Vague d'attentats au Luxembourg

Nombre de messages : 1674 Date d'inscription : 28/10/2008

ne criez pas comme ça, mr. dislaire, c'est fatiguant à la fin et ce n'est pas bon pour le coeur. bien que d'autres membres (moi inclus) les trouvent très utiles, vous n'aimez pas les posts de Hervé. ça va, on a compris. pas besoin de nous le dire à chaque fois. merci.

Nombre de messages : 2049 Date d'inscription : 17/01/2009

dislairelucien a écrit:: Pas besoin d'en remettre une couche et de m'inviter à quoi que ce soit:je connais cela mieux que vous et peut en débattre sans faire du "copier coller "abrutissant .

Celui qui veut suivre l'affaire Bommeleeër sait aussi bien se renseigner directement sur le net POUR CE QUI EST INTÉRESSANT. Comme l'article dont vous faites référence et qui n'est pas si surprenant. Des pareils et des autres je peux polluer aussi le forum et lui faire perdre son essence en en publiant une fournée dix fois par jour
Pour ce qui est de vos autres "copier coller" suspectant entre autre Leopold 3 de nazis vous retombez bien sûr dans vos fantasmes engagés visant entre autre à noyer les messages vous contrariant dans un flot de messages inutiles mais qui vous dégage le portail, ou il n'est pas rare de vous voir patauger seul.
JE CONFIRME MON RAPPEL A L'ADMINISTRATEUR DE FAIRE RESPECTER LA CHARTE DU FORUM
C'EST UNE QUESTION DE SALUBRITÉ INTELLECTUELLE

Alors là; pas grand monde ne risque de contredire la haute performance... La seule notable si l'on excepte la volonté de désinformation... "pilotée" ??

Continuez HERVE... a part chez les salafistes et quelques gargouilles de Saint Nicolas du Chardonneret, l'obscurantisme appartient au passé depuis la création d'internet... même si une vigilence constante reste de rigueur.

Invité

Monsieur Dislaire, c'est la défense qui vous a demandé de témoigner. Drôle d'alliance ! À quel jeux, la défense joue-t-elle ? Les deux avocats ont demandé la suspension du procès parce que la piste militaire (oui, celle que vous excluez dans le dossier Vielsalm et Bommeleeër) n'a pas été explorer par le parquet. Et effectivement, le dossier d'instruction ne montre aucune trace, qu'on se soit intéressé de loin ou de prêt aux exercices Oesling et au rôle du STBH !

Nombre de messages : 2049 Date d'inscription : 17/01/2009

Bizarre ? Vous avez dit bizarre ?... Moi ?... J'ai juste pensé "traquenard" !

Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009

Le schéma que j'ai cité est sur

http://www.dekamer.be/FLWB/PDF/49/0573/49K0573011.pdf

Vague d'attentats au Luxembourg - Page 18 Schama10

Voir

Enquête parlementaire sur les adaptations nécessaires en matière d’organisation et de fonctionnement de l’appareil policier et judiciaire, en fonction des difficultés surgies lors de l’enquête sur les tueurs du Brabant, Doc. Parl., Chambre

Session 1995/1996, n° 573/8 à 12

http://www.dekamer.be/FLWB/PDF/49/0573/49K0573008.pdf

http://www.dekamer.be/FLWB/PDF/49/0573/49K0573009.pdf

http://www.dekamer.be/FLWB/PDF/49/0573/49K0573010.pdf

http://www.dekamer.be/FLWB/PDF/49/0573/49K0573011.pdf

http://www.dekamer.be/FLWB/PDF/49/0573/49K0573012.pdf

(à première vue, rien d'autre sur Argenteuil)

Invité

La demande de suspension a été refuté par la cours ! Le procès aura bien lieu !

Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Ven 1 Mar 2013 - 19:52

La défense plaide «Stay Behind»
2013-02-28 09:08:

Les avocats des deux prévenus dans le procès dit du Bommeleeër sont hier revenus sur les pistes négligées par l'enquête judiciaire.

De notre journaliste
Olivier Landini

Entre une manœuvre du réseau «Stay Behind» qui avait mal tourné à Vielsam quinze jours avant le premier attentat, des contradictions du Premier ministre de l'époque, Jacques Santer, des agissements suspects du directeur du SREL de l'époque et la piste de suspects principaux qui n'a pas été suivie: cela fait beaucoup aux yeux de la défense.

Les avocats de Marc Scheer et de Joseph Wilmes, les deux anciens membres de la brigade mobile de la gendarmerie soupçonnés d'être les auteurs des 20 attentats à la bombe perpétrés entre le 30 mai 1984 et le 25 mars 1986 sur le territoire luxembourgeois, ont hier sorti l'artillerie lourde.

