Les certitudes

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Imaginer la porte ouverte et le gendarme derrière... Le tueur a tirer où d'après vous?
Je suis même pas sûr que derrière la porte on apercevrai les chevilles.
Donc l'explication de Darnay est claire.. Tir à travers la portière, Morue tombe, et le tireur continue à tirer et touche les chevilles.

Ca c' est côté Lacroix puisque c' est lui qui conduisait.
Auriez-vous une photo de l' autre côté ?

pyrénéen a écrit:

Ca c' est côté Lacroix puisque c' est lui qui conduisait.
Auriez-vous une photo de l' autre côté ?

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Selon Dupont Ponsaers, page 42 :

''  Marcel Morue lui demande encore d'appeler des renforts, puis s'écroule sur le dos atteint de deux projectiles dans la cheville. ''

Je pense que C.P pourrait peut être remettre le lien vers l'explication de comment a eu lieu la fusillade à Nivelles.
On discute encore une fois d'un détail, qui de doute façon ne fera pas avancer l'affaire, mais qui est instigué pour démontrer que les auteurs sont des pros.
Si vous saviez comme ça me fatigue...

Constatons aussi l'intelligence et la calme dont ils ont fait preuve en tirant sur les phares du combi.

Huggy a écrit:

Selon Dupont Ponsaers, page 42 :

''  Marcel Morue lui demande encore d'appeler des renforts, puis s'écroule sur le dos atteint de deux projectiles dans la cheville. ''

A croire qu'ils étaient sur place.

Le propre des survivants est qu'ils témoignent Glen.

Huggy a écrit:

Constatons aussi l'intelligence et la calme dont ils ont fait preuve en tirant sur les phares du combi.

C'est vrai qu'a la chevrotine la précision est importante.

Ce n'est pas une question de précision, mais plutôt d'avoir eu la présence d'esprit d'accomplir cet acte.

Je ne fais que lire un document officiel Glen.

Huggy a écrit:

Ce n'est pas une question de précision, mais plutôt d'avoir eu la présence d'esprit d'accomplir cet acte.

Non, c'est une question de prendre n'importe quel arme qui vous tombe sur la main, et d'arroser les gendarmes qui vous perturbent dans un casse. La confrontation avec les gendarmes n'était quand même pas prévue, il fallait agir dans l'urgence... Mais non, tranquille.. Après avoir tuer 2 personnes, ils voient l'arrivée des gendarmes calmos.
"Bon, Robert toi tu vises les chevilles de l'un et moi je vise les phares"... Mais bien sûr... c'est pas des pros là, c'est le GIGN.
Et tout ça pour voler des pralines? Chapeau l'artiste.

Ils ont su quoi faire, et ils l'ont fait, ne vous en déplaise.
Libre à vous de prendre les évènements à la dérision, mais c'est comme cela que ca c'est passé.

Par 5 fois lors de la première vague, ils ont été confrontés aux forces de l'ordre et par 5 fois, ils ont su réagir de manière calme et victorieuse, non ?

des individus ordinaires, voleurs de poules, surarmés et vraisemblablement protégés par les gilets pare-balles volés une semaine plus tôt..

pyrénéen a écrit:

Je ne fais que lire un document officiel Glen.

.

La camionnette ne se trouvait vraiment pas loin de la porte où se trouvaient les auteurs

Citation :

CP à écrit :

Citation :

Glen2 à écrit :

e pense que C.P pourrait peut être remettre le lien vers l'explication de comment a eu lieu la fusillade à Nivelles.
On discute encore une fois d'un détail, qui de doute façon ne fera pas avancer l'affaire, mais qui est instigué pour démontrer que les auteurs sont des pros.
Si vous saviez comme ça me fatigue...

Je vous comprends Glen, je vous comprends... c'est une certitude Wink
https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t3179p400-nivelles-17-septembre-1983

Quelle belle participation CP, toutes mes félicitations,

à la page 17 vos publications ne sont que petits bonhommes jaunes souriant.  Pas un mot.
Sinon un papier officiel posté par HERVE ou il est écrit que le gendarme à bien été touché à la cheville ? Quoi d'autre ?

Et c'est avec ca que vous salissez la parole du gendarme LACROIX ?que vous allez contre un document officiel ? Que vous réécrivez l'histoire et la mort du gendarme MORUE ?

Vous et Glen feriez vous de la bouffonnerie pour me taquiner ?  

