Vague d'attentats au Luxembourg

pour revenir au témoins belges il y même plus car étant vendeur de papier il avait eu WORT.LU comme contact et là apres le boum boum il me semble avoir lu que il a eu contact aussi avec les enqueteurs .

Sa femme va venir temoiner ds qqs jours car le bonhomme est malade


au debut du prices la defense signale un autre témion lux en soin palliative dont la mère les a contacté d'urgence .
il travaillait ds le quartier red light de lux (cfr HOFFMANN)

http://www.wort.lu/de/view/bommeleeer-eine-detaillierte-vorschau-52c68fa2e4b01ee12c95d72a

Veröffentlicht am 06.01.14 06:24

Bommeleeër: Eine detaillierte Vorschau

Prozess um Attentatsserie in der Halbzeit angelangt ?

(...)

Citation :

16:28
Der Mann sei wenig später, nach dem Attentat auf das Luxemburger Wort, wieder in Luxemburg gewesen, um eben beim LW Papier zu verkaufen. Er habe sich damals wieder bei Haan gemeldet. Und Haan sei mit ihm zum U-Richter gegangen.

16:28
Die Verteidigerin Lorang ist verblüfft, da es diesbezüglich keine Unterlagen im Dossier gibt.
Montag, den 6. Januar 2014 16:28

16:29
Doch Haan ist formell: Er habe nichts mehr von diesem Zeugen wissen wollen, da er zuvor in einem Briefing zur Rechenschaft gezogen worden war, weil er bei der ersten Vernehmung "nicht alles richtig gemacht" hatte.
Montag, den 6. Januar 2014 16:29
16:30
"Ich wollte nicht mal den Namen vom Mann wissen. Ich wollte nichts mehr damit zu tun haben, weil ich so wütend war über die Panzrappesch", so Haan. Deshalb sei er mit dem Mann sofort zum U-Richter gegangen.
Montag, den 6. Januar 2014 16:30

mais a ce moment c'etait Woerz le J.I. qui est changé vers

J.I Jaeger pour deux mois

puis J.I. Prosper Klein à  partir de 1 novembre 1985


haan a eu des problèmes parce que le temoin ne voulait rien laisser noter par peur en Belgique des ccc et TBW  tresz bizarr


Montag, den 6. Januar 2014 16:28

Sur la WACL :

http://bulldogger.wordpress.com/2010/03/15/wacl-moonstruck-singlaub-warriors/

Il y a plusieurs messages relatifs à John Singlaub sur le fil de discussion de Guillaume Vogeleer.

En ce qui concerne la famille grand-ducale :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Famille_grand-ducale_luxembourgeoise

Il faut noter la proximité de Jean de Nassau (Jean de Luxembourg né en 1957) et de Christian de Habsbourg-Lorraine (né en 1954) ...

Ils sont beaux-frères.

Jean de Nassau est le fils de Joséphine-Charlotte de Belgique (1927-2005), fille aînée de Léopold III (proche de Lyman Lemnitzer, du général Close, de Guy Weber, de Yves Dumonceau de Bergendal...).

On devait les trouver de temps en temps à Argenteuil ... avec Alexandre de Belgique (voir Przedborski, Relecom, Mercedes, etc) ?

http://www.lessentiel.lu/fr/news/dossier/bommeleeer/story/30025356

07 janvier 2014 21:37; Act: 07.01.2014 22:05

Des témoins disculpent les deux accusés

LUXEMBOURG - Les personnes interrogées ce mardi dans le cadre du procès fleuve ont dédouané Jos Wilmes et Marc Scheer.

http://www.lessentiel.lu/fr/news/dossier/bommeleeer/story/30025356

Anne-Marie van den Broeck aurait-elle vu le Bommeleeër? Mardi, cette Belge a été entendue comme témoin de l’explosion d'une bombe qui a eu lieu le 5 juillet 1985 dans les casemates de Luxembourg. Elle était dans une caravane avec son mari au moment de l'explosion. Ce mardi, elle a expliqué avoir vu quatre hommes, et aucun d'eux n'avait de ressemblance avec Jos Wilmes et Marc Scheer, les deux principaux accusés du procès Bommeleeër. Selon elle, aucun des quatre hommes n'avait plus de 25 ans.

Un autre témoin, Marcel Bormann, a été entendu ce mardi. Cet ancien policier de Bereldange faisait parti des agents à avoir vu une lumière suspecte provenant probablement d'une lampe de poche dans une forêt à Asselscheuer. Plusieurs patrouilles y avaient alors été dépêchées et avaient découvert un dispositif explosif fixé à un arbre. Une heure plus tard, une bombe a explosé dans les casemates. Selon lui, l'engin fixé à l'arbre était une diversion.

