il en était dans les années 1980 ...

http://www.lequotidien.lu/bommeleer/52332.html

L'auteur au sein de la BMG ?

2014-01-21 09:32:00

Plusieurs témoins évoquent une course poursuite à la suite de l'attentat lors du Sommet européen: l'auteur aurait été arrêté, puis relâché.

Que s'est-il exactement passé au bout de l'autoroute? Plusieurs témoins impliqués dans le cadre du dispositif de sécurité lors du Sommet européen au Kirchberg et entendus hier lors de la 116e séance déclarent avoir entendu dire que la voiture poursuivie après l'explosion avait été arrêtée. Mais comme il s'agissait de membres de la BMG, on les avait laissés partir.

De notre journaliste
Fabienne Armborst


Théo Arensdorff, l'actuel commissaire en chef de la police judiciaire, était le premier des six témoins appelés à la barre hier après-midi.

Lors du Sommet européen, il se trouvait parmi un groupe de personnes, en attente d'une mission, quand il a aperçu sur l'autoroute une Audi 100 blanche de laquelle un bras – côté passager – avait jeté quelque chose de noir par la fenêtre. Cette voiture avait continué sa route sans accélérer; 20 secondes plus tard avait retenti l'explosion.

Sur le coup, le témoin oculaire avait ressenti l'explosion comme une sorte de gros pétard et non comme un attentat de la série Bommeleeër. Il remarque par ailleurs qu'à l'époque c'étaient surtout les forces de l'ordre qui conduisaient ce type de véhicule.

Théo Arensdorff raconte encore avoir entendu l'officier Zovilé appeler à poursuivre cette voiture. Puis on lui avait appris que des gens avaient entendu par leur radio : «Nous les avons eus. Nous avons arrêté la voiture.» Mais en fin de compte, il s'agissait de membres de la brigade mobile de la gendarmerie (BMG) et ils les avaient donc laissés partir.

Le deuxième témoin entendu hier par la chambre criminelle, Rudi Backes, occupait également un poste de sécurité dans le cadre du Sommet européen. À la barre, il déclare avoir entendu une porte de voiture claquer sur l'autoroute. Puis la voiture avait démarré à une vitesse normale et il y avait eu l'explosion. D'après le témoin, il y aurait au maximum eu une minute entre le claquement de la porte et la détonation.

Les quatre témoins suivants avaient tous entendu dire à un endroit ou un autre que l'auteur de l'attentat avait été arrêté.

Ainsi l'ancien policier, Emile Graas, avait entendu dire : «Ils l'ont eu.» Pour apprendre finalement qu'il ne s'agissait pas des auteurs. Immédiatement après l'explosion, il avait aussi entendu un démarrage sec de voiture. Ce qu'il interprète comme un début de poursuite.

«Nous l'avons eu au bout de l'autoroute»

L'actuel policier François Bastian, quant à lui, se rappelle qu'à la suite de l'explosion il avait rejoint un groupe de personnes. Là, il avait obtenu par l'intermédiaire d'une radio l'information selon laquelle il avait été arrêté au bout de l'autoroute. Avant de recevoir l'annonce supplémentaire : «C'en est un d'entre nous.»

Pour le témoin, il s'agissait d'une mauvaise poursuite : deux voitures de la gendarmerie avaient tout simplement dû se contrôler. Mais il avait également entendu qu'ils devaient tous rester à leur poste.

Enfin, la chambre criminelle a entendu deux chauffeurs de taxi engagés dans le cadre du Sommet européen pour le transport des délégations belge et néerlandaise.

«Nous l'avons eu au bout de l'autoroute», voici ce que tous les deux déclarent avoir entendu dans une conversation entre policiers

Plusieurs questions se posent à la suite de ces déclarations : qui se trouvait au volant de l'Audi blanche? Que s'est-il exactement passé au bout de l'autoroute? L'auteur a-t-il peut-être été relâché, car on ne pouvait s'imaginer qu'il se trouvait parmi les forces de l'ordre?

En fin de séance, Me Gaston Vogel, l'avocat à la défense du prévenu Marc Scheer, a demandé une enquête parmi le personnel de la brigade volante pour savoir qui ils avaient arrêté ce soir-là. «Nous sommes convaincus que ce n'est pas une erreur», a-t-il déclaré.

Le procès se poursuit aujourd'hui notamment avec une confrontation entre Johny Gindt, Armand Kaudé et Léon Mangen au sujet de l'observation Geiben.

