Nouveau suspect photo

https://www.dhnet.be/actu/faits/nouvel-appel-a-temoins-dans-l-affaire-des-tueurs-du-brabant-38-ans-apres-les-faits-reconnaissez-vous-cet-homme-5ee87ce49978e21bd078eeaa

Tient, revoilà le fusil SPAS-12.
Comme le monstre du Loch Ness, il s'en va et revient ensuite...

L'autre point intéressant est que cette photo serait "arrivée sur le bureau des enquêteurs, fin 1985-début 1986".

Très étonnant. Tout ceci à propos d'une arme très innovante, très cher et apparemment d'une fiabilité douteuse,... et relativement peu vendue.
Dans le milieu des amateur, c'est une arme "légendaire" de part ses caractéristiques et son utilisation à Hollywood. Un vrais collectionneur (dans les pays où la possession d'armes est chose aisée) se doit d'en avoir une dans son usée ... tout comme toute "bonne" collection de voitures ce doit d'avoir une Cord cabriolet 1937 ou une Tucker 1948.
Qui étaient des voitures très innovantes, très chères et apparemment d'une fiabilité douteuse,... qui n'ont quasi pas été vendues ... mais que l'histoire (via Hollywood pour la 2ième) ont rendu légendaire.

Pour revenir au SPAS 12, le grand mystère est comment est-il possible qu'une arme rare à diffusion très restreinte ait pu coincer des enquêteurs durant plus de 40 ans?
Si cette photo est bien celle d'un belge, il est certains qu'il doit être reconnu par des gens qui fréquentaient le milieu "tir et armement" à l'époque. Et vu le nombre de policiers et gendarmes qui en faisait partie, il est peu crédible de se dire que depuis 1986, personne ne l'ait déjà reconnu... Ou alors cette photo est restée perdue derrière un meuble et personne ne la jamais vue... sauf la secrétaire qui avait ouvert l'enveloppe et daté le courrier...
;-)

une photos arrive rarement sans legende ou nom, contexte .... la justice a regarder derriere au moins ??? avec eux ont ne sait jamais hein

ca devrais vous rapeler le film Tueurs

sinon : gaucher, uniforme ??? garde forestier ??

Arme du film Terminator : https://terminator.fandom.com/wiki/SPAS-12

On dit que ce SPAS 12 a servi à Alost alors que la balistique établit que les 2 armes de calibre 12 utilisées à Alost sont les mêmes que celles utilisées à Overjise, à Nivelles et au diable amoureux en 83.
Il s'agit sans doute plus de refermer une piste qu'autre chose.

En effet, l'individu tient l'arme comme un gaucher.  La photo n'est pas retournée!

Sa chemise n'est pas une d'uniforme ABL ou Eaux-et-Forêt.
Avec les épaulettes pour les grades, elle fait très "battle-dress".  Des spécialistes devraient pouvoir la reconnaître car elle a des éléments très particuliers comme:
- la poche sur la manche
- des sortes de passants multiples au dessus des poches de poitrine (c'est très particulier)
- une sorte de "porte-grade" central entre les poches de poitrines.

Pour ce qui est de reconnaître l'individu, une telle coiffure "crollée" et ses lunettes de soleil devraient réveiller des souvenirs... même à ceux qui ne l'ont pas connu dans le milieu "des armes".

Le SPAS12 fait partie de la mythologie brabançonne. Quant au crolle à moustache, dans les années 80, il y en avait un paquet...

Au JT de RTL ils en ont parlés, et la photo avait été remise au parquet de Termonde en 86.

Intéressant. Pas tant l'arme que la tenue du personnage, ainsi que le bois où la photo a été prise. Pourrait-il s'agir à nouveau du Bois de la Houssière ?

Dans la mesure où quelques-uns des suspects s'y entraînaient au tir, je suppose que c'est possible. Et sa chemise est en effet paramilitaire.

Il serait intéressant de savoir comment cette photo a atterri à la Cellule Delta à Termonde.