Enfin, Albert Feiereisen, expert en explosif (qui avait désamorcé la fameuse "bombe" fixée à l'arbre) a contesté le rapport du BKA qui expliquait qu'elle n'aurait tué personne. Selon lui, «les arbres auraient été soufflés par l'explosion» si elle n’avait pas été désamorcée. Ce dernier témoin a enfin souligné que Jos Wilmes et Marc Scheer étaient dans la forêt avec lui lors de l'explosion dans les casemates.

http://www.wort.lu/de/view/bommeleeer-unheimliche-begegnung-am-kanounenhiwwel-52cc5e27e4b0d887fce87585

Veröffentlicht am 07.01.14 21:05


Bommeleeër: Unheimliche Begegnung am „Kanounenhiwwel“


Belgische Zeugin kann keinen der Täter in einer Bildakte mit Tatverdächtigen identifizieren


(...)

je ne comprend s pas ce qui se passe aujourd'hui tagesblatt est mieux que wort

tout a relire trois fois !

tagesblatt

17:56
0 Mack erzählt Details von den Tatorten: Beim Anschlag beim Schléiwenhaff am 7. Mai 1985 auf einen Strommast hatte ich damals das Stück Karton mit dem Code, welcher auch auf den Erpresserbriefen war. Die Ermittlungen wurden damals "geheim" geführt, war Macks Eindruck. Sie wollten nicht, dass alles etwas mitbekommen.

http://www.lequotidien.lu/bommeleer/51928.html

Les quatre des casemates

2014-01-08 10:34:00

Le témoin belge se souvient bien de ce qu'elle a observé sur le plateau du Saint-Esprit le soir de l'attentat.

De notre journaliste
Fabienne Armborst

C'est un témoin avec une très bonne mémoire qui s'est présenté hier à la barre lors de la 109e séance du procès Bommeleeër. Anne-Marie Van den Broeck avait aperçu avec son mari, le 5 juillet 1985, quatre personnes suspectes aux alentours des casemates un peu avant l'attentat. Le couple belge avait garé ce soir-là s0n camping-car sur le plateau du Saint-Esprit afin d'y passer la nuit.

En route vers l'Autriche, le couple belge avait prévu de faire une étape à Luxembourg avant de reprendre son voyage le lendemain.

Vers 22 h 30, Anna-Maria Van den Broeck et son mari étaient arrivés avec leur camping-car sur le plateau du Saint-Esprit. C'est là qu'ils avaient aperçu une première personne suspecte debout sur un talus de pierres. Elle portait des lunettes rondes et avait des cheveux frisés foncés. Dans sa main gauche, elle tenait un talkie-walkie.

Un peu plus tard, deux autres personnes étaient apparues de derrière une porte située à côté du camping-car et s'étaient éloignées d'un pas décidé, sans jamais se retourner. Elles avaient la même stature et les cheveux courts. Puis une quatrième personne avait surgi de ce même endroit. Le mari de la témoin l'avait un peu suivie, mais l'avait finalement perdue de vue dans le noir. Tout comme les deux autres individus, le couple ne l'avait donc aperçue que de dos.

Par la suite, avait retenti une explosion. Sur quoi, le couple belge avait quitté les lieux. D'après le journal de voyage de la témoin, il devait être aux alentours de 23 h 45. Ils n'avaient toutefois pas réalisé qu'il s'agissait d'un attentat à la bombe. Ce n'est que le mardi suivant, en Autriche, qu'ils avaient appris l'attentat à la bombe en lisant un journal belge du lundi.

En deuxième partie de la séance, la chambre criminelle a entendu le gendarme Marcel Bormann et le démineur Albert Feiereisen.


Le piège à feu
à 100 % fonctionnel

Le gendarme Marcel Bormann s'était entre autres rendu sur le site d'Asselscheuer après avoir été appelé par un témoin qui y avait aperçu une lampe immobile. Une fois sur place, il avait prudemment approché avec le témoin cette lumière et découvert les bâtons de dynamite à l'arbre ainsi que le détonateur. Il avait donc donné l'alerte.

Le démineur Albert Feiereisen, quant à lui, était plusieurs fois intervenu durant la série des attentats. C'est lui qui avait ainsi désamorcé le piège à feu à Asselscheuer le 5 juillet 1985. Hier, il a souligné que les deux prévenus, Marc Scheer et Jos Wilmes, étaient déjà sur les lieux à son arrivée. Le temps qu'il désamorce la bombe, ils étaient restés sur place. Marc Scheer l'aurait d'ailleurs aidé à enfiler sa combinaison. Les deux hommes avaient quitté les lieux par la suite, après l'annonce de l'attentat sur les casemates.

D'autre part, Albert Feiereisen indique que le piège à feu était à 100 % fonctionnel : ce piège aurait au moins pu blesser quelqu'un grièvement. Sur ce point, l'expert du BKA, entendu en septembre dernier, n'avait toutefois pas le même avis. Selon lui, comme les auteurs avaient effacé le numéro sur la barre de dynamite, ils n'avaient pas l'intention de la faire exploser.

L'audition d'Albert Feiereisen se poursuit cet après-midi. Seront également entendus Arnold Mack et Léon Mangen.

HERVE a écrit:

http://www.lequotidien.lu/bommeleer/51928.html

Les quatre des casemates

2014-01-08 10:34:00

Le témoin belge se souvient bien de ce qu'elle a observé sur le plateau du Saint-Esprit le soir de l'attentat.

