vol d'armes dans la caserne de Vielsalm : Oesling84

INDEPENDANCE CHA CHA



En cette période de grande liesse congolaise, ( ?)je reviens sur des messages du forum débouchant sur une polémique au sujet des mercenaires. Textes aménagés.



Dislaire :
»Monsieur,

L'arme (la Thomson) je la connais et je m'en suis expliqué je crois.

Elle a servi au Congo dans les rebellions post indépendance. J’étais alors mercenaire.
Et j’ai toujours dit qu'un tir à bout portant était un hachoir.
L'arme a Vielsalm est formellement identifiée. C’était une Thomson. Ce qui reste intéressant c'est quel fabriquant de munitions fournissait l'armée belge ?

Ce ne doit pas être trop difficile à se rappeler pour un ancien armurier par exemple. »





- Monsieur Dislaire,

Quand vous étiez mercenaire au Congo, si vous ne tiriez pas sur des bêtes, ni sur des boites de conserve, sur quoi tiriez-vous alors ??



-Monsieur,
J'attendais cette réaction primaire et imbécile et cette question qui, je le signale à l’adminstrateur, n'a rien à voir avec le débat mais se voudrait une atteinte à ma personne.
Ma réponse était prête mais comme il y a encombrement, je suis resté en attente.
J'en était tellement sûr que j'ai dit à ma femme: " tu vas voir, il y en a un qui va trouver l'occasion de se faire remarquer".
J'avais pensé à une autre tournure plus dévastatrice :
" Je n'aime pas tuer les bêtes, sauf au Congo. » (Première alarme)
Ou : » il m'arrivait de faire un carton. » (deuxième alarme)
Ou : »nous tirions donc surtout des singes. (troisième alarme)


La totale. L’ire générale sur le forum.
Comme quoi vous avez l'esprit plus tordu que moi.

On chassait.

En effet il fallait bien nourrir la troupe.
Par contre, chez les rebelles, ils bouffaient touts, les singes, les belges, leurs femmes et leurs enfants.
Et les missionnaires dont ils appelaient les jambes: "les pâttes alimentaires".
Et une section de mes soldats que j'ai retrouvé sur un grand barbecue dans une grande bacchanale villageoise.
Ce jour la je suis devenu très, très méchant.
Excusez-moi.
On ne vous a jamais dit que Lumumba avait appelé à tuer touts les belges, à les manger et à s'habiller de leur peau? Vous pouvez demander à monsieur M…., il confirmera.
C'est vrai que c'est de la vieille histoire.
On a même fait une fondation Lumumba en Belqique.
Pour s'excuser de lui avoir fait la peau.
Ce n’est pas beau ça ?





-Monsieur Dislaire,



Lumumba qui a appelé à bouffer du belge???
Là dites moi d'où vous tenez cela? Un écrit? Un discours enregistré? Ou des rumeurs émanant d'anciens coloniaux attristés d'avoir perdu leur paradis?
Lumumba a été formé dans les meilleures universités. C'est un intellectuel de haut rang dont la force des discours n'a rien à envier à nos politiciens locaux. Et qui a été abattu pour le danger qu'il représentait pour les intérêts des trusts belges et US



Monsieur,

Renseignez vous auprès des missionnaire de Kongolo ( à Gentines) qui ont eu 20 des leurs dépecés sur ordre lumumbiste le jour de l'an 1962. Les rebelles sont arrivés la vieille et leur on dit: demain on va faire un grand banquet pour le nouvel an.
De toute façon, c'était dans les moeurs. Le Maniema était appelé depuis toujours "le pays des mangeurs d'hommes". Et c'est toujours d'actualité, voyez les rapports de l'Onuc sur la guerre en Ituri actuellement.
Moi je n’ai pas eu besoin des rumeurs de coloniaux : j'étais dans la marmite infernale.

Pour ce qui est d'être un tribun c'est vrai Lumumba était un tribun.

C'est vrai aussi qu'il a été formé « commis des postes », emprisonné pour détournement et sorti de prison début 60 pour venir à Bruxelles à conférence de la Table Ronde.

Janvier 1961 il est assassiné au Katanga, six mois après l'indépendance : Il a vraiment eu l'occasion de fréquenter les meilleures universités ?



