Jean Bultot

Il est intéressant de garder en mémoire que Interdoc a été en contact avec l'ISSED à Rome (Istituto di studi strategici e di difesa).

L'ISSED publiait la revue «Politica e strategia». Le fondateur était le général Duilio Fanali.

Selon David Teacher  ( https://cryptome.org/2015/12/Rogue-Agents-4th-edition.pdf ) :

Amongst those implicated in the Borghese coup were several of the members of the Istituto di Studi Strategici e per la Difesa (ISSED) in Rome, an Italian body that would cooperate closely with Brian Crozier's Institute for the Study of Conflict in the 1970s, described in the next chapter.

ISSED's founder, General Diulio Fanali, a former Chief of General Staff of the Airforce, was one of the people accused with Delle  Chiaie and Giannettini of involvement in the Borghese coup. Fanali's name would also crop up in the judicial inquiry  into  the  Rosa  dei  Venti covert network, detailed  below. The  Director  of  ISSED's  magazine Politica e Strategia  was  Filippo de Iorio, a close friend of Giulio Andreotti with links to the Italian secret service. A future member of the P2 lodge run by Licio Gelli, de Iorio was forced to flee Italy after being implicated in the Borghese coup with  Fanali, Giannettini and Delle Chiaie. The Co-Director of the ISSED magazine was Eggardo Beltrametti, who with Giannettini was one of the speakers at the 1965 Parco dei Principi conference. Beltrametti would also be mentioned alongside Giannettini during the judicial inquiry into the Milan bombings which launched the strategy of tension in 1969.

_ _ _

Le général Robert Close connaissait Giulio Andreotti : ils étaient ensemble à l'abbaye de Royaumont, à l'invitation de Carlo Pesenti ... qui avait financé Stefano Delle Chiaie à ses débuts. Le général Close connaissait aussi Brian Crozier.

Dans ce qui suit je vais, pour l'occasion, restreindre mon champ de vision au postulat suivant :
Ce qui a été trouvé en novembre 1985 dans le Bois de la Houssière n'y avait été abandonné dans aucun autre but que celui de désigner J.B
; d'une manière néanmoins plutôt aléatoire et grossière, convenons-en....

Ainsi, pour rappel (+ COMMENTAIRES PERSO ) :
> les magazines d'armes et l'encyclopédie sur les cartouches - CETTE DERNIÈRE EN PARTIE (FAUSSEMENT NÉGLIGEMMENT ?) BRÛLÉE - auraient désigné - DE MANIÈRE ALÉATOIRE ET GROSSIÈRE - un amateur (revendeur ?) d'armes, de tir sportif, etc....
( https://o1.ldh.be/image/thumb/59f1e94acd703cdd7516f9d9.jpg )   (pour ne prendre qu'un exemple, et non le plus éloquent)

> les télécommandes auraient désigné - DE MANIÈRE ALÉATOIRE ET GROSSIÈRE - une personne amateur (revendeur ?) de matériel tv-hifi-vidéo.
( https://www.lesoir.be/art/tribunal-correctionnel-de-bruxelles_t-19881020-Z012A1.html )   (chercher 'magnétoscopes')

> le ticket de train pour Oostende, le morceau de photo où apparaissait la chevelure d'un enfant blond, quelques bribes de mots, identifiés par un expert comme ayant été écrits par la compagne de J.B., auraient désigné - DE MANIÈRE ALÉATOIRE ET GROSSIÈRE - des caractéristiques que présentaient les personnes de l'entourage familial direct de J.B. ( https://mozsnake.skyrock.com/1741484384-Le-livre-que-personne-n-a-ose-publier.html )   (chercher 'jeu de rébus')
....
> PEUT-ÊTRE D'AUTRES ÉLÉMENTS QUE J'AURAIS OMIS ? ( ...DU KEVLAR DANS LES PORTES DE LA GOLF RETROUVÉE CALCINÉE ???
>>> CE QUI EXPLIQUERAIT QUEL GENRE DE LEURRE CETTE GOLF AIT PU CONSTITUER... ( https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t615-jean-bultot#18542 )



MAIS ALORS JE M'NTERROGE :
N'aurait-on , en 1982 déjà tenté  - DE MANIÈRE ALÉATOIRE ET GROSSIÈRE - de désigner une personne ayant (eu) quelque chose à faire, à voir avec Wauthier-Braine... comme J.B. ???

Guy Bouten, probablement à la page 281 (source Google), dans son dernier livre a écrit:

[...] Jean Bultot, voormalige opvoeder in een tuchthuis voor jongeren in Wauthier-Braine, later adjunct-directeur van de gevangenis van Sint-Gillis.

[...] Jean Bultot, ancien éducateur dans un centre de détention pour jeunes à Wauthier-Braine, puis directeur adjoint de la prison de Saint-Gilles

N.B. J'ai tenté de vérifier si, concernant cet IPPJ où aurait travailé J.B., G.B. n'avait pas confondu Braine le Château et Wauthier-Braine.
En fait deux implantations coexistent bel et bien dans la seule commune de Braine-le-Château.
Une à Braine-le-Château, et une autre à Wauthier-Braine.
( http://www.aidealajeunesse.cfwb.be/index.php?id=361 )

Quant à l'existence effective de l'IPPJ de Wauthier-Braine au début des années 80, je n'en ai retrrouvé confirmation que dans une édition de 1990 du 'SOIR', c'est à dire jusqu'aux publications les plus anciennes auxquelles les archives en ligne de ce journal  permettent de remonter à ce jour.
( https://www.lesoir.be/art/d-19900720-W3N0UU )

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Rappelons également au passage, que c'est à l'occasion de ces faits commis en novembre 1985 qu'ont ressurgi des éléments directement reliés aux faits commis en 1982.

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Gardons de même à l'esprit que Wauthier-Braine (cette localité précise !), aujourd'hui comme hier, n'est a priori connue du Public que pour deux choses : son viaduc autoroutier et son IPPJ.

