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 Vague d'attentats au Luxembourg

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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 35 EmptyMer 17 Juil 2013 - 9:12

selon la presse c'est au Ouessant cô0te atlantique beaucoup plus dangereux en cas de tempête

pe c'est le surf tiré avec les petites parachutes > tres dangereux , exemple un jeune chirurgien mort sur la plage de zeebruges il y a deux ans il me semble.


on saute des vagues en l'air 2 mètres + puis ils retombent ds l'eau peu profonde car il y des bancs de sable cachés par l'eau montante et il se cassent la nuque , le dos etc


un point à controler : si c'est vrai que cela se passe pendant une periode post- electorale et des discussions étaient en train de former un gouvernement.

est ce que il était ministrable ?

C'est quand même 3-5 ans? après la publication de l'article

Est ce que il avait continué ces recherches ?
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HERVE




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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 35 EmptyMer 17 Juil 2013 - 10:50


Je ne sais pas encore comment placer Valéry Giscard d'Estaing (VGE) dans les liens avec le "Cercle", Bilderberg, la WACL ou la CIA.

Pinay et Violet avait une relation nourrie avec VGE et ils l'avaient soutenu lors des élections de 1974, mais peut-être s'est-il estimé berné par eux suite aux "avions renifleurs" ?

Après l'arrivée de Mitterrand au pouvoir en 1981, le choix du Cercle s'est porté sur Chirac.

Après l'expérience insatisfaisante avec Garnier-Lancon comme coordonnatrice francaise, Amery a consulté Pasqua pour trouver un remplacant ... mais il s'avèrera que la section francaise du Cercle, anciennement la plus forte sous Pinay et Violet, deviendra la plus faible, la France restant sans représentation suffisante suite au retrait de Violet début des années 1980.

VGE peut se montrer critique :

https://www.youtube.com/watch?v=dCNtRMnbI0Y
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kowalski

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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 35 EmptyMer 17 Juil 2013 - 14:40

oui, effectivement on a un écart de 5 années entre la publication du ledit article et la mort de zanussi.
Ceci dit, je me rappelle avoir lu quelque part ( petit article dans le Feierkrop- ?) que Zanussi n'avait pas abandonné ses recherches et avait bien porsuivi ses investigations après 1999.

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K




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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 35 EmptyMer 17 Juil 2013 - 14:52

oui c'est bien possible qu'il a continué ces recherches mais partir en vacances et "monnayer" ses données avec une poste de ministre n'est pas compatible.

il était donc exclu de faire parti d'un futur gouvernement et parti en congé , faché ?

seul des proches peuvent l'expliquer cela .

il faut relire la presse sur la formation de ce gouvernement
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kowalski

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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 35 EmptyJeu 18 Juil 2013 - 15:31

Aucune idée K

Mon hypothèse de travail spéculative est que Zanussi avait mis son nez trop profond dans des dossiers censés de rester secrets. En d'autres termes il est devenu "a liability" pour ceux qui se portaient garant de ne jamais dévoiler le "dirty secret".

A lire aussi ce article paru dans le Feierkrop et déjà publié ici dans ce forum
https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t1118p60-vague-d-attentats-au-luxembourg

lettre ouverte apparue recemment dans l'hebo lux. "feierkrop"

un lecteur jette un regard critique sur la mort soudaine d'un depute socialiste, apres que celui ci voulait publier un article sur des rammifications du service de renseign. lux. , le wacl et gladio.

Der Kreis schliesst sich

ich habe mit grossem Interesse ihre auf belgischen Gerichtsunterlagen basierenden Ausführungen zur Bombenlegeraffäire gelesen.
Ich möcht darauf verweisen, dass der LSAP-Abgeordnete Marc Zanussi 1999 in einem (teilweise zensurierten) "Tageblatt"-Artikel ¨ber die Aktivitäten von Terroristen und killern berichtete, die im Auftrag von CIA und südamerikanischen Geheimdiensten auch in Luxemburg weilten. Zanussi konnte den ihm zugespielten geheimdienstlichen Unterlagen entnehmen, dass der Chef der "Operation Condor"-Bande, eine Art Führungsoffizier der Geheimdienste, sich nicht nur mit dem Condor-Terror befasste. Besagter Herr weilte bereits in Luxemburg aus Anlass des Dommeldinger Kongresses der "World Anti Communist League" (WACL). Er hatte ebenfalls Kontakte zum Luxemburger Gladio-Ableger un war zu Gast in belgischen Gladiokreisen.
Als Marc Zanussi in einer parlamentarischen anfrage an Staatsminister und Geheimdienstchef Juncker Aufklärung über gewisse Vorgänge forderte, stiess er auf eine Mauer des Schweigens. Juncker verwies auf die für den Geheimdienst zustäandige Parlamentskommission. Dort allerdingst äusserte er sich nie.
Vier Tage nach Zanussis plötzlichem Tod war sein Dossier über die Geheimdienstaktivitäten (genau wie das ebenso brisante über den Luxair-Flugzeugabsturz)unauffindbar...
In der Bombenlegeraffäire schliesst sich der Kreis (die Schlinge?) langsam aber sicher. Bleiben Sie dran!
Die Richtung stimmt.



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kowalski

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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 35 EmptyJeu 18 Juil 2013 - 15:34

http://translate.google.com/#de/fr/


Un cercle fermé
J'ai lu en fonction de leurs documents versions des tribunaux belges sont Bombenlegeraffäire avec grand intérêt.Je tiens à souligner que le LSAP députés Marc Zanussi en 1999 dans un (partiellement censuré) "Tageblatt" ¨ articles sur les activités des terroristes et des assassins rapporté que habitait à Luxembourg pour le compte de la CIA et les services de renseignement sud-américains. Zanussi pouvait le voir les documents de renseignement fuite, que le chef de groupe "Opération Condor», un genre de leadership l'officier du renseignement, portait non seulement sur le terroriste de Condor. A déclaré M. s'ennuie déjà au Luxembourg, à l'occasion du Congrès de Dommeldange "Ligue anti-communiste" (WACL). Il a également eu des contacts avec la branche Gladio Luxembourg était l'invité de l'ONU dans Gladiokreisen belge.Lorsque Marc Zanussi a exigé une enquête parlementaire à la ministre et le chef des renseignements explication Juncker de certains événements, il a rencontré un mur de silence. Juncker a souligné l'zustäandige de la commission parlementaire secret. Il allerdingst il n'a jamais commenté.Quatre jours après sa mort soudaine Zanussi dossier portait sur les activités de renseignement (ainsi que le tout aussi controversé sur le crash de l'avion Luxair) introuvables ...Dans le Bombenlegeraffäire venir plein cercle (l'étau?) Lentement mais sûrement. Restez à l'écoute!La bonne direction.
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kowalski

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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 35 EmptyJeu 18 Juil 2013 - 15:43