De notre journaliste
Fabienne Armborst

C'est un témoin avec une très bonne mémoire qui s'est présenté hier à la barre lors de la 109e séance du procès Bommeleeër. Anne-Marie Van den Broeck avait aperçu avec son mari, le 5 juillet 1985, quatre personnes suspectes aux alentours des casemates un peu avant l'attentat. Le couple belge avait garé ce soir-là s0n camping-car sur le plateau du Saint-Esprit afin d'y passer la nuit.

En route vers l'Autriche, le couple belge avait prévu de faire une étape à Luxembourg avant de reprendre son voyage le lendemain.

Vers 22 h 30, Anna-Maria Van den Broeck et son mari étaient arrivés avec leur camping-car sur le plateau du Saint-Esprit. C'est là qu'ils avaient aperçu une première personne suspecte debout sur un talus de pierres. Elle portait des lunettes rondes et avait des cheveux frisés foncés. Dans sa main gauche, elle tenait un talkie-walkie.

Un peu plus tard, deux autres personnes étaient apparues de derrière une porte située à côté du camping-car et s'étaient éloignées d'un pas décidé, sans jamais se retourner. Elles avaient la même stature et les cheveux courts. Puis une quatrième personne avait surgi de ce même endroit. Le mari de la témoin l'avait un peu suivie, mais l'avait finalement perdue de vue dans le noir. Tout comme les deux autres individus, le couple ne l'avait donc aperçue que de dos.

Par la suite, avait retenti une explosion. Sur quoi, le couple belge avait quitté les lieux. D'après le journal de voyage de la témoin, il devait être aux alentours de 23 h 45. Ils n'avaient toutefois pas réalisé qu'il s'agissait d'un attentat à la bombe. Ce n'est que le mardi suivant, en Autriche, qu'ils avaient appris l'attentat à la bombe en lisant un journal belge du lundi.

En deuxième partie de la séance, la chambre criminelle a entendu le gendarme Marcel Bormann et le démineur Albert Feiereisen.


Le piège à feu
à 100 % fonctionnel

Le gendarme Marcel Bormann s'était entre autres rendu sur le site d'Asselscheuer après avoir été appelé par un témoin qui y avait aperçu une lampe immobile. Une fois sur place, il avait prudemment approché avec le témoin cette lumière et découvert les bâtons de dynamite à l'arbre ainsi que le détonateur. Il avait donc donné l'alerte.

Le démineur Albert Feiereisen, quant à lui, était plusieurs fois intervenu durant la série des attentats. C'est lui qui avait ainsi désamorcé le piège à feu à Asselscheuer le 5 juillet 1985. Hier, il a souligné que les deux prévenus, Marc Scheer et Jos Wilmes, étaient déjà sur les lieux à son arrivée. Le temps qu'il désamorce la bombe, ils étaient restés sur place. Marc Scheer l'aurait d'ailleurs aidé à enfiler sa combinaison. Les deux hommes avaient quitté les lieux par la suite, après l'annonce de l'attentat sur les casemates.

D'autre part, Albert Feiereisen indique que le piège à feu était à 100 % fonctionnel : ce piège aurait au moins pu blesser quelqu'un grièvement. Sur ce point, l'expert du BKA, entendu en septembre dernier, n'avait toutefois pas le même avis. Selon lui, comme les auteurs avaient effacé le numéro sur la barre de dynamite, ils n'avaient pas l'intention de la faire exploser.

L'audition d'Albert Feiereisen se poursuit cet après-midi. Seront également entendus Arnold Mack et Léon Mangen.

Non seulement, à mon sens, ils n'avaient aucune intention de faire exploser la dynamite parce que (manifestement) les personnes qui l'ont placé là on tout fait pour qu'elle soit découverte et désamorcée.
Sinon quel besoin de placer une lampe torche allumée à proximité ?
Vu l'emplacement de la dynamite et la charge, c'est tout juste bon pour couper l'arbre mais pas plus....  

quel merdier et amalgames se dessinent

une trame suivant est possible d'étudier et à ameliorer si c'est correcte ou fausse:


apeupres !

Citation :

trame du possible:


-1982? G. reussit l’examen de major , pistonné par WAGNER et
part de la BMG vers la "Sureté (BSR)" comme chef  >> il y a des jaloux (question au procès si il peut ou non utiliser ce titre !!! réussi mais jamais nommé ? car parti ?)
-En 1983 il suit plein de formations entre autre au USA, Paris
Puis entre deux cours il fait une note de ré-organisation et déménagement de la Sureté (mal au point)
en mois de mai 1984 >>rien est fait ? , résistances ?

sa relation avec  x commence ou existe déjà

-premier campagne test bommeleer1 (armee ?)

G est encore chef de la "Sureté"

-G. donne sa dem au gendarmerie et part à Monitor brux en automne 1984


-fevrier 1985  G. a invité  R. et sa femme à Bruxelles et pendant deux heures il parle
avec enthousiasme de son boulot chez Monitor puis explique pourqoui il est parti de la gendarmerie

parle- t-il d’une firme / concession ,déjà , qu’ils veulent monter à Paris et à Luxembourg ?