Au troisième jour d'audience du procès dit du Bommeleeër, Me Gaston Vogel et Me Lydie Lorang ont en effet soulevé un troisième et ultime moyen préjudiciable. Et non des moindres. Explorant les différentes pistes négligées selon elle par les enquêteurs, la défense replace l'hypothèse du réseau Stay Behind (cellules coordonnées par l'OTAN pendant la Guerre froide visant à combattre une éventuelle occupation par le bloc de l'Est) au cœur du procès.

«Ce que j'ai à vous dire serait dépourvu de sens si les attentats à la bombe avaient débuté une année plus tard», annonçait hier à la barre de la chambre criminelle de Luxembourg Me Vogel avant d'exposer ce qu'il appelle «la matrice historique» de ce procès.

S'appuyant notamment sur l'ouvrage du professeur d'histoire contemporaine Daniele Ganser (Les Armées secrètes de l'OTAN, 2005), l'avocat replace le contexte de l'époque et cette «histoire tout droit tirée d'un thriller politique».

Il rappelle au passage que l'armée luxembourgeoise était bien engagée dans de multiples manœuvres de l'OTAN au cours des années 1980 et revient en particulier sur «les jeux de guerre» organisés en 1984 par des «forces militaires secrètes» dans le nord du pays.

«Le Luxembourg a reconnu très tard et encore, mezzo voce, l'objectif des manœuvres dites Oesling dans les termes suivants : collecte de renseignements et participation des commandos luxembourgeois à des cours d'initiation aux méthodes de combat et techniques de sabotage des Forces spéciales US», indique Me Vogel. «Une façon mensongère d'expliquer la participation de nos forces à des manœuvres qui étaient en elles-mêmes scandaleuses, alors qu'elles indiquaient comme objectif le sabotage des pylônes d'électricité, les réservoirs d'essence, etc», précise l'avocat.

Le procureur a admis

le caractère militaire

Et puis il attire l'attention sur un événement survenu dans la nuit du 12 au 13 mai 1984, soit deux semaines avant que ne survienne le premier attentat au Luxembourg : l'attaque de la caserne des chasseurs ardennais à Vielsam (à quelques km de la frontière luxembourgeoise) au cours de laquelle un soldat fut grièvement blessé «et le dépôt d'armes fut vidé après ce forfait», indique Me Vogel.

Comme l'a confirmé en 2006 un commandant du régiment des chasseurs ardennais de Vielsam, «des éléments luxembourgeois» étaient impliqués dans cette manœuvre dont le but était «de mettre à l'épreuve le matériel et le personnel des services spéciaux entrés en résistance dans l'hypothèse de l'occupation de l'espace OTAN par les forces du pacte de Varsovie, le concept "Stay Behind" en somme». Me Vogel renvoie dans ce contexte également au témoignage anonyme d'un sous-officier de l'armée diffusé la semaine dernière par RTL qui fait savoir que des soldats luxembourgeois ont bien été entraînés en Écosse en vue de sabotage, de maniement d'explosifs et de choix de cibles à viser.

Le procureur d'État n'a-t-il pas reconnu lui-même le caractère spécifiquement militaire des attentats, s'interroge la défense qui évoque un «terrorisme d'État».

Et d'en appeler à la responsabilité du Premier ministre de l'époque, Jacques Santer, qui assura à la fin de l'année 1990 ne rien savoir sur le «Stay Behind». Mais qui en janvier 1991 annonce dans une lettre adressée aux membres de la cellule luxembourgeoise du réseau que le SREL vient de dissoudre la structure et qu'il les remercie pour la «mission ingrate» qu'ils ont acceptée pendant toutes ces années.

Me Vogel indique également que le directeur du SREL, Charles Hoffmann, a confié pendant l'enquête judiciaire que le SREL entretenait à l'époque des relations étroites avec les Américains et plus particulièrement avec la CIA et qu'à l'ordre du jour du réseau Stay Behind figurait le mot d'ordre «ACTIONS». Le même directeur du SREL qui a transmis en toute illégalité des pièces à conviction au FBI aurait en outre suivi des cours au Pentagone.

La défense s'insurge également que la piste de l'ancien chef de la brigade mobile de la gendarmerie, Ben Geiben, l'un des principaux suspects, n'ait pas été suivie. Tout comme celle de ce que la défense désigne comme étant «son complice» Jos Steil (désormais décédé).

«Il est tragique pour la défense que de telles incompétences, incongruités et sabotages procéduraux n'ont fait qu'obscurcir un dossier où il est devenu sinon impossible du moins extrêmement précaire de retrouver le début des traverses qui pourraient amener à la solution de ce dossier scandaleusement traité par les autorités judiciaires», conclut Me Vogel.

La présidente de la chambre criminelle a renvoyé, hier, le moyen soulevé au fond de l'affaire, mais elle a également fait comprendre que ces arguments ne seraient pas oubliés lors de l'audition des témoins. Le procès se poursuit cet après-midi.