Quidam67 a écrit:

Tient, revoilà le fusil SPAS-12.
Comme le monstre du Loch Ness, il s'en va et revient ensuite...

L'autre point intéressant est que cette photo serait "arrivée sur le bureau des enquêteurs, fin 1985-début 1986".

Très étonnant.  Tout ceci à propos d'une arme très innovante, très cher et apparemment d'une fiabilité douteuse,... et relativement peu vendue.
Dans le milieu des amateur, c'est une arme "légendaire" de part ses caractéristiques et son utilisation à Hollywood.  Un vrais collectionneur (dans les pays où la possession d'armes est chose aisée) se doit d'en avoir une dans son usée ... tout comme toute "bonne" collection de voitures ce doit d'avoir une Cord cabriolet 1937 ou une Tucker 1948.
Qui étaient des voitures très innovantes, très chères et apparemment d'une fiabilité douteuse,... qui n'ont quasi pas été vendues ... mais que l'histoire (via Hollywood pour la 2ième) ont rendu légendaire.

Pour revenir au SPAS 12, le grand mystère est comment est-il possible qu'une arme rare à diffusion très restreinte ait pu coincer des enquêteurs durant plus de 40 ans?
Si cette photo est bien celle d'un belge, il est certains qu'il doit être reconnu par des gens qui fréquentaient le milieu "tir et armement" à l'époque.  Et vu le nombre de policiers et gendarmes qui en faisait partie, il est peu crédible de se dire que depuis 1986, personne ne l'ait déjà reconnu...  Ou alors cette photo est restée perdue derrière un meuble et personne ne la jamais vue... sauf la secrétaire qui avait ouvert l'enveloppe et daté le courrier...
;-)

Je peux confirmer que la photo a bien été "exploitée" et présentée à certains témoins ou suspects.

Est-ce lié à un des portraits-robots faits au début de l'affaire ?

Pour être un "crollé", c'est un plutôt 'fourni' celui-là. Je dirais même d'un genre peu fréquent que je qualifierais de "perruqué naturel". À moins qu'il soit là en 'tenue d'action', portant réellement une perruque..?.?.?.

Me rappelle un témoignage (et un PR) faisant état d'un individu de 'bonne présentation', mais semblant tout à la fois sorti de "La Planète des singes" :



Vu dans une Saab portant une plaque...BZ.....

Amusant, c'est exactement celui à qui je pensais.

Attendons de voir la suite, si réellement ce nouvel appel à témoins donne quelque chose.

Voici l'avis de recherche en question:

Je poste la photo, sous peine que ce fil soit un de plus dans lequel tout le monde parle d'une photo qui est visible....nulle part     
'HERVE' l'a postée en grand format et dans son entièreté ci-dessous, donc j'ai retiré la mienne

Je me permets d'ajouter un sentiment très personnel :
J'ai d'emblée eu l'impression d'avoir le son en plus de l'image.

Je lui donne une voix à la Jo.ey St.arr et lui fais dire à son otage "tout s'pass'ra bien si tu fais pas l'andouille".

Autant dire qu'un pareil, personne ne s'en souviendra car, comme le 'comédien' cité, il n'a probablement jamais été d'ici....

____________________

re(voir) : https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t2362p555-schema-de-michel-libert#88752
(rien à voir a priori entre l'article que j'indique et le sujet du fil où il a été posté, mais ce qu'a écrit 'KeBiesse' ci-après m'interpelle...)

nos amis flamand disent que c'est Libert qui a donner la photo

https://www.rtl.be/info/video/749417.aspx

Merci 'HERVE' pour cet extrait du JT, dans lequel E.V.D., porte-parole du Parquet Fédéral explique que la personne qui a remis cette photo aux enquêteurs en 1986 a précisé que cette personne était très importante pour l'enquête sur les tdB.

En outre, 'KeBiesse' a écrit que selon le forum flamand la personne ayant remis la photo serait M.L..