Si J.B avait de tels ennemis, capables de vouloir le faire accuser à 2 reprises, il est étonnant qu'il ne donne pas de noms.

pyrénéen a écrit:

Si J.B avait de tels ennemis, capables de vouloir le faire accuser à 2 reprises, il est étonnant qu'il ne donne pas de noms.

Il a donné un nom lors d'un interview accordé à la DH à savoir celui de Freddo Godfroid, ex inspecteur de la PJ de Bruxelles.
Godfroid dont Salesse indique qu'il a proposé de faire un "braquage" de supermarché en fournissant "une arme".

Le procédé interpelle. "Fournir" une arme à laquelle le policier à l'époque avait accès. (saisie?).
Qu'il récupérait par après?

"Il a donné un nom lors d'un interview accordé à la DH à savoir celui de Freddo Godfroid, ex inspecteur de la PJ de Bruxelles"

> ENFIN ! Je pense avoir ENFIN trouvé qui est ce 'Fredo' dont 'K' a 'parlé' très régulièrement dans le forum....

Merci pour l'info !

pami75 a écrit:

pyrénéen a écrit:

Si J.B avait de tels ennemis, capables de vouloir le faire accuser à 2 reprises, il est étonnant qu'il ne donne pas de noms.

Il a donné un nom lors d'un interview accordé à la DH à savoir celui de Freddo Godfroid, ex inspecteur de la PJ de Bruxelles.
Godfroid dont Salesse indique qu'il a proposé de faire un "braquage" de supermarché en fournissant "une arme".

Le procédé interpelle. "Fournir" une arme à laquelle le policier à l'époque avait accès. (saisie?).
Qu'il récupérait par après?

J'ignorais ce point, à supposer que D.S dise vrai.
Merci pour l'info.
N'est-ce pas d'ailleurs ce Godfroid qui après le braquage de Berseel a orienté les pistes vers une bande de jeunes de Waterloo, arrêtés puis relachés dans la foulée bien que certains auraient été reconnus ?

Voir

https://www.bendevannijvel.com/forum/viewtopic.php?id=500

Merci pour le lien Hervé.
En revanche, n'est-ce pas plutôt Van Esbroeck qui a accusé Bultot d'avoir voulu l'entraîner dans des braquages " simulés " que Salesse envers Godfroid ?

Dans

https://bendevannijvel.com/daders/bende-de-staerke/personen/2/

on peut lire :

(...) “Salesse was doodsbang. Hij wou meteen het land uit. Er was nog een ander aanbod van Bultot, niet alleen aan mij maar ook aan Freddo Godfroid, de vroegere commissaris van de Brusselse gerechtelijke politie met wie ik veel optrok. Voor een maandsalaris van 150.000 frank konden we deelnemen aan paramilitaire trainingskampen in Zuid-Amerika. Als je dan ziet wie in die tijd Bultots vrienden waren: de extreem rechtse rijkswachters Madani Bouhouche en Robert Beijer, de later vermoorde FN-ingenieur Juan Mendez…” (...)

(traduction)

"Salesse était terrifié. Il voulait quitter le pays immédiatement. Il y a eu une autre offre de Bultot, non seulement à moi mais aussi à Freddo Godfroid, l'ancien commissaire de la police judiciaire de Bruxelles avec qui j'ai beaucoup traîné. Pour un salaire mensuel de 150 000 francs, nous pourrions participer à des camps d'entraînement paramilitaires en Amérique du Sud. Quand on voit qui étaient les amis de Bultot à cette époque : les gendarmes d'extrême droite Madani Bouhouche et Robert Beijer, l'ingénieur de la FN assassiné plus tard Juan Mendez...".

pyrénéen a écrit:

pami75 a écrit:

pyrénéen a écrit:

Si J.B avait de tels ennemis, capables de vouloir le faire accuser à 2 reprises, il est étonnant qu'il ne donne pas de noms.

Il a donné un nom lors d'un interview accordé à la DH à savoir celui de Freddo Godfroid, ex inspecteur de la PJ de Bruxelles.
Godfroid dont Salesse indique qu'il a proposé de faire un "braquage" de supermarché en fournissant "une arme".

Le procédé interpelle. "Fournir" une arme à laquelle le policier à l'époque avait accès. (saisie?).
Qu'il récupérait par après?

J'ignorais ce point, à supposer que D.S dise vrai.
Merci pour l'info.
N'est-ce pas d'ailleurs ce Godfroid qui après le braquage de Berseel a orienté les pistes vers une bande de jeunes de Waterloo, arrêtés puis relachés dans la foulée bien que certains auraient été reconnus ?

Pour être plus précis, D.S est interrogé le 13/10/87 à la PJ d'Alost sur requête de Troch. L'audition porte sur Godfroid. S. raconte qu'il possédait dans son agenda le numéro codé de Godfroid. Il a connu ce policier par l'intermédiaire de "Popol" soit Van Esbroeck. Il précise qu'ils sont ensemble grands amis (Popol et Godfroid). Que l'ancien directeur de prison Jean Bultot est également ami de Godfroid. Il s'étonne auprès des enquêteurs que Van Esbroeck ne leur parle de ses contacts avec Godfroid? Il se demande pourquoi il se tait à ce sujet?  Ensuite il détaille des propositions de Godfroid pour des "coups" : il a proposé de voler la caisse du championnat belge de body-building à D.S : puis de voler le caissier de Forest-National avec Van Esbroeck. ; C'est là que D.S précise que Godfroid a proposé de mettre "à disposition" une arme pour l'un des faits ; ensuite il est question ajoute D.S d'attaquer en 1985 de nuit le Delhaize de Rhode St Genese pour forcer le coffre ou l'emporter. Et D.S d'ajouter que Godfroid avait déjà mené au moins une agression à la Côte belge avec "Popol". D.S ajoute que sur les tueries du Brabant, Van Esbroeck. lui aurait raconté que Godfroid aurait eu des infos précises sur une bande de la région de Bruxelles, armes et masques auraient été retrouvés ainsi que le "géant" mais les types ont été finalement relâchés.
Je suppose qu'on parle des individus qui apparaissent dans le livre de Léopold Van Esbroeck au chapitre sur "la bande de Waterloo"

Lettre ouverte aux tueurs du Brabant wallon
Léopold Van Esbroeck
(1998)





(...)