Intervention du commandant Marlair :

« Je tiens à me dissocier avec force des thèses anti-lumumbistes primaires qu'on a l'air de me prêter. D'autant plus que j'ai défendu résolument la version du " crime d'Etat "….anticommuniste primaire dans deux de mes livres: Les Rêves des Noko ( 1993 ) et Congo, le Septième Lot ( 2003 )
Mais ce N'est PAS le sujet, bien entendu. Raison de plus pour NE PAS m'associer à une version primaire et mensongère que l'Histoire a condamnée. »

-Autre :

« Arriver à avoir des propos aussi racistes sur ce forum, allant jusqu'à insulter un martyre de l'Indépendance du Congo, je trouve cela répugnant et je demande à Monsieur Michel de bien vouloir intervenir à ce propos. »



°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°



A la veille du cinquantenaire de la désastreuse indépendance donnée par la Belgique au peuple congolais, je me permets, en dehors de toute polémique de fond sur l’affaire de Vielsalm, de vous transmettre un texte que je soumets à la réflexion de touts les membres.



30 juin 2010 :

Cinquantième anniversaire du début du martyre de centaines de Belges …et de millions de Congolais.



Remember…



« Onze Belges ont été jetés dans la rivière Nékopo »



« Au moment ou les simbas allaient jeter mon fils de 14 ans dans la rivière Nekopo, pieds et mains liées derrière le dos, je n’ai pu que lui dire :

» respire profondément quand tu seras dans l’eau et ce sera vite fini ».



Ce sont les dernières paroles que madame T….., la seule femme qui ait échappé au massacre de Mongbere a pu adresser à son fils quelques instants avant d’être jetée,elle aussi, dans la rivière.

Madame T….. qui a perdu aussi son mari dans la même tuerie survenue dans la nuit du 25 novembre, est actuellement hospitalisée à Léopoldville. Blessée gravement aux bras et à la poitrine, elle a fait le récit dramatique de cette nuit tragique au cours de laquelle onze Belges, dont deux femmes, ont été tués par noyade.



Infestée de crocodiles



Le seul rescapé masculin de cette scène d’horreur est monsieur Serge D…, jeune planteur de 25 ans, qui a pu se défaire du simba qui allait lui lier les bras derrière le dos et a sauté dans la rivière infestée de crocodiles.

« Le 24 novembre, a dit madame T…., nous avons été conduits à Andudu, au sud de Moe, dans une ferme de domestication des éléphants. Il y avait avec nous une petite fille de 4 ans, un garçon de 8 ans, un autre de 2 ans et demi et, enfin mon fils, qui a 14 ans.

Les simbas l’ont tué parce qu’il était de grande taille et qu’ils le croyaient plus âgé. »



Tout le village était la.



« Pendant toute la journée nous avons été battus et maltraités. Il est impossible de décrire ce traitement. Le soir, tout le village s’est réuni dans la cour de la ferme. Des feux ont été allumés, les hommes ont commencé a exécuter des danses rituelles au rythme des tam-tams

.Il y avait la plus de 100 personnes, hommes, femmes et enfants. »



Ligoté avec du fil de fer



« Peu avant 20 heures, la musique s’est tue. Des hommes se sont approchés de nous. Un des prisonniers a été choisi dans le groupe. Des simbas lui ont lié les bras derrière le dos avec du fil de fer qui passait à hauteur des coudes. Puis il l’ont jeté à terre et lui ont lié les jambes en les repliant vers le dos. Puis le malheureux a été porté vers la rivière. Nous avons tous crié. Nous avons demandé qu’on nous fusille tous, mais il a été jeté à l’eau. Il a disparu immédiatement. Le Nekopo est un affluent de la rivière Uélé. »



Toutes les 20 minutes



« Les danses ont repris autour des feux. Toutes les 20 minutes on venait chercher l’un de nous. Quand ce fut au tour de D…., je vis qu’il réussit à se défaire de son simba et qu’il se mit à courir vars la rivière .Les rebelles ouvrirent le feu. Mais dans l’obscurité ils le ratèrent. Ils revinrent vers nous très excités. Mon mari fut jeté sur le sol. Ses jambes furent brisées. Je n’étais pas très loin de lui. J’ai entendu qu’il gémissait. Puis il m’a regardé et a dit :

« Pardonne- moi, j’aurais du vous renvoyer en Belgique quand il était encore temps… »



« Le tueur » avait fait un stage à Arlon



Puis il fut traîné vers la rivière. Mon fils le suivit bientôt. Il s’est débattu mais il n’y avait rien à faire. Quand ce fut mon tour, deux simbas m’attachèrent les bras et les chevilles. L’un d’eux m’a dit : » A Arlon, dans le camp de l’armée belge, on m’appelait Alexis. Ici on m’appelle « le tueur ». Nous devons tuer touts les blancs. Nous avons reçu des ordres. »



