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 Vague d'attentats au Luxembourg

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kowalski

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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 22 EmptySam 11 Jan 2014 - 14:31

excellente recherche
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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 22 EmptySam 11 Jan 2014 - 20:36

Ce n'est pas la recherche qui compte... ;-)
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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 22 EmptySam 11 Jan 2014 - 21:10


03.05.1985
Manöver um die Reservearmee

Während im Norden des Lan-
des im Rahmen der Kriegsspiele
»Ösling 85" amerikanische und lu-
xemburgische Truppen die Verteidi-
gung und Sicherung des Territori-
ums proben, werden auf der politi-
schen Bühne großangelegte Manöver
um das Reizthema „Reservearmee"
inszeniert — eben jene (nicht beste-
hende) Einheit, die im Krisenfall die
Verteidigung und Sicherung des na-
tionalen Territoriums und der strate-
gisch wichtigen Punkte des Landes
übernehmen soll. Die Diskussion
um das politisch heiße Eisen, wel-
ches sogar der frühere Armeemini-
ster Emile Krieps, selbst ein einge-
fleischter Befürworter einer eigenen
Reservetruppe, nicht hatte zurecht-
biegen können, lodert wieder auf.
Daß sich Krieps' Nachfolger Marc Fischbach
daran die Finger verbrennen wird,
ist nicht auszuschließen.
[...]
Bei der geplanten Einheit handelt
es sich um eine Reserve zum
360 Mann starken NATO-Bataillon
Luxemburgs; die Reserve- oder Ter-
ritorialarmee soll vielmehr einen
eigenen Aufgabenbereich abdecken.
Sie wird mit der Sicherung des na-
tionalen Territoriums betraut : Strate-
gisch wichtige Punkte wie Flughafen,
Militärlager, Radiosender, Ministerien
Trinkwasserbecken in Esch-Sauer
und Vianden müßten im Krisenfall
abgeschirmt, die Verkehrswege und
Nachschublinien nach Deutschland
abgesichert werden (die
strategische Wichtigkeit der einhei-
mischen Verkehrsverbindungen wird
ja alljährlich anläßlich der Reforger-
Ubungen in Erinnerung gerufen,
wenn beispielsweise der Flughafen
für Zwischenlandungen beim Trans
port amerikanischer Truppen nach
Deutschland benutzt wird).

La messe est dite ! Voilà l'envergure politique de l'affaire des Bommeleeër !
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HERVE




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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 22 EmptySam 11 Jan 2014 - 22:12



Peut-on émettre l'hypothèse suivante ? "On" a jugé nécessaire de renforcer les forces de l'ordre luxembourgeoises car certaines installations du Luxembourg étaient importantes pour les troupes américaines en Allemagne ...

Je pense particulièrement à deux officiers américains : Alexander Haig et John Singlaub ... j'y associerais aussi Daniel O. Graham (complexe militaro-industriel).

John Singlaub était très proche du général belge Robert Close, président de l'IEPS (les vice-présidents étaient Armand De Decker et Yves Dumonceau de Bergendal) ; Alexander Haig et Daniel O. Graham étaient membres de l'IEPS et ils étaient aussi liés à la secte Moon dont on sait qu'elle a rencontré le WNP (voir le schéma de Libert). Le WNP était proche du comte et de la comtesse Philibert de Liedekerke, liés à la DINA chilienne, à Etienne Davignon et à Argenteuil (ainsi sans doute qu'à Armand De Decker)...

Il y avait de très nombreux liens entre John Singlaub et la WACL, la Western Goals Foundation, Wackenhut et le "père spirituel" de Henry Kissinger et Alexander Haig (l'ex-officier nazi Fritz Kraemer). Henry Kissinger et Etienne Davignon, cela fait penser au Bilderberg, créé par le prince Bernhard des Pays-Bas qui fut arrêté pour une affaire de pots de vin de la part de Lockheed Martin.

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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 22 EmptySam 11 Jan 2014 - 22:59

On peut émettre l'hypothèse que le fait que les luxembourgeois aient négligé à leurs obligations par rapport à l'OTAN / les Etats-Unis n'ai pas plu à tout le monde. Au Luxembourg les socialistes et l'aile modéré des démocrates étaient contre la création d'une armée de réservistes pour la protection nationale du territoire et donc aussi la protection des intérêts de l'OTAN (voir les installations de la NAMSA mais aussi l'aéroport qui jouait un rôle stratégique important). L'aile militariste des chrétiens-sociaux avec le ministre de la défense en premier lieu, se trouvaient dans une situation très désagréable par rapport à leurs alliés.
Dans le cadre des exercices Oesling avec la présence des Special Forces américaines et l'entrée en jeux des réseaux Stay Behind, on a profité de l'occasion pour donner une belle démonstration des déficites de la défense luxembourgeoise en cas d'attaque. Cela a arrangé une partie de la classe politique luxembourgeoise. Après, l'armée de réserve a été introduite, non pas officiellement, mais de fait. On est entre autres, passé à un entrainement systématique de l'ASORL, l'association des sous-officiers de réserve.
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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 22 EmptyDim 12 Jan 2014 - 14:27

Si on parle de Oesling 1985 on arrive de nouveau a cet article de letz land   KAZRTHEISER et SIMON et c'est d'ailleurs des déclarations de SIMON dont on parlait ds le dernier audition , jeudi?

Le J.I. Goer. qui semble avoir été le juge d'instruction des 13 premières attentats ,et ne semble avoir laissé que très peu de documents !!!!

>>>>est traité d'incompétant pas la defence Vog.

et soudain

tout la fin de l'audition on commence a parler des déclarations d'un representant élu SIMON  :


Citation :


18:04  "Ich bin auch irgendwann in den Urlaub gefahren. Es gab ja auch keinen Grund, das nicht zu tun", meint der Zeuge trotzig und Me Vogel triumphiert: "Ah, da haben wir es ja! Der Staat wird in seinen Grundfesten erschüttert und der Mann fährt in den Urlaub".


18:05  Georges Oswald regt an, dass die Attentäter zu dieser Zeit schließlich auch im Urlaub waren (zwischen "Luxemburger Wort" und Attentat "Glacis" war die längste Zeit ohne Attentat nach dem Auftakt der Serie).

18:06  Me Vogel versteift sich darauf, dem Mann Untätigkeit zu unterstellen.

18:06  Und Goerens wehrt sich.

18:08  Da er am 15. September (1985)seine neue Funktion als Conseiller de Gouvernement anfing, sei es wahrscheinlich, dass er kurz vorher eben in Urlaub war, meint der Zeuge. Die Diskussionen schweifen ab.

18:09  Me Vogel: "Ich wäre auf jeden Fall nicht in Urlaub gefahren".

18:10  Oswald setzt diesen Diskussionen nun ein Ende und fragt den Zeugen, wer entschieden habe, die Anzeige (Cherche trèfle noir avec voilier) im Luxemburger Wort geschaltet hatte, um den "Erpressern/Tätern" zu signalisieren, dass man bereit für eine Geldübergabe sei.

18:10  Goerens geht davon aus, dass die Kriminalpolizei diese Anzeige geschaltet hat.