(...)

N.B. je viens de m'apercevoir qu'un fil https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t816-frederic-godefroid existe

http://dynamedia.be/storage/ubu//UBU_20080515-web.pdf

Quand Jean Bultot était au Paraguay, il avait mis au point une filière pour échanger du courrier avec Adriano Vittorio, dont le voisin Simon Genevois (sic : Gevenois) était actif dans la mouvance d’extrême droite. Philippe  Populier, résidant à Alsemberg, était envoyé par l’avocat Henri Laquay auprès de Feret, le président du FN et lui expliqua ceci : " Mon père est Jacques Populier, il a deux sociétés de transport dénommées France Transit et Transit International sises à 59700 Marcq en Baroeuil.  (...)

_ _ _

https://www.lejdd.fr/Societe/Justice/extreme-droite-complotisme-dieudonne-letonnant-profil-des-avocats-de-mehdi-nemmouche-3839258

17h24 , le 15 janvier 2019, modifié à 20h57 , le 15 janvier 2019

(...)  Une "quenelle" avec Dieudonné

Des inquiétudes qui s'expliquent par le profil des conseils du djihadiste français, qui ont déjà évoqué l'hypothèse de la responsabilité d'agents israéliens dans l'attentat, lors d'une audience préliminaire. Les avocats de Mehdi Nemmouche, Sébastien Courtoy et Henri Laquay, sont très décriés depuis plusieurs années pour leur engagement politique notamment. En 2012, ils ont tous les deux été photographiés avec Dieudonné en train de faire une "quenelle", un geste antisémite décrit comme "une sorte de bras d'honneur humoristique, pacifique, détendu, anti-système" par Henri Laquay.

Les deux avocats belges ont d'ailleurs reçu en 2012 une "quenelle d'or" - catégorie "juridique et politique" - décernée par le polémiste lui-même, qui avait salué à l'époque "deux avocats qui ont mis leur carrière en risque" en "[s'engageant] auprès de Dieudonné". Cette année-là, ils seront suspendus deux mois avec sursis par le conseil de discipline de l’ordre des avocats de Bruxelles. Une affaire qui n'a pas nui à leur carrière, bien au contraire.

Des liens avec l'extrême droite

L'agence Belga News rappelle qu'Henri Laquay a été l'attaché parlementaire d'un élu du Front national local et qu'il a figuré sur une liste du parti aux élections législatives fédérales de 1999. Son nom figure également sur la liste des membres du Comité de soutien à Jean-Marie Le Pen pour la présidentielle française de 2007. Il a aussi fondé avec le trésorier du Rassemblement national, Wallerand de Saint-Just, l'association Jus et Patria, rassemblant des juristes nationalistes.  (...)

_ _ _

https://fr.wikipedia.org/wiki/Mouvement_social_italien_%E2%80%93_Droite_nationale

(...)  Le MSI a été un acteur majeur de la politique italienne pendant 50 ans.   (...)

Aux élections européennes de 1984, le MSI obtient 6,5 % des voix et cinq sièges (Almirante, Pino Romualdi, Francesco Petronio, Antonio Tripodi et Antonino Buttafuoco). Le Front national français obtient 11 % des voix et 10 élus. L'Union Politique Nationale grecque (EPEN) obtient 1 élu (Khrissanthos Dimitriadis). Le 24 juillet, ils constituent ensemble le Groupe des Droites européennes. Giorgio Almirante en est élu président, mais il est remplacé rapidement par Jean-Marie Le Pen. En 1985, le GDE fut rejoint par John Taylor, un parlementaire du Parti unioniste d'Ulster. Le groupe compte donc 17 parlementaires.  (...)

_ _ _

https://archive.org/stream/BoekHetGevaarDemol/Boek%20Het%20Gevaar%20Demol_djvu.txt

(...)  In 1980 is Calmette betrokken bij de stichting van Delta
Security, een firma die zich zal specialiseren in viP-bescher-
ming. Hij had daar reeds ervaring mee omdat hij in het verle-
den af en toe gevraagd was zulke bewakingsopdrachten uit te
voeren waarbij hij steevast een beroep deed op zijn extreem-
rechtse clubgenoten en zelfs rijkswachters die hij getraind
had.

Ooit had hij zo ingestaan voor de veiligheid van een aantal
neofascistische prominenten tijdens een politiek congres op
Europees niveau van de belangrijkste extreem-rechtse partij-
en. Dat was in de zomer van 1979 in Hotel Metropole in
Brussel. Calmette (in gezelschap van rijkswachter Martial
Lekeu) moest er onder meer instaan voor de veiligheid van
Giorgio Almirante, de toenmalige voorzitter van de Italiaan-
se neofascistische msi.

Ook bij verkiezingsmeetings van Paul Vanden Boeynants
zorgde hij soms voor de veiligheid, geflankeerd door zijn
kompanen van het fj en betaald door het cepic.

In Delta Security waren ook rijkswachters van het sie be¬
trokken, die op die manier een stuiver konden bijverdienen.
Delta Security verkreeg zelfs een veiligheidscontract met het
prestigieuze Hiltonhotel,  (...)

(traduction)

(...) En 1980, Calmette participe à la fondation de Delta Security, une société qui se spécialisera dans la protection des VIP. Il en avait déjà fait l'expérience car, dans le passé, il lui était parfois demandé d'effectuer de telles tâches de sécurité, faisant invariablement appel à ses camarades de club d'extrême droite et même à des gendarmes qu'il avait formés.

Il avait ainsi garanti la sécurité d'un certain nombre de personnalités néo-fascistes lors d'un congrès politique au niveau européen des principaux partis d'extrême droite. C'était pendant l'été 1979 à l'hôtel Metropole à Bruxelles. Calmette (en compagnie du gendarme Martial Lekeu) était responsable, entre autres, de la sécurité de Giorgio Almirante, le président du MSI, un parti néo-fasciste italien de l'époque.