-quelque part cette idee vient en tête du

1. :membres WACL?, politiciens qui décident de ordonner/monter la campagne ,jeu "ARTEBELLY" (bommeleer-2) qui poursuit celle des bommeleer -1 .
ds laquel il y a des lettres extorsion et sur certaines on trouve une parti DNA qui pouvait être de R et dont le style et mots et erreurs revienent dans un discours trouvé pendant une perquisition dans le bureau du même personne mais selon BKA on n'a pas assez de ref pour conclure.


2.(ex policier G.S et collègue) et avec support /promesses de deux mini-STER
il prend contact avec G a bruxelles pour monter "Monitor"(-lux) ,même nom au Luxembourg

vu l’enthousiasme  qui envahit le parti lux ils font du copie –cat (bommeleer3) et lancent unebombe du gazon-fleurs
devant l’imprimerie  de WORT.Lu mais avec un autre type de détonateur et dynamite ? que les bommeleers-1& -2 déjà à l’œuvre avant.

-Cela met des enqueteurs sur la piste Sicherheits- firmen et G.S qui est observé (cfr lundi  ) et aussi leur contact avec G est devient du coup aussi  suspect .
G. refuse de continuer toute cooperation et refuse qu’ils utilisent le nom « Monitor » qui devient
« Molitor » puis « LSD » Luxembourg Sicherheits Dienst ,le 1 octobre 1985 (>G. a compris  l’histoire de Wort par ces collègues espions ,israelis à Luxembourg et … mais se tait car il connait les forces derrière .

La partie lux met ces relations en œuvre pour renforcer la piste G qui devient une leurre pour bommeleers -1 &-2 pour le punir de son abandon de cooperation car il y avait des gros contrats a venir.(otan)

-ST. et un collègue d’époque avaient du culot car ils avaient désamorcé la coquotte minute armenienne en 1977 sans formation , ni protection >> après ils ont eu tous des instructions et formations par après , mais St. était mal au point en 1985.

Citation :

ST.  était hospitalisé du 17.04.1985 au 28.05.1985 et fût opéré à deux reprises
pour un ulcère gastrique. Il était porté malade jusqu'au 27.07.1985.

Pendant un mois, il travaillait à mi-temps.>
Puis septembre congé ?

N'étant plus en forme et operé récemment il fait que du sécretariat BMG et GOR mais a donc un vue sur l’ensemble des observations a venir.

1 octobre 1985 H. arrive de la police  (place que Bo. convoitait ?)


1 decembre 1985 St. est muté au commando comme sécretaire pour le controler car il en sait trop et est trop bavard ds le milieu des lanternes rouges ? mais aussi il est changé desprit ,depuis ses operations  ou il a été près de la mort et est devenu témoin de jehova  , puis biskop avec tout cela que cela implique.

-aeroport Findel bommeleers 1 2 3 ? ,

-Les attentats sur Hellin. et Wagn. c'est pour les faire taire aussi (regarde la situation du voisinage et la présence du firme LSD tout près :

LSD Déclaré en faillitte le même jour du dernier attentat sur Wagner)(explosif volé en février 1985 et utilisé qu'à la fin dixit le rapport americain ,déclassifié


-Puis "S est allé à Canossa" et c’était fini  … car qqs part ses fistons ont joué aussi avec des allumettes?

http://www.lequotidien.lu/bommeleer/51948.html

L'inexplicable observation Geiben

2014-01-09 09:10:00

La filature sur Ben Geiben continue de soulever des interrogations. Pourquoi s'est-on contenté d'une simple observation le lendemain de l'attentat?


De notre journaliste
Fabienne Armborst


Lors de la 110e séance du procès Bommeleeër, la chambre criminelle a poursuivi avec l'audition du démineur, Albert Feiereisen. Alors que cette première partie de la séance était plutôt calme, le ton est monté suite aux déclarations du second témoin de la journée, Léon Mangen. Il a participé à l'observation Geiben après l'attentat contre le palais de justice. Il ne semble pourtant pas s'être demandé s'il fallait peut-être faire plus qu'une simple filature.

Selon le démineur Albert Feiereisen, la majorité des mécanismes de mise à feu employés lors de la série d'attentats n'étaient pas très compliqués. L'auteur avait sans problème pu les construire à l'aide d'une documentation appropriée. Pour l'interrupteur au mercure intégré au dispositif explosif dissimulé dans la lampe de poche retrouvée au Findel, il avait toutefois fallu être un très bon bricoleur et avoir les connaissances requises.

Léon Mangen est le deuxième témoin entendu hier par la chambre criminelle. L'ancien membre de la section de recherche et d'enquête criminelles (SREC) a aussi occasionnellement travaillé pour le SREL. En tant que gendarme, il n'a presque pas été concerné par les attentats. Il avait juste surveillé des pylônes.