18:12  Pour info: Es ist bis heute unklar, auf wessen Entscheidung hin dieser Geldübergabe zugestimmt wurde. Laut einem ehemaligen Direktionsmitglied der Cegedel habe das Unternehmen der Erpressung nicht nachgeben wollen.

18:14  Das Gespräch dreht sich nun um ein Gespräch zwischen dem ehemaligen Abgeordneten Josy Simon und dem Zeugen, wonach dieser dem ehemaligen Untersuchungsrichter im Jahr 2004 verschiedene Theorien zur Bommeleeër-Affäre dargelegt habe.


18:15  Der Zeuge kann sich nicht mehr so recht an den Inhalt dieser Theorien erinnern. Er habe Simon aufgetragen, sich an die Staatsanwaltschaft zu wenden. "Herr Simon hat mich an diesem Abend auf die Affäre angesprochen. Und er scheint mir etwas erzählt zu haben, was pertinent war.

Deshalb habe ich ihn an die Staatsanwaltschaft verwiesen", so Goerens.

18:15 "Ich bin extrem zufrieden. Wir befinden uns wieder in einer Offiziers-Atmosphäre", meint Me Vogel.

18:15 Damit wäre die Sitzung für heute aufgehoben.

18:17 Vielen Dank für Ihr Interesse. Am Montag wird der Prozess fortgesetzt, aller Voraussicht nach mit der Konfrontation zwischen dem ehemaligen Sektionsleiter des Mess- und Erkennungsdiensts und Armand Schockweiler fortgesetzt.



et doc letz land  qui me semble TRES au niveau:

http://www.land.lu/2013/04/26/unter-dem-tresen-des-csv-staats%E2%80%A9/

26.04.2013


Citation :
Weil es im Staat kriselt, werden kurz einige unansehnlichere Herrschaftsinstrumente sichtbar

Unter dem Tresen des CSV-Staats

Romain Hilgert


Jeder anständige Gastwirt hat einen Baseball-Schläger unter dem Tresen liegen für den Fall, dass gegen Mitternacht Randale in der Schankwirtschaft ausbricht und er die Herrschaft über sein Lokal zu verlieren droht. So hält auch der Staat diskret einige grobschlächtigere Herrschaftsinstrumente für den Fall bereit, dass Randale in der Volkswirtschaft ausbricht und ihm die Herrschaft zu entgleiten droht. Für den Fall, dass die Produktion gesellschaftlicher Zustimmung ins Stottern gerät und dadurch die Hegemonie verschwindet, wie Antonio Gramsci das nannte. Der Philosoph wusste, wovon er schrieb, denn er musste im Gefängnis schreiben.
Die während Jahren vertuschte und nun zu Tage beförderte Krise im Service de renseignement de l’État sowie der zeitgleiche Gerichtsprozess um die Terrorserie der Achtzigerjahre gewähren dieser Tage einen kurzen Blick unter den Tresen des CSV-Staats. Premier Jean-Claude Juncker nannte diesen
Einblick in seiner Erklärung zur Lage der Nation vor 14 Tagen „keine Staatskrise, aber es kriselt im Staat“.

Das derzeitige Kriseln im Staat offenbart, dass jenseits aller frommen Theorien über die parlamentarische Demokratie Herrschaft auch ihre unansehnlichen Seiten hat. Dass sie nicht bloß auf den viel gerühmten Konsensualismus vertraut, sondern zu ihrer Absicherung notfalls auch bereit ist, autoritär und repressiv zu sein sowie sich über ihre eigenen Gesetze hinwegzusetzen.
Dazu dient beispielsweise ein Nachrichtendienst, der mit allen legalen und notfalls auch illegalen Mitteln Angriffe auf die herrschenden Verhältnisse abwehren soll, sei es durch fremde Mächte, Terroristen oder politische Gegner. Dazu dienen im Extremfall sogar terroristische Angriffe auf die herrschenden Verhältnisse, um die Durchsetzung autoritärerer und repressiverer Verhältnisse legitimieren zu können.
Deshalb tummeln sich auch allerlei zwielichtige Gestalten um diese unansehnlichere Seite der Herrschaft im CSV-Staat, bieten ihre Dienste an und versuchen, Geschäfte zu machen. Wie etwa der Elektronikspezialist M., der als Informant unbehelligt den Geheimdienst mit der angeblichen Aufnahme eines Gesprächs zwischen dem Großherzog und dem Staatsminister narrt. Oder der Holzhändler Armand Giwer, der im Nachrichtendienst ein- und ausging, der Justiz einen Bericht des französischen Geheimdienstes zusteckte, mit dem die Untersuchung der Terroranschläge der Achtzigerjahre wieder ins Rollen kam, und den Ermittlern erklärte, dass er mit seinem geheimen Wissen „etwas Kleines zu verdienen“ versuchte.

Manchmal geraten solche Gestalten auch außer Kontrolle, weil sie gleich für mehrere Auftraggeber arbeiten oder eine offene Rechnung begleichen wollen. Dann müssen die Herrschenden oder wenigstens die
Regierenden bluten, beispielsweise durch sorgsam destillierte Indiskretionen, wie es nun an den Folgen der vor ein paar Jahren gescheiterten Privatisierung des Nachrichtendienstes zu sehen ist. In der Regierung wird befürchtet, dass damit ganz nebenbei auch der Premier, der seine historische Rolle erfüllt hat und dem nicht anders beizukommen scheint, kurz vor den Wahlen demontiert werden soll.
Schließlich gab es im 19. Jahrhundert eine ganze Geschichtsschreibung, die der Einfachheit halber darauf hinauslief, alle politischen Akteure als bezahlte Agenten, subsidiarisch als Freimaurer und Jesuiten, zu entlarven. Diese Literatur wiederbeleben auch die Mythomanen und Komplotttheoretiker, welche sich derzeit voller Mitteilungsdrang bei der Strafkammer des Bezirksgerichts melden, wie der Zeuge Andreas Kramer aus Duisburg, um auf der Terrorwelle der Achtzigerjahre zu surfen, die bis heute nicht so genannt werden darf.
Mitte der Achtzigerjahre wurde mit Menschenrechten und Mittelstreckenraketen zur Entscheidungsschlacht zwischen Marktwirtschaft und Sozialismus ausgeholt, bei der niemand abseits stehen durfte – nicht einmal im kleinen Großherzogtum. Bei dem damaligen Bombenanschlag in den Kasematten blieb ein Koaxialkabel unbeschädigt, das heimlich vom Geheimdienst auf dem Heilig-Geist-Plateau bis zur sowjetischen Botschaft in Dommeldingen führte. Einer der Geheimdienstagenten antwortete den Ermittlern, er habe sich nicht weiter für die Beschattung möglicher Terroristen interessiert, „denn ich war für die russische Botschaft zuständig“.

Es waren auch die Jahre nach der sozialliberalen Koalition und der Rückkehr der CSV an die Macht, so dass selbst in Armee und Gendarmerie zwischen „Reformfreudigen“ und „Konservativen“ unterschieden wurde, wie die DP- und die CSV-Offiziere genannt wurden.




