Jean Bultot

La guerra rivoluzionaria
Clemente Graziani

(traduction)

En Belgique, l'ivresse révolutionnaire semble être un fait suffisamment évident... dans les bassins miniers du Katanga. On sait que les cadres de l'armée de Tshombe étaient constitués des officiers les plus talentueux de l'armée belge, issus pour la plupart d'unités parachutistes ou de troupes d'assaut spécialisées dans les combats dans la jungle.

(traduction)

LE TERRORISME

Pour la conquête totale des masses, la doctrine de la guerre révolutionnaire envisage, outre le recours à l'action psychologique, l'utilisation de formes impitoyables et aveugles de terrorisme. Ceci pour des besoins similaires à ceux liés à l'action psychologique. En d'autres termes, il s'agit de conditionner les foules non seulement par la propagande, mais aussi en agissant sur le principal réflexe inné présent aussi bien chez les animaux que dans le psychisme d'une grande masse : la peur, la terreur et l'instinct de conservation.

Ainsi, ceux qui dirigent l'action révolutionnaire prennent soin de consacrer, à grand renfort de statistiques, le principe selon lequel ceux qui trahissent, ceux qui contredisent, ceux qui ne sont pas d'accord sont inexorablement abattus. Un sentiment d'impuissance, un sentiment d'acquiescement absolu par rapport au destin inéluctable de la victoire de la fraction révolutionnaire doit être établi dans les masses. En outre, le terrorisme à grande échelle pratiqué dans les rangs des forces chargées de la répression du mouvement révolutionnaire génère toujours un malaise, une lassitude et une insécurité, créant ainsi des conditions favorables à la propagande défaitiste.




(traduction)

Ce type d'activité terroriste tend également à exaspérer l'adversaire pour le contraindre à des actions de représailles toujours odieuses et impopulaires, même si elles sont justes, et qui, par conséquent, lui aliènent la faveur et la sympathie d'une grande partie de la population. A cet égard, il convient de rappeler ce que les représailles exercées par les S.S. de Kapplcr après l'attentat communiste de Bentivegna sur la Via Rasella ont signifié pour la propagande antinazie. Les représailles par fusillade d'otages dans un rapport de un à dix sont prévues par les lois internationales de la guerre dans des cas comme celui de l'attentat de Via Rasella, mais les masses, comme il est logique, ne savent pas ces choses et, en tout cas, ne les comprennent pas ; de même qu'elles ne savent pas qu'il a été possible de condamner Kappler à la prison à vie uniquement parce que, par erreur, il a fait fusiller un peu plus d'otages que ne le permettent les lois sur les représailles en temps de guerre. Sans aucun doute, les représailles de Kappler, bien que légitimes et provoquées par une action subversive qui n'avait absolument rien à voir avec le déroulement des opérations militaires, ont porté aux Allemands un préjudice qui n'était certainement pas prévu, même par ceux qui, dans le respect des principes de la guerre révolutionnaire, préparaient et dirigeaient cette action.

Nous avons parlé de terrorisme aveugle et cette notion implique évidemment la possibilité de tuer ou de faire tuer des vieillards, des femmes, des enfants.






(traduction)

De telles actions ont jusqu'à présent été considérées comme des crimes universellement condamnables et exécrables et, surtout, inutiles, exacerbant l'issue victorieuse d'un conflit. Les canons de la guerre révolutionnaire renversent cependant ces principes moraux et humanitaires. Ces formes d'intimidation terroriste sont, aujourd'hui, non seulement considérées comme valables, mais - parfois - absolument nécessaires à la réalisation d'un objectif donné. L'OAS, en Algérie, avec les quelques hommes dont elle disposait, appliquant ces critères de la guerre révolutionnaire (bien assimilés d'ailleurs par les innombrables manifestations reçues par le FLN) a réussi à bloquer toute la population musulmane dans ses quartiers, alors même que la faim, la maladie, les privations de toutes sortes poussaient ces foules à tenter des sorties au-delà des clôtures de la terreur et de la mort systématique. Il s'agit peut-être de l'action la plus importante de l'OAS, qui a sérieusement mis en péril les accords d'Évian et toute la politique d'abandon du général De Gaulle.

"Le choc du mois" était une revue d'extrême-droite.

Plusieurs articles sur des personnes souvent citées, notamment Stefano Delle Chiaie...

Le choc du mois - n° 20-21 Juillet-août 1989 - Table des matières

"Le choc du mois" était une revue d'extrême-droite.

Le choc du mois - n° 20-21 Juillet-août 1989

Le choc du mois - n° 20-21 Juillet-août 1989





https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Choc_du_mois

Le Choc du mois était un mensuel politique français d'extrême droite diffusé à partir de décembre 1987 jusqu'en 1993, date à laquelle il a cessé de paraître, à la suite d'une condamnation pour négationnisme. Le journal a été fondé par François Brigneau, Marc Dem et Bruno Larebière. (...)