Lors des réunions électorales de Paul Vanden Boeynants, il s'est parfois occupé de la sécurité, accompagné de ses compagnons du fj et payé par le CEPIC.

Delta Security a également impliqué des gendarmes du sie, qui ont pu ainsi gagner un centime supplémentaire. Delta Security a même obtenu un contrat de sécurité avec le prestigieux hôtel Hilton, (...)

_ _ _

https://www.lesoir.be/art/la-frontiste-et-le-commissaire-de-schaerbeek-johan-demo_t-19960117-Z0AK6X.html

(...)  Et les rapports avec Jean-François Calmette, un des artisans de cette vague d'extrême droite de la charnière 70-80 ? Calmette avait créé une société de gardiennage qui a, d'ailleurs, joué les gardes du corps lors d'une réunion de l'extrême droite à Bruxelles à l'hôtel Métropole en 1979. Johan Demol a affirmé n'avoir jamais travaillé pour ce Calmette. Mais alors pourquoi a-t-il dit, en quittant la gendarmerie, qu'il allait chez Calmette ?   (...)

_ _ _

Dans

http://dynamedia.be/storage/ubu//UBU_20080515-web.pdf

il est aussi question de contacts entre Bultot et Féret [via son avocat de l’époque Michel Delacroix].

Il est également rapporté que c'est le Baron Christophe Buffin de Chosal qui avait mis en contact des responsables du MSI  [les post fascistes transalpins] avec le président du FN Daniel Feret.

https://www.youtube.com/watch?v=JkxFrqqut5M

_ _ _

Toujours dans le même numéro (15 mai 2008) de Père UBU :



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Il va falloir trier tout cela, y compris :

https://www.lesoir.be/art/%252Fperquisitionne-dans-une-enquete-pour-detention-illicite_t-19941122-Z08T9P.html

et

http://dynamedia.be/storage/ubu//UBU_20081113-web.pdf

En https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t70p700-papiers#127519 , à propos de l'écriture 'ANU.75' trouvée en 1982, en forêt de Soignes, sur des morceaux de papier épargnés par le feu, 'Frédéric' a écrit :

Citation :

C'est un code qui peut vouloir signifier deux choses dans le monde du travail : "travail de nuit" ou "astreinte de nuit".
Dans le contexte des TBW, il faudrait déjà voir comment le fameux ANU.75 a été rédigé. Or, l'extrait n'est plus visible sur le web.
Le fait qu'il y ait 74 peut signifier l'existence d'une série de chiffres assez proche.
Ce n'est pas une hypothèse loufoque.
Il faudrait par exemple regarder comment les gardiens de prison de l'époque pointaient leurs astreintes de nuit.

> ?? un lien possible avec : https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t615p425-jean-bultot#127372 ci-dessus ??

Jean Bultot faisait partie de l'entourage de Ruy Mendes Franco (rapport Godbille), connu aussi de Madani Bouhouche.

Ruy Mendes Franco avait des contacts avec Casalee.


https://ipisresearch.be/wp-content/uploads/2015/06/1999_Ilegale_trafiek_van_wapens_naar_conflicten.pdf














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N°519 DU 21/03/1992

LES ETRANGES ACTIVITES DE CASALEE

D'après une récente enquête de l'agence de presse genevoise P. Network, qui a fait l'objet d'articles dans la presse de Suisse et de Belgique, les activités du groupe Casalee ne se limiteraient pas au commerce du tabac. Cette société, dont l'usine de tabac est installée au Zimbabwe depuis plus d'une décennie, aurait également effectué de nombreuses transactions d'armes et de technologie militaire. Alors que le gouvernement rhodésien était soumis à un embargo de l'ONU, le groupe Casalee aurait déjà été versé dans l'achat d'armes pour le compte du régime de Ian Smith. En 1984, le nom de cette société a été cité dans l'un des documents d'une enquête de la Ligue arabe sur les ventes d'armes à Téhéran, intitulé "Arm Sales to Iran; document n°22; Armament cooperation between Belgium and Iran". Une liste en annexe de ce rapport détaille les références des matériels militaires vendus (surtout des mines et engins explosifs).

En mars 1991, la société Casalee et sa filiale italienne, Casalee Italia, ont été mises en cause lors du procès de la firme italienne société Valsella Meccano Tecnica (VSTM), accusée d'avoir vendu des armes à l'Irak, entre 1982 et 1986. Casalee se serait chargé des contacts et de la logistique de ces contrats. Un citoyen pakistanais condamné pour trafic d'armes aux Etats-Unis, Arif Durrani, et qui a affirmé avoir été l'agent de l'Iran pour l'achat d'armes en Europe entre 1981 et 1986, avait déjà dénoncé Casalee comme étant l'une des compagnies chargées d'acheminer des munitions vers l'Iran.

L.O.I.-L'usine du groupe Casalee au Zimbabwe pouvait traiter, en 1990, l'équivalent du cinquième de la production de tabac du pays. Plus important commerçant indépendant de tabac hors des Etats-Unis, propriétaire de la seconde plus grande société de tabac en Afrique, la société Casalee a été fondée en 1976 par un hollandais né à Kimberley en Afrique du Sud, qui réside aujourd'hui en Belgique, John Arnold Bredenkamp. Cette firme emploie 1400 personnes dont, selon P. Network, bon nombre "d'anciens hauts gradés militaires et/ou des services de renseignements". En plus de son fondateur, le conseil d'administration du holding luxembourgeois qui contrôle ce groupe comprend Christopher John Strong, résidant à Mvurwi, au Zimbabwe, Jacobus Stephanus Coetzee, un Sud-africain ou un ex-rhodésien résidant en Belgique, Julian Charles Marius Pelissier, et le docteur en droit suisse Mattin Evans. Casalee dispose d'un vaste réseau de représentation au Zimbabwe, au Malawi, en Namibie, en Afrique du Sud, en Inde, en Thaïlande, à Singapour, à Hong Kong, au Luxembourg, en Suisse, au Liechtenstein, en Italie, en Belgique, en Grande Bretagne, aux Etats-Unis et au Brésil. Il possède également des compagnies de transports maritimes dont pourtant aucune ne semble figurer dans les annuaires spécialisés. Casalee disposerait également de nombreux bureaux le long des côtes sud de l'Afrique australe, et aurait été chargé de distribuer l'assistance du Programme alimentaire mondiale de l'ONU en Angola et au Mozambique.