Je flottais les pieds déliés



« Mais j’avais bien senti que le fil de fer autour de mes pieds était assez lâche. Par contre je ne pouvais pas bouger les bras. De toute manière je ne sais pas nager. On me jeta dans l’eau. Je suis assez lourde. Après un moment, je revins à la surface et ma tête toucha une de ces grosses touffes d’herbes qui sont entraînées par le courant. J’étais sur le dos. Mes pieds étaient déliés. Je flottais vers la rive. J’ai hurlé, je m’en souviens bien et tout à coup quelqu’un est venu m’aider. C’était D…. Il m’a tiré par le cou pendant une vingtaine de minutes puis j’ai senti que nous heurtions un tronc d’arbre qui flottait dans la rivière. D…. a alors défait le fil qui retenait mes bras. Je m’étais tellement débattue que les fils étaient entrés profondément dans les chairs. »



La marche dans la forêt : un autre supplice



Madame T…. qui a fait ce récit en pleurant a poursuivi : » il était sans doute près de 22 heures. Nous sommes resté dans l’eau toute la nuit. Nous étions glacés. Le matin D…. a dirigé le tronc d’arbre vers la rive et nous nous sommes cachés dans les herbes. En fin d’après-midi, nous nous sommes mis en marche dans la forêt. C’était un autre supplice. Nous étions pieds nus. Nous sommes resté une semaine dans la jungle. Pendant tous ces jours, nous sous sommes nourris de racines. D….., qui est grand et fort, mourrait littéralement de faim. J’étais tellement heureuse qu’il m’avait sauvé la vie que j’ai d’abord goûté toutes les racines qu’il m’apportait pour voir si elles étaient comestibles.



Sauvé parce qu’il était né à Stanleyville



« Puis un matin nous sommes tombé sur des simbas. Ils étaient tellement ahuris de nous voir qu’ils n’ont pas tiré. Nous avons été frappé puis on nous a conduit à Paulis. D….., qui parle bien le dialecte local, a expliqué qu’il était né à Stanleyville et qu’il était donc pratiquement un fils du pays. Cela nous a probablement sauvé de la mort. Finalement nous avons été libéré par une colonne de l’ANC encadrée de mercenaires. Deux jours plus tard nous étions à Léopoldville. »

« A Paulis, a dit encore madame T…., les trois enfants qui ont échappés au massacre ont été libéré avec nous. Ils sont déjà en Belgique. Mais quel affreux spectacle pour ces pauvres gosses qui ont assisté à l’assassinat de leurs parents…. »



(Madame T….est décédée le 23.12.89)

Alexis fut retrouvé …20 ans plus tard et exécuté par une mission punitive.







« Lorsqu' arrivèrent les mercenaires et les soldats de l'ANC pour constater les résultats de ces massacres, ils ne trouvèrent aucunes de ces personnes…….

Après avoir interrogés les indigènes, ils apprirent que Mr. et Mme. G…. avaient été massacrés dans de très cruelles conditions. Leurs corps, encore en vie, furent découpés et éparpillés un peu partout, quelques uns de leur membres ont été retrouvé en forêt, d'autres parties ont régalé les cannibales qui prirent grand soin de conserver certains restes dans un frigo afin d'assumer leurs repas à venir……….

…Nous avons été consternés et avons ressenti un très grand sentiment d'impuissance devant de tels faits!!!!

Ils faisaient subir aux hommes et aux femmes les pires supplices que l'on puisse imaginer…

Je vous en donne quelques exemples parmi bien d'autres…

-Les femmes étaient violées par plusieurs d'entre eux, chacun satisfaisant tour à tour leurs instincts bestiaux à la file indienne…

-Ils éventraient celles qui étaient enceintes, arrachaient les bébés du ventre de leur mère pour finir par les massacrer…

-Ils leurs coupaient les seins de manière à ce qu'elles ne puissent plus allaiter leurs futures progénitures…

-Ils coupaient les bras et les jambes des personnes, les laissant se vider de leur sang et mourir exsangues.

-Ils coupaient les parties génitales des hommes, leur enfonçaient dans la bouche pour que ceux-ci meurent étouffés.