In den Frontverlauf mischten sich auch die Parteipolitik und selbst deren Klientelismus. Der ehemalige Polizeibeamte und Angestellte des WSA-Militärlagers Guy Santer, ein Vetter des Wasserbilliger Polizistensohns und damaligen CSV-Premiers Jacques Santer, hatte zusammen mit Ben Geiben versucht, eine Sicherheitsfirma in Luxemburg zu eröffnen. Mit dem ehemaligen Kommandanten der Brigade mobile de la gendarmerie, über den der damalige Generalstaatsanwalt Camille Wampach gesagte hatte, dass die Sicherheitskräfte ein Täterprofil des Bommeleeër anfertigen ließen und nur eine Person diesem Profil entsprochen habe. Er war „14 Tage lang“, so Richterin Sylvie Conter, die „beste Spur“.

Guy Santers Vorbild war die Brüsseler Sicherheitsfirma Monitor, für die Geiben nach seinem Austritt aus der Gendarmerie arbeitete. Laut Santer habe es sogar mit seinem Vetter, mit Ben Geiben und dem Leiter der Brüsseler Sicherheitsfirma ein Treffen gegeben, bei dem Premier Jacques Santer versprochen habe,
Mittelstandsminister Jacques F. Poos (LSAP) um eine wohlwollende Begleitung der Firmengründung zu bitten. Doch aus der Firmengründung mit dem liberalen Geiben sei „aus politischen Ursachen“ nichts geworden. Guy Santer habe es dann auf eigene Faust versucht, seine Firma erst Monitor Luxembourg, dann Molitor und schließlich humorvoll LSD (Lëtzebuerger Sécherheetsdéngscht) genannt. Doch nach kurzer Zeit musste er Konkurs anmelden, weil sich herumgesprochen hatte, dass er im Verdacht gestanden habe, etwas mit den Terroranschlägen zu tun gehabt zu haben. Der Vetter des Premiers hatte sich unter anderem wegen seiner Beziehungen zu Geiben verdächtig gemacht und war dann weit länger als dieser überwacht worden.
Andererseits sagte der ehemalige GOR-Ermittler Trierweiler aus, dass DP-Minister Emile Krieps sich als Verantwortlicher für die öffentliche Macht wiederholt für die Laufbahn von Ben Geiben eingesetzt habe. Geiben sei auch ein guter Bekannter von DP-Bürgermeisterin Lydie Polfer gewesen, die wiederum gute Beziehungen zu Gendarmerie-Kapitän Marc Zovilé gepflegt habe.


Laut Trierweile habe 1984 sogar das Gerücht die Runde gemacht, dass im Fall eines Wahlsiegs der DP Geiben Chef der Gendarmerie würde.

Doch 1984 verlor die DP die Wahlen, der christlich-soziale Notar Marc Fischbach wurde Minister der öffentlichen Macht. So wurde Geiben auch ein wenig ein Opfer des Index-Wahlkampfs und verließ die Gendarmerie und das Land.

Als Geiben im Mai 1987 nach Luxemburg kam, um in der Synagoge einen Vortrag über Terrorismus zu halten, erzählte Marc Zovilé während eines anschließenden Essens mit Ben Geiben und dem liberalen Konsul und Geschäftsmann Henri Roemer, vorübergehend auch RTL-4-Direktor und FLF-Präsident, dass laut Gerüchten Prinz Jean der Bommeleeër sei. Die Anklageschrift schlussfolgert, dass Geiben
oder Roemer die Geschichte weitererzählt haben muss, da Zovilé und sein Vorgesetzter vom Hofmarschall zu einer Gardinenpredigt in den Palast bestellt wurden.
Ein Zeitungsartikel über Geibens Vortrag in der Synagoge war das einzige Dokument, das bei einer Hausdurchsuchung im Geheimdienst in der Akte „Ben Geiben“ gefunden worden war.

Geiben war bei Hofe offenbar besser angesehen als Zovilé, da er in Luxemburg und im Feriendomizil Cabasson für den Personenschutz der großherzoglichen Familie zuständig war. Deshalb ging er notgedrungen „bei Hof ein und aus“, wie Gendarmeriekommandant Fernand Diederich sich erinnerte. Laut Kriminalpolizist Alain Thill soll Geiben auch fünf Monate lang eine Beziehung mit der Tochter von Hofmarschall Christian Calmes gehabt haben.

Als die Staatsanwaltschaft die beiden heutigen Angeklagten festnehmen ließ, den CSV-Justizminister Luc Frieden zur Dienstenthebung eines Teils der Polizeispitze zwang und auch dem CSV-Premier Jean-Claude Juncker unterstellten Geheimdienst Justizbehinderung vorwarf, kündigte DP-Präsident Claude Meisch Anfang 2008 den Konsens unter den Parteien auf, die Terroranschläge als Folklore abzutun. Für ihn wurde plötzlich „immer klarer, dass die Bombenlegeraffäre zu einer reellen Staatskrise wird“, und „die CSV ist nicht unschuldig, wenn das Land in eine Staatskrise rutscht“.


Worauf CSV-Ehrenstaatsminister Jacques Santer über RTL drohte, jeder sei „irgendwie involviert in dieser Affäre“, denn die Regierungen seien „so zusammengesetzt, dass sie nicht einfarbig sind“. Außerdem seien die Ermittlungen Sache der Justiz und „nicht des Staatsministers, nicht des Justizministers, nicht des Armeeministers“. Justizminister war bis 1984 Colette Flesch (DP), danach Robert Krieps (LSAP); Armeeminister war bis 1984 Emile Krieps (DP), danach Marc Fischbach (CSV).
Der während der Attentate für die Gendarmerie und deren Brigade mobile zuständige CSV-Minister Marc Fischbach hatte 2008 das Vorgehen des Staatsanwalts und ehemaligen CSV-Staatsrats Roby Biever in einem vom Luxemburger Wort wieder zurückgezogenen Interview „unmöglich“ genannt. Sein Parteikollege und Amtsnachfolger Luc Frieden hatte als Justizminister gegenüber Biever laut darüber nachgedacht, ob die hohen Ausgaben für die Ermittlungen nicht eingestellt werden sollten, und Polizeidirektor Reuland hatte den Ermittlern während des Abschiedsfestes eines Kollegen im Oktober 2006 Gespräche über eine neue Beschäftigung angeboten, um auf „andere Gedanken“ zu kommen.
Wie Jacques Santer ganz richtig bemerkte, bringt das strenge Verhältniswahlrecht es mit sich, dass alle wichtigen Parteien mit der CSV in einer Koalition waren oder in eine Koalition mit ihr kommen wollen. Deshalb sind die unansehnlicheren Herrschaftsinstrumente des
CSV-Staats auch ein wenig ihre, oder sie wollen, dass sie es werden. Dass Geheimdienstchef Marco Mille 2007 ein Gespräch mit Jean-Claude Juncker heimlich aufgezeichnet hatte, verschwiegen auch die Fraktionsvorsitzenden von LSAP, DP und Grünen eisern, bis die Verjährungsfrist erreicht war. Als sich der erste Sturm der öffentlichen Entrüstung über den Vorfall gelegt hatte, beschloss der parlamentarische Ermittlungsausschuss gleich, die Öffentlichkeit von seinen Sitzungen auszuschließen.
Als Vorsitzender des Ermittlungsausschusses will LSAP-Präsident Alex Bodry nicht nur aus Koali¬tions¬räson der CSV keinen überflüssigen Kummer bereiten. Den Sozialisten ist auch unwohl in der ganzen Angelegenheit. Denn spätestens seit dem Versuch, einen Teil der Geheimdienstaktivitäten zu privatisieren, Geschäfte mit angeblichen Schurken und Schurkenstaaten zu machen, wusste der ehemalige LSAP-Wirtschaftsminister ¬Jeannot Krecké Bescheid. Ein Geheimdienstbeamter,
Sohn des ehemaligen DP-Staatssekretärs Jos Schaack, ging vom LSAP-Wirtschaftsministerium zum Nachrichtendienst, der Geheimdienstbeamte André Kemmer ging vom Nachrichtendienst ins LSAP-Wirtschaftsministerium.
Als einstige Spitzeldienstgegner wünschen die Grünen sich, dass so schnell wie möglich vergessen wird, wie sie sich jahrelang im parlamentarischen Geheimdienstkontrollausschuss als demokratisches Alibi für die unansehnlicheren Herrschaftsinstrumente des CSV-Staats zur Verfügung stellten. Damit legten sie für den Fall einer Regierungsbeteiligung ein bis dahin manchmal angezweifeltes Bekenntnis zur Staatsträson ab. Heute beteuern sie gegenüber ihren Wählern ihre Unschuld, in dem sie sich „naiv“ nennen.
Selbst die ADR, die einst Valissen-Affären erfand und Museumsfassaden maßlos zu Skandalen aufzubauschen verstand, bleibt
stumm. Dabei hatte der ehemalige ADR-, dann DP-Abgeordnete und RTL-Sicherheitschef Josy Simon den Ermittlern noch erzählt, dass er nach verschiedenen Attentaten Ben Geiben im Café des Artistes im Stadtgrund gesehen habe. Simon hatte sogar gehört, dass Prinz Jean von der großherzoglichen Familie eine Abfindung von 70 Millionen Franken für seinen Thronverzicht erhalten haben soll.

