Vague d'attentats au Luxembourg

La juge et la défense étaient d'accord que si une personne avait été arrêtée au bord du sommet européen l'identité de cette personne devrait se trouver dans le CR du sommet.
Et que c'était peut être une des raisons pourquoi on a fait disparaitre ce CR

http://issuu.com/cgjl/docs/cgjl_brochure_anniversaire02/19

Marcomille a écrit:

et on revient dans les milieux anti-communistes. Il ne faut pas oublier que le ministre de la force publique de l'époque  Marc Fischbach; a de forts liens avec  plusieurs associations anti-communistes.

Élémentaire mon cher Marcom...

http://5minutes.rtl.lu/fr/actualite/luxembourg/508901.html

Procès Bommeleeër: Porter plainte ou suspendre?

RTL - 07.02.2014, 14:58 | Dernière mise à jour: 07.02.2014, 17:17 |

Que faire, quand on ne dit intentionnellement rien ou on donne de faux témoignages au tribunal? Voici un cas, dont il y a trois versions ... un hasard?

Dans le procès Bommeleeër, on voit dernièrement de plus en plus d'officiers qui souffrent d'amnésie ou qui se souviennent - peut être exprès - mal des faits. Juge, Parquet et défense ont clairement critiqué certains témoins. On a porté plainte contre les policiers Schockweiler, Glodt et Weydert, mais pas encore contre d'autres.

Plainte oder suspendéieren? Reportage Nico Graf.

Pour prendre un cas grave, mentionnons celui de Charel Bourg, et la question d'où il se trouvait au moment de l'explosion au Sommet, le 2 décembre 1985.

Le témoin Marc Zovilé a affirmé qu'il y aurait eu plusieurs de ces Sommets, et qu'il verrait, sous réserves, Charel Bourg au poste de commande et à côté de lui, Jos Steil, qui aurait été occupé avec un tableau.

Le témoin Patrice Solagna ne se souvenait de rien, à une grandiose exception près: il pourrait encore entendre l'explosion et sentir la vague de pression, et dans le hall du centre de conférences - il aurait encore précisément cette image en tête - se seraient tenus Charel Bourg et Jos Steil.

Le témoin Charel Bourg, quant à lui, prétend face à la juge avoir été dans un bureau du centre de conférences avec son collègue Marcel Reiter.

Trois témoignages, dont une seule peut être vraie. Mais laquelle? Et qu'adviendra-t-il de ceux qui n'ont pas dit la vérité?

Le cas le plus tordu semble être celui de Patrice Solagna. La juge a acerbement fait la remarque qu'avec son image mentale, il aurait livré un alibi sur mesurre aux messieurs Bourg et Steil: celui qui se trouve à l'intérieur ne peut pas lancer de pétard dehors.

Pour l'instant, il n'est pas très clair ce qui arrivera à celui qui n'a manifestement pas dit la vérité. Le procureur a demandé le verbatim des différents témoignages. Ensuite, on lit au témoin son témoignage, et il n'en est seulement pris acte définitivement après sa signature du veratim. Par la suite, le procureur peut prendre une décision, comme celle de porter plainte contre le témoin pour faux témoignage sous serment.

Cela enclencherait toute une procédure pénale.

À partir de ce moment, une procédure disciplinaire administrative peut commencer, à l'issue de laquelle un policier du service peut être suspendu. Le cas précédent du Colonel Nico Ries, où l'État avait agi mal et beaucoup trop rapidement, a eu comme conséquence que l'on procède beaucoup plus prudemment pour suspendre un fonctionnaire. L'État ne souhaiterait certainement pas repasser par le tribunal administratif.

En d'autres termes: la situation dans laquelle la réputation de la Police a pris de sacrés coups, sans que cela n'entraîne de conséqueces directes, perdurera encore un certain temps.

Le menue de la semaine prochaine

An der Woch vum 10. bis den 13. Februar, sinn als Zeie geruff:

Lundi, le 10 février 2014 – témoins : Pierre Gehlen, Paul Haan, Jean-Pierre Weber

Mardi, le 11 février 2014 – témoins : Marie-Anne Reinert, Pierre Bartholmé, Jean Majerus, Georges Grof, Henri Knepper

Mercredi, le 12 février 2014 – témoins : Alexis Kremer, André Kieffer

Jeudi, le 13 février 2014 – témoins : Carlo Kremer, Paul Mehlen, Jos Meier

Le fait que le procureur ait demandé les verbatims des audiences montre que le procureur ne veut pas en rester là mais qu'il prépare des mises en accusations!