-Ils obstruaient les orifices anaux de leurs victimes ainsi que le vagin des femmes en y engouffrant des morceaux de bois, ensuite, non satisfaits de leurs actes de cruautés, ils les achevaient à la machette, les arrosaient d'essence bien que celles-ci étaient encore en vie, et puis y mettait le feu………. La vue de l'immense souffrance que subissaient ces personnes se tordant de douleurs ne faisait qu’attiser leur joie devant ces corps agonisants dans des souffrances indescriptibles … Malgré toutes ces horribles tortures, certains étaient encore en vie, mais le cannibalisme faisait surface, les SIMBAS leurs ouvraient alors leurs entrailles pour pouvoir en extraire leur foie qu'ils dégustaient joyeusement. Ensuite, ils leurs attachaient les mains et les pieds, si du moins il en restait, et les jetaient aux crocodiles qui n'en faisaient évidemment qu'une bouchée…

Voilà ce qu'étaient les SIMBAS….








Témoignage d’un jeune Belge rescapé :

« Apres avoir été arrêté et emprisonné plusieurs fois par les simbas, mon père et les autres agents commencèrent à s'interroger sur leur avenir au Congo, suite aux nombreuses exactions commises par les Simbas envers les blancs et les indigènes. Il ne leurs restait plus dès lors, qu'à sauver leur vie et celle de leur famille devant la gravité de la situation.



C’est pourquoi ils décidèrent tous de se réfugier dans la mine en ayant pris soin auparavant de la truffer d’explosifs : plutôt mourir que de tomber dans les mains de ces assassins.





































Tout le monde était résolu à l'idée de TOUT faire exploser si cela pouvait éviter un probable massacre.













« Heureusement, les mercenaires arrivés en premiers sur les lieux, nous embarquèrent tous dans des camions pour échapper au carnage…

Sur le parcours interminable il n’y avait que des cadavres de rebelles.

Merci aux mercenaires qui ont délivré et sauver la vie de nos parents et des autres personnes qui s’étaient réfugié dans la mine. »

« C'est à partir de ce moment que nous avons compris, mon frère et moi que notre rêve Africain était définitivement terminé et que nous garderions, au plus profond de nos entrailles, une immense et éternelle nostalgie pour ce magnifique pays qui charma notre enfance et notre jeunesse , LE CONGO. Cette terre qui fut aussi la nôtre. »

« Il nous manquera à tous cette " douce et incomparable atmosphère africaine"… Là-bas, en Afrique, il y avait le soleil, la chaleur, parfois étouffante, les pluies orageuses, quelquefois violentes mais certes bienvenues et rafraîchissantes. La brousse aussi…vaste… avec ses herbes roussies… peuplée de ses animaux sauvages et majestueux… et les indigènes, indolents, arborant un sourire éclatant…Le paradis sur terre………. »

Conclusion de ce jeune belge rescapé :

Je te demande d'agir avec le plus de circonspection possible, car je sais qu'il ne faut pas cacher la vérité, mais il faut respecter les victimes et il ne faudrait pas que cette nouvelle soit galvaudée, justement parce que j'ai un immense respect pour ceux qui furent tués. »



.





Lucien Dislaire ( à gauche) mercenaire au Congo

Toute vérité doit être dite, chacun fait sa guerre comme il la ressent.
Qui peut comprendre un homme qui se bat pour un idéal ?
Sinon un homme qui s'est déjà battu.

dislairelucien a écrit:

Lucien Dislaire ( à gauche) mercenaire au Congo

Evidemment, je ne pouvais que retenir le + drôle. Car pour le reste ....

jc1243401 a écrit:

dislairelucien a écrit:

Lucien Dislaire ( à gauche) mercenaire au Congo

Evidemment, je ne pouvais que retenir le + drôle. Car pour le reste ....

Erreur je suis l'autre
On pense ce qu'on veut. Je ne pense pas que vous vous grandissiez sur le forum avec vos bêtes réflexion. Enfin, si vous vous faites plaisir. C'est autant ça que de se masturber.

Désolé Monsieur Dislaire, je suis comme ça, moi, un rien m'amuse. Pas trop de risque d'ulcère, pas d'obligation de vulgarité, un type très banal somme toute, un peu bêta ( enfin, tout dépend d'où on se place évidemment ).

Citation :

Désolé Monsieur Dislaire, je suis comme ça, moi, un rien m'amuse. Pas trop de risque d'ulcère, pas d'obligation de vulgarité, un type très banal somme toute, un peu bêta ( enfin, tout dépend d'où on se place évidemment ).

