vol d'armes dans la caserne de Vielsalm : Oesling84

Monsieur Dislaire,

Je comprends votre souhait d'aller jusqu'au bout mais est-il nécessaire d'aller si loin dans les diatribes contre JC Marlair? On a compris que vous ne prendrez pas vos vacances ensemble.

Et si nous revenions au dossier de Vielsalm? Parce que la question que l'on se pose est : où en est le dossier?

Enterré six pieds sous terre?

michel a écrit:

Et si nous revenions au dossier de Vielsalm? Parce que la question que l'on se pose est : où en est le dossier?

Effectivement, car depuis que ce sujet a dégénéré en foire d'empoigne on ne progresse que dans le score des coups assenés alors que cette histoire est particulièrement digne d'attention.

Et si les "dérapages" de l'attaque de la caserne de Ratz dont le commandant Marlair fut le responsable de la sécurité au moment des faits en 1984 avaient été le fruit d'un "dérapage" ou d'un signal de la part d'éléments certains de leur protection, éléments radicaux de l'armée belge qui auraient voulu poser gravement l'attention sur le laisser-aller - supposé ? ou réel ? - de la sécurité en Belgique (cf le vol des telex NATO par WNP), une question à laquelle je n'ai pas lu de réponse. En existe-t-il une ?

Comment et pourquoi un adjudant de garde fut abattu ? Il semble évident - mais je peux me tromper - que si une manoeuvre d'attaque (exercice NATO tt de même) fut prévue sur une caserne belge, les défendants eurent été prévenus. Si c'est le cas, ce qui me semble dans l'ordre des choses, pourquoi l'un d'entre eux aurait-il été abattu? Pour faire le poids ? On parle en priorité d'un excès dans la manoeuvre des assaillants mais que fut la réaction de l'adjudant Fresche lorsqu'il se rendit compte que des étrangers pénétraient sa caserne ? A-t-il dégainé ? A-t-il ouvert le feu ? N'a-t-il pas pris cela trop au sérieux ? Sans vouloir poser la responsabilité sur l'adjudant seul, je pense qu'il faut oser les questions, seraient-elles embarrassantes.

@ Jean Marchenoir:

Je vais poser la question à Carl Fresches. Si vous, ou un autre membre du forum, avez d'autres questions à lui adresser, n'hésitez pas.

"Protestation contre un laxisme en matière de sécurité" voilà le terme utilisé par le procureur général R. Biewer pour les motifs des Bommeleeer au Luxembourg ET de la Commission STBH pour l'attaque sur la caserne de Vielsalm, qu'ils mettent en relation avec le vol d'armes à l'ESI etc...

Mais ces phénomènes se sont reproduits ailleurs ? Manoeuvre Waterland 1989 ? Les memes groupes ? Vous pouvez préciser ?

titu a écrit:

... que le PR avait dit entre autre: "..... qu'ils mettent en relation avec le vol d'armes à l'ESI etc..."

Des personnes qui s'expriment au sujet de faits qu'ils ne connaissent pas et cela devient du "grand n'importe quoi" !
Je ne parle pas de vous Titu, vous l'avez compris.

titu a écrit:

@ Jean Marchenoir:

Je vais poser la question à Carl Fresches. Si vous, ou un autre membre du forum, avez d'autres questions à lui adresser, n'hésitez pas.

"Protestation contre un laxisme en matière de sécurité" voilà le terme utilisé par le procureur général R. Biewer pour les motifs des Bommeleeer au Luxembourg ET de la Commission STBH pour l'attaque sur la caserne de Vielsalm, qu'ils mettent en relation avec le vol d'armes à l'ESI etc...

Mais ces phénomènes se sont reproduits ailleurs ? Manoeuvre Waterland 1989 ? Les memes groupes ? Vous pouvez préciser ?

Avant d'éventuellement poser des questions à monsieur Fresches, j'aimerais lire ses déclaration, dans l'hypothèse où il en fit ?

Au sujet de Oesling 89 qui fut de l'ordre de la débandade (au sens propre) dans les rangs belges, je prépare un article qui sera transmis à qq'un qui le publiera bientôt.

michel a écrit:

Monsieur Dislaire,

Je comprends votre souhait d'aller jusqu'au bout mais est-il nécessaire d'aller si loin dans les diatribes contre JC Marlair? On a compris que vous ne prendrez pas vos vacances ensemble.