A peine 24 heures après la déclaration du témoin Kohnen (la liste des membres du STBH), le colonel Gretsch fait savoir via le Wort qu’il n’a jamais reçu Monsieur Kohnen et qu’il n y a jamais eu de coffre-fort dans son bureau.
Le colonel précise qu’il dispose d’une très bonne mémoire, contrairement à d’autres officiers.

citation wort.lu

Ich habe ein sehr gutes Erinnerungsvermögen“, sagt Colonel Michel Gretsch, „und das obwohl ich Offizier bin. An ein Gespräch mit Pierre Kohnen kann ich mich aber nicht erinnern.“
Das was Kohnen am Donnerstag im Bommeleeër-Prozess ausgesagt hat, sei schlichtweg falsch, betont Colonel Gretsch gegenüber dem „Luxemburger Wort“. „Ich hatte, als ich Kommandant der Armee war, nicht einmal einen Panzerschrank im Büro“, unterstreicht Gretsch. „Und Stay Behind war bekanntlich keine Sache der Armee, sondern des Geheimdiensts. Ich hatte demnach auch nie eine Liste mit den Mitgliedern“. Dass Kohnen nicht bei ihm im Büro gewesen sei, sei zudem sehr leicht nachzuprüfen, denn alle Besucher des Armeekommandos würden in ein Register eingetragen.
http://www.wort.lu/de/view/colonel-gretsch-kein-gespraech-mit-kohnen-52f510b8e4b04bdada0d3b93

Les dires de Kohnen ne tiennent pas la route!
Il disait lors de l'audience que le commandement de l'Armée était juste à côté de la Gendarmerie. or au moment des faits le commandement de l'Armée n'était plus rue Auguste Lumiere mais déjà à la rue Goethe.
Donc les histoires de Kohnen semblent inventées

en attendant avec impatience une confrontation très probable entre Gretsch-Kohnen,
pour les amateurs, ici,  un petit extrait du LW, Letzebuerger Wort, für Wahrheit und Recht,  dans le langage populaire aussi plus connu sous Dummheit und Unrecht (pour stupidité et injsutice)




LW, 7.02. 2014 ou anno 28 après le Bommeleeër , par Steve Remesch

mots clefs:

Wehrsportgruppe, Us Army Club?

crédibilité douteuse (?) de Carlo Klein

et pour finir en beauté encore une petite anectode de notre glorieux SREL

Autogeschäfte: Saar-Verfassungsschutz verhalf Luxemburgs Geheimdienst zu Sonderrabatten

http://www.saarbruecker-zeitung.de/aufmacher/Autogeschaefte-Saarland-Verfassungsschutz-Luxemburg-Geheimdienst-Autos-Sonderrabatte;art27856,5130137

"Diese geheimen Autogeschäfte wurden „zunächst“ in bar abgewickelt. Die Luxemburger seien „aus verwaltungstechnischen Gründen“ nicht in der Lage gewesen, zu überweisen" - sic!

"Die in Luxemburg vom Geheimdienst eingesetzten Autos verfügten neben einer Luxemburger „Zweitzulassung“ über ein saarländisches Kennzeichen. Nach Feststellungen der Prüfer, die das Ministerium bestreitet, wurde sogar Kfz-Steuer aus der Landeskasse bezahlt. Am Rande bleibt festzuhalten: Helmut Albert, Chef des Saar-Verfassungsschutzes, und sein früherer Stellvertreter wurden mit dem luxemburgischen Verdienstorden ausgezeichnet. Natürlich nicht wegen der Auto-Amtshilfe."

Les rédacteurs qui connaissent le dossier SREL sont-ils en vacance chez RTL ? L'histoire des voitures de fonction du SREL a été largement traité dans le cadre de la commission d'enquête. Le fait qu'il y a eu un échange de voitures de fonction entre le SREL et le Verfassungsschutz du Saarland et NRW est bien connu. Ou est le problème ?