Le dossier Oesling 1985
Me Vogel a également annoncé hier qu'il a reçu une lettre anonyme concernant les manœuvres dites Oesling. L'auteur de la lettre indique que le dossier concernant les manœuvres qui ont eu lieu en 1985 a disparu il y a deux ans des archives du centre militaire. «L'ancien chef de l'armée qui est en pension pour un poste à New York», lit l'avocat, «est venu personnellement de Luxembourg au centre militaire dans les archives et a pris deux classeurs des archives dont la description était Oesling». «La lettre vaut ce qu'elle vaut», a indiqué Me Vogel. Mais il suffirait d'aller vérifier dans les archives de l'armée si ce dossier a effectivement disparu.

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"Ne rien nier à priori, ne rien affirmer sans preuve."
( Dr. Robert RENDU)

Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Ven 1 Mar 2013 - 19:54

Témoin au procès « Bommeleeër »

HOUFFALIZE - Ce lundi s’est ouvert à Luxembourg ce que d’aucuns, au Grand-duché, qualifient de « procès du siècle ».

Des audiences sont prévues jusqu’au 30 mai. Comparaissent deux anciens gendarmes, Marc Scheer et Jos Wilmes, soupçonnés d’être impliqués dans une série d’attentats, 18 au total, qui a secoué le Grand-Duché de Luxembourg entre 1984 et 1986. Tel est le cadre de ce procès « Bommeleeër », « poseur de bombes » en Luxembourgeois. Dans son livre, Lucine Dislaire consacre un large chapitre à ces événements et à plusieurs hypothèses qui pourraient les expliquer. Un sous-titre est d’ailleurs intitulé « Connexions vraisemblables ». Nos voisins ont également eu en leur sein des groupes « stay behing », soit des hommes chargés d’organiser une guérilla en cas d’invasion du pays par les troupes du pacte de Varsovie. Nous sommes, rappelons-le, en pleine guerre froide et dans une « stratégie de la tension » !

Devoir de réserve

Sur ses impressions sur le procès en cours à Luxembourg, Lucien Dislaire renvoie à son livre. Non qu’il soit avare de commentaires, ce n’est pas le style de ce baroudeur. Il s’explique : «Me Gaston Vogel, un des ténors du barreau luxembourgeois, m’a cité à comparaître à décharge des gendarmes inculpés devant la cour criminelle du Luxembourg. Je suis donc tenu à un devoir de réserve». Lucien Dislaire est le seul témoin belge à être cité dans cette affaire, sur plus de 90. «Oui, je suis le seul témoin belge à comparaître dans ce procès en langue luxembourgeoise.» L’Houffalois se retrouve ainsi à la barre avec des personnages de premier plan comme Jean-Claude Juncker, Jacques Santer et le Prince Jean de Luxembourg, frère du Grand-Duc.

Source : http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20130301_00275380

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Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009

http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20130301_00275361

Mise à jour : vendredi 01 mars 2013 07h00

Caserne de Vielsalm : « Retrouvez Dislaire, lui connaît la vérité »

HOUFFALIZE - C’est cette phrase de René Haquin qui a replongé Lucien Dislaire dans ses souvenirs liés à l’attaque de la caserne de Vielsalm. Il sort un livre.

«Retrouvez Dislaire! Lui connaît la vérité» Une phrase, que le journaliste, aujourd’hui décédé, René Haquin prononce au commandant Marlair, officier à Vielsalm à l’époque de l’attaque de sa caserne. Une phrase qui va pousser Lucien Dislaire à se replonger dans son passé et dans ces années 80. Pourtant, il ne porte pas forcément René Haquin dans son cœur : «C’est à la suite d’un de ses articles, où il a transformé une de mes hypothèses sur l’attaque en affirmation que j’ai été inculpé», confie l’Houffalois. N’empêche, lui aussi veut connaître la vérité sur cette affaire. Lui, qui en reste aujourd’hui le seul et unique inculpé. Un inculpé qui sera blanchi plus d’une décennie après les faits. «À la demande de Marlair, je me suis replongé dans l’époque. Une époque que j’avais enterrée. Imaginez-vous, j’avais été inculpé de terrorisme!».

« Marlair ? Du délire ! »

Rapidement, les voies des deux hommes vont se séparer : «Marlair a sa théorie. Le problème, c’est qu’il veut avoir raison! Pour lui, c’est une piste militaire. Il l’affirme sans une preuve. Puis c’est du délire. Il croit en ce qu’il dit, peut être parce qu’il est originaire de Beauraing. Mais affirmer que le colonel Mathen est un des tueurs du Brabant, c’est n’importe quoi, moi je ne joue plus! Ça sent le règlement de compte entre officiers!», explique Lucien Dislaire. Une phrase, «ironique» dixit Lucien Dislaire, du commandant Marlair sur un forum, «J’invite Dislaire à sortir son livre», pousse l’Houffalois à éditer, à compte d’auteur, sa «nuit des commandos».

L’ADN salvateur ?