[ Le rapport final de la ] COMMISSION D’ENQUETE SUR LE SERVICE DE RENSEIGNEMENT DE L’ETAT
***
Rapport de la Commission d’enquête sur le Service de Renseignement de l’Etat
(5 juillet 2013)

=>
http://www.chamber.lu/wps/PA_RoleEtendu/FTSByteServingServletImpl/?path=/export/exped/sexpdata/Mag/136/267/123656.pdf


Projet de conclusions de François Bausch 1 & 2
publié avant le rapport final

=>  http://5minutes.rtl.lu/fr/actualite/luxembourg/445854.html#
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K




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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 35 EmptyVen 19 Juil 2013 - 9:59

doivent y etre plein de vieilles casserolles depuis l'époque de plomb au Luxembourg

les histoires des bommeleer sont un paravent et de .l'affaire de SREL on decrit que les affaires des BMW et l'horloge de Jamers bond., presque ,
cela s'appelle journalisme de TELEX dAFP :rien est recherché ni même sur Wicki simplement controlé

pourtant il y avait un llot continu d'affaires dont on parlait ds letz land avec des ramifications en afrique comme angola(gate) , congo Brazzaelf lissouba , benin(gelli),

avec des barbouzeries y compris via Reutemeteut . et ces poubelles .


mais chez nous on avait vers 80 les casserolles de vdb-mathot et libéraux etc aussi et cela continu


http://www.levif.be/info/actualite/belgique/edmee-de-groeve-encore-bien-d-autres-casseroles/article-4000337407152.htm


on effet on peut rien lire dans la presse en Belgique sur le Luxembourg car ils ont peur de déclencher une vague de fond de casseroles belges aussi qui puissent etre reveillées ?



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HERVE




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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 35 EmptyMer 24 Juil 2013 - 13:39

http://www.intelligenceonline.fr/intelligence-economique/les-consultants/2013/07/24/les-missions-de-ciex-au-luxembourg,107970608-ART-HOM

Édition du 24 juillet 2013 - n°693

Les missions de Ciex au Luxembourg

L'enquête du Parlement luxembourgeois sur les services du Grand-duché évoque à demi-mot un curieux partenariat avec un cabinet britannique.

C'est sans doute le passage le plus mystérieux du rapport, publié le 5 juillet, des parlementaires luxembourgeois sur le Service de renseignement de l'Etat (SREL). Ils évoquent à demi-mot une opération de pression sur un débiteur de l'homme d'affaires russe Alexander Lebedev menée en 2007 avec le concours d'agents du service. Selon les parlementaires, cette opération a été menée à l'initiative d'un "ancien des services de renseignement britanniques travaillant depuis dans le domaine du renseignement privé". Selon les informations d'Intelligence Online, il s'agit de Michael Oatley, ex-responsable du Secret Intelligence Service (SIS ou MI6) pour l'Europe et le Moyen-Orient. Via son cabinet Ciex, Oatley était très introduit auprès des services de renseignement de plusieurs places financières offshores : la société a notamment travaillé pour Monaco et le Liechtenstein (IOL nº605) et disposait d'excellents contacts au Luxembourg.

Reconverti dans le recouvrement de créances dans les années 2000, Oatley avait été mandaté par Lebedev pour récupérer un investissement de 10 millions $ effectué auprès de l'homme d'affaires espagnol Francisco Paesa pour financer l'établissement d'une banque à Bahreïn. Oatley est passé par l'ancien responsable des opérations du SREL, Frank Schneider, pour faire pression sur Beatriz Garcia Paesa, nièce de Paesa, afin qu’elle persuade son oncle de rembourser Lebedev. L'opération, qui a également mobilisé plusieurs agents du SREL en activité, a échoué.

_ _ _


http://www.intelligenceonline.fr/intelligence-economique/2013/07/24/le-cabinet-de-renseignement-d-auchi,107970597-ART

Édition du 24 juillet 2013 - n°693

Le cabinet de renseignement d'Auchi

Un rapport parlementaire révèle que Sandstone, seul cabinet d'intelligence économique luxembourgeois, était lié au milliardaire irakien Nadhmi Auchi.

Outre le premier ministre Jean-Claude Juncker, contraint à la démission le 11 juillet, l'enquête parlementaire sur le Service de renseignement de l'Etat du Luxembourg (SREL) a fait une autre victime : le cabinet Sandstone, fondé en 2008 à Luxembourg et seul opérateur d'intelligence économique du Grand-duché (IOL nº629). Dans leur rapport remis à l'exécutif luxembourgeois le 5 juillet, les parlementaires accumulent les griefs contre le cabinet, cofondé en 2008 par Frank Schneider, ancien directeur des opérations du SREL, et Filipe Carmo, un ancien diplomate qui a dirigé la branche contre-terrorisme du même service.

Schneider, qui a comparu devant les parlementaires, est accusé d'avoir utilisé le carnet d'adresses constitué durant sa carrière au sein des renseignements luxembourgeois pour favoriser sa société. Ainsi, notent les rapporteurs, "l'actionnaire principal de son entreprise Sandstone a été une source du SREL avec laquelle il a été en contact dans le cadre de ses activités". Il s'agit de l'homme d'affaires d'origine irakienne Nadhmi Auchi, établi au Luxembourg depuis de nombreuses années, et dont la holding luxembourgeoise General Mediterranean Holding (GMH) a pris la majorité du capital de Sandstone en 2009.

Les parlementaires ont également reproché à Frank Schneider d'avoir utilisé son réseau au sein de l'opérateur de fret aérien luxembourgeois Cargolux, constitué du temps du SREL, pour favoriser un éventuel rachat de la société par Auchi. Eventée, l'opération a finalement capoté.

L'enquête risque d'avoir des conséquences lourdes pour le secteur de l'intelligence économique au Luxembourg. Le rapport des députés préconise "une période de carence de cinq ans" pour tous les employés souhaitant quitter le SREL pour rejoindre un cabinet privé, et veut faire interdire "toute collaboration du SREL avec une firme de renseignement et sécurité privée".

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HERVE




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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 35 EmptyLun 29 Juil 2013 - 15:51


http://5minutes.rtl.lu/fr/actualite/luxembourg/230985.html

Bommeleeër: Il n'y avait pas 2 mais 3 rapports du FBI

RTL - 19.04.2012, 18:07 | Dernière mise à jour: 28.05.2012, 18:37

Affär Bommeleeër: Il y avait 3 rapports du FBI, pas seulement 2 et le gouvernement de l'époque est beaucoup plus impliqué que ce que l'on pensait.

C’est ce qui est sorti lundi de la Commission de contrôle des services secrets, où le Chef du Service de renseignement a informé plus précisément les députés.