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Édition du 08 avril 1992 - n°191

LE MYSTERE CASALEE

    Le procès, début 1991 à Brescia, de la Valsellameccanotecnica (VSMT), cette filiale du groupe Fiat accusée d'avoir vendu entre 1982 et 1986 près de neuf millions de mines à l'Irak (un marché de 180 millions $), avait révélé la présence dans ce trafic d'une société jusqu'alors inconnue chez les marchands d'armes, Casalee. Une longue enquête de l'agence de presse genevoise P-Network vient cependant de dévoiler l'étonnante structure de Casalee, ainsi que l'étendue de ses multiples intérêts à travers le monde. Depuis sa fondation en 1976, en Suisse et en Rhodésie, par un Sud-africain, John Arnold Bredenkamp, Casalee s'occupe officiellement de production et de négoce de tabac, principalement à partir du Zimbabwe. Classée au deuxième rang des producteurs de tabac africains, Casalee serait également le plus important négociant en tabac en dehors des Etats-Unis. Avec un chiffre d'affaires de 500 millions de dollars en 1991, Casalee emploie plus de 1 400 personnes à travers le monde. La société, coiffée par une holding au Luxembourg, est directement représentée au Liechtenstein, Belgique, Suisse, Italie, Hollande, Grande-Bretagne, Etats-Unis, Brésil, Thaïlande, Hong Kong, Singapour, et naturellement dans toute l'Afrique australe. Cette multinationale déploie également ses activités au Moyen-Orient, Turquie, Grèce, Espagne, Portugal, Philippines, Indonésie, Canada, Chine, ... Mais elle est curieusement absente de France, d'Allemagne et des pays scandinaves. La coordination administrative de cet ensemble était assurée par la filiale d'Anvers (où vit John Bredenkamp), jusqu'à sa fermeture précipitée fin 1991. Depuis, l'administration de Casalee a été transférée en Hollande et dans le Berkshire, en Angleterre.

Les documents rassemblés par P-Network montrent que ce réseau sophistiqué, utilisé pour le commerce du tabac a été - au moins partiellement - mis au service du trafic d'armes, et ce, dès les débuts de la société, alors qu'elle vendait du tabac en échange d'armes destinées au régime de Ian Smith, en Rhodésie. Ce commerce semble assuré par quelques dizaines de spécialistes, souvent d'anciens officiers supérieurs ou des personnages très proches de services de renseignement, comme l'était par exemple le représentant italien de Casalee, jugé à Brescia, Mario Fallani. Toute une structure sophistiquée a été mise en place au sein du groupe de manière à ce qu'il puisse fonctionner en circuit fermé. Ainsi, les dirigeants de Casalee disposent pour leurs déplacements de leur propre agence de voyages (Agitour, qui a des bureaux à Bruxelles et Anvers), de logements (par exemple à Zurich, où une Gästewohnung de quatre étages, soigneusement gardée, est située en plein coeur du quartier chaud de la ville) et un jet privé basé à Harare, au Zimbabwé. Le groupe possède également ses propres sociétés de transit douanier et d'affrètement de bateaux. Sa branche de transports maritimes dispose de 14 bureaux le long des côtes d'Afrique australe et des intérêts dans des compagnies maritimes au Moyen-Orient et en Inde.

Casalee a été particulièrement active pendant la guerre Iran-Irak, fournissant des armes aux deux belligérants. En 1984, une délégation de la Ligue arabe, conduite par le ministre jordanien Taher al Maasri, s'est officiellement rendue en Belgique pour demander au gouvernement qu'il fasse cesser les exportations massives d'armements vers l'Iran, par trois sociétés implantées dans le pays, Rhein Metal, Cosmic Trading, et Casalee. Une enquête du parquet de Bruxelles - aidé par la Brigade de surveillance et de recherche (BSR) -, qui s'est poursuivie jusqu'en 1988, a permis d'établir, entre autres, qu'un directeur de Casalee, R. Jolly, avait été contacté à de nombreuses reprises par un marchand d'armes espagnol, Ruy Mendes Franco, pour vendre 30 000 pistolets-mitrailleurs Beretta au Pakistan, 200 canons de 130mm et 122 mm, ainsi que 50 Howitzer, des véhicules blindés, des missiles Sam, des hélicoptères et des patrouilleurs sud-coréens à l'Irak, du matériel soviétique (Kalashnikovs, RPG-7, batteries de DCA, véhicules auto-tractés, au Pérou.

Le procès de Brescia a révélé, pour sa part, que l'un des directeurs de Casalee Italia, Mario Fallani, entretenait des relations étroites avec le SISMI, le service de renseignement militaire italien, auquel il rendait compte de toutes les transactions en cours avec l'Irak. Un des autres représentants de Casalee Italia était le général A. A. Julius, ancien attaché militaire britannique à Rome. Les millions de mines vendues pendant les années 80 par VSMT à l'Irak, l'ont été en grande partie par Casalee, ainsi que par une société de Genève, la Cofitec, dont le patron, Gabriel Van Deuren, un Français, ancien de Saint-Cyr est un vieil ami de M. Fallani. Dans le même temps, Casalee Belgique entretenait d'excellentes relations avec l'Iran, y représentant mêmes plusieurs sociétés européennes. C'est un Suisse, Peter Kurt Maier, qui à partir du bureau du groupe à Singapour, était chargé du dossier iranien. Le procès de Brescia s'étant conclu par dix condamnations à 20 mois de prison avec sursis (dont MM. Fallani et Van Deuren), tous les condamnés ont présenté un recours; la cour de cassation de Rome a requalifié le délit en simple contravention, ce qui nécessitera un nouveau procès.