Titu:

dislairelucien a écrit:

titu a écrit:

Intéressant, j'ai aussi été entendu en janvier. C'est qu'ils prennent enfin au sérieux la piste des exercices Oesling. Peut-etre que le procès nous apportera l'une ou l'autre surprise.

Dislaire:
Ce qui est intéressant, ce n'est pas que je sois allé au Parquet
à Luxembourg ou que vous y soyez allé, l'intéressant et l'important c'est que vous déviez sur des banalités pour ne pas répondre à des QUESTIONS PRECISES ET IMPORTANTES...

Il n'est pas non plus question de prendre au sérieux la piste Oeling.
Je me pose aussi la question du pourquoi vous auriez pu être entendu.Vous n'êtes ni acteur ni témoin dans cette affaire. Simplement un observateur qui amène ses conclusions comme des centaines d'autres l'ont fait depuis 25 ans.

Cela n'a pas raté.Certains Luxo sont en effervescence. Dislaire aurait remis au Parquet de Luxembourg un dossier* excluant la responsabilité de la manoeuvre " Oesling" dans l'attaque de la caserne de Vielsalm et dans
le premier attentat " Bommeleeër" perpétré 15 jours plus tard à Breidweiler contre des installations de la Cegedel, la société luxembourgeoise d’électricité. (Une deuxième attaque suit dans la même ville le 2 juin.) Cet attentat intervient 15 jours après l’attaque du casernement de Vielsalm. J'ai reçu la visite de journalistes- gestapistes, sans doute n'y êtes vous pas étranger.
*Ce dossier est une synthèse du dossier remis aux enquêteurs belges.

Vous avez joint au dossier votre facture de l'hotel à Spontin ?

titu a écrit:

Vous avez joint au dossier votre facture de l'hotel à Spontin ?

Non. J'ai bouffé sur le compte des Luxo pas loin de la gare.Ce sont eux qui ont la facture.

[quote="Marlair Jean-Claude"]Quelques Infos sur les manteaux militaires ( époque 70-80 )

1. Il faut savoir que TOUTES les capotes, partout, étaient munies de gros boutons dorés. Le tissus de drap était épais et lourds.

2. A la Force Aérienne
Pour Officiers et sous-officiers, les manteaux-parkas sont plutôt faits de toiles.
avec boutons en plastique. La couleur était un bleu ardoise ( gris bleu ) pour se
rapprocher de la couleur de FAérienne Anglaise.

3. A la Force Navale
Les manteaux sont faits de drap de laine
- pour les Officiers, avec boutons dorés
- pour les autres gradés, avec boutons plastiques de la même couleur
- il s'agit d'une couleur bleu-roi ( presque noire )

Ce dernier manteau, à mon avis, ressemble le plus à celui de la photo. Il est aussi le manteau le " moins "militaire. On le rencontrait aussi ( ou apparenté ) à la Marine marchande.

4. A la Force Terrestre
Les manteaux évoluent aussi avec le temps pour avoir, dans les années 70-80, un manteau de drap plus léger, de teinte kaki TRES claire, presque couleur sable, avec des boutons classiques un peu + foncés que le tissu.

Important:
- TOUS les manteaux mil sont munis dans le dos d'une martingale arrière
- La plupart de ces manteaux ont des correspondants + ou - précis dans des stock américains.

Cordialement[/quote
"TOUTES les capotes partout étaient munies de gros bouton dorés?"
Pas sûr.
Je crois qu'ici,une fois de plus, l'enquête capote.
Cordialement

Des membres de ce forum connaitraient-il et pourraient-il m'informer sur un dénommé DERODE Jean- Marie résidant en 1999 rue Vauban a ATH ? Le localiser serait important.

avenue Vauban, 22 vérifier via 1307.BE

La grande peur des Belges
Le roman des tueurs du Brabant
Jean-Claude MARLAIR

format : 13 x 20 cm
244 pages
ISBN : 978-2-35687-079-7
Prix de vente public : 18€

Littérature | Date de sortie: septembre 2010


Prix : 19,80 € TTC
(port et emballage compris)