C’est le gouvernement lui-même qui a contacté le FBI et le Premier ministre, le ministre de la Justice ainsi que le ministre de la Défense étaient déjà informés en 1986 à l’aide d’un profil du FBI, que le Bommeleeër était vraisemblablement issu des forces de l’ordre. Le rapport du FBI a seulement été retrouvé en 2003.

Le président du DP, Claude Meisch, a déclaré sur RTL qu’il ne pouvait pas imaginer que ce rapport soit disparu par hasard de 3 ministères et de la police.


_ _ _


Si quelqu'un a des informations sur le parcours des différentes copies ...



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HERVE




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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 35 EmptyLun 29 Juil 2013 - 17:50


Un lecteur attentif propose de s'intéresser à Marc Fischbach :

http://en.wikipedia.org/wiki/Marc_Fischbach

From 1979 until 1984, Fischbach was a Member of the European Parliament.[1] He served as Minister for Defence and Minister for the Police Force between 20 July 1984 and 14 July 1989, before transferring to become Minister for Justice until 30 January 1998, when he resigned from the government.

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HERVE




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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 35 EmptyLun 29 Juil 2013 - 19:15

Sauf erreur de ma part, on retrouve Marc Fischbach dans l'EIS :

http://fr.scribd.com/doc/156702545/E-I-S-European-Institute-for-Security-Matters-Luxembourg-1981


Vague d'attentats au Luxembourg - Page 35 Fisch10


Intéressant de relire ce qui concerne l' EIS et l' IEPS dans le livre de David Teacher (même s'il ne parle explicitement ni de Marc Fischbach ni de Armand De Decker) :

http://www.mediafire.com/download/2qvkx4nvdj9zyk6/Rogue+Agents+-+Habsburg%2C+Pinay+and+the+Private+Cold+War+1951+-+1991+by+David+Teacher+%283rd+edition%2C+2011%2C+full%29.pdf

Pages 158 et suivantes ...

(...)

Europäisches Institut für Sicherheitsfragen (European Institute for Security Issues), founded in 1981 by Belgian General Robert Close, who had resigned from military service a year previously in protest at the Belgian government's reluctance to accept Cruise deployment

(...)

The first conference of the EIS, held in the Belgian Foreign Ministry's palace, concentrated on how to promote NATO against peace movement opposition. In March 1982, the EIS Board expanded to include a number of new members, several of whom would attend the second EIS conference in Luxembourg in April 1982

(...)

In 1983, the EIS split because of policy differences, and Close left to found the Brussels-based Institut Européen pour la Paix et la Sécurité (IEPS), perhaps a remoulding of the earlier Cercle group in Belgium, the Rassemblement pour la Paix dans la Liberté. The IEPS would also be well-connected to the Cercle complex: besides Close's rôle as MAUE Vice-President, other IEPS members included another MAUE Vice-President, Jacques Jonet, as well as Crozier and Huyn. Within the IEPS, the Heritage Foundation and the ASC were represented by Generals Robert C. Richardson and Daniel O. Graham, both members of the Political Action Committee of the ASC involved in the anti-Carter campaign of 1980. In 1981, following Reagan's election victory, Generals Graham and Richardson had also been Founder and Founding Vice-President respectively of High Frontier, a group which lobbied for space-based missile defence, a project adopted by Reagan in 1983 as the Strategic Defense Initiative, commonly known as Stars Wars.

One IEPS Vice-President was Wolfgang Reinecke from Germany, a speaker for Grau’s Swiss ISP in 1975 and member of the International Institute for Strategic Studies in London. The IEPS administrator was Belgian Colonel Henri Bernard, former history lecturer at the Belgian Military School. Bernard had been one of Damman's earliest partners, serving as a speaker for the Belgian PEU section in the early 1960s when it was still called AENA; Bernard was also a longstanding CEDI member. Other IEPS luminaries included IEPS Vice-President Belgian Count Yves du Monceau de Bergendal, a PSC senator and supporter of Opus Dei, the former Belgian Justice Minister during the strategy of tension Jean Gol, EEC Commissioner Willy Declercq and prominent figures from the Belgian French-speaking Liberal Party, the PRL (413).

(...)
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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 35 EmptyMar 30 Juil 2013 - 21:39

jELLY pas au Rue Notre DAME mais à Enneschtgaass
Bech, Luxembourg  ??


srel dossier pag 928 pdf question SERGE URBANY sur Jelly cette adresse aurait pu etre utilisé pour son adres sur sa carte de securité sociale et cela pourrait indiquer qu'il y a un lien Reuter -jElli ?
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HERVE




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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 35 EmptyMer 31 Juil 2013 - 18:58


Un lecteur attentif m'a transmis un article qui me laisse un peu perplexe ...

(il est question de trafics divers, notamment de traite des femmes avec la Thaïlande)

http://www.land.lu/2013/01/18/qui-est-monsieur-m/print/

L’homme par qui le scandale est arrivé

18.01.2013

Qui est Monsieur M. ?

Véronique Poujol

C’est l’homme par qui les affaires des écoutes et la mise en cause des méthodes du Service de renseignement de l’État sont parties : M., 53 ans, a été un peu oublié par l’actualité et les auditions publiques des patrons successifs du Renseignement devant la commission d’enquête parlementaire, alors que tout tourne autour de lui, à commencer par les écoutes supposées au palais grand-ducal en 2006 entre le Grand-Duc Henri et le Premier ministre Jean-Claude Juncker, CSV. C’est lui aussi dont les communications (fixe et mobile) devaient être interceptées après le feu vert du chef du gouvernement à l’ancien directeur du Srel, Marco Mille (d’Land du 11 janvier). Or, après un volte-face et sans doute parce que le rôle d’un de ses agents, K. apparaissait de plus en plus brouillé, Mille se contentera d’une écoute (en dehors de la procédure) sur le téléphone test du Srel entre K., précisément, et M., les deux hommes, en dépit de leur différence d’âge, étant très proches l’un de l’autre. Le lien entre eux venait du paternel de K., lui-même policier, qui avait été gravement blessé à la jambe lors d’une fusillade dans la boîte de nuit Bugatti, établissement que fréquentait également M. Après son accident, le père de K. sera affecté au service de prévention des cambriolages de la police. À ce titre, il sera l’interlocuteur des victimes de cambriolages et lorsqu’on le poussait un peu, et bien qu’il était tenu au devoir de neutralité sur les prestataires de services d’alarme, n’hésitait pas à recommander les services de l’entreprise de M., spécialisée dans la pose de systèmes de sécurité. Sa société a fait de nombreuses installations d’alarme au domicile de personnalités luxembourgeoises, parmi lesquelles des députés et d’anciens magistrats.