Avec le SREL, il avait participé à l'observation Geiben le dimanche matin suivant l'attentat contre le palais de justice. C'est l'agent du service secret Armand Kaudé qui l'avait appelé. Ce dernier lui aurait uniquement demandé d'observer Ben Geiben à sa sortie de l'hôtel Holiday Inn au Kirchberg.

D'après Léon Mangen, il ne lui aurait pas donné d'explications supplémentaires. À l'époque courait toutefois la rumeur que Ben Geiben avait quelque chose à voir dans l'affaire du Bommeleeër. Le témoin explique également avoir été au courant de l'attentat contre le palais de justice avant de débuter l'observation.

Voilà pourquoi le procureur d'État adjoint, Georges Oswald, veut savoir si en tant qu'officier de la police judiciaire il ne s'était pas posé la question de savoir s'il n'y avait rien de plus à entreprendre qu'une simple observation. «Si Ben Geiben était un auteur potentiel, n'aurait-il pas fallu l'interpeller?», poursuit la présidente de la chambre criminelle, Sylvie Conter.

À la différence d'Armand Kaudé, qui a déclaré formellement qu'il n'y avait eu qu'une observation sur Ben Geiben, Léon Mangen n'exclut pas l'existence possible d'autres observations.

L'ambiance est montée encore d'un cran avec l'épisode du café «Rouden Eck». Le témoin explique que le prévenu, Marc Scheer, l'y avait rejoint avec d'autres collègues le soir de l'attentat à Hollerich le 23 juin 1985. C'est à cet endroit qu'ils avaient appris l'explosion.


Georges Oswald : «Encore un lapsus»


Lors de ses déclarations en 2006, Marc Scheer avait toutefois affirmé qu'après avoir raccompagné la famille grand-ducale au Palais – dans le cadre des festivités de la fête nationale – il s'était rendu sur les lieux de l'attentat à Hollerich.

Or, hier, Marc Scheer a nié être passé par Hollerich : lors de son audition, il ne se serait plus exactement souvenu de son parcours. Ce que le procureur d'État adjoint commente ainsi : «Encore un lapsus.»

Arnold Mack est le troisième témoin de la séance. Membre du service d'identification, il avait rassemblé les pièces à conviction dans une armoire dans son bureau. En 1986, il avait bien rencontré les deux membres du FBI. Il assure ne jamais leur avoir passé des pièces à conviction. Mais l'armoire en question n'était pas fermée à clé.

Il n'y aurait pas non plus eu d'inventaire pour les pièces retirées. De même, aucun contrôle n'aurait été effectué en ce qui concerne le retour des pièces envoyées pour une expertise au BKA (Office fédéral de la police criminelle allemande).

Enfin, Arnold Mack a émis des critiques contre Romain Nettgen, l'actuel directeur général de la police. En devenant chef de la police judiciaire, ce dernier aurait porté préjudice au service.

Citation :

juste bon pour couper l'arbre mais pas plus

le booby trappe- fil était long de 18 mètres mais la charge était pas deux mais 4 batons dixit les déclarations au proces

cela aurait pu remplir quand même quelques boites allumettes! c'est beaucoup pour une leurre

et Feiereisen n'était pas a l'aise pour dés-amorcer tout cela.

d'ailleurs sauf pour trouver les traces ,pourqoui pas faire exploser de façon controlée ,tout cela ?

sur geiben, car on recommence a cibler sur lui
dans le livre, der rote faden, sur geiben, ben nous devoile qu'il est super copain avec James Pavitt !

James L. Pavitt (born February 19, 1946) was Deputy Director for Operations (DDO) for the CIA from 1999 until June 4, 2004

http://www.lessentiel.lu/fr/news/dossier/bommeleeer/story/29815901

09 janvier 2014 22:04; Act: 09.01.2014 22:18

Des preuves matérielles portées aux encombrants

LUXEMBOURG - D’après un ancien employé de la police criminelle, des éléments de l’enquête, notamment des relevés d’empreintes et des photos, ont été détruits en 2000.

Que s’est-il passé concernant les preuves matérielles des attaques à la bombe perpétrées entre 1984 et 1986? Marc Ogier, qui travaillait pour la police criminelle à cette époque, s’est longuement exprimé jeudi sur le sujet devant la chambre criminelle. Il a expliqué à la barre comment les éléments avaient disparus. Ses supérieurs, notamment Romain Nettgen et André Glodt, lui auraient demandé, en 2000, de débarrasser la cave du service d’anthropométrie judiciaire. Tous les objets étaient ensuite portés aux encombrants.

Ogier se défend en déclarant qu’il a «toujours pensé que ces objets n’auraient jamais dû être détruits». Cette tâche n’aurait été inscrite dans aucun protocole, comme c’est normalement la règle. Selon l’ancien fonctionnaire, le lieu était un véritable capharnaüm, rempli d’albums photo, de sous-mains, de relevés d’empreintes, de tubes en plastiques et de caisses. Tout aurait été porté aux encombrants, sauf les relevés d’empreintes qui auraient été broyés. Plusieurs personnes, y compris des agents d’entretien, avaient un jeu de clés et pouvaient entrer dans la pièce à tout moment. Le responsable de ce local était Romain Nettgen, selon Marc Ogier.