Et si nous revenions au dossier de Vielsalm? Parce que la question que l'on se pose est : où en est le dossier?
Enterré six pieds sous terre?

Pour moi l'affaire n'est pas enterrée. Je crois m'en être expliqué.
Vous avez déja les principaux éléments avec les accusations du commandant contre ses officiers supérieurs. J'ai placé sur le forum d'autres éléments ceux la indiscutables mais qui sont quand même discutés....
Pour la suite, puis-je vous demander ainsi qu'aux membres du forum d'attendre une dizaine de jours et de prendre lecture du bouquin de Marlair? Vous aurez alors toutes les informations et la relation des événements de Vielsalm. « Authentifiés par un expert de première". Et vous lui ferez plaisir.

Oesling89. Des débordements ont eu lieu. Des soldats qui ont été fait prisonnier dans le context de la manoeuvre fûrent gravement maltraités. Pourquoi a-t-on continué ces exercices, malgré les événements de 84, 85 et des années suivantes ?

Voici comment Carl Fresches a vécu l'attaque. Lors de sa ronde il lui incombait de contrôler l'atelier d'armes tandis que son collègue devait contrôler le stock de vêtements. Lorsqu'il s'approchait des bâtiments, il entendait un bruit qui ne l'allertait pas directement. Il pensait que son ami l'armurier était encore en train de ranger des armes. Lorsqu'il finissait l'inspection d'un bâtiment et sortait de celui-ci, il entendait de nouveau un bruit, qui le faisait instinctivement sortir son révolver. Au moment même où il s'abritait à le faire, il fût abattu. Il lui est impossible de dire aujourd'hui, si l'attaquant tirait dès sa sortie du bâtiment où si c'était le geste de tirer son arme qui aurait été perçu comme menace. Cela se passait dans une fraction de seconde.
Il n'avait aucune chance, de plus que son révolver n'était pas chargé. Le chargeur se trouvait fixer à la ceinture. Il aurait d'abord dû charger le révolver pour pouvoir répliquer. Aucune chance !
Il voit le feu de tir de l'arme et est jetté par terre. Impossible de dire à quelle distance se trouvait l'attaquant. Après la première rafale, il ne bouge plus, il joue le mort.
Carl Fresches est formel, l'attaquant ne s'enfui pas, il a l'impression qu'il s'approche, et tire sur lui, cette fois-ci a très courte distance.
De plus, il tient à souligné qu'il n'a jamais participé à une quelconque reconstitution et il ne s'est jamais éparpillé dans ses témoignages envers les enquêteurs quant à l'itinéraire de sa ronde. Ses infos auraient d'ailleurs été confirmés par son collègue avec lequel il avait garde.

dislairelucien a écrit:

Pour la suite, puis-je vous demander ainsi qu'aux membres du forum d'attendre une dizaine de jours et de prendre lecture du bouquin de Marlair? Vous aurez alors toutes les informations et la relation des événements de Vielsalm. « Authentifiés par un expert de première". Et vous lui ferez plaisir.

Monsieur Dislaire, serait-il possible de poster un message sans faire référence à Monsieur Marlair? Quant à son livre, je crois savoir qu'il s'agit d'un simple roman.

titu a écrit:

