Vague d'attentats au Luxembourg

La RTBF s'est (enfin) intéressée à ce qui se passe au Grand-Duché :

http://www.rtbf.be/info/monde/detail_scandale-des-ecoutes-illegales-le-luxembourgois-jc-juncker-se-defend?id=8045788

Ce soir à la radio, il y avait un résumé correct des dysfonctionnements et des hypothèses.

http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20130710.OBS8831/luxembourg-jean-claude-juncker-sur-la-selette.html

LUXEMBOURG. Jean-Claude Juncker démissionne

Créé le 10-07-2013 à 15h39 - Mis à jour à 21h18

Par Le Nouvel Observateur avec AFP

Le Premier ministre a été mis en difficulté par la révélation de scandales touchant les services de renseignement.

Jean-Claude Juncker, Premier ministre du Luxembourg depuis 18 ans et doyen des dirigeants européens, a été contraint à la démission mercredi 10 juillet après la défection de ses alliés socialistes à la suite d'un scandale lié au service de renseignement.

Alors que les socialistes avaient déposé une motion demandant la dissolution de la Chambre des députés et l'organisation d'élections anticipées dans les trois mois, Jean-claude Juncker a annoncé qu'il remettrait sa démission au chef de l'Etat jeudi matin à l'issue d'un conseil de gouvernement.
Ce qui lui est reproché

Le scandale qui pèse sur le Premier ministre tient principalement à un ensemble d'écoutes clandestines, à un fichage de la population et à des malversations diverses.

Révélée en 2012, l'affaire dévoile l'existence de 300.000 fiches individuelles de citoyens et de personnalités politiques, résultat d'opérations d'espionnage pendant la guerre froide. Depuis, ces fiches ont été détruites, assure Marco Mille, directeur du SREL. L'affaire a également mis au jour un certain nombre d'écoutes illégales d'hommes d'affaires en 2005 ou 2006.

A la suite de ces premières révélations, une enquête parlementaire ouvrira. Jean-Claude Juncker sera entendu à trois reprises. Le rapport d'enquête confirmera rapidement l'existence de plus de 13.000 fiches sur des personnes, des entreprises ou des associations. Ce même rapport reprochera aussi à M. Juncker et au SREL de ne pas avoir alerté la justice en 2006 lors de la révélation d'un compte de 150 millions de dollars au Luxembourg de l'ancien président du Congo, Pascal Lissouba.

http://www.wort.lu/de/view/bommeleeer-anschlag-auf-kanzlei-von-gaston-vogel-51dda6b9e4b032c93c838c3d


boem ,Vogel

http://www.lemonde.fr/europe/article/2013/07/10/m-juncker-mis-en-difficulte-par-un-scandale-touchant-les-services-de-renseignement-du-grand-duche_3445454_3214.html

Fragilisé par un scandale touchant les services secrets du Luxembourg, Juncker démissionne

Le Monde.fr | 10.07.2013 à 12h14 • Mis à jour le 10.07.2013 à 21h23 | Par Jean-Pierre Stroobants


La journée du mercredi 10 juillet promettait d'être très inhabituelle au paisible et stable grand-duché de Luxembourg, où Jean-Claude Juncker est sous pression depuis des révélations concernant le fonctionnement des services secrets de son pays.

Le premier ministre chrétien-démocrate, ministre depuis trente ans et chef de gouvernement depuis dix-huit, a annoncé sa démission de son gouvernement de coalition, censé rester en place jusqu'en mai 2014.

Le parti de M. Juncker a été lâché par son partenaire socialiste la semaine dernière lors d'un vote récent sur une motion déposée par l'opposition libérale et écologiste, qui dénonçait "le comportement ambigu" du gouvernement à l'égard du Parlement et de la justice. Mercredi, quatre autres partis semblaient vouloir s'allier au parti du ministre des affaires étrangères, Jean Asselborn, afin de désavouer M. Juncker et sa formation, le CSV.