Doch heute hat die Partei noch gerade zwei Abgeordnete, einer von ihnen, Oesling-85-Kämpfer Fernand Kartheiser, drückte in der sehr rechten École royale militaire in Brüssel die Schulbank mit jenen Offizieren, die seit bald 30 Jahren eine Aufklärung der Terroranschläge zu verhindern versuchen.


Für Chefermittler Carlo Klein ist eines der größten Rätsel in der Geschichte der Terroranschläge, dass der Geheimdienst die Beschattung Ben Geibens am 19. Oktober 1985 kurz vor dem Bombenanschlag auf den Justizpalast unterbrach und seither fast alle Akten dazu verschwunden sind, keiner der
Verantwortlichen sich daran erinnern kann. Klein bot diese Woche dafür zwei Erklärungen: Entweder verlief die Beschattung ergebnislos oder sie brachte eine Erkenntnis, „die wir nicht erfahren dürfen, die in eine Richtung zeigt, die nicht sein darf“. Vielleicht zeigte sie einen Augenblick lang den Baseball-Schläger unter dem Tresen des CSV-Staats.


Der christlich-soziale Ehrenstaatsminister Jacques Santer drohte schon vor fünf Jahren über RTL, jeder sei „irgendwie involviert in dieser Affäre“, denn die Regierungen seien „so zusammengesetzt, dass sie nicht einfarbig sind“
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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 22 EmptyDim 12 Jan 2014 - 15:47

puis sur le reserve armee : article d'époque

letzland 1985-05-03_01 archif


http://www.eluxemburgensia.lu/BnlViewer/view/index.html?lang=fr#panel:pa|issue:1786080|article:DTL174|query:marc fischbach

Manöver um die Reservearmee

Armeeminister Marc Fischbach manövriert auf schwerem
politischem Gelände, um sich aus einer Zwickmühle zu be freien : Einerseits sieht er sich bei Luxemburgs NATO-Partnern im Wort, 18 Jahre nach der Abschaffung des obligatorischen Wehrdienstes endlich eine eigene Truppe zur Sicherung
des nationalen Territoriums im Krisenfall zu schaffen — andererseits jedoch sträubt sich der sozialistische Koalitionspartner heftig gegen die Verwirklichung dieses sicherheitspolitischen Zieles.
Der Minister macht zur Zeit allerdings keine allzu gute Figur

Um sowohl die NATO als auch die LSAP zufriedenzustellen,biegt Fischbach Luxemburgs Verpflichtungen gegenüber dem Bündnis für die eigenen politischen Belange zurecht — zum
Beispiel, indem er das Versprechen des Großherzogtums, der NATO ein Bataillon zur Verfügung zu stellen, einseitig abändert.

Während im Norden des Landes im Rahmen der Kriegsspiele »Ösling 85" amerikanische und lu-
xemburgische Truppen die Verteidigung und Sicherung des Territoriums proben, werden auf der politi-
schen Bühne großangelegte Manöver um das Reizthema „Reservearmee"
inszeniert — eben jene (nicht bestehende) Einheit, die im Krisenfall die
Verteidigung und Sicherung des nationalen Territoriums und der strategisch wichtigen Punkte des Landes übernehmen soll. Die Diskussion um das politisch heiße Eisen, welches sogar der frühere Armeeminister Emile Krieps, selbst ein eingefleischter Befürworter einer eigenen
Reservetruppe, nicht hatte zurechtbiegen können, lodert wieder auf.
Daß sich Krieps' Nachfolger Marc daran die Finger verbrennen wird, ist nicht auszuschließen.

Anläßlich eines Besuchs im Heidelberger Hauptquartier der Allied Mobile Force
(die AMF ist eine konventionell ausgerüstete KampftrupPe, in deren Rahmen das Luxembur-
ger NATO-Bataillon- vorwiegend an der Nordflanke des Bündnisses eingesetzt wird) hatte Armeeminister Fischbach vor drei Wochen das Thewieder aufgerollt : Damit Luxemburg endlich seinen Verpflichtungen gegenüber seinen NATO-Partnern
nachkommen könne, werde der Aufbau einer 150 Mann starken Freiwilligen-Truppe ins Auge gefaßt, hatte er damals angekündigt. Die freiwilligen »Reservisten", die sich einer kurtzen "Militärischen Grundausbildung unterziehen müßten, könnten vorssichtlich nach dem Muster der dänische" Home Gaard dezentral organiziert und unter das Kommado
der lokalen Gendarmerie-Dienststelle gestellt werden, hatte es damals geheißen.

Bei der geplanten Einheit handelt es sich nicht um eine Reserve zum
360 Mann Marken NATO-Bataillon Luxembourgs; die Reserve- oder Territoriarmee soll vielmehr einen eigenen Aufgabenbereich abdecken.
Sie wird mit der Sicherung des nationales Territoriums betraut : Strate-
fen Punkte wie Flughaven Militarläger, Radiosender, Ministerien, Trinkwasserbecken in
ESCH-Sauer und Vianden und Vianden müßten im Krisemfall abgeschirmt, die Verkehrs-
wege und Nachtschublinien nach Deutschland abgesichert werden (die
Strategische Wichtigkeit der einheimischen Verkehrsverbindungen wird

ja alljährlich anläßlich der Reforger-Ubungen in Erinnerung gerufen,
wenn beispielsweise der Flughafen für Zwischenlandungen beim Transport amerikanischer Truppen nach Deutschland benutzt wird). Auch
müßten Zivilbevölkerung und mögliche Flüchtlinge betreut werden.