Aux Etats-Unis, Casalee America Corp, ainsi que cinq autre producteurs de tabac ont eu quelques ennuis avec le gouvernement américain, l'an dernier, et on dû plaider coupables devant la cour de Raleigh, en Caroline du Nord, pour avoir effectué un certain nombre de paiements, au nom des Irakiens, officiellement en échange de fournitures de cigarettes et des pièces détachées. Mais l'affaire est peut-être plus complexe: Arif Durrani, un Américain d'origine pakistanaise, très proche des Pasdarans iraniens, condamné à dix ans de prison aux Etats-Unis, en 1986, pour trafic d'armes vers l'Iran, affirme que Casalee serait une compagnie de façade de la CIA. Interrogé à ce propos, le 3 février dernier, l'administrateur suisse du groupe, Ulrich Arnold Kohli, un avocat bien connu de Zurich, a d'abord répondu: "Tout est possible en Amérique", avant de rectifier, en attribuant "ces histoires à la concurrence, dans le but de discréditer Casalee".

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"R. Jolly" est Robert Jolly

Armscor est l'acronyme de Armaments Corporation of South Africa, un organisme sud-africain sous contrôle étatique créé officiellement en 1968 afin de gérer les programmes d'armements nationaux, ainsi que leur exportation.

Voir :

https://mg.co.za/article/1996-12-06-the-shady-sports-dealer/

The shady sports dealer

6 Dec 1996

(...)

Apart from his liaison with Armscor in his arms-dealing days, Bredenkamp is known to have allowed at least one operative from South Africa’s military intelligence to claim to work for his tobacco company while active in the Southern African region.

(...)

He formed a tobacco company called Casalee, named after his two daughters Caron and Sara, and his wife Lee. Casalee’s industrial arm fronted a massive arms dealing operation which was active in most of the world’s trouble spots – in particular Iran, to which he sold land mines and anti-aircraft guns.

On several occasions the documentary dwells on Bredenkamp’s knack of co-opting state officials and policemen. Early on in his career he was charged with contravening Rhodesian trade legislation. However, the charges fell away and the investigating officer in the case, Robert Jolly, is now a Casalee executive.

Channel Four also commented on the Belgian police’s sudden decision to back-off investigating Bredenkamp’s sale of arms to Iran. Channel Four accused Bredenkamp of bribing staff at a major international arms manufacturer to secure commissions for himself and established he had set up a secret company to receive commissions.

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Voir aussi :

http://archive.niza.nl/docs/200503291053497103.pdf





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From a report in Africa Confidential (November 1999): Bredenkamp ‘has been vulnerable to political  criticism for his acknowledged support for the Ian Smith regime and its secret ‘Zephyr’ programme, which broke United Nations sanctions against the minority Rhodesian regime. At the height of Zimbabwe’s liberation war, Dutch journalists photographed in a Belgian hangar a fleet of Italian Marquetti (sic) fighter planes procured by Bredenkamp for the Smith regime.’ 34  Similar reports were published in a South African newspaper 35 and Punch Magazine (‘Once in charge of the financial affairs of the Rhodesian Defence Forces’) 36

34 ‘Zimbabwe/Congo-K–Rhodies to the rescue: Some of Ian Smith’s old friends are helping to finance Mugabe’s Congo war effort’, Africa Confidential, Vol. 40 No. 22, 5 November 1999, 5. The magazine most likely referred to material used in the BBC ‘Panorama’ broadcast of 1979.

35 ‘Zim tycoons stay rich by keeping heads close’, Sunday Independent, South Africa, 8 April 2001; quoted from www.zimbabwesituation.com/apr10_2001.html The paper was not the first around that time to use similar wordings.

36 Pete Sawyer, ‘All Mugabe’s Men’, Punch Magazine, No. 106 (May 17-30, 2000); quoted fromwww.zimbabwesituation.com/may19.html

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https://www.herald.co.zw/bredenkamp-dies/

Bredenkamp dies

19 Jun, 2020 - 00:06

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https://wikispooks.com/wiki/John_Bredenkamp

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In his book "In the Public Interest", Gerald James describes Bredenkamp's arms trade and British SIS involvement thus:

   Casalee had bases all over the world, including America, Luxembourg and of course Brussels, with its special understanding of the intelligence services of Britain.... Casalee made its vast wealth acting as middleman to all the major players in the arms industry with the blessing of both US and British Intelligence. According to the Belgian Public Prosecutor, Casalee was in fact largely connected and controlled by MI5, the British Intelligence service with responsibilities in former colonies.

   Secrecy and security were paramount in Casalee, a company which represented the interests of the most powerful governments in the Western World. So close was Bredenkamp with the government of apartheid South Africa, with its crucial contacts in British and US Intelligence, that in 1986 he had been allowed to appoint the Managing Director of Armscor to spearhead a drive into Europe, just as the British Government was getting its own Arms-to-Iraq business into top gear.

(...)

https://www.theguardian.com/world/2010/dec/18/tzvangirai-mdc-wikileaks-mugabe-zanu

(...)

The memo also contains the claim that an international arms dealer once reputed to be a key Mugabe ally worked for British intelligence.

A Zanu-PF source is quoted in the cable suggesting that "John Bredencamp [sic], a shady white Zimbabwean businessman, had told Zanu-PF he would provide a financial 'retirement' package for Mugabe".

The cable explains that the source "did not know whether Bredencamp had sufficient resources to make such a package attractive enough, but he claimed that Bredencamp worked for MI6 and could be a channel for the British to provide funds to sweeten the deal". The cable goes on to note that the British high commission in Harare "scoffed at the very idea".

The references to Bredenkamp, a former Zimbabwean rugby captain, are intriguing. The multimillionaire, who has a home in Berkshire, has rejected claims that he is a Mugabe crony. Bredenkamp, who made his money in tobacco farming, was named in a 2002 UN report as a key arms trader who made millions of pounds from illegally exploiting natural resources in the Democratic Republic of Congo. Bredenkamp, who did not respond to Observer emails, has rejected the UN's claims and has pursued legal action to clear his name.