Pour la rédaction de ce livre et suite à une lettre ouverte où il demande la vérité, Lucien Dislaire va avoir accès à son dossier au parquet de Marche-en-Famenne. Il va de découverte en découverte. Et notamment des traces de sang sur un document saisi par la gendarmerie de Gouvy : «Le procureur Michèle Mons delle Roche m’avait dit qu’une couverture où se trouvait du sang avait été détruite à Bruxelles. Pas d’ADN possible donc. Mais avec les traces que j’ai retrouvées, on pourrait procéder à des analyses. On prouverait que ce n’est pas moi. Certains pourraient être confondus. Mais ce n’est pas mon jeu. Peut-être un jour», glisse l’auteur. Un auteur qui a rencontré de nombreux acteurs de ces années de plomb. Un livre riche, documenté qui plonge le lecteur dans les grandes affaires belges, et même occidentales, des années 80. Un livre qui pour l’auteur a été : «Expérience enrichissante sur le plan personnel». Auteur qui prépare un ouvrage sur son expérience au Katanga dans les années 60.

29,50 €, en librairie et bientôt dans le réseau « Night & day » ou dislairelucien@gmail.com

Retrouvez une page complète dans l'Avenir Luxembourg de ce 01 mars

Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009

Pour information, sur "Gladio" (Stay-behind) en allemand :

http://www.heise.de/tp/blogs/8/153766

Der lange Arm von Gladio und das Eingeständnis eines Bild-Reporters

Giuseppe Gulotta war 22 Jahre unschuldig eingesperrt – vermutlich für ein Verbrechen der Nato-Geheimarmee

(...)

Invité

Une mission standard du STBH, Special Forces sont parachutés dans le nord, ils parcourent le pays avec l'aide de quelques supporters et essaient de s'introduire dans le dépôt de la NAMSA au Luxembourg, afin de volet des technologies. Le but, montrer à quel point le dispositif de sécurité est mauvais ! Le problème, ils sont capturés. Pour cette fois-ci, pas d'échange de tir ! Il n'y avait pas d'armes de guerre en jeu ! Tout cela s'est passé en 1982-83 ! Toute ressemblance avec l'attaque sur la caserne de Vielsalm n'est biensûre qu'un pur hasard ;-)
http://news.rtl.lu/bommeleeer/news//405857.html

Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Dim 3 Mar 2013 - 11:13

"NAMSA" Luxembourg a changé son nom de baptême

La NATO Maintenance and Supply Agency, abrégée en Namsa, créée en 1958, assure le support logistique global pour divers projets OTAN. Son quartier général est situé à Capellen, sur la commune de Mamer, au sud-ouest du Luxembourg.

Rebaptisée NSPA depuis le 1er juillet 2012, l’agence Otan de soutien est toujours basée au Luxembourg. Elle a été inaugurée officiellement. L’ex-Namsa poursuit sa mission, élargie.

La Namsa, désormais NSPA, emploie un millier de personnes sur le site de Capellen. L’agence s’était installée au Luxembourg, en 1968. Elle quittait alors la France, qui, sous De Gaulle, sortait de l’Otan.

Nombre de messages : 47 Date d'inscription : 17/06/2008

Aprés 27 ans un portrait robot a été présenté, en plus l'avocat du prince informe que le prince a participé au manoeuvre dans l'Oesling dans la nuit du 7 au 8 mai 1985.

Bommeleeër: Portrait phantôme proche de la réalité ?http://5minutes.rtl.lu/fr/actualite/luxembourg/407295.html

Vague d'attentats au Luxembourg - Page 18 F0b48fc0ecd412677dea1b9b212ebc5f

Vague d'attentats au Luxembourg - Page 18 F0b48fc0ecd412677dea1b9b212ebc5f

Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009

Citation :: La chronologie des attentats

23 janvier 1984 : vol d'explosifs à Helmsange dans les anciennes carrières de gypse.
Week-end de carnaval : nouveau vol d'explosifs, cette fois à Wasserbillig (Dolomit-Hartsteinwerke).
30 mai et 2 juin: attentat sur des installations de la Cegedel à Beidweiler.
1er février 1985 : nouveau vol d'explosifs à Helmsange.
9 février : encore un vol de matériel électronique servant aux explosions à Helmsange.
11 février: la série de vols d'explosifs se poursuit.
Entre le 15 et le 19 février : cambriolages à Senningerberg et Brouch notamment où de grosses quantités de Luxite (un explosif) sont volées.
12 avril: attentat contre un chalet de week-end à Bourscheid.
27 avril: attentat contre des pylônes de la Cegedel au Stafelter.
7 mai: attentat contre des pylônes de la Cegedel au Schleiwenhaff.
25 mai: attentat contre la gendarmerie au Verlorenkost.
29 mai: attentat contre un pylône de la Cegedel à Itzig.
23 juin: attentat contre l'usine à gaz à Hollerich.
5 juilllet: attentat à Asselscheuer.
5 juillet: attentat dans les casemates contre des installations des P&T.
26 juillet: attentat contre le Wort à Gasperich.
29 août: attentat contre la police et les Ponts et Chaussées au Glacis à Luxembourg, lors de la Schueberfouer.
30 septembre: attentat à la piscine olympique au Kirchberg.
20 octobre: attentat contre le palais de justice.
9 novembre: attentat au Findel.
30 novembre: attentat contre la Cegedel au Gréngewald.
2 décembre: attentat lors du sommet du Kirchberg.
16 février 1986 : attentat contre la maison du notaire Camille Hellinckx.
25 mars: attentat contre la maison du colonel Wagner à Belair.