Im Gegensatz zu anderen NATO-Staaten verfügt Luxemburg bislang
allerdings nicht über eine „Reserve", welche diese Aufgaben wahrnehmen
könnte — obwohl sich das Großherzogtum 1967 anläßlich der Abschaf
fung des obligatorischen Wehrdienstes zur Schaffung einer solchen Re
serve verpflichtet hatte. Ein politischer Konsens über den Aufbau
einer Reserve-Truppe ließ sich bislang nicht finden. Ergebnis : Im
Ernstfall wird Luxemburg entweder auf ausländische Truppen zur Siche
rung seines eigenen Territoriums zu rückgreifen (vom Begriff der nationalen
Hoheit bleibt nur eine leere Hülse übrig), oder aber das großherzogliche NATO-Bataillon (das aber im Rahmen der AMF eingesetzt werden soll) mit der Sicherungsmission
betrauen müssen. Zwar hat Luxemburgs Entgegenkommen gegenüber
der NATO — Militärlager wurden eingepflanzt, die AWACS-Aufklärungsflugzeuge unter Luxemburger Flagge immatrikuliert, 1984 sollte
Luxemburg gar als einer der wenigen NATO-Staaten das ambitiöse Ziel
einer Aufstockung der Verteidigungsausgaben um real 3 % erreichen — dazu beitragen können, daß die Erfüllung des politisch brisanten Versprechens immer wieder aufge
schoben werden konnte ... bis sich schließlich Marc Fischbach nach an
haltendem Druck aus NATO-Kreisen zum Handeln gezwungen sah.
Dies, obwohl die CSV-LSAP-Koalition übereingekommen war, keine
Reservearmee zu schaffen.


Die Reservearmee soll einen eigenen Aufgabenbereich abdecken. Ihr obliegt
im Krisenfall die Sicherung der strategisch wichtigen Punkte des Landes


Sozialistische Reserven

Bislang bleibt allerdings reichlich
unklar, worauf die Reserve-Pläne des
Ministers konkret hinauslaufen. Da
an eine regelrechte Reservearmee aus
politischen und finanziellen Grün-
den nicht zu denken sei, so Fisch-
bach, müsse nach Alternativen ge-
sucht werden. Vorläufig soll bis zum
1. Juli (1985) eine interministerielle Ar-
beitsgruppe ein Inventar jener Siche-
rungsaufgaben erstellen, die das
Großherzogtum wahrnehmen muß
— und dem Ministerrat eine Reihe

von Vorschlägen unterbreiten, mit
welchen Instrumenten diese Aufga-
ben erfüllt werden könnten. Späte-
stens im Herbst, so erklärte Fisch-
bach in Heidelberg, sollen die Mini-
ster dann eine Entscheidung über
das Schicksal und die Form der
Reservearmee fällen.
Doch das gleichzeitige Vorpre-
schen des Ministers, der bereits den
Aufbau einer 150 Mann starken
Truppe als mögliche Lösung des
Sicherheits-Problems skizzierte, ver-
mittelt den Eindruck, als wolle das
Armeeministerium die Schlußfolge-
rungen der Studiengruppe schon
vorwegnehmen.

Fischbachs Vorstoß ist allerdings mehr als lediglich ein Versuchsballon,
auf den die LSAP,die bereits 1983 angekündigt hatte,
daß sie sich „allen Plänen widersetzen werde, eine territoriale Reserve-
armee zu schaffen", prompt ablehnend reagierte : René Hengel, der
mandatierte Sprecher der LSAP-Par-
lamentsfraktion, meldete anläßlich
der Orientierungsdebatten zum 86er Haushalt Reserven gegenüber der ge-
planten Reservearmee an

Zwar signalisierte der Minister Entgegenkommen an die Adresse
der Sozialisten. Die Reserve-Truppe müsse ja nicht unbedingt aus Soldaten bestehen —
doch mit einer Majoretten-Gruppe wird sich das natio
nale Territorium kaum sichern lassen, wie Emile Krieps treffend bemerkte.
Außerdem, so Fischbach, wolle man zunächst prüfen, inwie
weit die bestehenden militärischen
Strukturen zur Sicherung des Landes
eingesetzt werden könnten. Was in
der Praxis bedeuten würde : Aufstok
kung der Effektive der Ordnungs
kräfte, Heranziehen von zivilem Per
sonal für die Sicherung der Kommu
nikations- und Verkehrswege, Aus
handeln von Abkommen mit den
NATO-Partnerstaaten, die Truppen
zur Sicherung des Luxemburger Ter
ritoriums abkommandieren müßten,
oder Einsatz des Luxemburger AMF-
Bataillons in Luxemburg statt in
Nord-Norwegen oder Dänemark. Da
sich aber voraussichtlich trotz allem
die zu erfüllenden Sicherungsmissio
nen nur auf unbefriedigende Weise
werden durchführen lassen, wird der
Aufbau einer Territorial-Reserve
nach dänischem Modell im Armee
ministerium als unumgänglich ange
sehen. Der von Marc Fischbach ein
geschlagene Kurs zielt offensichtlich
auf eine stufenweise Einführung der
Reserve-Truppe ab — ob er damit
den widerspenstigen Koalitionspart-
ner zu überrumpeln vermag, wird
sich zeigen müssen.


Befreiungsschläge

Vorläufig jedoch versucht Fisch-
bach, sich mit Befreiungsschlägen
einen Weg aus jener Sackgasse zu
bahnen, in der er sich gegenwärtig
befindet — wobei Luxemburgs Ver-
pflichtungen gegenüber der NATO
für den politischen Gebrauch zu-
rechtgebogen werden. Als Mogelei
mag in diesem Zusammenhang der
Versuch gewertet werden, den
NATO-Verantwortlichen eine 150
Mann starke Reserve-Truppe zur Si-
cherung des Luxemburger Territori-
ums zu „verkaufen" — angesichts
des aus militärtechnischen Sach-
zwängen sich ergebenden Personal-
bedarfs von ca. 2 000 Mann kann die
vom Minister ins Auge gefaßte Trup-
pe bestenfalls als Alibi-Reserve oder
als Geste des guten Willens gegen-
über den bislang nicht erfüllten
NATO-Forderungen gewertet wer-
den.
Als ein eher verzweifeltes Manöver
erscheint auch die Entscheidung der
Ministerrunde vor zwei Wochen,
künftig nur noch eine „verstärkte
Kompanie" von ca. 150 Mann zu
den NATO-Manövern nach Norwe-
gen zu entsenden. Diese Entschei-
dung wird auf lange Sicht zur Folge
haben, daß im Krisenfall nicht mehr
das gesamte Luxemburger NATO-
Bataillon, sondern lediglich die Hälf-
te im Rahmen der AMF eingesetzt
werden kann — während die restli-
chen Truppen wohl mit der Siche-
rung der neuralgischen Punkte in
Luxemburg betraut werden. Es ist
kaum anzunehmen, daß die NATO-
Verantwortlichen diese einseitige
Abänderung der Verpflichtung des
Großherzogtums, dem Bündnis ein
ganzes Bataillon zur Verfügung zu
stellen, mit freudiger Erregung quit-
tieren werden. Denn dem Verneh-
men nach fällte die Regierung diese
Entscheidung einseitig und ohne
vorherige Absprache mit der NATO.
Fischbach, dessen Vorstoß in puncto
Reservearmee von der rhetorischen
Frage begleitet wurde, ob die Politi-
ker endlich gewillt seien, eine ernst-
hafte Sicherheitspolitik zu betreiben,
oder ob man weiter diese Fragen wie
„heiße Pfannkuchen" anfassen wolle,
geht nicht gerade mit dem besten
Beispiel voran.