Si cela se confirme 'HERVE', il vous serait peut-être possible d'en savoir davantage étant donné les contacts réguliers que vous entretenez avec l'intéressé pourvoyeur présumé de la photo.

Merci d'avance

Je lui ai déjà posé la question. J'attends la réponse... mais je ne sais pas pourquoi "Ben" pense à Michel Libert (apparemment une allusion dans le carnet de Willy Acke)...

Les vêtements que cette personne porte pourraient peut-être fournir une piste ?

La photo a été remise en 86 et les enquêteurs se réveillent en 2020......

Cette photo semble avoir été montrée à beaucoup de personnes depuis 1986. Si personne ne l'a reconnu, il faut en conclure qu'il s'agit d'un total inconnu.

A titre d'information, deux réactions de Michel Libert...

_ _ _ _ _ _

Il y a près, très bientôt, d'un "demi-siècle" que je nage, bien obligé, dans un tumulte tour à tour judiciaire et médiatique. Vous conviendrez avec moi que la chose est particulièrement ... éreintante.

Vous me parlez d'une époque où je remettais qui des dossiers totalement ficelés, qui des documents dont je n'avais pas ou plus usage et qui des documents/photos/photocopies "en vrac" de groupes ou d'individus pouvant être potentiellement utiles à des dossiers en cours.

Les dernières autorités qui étaient mes référents officiels de l'époque au moment des premiers éléments/évènements judiciaires furent :
Messieurs Kausse et Estievenart, les Gendarmes Courtin et Depauw, un officier de la PJ dont je ne me rappelle plus le nom et Herr Wilhelm pour le PAL/MAD.

Par équité, chacun recevait presque identiquement le même contenu que son collègue.

Pardonnez-moi le fait que, près ... d'un demi-siècle plus tard ... je ne me rappelle plus à qui j'ai fourni "plus particulièrement" telle ou telle photo, tel texte, tel télégramme, tel dossier...

Quant à Willy Acke, le nom ne m'est pas inconnu de par la parution de ses notes sur le Forum de Monsieur Leurquin, mais je ne me souviens même pas avoir rencontré en personne ce magistrat. Il faut ajouter également que j'ai été introduit à des équipes d'enquêteurs qui, pour la plupart, ne m'ont pas été présentés.

Enfin, sachez que cette photo était déjà fixée à un mur de je ne sais plus quelle cellule d'enquête, parmi un quirielle d'autres photos, parfois allégoriques.

Si, d'aventure, un souvenir, même improbable, devait survenir, je me ferai un devoir de revenir vers vous.

Respectueusement vôtre,

ML

_ _ _ _ _


A la lecture de tous les commentaires émergeant dans les colonnes de ces dernières semaines, il va me falloir, je le crains, une fois encore corriger le tir des artilleries de campagne me gardant inexorablement à portée de tir.

Je me réserve le droit de pousser, dans un proche avenir, si besoin, plus loin certaines réflexions dont l'esprit coërcitif perturbe mon intellect.

Voici, déjà à titre d'apéritif, quelques éléments pouvant altérer les conclusions hâtives de certains intervenants, nicknames sur lesquels je ne m'arrêterai volontairement pas .

1. Je prie les lecteurs et intervenants de se référer aux termes de mon interview, lequel est consultable à souhait en ce forum autant que sur Google (Michel Libert, l'interview), notamment en ce qui concerne les grandes "surfaces"? TOUTES confondues (et non "magasins").

2. Les opérations dites de surveillance des grands magasins n'en étaient pas. Personne n'était désigné (ou supposé l'être) pour "surveiller" quoi que ce soit ni qui que ce soit. Il s'agissait de collationnement de renseignements les plus divers dans un cadre opérationnel défini.

3. Si "on" a parlé des "grands magasins" et que je suis intervenu volontairement dans le cadre de cette conjecture, c'est suite à des pressions d'ordre intellectuel de plusieurs journalistes qui m'opposaient, à l'époque, des conclusions qui pouvaient être aisément légitimées suite à des convergences de faits rendant "probable" une liaison de cause à effet entre des rapports à caractère géographique et des actions violentes sur le terrain. Rien de plus.