Aucune réponse concrète

André Glodt, qui témoignant juste après devant le Tribunal, a confirmé que tout ce qui se trouvait dans le local avaient été détruit. « Mais cela ne concernait que des vieux tapis très abîmés et des vêtements usagés », assure celui qui a travaillé au service d’anthropométrie pendant 22 ans. Le nettoyage aurait été effectué en raison du déménagement des locaux vers Hamm. Il a profité de sa tribune pour charger encore l’ancien officier de gendarmerie Armand Schockweiler. À partir de 1996, ce dernier aurait emporté plusieurs caisses contenant des réelles preuves du dossier Bommeleeër.

Se sont ensuite succédé à la barre Georges Kill, ancien vice-président de la Cour constitutionnelle, et Jean-Mathias Goerens, juge d’instruction entre 1978 et septembre 1985, notamment en charge des attaques à la bombe. Kill a de nouveau justifié la mise à l’écart de Ben Geibens en parlant de «pédophilie» et «d’accord à l’amiable». Quant à Goerens, il peut donner encore moins de détails, puisqu’il souffre d’amnésie. Il n’a donné aucune réponse concrète à la plupart des questions qui lui étaient posées.

non j'ai lu ds wort que S aurait pas emporter plusieures caisses mais qu'il a fouillé ds une coffre et y a sorti la pièce maitresse de Hollerich expl GASODUC : le système electrique de mis a feu du corde explosif;> cfr le photo

il n'était plus chef des enqueteurs mais travaillait à la police déjà

du coup S doit retourner lundi

HERVE a écrit:

http://www.lessentiel.lu/fr/news/dossier/bommeleeer/story/29815901

09 janvier 2014 22:04; Act: 09.01.2014 22:18

Des preuves matérielles portées aux encombrants

LUXEMBOURG - D’après un ancien employé de la police criminelle, des éléments de l’enquête, notamment des relevés d’empreintes et des photos, ont été détruits en 2000.

Que s’est-il passé concernant les preuves matérielles des attaques à la bombe perpétrées entre 1984 et 1986? Marc Ogier, qui travaillait pour la police criminelle à cette époque, s’est longuement exprimé jeudi sur le sujet devant la chambre criminelle. Il a expliqué à la barre comment les éléments avaient disparus. Ses supérieurs, notamment Romain Nettgen et André Glodt, lui auraient demandé, en 2000, de débarrasser la cave du service d’anthropométrie judiciaire. Tous les objets étaient ensuite portés aux encombrants.

Ogier se défend en déclarant qu’il a «toujours pensé que ces objets n’auraient jamais dû être détruits». Cette tâche n’aurait été inscrite dans aucun protocole, comme c’est normalement la règle. Selon l’ancien fonctionnaire, le lieu était un véritable capharnaüm, rempli d’albums photo, de sous-mains, de relevés d’empreintes, de tubes en plastiques et de caisses. Tout aurait été porté aux encombrants, sauf les relevés d’empreintes qui auraient été broyés. Plusieurs personnes, y compris des agents d’entretien, avaient un jeu de clés et pouvaient entrer dans la pièce à tout moment. Le responsable de ce local était Romain Nettgen, selon Marc Ogier.

Aucune réponse concrète

André Glodt, qui témoignant juste après devant le Tribunal, a confirmé que tout ce qui se trouvait dans le local avaient été détruit. « Mais cela ne concernait que des vieux tapis très abîmés et des vêtements usagés », assure celui qui a travaillé au service d’anthropométrie pendant 22 ans. Le nettoyage aurait été effectué en raison du déménagement des locaux vers Hamm. Il a profité de sa tribune pour charger encore l’ancien officier de gendarmerie Armand Schockweiler. À partir de 1996, ce dernier aurait emporté plusieurs caisses contenant des réelles preuves du dossier Bommeleeër.

Se sont ensuite succédé à la barre Georges Kill, ancien vice-président de la Cour constitutionnelle, et Jean-Mathias Goerens, juge d’instruction entre 1978 et septembre 1985, notamment en charge des attaques à la bombe. Kill a de nouveau justifié la mise à l’écart de Ben Geibens en parlant de «pédophilie» et «d’accord à l’amiable». Quant à Goerens, il peut donner encore moins de détails, puisqu’il souffre d’amnésie. Il n’a donné aucune réponse concrète à la plupart des questions qui lui étaient posées.

Précision importante. Geiben est ciblé comme "homosexuel" ou comme "pédophile"? Des allégations lourdes de sous-entendu mais qui pourraient donner une toute autre orientation à certains faits. Quels sont les termes exacts prononcés?

oubliez cet histoire
le vraie histoire c'est quand on a mis pour la premier fois Geiben en avant et qui l'a fait et pourqoui



comme je l'ai déjà ecrit je pense que ce piste 'est démarré après l'explosion chez WORT .lu et puis on tombe sur la firme du cousin de s.....qu'il na pas reussi a monter avec G qui a refusé...


le détonateur était du même marque mais d'un different type

copycat qoui et vu que deux ministres son mis en avant comme supporter de cette firme , toute recherche est arreté ,aussi les autres vraies attaques.

créer des amalgames .....