Dans l’entretien pirate avec Juncker en janvier 2007, Mille présente M. comme un informateur de la police et du Srel, dont on n’a pas retrouvé la « fiche » d’identification, ni le pédigrée, ce qui est assez suspect en soi. Le Land avait révélé (d’Land du 30 novembre 2012) que M. avait procuré pour quelque 28 000 francs luxembourgeois du matériel d’écoutes (illégal) aux policiers luxembourgeois ; sa société aurait même facturé la livraison, sans que les traces des factures aient pu être exhumées. Si M. intéressait au plus haut point le Srel, c’est en raison de sa possession supposée d’un enregistrement, lui aussi pirate, entre le Grand-Duc Henri et Jean-Claude Juncker qui aurait porté sur l’affaire du Bommelëeer, mais que jusqu’à présent, personne à part M., présenté comme un roi du bidouillage électronique, ne serait parvenu à décrypter, pas même les experts du renseignement mandatés en novembre par la Commission du contrôle parlementaire du Srel pour faire parler le CD.

Deux hypothèses se posaient en janvier 2007, au moment où M. remet ce CD à Mille, après beaucoup d’hésitations, la consultation de son avocat italien et les pressions : soit l’enregistrement entre le chef de l’État et celui du gouvernement était imaginaire, soit il était bien réel. Dans les deux cas, il s’agissait pour le renseignement luxembourgeois de prendre l’affaire au sérieux. Et si l’existence d’un enregistrement était avérée, la question était aussi de déterminer qui l’avait fait ? M., qui avait été longuement cuisiné sur sa provenance, a toujours prétendu l’avoir reçu de deux personnes venant du Palais grand-ducal. Il cita notamment le nom de O., un secrétaire d’un aide de camp du Grand-Duc, information qu’aucune autorité n’a d’ailleurs jamais encore vérifiée. L’histoire d’une intervention de deux proches du palais est peut-être tirée par les cheveux pour cacher que M. aurait tout aussi bien pu en être l’auteur. D’autant que son profil fait ressortir un grand spécialiste des écoutes téléphoniques et qu’il a entretenu une certaine proximité avec des personnes proches du dossier des poseurs de bombe.

La technologie utilisée pour espionner ce qui se disait dans le bureau du souverain luxembourgeois fait penser que les « plombiers » du palais grand-ducal n’étaient pas des « bleus » : le système assez ancien de cryptage du CD, Cryptovox, avait été développé par la firme suisse Crypto AG, appartenant à Siemens et qui fut décrite comme l’« enfant secret » de la firme allemande et qui aurait, selon la presse américaine, conclu des accords secrets avec l’agence américaine NSA, permettant ainsi, lors de la guerre froide, une transcription simultanée des messages codés. La technologie utilisée par Crypto AG a des airs de famille avec le système de cryptage Harpoon (fabriqué par AEG), qui équipait les réseaux du stay behind, notamment au Luxembourg. Ces systèmes cryptés ne se vendaient que sur la base d’un end-user certificate, c’est-à-dire seulement aux gouvernements. C’est un des points que l’enquête judiciaire devra probablement déterminer, s’il n’y a pas prescription.

M. appartenait-il à cette mouvance du stay behind ? Il avait en tout cas de solides relations avec les policiers, dont le père de l’agent K., et entretenait également des liens avec les milieux de la criminalité : drogue, trafic d’armes et prostitution. Il est à ce titre surprenant d’entendre Mille, dans sa conversation avec Juncker, évoquer froidement le parcours de M. et son trafic de traite des femmes qu’il ferait avec la Thaïlande, et considérer que ce volet du personnage ne le concernait en rien. Or, tout fonctionnaire ayant connaissance d’une infraction a le devoir de la dénoncer à la justice, particulièrement des faits aussi graves que la traite qui n’ont pas fait non plus bondir de sa chaise plus que ça le Premier ministre lorsqu’il en a été informé. Le passé douteux de M. n’a pas non plus posé de problèmes aux policiers pour en faire leur indicateur, ni au Srel avec lequel il a également travaillé. Le profil de professeur Nimbus de M., et ses connaissances très poussées en matière de téléphonie et d’écoutes (il avait travaillé pour La Téléphonie lorsqu’il avait une vingtaine d’années) devaient en faire un collaborateur précieux. L’ancien indic a d’ailleurs fourni trois noms d’agents et collaborateurs avec lesquels il avait traité au Srel : l’un était issu de la police, le second venait de l’Entreprise des postes et télécommunications et un troisième était un agent « patenté » du renseignement, qui a fait depuis lors une belle carrière chez un opérateur Internet.

Si la fiche de M. a été perdue dans la « boîte noire » du Srel, son curriculum vitae judiciaire n’a pas été entièrement effacé : son nom apparaît ainsi en 1982 dans une plainte déposée par deux employés de la compagnie d’assurance La Prévoyance sociale (devenue depuis lors Vivium), appartenant à des syndicats socialistes belges. Craignant sans doute que cette entreprise répertoriée à gauche ne contamine idéologiquement la population luxembourgeoise, La Prévoyance sociale faisait l’objet d’un contrôle discret mais serré de la police, se souvient un de ses anciens dirigeants contacté par le Land. Ce dernier se rappelle aussi très bien avoir recruté M. comme agent d’assurance dans les années 1980. Il sera très vite soupçonné par deux de ses collègues d’avoir posé des micros dans la compagnie et d’enregistrer ses dirigeants à leur insu, assure l’ancien dirigeant qui reconnaît, plus de trente ans après les faits, que les soupçons étaient sans doute exagérés. Il n’en reste pas moins qu’ils valèrent à la compagnie la visite de policiers pour vérifier si des micros n’avaient pas été placés. Le contrôle s’avèrera négatif.

La plainte qui aurait été déposée en 1982 à la gendarmerie par deux agents de La Prévoyance au nom de la société contre M., a débouché sur une perquisition de son domicile. Plusieurs de ses collègues assureurs s’étaient rendus chez lui quelques semaines auparavant et le jeune M., alors âgé de 23 ans, leur avait alors fièrement exhibé son arsenal d’espionnage, dont un scanner, un capteur, une collection impressionnante d’armes (il disposait d’un port d’arme en règle et était inscrit dans un club de tir à Hespérange), des explosifs (25 kilos) et des détonateurs. Il leur avait même fait une démonstration en live depuis chez lui pour intercepter des communications à La Prévoyance, qui avait ses bureaux à Belair. M. indique à ses collègues avoir acheté les armes en Belgique et les revendre « au noir » au Luxembourg. Le jeune homme se vante également d’avoir des connexions dans le « milieu », en fréquentant notamment les fils du cabaretier Hoffmann. Il fait aussi dans la drogue et fournit d’ailleurs gratuitement pour 10 000 francs luxembourgeois de l’époque de la poudre blanche à un des agents de La Prévoyance sociale, selon ses accusateurs.

