Vague d'attentats au Luxembourg

mais titu

ce sont des amateurs , des enfants gâtés : ils ne savent même pas faire tomber une pylone correctement !

c'est plus éfficace de tirer une balle pour des éléphants avec une pointe en acier ds un transformateur ! Au moins là l'élèctricité sera coupé !

si ces gars devaient arrêter les Duponts , les GRU-grus et d'autres cocos, bonjour.

Pour ceux qui comprennent :

http://www.editions.lu/et-war-net-keen.html

Dans le contexte de l'affaire Bommeleeër, la théorie de "Stay Behind" connaît un revival inattendu. Propos d'un témoin

Dans les années 80, des soldats luxembourgeois se sont entraînés à faire, ce que les Bommeleeër ont fait - et la question se pose de savoir si les Bommeleeër avaient reçu une formation militaire. C'est ce qu'a dit un ancien sous-officier de l'Armée à nos reporters, Nico Graf et Marc Thoma. C'est la théorie stay behind, qui connaît un revival inattendu ...

Il est difficile aujourd'hui de se replonger dans le schéma de pensée de la Guerre froide. Il y avait par exemple cette supposition: les Russes sont beaucoup plus forts en Europe que l'OTAN, ils vont attaquer et marcher d'un coup jusqu'à l'Atlantique. Et si les Russes sont partout autour de nous, une résistance contre eux, doit être organisée - cette dernière a bien été préparée et elle a reçu le nom de „stay behind“, ceux qui sont derrière, donc derrière les Russes et qui y préparent la résistance contre l'ennemi rouge, qui l'organisent et mettent au point des réseaux de communication. Et qui font même du sabotage pour déranger les Russes présents.

Tout cela n'a pu se faire sans entraînement.

Mais comment? Mais ainsi: on a simplement considéré que les forces de l'ordre – Otan, Armée, Police, Gendarmerie, SREL – soit les forces de l'ordre réellement existantes, étaient les Russes. Et on s'est alors entraîné à des manoeuvres contre elles.

Retour sur les Bommeleeër
"Ce qu'ils ont fait, je l'ai souvent fait", nous a dit un homme qui souhaite rester anonyme. Il était sous-officier dans l'armée et s'est entraîné dans les années 80 - à poser des bombes. A l'Otan, à l'Armée, lors d'entraînement spéciaux de commando. D'abord une fois avec des Français et des Hollandais. Avec les Hollandais, on s'est exercé à déstabiliser les relations existantes avec des actions de sabotage, et cela fonctionnait le mieux avec des moyens terroristes. Dit-il. Avec une équipe de 10 personnes, on pénètre dans un territoire, on se cherche des alliés dans la population civile et on détruit alors ce que l'on avait prévu, ce qui signifie, des bombes sur des pylônes, des ponts, des tunnels, des antennes radio, des châteaux d'eau. Evidemment, pas des bombes réelles, on peut coller des points rouges sur les cibles. Et après les manoeuvres sont évaluées - et chaque point rouge qui se situe où il doit, signifie un bon point pour la résistance..

Le point fort de l'entraînement commando a été pour notre soldat, une action très complexe: lui et ses hommes ont été formés en Ecosse, ils sont partis pour Londres, ils portaient leur uniforme sous leurs vêtements. Et de Londres, ils se sont envolés pour Luxembourg, ils ont sauté en parachute d'une hauteur de seulement 200m, dans l'Oesling, et ont poursuivi leurs actions. Ils étaient en possession d'armes et d'explosifs, ils ont sauté de l'avion avec 70 kg d'équipement. En compagnie de "forces spéciales américaines et d'une A-team.Les Américains et les Anglais ont choisi les Luxembourgeois qu'ils pouvaient utiliser, au sein de la compagnie Delta au Härebierg.

Pour le dire clairement: notre informateur dit que des soldats luxembourgeois se sont entraînés sur le terrain luxembourgeois, à attaquer des objectifs militaires importants et à les détruire. Des objectifs pareils à ceux des Bommeleeër, soit des pylônes, la conduite de gaz de Hollerich, le bâtiment de la gendarmerie, le système de vol du Findel. Le parallèle est évident et la conclusion est que les Bommeleeër auraient été militairement formés et ils auraient attaqué militairement - donc des objectifs de l'Otan - pour des raisons militaires, donc relatives à l'Otan.

En tout cas, c'est à cette conclusion qu'arrivent aussi les 2 avocats qui assurent la défense des 2 gendarmes soupçonnés d'être les Bommeleeër.

Lydie Lorang retient comme meilleur exemple l'attentat au Findel. On pourrait se dire, pourquoi des gens de l'Otan aurait dû attaquer leur propre aéroport. Mais les Luxembourgeois étaient des cantoniers imprudents, et il s'agissait d'avoir plus de sécurité ...