Citation :

De Georges Oswald huet nogehaakt, ob den Armand Schockweiler geziilt no Stécker gefrot huet oder ganz allgemeng.

Fir den André Glodt war dat eng allgemeng Fro, ma en hätt sech Saachen erausgesicht wéi déi vun Hollerech, déi, Zitat, "am schéinste waren".

http://www.rtl.lu/themen/bommeleer//500523.html

il faut que vous lisez le bouquin sur geiben, der rote faden.
c'est plustôt un livre pr-public relations, de et sur Geiben
on cherche en vain l'esprit critique de l'auteur Hamus dans son propre chef d'ouevre

se faisant advocat du diable, cad argumenter pour défendre la thèse opposée à celle du livre (hypothese: geiben est innocent), sans pour autant adhérer à cet argumentaire, on pourrait bien renommer le livre: der dünne oder der scheinheilige faden ou encore: qui s'excuse, s'accuse.

oui toujours des bouqins que je lis qu'à moitié ....

il faut aussi retrouver des déclarations d'un grand coureur/promeneur d'endurance Si. dont on parle à la fin hier

il y plus ds "es kriselt" ds letz land .

DNA PROFILING ou et si on nous raconte n'importe quoi


et un autre mensonge ou seulement" pure imcompetence?

on parle toujours que le profiling dna faisait defaut a l'epoque; cad qu'on connaissait pas encore une telle methode

ben il s'avere que c'est totallement faux


The DNA profiling technique was first reported in 1984[3] by Sir Alec Jeffreys at the University of Leicester in England,[4] and is now the basis of several national DNA databases. Dr. Jeffreys's genetic fingerprinting was made commercially available in 1987, when a chemical company, Imperial Chemical Industries (ICI), started a blood-testing centre in England.[5]

In 1987, in the same case as Buckland, British baker Colin Pitchfork was the first criminal caught and convicted using DNA fingerprinting.[52]

dernier attentat: 25. Mäerz 1986: Colonel Wagner, Belair

plus grave encore: fake dna

Development of artificial DNA[edit]

In August 2009, scientists in Israel raised serious doubts concerning the use of DNA by law enforcement as the ultimate method of identification. In a paper published in the journal Forensic Science International: Genetics, the Israeli researchers demonstrated that it is possible to manufacture DNA in a laboratory, thus falsifying DNA evidence. The scientists fabricated saliva and blood samples, which originally contained DNA from a person other than the supposed donor of the blood and saliva.[49]

The researchers also showed that, using a DNA database, it is possible to take information from a profile and manufacture DNA to match it, and that this can be done without access to any actual DNA from the person whose DNA they are duplicating. The synthetic DNA oligos required for the procedure are common in molecular laboratories.[49]

The New York Times quoted the lead author on the paper, Dr. Daniel Frumkin, saying, "You can just engineer a crime scene... any biology undergraduate could perform this."[49]

Dr. Frumkin perfected a test that can differentiate real DNA samples from fake ones. His test detects epigenetic modifications, in particular, DNA methylation. Seventy percent of the DNA in any human genome is methylated, meaning it contains methyl group modifications within a CpG dinucleotide context. Methylation at the promoter region is associated with gene silencing. The synthetic DNA lacks this epigenetic modification, which allows the test to distinguish manufactured DNA from original, genuine, DNA.[49]

It is unknown how many police departments, if any, currently use the test. No police lab has publicly announced that it is using the new test to verify DNA results.[50]


source wikipedia

bon il ne faut pas accorder trop d'importance au medias luxembourgeois y compris le Letz.Land

C23Y78 February 23, 1978 W.H.Webster officially took charge of the FBI under president Carter:
http://www.newspapers.com/newspage/53250071/
http://en.wikipedia.org/wiki/William_H._Webster

Sachez qu'à l'époque le CIA et FBI n'ont pas travaillé ensemble
le FBI enquête sur la CIA sous Reagan et Webster en deviendra son chef en 1987

Geiben était chez le FBI http://justpaste.it/wacl en bas

Soit le code était une allusion à la lettre de Krieps pour discréditer Geiben
ou une allusion pour discréditer le FBI ce qui revient du pareil au même.

CIA au Lux http://en.wikipedia.org/wiki/James_Pavitt

Si alors les amerloques auraient tolérés les attentats ce serait le CIA (avec SREL et/ou 2e bureau de l'armée) en vue de ce document
http://justpaste.it/00845TR10021986LUX
Le FBI ne produit pas un document secret pour se créer un alibi et analyser ce qu'il aurait commandé ;-)

En plus les pièces à convictions n'ont pas été remis au FBI comme on vient d'apprendre.

ce qui exclut Geiben (et le Mossad
=il n'était donc pas de la droite comme certains autres)

Geiben était à mon avis un leurre pour cacher les vrais coupables à tendance très droite.


NB Les lettres d'extorsions n'ont pas été écrits par des Yankees.