j.p.h.
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VictoryII




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MessageSujet: Flics de charme   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 22 EmptyDim 12 Jan 2014 - 16:24

http://onsstad.lu/index.php?id=240
http://onsstad.lu/uploads/media/ons_stad_104-2013_24-27.pdf
http://onsstad.lu/uploads/media/ons_stad_104-2013_54.pdf
http://onsstad.lu/uploads/media/ons_stad_104-2013_68.pdf
http://onsstad.lu/uploads/media/ons_stad_104-2013_32-33.pdf

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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 22 EmptyDim 12 Jan 2014 - 16:24

Citation :
...Außerdem, so Fischbach, wolle man zunächst prüfen, inwie
weit die bestehenden militärischen
Strukturen zur Sicherung des Landes
eingesetzt werden könnten. Was in
der Praxis bedeuten würde : Aufstok
kung der Effektive der Ordnungs
kräfte, Heranziehen von zivilem Per
sonal für die Sicherung der Kommu
nikations- und Verkehrswege


et

Citation :
Vorläufig soll bis zum
1. Juli (1985) eine interministerielle Ar-
beitsgruppe ein Inventar jener Siche-
rungsaufgaben erstellen, die das
Großherzogtum wahrnehmen muß



c'est donc assez curieux que a ce moment on essaie de monter "Monitor lux" qui devient "LSD' le 1 octobre 1985

est ce que on voulait faire garder les bases otan par du personel prive de monitor comme en Belgique;
monitor gardait les bases usa puis a perdu son contract vers 1987 a sécuritas....
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HERVE




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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 22 EmptyMar 14 Jan 2014 - 20:17



John Singlaub (celui de la WACL, ami de Robert Close, voir le fil de discussion sur Guillaume Vogeleer).

Une de ses filles vit en Allemagne...


Vague d'attentats au Luxembourg - Page 22 Si11


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VictoryII




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MessageSujet: Audi 100 blanche   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 22 EmptyMer 15 Jan 2014 - 8:49

http://5minutes.rtl.lu/fr/actualite/luxembourg/501749.html
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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 22 EmptyMer 15 Jan 2014 - 9:15

pour revenir a mes questions sur qui avait lancé la piste G. et quand ?
il est clair que personne ne le sait au tribunal et certainement personne ici car  personne m'a corrigé
aucun belge  étudie encore  l'allemand puis le letz alors ?

QQs part en automne j'avais lu que a un réunion du 9 novembre 1985 Haan aurait lançe la question :

"et si c'était G.?"  et une long silence serait tombé , puis avant midi encore Schock est parti a bruxelles pour préparer une observation;

j'avais pensé que c'était Berscheid qui avait lançe cette idee .....(que Haan était a l'origine de l'idee piste G),mais non ,car Berscheid n'était même pas présent à cette réunion car les membres du GOR ont du jurer et Lui ne l'a pas fait car il n'était pas là   !!!


d'ailleurs si on relis son audition il raconte::

c'est STEIL qui a la sorti du la réunion a dit que ils savent pas qui sont les bommelars mais ils vont observer G..


si les membres de GOR ont du jurer je me demande si haan était bien là car il était membre du GE non ?


cela implique une réunion séparée pour GOR ce jour là , parmi ,plusieures réunions pour expliquer la note du 7 octobre de Harpes , sur la re-organisation de l'enquete?


en plus HAAN a dit que l'idée de Geiben ne vient pas de lui .....mais après avoir lu le bouqin "der rote faden "longtemps après il constate que G. en connait beaucoup ...


Dernière édition par K le Mer 15 Jan 2014 - 10:58, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 22 EmptyMer 15 Jan 2014 - 9:25

pour ameliorer la soupé pas mieux qu'un baril de BARRIL

http://www.luxprivat.lu/Archiv/edition_320/Le-capitaine-Barril-figure-centrale-de-l-affaire-Bommeleeer

Citation :
Au Luxembourg, Barril ne forma pas seulement les membres du groupe spécial des « Bimbos », mais pourrait être le père spirituel potentiel de certaines pistes menant vers les attentats qui se sont produits il y a plus de vingt ans au Luxembourg. Il fut aussi le premier employeur de l’ex-chef de la BMG, Ben Geiben, lorsque ce dernier quitta plutôt précipitamment la Brigade Mobile



on peut donc se demander si Barril travaillait aussi pour Monitor ou .... mickey mouse
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HERVE




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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 22 EmptyMer 15 Jan 2014 - 15:58



Le chapitre 14 de l'autobiographie de John Singlaub (WACL - voir photo ci-dessus) est sur :

http://fr.scribd.com/doc/199885771/Singlaub-CH-14-1978-1984

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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 22 EmptyMer 15 Jan 2014 - 15:59

aujourdhui:


Citation :
"Haben Sie etwas gehört im Sinn: Mir hunn se kritt?", fragt die Richterin

Est ce que vous aviez entendu qqs chose comme:'.......de moi.. ils ont reçu ?

pouvez vous confirmer mon traduction de "kritt" ,

kritt>kréien:=nl: krijgen:=fr recevoir
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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 22 EmptyJeu 16 Jan 2014 - 7:12

Hier un des témoins parlait d'une discussion fort ds le mess entre STEIL et ces collègues le 7 novembre:"SACKENTRAGER ! "


peut "on traduire ce mot aussi"


-est ce que STEIL était defait parce que il avait donné son copain G. aux "couteaux" ou est ce que
-ces collègues du BMG étaient faché sur lui pour la même raison
-ou c'était parce que les membres du GOR lui ont reproché d'avoir saboté l'observation
- ou qu'il a "porté les valises des officiers"

>>< son soudain mutation le 30 novembre 85 3 semaines après vers le secretariat de Bourg
(n'oublions pas les écoutes aussi des officiers ,des hommes du GOR (decl. la semaine derniere) et le mécontentement ds le GOR>> la lettre écrite à £HARPES )

le moment est situé le 7 novembre 1985 autour  FINDEL


il me semble que a un moment BERSCHEID avait eu aussi une dispute assez grave .. avec STEIL ds lequel il n'avait pas de confiance du à ses contacts avec le rot licht.
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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 22 EmptyJeu 16 Jan 2014 - 13:05

wort lu


Citation :
„Säckdréier!“


Hentzens Aussage war es, die wohl die größte Aufmerksamkeit erregte. Er erzählte nämlich, dass nachdem er am 7. November 1985 aus dem Urlaub zurückgekehrt war, ein Briefing stattfand, bei dem Jos Steil von anderen Gendarmen oder Polizisten in die Mangel genommen wurde. „Well de Steil si bäi der Geiben-Observatioun bäilafe gelooss hat“, betonte der Zeuge. “Den Här Steil huet en erbärmlechen Androck gemach, sou wéi e klenge Jong, dee bäi enger Ligen erwëscht gouf.“ Bei der Diskussion sei es laut hergegangen. Man könne schon fast von einem Streit sprechen, meinte Hentzen.