ALIBI pour d'autres affaire :SPINDEL le 9 novembre 1985 !

http://newwww.wort.lu/wort/assets/2012/fotogalerien/02/BOMMELEEER_objects/m2.pdf

cherche le nom du fils ou neveu de giscard et d'autres qui sont organisateurs de cette partie de chasse !

Bokassa Lascar de D'estin?

le même nuit de Alost des cons ont aussi tiré à travers plusièures vitres à Bruges > 1 blessé

plein lune probablement

Nombre de messages : 1674 Date d'inscription : 28/10/2008

en effet,

Dans ce courrier, Me Entringer lui fait savoir que le Prince Jean ne peut pas avoir été impliqué dans l'attentat survenu le 7 mai 1985 au Schleiwenhaff. Et pour cause : le Prince Jean participait à cette date à une manœuvre militaire dans le cadre des opérations Oesling 1985 en compagnie des armées luxembourgeoise et américaines. Ce que Me Vogel qualifie de joli «lapsus freudien» de la part de son confrère et qui vient ainsi alimenter sa thèse reliant le réseau «Stay Behind» aux attentats.

D'ailleurs, sur Wikipedia: Prince Jean:

In 1977, Prince Jean began his military officer training at the Royal Military Academy, Sandhurst, England and member of the Champion Platoon, he was commissioned in August 1978. He was made a captain of the Luxembourg Army in 1979. After completing his university education in Geneva, he went to New York and joined W.R. Grace as a financial analyst working in the Finance, Planning & Analysis Division of the Group that reported to the President & CEO of the company, at the time, Mr J. Peter Grace. Back in Europe in 1985, in 1986 he obtained an MBA from INSEAD in Fontainebleau, France. [...] On 26 September 1986, Prince Jean renounced his right of succession to the Luxembourg throne. [...] Prince Jean works in the water industry, he is an advisor to the GDF-Suez Group, Executive VP of the Suez Fondation and a Member of the Executive Board of Degrémont, a subsidiary of Suez Environnement. It is unclear what his exact function is at Degremont-Suez, even to people working within the company. [...] Prince Jean is, among other, member of the board of the MIP, a business school based in Paris and a board member of a number of financial institutions : Banque Degroof Luxembourg, EFG Bank and EFG International, Ecofin, Hedge funds that are active in the utility segment.

Invité

Il aurait assisté à la manoeuvre. Assister =observer ! Il n'aurait pas participé activement ! En ce qui concerne Sandhurst, la plupart des membres de la famille G.D. suivent leur formation là-bas !

Nombre de messages : 47 Date d'inscription : 17/06/2008

Les nouveaux portraits du jour (attentat de la cour de justice)

source http://www.wort.lu/de/view/live-bommeleeer-prozess-tag-6-der-zeuge-g-5135e1f8e4b081d79b246eb8

Vague d'attentats au Luxembourg - Page 18 PhpNhIcoVAttPALAISJUSTICE-Maniglier01

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Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009

titu:

Citation :: Il aurait assisté à la manoeuvre. Assister =observer ! Il n'aurait pas participé activement

et bien là je commence à comprendre

il observait Findel , du spotting d'avion quoi, , il ne savait pas que les bommeleer était là aussi .

un chef ne regarde pas le sol mais le sky !

Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Mar 5 Mar 2013 - 20:29

Bommeleeër/cinquième jour: Le Prince Jean réapparaît

La défense fait savoir que le Prince Jean a participé aux manœuvres militaires baptisées Oesling 1985. C'est l'avocat de ce dernier qui en donne la preuve.

De notre journaliste
Olivier Landini

Dans une lettre visant à démontrer que le Prince Jean (le frère du Grand-Duc Henri) ne peut pas avoir été impliqué dans l'attentat du 7 mai 1985 au Schleiwenhaff, son avocat, Me Entringer, révèle que le Prince Jean participait à cette date à une manœuvre militaire dans le nord du pays.

Le procès des deux anciens membres de la brigade mobile de la gendarmerie, Marc Scheer et Joseph Wilmes, soupçonnés d'être les auteurs des 20 attentats à la bombe perpétrés sur le territoire luxembourgeois entre le 30 mai 1984 et le 25 mars 1986 est entré hier dans sa deuxième semaine.