     

Citation :

Glen à écrit :


La camionnette ne se trouvait vraiment pas loin de la porte où se trouvaient les auteurs

Ca ne change rien au problème, car si l'adversaire est à portée de tir, c'est que vous l'êtes aussi

Huggy a écrit:

Citation :

Glen à écrit :


La camionnette ne se trouvait vraiment pas loin de la porte où se trouvaient les auteurs

Ca ne change rien au problème, car si l'adversaire est à portée de tir, c'est que vous l'êtes aussi

Là n'est pas la question.
Dans le cas présent, il est indéniable que l'effet de surprise a jouer. Je ne pense pas que les gendarmes s'attendaient à un comité d'accueil comme celui-là, sinon ils ne se seraient pas approchés si près des voitures.
Ce que je ne comprend pas c'est la réaction des gendarmes quand ils arrivent par la station d'essence.
Ils sont alerter par l'alarme du Colruyt (donc suspicion de vol).
Ils passent par la station DATS, et aperçoivent 2 voitures (la Mercedes et la Saab).
Ils ne sont que 2, ils devaient quand même se douter au vu des 2 voitures, que les auteurs étaient en nombre.
Alors pourquoi ne pas reculer, et demander des renforts.
Et bien non, ils vont se jeter dans la gueule du loup, à quelques mètres de la porte.

C'est ce que font aussi les gendarmes Campine et Sartillot lorsqu'ils coincent la Santana, et pourtant eux savent qu'ils ont affaire à de dangereux individus armés, et aussi qu'ils ne peuvent compter que sur eux mêmes, étant donné les ondes surchargées.
Empreints de courage ou dépourvus de lâcheté, ces gendarmes assurent leurs fonctions de représentants de l'ordre, ils sont formés à ce genre de situation.

Huggy a écrit:

C'est ce que font aussi les gendarmes Campine et Sartillot lorsqu'ils coincent la Santana, et pourtant eux savent qu'ils ont affaire à de dangereux individus armés, et aussi qu'ils ne peuvent compter que sur eux mêmes, étant donné les ondes surchargées.
Empreints de courage ou dépourvus de lâcheté, ces gendarmes assurent leurs fonctions de représentants de l'ordre, ils sont formés à ce genre de situation.

Aucun gendarme, ni policier n'a été former à ce genre de situation.
Les situations dans lequel se sont trouvés ces gens n'étaient en rien comparables avec les simulations dans lesquelles ont les mettaient à l'entrainement. Il y a une grande différence à tirer sur des cibles mouvantes et à essuyer les tirs des opposants.
Les armes employées, la détermination des auteurs à ne pas se faire prendre, ont fait que le rapport de force était inéquitable.

Tout qui choisi de porter une arme, sait qu'il devra très certainement s'en servir, policier ou bandit.
Je pense comme vous que la détermination de nos affreux à ne pas se faire prendre est un avantage certain.
Cependant il est indéniable qu'ils ont réagi avec intelligence, calme, et précision, ils ont su quoi faire et l'ont bien fait, ce n'est pas de la chance.

Glen2

Votre connaissance de la gendarmerie et de la police est précieuse pour la compréhension de l'affaire. Savez-vous si après les TBW, la formation des gendarmes et des policiers a été adaptée pour faire face à des situations de ce type.

glen2 a écrit:

Aucun gendarme, ni policier n'a été former à ce genre de situation.
Les situations dans lequel se sont trouvés ces gens n'étaient en rien comparables avec les simulations dans lesquelles ont les mettaient à l'entrainement.

Franz2 a écrit:

Glen2

Votre connaissance de la gendarmerie et de la police est précieuse pour la compréhension de l'affaire. Savez-vous si après les TBW, la formation des gendarmes et des policiers a été adaptée pour faire face à des situations de ce type.

glen2 a écrit:

Aucun gendarme, ni policier n'a été former à ce genre de situation.
Les situations dans lequel se sont trouvés ces gens n'étaient en rien comparables avec les simulations dans lesquelles ont les mettaient à l'entrainement.

Vous m'attribuez des connaissances que je n'ai pas.
Ayant fréquenter un stand de tir, j'ai juste eu l'occasion d'assister quelques fois à des entrainements de policiers et gendarmes.
Ce qui m'a permis de boire un verre avec certains après leurs entrainements.
Il m'ont souvent expliquer que normalement ils devaient tirer un nombre déterminé de balles à l'entrainement, pendant une période déterminé.
Mais que vu les restrictions budgétaires où pour détourner un peu d'argent, ont marquait dans leur dossier qu'ils avaient fait leurs séances de tir, pendant qu'ils n'avaient jamais mis les pieds au stand de tir.
Nombre de gendarmes avaient, à cause de ce système, des années d'entrainement dans leur dossier, sans connaître l'adresse du centre d'entrainement.
Je dois reconnaître dans l'autre sens, que certains gendarmes venaient toutes les semaines tirer quelques balles, à leur propre frais comme nous.
Quand au fait d'une formation adapté à de telles situations, je pense que c'était impossible.
Chaque situation est différente et quoi qu'on puisse penser les auteurs ont toujours un coup d'avance.