Le fait qu'il y a eu un échange de voitures de fonction entre le SREL et le Verfassungsschutz du Saarland et NRW est bien connu

c'est quoi alors vos sources bien précises ?

Ah bon? C'est bien connu?

Oui, il faudrait relire les articles de VP dans le Land, et les déclarations de P. Heck dans la commission d'enquête. Je ne vois pas de problèmes à ce que les trois services fassent circuler les voitures pour leurs opérations. C'est même logique !

to Monitor or not to "Monitor"


15:47 Gehlen präzisiert, dass es bei dem Treffen gar nicht um den Monitor-Fall gegangen sein, sondern vielmehr um die entsprechenden Streitparteien Santer und Geiben

at Titu

il y a une différence énorme  entre ce qui est connu (open source information) et des spéculations voire des hypothèses de travail personelles. Mieux vaut préciser la "direction" afin d'éviter toute ambiguité!

bon on y est arrivé ; Kohnen et Gretsch vont se battre en duel au tribunal

"Die Richterin erklärt, dass es in den kommenden Tagen zu einer Konfrontation zwischen den Zeugen Pierre Kohnen und Colonel Michel Gretsch kommen soll."


Carlo Klein en prend de nouveau ;où c'etait avant l'époque de CK ?

Er meint, dass die an seiner Stelle ermittelnden Leute nicht richtig vorgegangen seien. U-Richter Klein habe sich ja über diese Leute beschwert.

Haan sagt, dass man hier eine Affäre habe, die unfertig in öffentlicher Sitzung verhandelt werde. Es sei nicht richtig ermittelt worden.

Woran dies gelegen haben könnte, das will Haan nicht sagen. Er habe einen Verdacht, will aber nun nichts sagen, keinen benennen.

Die Richterin und auch Me Vogel wollen Haan zu weiteren Aussagen bewegen.

Haan sagt nichts.

source:
http://www.wort.lu/de/view/bommeleeer-ticker-neue-zeugen-neue-fragen-wenig-antworten-52f8c4d6e4b07ca9197da7f9

@ Kowalski, je laisse les hypothèses de travail personelles à d'autres ! Ceci est un fait. La commission d'enquête ainsi que la cour des comptes a été informé de cette pratique. Le SREL l'a fait après les révélations du LAND.

Quant au témoignage de Haan aujourd'hui, ce que vous publiez n'est que la moitié de l'histoire. Il a clairement dit que les Bommeleeër seraient à chercher dans les rangs de.... l'armée !!!! est-ce que les enquêteurs vont enfin prendre au sérieux cette piste ????

Gretsch et Kohnen vont se confronter demain mercredi au tribunal! Un des deux vient de me le confirmer à l'instant au téléphone

@ titu

Je ne suis pas un esprit tatillon alors j'en passe ( modus operandi: wax in my ears) !

ds les lettres in the GAME

les bommeleer disent que les gendarmes se comportent comme des boyscouts

Si les bommeleer sont des militaires, donc collègues , je vois difficilement les gendarmes se faire blamer ,se taire et se faire traiter de différents sortes de beaux mots.
non  , plustot amalgamme

le début l'armée oui , possible ,
     puis par le jeu : c'est une couverture sur ordre
          puis les baguarres pour  WORT(detonateur) ,  monitor LSD avec les différents                Geiben /Santer
                       puis pour finir ? voir le document  FBI: les explosives sont diff.


en Belgique je pense la même chose une amalgamme des faits .Ronquieres ne lie pas tout

Et encore une fois Bourg aujourd'hui. Le procès est loin d'être terminé pour lui!

Citation :

Am Mittwoch sollen nun Ex-Cegedel-Direktionsmitglied Alexis Kremer sowie eventuell Colonel Gretsch und Pierre Kohnen angehört werden. Dies aber nur, wenn man Kohnen bis dahin hatte ereichen können

.

lawine ?

WORT

Citation :

Nur sehr kurz wurde am Dienstagnachmittag im Bommeleeër-Prozess verhandelt. Vier Zeugen sagten aus. Viel Neues kam dabei aber nicht auf den Tisch.