Une cinquième audience marquée notamment par l'apport de nouvelles informations qu'est venue amener la défense en ouverture. Alors que le commissaire en chef de la police judiciaire (section crime organisé) Carlo Klein s'apprêtait à poursuivre son exposé sur le déroulement des attentats et ce que les enquêteurs ont pu relever sur les différents lieux incriminés (lire encadré), Me Gaston Vogel, l'avocat de l'un des deux prévenus, a, hier, en effet d'emblée demandé la parole.

«Le couvercle de plomb est en train de fondre», annonce l'avocat qui assure que son étude d'avocat réceptionne chaque jour de nouveaux éléments dans le cadre de ce dossier.

Mais l'information principale qu'avait à délivrer, hier, Me Vogel émane directement d'une lettre qui lui a été adressée de la part de Me Entringer, l'avocat du Prince Jean qui est également cité comme témoin dans cette affaire. Dans ce courrier, Me Entringer lui fait savoir que le Prince Jean ne peut pas avoir été impliqué dans l'attentat survenu le 7 mai 1985 au Schleiwenhaff. Et pour cause : le Prince Jean participait à cette date à une manœuvre militaire dans le cadre des opérations Oesling 1985 en compagnie des armées luxembourgeoise et américaines. Ce que Me Vogel qualifie de joli «lapsus freudien» de la part de son confrère et qui vient ainsi alimenter sa thèse reliant le réseau «Stay Behind» aux attentats.

Des forages observés dans un pylône à Itzig

L'avocat de la défense révèle également que le jour de l'attentat survenu à Itzig (le 28 mai 1985, le 6e), un paysan avait relevé la présence de forages dans le socle de l'un des pylônes électriques (pouvant avoir servi par la suite à y mettre des explosifs). Le paysan en question avait informé la police de ces forages suspects. Le commissaire de police qui a rédigé le procès-verbal a d'ailleurs confirmé ces faits dans le cadre de l'instruction judiciaire. «Pourquoi ce procès-verbal n'apparaît-il pas dans le dossier», s'insurge Me Vogel qui indique que le commissaire semblait, lui en tout cas, avoir pris cet indice très au sérieux. Me Lydie Lorang fait d'ailleurs savoir que ce commissaire «a fait des photos. Elle doivent encore exister».

«Cela (NDLR : les faits relatés) ne m'est pas inconnu», répliquait quelques minutes plus tard Carlo Klein qui, à la demande de la présidente de la chambre criminelle, s'est engagé à pouvoir livré aujourd'hui davantage d'informations sur ce volet de l'affaire.

Enfin, Me Vogel a également souhaité attirer l'attention sur l'explosion d'un chalet survenue à Boulaide dans la nuit du 23 au 24 février, soit à la veille du début du procès. «Je suis au courant de ce fait», a indiqué hier le procureur d'État adjoint, Georges Oswald. Une information judiciaire aurait d'ailleurs été ouverte et un expert aurait été nommé à la demande du procureur de Diekirch. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'explosion aurait toutefois été provoquée par des bouteilles de gaz suite à un court-circuit au niveau d'un réfrigérateur. «Cette information va se confirmer au cours de l'expertise», estime le procureur d'État adjoint.

La présidente de la chambre criminelle a toutefois insisté pour que le volet technique de cette expertise soit jointe au dossier du procès.

Un Bommeleeër a été vu

Le commissaire en chef de la police judiciaire, Carlo Klein, est revenu en détail, hier, sur les attentats d'Asselscheuer (5 juillet 1985), des casemates à Luxembourg (5 juillet 1985), de Gasperich (27 juillet 1985), du parking du Glacis à Luxembourg (28 août 1985) et de la piscine olympique au Kirchberg (30 septembre 1985).

L'attentat des casemates aura tout particulièrement retenu l'attention du tribunal. Les auteurs ayant été vraisemblablement aperçus sur le plateau du Saint-Esprit par des touristes belges. En particulier l'un des quatre hommes observés qui devait faire office de guetteur et dont des portraits-robots ont été réalisés par la suite. Le suspect avait des cheveux clairs et bouclés, était légèrement corpulent, mesurait entre 1 m 65 et 1 m 70 et portait des lunettes comprenant une monture métallique. Des portraits-robots qui n'ont jamais été transmis à la presse.

Source : http://www.lequotidien.lu/bommeleer/42697.html

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Nombre de messages : 47 Date d'inscription : 17/06/2008

Dans les années 80 il y avait bien 2 dépôts de l'otan au GDL, la NAMSA à Capellen et la WSA à Bettembourg.

Toute ressemblance avec Vielsalm n'est que pur hasard

Action commando au WSA: Nouveaux détails connus!

Au début des années 80, il y a eu une attaque-commando au WSA à ~~Bitbourg~~ Bettembourg, cela nous a été confirmé par des autorités compétentes!