"STRATÉGIE DE LA TENSION"

A l'origine de cet épisode inédit – la dernière motion de défiance déposée au Parlement datait de 1848 –, il y a les activités des services de renseignement que le procureur d'Etat, Robert Biever, a lui-même qualifiée de "police secrète". Un procès-fleuve s'est ouvert en février devant une chambre criminelle. Deux gendarmes membres d'une unité d'élite sont jugés pour avoir participé à des attentats dans les années 1980.

Une vingtaine de bombes avaient explosé, provoquant un traumatisme national et créant l'idée que le petit Grand-Duché était, comme l'Italie ou la Belgique, victime d'une "stratégie de la tension" devant favoriser l'émergence d'un pouvoir autoritaire après une mise en évidence de la "faiblesse" de ces Etats.

Pour les avocats des deux prévenus, c'est un réseau "stay behind", financé par les services secrets américains, qui aurait été à l'origine des attentats.

VICTIME COLLATÉRALE

Diverses hautes personnalités ont été citées comme témoins dans ce dossier, qui a aussi illustré le fonctionnement de la sûreté nationale. L'ancien directeur des services de renseignement du Luxembourg (SREL) aurait enregistré, à l'insu du premier ministre, un entretien avec ce dernier, en 2008. M. Juncker aurait débattu des "contacts permanents" du grand-duc Henri, chef de l'Etat, avec les services secrets britanniques...

L'affaire a fait une victime collatérale : Luc Frieden, ministre des finances et du budget, dauphin désigné de M. Juncker au CSV. Le procureur Biever lui a publiquement reproché de ne pas avoir soutenu les enquêteurs chargés de faire la lumière sur les attentats et d'avoir mis en doute l'utilité de leurs investigations. M. Frieden s'est défendu, invoquant son honneur et admettant seulement avoir dit que l'énergie mise à traquer le "Bommeleeër" mettait en péril d'autres enquêtes. Au début 2008, M. Frieden avait révoqué les deux plus hauts responsables de la police.

le journaliste a oublié de mettre en plus "....à contre cœur ",

et le nom de ce celui qui l'a exigé de le faire.

cela s'appelle donc un journalisme polisé  ou policé ?


aucune mention du chevalier blanc rappelé en renfort de son congé à Rome la semaine avant .


probablement donc une telex dafp assaisonnée ,  car les derniers mois , rien de rien ds toutes la presse de

"kwal"-lité  sur les cirques des marionettistes et apprentis jellistes ds ce  royaume du pognon volé.

En plus ils sortent la piste des stay behind et les amerlocks , cher a Vogel, >>Vogel futter

mais nul mention du problème légal que cela pose pour le juge ,car collission entre "droit de defense" et la loi du" secret des agents" qui s'y oppose , verdict attendu de la cour constitutionelle que le juge attend pour pouvoir continuer en septembre.


Entre temps  , on quisine un peu plus ceux qui ont la chiasse.

le lux était si petite que quand ils ont cherché à "meubler" les services crées du BMg ils ont du avoir qqs problèmes pour trouvé le personnel apte à grimper un mur de trois mètres.

toute larmée n'est que 3000 hommes dont 300 qui se peuvent deployer vite fait ds le cadre de lotan .

alors construire une armé stay behind , oublie le  il n'y avait que qqs musiciens et pianistes choisis par SANTAclaus je pense

le stay behind (action) == les BMG je pense


hommes à tout faire ?



puis MI6 est la aussi dedans et le CIA et le BNd et le SDECe etc  

ils se marchent sur les pieds car tous veulent un BMWM6  à moité prix ?
pourtant les volants étaient à Gauche

depuis quand on roule a gauche en amerique, germania etc

clairement des bon contacts alors avec "les japonais" ! comme le gross ?