Gaston Vogel le dit à sa manière quand il demande à qui profitait le crime?

stay behind – jusqu'à présent, on voyait cela comme des petits vieux qui avaient un radio-émetteur chez eux pour le cas où et qui partageaient des idées de résistance contre l'ennemi rouge. Maintenant - avec le témoignage du sous-officier, qui a parlé de son entraînement de Bommeleeër - maintenant, il faut admettre que "stay behind" avait un volet militaire sérieusement organisé.
http://5minutes.rtl.lu/fr/actualite/luxembourg/400511.html

Lundi le show commence

"Bommeleeër": 90 témoins et 3 experts du BKA convoqués

Parmi les témoins se retrouvent également 4 enquêteurs qui passeront en revue toute l'affaire. Il n'est pas encore clair si tous les témoins - dont quelques membres de la famille grand-ducale - apparaîtront. 19 rédactions luxembourgeoises ont été accréditées avec 59 journalistes, 5 photographes et 2 dessinateurs. Lors du procès Luxair, 19 rédactions nationales et 14 rédactions étrangères avaient été présentes.

A priori le procès se déroulera en langue luxembourgeoise.

Le procès sera transmis de la Cité judiciaire à partir de la grande salle de séance BC 1.38 mais les images ne seront pas archivées.

Cette salle offre 50 places pour le public et 22 pour des journalistes. S'y ajoutent les places dans la salle de retransmission. Le procès commencera lundi et la durée prévue est de 12 semaines, de lundi à jeudi de 15h00 à 18h00. Si ceci s'avérait trop peu, le procès sera prolongé.

Le procès qui se déroule devant la 9e Chambre criminelle sera présidé par la juge Sylvie Conter. Goerges Oswald est le procureur.

Prescription impossible

À partir de lundi le procès se déroulera donc contre les deux anciens membres de la brigade mobile de la gendarmerie. On les accuse d'une vingtaine d'attentats avec des explosifs, d'une tentative d'assassinat et d'une tentative de meurtre.

La prescription des actes dont Marc Scheer et Jos Wilmes sont accusés n'est pas possible parce que le travail sur les dossiers n'a jamais été interrompu. Il y a pourtant aussi une disjonction, c'est à dire qu'on enquête aussi à l'encontre d'autres personnes. Un témoin avait expliqué avoir vu 4 personnes suspectes dans la Pétrusse qui auraient placé la bombe dans les "Kasematten" (les couloirs souterrains de la capitale).
http://5minutes.rtl.lu/fr/actualite/luxembourg/399069.html

Merci Spielmann. Une nouvelle instruction est actuellemnt en cours dans le dossier "Bommeleeër". La partie est loin d'être jouée !

Vingt attentats et un pays traumatisé
2013-02-23 12:00:00

Le 9 novembre 1985, le seizième attentat détruit les installations de l'aéroport du Findel.

Ce lundi débute à Luxembourg un procès-fleuve, celui de l'affaire dite du Bommeleeër, ce ou ces poseurs de bombes qui ont tenu le Grand-Duché en haleine durant des mois, il y a presque trente ans. Retour sur une période agitée.

De notre directeur de la rédaction
Jean-Marie Martini

Le dimanche 25 novembre 2007, le procureur d'État de Luxembourg, Robert Biever, annonçait, lors d'une conférence de presse, l'arrestation et l'inculpation de deux hommes dans l'affaire dite du Bommeleeër, le poseur de bombes qui, entre 1984 et 1986, a commis pas moins de vingt attentats, tenant tout le pays en haleine.


Il s'agit de deux membres des unités spéciales de gendarmerie à l'époque des faits. Des années sombres qui ont marqué le Grand-Duché et ses habitants

L'affaire dite du Bommeleeër débute en janvier 1984. À l'époque pourtant, personne ne peut soupçonner que ce ou ces poseurs de bombes vont complètement bouleverser un pays jusque-là épargné par le terrorisme, s'il ne l'était pas par les hold-up et autres affaires criminelles.

Non, personne ne prête alors trop attention à un simple vol d'explosifs dans des carrières de gypse à Helmsange. Tout un chacun espère que les voleurs vont se servir de ces explosifs dans d'autres contrées que le havre de paix (!) qu'est le Grand-Duché. On pense alors notamment à la Belgique, aux prises avec ses CCC, les Cellules communistes combattantes, ou à l'Allemagne.

Mais ces vols vont se poursuivre durant plus d'un an! Avec des chiffres records pour des cambriolages commis entre le 15 et le 19 février 1985 à Senningerberg et à Brouch notamment : 374 kg d'explosifs, 100 mètres de cordon et pas moins de 465 détonateurs changent de propriétaire.

Dès fin mai et début juin 1984, quelques jours avant les élections législatives, des attentats visent les installations de la Cegedel à Beidweiler. Dès ce moment, les politiques ont la pression. On le comprendra plus tard, mais c'est là une répétition générale d'une vague autrement plus importante d'actes terroristes qui débuteront en avril 1985 pour se terminer un an plus tard, fin mars 1986. Les Luxembourgeois comprennent alors que ces explosifs peuvent aussi être employés pour des actes criminels au pays.