Voir docs ici:
http://fr.scribd.com/Scripts8/documents


Le Land a mis tous les article à partir de 1954 online:

http://www.land.lu/category/archiv/

quelques trouvailles:

http://www.eluxemburgensia.lu/BnlViewer/view/index.html?lang=fr#panel:pp|issue:1788284|article:DTL247|query:bommele%C3%ABr
http://www.eluxemburgensia.lu/BnlViewer/view/index.html?lang=fr#panel:pa|issue:1788284|article:DTL166|query:fischbach
http://www.eluxemburgensia.lu/BnlViewer/view/index.html?lang=fr#panel:pa|issue:1786080|article:DTL158|query:marc%20fischbach
http://www.eluxemburgensia.lu/BnlViewer/view/index.html?lang=fr#panel:pa|issue:1788059|article:DTL119|query:marc%20fischbach

Il Commandante :
http://www.eluxemburgensia.lu/BnlViewer/view/index.html?lang=fr#panel:pp|issue:1788052|article:DTL148|query:harpes
http://www.eluxemburgensia.lu/BnlViewer/view/index.html?lang=fr#panel:pp|issue:1794033|article:DTL143|query:harpes

Land WACL articles:
http://www.eluxemburgensia.lu/BnlViewer/view/index.html?lang=fr#panel:pp|issue:1792409|article:DTL122|query:wacl
http://www.eluxemburgensia.lu/BnlViewer/view/index.html?lang=fr#panel:pp|issue:1794033|article:DTL140|query:wacl
http://www.eluxemburgensia.lu/BnlViewer/view/index.html?lang=fr#panel:pp|issue:1858445|page:16|query:wacl
http://www.eluxemburgensia.lu/BnlViewer/view/index.html?lang=fr#panel:pp|issue:1858445|article:DTL226|page:17|query:wacl
http://www.eluxemburgensia.lu/BnlViewer/view/index.html?lang=fr#panel:pp|issue:1783735|article:DTL373|query:wacl
http://www.eluxemburgensia.lu/BnlViewer/view/index.html?lang=fr#panel:pp|issue:1783958|page:12|query:wacl
http://www.eluxemburgensia.lu/BnlViewer/view/index.html?lang=fr#panel:pp|issue:1791021|article:DTL403|query:wacl
http://www.eluxemburgensia.lu/BnlViewer/view/index.html?lang=fr#panel:pp|issue:1790950|article:DTL222|query:wacl
http://www.eluxemburgensia.lu/BnlViewer/view/index.html?lang=fr#panel:pp|issue:1791870|article:DTL107|query:wacl
http://www.eluxemburgensia.lu/BnlViewer/view/index.html?lang=fr#panel:pp|issue:1791034|article:DTL148|query:wacl
http://www.eluxemburgensia.lu/BnlViewer/view/index.html?lang=fr#panel:pp|issue:1792612|article:DTL205|query:wacl
http://www.eluxemburgensia.lu/BnlViewer/view/index.html?lang=fr#panel:pp|issue:1793774|article:DTL130|query:wacl
http://www.eluxemburgensia.lu/BnlViewer/view/index.html?lang=fr#panel:pp|issue:1800700|article:DTL291|query:wacl
http://www.eluxemburgensia.lu/BnlViewer/view/index.html?lang=fr#panel:pp|issue:1783724|article:DTL124|query:wacl
http://www.eluxemburgensia.lu/BnlViewer/view/index.html?lang=fr#panel:pp|issue:1792055|article:DTL373|query:wacl
http://www.eluxemburgensia.lu/BnlViewer/view/index.html?lang=fr#panel:pp|issue:1779866|article:DTL203|query:wacl
http://www.eluxemburgensia.lu/BnlViewer/view/index.html?lang=fr#panel:pp|issue:1779883|article:DTL182|query:wacl
http://www.eluxemburgensia.lu/BnlViewer/view/index.html?lang=fr#panel:pp|issue:1780196|article:DTL283|query:wacl
http://www.eluxemburgensia.lu/BnlViewer/view/index.html?lang=fr#panel:pp|issue:1780806|page:16|query:wacl
http://www.eluxemburgensia.lu/BnlViewer/view/index.html?lang=fr#panel:pp|issue:1794202|article:DTL148|query:wacl

Un dénommé Charles :
http://www.eluxemburgensia.lu/BnlViewer/view/index.html?lang=fr#panel:pp|issue:1766711|article:DTL294|query:bourg
http://www.eluxemburgensia.lu/BnlViewer/view/index.html?lang=fr#panel:pa|issue:1766840|article:DTL295|query:bourg
http://www.eluxemburgensia.lu/BnlViewer/view/index.html?lang=fr#panel:pp|issue:1767879|article:DTL139|query:bourg
http://www.eluxemburgensia.lu/BnlViewer/view/index.html?lang=fr#panel:pa|issue:1801730|article:DTL207|query:bourg
http://www.eluxemburgensia.lu/BnlViewer/view/index.html?lang=fr#panel:pp|issue:1864816|article:DTL423|query:bourg