Lors de la perquisition, les enquêteurs de la gendarmerie tomberont effectivement sur des appareils d’écoutes pour les voitures, un détecteur de micro, un briquet espion avec son appareil d’écoute, un récepteur-capteur radio FM et un dictaphone. Ils ne trouveront pas en revanche la trace d’armes détenues illégalement ni d’explosifs, mais exhumeront des munitions de type Holowpoint, réputées extrêmement dangereuses, et qui n’étaient pas adaptées au tir sportif. Sur la cassette du dictaphone saisi chez M., les gendarmes dénicheront une conversation au sujet d’un deal d’héroïne, une discussion par radio du chef de la brigade volante de la gendarmerie avec ses patrouilles et un autre enregistrement par radio entre les agents de la section de recherche de la police. Pour se justifier, M. assura aux enquêteurs avoir acheté cet appareillage d’espionnage pour son seul usage personnel. Il a en outre formellement démenti avoir enregistré les forces de l’ordre, en prétendant avoir prêté son appartement à un ami d’origine italienne, comme lui (l’homme est aujourd’hui promoteur immobilier dans le sud du pays), également agent d’assurance dans une compagnie concurrente. L’ami dont il ne fournit aux enquêteurs que le prénom et un numéro de télépone, aurait fait ses écoutes en son absence. Lors de son audition, M. demandera aux gendarmes de pouvoir récupérer le matériel « très cher » qui lui avait été confisqué.

Ces éléments laissaient penser les enquêteurs que M. aurait à répondre par la suite devant la justice. La juge d’instruction saisie alors du dossier s’appelait Éliette Bauler (il n’y en avait alors que trois au cabinet), mais l’affaire fut classée et M. n’eut depuis lors plus maille à partir avec la justice, jusqu’à ce que son nom réapparaisse en 2007, dans une conversation volée entre un Premier ministre et un patron du Service de renseignement.


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spielmann




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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 35 EmptyJeu 1 Aoû 2013 - 10:11

Voila trés actuel dans La Libre de ce jour

Citation

Frank Schneider: "C’est très grave. La Belgique devrait se sentir concernée"

"Nous avons créé un petit service de renseignement qui fonctionnait, vu sa taille, de manière très flexible."
Le scandale des actions illégales menées par les services secrets grand-ducaux a provoqué la chute de la coalition dirigée par Jean-Claude Juncker. Mis en cause par la commission d’enquête parlementaire, Frank Schneider, l’ancien chef des opérations des services de renseignement luxembourgeois, se défend et livre sa version des faits à "La Libre".

Comment réagissez-vous à ces accusations que la commission parlementaire porte contre vous ?

D’abord, je trouve ce rapport très faible. Ses auteurs se basent sur des ouï-dire et notamment sur une note très personnelle écrite par Jean-Claude Knebeler, à l’époque attaché au ministère de l’Economie, directeur du département du Commerce (et actuellement consul à New York, NdlR). Sa note, qui date de 2008, était très négative envers mon projet d’entreprise, Sandstone. Ensuite, on trouve dans ce rapport des accusations relevant du pénal et très graves à mon encontre, sans que l’on évoque des faits, sans preuve. J’estime, pour ma défense, devoir avoir la chance de répondre de cela devant un tribunal et non d’être victime d’accusations faites afin d’atteindre des objectifs politiques.

On vous reproche d’avoir utilisé votre position au SREL pour créer votre société active dans le renseignement économique…

Ma société a été créée, à l’époque, en toute transparence. J’ai envisagé ma reconversion dans le privé constatant que je n’avais plus de perspective d’évolution de carrière au sein du SREL. L’Etat était au courant de mes projets. J’ai eu le soutien de mon ancien directeur, Marco Mille. J’ai reçu celui du ministre de l’Economie de l’époque et de la Société nationale de crédit et d’investissement. C’est surtout ce point qui est totalement en conflit avec la note de Jean-Claude Knebeler qui, au départ, soutenait lui aussi le projet avant un revirement soudain. Mon projet n’a pas bénéficié d’un support particulier.

Pourquoi a-t-il suscité la méfiance de M. Knebeler, contre qui vous avez d’ailleurs déposé plainte ?

Je suis maintenant convaincu que M. Knebeler a eu beaucoup plus de raisons d’avoir peur que je ne l’avais pensé. J’ai partagé certaines informations très sensibles avec lui. Mais j’ignorais à quel point il y était personnellement sensible.

Parlez-vous d’informations relatives à Cargolux (la compagnie de frêt aérien luxembourgeoise, NdlR) ?

Oui. Dans sa note, dont je n’ai pris connaissance qu’avec ce rapport, Jean-Claude Knebeler écrit que, dans une situation de désespérance, je pourrais utiliser des informations contre, je suppose, sa personne ou encore son ministre.

Qu’est-ce que cela veut dire ?

Tout simplement que ces informations avaient une certaine valeur et qu’elles ont suscité une forme de panique. Le revirement de M. Knebeler a eu lieu après la présentation d’une analyse du SREL relative à Cargolux, qui soulève un certain nombre de questions relatives à la compagnie et notamment à des opérations potentiellement problématiques à partir de vols en Iran, des risques de prolifération mais aussi un énorme trafic de cigarettes… Jeannot Krecké, qui était alors ministre de l’Economie, a dit d’ailleurs que tout n’était pas faux dans cette analyse. Reste que la réaction violente qui a fait suite à la révélation de ces informations est très suspicieuse.

Dans la perception globale extérieure, on a l’impression d’un SREL qui fonctionnait en roue libre. Vous en étiez le chef des opérations… Cette impression se justifie-t-elle ?

Quand nous sommes arrivés à la tête du service, Marco Mille et moi, il y avait un grand vide. La raison d’être du service avait disparu avec la fin de la guerre froide. On s’est alors dit qu’on allait créer, avec le support de l’Etat, un service de renseignement comme il en existait dans d’autres pays. Nous avons créé un petit service de renseignement qui fonctionnait, vu sa taille, de manière très flexible. Mais, s’il était flexible dans son approche, ce n’est par pour cela qu’il fonctionnait en dehors de la loi, comme cela a été décrit dans les médias ou encore dans ce rapport.

Pas d’écoutes illégales, pas de documents détruits intentionnellement, comme on vous le reproche ?

Je n’ai certainement rien détruit qui n’aurait pas pu l’être. Il n’y a, à mon avis, pas d’interceptions de communications illégales. Pour la simple raison qu’il n’y avait pas besoin de recourir à des écoutes illégales, dans la mesure où je n’ai jamais eu la moindre opposition à une demande légale d’interception de communication.

Il y en avait beaucoup ?

Pour la petite taille du service, oui, il y en avait beaucoup. La défense de Jean-Claude Juncker, face à la commission, a été de dire qu’il n’était pas au courant de tout.

Lui a-t-on caché des choses ?