Une année passe. L'attentat qui vise un chalet de week-end à Bourscheid ne provoque pas un émoi particulier dans la population. C'est loin d'être le cas pour ceux qui suivent. Et notamment celui du 7 mai 1985 sur des pylônes de la Cegedel au Schleiwenhaff, faisant suite à un précédent, fin avril, au Staffelter. Là, les autoritéscommencent àmontrer leur inquiétude, ces attentats se produisant juste avant la venue au Grand-Duché du pape Jean-Paul II, prévue les 15 et 16 mai. Le gouvernement CSV-LSAP renforce les mesures de sécurité au fur et à mesure que l'évènement approche. «Pourvu qu'il n'arrive rien au pape lors de son séjour au Grand-Duché», répète le ministre socialiste de l'Énergie, Marcel Schlechter. Gendarmes, policiers et soldats surveillent les points stratégiques du pays, les ponts, les dépôts de munitions, les antennes de RTL, les barrages d'Esch-sur-Sûre et de Vianden, les installations de la Cegedel...



Une population

traumatisée

La population commençait à être traumatisée. Marc Fischbach, alors ministre de la Force publique, veut créer des «brigades civiles» et reconnaît que «les moyens réels manqueraient au pays si le terrorisme perdurait».

Le Grand-Duché apprend aussi que le poseur de bombes exige, dans une lettre envoyée à la Cegedel, le versement d'une rançon de 15 millions de LUF. Les tractations se font par l'intermédiaire de petites annonces parues dans le Wort («Cherche trèfle noir avec voilier») et dont leton sibyllin est remarqué par un membre de la rédaction du Républicain lorrain. La remise est prévue à Clervaux, alors que le pape est au Luxembourg et que toutes les forces de gendarmerie, de police et l'armée se trouvent dans le sud et le centre du pays à l'occasion de la visite papale. Finalement, la remise de rançon est avortée.

La trêve respectée par le Bommeleeër lors de cette visite s'achève le 27 mai par un nouvel attentat, contre les locaux de... la gendarmerie. Comme d'habitude, l'explosion se produit entre 23 h et minuit,bien souvent un jour de pleine ou de nouvelle lune.Les forces de l'ordre sont à nouveau sur les dents. La psychose s'empare du pays, l'inquiétude gagne la population qui s'interroge sur le lieu et la date du prochain attentat. C'est l'époque de multiples alertes à la bombe, qui sont sévèrement sanctionnées lorsque l'on retrouve les coupables. Et aussi le moment choisi par le procureur général d'État Camille Wampach pour proposer une récompense d'un million de LUF à qui permettra de faire avancer l'enquête.

Un peu plus tard, une seconde remise de rançon en plein centre-ville de Luxembourg (au parking du Théâtre) échoue, les poseurs de bombes ne bougeant pas après avoir constaté qu'une souricière était en place.

Le 22 juin au soir, alors que le feu d'artifice de la fête nationale vient de se terminer, un autre débute : cette fois, ce sont les installations de l'usine à gaz située à Hollerich qui sont concernées. Là encore, le bilan matériel est lourd. Et la Ville de Luxembourg propose une récompense de 2 millions de LUF pour tout renseignement permettant d'arrêter le coupable. Sans résultat.

L'escalade de la violence se poursuit avec les attentats dans les Casemates contre les P&T, et trois semaines après contre le Wort. Toujours sans faire de blessés.

La population se demande quand s'arrêtera cette violence. Marc Fischbach reconnaît que le pays n'est pas habitué à ce genre d'attentat et qu'il doit aussi faire face à une recrudescence de la criminalité. Il pense que les auteurs des attentats cherchent à créer une certaine psychose et mettre à mal le sentiment de sécurité qui a toujours existé au Grand-Duché.



Dix millions de LUF

de récompense

Le 28 août suivant, neuvième attentat. C'est le pavillon de la police à la Schueberfouer qui saute devant des centaines de personnes. Les réactions ne se font pas attendre du côté politique, avec l'annonce de la mise en place, à partir du 1er octobre 1985, d'un commandement unique gendarmerie-police pour mieux coordonner les efforts des enquêteurs.

Ironie de l'histoire, le 1er octobre, la piscine olympiqueest la proie du Bommeleeër. Sur le plan politique, les partis condamnent et demandent que tout soit mis en œuvre pour que cela cesse. La population en a assez, et surtout elle a du mal à comprendre l'absence de résultats malgré tous les moyens mis en œuvre. En effet, pas moins d'un millier de personnes ont été contrôlées, sans résultat. Même les amoureux arrêtés discrètement dans les sentiers ne sont plus tranquilles, importunés qu'ils sont par les contrôles.

L'émotion est grande après l'attentat au Findel. Le douzième en six mois, toujours sans auteur connu. L'opinion publique se réjouit de la décision du gouvernement luxembourgeois de renforcer les effectifs de la gendarmerie et de la police. Mais la colère monte dans l'armée, qui doit limiter l'instruction des recrues au profit des gardes et des patrouilles. Et les partis de l'opposition y vont de leurs attaques contre le gouvernement. Les libéraux dénoncent «l'incroyable laxisme» du ministre de la Justice, Robert Krieps, «l'étonnant silence» de Jean Spautz, le ministre de l'Intérieur, et «l'incompétence désormais établie» du ministre de la Force publique, Marc Fischbach, «manifestement dépassé par les évènements»!

Pourtant la série continue avec un treizième attentat contre un pylône de la Cegedel à Heisdorf et un quatorzième, nouveau défi lancé au gouvernement, lors du sommet des Douze au Kirchberg.

Et le 11 décembre, la prime offerte par l'État pour retrouver les coupables passe à 10 millions de LUF!