Jeudi seront entendus d'autres témoins ayant fait une observation lors de l'attentat du Sommet européen. La présidente de la chambre criminelle, Sylvie Conter, appelle les gens qui pensent savoir quelque chose à se manifester, même s'ils pensent que ce qu'ils savent est déjà connu.

pour la reunion stay behind:

il faut relre ceci

wort.lu

http://www.wort.lu/de/view/srel-uebergibt-letzte-stay-behind-dokumente-an-justiz-520508d1e4b099f8708ddd9e

Lëtzebuerg
Veröffentlicht am 09.08.13 17:20 Um den Text anzuhören, verwenden Sie bitte ReadSpeaker Vorlesen  


SREL übergibt letzte „Stay Behind“-Dokumente an Justiz
 
Korrespondenzen mit ausländischen Diensten offengelegt


Der Geheimdinest hat nun offenbar alle "Stay Behind"-Akten an die Justiz übergeben.

Foto: Gerry Huberty







(str) - Geheimdienstchef Patrick Heck hat der Staatsanwaltschaft vergangene Woche einen weiteren Satz geheimer Dokumente zum „Stay Behind“-Netzwerk übergeben. Dabei handelt es sich um Schriftstücke, die von anderen Diensten vor der Freigabe deklassiert werden mussten.


Drei Dienste – aus Italien, den Niederlanden und Deutschland – waren zur Deklassierung von 32 Dokumenten bereit. Die Akten eines amerikanischen Dienstes waren bereits deklassiert, so dass einer Freigabe nicht im Wege stand. Zwei nicht näher genannte Dienste verweigerten jedoch die Freigabe – weil sie ihre Akten prinzipiell nicht deklassieren und eine Deklassierung sogar gegen nationales Gesetz verstoße.


Damit habe der SREL der Justiz alle Schriftstücke zu Stay Behind übergeben, schlussfolgert Heck in seinem Schreiben.


Viel brisantes ist den knapp 40 Geheimdokumenten nicht zu entnehmen. Ein Schriftstück aus dem 1991 aus Italien gibt allgemein Auskunft über das Gladio-Netzwerk. Einem US-amerikanischen Schreiben ist zu entnehmen, dass in den USA seit 1983 bis 1991 eine „Delsey“-Mappe mit operationellen Akten zum Luxemburger „Stay Behind“ verwahrt wurde.


Deutsche Funkgeräte für Überrollagenten


Deutsche Dokumente befassen sich mit der Anschaffung von „Harpoon“-Funkgeräten durch den SREL deren Bezahlung über eine „Einziehungsstelle für Ausgleichsforderungen“ in Köln geregelt wurde. Zur Erklärung:
AEG-Telefunken stellte diese Datenfunkgeräte für das „Allied Clandestine Comittee“ her unter deren Schirmherrschaft alle europäischen Stay-Behind-Netzwerke funktionierten.


1985, also zur Zeit der Bommeleeër-Attentate, fand den Dokumenten zufolge zudem ein Meeting der AAC in Luxemburg statt – ein Treffen, das die ausländischen Gäste als sehr angenehm empfanden.


In den Schriftstücken enthalten sind aber auch ein „Sachstandbericht zu speziellen BND-Agenten“, in denen das „Stay Behind“-Prinzip der „Überrollagenten“ erläutert wird sowie das „Field Manual 30-31“ vom damaligen Generalstabschef der US-Armee, General W. C. Westmoreland. Darin ist unter anderem etwa zu lesen, dass ëuropäische Offiziere, die den USA loyal sind, besonders gefördert werden sollen.


Das „Field Manual“ sieht in Kapitel 11 auch Agenten für Spezialeinsätze vor. Diese seien dann notwendig wenn Gastländer Passivität oder Unentschlossenheit gegenüber dem Kommunismus offenbaren würden: „In solchen Fällen sollten dem US-Militärgeheimdienst alle Mittel zur Verfügung stehen, gezielte Operationen zu starten, die sowohl die Regierungen der Gastländer als auch die Öffentlichkeit von der Gefahr einer Rebellion und der Notwendigkeit eines Gegenangriffs überzeugen“.