Le contact entre le SREL et Jean-Claude Juncker se faisait à travers Marco Mille. Et Jean-Claude Juncker prenait le temps de le recevoir très régulièrement. J’étais très rarement présent à ces réunions. Mais mon opinion est qu’il était certainement bien renseigné par le SREL. La commission parlementaire chargée de la surveillance du SREL était aussi au courant de nos analyses. Elle a par exemple été mise très tôt au courant de l’affaire de l’enregistrement du Premier ministre. Mais ils ont choisi, pour des raisons d’élections, d’ignorer ce fait, de ne pas faire un transfert au parquet. Cette commission a échoué. Maintenant, ils veulent se déresponsabiliser par rapport à cette situation.

Dans une lettre envoyée au président de la Chambre des députés, juste avant le dernier débat à la Chambre, vous évoquez des "fausses accusations", vous avez aussi évoqué une "vengeance instrumentalisée"…

Je ne le dis pas aussi directement, mais c’est une conclusion à laquelle on pourrait arriver.

Vous avez précisé avoir des révélations à faire au parquet luxembourgeois. De quel ordre ?

Dans la plainte pénale déposée par mon avocat, il est écrit que, dans le cadre d’une instruction pénale, j’étais prêt à fournir des informations, qui doivent être confirmées, mais qui constituent des indications pouvant mener à de potentiels mais graves faits d’espionnage et de corruption.

Certains auraient encore des choses à cacher ?

Dans le cadre d’une instruction, face à un juge d’instruction qui me demande des informations, je peux répondre. Mais j’ai certainement encore des cartes à jouer pour ma défense.

Qui est concerné par ces révélations ?

Les personnes visées dans la plainte (deux hauts fonctionnaires de l’Etat et les deux députés définis comme auteurs du rapport, NdlR), au moins une d’elles. Cette affaire a déstabilisé le gouvernement, mais a aussi des conséquences sur le SREL .

Cela représente-t-il des menaces pour le Grand-Duché ?

Je crois que c’est une situation très grave. Et, en tant que pays limitrophe, la Belgique devrait se sentir concernée aussi. Cela va prendre des années et des années afin de recréer de la confiance opérationnelle pour traiter des sources, recevoir des informations, pour que des personnes prennent à nouveau le risque de fournir des informations au profit de l’Etat, de tout le monde.

http://www.lalibre.be/actu/international/frank-schneider-c-est-tres-grave-la-belgique-devrait-se-sentir-concernee-51f9d7e135705d93419acb97
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HERVE




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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 35 EmptyJeu 1 Aoû 2013 - 13:12



Cela donne envie d'en savoir plus sur Cargolux !


Par ailleurs, au sujet de "Monsieur M.", voir :

http://www.land.lu/2013/06/28/d%C3%A9codage-pour-les-nuls%E2%80%A9/print/


J'espère que la suite du procès permettra de clarifier tout cela ...


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HERVE




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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 35 EmptyJeu 1 Aoû 2013 - 14:54


Suite à l'intervention de "spielmann" et l'article de la Libre (interview de Frank Schneider) :


« Est-ce que je dérange, ou cherche-t-on ainsi à allumer un nouveau feu pour détourner l’attention » ? Interview avec Frank Schneider, ex-SREL

23.11.2012

« Je n’ai rien détruit »

Entretien : Véronique Poujol


d’Lëtzebuerger Land : Vous avez écrit le 5 novembre dernier, par l’intermédiaire de votre avocat, une lettre à Marc Colas, administrateur général au ministère d’État, ainsi qu’au député vert François Bausch, président de la Commission parlementaire du contrôle du service de renseignement de l’État. Vous demandez, entre autres, à votre ancien employeur, l’État, de vous défendre contre des accusations relayées par la presse qui vous présentent comme l’un de ceux qui, au service des renseignements, auraient détruit des pièces relatives au dossier Bommeleeër. Avez-vous détruit des pièces ?

Frank Schneider : Je n’ai rien détruit. Lorsque je suis rentré au Service de renseignement de l’État en 2000, le dossier Bommeleeër n’était pas un sujet d’actualité. Je n’avais certainement aucun accès à des documents, voire des informations à ce sujet. J’ai pris connaissance de son actualité le jour des perquisitions en 2003 au SREL. Il est de notoriété publique que le service de renseignement a essayé de trouver toutes les pièces qui pouvaient, de près ou de loin, être en rapport avec l’affaire du Bommeleeër. Les enquêteurs auraient pu prendre tous les documents, mais ils ont choisi de procéder de manière très civilisée. Le service avait mis en place une cellule interne qui a coopéré avec la justice, pour fournir les documents au Procureur dans le cadre de l’instruction. Je ne faisais pas partie de cette équipe d’audit interne qui était sous la responsabilité directe du directeur du SREL et je n’avais aucune influence sur elle. Moi, j’avais un travail. Je n’ai pas travaillé, ne serait-ce qu’une seule minute, sur le dossier du Bommeleeër. Ce n’était pas mon travail, c’était le travail de la police et de la justice, pas celui du SREL. Je me suis clairement, intellectuellement, intéressé à ce sujet, mais je n’ai pas enquêté dans ce contexte. Tous ceux qui me connaissent dans ce pays savent que la dernière chose que j’aurais faite aurait été de détruire des pièces, surtout d’un caractère historique. Je ne l’aurais jamais fait, en plus sur un évènement qui ne me concernait pas. J’avais quinze ans à l’époque des faits.

Êtes-vous cité comme témoins, dans le cadre du procès du Bommeleeër, qui va prochainement s’ouvrir au tribunal ?

J’ai été entendu dans le cadre de cette affaire par la juge d’instruction et j’ai répondu à toutes les questions. Mais je n’ai pas été convoqué comme témoin pour le procès. Si la justice, en qui j’ai pleine confiance, estime que je peux l’aider dans le cadre de ce processus, je le ferai.

Vous avez travaillé pour l’ambassade des États-Unis et certains n’hésitent pas à faire un rapprochement entre ce background professionnel et le fait que le dossier du Bommeleeër ait abouti aux États-Unis dans les bureaux du FBI – qui l’a d’ailleurs perdu.

Il ne faut pas faire d’amalgame. J’ai travaillé pour l’ambassade des États-Unis en tant qu’assistant économique et politique sous le statut de foreign service national. Il y a plus de 100 000 personnes dans le monde qui travaillent pour l’État américain sous ce statut de FSN. Bien évidemment, au Luxembourg c’est un poste unique, et c’est normal que j’aie pu y développer ma carrière. J’étais dans les circuits qui m’ont ensuite permis de rentrer au Service de renseignement. Mais l’un n’a strictement rien à voir avec l’autre. Est-ce que le SREL maintient des contacts au niveau international avec les services de renseignements étrangers, bien sûr, mais pas seulement les Américains.

Votre avocat vous présente comme un martyr. Vous considérez-vous comme tel ? Comment l’expliquez- vous ?