Les attentats se poursuivent jusqu'au 25 mars 1986, date du seizième et dernier attentat contre la maison du colonel Wagner, ancien commandant de la gendarmerie grand-ducale retraité frais émoulu. Le jour même, les forces de l'ordre étaient au courant de l'imminence d'un attentat. Une alerte à la bombe les envoie au théâtre municipal de Luxembourg où doit se jouer la première d'une pièce au titre prédestiné : Knuppefreed (Explosion de joie). On appréciera l'humour des «terroristes»! Pendant un long moment, les spectateurs ainsi que les usagers de l'autoroute du Kirchberg sont contrôlés par les forces de l'ordre. Des gendarmes sont aussi envoyés à Mondercange où des installations de la Cegedel seraient menacées. Et un peu plus tard, à quelques centaines de mètres du théâtre, c'est la propriété de l'ex-patron de la gendarmerie qui fait l'objet d'un feu d'artifice.


Source : http://www.lequotidien.lu/bommeleer/42504.html

Pour info:
"Je puis seulement vous parler d'un "possible" exercice Gladio dont je fus témoin au Luxembourg. Ce devait être fin août 1983 ou 1984 (je ne suis pas 100% certain de la date et de l'année exactes), alors que je travaillais tard aux champs, j'avais 15 ans à l'époque. Juste avant le crépuscule, 12 militaires parachutistes ont effectué un saut à basse altitude depuis un C-130, j'en ai rencontré quelques uns avant qu'ils ne se regroupent, ils portaient des BDUs américains; après leur regroupement ils ont été ramassés par plusieurs voitures et camionnettes civiles qui ont quitté l'endroit vers différentes directions. Le tout a pris place entre les villages de Nommern et Schrondweiler au Luxembourg. Comme je l'ai dit, il n'y a aucune preuve qu'il s'agisse bien d'un exercice Gladio mais plusieurs détails pourraient le suggérer.

Citation :

(...) I can only tell you about a "possible" Gladio exercise I witnessed in Luxembourg. It must have been in late august 1983 or 1984 (I'm not 100% sure about the exact date and year) when I was working late on a field, I was 15 years old that time. Just before sunset 12 military parachutists did a low level jump from a C-130, I met with a few of them before they regrouped, they were wearing US BDU's after regrouping they were picked up by several civilian cars and vans that left the scene in different directions. The whole took place inbetween the villages of Nommern and Schrondweiler in Luxembourg. As I said there is no proof that it was a Gladio Exercise but there are several details that might suggest so.

La suite, avec quelques échanges intéressants, est sur : http://www.militaryphotos.net/forums/archive/index.php/t-126591.html
Il est aussi question de Vielsalm.

Hmmm,

Un jeune fermier luxembourgeois de 15 ans qui n'est pas sûr de la date mais qui a identifié :

- un 12 militaire parachutistes
- le saut était à basse altitude
- l'avion était un C-130
- ils portaient des BDU américains

Un jeune fermier bien au fait du matériel militaire non ???

Vous avez parfaitement raison de vous interroger: cette déclaration d'un gamin devenu grand à déjà été mise à toutes les sauces. Il doit y avoir au Luxembourg belge et luxembourgeois quelques milliers de gamins travaillant aux champs qui ont vu des parachutages tant ses manoeuvres étaient courantes dans les années 80. On se rendait d'ailleurs au spectacle avec les écoles quand on était mis au courant...
"Fantasme Gladio "quand tu nous tiens ...

Pour information ...

et ils sont venus aidés !
car ils ont volés leurs armes tandis qu'ils prennent un bain ds la mer du nord .

29 ans après les faits : jour J pour le procès Bommeleeër
D’ici le 30 mai, douze semaines d’audience sont prévues pour juger deux anciens gendarmes soupçonnés d’avoir été impliqués dans la série d’attentats à la bombe qui a frappé le Luxembourg entre 1984 et 1986.


Près de vingt-neuf ans après les faits, deux anciens gendarmes soupçonnés d’être impliqués dans la série d’attentats à la bombe qui ont secoué le Luxembourg entre 1984 et 1986, vont se retrouver enfin devant les juges.
Nouveaux témoins

Est-ce que l’on en saura plus sur cette affaire criminelle de grande ampleur au bout du procès-fleuve qui s’ouvre cet après-midi à Luxembourg ? La chambre criminelle du tribunal d’arrondissement du Luxembourg, présidée par Sylvie Conter, sera amenée à apporter les éléments de réponse que tout un pays attend depuis des décennies.

Le parquet et la défense des deux prévenus, les anciens gendarmes Marc Scheer et Jos Wilmes, ont cité plus de quatre-vingt-dix témoins pour faire la lumière dans une affaire qui reste très opaque. Les récentes révélations sur l’existence de nouveaux témoins, qui ont fait leur apparition à quelques jours du procès, ne vont certainement pas faciliter la tâche du procureur d’État adjoint, Georges Oswald, et des trois juges qui composent la chambre criminelle.

Au vu des développements de la semaine dernière et de la demande formulée par l’avocat de Marc Scheer, Me Gaston Vogel, de reporter le début du procès, des rebondissements ne sont pas à exclure dès ce premier jour d’audience.