Les députés ont tranché lors d'un conseil de gouvernement.
Jean-Claude Juncker, Premier ministre du Luxembourg depuis 18 ans et doyen des dirigeants européens, a été contraint à la démission mercredi après la défection de ses alliés socialistes suite à un scandale lié au service de renseignement.

"Je convoque un conseil de gouvernement demain à 10H00, et je présenterai la démission du gouvernement au Grand duc", a déclaré M. Juncker devant les députés après sept heures de débat.

Des élections vont être organisées, probablement en octobre. M. Juncker a indiqué aussitôt qu'il pensait se représenter à un mandat politique dans son pays, sans préciser s'il entendait de nouveau briguer le poste de chef du gouvernement.

Les socialistes, ses alliés au gouvernement, l'avaient lâché dans l'après-midi en déposant une motion demandant la dissolution de la Chambre des députés et l'organisation d'élections anticipées dans les trois mois. Son parti chrétien social se retrouvait donc isolé avec 26 députés sur 60.

"Le Premier ministre doit prendre ses responsabilités, non pas parce qu'il est malhonnête ou incompétent mais parce qu'il a fait les mauvais choix", avait déclaré le président du parti socialiste, Alex Bodry. "Il y a eu de graves dysfonctionnements. La responsabilité du Premier ministre est engagée", avait-il asséné.

"Je constate qu'une majorité de la Chambre veut des élections anticipées", a déclaré M. Juncker devant les députés. "Il n'y avait pas d'autre choix que de présenter la démission du gouvernement".

Inamovible Premier ministre du Luxembourg depuis janvier 1995, Jean-Claude Juncker, était le dernier grand artisan de la construction européenne. A seulement 58 ans, il détenait le record de longévité à la tête d'un gouvernement européen, ayant rejoint le club des dirigeants de l'UE alors que François Mitterrand et Helmut Kohl étaient encore au pouvoir.

"Si je transpire, ce n'est pas parce que j'ai peur mais parce qu'il fait chaud", avait-il lancé mercredi au début de son intervention. Mais son légendaire sens de l'humour et une plaidoirie de deux heures n'ont pas permis de retourner la situation.

Contrairement à ce que beaucoup prédisaient, ce vieux lion de la politique n'avait pas baissé les bras d'emblée. Bien au contraire, il n'avait rien lâché, récusant point par point toutes les accusations.

Mis en cause par une commission parlementaire pour sa "responsabilité politique" dans les dérives du service de renseignement (SREL), il avait accusé cette dernière d'avoir elle aussi failli dans le contrôle des activités de ce service.

Admettant tout au plus quelques "erreurs", il s'était presque posé en victime : "je ne suis pas d'accord pour endosser la responsabilité, car si c'était le cas, chaque ministre devrait alors être responsable de la moindre erreur commise par un fonctionnaire".

Membre du gouvernement luxembourgeois sans discontinuer depuis plus de 30 ans, Jean-Claude Juncker est accusé par ses détracteurs d'avoir délaissé son petit pays au profit de l'Europe, son grand engagement, et de l'euro, pour lequel il s'est battu pendant huit ans à la tête de l'Eurogroupe.

En cas de retrait de M. Juncker, la question de sa succession reste ouverte. Toujours très populaire, notamment auprès des jeunes, il pourrait tenter de se succéder à lui-même en étant en octobre tête de liste des chrétiens-sociaux, la première formation politique du pays.

Mais d'autres noms sont évoqués, en particulier celui de Viviane Reding, la grande rivale de M. Juncker au sein de son parti, exilée depuis près de 15 ans à la Commission européenne à Bruxelles, où elle est actuellement chargée de la Justice.

Le compte à rebours a commencé en décembre 2012, quand une commission d'enquête parlementaire a été créée après la révélation d'une écoute faite par l'ancien chef du service de renseignement lors d'un entretien dans le bureau même du Premier ministre. Le SREL, placée sous l'autorité hiérarchique du chef du gouvernement, est aussi accusé d'avoir fiché des milliers d'habitants, tenté de déstabiliser un magistrat, sans compter des malversations comme des reventes de voitures de luxe achetées à prix réduit dans les années 2004-2009.