Avec la nuance, qu'à l'époque, tout a été plus grave que ce qui était connu jusqu'à présent.
Une nuit, 2 hommes ont été surpris sur le terrain du WSA. Ils étaient en train de visser ou dévisser quelque-chose dans le hall 20 quand les gardes les ont arrêtés. Les 2 hommes ont été décrits comme très impressionnants: plus de 2m et terriblement musclés. Ils étaient habillés de noir des pieds à la tête, en ce compris des gants et des cagoules noires sur leurs crane rasé. Et ils n'étaient pas seulement terribles, mais aussi terriblement professionnels. Quand ils se sont faits pincer et ont été mis en échecs par un garde armé, ils n'ont plus dit un mot, restant juste là. Pendant ce temps, les gardes, les gendarmes et les policiers qui étaient appelés les uns après les autres, avaient très peur, ils craignaient une riposte des 2 individus. "Ils nous auraient tous neutralisés", a dit quelqu'un qui y était.

Mais les 2 - professionnels - ont suivi, ils se sont laissés déshabiller, ils se sont ensuite couchés, en caleçon, sur le sol, ont mis les menottes. L'un des 2 avait une sorte de talkie-walkie-morse au bras, qui bipait sans arrêt et l'autre avait une trousse avec du matériel de cambriolage fixée au bras. Une photo du WSA se trouvait à l'intérieur du talon creux de la chaussure de l'un des 2.

Peu à peu, une douzaine de forces de l'ordre luxembourgeoise se s'est retrouvée là.

Et tout à coup, les lumières se sont éteintes. Tout le WSA s'est retrouvé plongé dans l'obscurité et les policiers, gendarmes et gardes se sont préparés à être attaqués. Ils ont enlevé le cran de sécurité de leurs armes et se sont mis à couvert. L'atmosphère était terriblement tendue, extrêmement dangereuse, aussi parce que personne ne savait qui on avait attrapé. „Là, on a joué à la guerre“, nous a-t-on dit.

Bon, les lumières se sont rallumées après 1/4 d'heure et rien ne s'était passé.

Entretemps, il y avait eu tellement de tapage au niveau de la force publique, qu'il est toujours arrivé plus de renfort. Et tout n'a pas été sans problème. L'officier de gendarmerie, Marc Zovilé a foncé avec sa voiture dans la clôture anti-char du WSA, nous a-t-on dit. Ben Geiben de la Brigade mobile était aussi sur place. Un représentant de l'Armée est également arrivé. Et peu à peu, on en a appris davantage sur place. Les 2 hommes capturés étaient en possession de badges qui indiquaient qu'ils étaient tous les 2 sergents-chefs de l'armée américaine. Leur job aurait été de rentrer par effraction dans le WSA et d'y laisser un message signalant qu'ils avaient été là.

Tôt le lendemain, l'incident était terminé, les 2 hommes se sont vus remettre leur équipement, l'armée les a emmenés.

Au regard de la nuit tendue, le plus choquant pour les participants luxembourgeois, a été que l'incident a été camouflé. Il n'y a eu aucun débriefing, aucune réaction dans les rapports écrits et les 2 Américains ont disparu du fichier de la Gendarmerie.

Ca a été nettoyé. L'entraînement dangereux pour stay behind et pour le WSA, n'a officiellement jamais existé. Mais le parallèle avec Vielsalm en 1984 est frappant: sauf que là, il y a effectivement eu des coups de feu. Un autre parallèle: play the game? ont demandé les Bommeleeër dans leurs lettres, et finalement, ils ont écrit: you lost .

Au WSA, 2 Américains ont perdu lors de manoeuvres.
http://5minutes.rtl.lu/fr/actualite/luxembourg/408023.html

Nombre de messages : 630 Date d'inscription : 20/02/2013

Bonjour,

Très amusant, je suis actuellement au WSA qui se situe en fait dans la zone industrielle Riedgen à Dudelange. Je vais regarder à quoi servait/sert le bâtiment 20.
Il est vrai que c'est très lugubre surtout les nuits d'hiver..

Invité

Remarquez l'âge des personnes reprises par les portraits-robots ! Plus ou moins 19-23 ans ! Barbier et Lammers avaient quel âge lors du meurtre de la rue pastorale ? Un ancien militaire m'a une fois lancé: "Laissez-moi tranquille avec ces histoires de gosses !" Et il ne connaissait pas l'enquête !!!

Nombre de messages : 630 Date d'inscription : 20/02/2013

Donc ce batiment 20 est le bâtiment administratif : pas de matériel dedans

Invité

On ne cherchait pas à voler du matériel. Ils voulaient mettre une cassette dans un appareil d'enrégistrement des videos de surveillance, afin de démontrer qu'ils étaient arrivé à entrer.
"Play the game", "You lost" Cool

Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Mer 6 Mar 2013 - 18:24

Bommeleeër/cinquième jour: Le Prince Jean réapparaît

La défense fait savoir que le Prince Jean a participé aux manœuvres militaires baptisées Oesling 1985. C'est l'avocat de ce dernier qui en donne la preuve.

De notre journaliste
Olivier Landini

Dans une lettre visant à démontrer que le Prince Jean (le frère du Grand-Duc Henri) ne peut pas avoir été impliqué dans l'attentat du 7 mai 1985 au Schleiwenhaff, son avocat, Me Entringer, révèle que le Prince Jean participait à cette date à une manœuvre militaire dans le nord du pays.