Quoi qu’il en soit, le procès sera l’occasion de se replonger dans la période agitée qu’a connue le Luxembourg, entre 1984 et 1986, au cours de laquelle pas moins de vingt attentats à la bombe sont venus traumatiser tout un pays.
Bras de fer

Après une très longue enquête, deux anciens membres de la brigade mobile de la gendarmerie se retrouvent au jourd’hui devant les juges.

Marc Scheer et Jos Wilmes nient, depuis leur inculpation en 2007, avoir été impliqués dans la série d’attentats perpétrés par le ou les poseurs de bombes. Le parquet estime cependant que les éléments contenus dans le dossier sont suffisants pour rapprocher les deux prévenus du cercle dit du Bommeleeër (le poseur de bombes).
Incidents d’audience

Le bras de fer qui va opposer le procureur d’État adjoint aux avocats de la défense devrait être très musclé. Me Gaston Vogel et Me Lydie Lorang ont, en effet, déjà annoncé, à plusieurs reprises, vouloir recourir à tous les moyens à leur disposition pour provoquer des incidents d’audience. Car selon eux, les vrais coupables dans cette affaire ne sont pas assis sur le banc des prévenus.

Au moment du prononcé, qui n’aura certainement pas lieu avant l’automne, on saura si cette tactique aura été payante. Mais peu importe la stratégie de défense employée : les deux avocats sont conscients que leurs clients risquent gros en cas de condamnation.
David MARQUES. (Le Quotidien)

Source : http://www.republicain-lorrain.fr/actualite/2013/02/25/29-ans-apres-les-faits-jour-j-pour-le-proces-bommeleeer

ca y est

en direct sur twitter : #Bommeleëer

Affaire Bommeleëer: du monde au portillon du tribunal



Le début du procès est fixé ce lundi 25 février à 15 heures. Jusqu'au 30 mai, le procès de l'affaire Bommeleëer - déjà présenté comme "le procès du siècle" au Luxembourg - se déroulera toutes les semaines, du lundi au jeudi inclus à la même heure.

Du monde, à savoir des journalistes mais aussi de nombreuses personnes intéressées ou de simples curieux, était attendu à la Cité judiciaire pour l'ouverture de ce procès hors normes, lundi après-midi. Et effectivement une file d'attente s'est formée dès le début d'après-midi devant le tribunal d'arrondissement de Luxembourg.

Un intérêt du grand public qui a été pris en compte par le Parquet qui planche sur les questions d'organisation et de logistique, liées au procès, depuis plus d'une demi année.

Le procès est public mais il est évidemment impossible de réserver sa place dans un tribunal. Seules 50 places sont disponibles dans la salle TL 1.10 où comparaîtront les deux anciens membres de la brigade mobile de gendarmerie, Marc Scheer et Jos Wilmes, les deux seuls prévenus dans cette vaste affaire d'Etat.

En revanche, 70 personnes pourront aussi suivre le procès en direct dans une salle voisine du "bâtiment commun" (salle BS 1.38, au 1er étage) où est retransmis le procès sur un écran.
http://www.wort.lu/fr/view/affaire-bommeleeer-du-monde-au-portillon-du-tribunal-512b6cf8e4b0367ed8ec37bf#.USttbgncb1c.twitter

courage , aux journalistes et spectateurs de cette bataille des gladiateurs !

pourvu que cela ne se finit pas en simulacre du bataille de Waterloo, comme à braine l'alleud
chaque année .

http://www.lemonde.fr/europe/article/2013/02/25/luxembourg-le-proces-des-mysterieux-attentats-trente-ans-apres_1838384_3214.html


Luxembourg : le procès des mystérieux attentats, trente ans après


LE MONDE | 25.02.2013 à 12h45 • Mis à jour le 25.02.2013 à 12h45 Par Jean-Pierre Stroobants - Bruxelles, correspondant


Le petit grand-duché luxembourgeois a, dans la quasi-indifférence de ses voisins, connu, lui aussi, ses "années de plomb" : entre 1985 et 1986, une vingtaine de bombes y ont explosé. Qui étaient les auteurs de ces mystérieux attentats contre des infrastructures et des bâtiments publics qui ont blessé cinq personnes ? Quels buts poursuivaient-ils ? C'est ce que la 9e chambre criminelle du tribunal de Luxembourg va tenter d'élucider au cours d'un procès qui devait commencer lundi 25 février et durer trois mois au moins.

Deux gendarmes sont sur le banc des prévenus. Marc Scheer, 55 ans, et Jos Wilmes, 52 ans, membres de la brigade mobile, une unité d'élite très restreinte. Leurs défenseurs les présentent comme des boucs émissaires et tenteront de démontrer qu'au cours de l'interminable enquête qui a précédé le procès, des pistes sans doute plus probantes ont été négligées.

Le premier ministre, Jean-Claude Juncker, son prédécesseur, Jacques Santer, ancien président de la Commission européenne, et le prince Jean de Nassau, frère de l'actuel chef de l'Etat, le grand-duc Henri, seront les plus connus de la centaine de témoins convoqués pour tenter d'éclaircir l'énigme du "Bommeleeër" - "poseur de bombe", en luxembourgeois.