Das Wort „Säckdréier“ sei gefallen. Wer eine derartige Wut auf Steil hatte, wusste der Zeuge nicht mehr. Es sei aber möglich, dass der Polizist Georges Zenners einer der Kontrahenten war, betonte er. Auch an das Datum konnte Hentzen sich nicht erinnern. Es könne sich aber um eine Versammlung zur Vorbereitung des Gipfeltreffens in Kirchberg gehandelt haben. Bisher hatte es immer geheißen, die Geiben-Beschattung sei nie wieder ein Thema in der Gendarmerie gewesen.


pe" kazak dreher ?"
plustot porteur de valises>>

Säckdréier M.: 1) † «Lastträger, Dienstmann» — dafür heute: Porteur, Gepäckdréier — S. wird nur noch als Schimpfwort gebraucht; 2) «gemeiner Kerl» — du S.! — dazu: Säckdréiesch-manéieren F. Pl. «grobe, unflätige Manieren».


5min lu

Citation :
Jos Steil pas à l'aise ...

Le témoin a encore raconté qu'après la surveillance malheureuse sur Ben Geiben, lors d'une réunion, on aurait reproché à Jos Steil de s'être fait avoir; il aurait eu l'air piteux d'un enfant puni pour des mensonges. Cela aurait pu être Georges Zenners qui l'a réprimandé; le terme de larbin ("Säckdréier") aurait notamment été utilisé, selon François Hentzen.

Jos Steil n'aurait pas été à l'aise à cette réunion, il ne verrait pas Marc Scheer et Jos Wilmes comme des Bommeleeër, et selon lui, on aurait dû remarquer si des gens avaient fait des choses à côté.
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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 22 EmptyJeu 16 Jan 2014 - 17:38

Oesling


les stay behind jouent avec ..........des ballons  ........; à suivre ici   wort lu


Citation :
"Es sind eben Übungen gemacht worden", sagt Reuter. Es ging darum, Spione zu exfiltrieren. Dieser hätte dann einen Helium-Ballon hochsteigen lassen, der dann von einem Flugzeug/Helikopter aufgenommen wird, so Reuter.

16:35 "Hat das in Ihren Augen etwas mit dieser Affäre zu tun?", fragt die Richterin.

16:34 "Man kann ja nachprüfen, wann dieser Mann verstorben ist, dann findet man auch heraus, wann dieser Besuch war", so Reuter.

16:34 Reuter kann sich noch gut daran erinnern, da an diesem Tag auch der Frisör vom Herrenberg gestorben ist.

16:34 Man habe die Übung aber nicht durchführen können, wegen eines Sturms.

16:33  Er spricht von einem US-amerikanischen General, mit dem er mal auf dem Herrenberg war. Es ging um Übungen, bei denen Soldaten aus "feindlichem Gebiet" exfiltriert werden sollten mit einem Helikopter.

16:33  Reuter kommt wieder in den Zeugenstand.

16:32  "Madame Präsidentin, Sie haben die gute Angewohnheit, die Leute noch zu fragen, ob sie noch etwas beizufügen haben. Und dann gehen die Leute, und sagen es uns... Herr Reuter hat uns noch etwas Interessantes zu einem US-General gesagt".

16:32 Mit Me Vogel
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spielmann




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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 22 EmptyVen 17 Jan 2014 - 15:25

Intéressant à savoir qu’il y avait apparemment un centre de back up de l’aéroprt au centre névralgique du gouvernement secret.
A savoir qu’un double des archives du SREL y à pu être localisé cet été.



ATTENTAT AUF FINDEL

Nur mit insiderwissen zu machen

Laut einem heute in Deutschland wohnenden Zeugen war das Attentat auf den
Flughafen am 9. November 1985 nur mit Insiderwissen zu machen: „Apres avoir
entendu la deuxième explosion, je m'attendais à la troisième visant la tour de contrôle,
le contrôle Radar ayant été suspendu pendant les tournées de nuit. II m'a été rapporte
qu'au Château de Senningen un dispositif d'indication des Images Radar était en
fonction (?) - non confirme. Nous disposons toujours d'une ligne de kérosène depuis
l'Allemagne destinée à l'alimentation des avions faisant partie de I'OTAN
", schreibt der
Mann, der am Tag des Attentats im Flughafen-Tower arbeitete, in einem Brief, „en
éliminant un élément de chaque côte de la piste (24/06) l'aérodrome est paralysé.
Seul un insider (pilote, contrôleur aérien, militaire spécialise en technique aérotique et
toute autre personne ayant une éducation en aérotique), peut en avoir le savoir.
J'aurais procédé de la même façon. Etant parfaitement en état de juger le sérieux de
la Situation, je m'attendais à une troisième explosion visant la tour de contrôle,
élément indispensable à l'opération d'un aérodrome contrôle et autorise ä conduire
des manœuvres en conditions de vol aux Instruments (IMC = Instrument Meteorological
Conditions)."

source Journal de ce jour
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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 22 EmptyVen 17 Jan 2014 - 16:55

il suffit davoir suivi quelques cours ou heures de vol en coucou pour savoir qu'il y a deux mode de vol VFR et IFR

cet installation qu'on a fait exploser aide à positioner ds le brouillard l'avion approchant l'aeroport horizontalement et verticalement et en distance , sur une bonne ligne descendante vers le début de piste d'atterisage mais pas a le faire atterir car un coup de vent à travers peut le faire dévier au dernier moment.
C'est là que le pilote doit intervenir mais maintenant les grand coucous peuvent se passer de cela aussi mais c'est pas utilisé en pratique.

en théorie un avion genre jumbo peut atterir sans pilotes pourvu qu'il est déjà dans l'approche je pense même.


Si Findel est attribué aux militaires c'est que la nouvelle installation ne leurs plaisait pas et qu'ils en voulait un autre plus chère ??


Le carburant des avions militaires est probablement plus reglementé que celle des avions civil;
c'etait aussi le cas pour les composants électroniques qui devait travailler a des températures plus divers que votre tele.

pour les petits coucous c'était déjà 100 octane sans plomb en 1980 15 ans avant les voitures mais surtout le %humidité était plus reglementer pour éviter le gel ds les carburateurs pendant les descentes

pour les kérosènes je ne sais pas < des avions de chasses vont jusqu'a 18km ,les jumbos 13km ?
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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 22 EmptyVen 17 Jan 2014 - 17:06

mais je ne suis pas t'accord de proclamer que toutes les attaques c'est l'armée ou stay behind

il y a trop de casseroles autour de la gendarmerie.

ils ont été commandé de faire" le jeu" pour couvrir "en leurre" d'autres explosions.
puis des copy -cats comme le flamang rose a voulu en profiter pour lancer ces affaires de sicherheits-dienst.


Vogel a dit qqs chose ds ce genre: "supposer qu'ils l'ont fait> ils l'ont été commandé " ,AVANT le PROCES

Vogel Sait ,mais ne peut rien dire sans mettre ses clients dans le pétrin mais ici et là il lache qqs chose
comme l'utilisation du photo ds un ...divorce.
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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 22 EmptyVen 17 Jan 2014 - 17:18


Il est bien possible que des gendarmes fassent partie d'un "stay-behind".