Rumours that Bredenkamp and his companies have worked with British intelligence have been rife in Zimbabwe for two decades.

Some have suggested that it would have been inconceivable for Bredenkamp to operate his business empire without a close relationship with MI6, but Bredenkamp has not commented on these claims and is likely to dismiss them.

(...)

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https://www.theguardian.com/world/us-embassy-cables-documents/232184

US embassy cables: Obstacles to reform in Zimbabwe

Friday, 30 October 2009, 07:29


https://www.theguardian.com/world/us-embassy-cables-documents/1295

US embassy cables: Easing Robert Mugabe out of office

Wednesday, 27 September 2000, 14:59

(...)  XXXXXXXXXXXX INFORMED XXXXXXXXXXXX THAT XXXXXXXXXXXX A SHADY WHITE ZIMBABWEAN BUSINESSMAN, HAD TOLD ZANU-PF HE WOULD PROVIDE A FINANCIAL "RETIREMENT" PACKAGE FOR MUGABE. XXXXXXXXXXXX DID NOT KNOW WHETHER XXXXXXXXXXXX HAD SUFFICIENT RESOURCES TO MAKE SUCH A PACKAGE ATTRACTIVE CONFIDENTIAL

PAGE 04 HARARE 05461 01 OF 02 271458Z ENOUGH, BUT HE CLAIMED THAT XXXXXXXXXXXX WORKED FOR MI6 AND COULD BE A CHANNEL FOR THE BRITISH TO PROVIDE FUNDS TO SWEETEN THE DEAL. (COMMENT: THE BRITISH HIGH COMMISSION HERE SCOFFED AT THE VERY IDEA. END COMMENT.)

(...)

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https://search.wikileaks.org/?query=John+Bredenkamp&exact_phrase=&any_of=&exclude_words=&document_date_start=&document_date_end=&released_date_start=&released_date_end=&new_search=True&order_by=most_relevant#results

https://wikileaks.org/gifiles/docs/50/5047729_zimbabwe-bae-arms-.html

Zimbabwe - BAE arms

BAE linked to Zimbabwean arms dealer

By Christopher Thompson and Michael Peel in London
Published: July 31 2008 23:31 | Last updated: July 31 2008 23:31

BAE Systems, the British arms manufacturer under investigation in several countries for alleged bribery, paid at least -L-20m to a company linked to a Zimbabwean arms trader allied to President Robert Mugabe, documents seen by the Financial Times show.

John Bredenkamp, who has indefinite leave to remain in Britain, has had a controversial career ranging from supplying military equipment to the Zimbabwean military to mining in the Democratic Republic of Congo.

British properties owned by Mr Bredenkamp were raided by the Serious Fraud Office more than 18 months ago as part of a long-running investigation into BAE aircraft sales to South Africa. The payment of at least -L-20m is the first detailed evidence of a financial relationship between Mr Bredenkamp and the group.

The payments raise fresh questions about BAE*s dealings with outside agents, intermediaries who sometimes act as brokers in arms deals. Agents have featured in investigations into whether BAE channelled bribes to foreign officials to win contracts.

BAE refuses to provide details of its relationships with agents, although it has pledged to introduce reforms as part of an effort to improve its image after the corruption investigation into its multibillion-pound al-Yamamah arms deal with Saudi Arabia.

The payments linked to Mr Bredenkamp were made between 2003 and 2005 by Red Diamond Trading, a BAE subsidiary registered in the British Virgin Islands, from a London-based Lloyds TSB account, according to documents seen by the FT. The money was transferred to Kayswell Services, also registered in the British Virgin Islands, a company in which the documents list Mr Bredenkamp as a beneficiary.

British Virgin Island company records show Red Diamond was liquidated on May 30 last year, just two weeks before BAE announced that Lord Woolf, the former lord chief justice, would investigate its ethical conduct and compliance with anti-corruption rules. BAE, Mr Bredenkamp and Kayswell all declined to confirm the payments or comment on what the money was for.

Less than two weeks ago, BAE unveiled a plan to achieve *benchmark standards of governance* as part of its response to Lord Woolf*s recommendations.

Mr Bredenkamp has been involved in tobacco trading, oil procurement and * according to the United Nations * the supply of equipment to the Zimbabwe air force. Mr Bredenkamp says he has always complied with European Union arms sanctions, in force against Zimbabwe since 2002, which ban *the provision of financing related to military activities*.

Mr Bredenkamp, who prospered under Ian Smith*s white Rhodesian regime, is now a close associate of Zimbabwe*s rural housing minister, Emmerson Mnangagwa, head of the Mugabe government*s Joint Operational Command, a body widely identified as leading the campaign of violence against the government*s political opponents.

The Serious Fraud Office raids on Mr Bredenkamp*s UK properties were part of an ongoing investigation into BAE*s 1999 -L-1.6bn jet fighter sale to South Africa, when several ruling African National Congress officials allegedly received bribes.

A spokesman for Mr Bredenkamp denied he had any involvement in the South African sale and said it was *wholly inappropriate* for him to make any comment while the SFO inquiry continued.

BAE said: *It is our policy not to comment on payments to individual parties or organisations, or on the individuals, parties or organisations themselves.*

Une relation de Elio Massagrande : Vincenzo Fenili

https://ricerca.repubblica.it/repubblica/archivio/repubblica/1993/11/27/ora-spunta-il-generale.html

1993 > 11 > 27 > ORA SPUNTA IL GENERALE

(traduction)

(...)   Un chiffre d'un certain poids, parmi les suspects, est celui de Vincenzo Fenili, 35 ans, comme Marra, ancien pilote civil de l'ATI, un personnage déjà connu des Digos romains et florentins pour ses sympathies de droite. Son nom, il y a des années, a été trouvé dans le journal d'un nazi allemand, Karl Henz Hoffman. Accusé (ainsi que d'autres noms connus du néo-fascisme) d'une gigantesque escroquerie bancaire, par l'achat et la vente d'hélicoptères, Fenili a été acquitté, définitivement, le 10 décembre 1990. Cependant, il est actuellement impliqué dans une nouvelle enquête pour trafic d'armes. La magistrature florentine aurait prouvé ses contacts avec Elio Massagrande, le nouveau chef de l'Ordre qui s'est enfui au Paraguay, une figure inquiétante, avec des liens solides dans les anciens services et même à Gladio. (...)