Si Jean de Nassau a été invité à témoigner c'est parce que, en 2005, un témoin anonyme disant ne vouloir communiquer qu'avec le premier ministre désigna le prince comme le "cerveau" des attentats... Une autre péripétie étonnante d'une affaire aux allures de traumatisme national. Le Bommeleeër a échappé à toutes les forces policières, nationales et internationales (le FBI, le BKA allemand), qui ont tenté de le démasquer depuis le 27 avril 1985, le jour où deux lignes à haute tension ont été détruites près de Luxembourg.

"STRATÉGIE DE TENSION"

C'était un mois avant une visite de Jean Paul II au Grand-Duché, à un moment où d'autres pays européens vivaient la "stratégie de la tension" : un climat de violence politique impliquant extrême droite et extrême gauche, censé faire émerger des pouvoirs autoritaires, en Italie et ailleurs. Dans la Belgique voisine, les "tueurs du Brabant" menaient des raids sanglants contre des supermarchés - vingt-huit morts au total, jamais élucidées -, des vols d'armes étaient commis dans des casernes et un mouvement d'extrême gauche, les Cellules communistes combattantes (CCC), prenait pour cibles les milieux patronaux et l'OTAN.

Le Luxembourg a-t-il été, lui aussi, l'objet d'une tentative continentale de déstabilisation, essentiellement destinée à forcer certains pays réputés "faibles" à se doter d'un appareil sécuritaire plus performant, susceptible de résister à la "menace communiste" ? C'est la thèse que tentera d'imposer la défense des prévenus. "L'affaire du Bommeleeër a été l'oeuvre d'un réseau stay-behind financé par les Etats-Unis", a expliqué Me Lydie Lorang, avocate de Jos Wilmes, au quotidien belge De Morgen.

Les cellules stay-behind, réseaux clandestins, avaient été créées en Europe par les services américains après la seconde guerre mondiale pour contrer une éventuelle occupation soviétique. Le plus célèbre fut le réseau Gladio, auquel furent rattachés divers scandales en Italie. "Chacun sait que c'est la CIA qui devrait être sur le banc des prévenus à Luxembourg", estime Me Lorang.

ENTRETIEN ENREGISTRÉ

Le procès permettra peut-être d'éclaircir le rôle éventuel des gendarmes Scheer et Wilmes dans l'exécution des attentats. Il n'est pas sûr qu'y soit évoqué celui de hauts gradés de la gendarmerie, que la défense accuse d'avoir systématiquement saboté les enquêtes. Or, souligne-t-elle, seuls des membres de l'appareil d'Etat au plus haut niveau pouvaient détenir certaines informations, comme par exemple le fait qu'un juge d'instruction venait d'être désigné pour assumer provisoirement la charge de l'enquête : peu de temps après, une bombe explosait sous ses fenêtres. Un rapport du FBI concluant à des actions menées selon des méthodes paramilitaires aurait été étouffé.

A la faveur de ce procès, le très tranquille Luxembourg s'interroge sur le fonctionnement de divers services officiels. Les députés poursuivent, de leur côté, leurs auditions sur le fonctionnement de la sûreté nationale. Ils aimeraient savoir pourquoi l'ex-directeur de cette instance a enregistré, à l'insu de l'intéressé, un entretien avec M. Juncker en 2008. Et, peut-être, ce dont le premier ministre a, un jour, débattu exactement avec le chef de l'Etat à propos de l'affaire du Bommeleeër : dans cet entretien, encore crypté, seraient évoqués les liens entre le grand-duc Henri et les services secrets britanniques. Un mystère de plus à élucider...

les photos de l'entrée des artistes

http://www.tageblatt.lu/nachrichten/luxemburg/story/Vogel---Non-foutisme--der-Ermittler-19608053

Aaahh Lucien Dislaire cité comme témoin, cela va sauver le procès !!!!

Il peut être intéressant dans ce contexte de lire ou relire le bouquin de Martin Allen, 'Hidden Agenda' (publié en français chez Plon sous le titre 'Le Roi qui a trahi' - ISBN original 0 333 90181 9 Mac Millan Pubilshers Ltd, Londres, ISBN Plon 2-259-19300-5)
A ce sujet, on peut lire dans les archives en ligne du magazine français 'L'Express' :

Citation :

Les Windsor côté cuisine

Par Rabaudy Martine de, publié le 29/06/2000
Deux auteurs montrent la vraie nature de la famille royale d'Angleterre

(...)
La légende perpétuée par les magazines people et soutenue par le secret défense dynastique peignit Edouard en dernier romantique renonçant, pour l'amour d'une femme, au pouvoir. Le récit de Martin Allen, fondé sur d'incontestables documents retrouvés dans les papiers de son père, l'historien Peter Allen, certifie que l'abdication d'Edouard VIII masquait une seconde raison, d'Etat celle-là. Le roi d'Angleterre avait choisi son camp: en cas de guerre, il envisageait de rallier son pays à la puissance germanique, vers qui allaient ses affinités et les origines de sa famille. George V, son père, apparenté au kaiser Guillaume II, avait en revanche, à la fin de la Première Guerre mondiale, abandonné son nom allemand de Saxe-Cobourg- Gotha pour celui, plus britannique, de Windsor. Par terreur du bolchevisme, son héritier Edouard se rapproche du régime nazi. Peu avant de disparaître, George V, très inquiet, confie au Premier ministre Baldwin: "Après ma mort, il ne faudra pas un an à ce garçon pour se perdre..." Funeste pressentiment. L'union d'Edouard avec Wallis Simpson renforce son indigne choix historique. L'Américaine n'a jamais dissimulé, et toute sa vie durant, une inoxydable admiration pour Hitler. En faisant la connaissance, au moment de son abdication, de Charles Bedeaux, douteux milliardaire franco-américain, le duc de Windsor rencontre son mauvais génie. Il devient un homme sous double influence: celle de Wallis et celle de Bedeaux. Alors qu'il fait partie de la mission britannique qui inspecte les fronts en France, il communique des informations à Bedeaux, qui sait en faire bon usage auprès de ses amis allemands. La défaite française des Ardennes serait due à cette trahison.
(...)