LE LIVRE
Les «Tueuries du Brabant» ont défrayé la chronique dans la Belgique des années 1980. De nombreux livres, enquêtes et témoignages se sont penchés sur ces «commandos» qui semèrent mort et terreur dans des supermarchés belges. Ces crimes restent aujourd’hui irrésolus.
Jean-Claude Marlair a lui aussi longuement étudié la question et est arrivé à cette conclusion: une enquête de plus n’apportera rien, des pièces restent manquantes. Il a donc choisi la voie de la littérature pour que le roman, «mensonge qui dit la vérité sur le mensonge» puisse «dessiner» une vérité: le profil et les motivations de ces commandos et de leurs chefs. C’est donc plus le roman des «Tueurs» que celui des «Tueries».
Un thriller dont le cadre est une Wallonie misérable et les personnages des fanatiques minables. Le génie de l’auteur est de ne pas avoir tenté d’imiter le genre, c’est aussi celui d’avoir créé des personnages féminins, et c’est, surtout, d’avoir su planter un décor, la Wallonie, proche de l’Amérique profonde, à l’instar d’un cinéaste comme Bouli Lanners dans son film Eldorado. Ancien militaire, l’auteur a en outre parfaitement rendu les aspects «techniques» liés à son sujet.
L'AUTEUR
Jean-Claude Marlair est l’auteur de Congo : le septième lot (Cri) et de Rwanda, les chemins de la mort.
Il était commandant à la base militaire belge de Vielsam durant son attaque par un commando. Il a depuis écrit un rapport où il effectue un lien entre ce vol d’armes dans la caserne et les tueries du Brabant, et a participé à de nombreuses émissions télé et documentaires sur le terrorisme européen.

Voir : http://www.lamuette.be/la-grande-peur-des-belges.html

Je suis content pour monsieur Marlair qu'il soit passé à l'acte.
Voici des années qu'il s'énerve avec son manuscrit, en complète contradiction avec la réalité et bloqué dans la vérité historique en ce qui concerne Vielsam et sa supposée relation avec les tueries du Brabant.Dommage qu'il ai refusé LA VERITE, nous aurions pu faire un beau travail ensemble.
Je reconnais à monsieur Marlair une réelle qualité littéraire. J'ai eu plaisir à lire ses bouquins.Je lui souhaite bon vent avec son roman. Comme je l'ai fait pour Bouten qui avait, il faut le reconnaître, fourni un travail autrement dimentionnel que celui de monsieur Marlair. Bouten a enquêté et amène des faits. Il présente une analyse qui se veut historique. Monsieur Marlair compile.Mais comme c'est quand même l'absinthe et la paranoia qui nous a valu de grands artistes ( exemple Van Gogh) je souhaite à monsieur Marlair de séduire les lecteurs.
Le meilleur roman précédent d'un auteur traitant le sujet est Gérard de Villers " les tueurs de Bruxelles" - de moordenaars van Brussel" paru il y a 20 ans. L'auteur est déja parfaitement documenté "et S.A.S "(son Altesse sérénissime Malko) exploitait déja un nombre de tuyaux qui n'ont rien à envier à ceux de monsieur Marlair.
C'est amusant mais c'est du roman.
Je constate donc que son Altesse sénénissime Marlair, qui n'a pas de château en Bavière mais en Espagne, a abusé les membres du forum en se présentant comme l'historien de référence: " nous approchons du but", " c'est la dernière ligne droite". Et qui a contesté toutes les informations officielles.
Dans la présentation de son roman il nique aujourd'hui touts les membres du forum en les révélant comme étant des cons:
Je cite:
"Jean-Claude Marlair a lui aussi longuement étudié la question et est arrivé à cette conclusion: une enquête de plus n’apportera rien, des pièces restent manquantes."

Les obligations des uns et des autres

Ceci sera la seule réponse que je ferai aux provocations de ce môônsieur concernant mon bouquin.

Je tiens à préciser que le communiqué de presse est établi par l'éditeur et lui seul. De même que la Quatrième de couverture, et c'est l'usage, est exclusivement réservée à l'Editeur.

Ceci, tout en étant TOTALEMENT solidaire de mon Editeur, afin d'éviter d'attribuer à l'un ce qui revient à l'autre.

Très cordialement

Dislaire:
Cela n'a pas raté.Certains Luxo sont en effervescence. Dislaire aurait remis au Parquet de Luxembourg un dossier* excluant la responsabilité de la manoeuvre " Oesling" dans l'attaque de la caserne de Vielsalm et dans
le premier attentat " Bommeleeër" perpétré 15 jours plus tard à Breidweiler contre des installations de la Cegedel, la société luxembourgeoise d’électricité. (Une deuxième attaque suit dans la même ville le 2 juin.) Cet attentat intervient 15 jours après l’attaque du casernement de Vielsalm. J'ai reçu la visite de journalistes- gestapistes, sans doute n'y êtes vous pas étranger.
*Ce dossier est une synthèse du dossier remis aux enquêteurs belges.