Je l’ignore. Est-ce que je dérange, ou cherche-t-on ainsi à allumer un nouveau feu pour détourner l’attention ?

Quels sont les autres feux : Cargolux et le Friedengate, Bommeleeër ?

À lire la presse, il y a pleins de feux. Nous sommes dans une situation politiquement et économiquement assez tendue. Je ne peux pas identifier un dossier en particulier, mais je ne comprends pas pourquoi la « Katharina Blum »1, qui est moi en l’occurrence, ait été choisie comme cible.

L’heure du grand déballage est-elle venue ?

Je suis tenu à des lois. Je ne pourrais pas divulguer le contenu d’activités que j’ai eu dans le cadre de mes fonctions au SREL, ni fournir d’informations classifiées, quand bien même d’ailleurs la loi m’y autorisait.

Sandstone, la société d’intelligence économique que vous avez créée en août 2008, est au centre d’attaques répétées, d’abord dans le cadre de l’enquête sur le Bommeleeër et ensuite en marge de l’affaire des écoutes téléphoniques illégales du Premier ministre Jean-Claude Juncker par Marco Mille, ancien chef du Service de renseignement de l’État luxembourgeois. Avez-vous joué un rôle dans les écoutes et comment expliquez-vous que le nom de Sandstone apparaisse aux côtés de celui de Marco Mille ?

La société Sandstone n’est pas secrète. Des sociétés d’intelligence économique existent partout dans le monde, surtout dans les grands centres financiers. Nous avons d’ailleurs communiqué à nos débuts en sponsorisant notamment une grande conférence sur la finance islamique au Luxembourg, dans laquelle une centaine de personnes ont reçu une sacoche avec la mention Sandstone. Aujourd’hui, on s’intéresse soudainement à cette société, premièrement dans le contexte du dossier Bommeleeër et tout récemment maintenant à l’affaire de cet enregistrement clandestin d’une conversation entre deux personnes, le Premier ministre et l’ancien chef du SREL. Pourquoi ? Je l’ignore. Concernant l’enregistrement, le Premier ministre a fait une déclaration. À ce stade, c’est tout ce qu’il y a à dire. Pourquoi l’a-t-il fait maintenant ? Je n’en sais rien. Il doit avoir une raison.

Avez-vous obtenu une réponse au courrier du 5 novembre de votre avocat au ministère d’État réclamant une prise de position de votre ancien patron, l’État, pour soit vous défendre ou soit pour vous blâmer ?

Non, pas jusqu’à présent.

Avez-vous eu des contacts avec le ministère d’État après les premières accusations vous visant implicitement ?

J’ai eu une conversation, d’ailleurs mentionnée dans la lettre de mon avocat, avec Monsieur Colas au lendemain de la première mention me visant par RTL. La conversation avec Monsieur Colas m’a parue agréable et semblait aller dans la direction que nous allions coopérer ensemble. Mais depuis lors, il n’y a plus de contact.

Concrètement, vous attendez que Monsieur Juncker vole à votre secours. Or, le Premier ministre donne plus l’impression qu’il veut régler des comptes à l’égard des anciens responsables du SREL.

Je ne le sais pas.

En principe, le Service de renseignement et le Premier ministre devraient travailler main dans la main. Or, ces déclarations laissent penser qu’il y avait beaucoup de défiance entre Monsieur Juncker et les responsables du SREL. Les départs de nombreuses personnes de ce service, dont vous et Marc Mille en attestent. Pourquoi avez-vous quitté le SREL. Avez-vous été poussé dehors ?

J’ai eu la chance de rentrer dans ce service qui m’a longtemps fasciné et qui constitue à mes yeux un instrument très important pour le fonctionnement d’un État. J’ai pu assister à une certaine renaissance du Service de renseignement de l’après-guerre froide vers une nouvelle ère, notamment avec l’adoption de la loi de 2004 qui était regardée, sur le plan international, comme quelque chose de très sophistiqué pour cette sorte d’activité. En ce qui me concerne, je dirai, et ça arrive souvent dans les carrières à l’État, on occupe trop jeune des positions élevées, ce qui ensuite rend difficile une évolution. C’est ce qui m’est arrivé. À l’âge de 38 ans, j’ai occupé le poste de directeur des opérations, il n’y avait pas beaucoup de marge pour évoluer et je me voyais mal occuper encore ce poste pendant vingt ans. Je voulais m’engager dans quelque chose de nouveau. La loi de 2004 comprend d’ailleurs des dispositions sur la protection du patrimoine économique. Cet aspect m’intéressait beaucoup, d’autant que si ce pays a quelque chose à protéger, c’est bien son patrimoine économique. Il y a un véritable marché pour des sociétés d’intelligence économique. C’est la raison pour laquelle j’ai quitté le SREL et constitué la société. Ni plus ni moins.

Savez-vous pourquoi Marco Mille, l’ancien patron du SREL, l’a quitté en décembre 2009 pour travailler lui aussi dans le secteur privé auprès de Siemens ?

Je constate seulement qu’il occupe une position extrêmement élevée dans un groupe international avec des responsabilités qui dépassent largement celles qu’il a eues au Luxembourg. Pour lui, il s’agit d’un développement de sa carrière et non pas d’un recul.

Connaissiez-vous l’existence d’écoutes que Marco Mille a fait du Premier ministre à son insu ?
Le mot « écoute » est un terme technique et juridique. J’ignore pourquoi il est parti, mais je vois qu’en quittant le SREL, il a fait un saut considérable dans sa carrière. S’il avait fait quelque chose d’illégal, l’État aurait sans doute eu les moyens de traiter le dossier. Les possibilités ne manquent pas : suspension immédiate de poste, enquête disciplinaire et enquête judiciaire. Je suis sûr que le Premier ministre a décidé ce qu’il y avait à décider, ensemble avec la Commission parlementaire sur le contrôle du Service de renseignement.

Revenons-en à Sandstone : qui sont les actionnaires de la société, quels sont vos moyens financiers et qui vous a aidé à constituer la société. Y a-t-il des capitaux publics ?

Sandstone se finance à travers ses propres activités, entre autres des missions de due diligence et de support aux conformités légales depuis trois ans et dispose d’une clientèle exclusivement privée qui lui permet de survivre. Sandstone n’est pas Frank Schneider, elle a des actionnaires et des employés. Il est important de les protéger, comme il est aussi important de protéger ma famille. Heureusement, nos clients très internationaux ne sont pas intéressés à cette affaire très luxo-luxembourgeoise.