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Sur Vincenzo Fenili (en néerlandais)

https://janstevens.wordpress.com/tag/vincenzo-fenili/

ITALIAN NEO-FASCISM IN STROESSNER'S PARAGUAY
Vito Ruggiero
Università Degli Studi Roma Tre
December 2019

(...)

The news of the existence of an anti-communist oasis in Latin America and the possibility of
participating economically in its development also crossed the borders of Italy. Starting in 1981,
advertisements began to appear in the German monthly magazine Nation und Europa inviting
people to invest money in the new companies that were emerging in Paraguay. If we consider the
caliber of the magazine in question, this element takes on a not inconsiderable importance. The
magazine Nation und Europa was in fact one of the main reference points of the European radical
right. It was founded in 1951 by the former German SS officer Arthur Ehrhardt and the writer
Herbert Böhme, also closely linked to National Socialism.

(...)

Many of the journal's contributions came from ideologists of the European national
neo-fascist movements, such as Julius Evola, Oswald Mosley, Jean-Marie Le Pen.

Nation und Europa was one of the main links of the so-called "Black International" and one of the
most widely used tools for the dissemination of ideas and the exchange of information.

(...)

/BO-ITALICUS%20BIS/0043%20%20IT2GI%20-%20ATTI%20BOLOGNA.pdf





(traduction)

Barcelone parce que les juges de Bologne l'avaient acquitté de l'accusation pour laquelle il avait été extradé de Grèce, et Graziani et moi avons été acquittés pour les massacres.

De Barcelone, en 1975, Massagrande est passé à Madrid où sa femme avait trouvé un emploi à l'Agence de voyage Transalpino.

Pendant mon séjour à Barcelone, j'ai reçu des appels téléphoniques amicaux de Graziani, qui était en Belgique.

En janvier 1976, j'avais ma résidence à Barcelone mais j'ai immédiatement déménagé à Madrid où j'ai trouvé un emploi chez Massagrande, dans la société Eniesa qui s'occupe du commerce extérieur. L'entreprise était dirigée par Delle Chiaie Stefano, qui était également propriétaire de la trattoria "El apuntamiento" où j'allais faire la vaisselle en échange d'un repas. Dans la pratique, à cette époque, l'Avanguardia Nazionale, par l'intermédiaire de Delle Chiaie, offrait une solidarité spécifique aux exilés de l'Ordine Nuovo, mais l'accord avec l'Avanguardia Nazionale ou plutôt les relations se sont rompues principalement pour des raisons de caractère et, par conséquent, tant l'Apuntamiento que l'Eniesa ont été fermés entre le printemps et l'été 1976.

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Note :

file:///F:/BO-ITALICUS%20BIS/0010%20%20IT2PM%20-%20DICHIARAZIONI%20DA%20P.P.%202348-C-84.pdf

(traduction)

Mario ROSSI alias Carlo VANNOLI, était à la tête de l'agence de voyage "Transalpino", basée à Madrid.

Cette agence aurait été utilisée pour promouvoir les voyages fréquents (à crédit) de DELLE CHIAIE et de ses collaborateurs, ce qui aurait causé une perte importante dans la gestion de l'entreprise. VANNOLI a donc été licencié et remplacé par Andrea MIEVILLE, un ancien membre de l'"AVANGUARDIA NAZIONALE", qui s'est ensuite éloigné de ce mouvement. Compte tenu du fait que MIEVILLE lui-même ne se prêtait plus aux voyages gratuits du groupe, DELLE CHIAIE aurait eu une violente altercation avec eux, à la suite de quoi, fin 1980 - début 1981, "Caccola" aurait eu un rôle primordial dans l'explosion du siège de l'agence et du chalet (on y aurait retrouvé la femme et la fille de MIEVILLE qui, par ailleurs, sont restées indemnes).

Dans

https://www.foiaresearch.net/organization/centro-studi-ordine-nuovo

il est question de Clemente Graziani





A noter, dans cette liste : Gino Ragno

Selon une info publiée par Scaramouche sur le forum flamand, Jean Bultot aurait acheté une Audi chez Brichau...

Citation :

De Bende van Nijvel stal een blauwe VW Santana in de nacht van 11 mei 1982 uit het uitstalraam van de Garage Sint-Veroon, Garage Brichau te 1502 Lembeek. Zij waren in Lembeek aangekomen met een Austin Allegro, gestolen in Elsene. Ik was jarenlang buurman van deze garage.

Eén van de uitbaters van deze garage vertelde me dat Bultot voordien een Audi Coupé had gekocht in hun garage. Auto gekocht, afgehaald, en daarna nooit meer gezien. Daarna overval in hun garage. Raar nietwaar? Ik heb dit feit van de aankoop van een Audi Coupé door Bultot in Garage Brichau te Lembeek destijds gemeld aan commissaris Eddy Vos. Waarom koopt een Brusselaar een Audi in Lembeek? Om de garage te verkennen?

Une coïncidence troublante de plus.

Mais Jean Bultot n'était pas fauché au point de faire du trafic de magnétoscopes ?

https://sites.google.com/site/tueriesdubrabant/interviews/interview-eric-lammers

(...) Alain Weykamp est resté un ami pendant des années. C’est un de mes proches. Jean-Marie Claus, nous nous sommes croisés, sans plus. Frédéric Saucez m’a trahi avec Nemry lors de l’affaire de la Pastorale. Jean Bultot était un ami de Weykamp que je n’ai jamais fréquenté, mais que j’ai croisé à quelques reprises. (...)