Le procès des deux anciens membres de la brigade mobile de la gendarmerie, Marc Scheer et Joseph Wilmes, soupçonnés d'être les auteurs des 20 attentats à la bombe perpétrés sur le territoire luxembourgeois entre le 30 mai 1984 et le 25 mars 1986 est entré hier dans sa deuxième semaine.

Une cinquième audience marquée notamment par l'apport de nouvelles informations qu'est venue amener la défense en ouverture. Alors que le commissaire en chef de la police judiciaire (section crime organisé) Carlo Klein s'apprêtait à poursuivre son exposé sur le déroulement des attentats et ce que les enquêteurs ont pu relever sur les différents lieux incriminés (lire encadré), Me Gaston Vogel, l'avocat de l'un des deux prévenus, a, hier, en effet d'emblée demandé la parole.

«Le couvercle de plomb est en train de fondre», annonce l'avocat qui assure que son étude d'avocat réceptionne chaque jour de nouveaux éléments dans le cadre de ce dossier.

Mais l'information principale qu'avait à délivrer, hier, Me Vogel émane directement d'une lettre qui lui a été adressée de la part de Me Entringer, l'avocat du Prince Jean qui est également cité comme témoin dans cette affaire. Dans ce courrier, Me Entringer lui fait savoir que le Prince Jean ne peut pas avoir été impliqué dans l'attentat survenu le 7 mai 1985 au Schleiwenhaff. Et pour cause : le Prince Jean participait à cette date à une manœuvre militaire dans le cadre des opérations Oesling 1985 en compagnie des armées luxembourgeoise et américaines. Ce que Me Vogel qualifie de joli «lapsus freudien» de la part de son confrère et qui vient ainsi alimenter sa thèse reliant le réseau «Stay Behind» aux attentats.

Des forages observés dans un pylône à Itzig

L'avocat de la défense révèle également que le jour de l'attentat survenu à Itzig (le 28 mai 1985, le 6e), un paysan avait relevé la présence de forages dans le socle de l'un des pylônes électriques (pouvant avoir servi par la suite à y mettre des explosifs). Le paysan en question avait informé la police de ces forages suspects. Le commissaire de police qui a rédigé le procès-verbal a d'ailleurs confirmé ces faits dans le cadre de l'instruction judiciaire. «Pourquoi ce procès-verbal n'apparaît-il pas dans le dossier», s'insurge Me Vogel qui indique que le commissaire semblait, lui en tout cas, avoir pris cet indice très au sérieux. Me Lydie Lorang fait d'ailleurs savoir que ce commissaire «a fait des photos. Elle doivent encore exister».

«Cela (NDLR : les faits relatés) ne m'est pas inconnu», répliquait quelques minutes plus tard Carlo Klein qui, à la demande de la présidente de la chambre criminelle, s'est engagé à pouvoir livré aujourd'hui davantage d'informations sur ce volet de l'affaire.

Enfin, Me Vogel a également souhaité attirer l'attention sur l'explosion d'un chalet survenue à Boulaide dans la nuit du 23 au 24 février, soit à la veille du début du procès. «Je suis au courant de ce fait», a indiqué hier le procureur d'État adjoint, Georges Oswald. Une information judiciaire aurait d'ailleurs été ouverte et un expert aurait été nommé à la demande du procureur de Diekirch. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'explosion aurait toutefois été provoquée par des bouteilles de gaz suite à un court-circuit au niveau d'un réfrigérateur. «Cette information va se confirmer au cours de l'expertise», estime le procureur d'État adjoint.

La présidente de la chambre criminelle a toutefois insisté pour que le volet technique de cette expertise soit jointe au dossier du procès.

Un Bommeleeër a été vu

Le commissaire en chef de la police judiciaire, Carlo Klein, est revenu en détail, hier, sur les attentats d'Asselscheuer (5 juillet 1985), des casemates à Luxembourg (5 juillet 1985), de Gasperich (27 juillet 1985), du parking du Glacis à Luxembourg (28 août 1985) et de la piscine olympique au Kirchberg (30 septembre 1985).

L'attentat des casemates aura tout particulièrement retenu l'attention du tribunal. Les auteurs ayant été vraisemblablement aperçus sur le plateau du Saint-Esprit par des touristes belges. En particulier l'un des quatre hommes observés qui devait faire office de guetteur et dont des portraits-robots ont été réalisés par la suite. Le suspect avait des cheveux clairs et bouclés, était légèrement corpulent, mesurait entre 1 m 65 et 1 m 70 et portait des lunettes comprenant une monture métallique. Des portraits-robots qui n'ont jamais été transmis à la presse.

Source : http://www.lequotidien.lu/bommeleer/42697.html

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"Ne rien nier à priori, ne rien affirmer sans preuve."
( Dr. Robert RENDU)

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