A l'adresse de Titu, intermédaire mandaté avec invitation à faire suivre:
Je m'excuse de ma citation "journalistes - gestapistes "qui a dépassé ma pensée et qui est une réaction à la visite agressive de ces deux messieurs qui n'ont même pas jugé bon de me laisser leurs coordonnées. Je suis né avec la guerre et l'invasion germanique dont je garde un mauvais souvenir, mais ce qui est germanique n'est pas gestapiste.
D'autant que je sais ce que les Luxembourgeois ont souffert pendant la guerre.
Ainsi lorsque je vais à Esch sur Sûre, je ne manque jamais de me receuillir près de la plaque commémorative à l'entrée de l'église portant le nom d'une douzaine de jeunes du village et son texte laconique: " disparus en Russie".

Il n'y a pas un père noel dans votre histoire, par hazard? Désolé, mais je n'ai aucune idée, de quoi vous parlez ! Vous avez remis un dossier, ou vous avez été entendu ? Ce sont deux choses totalemment différent ! Vous devriez connaitre les procédures légales entretemps...

Cher Monsieur Dislaire

votre science en ce qui concerne les manteaux militaires n'est pas tout à fait exacte, en tout cas pour ce qui concerne la Force Aérienne.
Il n'y avait pas en dotation de manteaux " parkas".
Ces manteaux étaient achetés par le personnel lui-même dans les stocks américains, et étaient "tolérés" par la hiérarchie militaire, surtout pour le personnel technique.
Quant aux unités combattantes, elles ne disposaient que de leur smog.
Les capotes, que vous avez par contre très bien décrites, faisaient partie du "stock mob", et étaient parfois sorties lors de circonstances exceptionnelles, et bien souvent quand la FAé ne disposait même pas d'équipements suffisants pour ses miliciens.
Mais je trouve que cela nous éloigne beaucoup d'Arlon, de même que vos histoires congolaises!

Monsieur Davidoff,
content de vous retrouver aprés une si longue absence . Vous aviez raison,il y a déja des moustiques en mai -juin en Camargue. De plus vous me parliez de manoeuvres avec des commandos de Nimes dans cet environnement et la je dois reconnaître que c'est pas du gâteau.Il faut des mecs solides.
Vous voyez que je sais être réaliste.
Pour ce qui est des capotes, vous faites erreur. Ce n'est pas moi le spécialiste et vous allez vexer monsieur Marlair qui s'est fendu d'une recherche approfondie sur la question. Je ne suis spécialiste d'aucunes capotes, fussent'elles militaires ou anglaises. Je suis plutôt nature.Les martinguales, les boutons dorés? Je ne lis pas "femmes d'aujourd'hui" ni "tricot". Donc je ne sais pas vous aider.
Ce qu'il y a de bien avec vous c'est que pour vous offrir un cigare il suffit de se mettre en ligne.
Vous avez appris la nouvelle? monsieur Marlair jette la gant. Il capitule. Pour lui on perd son temps en cherchant encore pendant 5 ans après les tueurs. Il nous avait envoyé 80 message sur 15 jours début juin! La grande forme. Et puis pfff, voila son éditeur qui nous informe de l'inanité du travail du forum sur les tueries du Brabant.Le genre de truc qui fait mal, surtout pour lui.
Il se trouve dans une situation récurrente,le voici de nouveau affecté par une retraite anticipée.
Depuis sa déclaration, il verse dans le poétique et nous envoie quelques vers du regretté Jean Ferrat. Il devient bucolique. Je me sens un peu orphelin :lui, le chevalier blanc qui avait juré, il y a trois ans à Fresches et à moi d'apporter toute la vérité sur Vielsalm, de faire arrêter touts les officiers félons responsables de nos malheurs.Bernique. Pourtant, il en avait dénoncé nomément quelques uns dans les médias et au Ministère de la Défense il y a trois ans! Heureusement Fresches s'en fout et moi il y a longtemps que j'ai compris. Je dois vous signaler aussi qu'il s'est fait "crosser" d'importance. Donc je peux le comprendre.
Pour ce qui est de mes histoires congolaises, comme me le disait aujourd'hui un intervenant à ma remarque sur le passage en boucle d'article de 1990 sur les avatars de Jean Bultot en Afrique du Sud: " si ça ne te plais pas tu zappes".
Je serai plus poli en vous disant que je sais que ce genre de révélations n'a pas été perçu comme vous semblez le penser par touts les membres du forum avec indifférence. Cela fait partie de notre histoire. C'est plus intéressant que les martingales des capotes.