4. Dans le même ordre d'idées, j'ai volontairement répondu positivement à une demande de collaboration émanant de  l'équipe de la BSR de Wavre (à leur demande expresse), afin de participer "de concert", entre de multiples autres devoirs d'enquêtes fort diverses ... à tenter de réunir les faits et documents probants pouvant "potentiellement" alimenter les innombrables thèses de l'époque. Rien de plus.

5. Les résultats de cette collaboration fut réduite à néant par des strates de juridictions supérieures, alors que nous avions en fort peu de temps réuni des conclusions relatives non pas, aux tueries dites du BW mais, par contre, au sujet d'autres dossiers gigognes particulièrement brûlants impliquant un nombre plus que considérable de "puissants" (belges et étrangers). L'équipe fut dissoute. Les dossiers furent "conditionnés" et confiés à d'autres mains "expertes". Après l'épisode de la "table ronde" près le Parquet de Bruxelles, qui s'est révélée totalement bidon et qui m'a noyé d'amertume et de doute en ce qui concerne les Instances de ce pays,  ce second épisode aurait du me convaincre de définitivement laisser là une patate chaude que chacun se repassait avec vigueur.

6. J'ai, par après, eu le malheur de commenter des faits et des appréciations crédibles exposées par des journalistes qui me développaient des thèses plausibles et préoccupantes. C'est à partir de cet instant, que les médias ont verrouillé instantanément ma personne dans un carcan pour près de 40 années. "Il en parle ! ... Il en parle ! Donc ... c'est lui" aurait proclamé tout Accusateur public durant l'époque de la Terreur en Terres de France.  J'avais eu la "très" mauvaise idée, par pur civisme, de leur exprimer une ébauche de sentiments tout à fait personnels.

En voici, les lignes majeures: "Si il s'avère que ces tueries ont été exécutées sur base de documents établis par nos services et subtilisés ou copiés par de piètres individus au profit de comploteurs ou de truands, "j'aurais" la très désagréable impression d'avoir plongé mes mains bien involontairement dans le sang".

7. Il n'en fallait pas plus pour mobiliser les intérêts des "Unes" dans une presse hystérique. Ces paroles, ces sentiments particuliers ont été travestis par nombre de journalistes qui, jafin d'alimenter le "buzz" de l'époque, les ont publiés en adaptant voire en coupant les portions adéquates. Ils m'ont transformé instantanément en la bête de l'Apocalypse et ont fait de moi un des objets médiatiques les plus courtisés jusqu'à ce jour.

8. Il n'a pas fallu longtemps pour que le monde judiciaire s'empare ensuite de cette oppportunité qu'offrait ma personne médiatiquement fragilisée pour progressivement justifier des devoirs incongrus et incompréhensibles dans une course à l'échalotte où chaque autorité voulait indépendamment sortir vainqueur.

Je pourrais continuer à argumenter et alimenter la polémique existante à l'aide de détails de procédures particulièrement déroutantes mais je m'arrête là, me réservant de développer plus loin encore les évènements judiciaires et commentaires médiatiques absurdes dont j'ai fait l'objet jusqu'à ce jour ... si nécessaire.

Pour en terminer ... oui ... je confirme ... qu'à partir du jour où l'équipe de la BSR de Wavre a été réduite au silence, l'enquête n'a point dérapée mais fait l'objet d'un nettoyage en règle d'affaires malsaines toutes intimement et solidairement imbriquées, émergeant contre toute attente subitement au sein de la Gendarmerie, de la Sûreté, de la police judiciaire et du Parquet de l'époque (sans compter les autres multiples et diverses officines étrangères) ... toutes impliquant de "notables" et "très respectables" sommités dont on ne pourrait contester ni l'éthique, ni l'honnêteté, ni l'irréprochabilité, ni la droiture céleste ... bien entendu.