Voici comment Carl Fresches a vécu l'attaque. Lors de sa ronde il lui incombait de contrôler l'atelier d'armes tandis que son collègue devait contrôler le stock de vêtements. Lorsqu'il s'approchait des bâtiments, il entendait un bruit qui ne l'allertait pas directement. Il pensait que son ami l'armurier était encore en train de ranger des armes. Lorsqu'il finissait l'inspection d'un bâtiment et sortait de celui-ci, il entendait de nouveau un bruit, qui le faisait instinctivement sortir son révolver. Au moment même où il s'abritait à le faire, il fût abattu. Il lui est impossible de dire aujourd'hui, si l'attaquant tirait dès sa sortie du bâtiment où si c'était le geste de tirer son arme qui aurait été perçu comme menace. Cela se passait dans une fraction de seconde.
Il n'avait aucune chance, de plus que son révolver n'était pas chargé. Le chargeur se trouvait fixer à la ceinture. Il aurait d'abord dû charger le révolver pour pouvoir répliquer. Aucune chance !
Il voit le feu de tir de l'arme et est jetté par terre. Impossible de dire à quelle distance se trouvait l'attaquant. Après la première rafale, il ne bouge plus, il joue le mort.
Carl Fresches est formel, l'attaquant ne s'enfui pas, il a l'impression qu'il s'approche, et tire sur lui, cette fois-ci a très courte distance.
De plus, il tient à souligné qu'il n'a jamais participé à une quelconque reconstitution et il ne s'est jamais éparpillé dans ses témoignages envers les enquêteurs quant à l'itinéraire de sa ronde. Ses infos auraient d'ailleurs été confirmés par son collègue avec lequel il avait garde.

Monsieur Fresches s'intéresse-t-il encore au dossier ou est-ce pour lui une affaire classée?

À vrai dire Michel, il est malheureusement las de cette affaire ! Et je peux le comprendre. Le dernier coup qu'on lui a fait, c'était monsieur Dislaire même, qui lui disait de le contacter, une fois souffrant, et qu'il serait alors prêt à lui révéler l'identité de l'attaquant. Une blague macabre ? Où la vérité ? Monsieur Dislaire ?

Lassitude de Carl Fresches

Il est vrai que le coup de fil auquel Titu fait référence a de quoi surprendre. Mais monsieur Fresches possède une solide dose de bon sens propre aux hommes des Cantons de l'Est. Ce sont des gens qui ont les pieds sur terre.

Lorsqu'il me rapporta cet échange téléphonique, voici au mot près ce qu'il en pensait:
" Me dire le nom du tireur quand je serai au bord du trou ? Vous savez, mon Cdt, cela me fait rigoler au fond. Parce que je ne vois pas ce qu'il espère. D'abord, je ne suis pas pressé de passer de l'autre côté. Et puis, ( rigolard ) qui dit qu'il ne cassera pas sa pipe avant moi ?! "

Belle leçon de philosophie pour un homme qu'on a laissé pour mort et qui, malgré le temps qui passe hors la vérité, continue à vivre pour le bonheur de ceux qui lui sont proches, sans chercher noise à personne !
Titu a dû se rendre compte de la parfaite honnêteté de cet homme qui N'a JAMAIS rien eu à cacher et N'a JAMAIS dit que ce qu'il avait vécu ! En toute simplicité. C'est tout.

Cordialement.

Quelqu'un connaît-il une armurie ayant été en activité en 1984 à Tervuren et quel était le nom de l'ancien gendarme qui l'exploitait?

Cette armurerieaujourd'hui n'existe plus.

2009 doit être LA CONSECRATION pour vous, monsieur Dislaire! Bordel, il y a si longtemps qu'on vous le doit!!!
Alors, hauts les coeurs, on les aura!
Bien à vous.

Monsieur Dislaire, avez-vous, oui ou non, tenu ces propos envers Carl Fresches ? S'agissait-il d'une mauvaise blague de votre part, ou connaissez-vous l'identité de l'attaquant ? Le silence peut être éloquent !

Monsieur Dislaire,

Si vous arrêtiez une fois pour toutes ces agressions contre Marlair et tout ce qui le touche de près ou de loin ?
Vous devez vous rendre compte que tout cela NE vous grandit PAS ! Et que les membres du Forum - ainsi que ceux qui le consultent ! - vont vous tourner le dos définitivement.
Ce petit jeu N'en vaut vraiment PAS la chandelle, que diable !!!

Cordialement.

Ne vous inquiétez pas si on me tourne le dos. Ce n'est pas votre problème. J'ai demandé au forum de faire une impasse sur Vielsalm parce que vous sortiez votre bouquin. Vous ne trouvez rien de mieux avec votre comparse dé réalimenter la confrontation en ironisant sur mon contact avec Fresches?En donnant mon message précédent, je savais qu'il serait sanctionné.

et voilà c'est reparti pour un tour....