Monsieur Dislaire,

Gardez vos cigares Mr Dislaire et pour adapter votre ton habituel, mettez vous les ou je pense, avec la fumée que vous dégagerez de cette manière vous vous préserverez des moustiques!!!!

Je continue à dire que même si cela fait partie de notre histoire, vos histoires congolaises nous éloignent beaucoup des sujets du forum, mais peut-être est ce voulu...

Les capotes, militaires j'insiste car avec vous c'est important de préciser, ne vous intéressent peut-être pas, mais il n'empêche que ce qu'on avait retiré du canal de Ronquières y ressemblait furieusement.

pour ce qui est des remarques à propos de Mr Marlaire, adressez-vous directement à lui!!

Merci pour le filon pour les moustiques: je comprend maintenant comment vous et les commandos de Nismes parveniez à manoeuvrer en Camargue: avec un cigare dans le cul. Vous auriez pu me le dire plus tôt sauf si c'est un secret militaire français, auquel cas je vous remercie d'autant plus pour votre délicate attention.



Pour ce qui est des histoires congolaises cela ne vous regarde pas. Ceci est laissé à l'appréciation de l'Administrateur.

M. Dislaire, il n'existe pas, en France, de secrets militaires de cette nature. Tout au plus, des techniques confidentielles de progression en ambiance hostile. Je pense que vous ne recevrez aucune objection, de la part de l'armée française, à une demande de renseignements sur l'usage du dispositif. Elle, l'armée française, est depuis longtemps réputée de part le monde, pour sa vocation pédagogique.

Monsieur Jacques B. J'apprécie votre intervention qui est pour moi la confirmation de ce que je pense depuis longtemps: sans flagornerie, vous êtes un des intervenants que j'apprécie le plus pour sa pondération et son jugement.
J'ai beaucoup d'admiration pour la France et beaucoup de respect pour l'armée française. Puis-je signaler, sans énerver Davidoff, qui considère les intervenants militaires en Afrique comme des assassins, que j'y ai été en contact permanent avec des militaires français. Donc j’ai plus que des rudiments des techniques de progression en milieu hostile. Oserai-je dire " travailler" ? On va alors à nouveau me demander si je tirais sur des boites de conserves.
Je ne suis pas réceptif à ce genre de réparties imbéciles et grossières qui pullulent sur le forum. De la ma répartie qui peut paraître cinglante et outrancière. Mais je ne visais absolument pas l'armée française.

Je profite de cette intervention pour vous rappeler les messages qui se révèlent aujourd'hui prémonitoires et que vous aviez établis fin 2009. Je cite :

Jacques B.
"M. Marlair, comme ce texte n'est pas signé, on se demande qui en est l'auteur. On dirait une note d'éditeur à placer sur la couverture d'un livre. Je dois être mal pensé car vous n'auriez certainement pas l'intention d'utiliser la presque mort d'un subordonné pour un coup de publicité".

Jacques B.

Monsieur Jacques B.

Eh oui ! C’est la triste vérité !

« La révolte et l'indignation » n’étaient qu'un bluff. L’irruption de l’adjudant Fresches et de Dislaire dans l’enquête de monsieur Marlair n’était qu’une habile manipulation pour se présenter comme enquêteur de référence: manipuler des acteurs de premier plan! Le pied !Un peu comme un saltimbanque présente des ours de foire. Sauf que pour mettre un anneau à Dislaire pour le faire danser au son de la partition délirante de monsieur Marlair, ce fût une autre paire de manches.

Je vous remercie pour les éloges que vous m'adressez, malgré qu'ils provoqueront, très certainement, une nouvelle vague de collage d'étiquette sur mon dos. Je m'en foutrais un peu s'il me restait de la place. Enfin, en hiver ça tient au chaud (comme les capotes) et en été ça évite les coups de soleil (comme les crèmes facteur 30 pare-balles).
Bien du courage pour la suite de votre affaire.

Vous ne m'énervez pas Monsieur Dislaire, vos aventures de "Tintin au Congo" me semblent, comme je l'ai déjà dit, bien loin de notre sujet, mais nous savons tous que vous êtes passé maître dans l'art de noyer le poisson....