Concernant l’actionnariat, je veux être très transparent : il n’y a pas d’actionnaire public. Il y a eu un plan de financement pour le lancement de la société qui s’est appuyé sur quatre parties : l’apport pour 51 pour cent du capital de ses trois actionnaires fondateurs, dont moi-même, un financement à travers un prêt participatif de la SNCI qu’il faudra rembourser, un prêt de deux grandes banques luxembourgeoises et une participation du holding milliardaire General Mediterranean Holding et sa branche de private equity, qui ont financé Sandstone en tant qu’investisseurs privés. Ce groupe luxembourgeois exerce une activité bien réelle au grand-duché et emploie aux alentours de mille personnes. Je suis d’ailleurs particulièrement fier que GMH, présent depuis 35 ans au Luxembourg, ait financé et placé sa confiance en Sandstone.

_ _ _

Frank Schneider, ancien chef des opérations du Service de renseignement, est au centre d’accusations sur le rôle qu’il aurait joué dans l’enquête sur le Bommeleeër et la disparition de pièces du dossier, notamment pour couvrir le réseau « stay behind » et ses barbouzeries

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Article printed from D'Lëtzebuerger Land: http://www.land.lu

URL to article: http://www.land.lu/2012/11/23/je-nai-rien-detruit/

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VictoryII




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MessageSujet: Pour mieux comprendre Cargolux   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 35 EmptyJeu 1 Aoû 2013 - 15:58

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HERVE




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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 35 EmptyDim 4 Aoû 2013 - 19:42


http://lafinanceoffshore.blogspot.be/2013/06/affaire-bommeleeer-licio-gelli-pourquoi.html

mardi 4 juin 2013

Affaire Bommeleeër: Licio Gelli, pourquoi Luxembourg?

(...)

_ _ _


http://fr.scribd.com/doc/94287099/GLADIO-JW-2eme-partie-CHP-2

(voir la fin de la page 91)


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HERVE




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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 35 EmptySam 17 Aoû 2013 - 9:25


http://www.lequotidien.lu/politique-et-societe/47602.html

Informations supplémentaires sur le Stay Behind

2013-08-12 09:27:00

Le chef du Service de renseignement de l'État, Patrick Heck, vient de transmettre au parquet de nouveaux documents relatifs au réseau Stay Behind dans le cadre du procès du Bommeleeër

C'est ce qu'indiquait le Luxemburger Wort dans son édition de samedi. Ces documents déclassifiés provenant de services italiens, néerlandais et américains laissent apparaître qu'une correspondance germano-luxembourgeoise a été détruite en février 1991.



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K




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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 35 EmptySam 17 Aoû 2013 - 17:27

stay behind ,paravent, dixit letz land qqpart
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HERVE




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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 35 EmptyVen 23 Aoû 2013 - 12:36

Un lecteur attentif me fait parvenir ce qui suit ... à considérer avec prudence ...

http://english.nuqudy.com/Gulf/Corruption,_Sanctio-6213

Corruption, Sanctions, and Deal-Making: Luxembourg Style

12/08/2013 12:04      

From the cold grey skies of Luxembourg to the hot tarmac of Tehran’s Imam Khomeini International Airport, a few corrupt government officials from Luxembourg facilitated a stunning illegal operation of smuggling, money laundering and proliferation over much of the past decade. They have been using their positions of authority and diplomacy for nefarious purposes: personal profit, pleasure and power – all while working in the interest of Iran and other corrupt nations.  Following a tip from a sensitive government source, Nuqudy conducted an investigation into this affair and found some stunning results.

(...)

_ _ _ _


Juste pour information :

http://www.charliehebdo.fr/news/argent-sale-luxembourg-935.html

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HERVE




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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 35 EmptyJeu 29 Aoû 2013 - 18:23


http://www.lequotidien.lu/editoriaux/48120.html

Plus de place sous le tapis

2013-08-28 09:35:00

Le dernier mot dans l'affaire autour du Service de renseignement de l'État (SREL) n'a pas encore été dit.

Comme on le sait depuis le début de cette semaine, la commission d'enquête parlementaire va se réunir une nouvelle fois le 18 septembre prochain. En parallèle, deux dates pour des réunions de la commission de contrôle parlementaire du SREL viennent d'être annoncées pour le mois de septembre.

Tout cela ne plaît visiblement pas au camp du CSV, qui, depuis le départ, joue un rôle ambigu dans ce dossier. Avec le recul, la fin houleuse le 10 juillet dernier du débat sur les conclusions du rapport de la commission d'enquête ressemble bien à une fuite en avant. Le parti chrétien-social et son chef de file Jean-Claude Juncker ne veulent plus entendre parler des dysfonctionnements du SREL. Les partis de l'opposition et même le partenaire de la coalition sortante LSAP ne sont cependant pas prêts à passer l'éponge.

À un peu moins de deux mois du scrutin anticipé du 20 octobre prochain, se pose bien évidemment la question de savoir si le retour aux affaires de la commission d'enquête et de la commission de contrôle parlementaire se traduira par une réelle volonté de mener à bien l'affaire du SREL ou s'il s'agit d'une manœuvre dans un combat électoral qui s'annonce très intense.

Si une réponse semble difficile à donner dans l'état actuel des choses, les politiciens de tous bords ne doivent pas perdre de vue l'importance de suivre les conclusions du rapport de la commission d'enquête pour permettre au prochain gouvernement mais aussi à la prochaine Chambre des députés de repartir du bon pied. Les affaires successives (Livange, Bommeleeër, SREL...) qui ont marqué la législature écoulée ont provoqué une perte de confiance dans les institutions politiques du pays.

Même s'il est indéniable que les problèmes socioéconomiques doivent reprendre le dessus, balayer une nouvelle fois cette affaire sous le fameux tapis serait une erreur. Il recouvre trop de dossiers depuis longtemps.

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K




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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 35 EmptyJeu 29 Aoû 2013 - 21:31

Citation :
Il recouvre trop de dossiers depuis longtemps

le journaliste retourne sa langue deux fois.

il semble savoir que que la situation est beaucoup plus grave encore.

les bmw et les enregistrements illégales ne sont que le sommet d'un iceberg.


c'est normal car le Luxembourg est un paradis fiscal .
La présence de Gelli , y vivant caché pendant
deux ans n'est qu'un exemple des lointaines barbouzeries .
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HERVE




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Date d'inscription : 08/12/2009

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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 35 EmptyVen 6 Sep 2013 - 17:53

Pour information ...

Pierre Gregoire, membre de l'ASP depuis 1970 ... sur Scribd, il y a des documents sur lui et son implication dans l'effondrement de la branche luxembourgeoise de la Banco Ambrosiano ...

http://www.scribd.com/Scripts8/documents

Voir notamment

http://www.scribd.com/doc/156702545/E-I-S-European-Institute-for-Security-Matters-Luxembourg-1981

Dans le presidium de l'IES, il y a un luxembourgeois nommé Marc Fischbach.

Quelqu'un le connaît-il ?

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MessageSujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg   Vague d'attentats au Luxembourg - Page 35 Empty

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