En Belgique, le WNP était organisé en chaînes de parrainage ... comme un "stay-behind" ... est-ce un hasard ou bien peut-on dire que le WNP était une partie intégrante du stay-behind militaire belge ?

Les choses seraient bien plus faciles si le SDRA avait fourni la liste des membres ... il doit y avoir des gens puissants dans le lot ...

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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 22 EmptyVen 17 Jan 2014 - 20:01

commençons par le salon bleu et rose où le chef d'honneur de tous les club paras était ala maison .
il pouvait dire tu au roi ! et a travaillé longtemps avec un autre dinosaure d'espagne.
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HERVE




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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 22 EmptySam 18 Jan 2014 - 8:36


http://www.lequotidien.lu/bommeleer/52185.html

2014-01-17 09:29:00

Weydert insiste sur sa présence

LUXEMBOURG- Marcel Weydert maintient ses déclarations: il était aux casemates le soir du 5 juillet 1985 et c'est bien lui qui figure à coté de Marc Scheer sur la photo.

Rien de neuf en ce qui concerne le mystère de la photo des casemates. Lors de la 115e séance du procès Bommeleeër, hier, le témoin Marcel Weydert a maintenu ses déclarations. Confronté à de nombreuses questions, le témoin n'a toutefois pas su donner une réponse à toutes.

De notre journaliste
Fabienne Armborst

Mardi, l'ancien membre de la brigade mobile de la gendarmerie (BMG) avait déclaré que c'est lui, et non pas Jos Wilmes, qui figure à coté de Marc Scheer sur la photo prise par le Luxemburger Wort le soir de l'attentat contre les casemates. Ce soir-là, il s'était rendu depuis le bureau avec Marc Scheer sur les lieux de l'attentat pour récolter des informations.

Appelé une nouvelle fois à la barre hier, le témoin maintient ses déclarations. En apportant toutefois quelques nuances lorsque le procureur d'État adjoint, Georges Oswald, lui en demande davantage sur ses souvenirs de ce soir-là. «Je pars du principe que nous (NDLR : Marcel Weydert et Marc Scheer) nous sommes retrouvés au bureau», expliquait ainsi le témoin.

Au fur à mesure de son audition, le témoin a de plus en plus de mal à répondre aux questions posées. De grands silences envahissent en fin de compte la salled'audience.

«Pourquoi insistez-vous autant sur le fait d'avoir été présent aux casemates?», veut savoir la présidente de la chambre criminelle, Sylvie Conter. «Dans le cas contraire, je devrais me mentir à moi-même», répond finalement le témoin.

Georges Oswald, quant à lui, se concentre sur des questions plus concrètes : «Si vous étiez en congé ce jour-là, aviez-vous votre tenue de service à la maison? Quelle fonction occupiez-vous sur les lieux de l'attentat?» Question à laquelle Marcel Weydert répond s'être changé au bureau où il s'était rendu avec sa voiture privée. Avec Marc Scheer, il avait constitué un renfort sur le second attentat.

Le témoin n'a toutefois pas de réponse à la question suivante : «Qu'est-ce que Marc Scheer vous a raconté au bureau? Il revenait juste de l'attentat Asselscheuer et vous étiez en route vers un deuxième attentat.»

Me Lydie Lorang, l'avocate à la défense de Jos Wilmes, quant à elle, fait remarquer que lors de ses auditions en 2004 et en 2007, Marcel Weydert n'avait jamais évoqué sa présence aux casemates aux enquêteurs.

Marcel Weydert explique en outre avoir remplacé Jos Wilmes à son retour d'Asselscheuer. Ce dernier aurait rejoint une deuxième patrouille alors que Marcel Weydert et Marc Scheer s'étaient rendus aux casemates. Or à l'époque, la BMG effectuait toutes ses patrouilles par binôme. Et d'après le journal de service de la BMG, il n'y avait pas de quatrième membre disponible ce soir-là... Qui aurait donc accompagné Jos Wilmes?

«Si cela peut faire avancer le procès, je peux tout aussi bien dire que ce n'est pas moi», finit par déclarer Marcel Weydert.Ce que le procureur d'État adjoint ne reconnaît toutefois pas comme valable. Mardi, le témoin avait en effet déclaré qu'à l'époque, il avait affirmé lui-même à des membres de sa famille que c'était bien lui qui figurait sur la photo.


Un alibi pour l'attentat de Heisdorf

Marcel Weydert sera à nouveau entendu jeudi prochain. D'ici là, le témoin peut réfléchir encore une fois à ses déclarations. Autrement, un expert physionomiste pourrait être appelé à résoudre cette affaire.

En début de séance ont également été entendus Fränk Birmann et Bernard Reuter, deux autres anciens membres de la BMG. Ils confirment les déclarations de leurs collègues appelés à la barre les jours précédants : à l'époque des attentats, ils étaient surtout employés dans le cadre de patrouilles sans pour autant recevoir des explications sur l'avancement de l'enquête.

Fränk Birmann, qui a rejoint la BMG fin 1985, explique par ailleurs que le jour de l'attentat à Heisdorf, il se trouvait avec les prévenus Jos Wilmes et Marc Scheer à Fischbach avec le Grand-Duc à la chasse.

Pour la défense, cette déclaration constitue un nouvel alibi pour les deux prévenus.

Bernard Reuter, quant à lui, évoque une réunion précédant la tentative de remise de fonds place du Théâtre. Tout le monde aurait quitté en même temps les locaux de la gendarmerie. Ce qui n'aurait vraiment pas été discret d'après le témoin.

Interrogé au sujet de l'ambiance au sein de la BMG sous Reuland, Bernard Reuter, indique : «Tout était normal.» Le témoin avait rejoint la BMG en février 1984. Il n'avait donc pas connu Ben Geiben comme chef à la BMG.

Le procès se poursuivra lundi.

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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 22 EmptySam 18 Jan 2014 - 9:53

des 16 BMG il ne restait que 8 en cet periode là

1 suicide, +2 en tôle dont un pour pédo , si j'ai bien compris

des 8  qui restent il y en deux devant le tribunal maintenant et le dernier s'est mit ds le collimateur avec sa présence au casemattes .

cela ma tout l'air que pour "le jeu" éxécuté sur ORDRE que on a instauré un tour de rôle pour les exécutants et les alibis .

ds cette " tournante" tous les membres doivent avoir eu des avantages et des obligations qui les font taire jusqu'en prison.

chaque semaine il y a des débordements dans  cette affaire. donc je ne vois pas la fin de cette pièce de "bimboër" et marionetistes .

mais qu' est-ce que tu veux en cette periode là , avec le futur n° 2 du CIA Pavitt? , Gelli (surnom "le marionetiste") et acolytes.. stationée au Luxembourg , Ciolini à Bruxellles.

on va pas me dire que la présence du Gelli et le holding Ambrosiano n'était inconnu du SREL,gouvernement lux de SANT , archeveqier, et le vatican des polonais.

mais qu'est ce que foutent ces pauvres BMG dans ce grand jeu ? ou il y a si beaucoup de casseroles
en //  dans cette petite cloaque de Luxembourg , déjà citée comme le plus grand bar de prostitués à ciel ouvert au monde .

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