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Sur James Shortt :

Senior Instructor - James Shortt (ibasouthpacific.com)

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Un proche de Clemente Graziani, de Licio Gelli, d'Amos Spiazzi, de Stefano Delle Chiaie et de la F.A.N.E. en France (Jacques Borsu ? Christian Elnikoff ?) : Dario Zagolin

https://4agosto1974.wordpress.com/2014/05/10/la-figura-di-dario-zagolin-g-i-salvini/

Selon Michel Libert, Karel De Lombaerde connaissait fort bien Jacques Borsu. Il connaissait aussi Christian Elnikoff (mais plus tardivement). Toujours selon Michel Libert, Robert Close et Karel De Lombaerde se connaissaient bien (il les a vus se tenant par l'épaule).

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https://p-magazine.com/nl/articles/bendedossier-trafiek-van-vuurwapens-linkt-bultot-aan-gelli-en-mysterieuze-organisatie-rosa-dei-venti

Bendedossier: trafiek van vuurwapens linkt Bultot aan Gelli en mysterieuze organisatie Rosa dei Venti

Thierry Debels - 05-10-2024

(traduction)

Dossier des tueries du Brabant : le trafic d'armes à feu relie Bultot à Gelli et à la mystérieuse organisation Rosa dei Venti

Thierry Debels - 05-10-2024



Jean Bultot, aidé par un attaché de l'ambassade du Congo dans notre pays, a fourni des armes à feu au MSI. C'est ce qu'indique un pv de la BSR de Bruxelles.

Le Movimento Sociale Italiano (MSI) était un parti italien, d'abord néo-fasciste puis national-conservateur, fondé en 1946 par Giorgio Almirante (1914-1988), chef du cabinet du ministre de la culture populaire de l'État fasciste fantoche de Mussolini, la République sociale italienne, dans le nord de l'Italie (1943-1945).

Après la Seconde Guerre mondiale, Almirante est devenu le « chef » du MSI, ce qu'il est resté jusqu'en 1950. À ce poste, il s'en tient strictement à une ligne néo-fasciste (ce qu'il peut se permettre, car le mouvement fasciste peut être considéré comme un facteur de pouvoir important en Italie jusqu'aux années 1950). En raison de la nature fasciste du MSI, certains prétendent que MSI signifie en fait Mussolini Sei Immortale (Mussolini est immortel).

Il existe également un lien entre Licio Gelli et le MSI. Licio Gelli (Pistoia, 21 avril 1919 - Arezzo, 15 décembre 2015) était connu comme le « Vénérable Maître » de la loge maçonnique subversive P2.

Il a été condamné pour la faillite frauduleuse de Banco Ambrosiano et pour avoir induit en erreur l'enquête sur le massacre de Bologne en 1980. Selon les arrêts de la Cour d'assises de Bologne d'avril 2023 et de juillet 2024, Gelli est l'instigateur et le financier du massacre.

Ce qui est moins connu, c'est que Licio Gelli était également cofondateur de la mystérieuse organisation « Rosa dei Venti ». Cette milice comprenait également des politiciens du MSI. Les armes à feu de Bultot étaient-elles destinées à ces hommes politiques ?

Rosa dei Venti (littéralement : la rose des vents) était une organisation néo-fasciste italienne secrète aux objectifs anticommunistes, liée à des cercles militaires. Ce n'est pas un hasard si la rose des vents est le symbole de l'OTAN.

L'objectif de l'organisation était de mettre en œuvre une sorte de version actualisée du Plan Solo. Le Plan Solo était un plan spécial d'urgence pour la protection de l'ordre public élaboré en 1964 par Giovanni de Lorenzo, alors qu'il était commandant général des carabiniers, sur ordre du président de la République Antonio Segni.

On affirme aujourd'hui que l'organisation Rosa dei Venti s'apparentait à Gladio, une sorte de branche locale d'un service de renseignement de l'OTAN qui opérait en parallèle - et à un niveau plus élevé - que les services officiellement reconnus.

Pour des raisons évidentes aujourd'hui, le trafic d'armes à feu de Bultot au MSI mentionné dans le rapport de police de la BSR de Bruxelles n'a pas été poursuivi.

HERVE a écrit:

https://p-magazine.com/nl/articles/bendedossier-trafiek-van-vuurwapens-linkt-bultot-aan-gelli-en-mysterieuze-organisatie-rosa-dei-venti

[b]Bendedossier: trafiek van vuurwapens linkt Bultot aan
Pour des raisons évidentes aujourd'hui, le trafic d'armes à feu de Bultot au MSI mentionné dans le rapport de police de la BSR de Bruxelles n'a pas été poursuivi.

Quel est la raison évidente pour laquelle le trafic n'a pas été poursuivi?
A quel période se situe se trafique?
Quel était sa filière, L'intermédiaire de son approvisionnement?