Zunächst wurde Marie-Anne Reinert angehört. Ihr inzwischen verstorbener Vater war zur Zeit der Attentate der beigeordnete Chef der Flughafenfeuerwehr. Am Morgen nach dem Anschlag am Findel hatte er etwas abseits eine Fußspur entdeckt, die wie die Tochter aussagte, sehr gut erhalten war. Der Vater, so erzählte er der Familie später, habe dann einen Gendarm auf die Spur aufmerksam gemacht. Doch anstelle die Spur zu sichern, habe der Gendarm die Spur mit dem Fuß verwischt und dann gesagt: „Et deet mer leed, mä mat der doter kënne mer näischt ufänken“.


Der Vater sei über die Reaktion des Gendarmen schockiert gewesen und habe einem Offizier, Colonel Charles Bourg, den Vorfall geschildert. „Deen huet dat awer null interesséiert“, habe der Vater feststellen müssen. „Dat ass eng Sauerei“, habe er sich damals geärgert. „Wat ass dat do eppes. Se wëllen deen do guer net kréien!“


Der beigeordnete Staatsanwalt Georges Oswald betonte in der Sitzung, dass Bourg am Morgen nach dem Anschlag auch nicht auf andere Leute reagiert habe. Der ehemalige Untersuchungsrichter Prosper Klein hatte Bourg am gleichen Tatort ebenfalls auf die mangelhafte Spurensicherung hingewiesen, doch der Colonel hatte ihn schlichtweg ignoriert.

tagesblatt:

Citation :

14:49 Bei Staatsanwalt Oswald haben sich mehrere Zeugen zu dem Anschlag auf Kirchberg am 2. Dezember 1985 gemeldet. Sie bestätigen, dass es Funkmeldungen über einen weißen Audi als verdächtigen Wagen gab.

http://www.lequotidien.lu/bommeleer/53151.html

L'empreinte effacée

2014-02-12 09:19:00

LUXEMBOURG Un témoin confirme l'indifférence du colonel Bourg sur le terrain à la suite de l'attentat au Findel.

De notre journaliste
Fabienne Armborst

La 129e séance du procès Bommeleeër, hier, très courte, a apporté peu de nouveaux éléments. Parmi les témoins appelés à la barre figurait Marie-Anne Reinert, la fille d'un pompier qui était de service au Findel le lendemain de l'attentat. Elle se réfère aux dires de son père.

Le père du témoin Marie-Anne Reinert était sous-chef des pompiers au Findel à l'époque des attentats. Le lendemain de l'attentat contre le Findel, il avait découvert une empreinte de pied et en avait fait part à un gendarme sur place. Or celui-ci avait effacé l'empreinte de son pied en indiquant : «Avec cela, on ne peut rien faire.»

Lorsque le père du témoin avait informé le colonel Bourg de cet incident, ce dernier n'avait montré aucun intérêt. Le témoin se rappelle très bien la réaction de son père le soir quand il était rentré du travail : «Celui-là (NDLR : le Bommeleeër), ils ne veulent pas du tout l'attraper!» Avec ces déclarations, Marie-Anne Reinert rejoint celles de l'ancien juge d'instruction Prosper Klein. Ce dernier avait décrit un comportement similaire de la part du colonel Bourg le soir même de l'attentat.

Georges Grof fournit un alibi à Jos Wilmes

Le deuxième témoin de la journée était Georges Grof, l'ancien beau-frère du prévenu Jos Wilmes. Il fournit un alibi à ce dernier pour l'attentat contre le Luxemburger Wort le 27 juillet 1985 : du 27 juillet au 17 août 1985, il était en vacances en famille avec Jos Wilmes. Le témoin avait déjà écrit cela dans son attestation testimoniale.

Les deux autres anciens gendarmes entendus, hier, n'avaient rien à dire. La séance a donc rapidement été levée. Le procès se poursuit aujourd'hui avec l'audition d'Alexis Kremer, ancien membre de la direction de la Cegedel.


Confrontation : Kohnen-Gretsch?

La chambre criminelle a également prévu de confronter aujourd'hui le colonel Gretsch à Pierre Kohnen. Ce dernier avait déclaré la semaine passée avoir contacté – lorsqu'il était en charge de l'enquête Flammang – le colonel Gretsch pour connaître les membres du réseau Stay-Behind. Le colonel Gretsch lui aurait alors sorti d'un coffre-fort la liste de tous les membres.

Un problème se pose pour cette confrontation : jusqu'à hier après-midi, Pierre Kohnen est resté injoignable...