http://www.lexpress.fr/informations/les-windsor-cote-cuisine_638809.html

..."organisation P-26" ou "P26", cela fait aussi penser à la "P-2"...

Citation :

Dans une Europe continentale en proie à la menace communiste, le MI-6 s'activait pour établir des réseaux dormants. A l'hiver 1948-1949, son chef, Stewart Menzies, convint avec le Premier ministre belge Paul-Henri Spaak de poursuivre la « coopération (...) entre les services spéciaux (...) sur base de ces traditions qui datent de la Première Guerre mondiale »[15], ou à tout le moins depuis le 11 mai 1942[16]. Bien que l'agent bruxellois de l'Office of Policy Coordination fut invité à rejoindre le Tripartite Meeting Belgium Brussels, il se retrouva dans la même position que son homologue de l'Office of Strategic Services naguère, à faire figure de bénéficiaire secondaire privilégié. De même, cette coopération fonctionna sur le même mode d'exclusivité que pendant la Seconde Guerre mondiale[17], et le Luxembourg fut totalement absorbé par le couple britannico-belge[18].
(...)
Le 5 février 1957[20], le chef du 2e Bureau de l'armée luxembourgeoise - qui faisait encore fonction de service spécial militaire - demanda au chef d'état-major de mettre à sa disposition « un officier spécialisé en la matière et qui serait envoyé dès à présent à la sous-commission créée par le CP et composée des représentants de chaque pays intéressé ». Ainsi le Grand-Duché se mettait-il dans les conditions de rejoindre, comme l'avaient fait avant lui ses partenaires du Benelux, l'Allied Coordination Committee (ACC), constitué le 30 avril 1958 à partir des deux groupes de travail du CPC. Il s'agissait d'un « comité régional réunissant six puissances dont le but est de fournir une consultation mutuelle et de développer des avis de politique en matière d'intérêts communs concernant le Stay Behind dans les pays concernés d'Europe occidentale. (...)
[17] Ainsi, le Stay Behind suisse n'entretenait aucune relation avec les structures de l'OTAN, mais bien, à compter de 1967, avec le MI-6 [Rapport sur la nature des liens éventuels entre l'organisation P-26 et des organisations analogues à l'étranger, 30 octobre 1991, président de la Confédération Cotti et Chancelier de la Confédération Couchepin, n° ad 90.022 (1991-775), p. 20].
[18] Cf. Georges Heisbourg, Le gouvernement luxembourgeois en exil, 4 (Luxembourg, Saint-Paul, 1991), pp. 89-163 et Géry Meyers, La Résistance luxembourgeoise et le renseignement de 1940 à 1944, maîtrise, histoire, Université de Paris IV, 1999, pp. 87-101.
[20] Le Stay Behind luxembourgeois s'inscrivait dans les mêmes limites chronologiques que le réseau helvétique, dont les réflexions liminaires s'échelonnaient entre le 3 décembre 1956 et le 17 octobre 1957. Le service P-26 ne fut fondé qu'une décennie plus tard [Evénements survenus au DMF, op. cit., pp. 180-183

http://www.cf2r.org/fr/notes-historiques/retour-sur-les-reseaux-stay-behind-en-europe-le-cas-de-lorganisation-luxembourge.php#_ftn17

@Et In Arcadia Ego

Edouard VIII ... Cela fait-il penser à un autre couple royal qui a remercié Hitler pour le bouquet de fleurs reçu à l'occasion de son mariage ?

@Hervé:
Je ne connaissais pas cet épisode mais cela peut en effet faire penser à la question royale...

Il y a de nombreux livres sur Léopold III et la princesse de Réthy, notamment celui de Jacques Offergeld (voir le schéma de Latinus ainsi que http://tractotheque.blogspot.be/2010/09/schaerbeek-1976-liste-union-des-belges.html).

Selon les meilleurs historiens, il serait trop rapide de dire que Léopold III était nazi mais il était certainement pour un pouvoir fort.

Il était proche de Lyman Lemnitzer quand ce dernier était en Belgique.

Il a eu Guy Weber comme aide de camp (officieusement avant de l'être officiellement). Il avait aussi de bons contacts avec Yves Dumonceau de Bergendal.

Le général Close était également très proche d'Argenteuil.

On peut aussi relever les liens entre la famille royale et Armand De Decker (il suffit de voir les tracts électoraux de ce dernier).