Me Vogel: „Mir gi belunn!“


In einer deutsch - luxemburgischen Korrespondenz ist außerdem zu entnehmen, dass im Februar 1991 Dokumente zu gemeinsamen festgelegten „Border-Reference Points“ zerstört wurden. Für Me Gaston Vogel ein Beweis für Vertuschungen: „Do huet also mussen eppes verstoppt ginn. Do gesäit een et erëm, mir gi belunn vu vir bis hannen“, ärgert sich der Verteidiger von Marc Scheer gegenüber dem „Luxemburger Wort“. „Den Hoffmann huet gelunn, an de Kramer, ech soen Iech dat, deen ass nach net aus der

Dans les documents du SREL, on a donc retrouvé celui décrivant la "doctrine Westmoreland".

http://en.wikipedia.org/wiki/US_Army_Field_Manual_30-31B

C'est intéressant ... Voir

http://www.notre-ecole.net/1950-1990-le-scandale-des-armees-secretes-de-otan/







Sur la photo ci-dessus, Westmoreland est à côté de Robert K. Brown de "Soldier of Fortune".


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Pour en revenir au document 00176, le "Bill" qui le signe serait celui qui est avec John Singlaub dans la photo suivante (1986) :

ds l'article que on a déjà cité ici

http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20130525_00314800

on parle de l'arrestation par la Sureté au Luxembourg des officiers de oessling84 d'où le désordre

et on voit que le journaliste ne comprends pas la difference entre la SURETé (=BSR,) dont G. était encore le patron à ce moment là et le SREL (HOFF) qui ne peut arrêter des gens car pas pouvoir judiciaire..

G n'a que donné sa dem le 1aout 1984.

je me demande si cet affaire na pas eu une influence sur la rancune de fabricants de  bommeleers - leurres pour créer une piste vers G .

on pouvait le penser aussi pour l'affaire de WSA mais cela est trop loin en 1985 par contre est ce que G SANT
travaillait là avant Wort ou après ?

Pour information (en allemand) :

http://www.heise.de/tp/blogs/6/155647

Luxemburger Jahrhundertprozess bleibt rätselhaft

Markus Kompa 10.01.2014

(...)

Heisdorf

Citation :

Er betonte, dass er damals bestimmt mitbekommen habe, wenn sich jemand von der Gruppe entfernt hätte. Dies sei nicht der Fall gewesen.  

15:25   Der Zeuge erklärt, dass er sich erinnern könne, das man an diesem Wochenende (30. November 1986) gemeinsam im Einsatz auf einer Jagd in Fischbach gewesen sei. Pfefferle war damals bereits dabei, obwohl er erst am 1. Dezember offiziell in die BMG einstieg.  

15:23   Es geht nun um das Attentat auf den Strommasten bei Heisdorf.  

si je comprends bien les BMG sont tous à la chasse ensemble et on a invité en plus le nouveau venu avec eux..
cela leurs sert d'alibi ! pour HEISDORF !!

en plus HEISDORF, HELLINCKX,et WAGNER c'est pas les mêmes explosifs(celle ci sont volés ds carrières feidt debut 1985 )

Kirschberg est donc le dernier pièce du "JEU" des BMG

avec la poursuite de l'audi au kirschberg cela devenait trop dangerous ils leurs fallaient des alibis renforcés? d'où la chasse  ensemble.


la chasse est bien 30 nov 1985 donc aussi le dernier jour au BMG pour ST.


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merde il faut lire tagesblatt pour comprendre:
c'est pas ça
c'est une chasse du palais où ils sont pour protegér les paons


15:27
0 Am 30 Nobember 1985 explodierte ein Sprengsatz an einem Strommast in Grünewald.
15:19
0 Irritation vor Gericht, wann wer wo von der BMG bei einer großherzoglichen Treibjagd am 30 November 1985 in Fischbach oder im Grünewald zum Einsatz kam. Damals waren dort Marc Scheer, Jos Wilmes und Patrick Pfefferle als Personenschützer tätig. Victor Elvinger, Anwalt der Zivilverteidigumg will wissen wo Pfefferle im Einsatz war und wann gegesssen wurde. Pfefferle versucht aus seiner Erinnerung zu erklären, was an dem Wochenende ablief. Er bestätigt dem Gericht, dass Scheer und Wilmes immer vor Ort waren. Pfefferle: Es war mein erster Einsatz bei der BMG. Es wäre mir aufgefallen, wenn jemand gefehlt hätte.



mais pourqoui GRUNWALD car c'est là ou ça pète !

fiston va !

et oui! Honi soit qui mal y pense.
assez facile de disparaitre de son poste , designé par soi-même?, pendant une chasse battue ...