Alexandre de Belgique a par ailleurs déclaré qu'il avait été engagé par Mercedes grâce aux relations entre sa famille et les actionnaires (le nazi Friedrich Flick ?)

Quant au prince Albert, il faut relever au moins deux témoignages sur sa proximité avec le financier du WNP, Faez el Ajjaz (proche de Calmette).

RAPPEL DE LA CHARTE D'UTILISATION DU FORUM (Michel Leurkin) :
« Cette règle de base ainsi rappelée, je vous précise que les messages qui revêtent un caractère inutile dans le sens où ILS SONT HORS SUJET OU REVÊTENT UN CARACTÈRE PUREMENT PRIVE FONT AUSSI L'OBJET D'UNE SUPPRESSION

»Le but étant, vous l'aurez sans doute saisi vous-même : d'une part de libérer de l'espace pour les débats eux-mêmes et d'autre part de faciliter la lisibilité du forum et permettre aux nouveaux membres inscrits, ou même aux lecteurs extérieurs, de se situer sur cet espace de discussion. «

Michel,
Pourriez vous inviter certains déjantés à respecter le fil de discussion comme prévu dans la charte ? Tout le monde à compris que le volonté de ces intervenants est de détruire la réflexion et la concentration sur un thème

Il s’est passé un évènement important et très attendu sur l’affaire du Bommeleeër ce lundi 25 février : le début du procès des deux gendarmes inculpés de tentative d’assassinat , de meurtre et de sabotage. Que viennent faire les rapports anarchisants placés en catastrophe sur Georges 5 ,Wallis Simpson, Léopold 3 et sa famille dans l’ouverture du procès Bommeleeër ?
Que viennent faire toutes ces imbécillités balancées sur le forum ?

Le choc a 15 heures est que Lucien Dislaire apparaît comme témoin

Cela vous dérange ?
Je vous signale que je n’ai rien demandé.
Comme je n’avais rien demandé à Marlair, il y a 6 ans, quand sur invitation de René Haquin agonisant il est venu m’implorer et m’emmerder
Comme je n’ai rien demandé à Michel Leurquin qui m’a invité sur ce forum
Et aussi comme j’ai répondu positivement à l’invitation de Marlair (qui se voulait bien sûr ironique) de publier « mon livre ».
Autant d’invitations auxquelles j’ai donné suite, mettant mes détracteurs KO

Autant j’ai donné suite à l’invitation de témoigner hier à la Cour de Justice Luxembourgeoise
Ce n’est pas si facile mais apporte effectivement une reconnaissance de crédibilité et de bonne foi pour un homme, fût-il (ou justement parce qu’il fût) un homme de l’ombre

Ce n’est pas si facile, étant le seul témoin étranger dans un procès en langue luxembourgeoise de se trouver à la barre avec des personnages de premier plan :Jean Claude Juncker, Jacques Santer et un vrai bon Prince à mes côtés qui m’aida dans la compréhension de l’organisation et des débats.

Je ne reprocherais jamais à quelqu'un de dire toute la vérité et rien que la vérité devant un tribunal. Je n'ai par ailleurs nulle envie de polémiquer.

Vous pourriez cependant lire l'article suivant ... qui n'est pas tiré d'un journal "gauchisant" :

http://www.lefigaro.fr/international/2012/11/30/01003-20121130ARTFIG00640-le-duche-du-luxembourg-mine-par-l-espionnage.php

Quant aux liens de parenté entre les familles dont on parle, ils sont bien connus ...

Pas besoin d'en remettre une couche et de m'inviter à quoi que ce soit:je connais cela mieux que vous et peut en débattre sans faire du "copier coller "abrutissant .

Celui qui veut suivre l'affaire Bommeleeër sait aussi bien se renseigner directement sur le net POUR CE QUI EST INTÉRESSANT. Comme l'article dont vous faites référence et qui n'est pas si surprenant. Des pareils et des autres je peux polluer aussi le forum et lui faire perdre son essence en en publiant une fournée dix fois par jour
Pour ce qui est de vos autres "copier coller" suspectant entre autre Leopold 3 de nazis vous retombez bien sûr dans vos fantasmes engagés visant entre autre à noyer les messages vous contrariant dans un flot de messages inutiles mais qui vous dégage le portail, ou il n'est pas rare de vous voir patauger seul.
JE CONFIRME MON RAPPEL A L'ADMINISTRATEUR DE FAIRE RESPECTER LA CHARTE DU FORUM
C'EST UNE QUESTION DE SALUBRITÉ INTELLECTUELLE

Je n'ai pas suspecté Léopold III d'avoir été un "nazi" ... mais un partisan d'un "pouvoir fort".

Il suffit de se renseigner sur ses relations avec les parlementaires et avec les ministres à Londres ... le seul qui semble avoir trouvé grâce à ses yeux étant Albert De Vleeschauwer (1897- 1971 ; "Ik alleen !")

Si vous regardez le schéma suivant, vous verrez que je ne suis pas le seul à penser à Argenteuil (au-dessus à gauche).

http://fr.scribd.com/doc/79498401/SCHEMA-573-11-1995-1996

Quant aux liens entre Argenteuil et des personnes comme Guy Weber, le général Close, Yves Dumonceau de Bergendal, Armand De Decker, ... cela est bien connu ...