Le climat avait été alourdi par des accusations contre le ministre des Finances, Luc Frieden, soupçonné d'avoir tenté d'étouffer, lorsqu'il était à la Justice, l'enquête sur une série d'attentats à la bombe qui avaient traumatisé le pays dans les années 80. D.H. 11 07

http://www.laprovince.be/764850/article/regions/luxembourg/actualite/2013-07-10/luxembourg-juncker-et-le-gouvernement-tombent


Luxembourg: Juncker et le gouvernement tombent


La Chambre luxembourgeoise entendait mercredi soir le Premier ministre Jean-Claude Juncker. Celui-ci devait s’expliquer sur les dysfonctionnements des Services de renseignement luxembourgeois (SREL) accusés, entre autre choses, d’avoir mis en place des écoutes illégales, fait disparaître des preuves compromettantes dans le dossier Bommeleeër, ou tenté de compromettre le procureur général du Grand-Duché dans une affaire de pédophilie. La responsabilité du Premier ministre dans ces errements avait été soulevée par une commission d’enquête.

Dès mardi, le parti socialiste luxembourgeois (LSAP), partenaire, dans la majorité luxembourgeoise, du parti de Jean-Claude Juncker (les centre-chrétiens du CSV), avait consommé la rupture. Il avait en effet voté en faveur de ce rapport d’enquête, alors que le CSV avait voté contre.

Le coup de grâce a été porté ce mercredi. Le LSAP, suivi par les quatre partis d’opposition (ADR, Déi Lénk, DP et Déi Gréng), ont déposé en soirée une motion exigeant le départ du Premier ministre, la dissolution de la Chambre, et la tenue d’élections anticipées (en principe en octobre). Ils ont ainsi confirmé leur première lecture du rapport de la commission d’enquête.

Juncker ne veut pas démissionner

Jean-Claude Juncker avait pourtant plaidé sa cause pendant deux heures en début d’après-midi, rejetant toute responsabilité directe dans les dysfonctionnements et rejetant toute possibilité de démission. Les autres partis luxembourgeois ne l’ont pas entendu de cette oreille, estimant en chœur que si quelqu’un devait répondre politiquement de ces différents dysfonctionnements, c’était bien le Premier ministre Juncker. En fin de séance, Jean-Claude Juncker a estimé, au vu des motions déposées, que le vote était inutile. Il a affirmé qu’il irait lui-même demander, ce jeudi, la dissolution de la Chambre et la tenue d’élections anticipées au Grand-Duc.

la dimension politique dans l'histoire des bommeleers n'a pas été mis en lumiere

pour cela il faut faire un ligne de temps qui donne a peu près ceci


Jacques Santer

Citation :

Jacques Santer (soutenu , )  Il était ministre des finances du Luxembourg de 1979 jusqu'en 1989
http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacques_Santer

Carrière politique

Il a exercé les fonctions de président du gouvernement de 1984 à 1989 puis Premier ministre du Grand-duché de Luxembourg de 1989 à 1995, avant de présider, de 1995 à 1999, la Commission européenne. En 1995, Santer est devenu le premier destinataire de la Vision pour l'Europe Award.
Il dirigeait la Commission européenne qui a démissionné en 1999. Après qu'un rapport sur la fraude et le népotisme mette en cause la commission européenne pour ses graves manquements en matière de gestion, l'ensemble de la commission décida de démissionner1.
Il a ensuite été de février 2002 à juin 2003 l’un des cent cinq membres de la Convention sur l’avenir de l’Europe chargés de rédiger le Traité établissant une Constitution pour l’Europe.
Il a été membre de la commission Trilatérale.

9e président de la Commission européenne

23 janvier 1995 – 15 mars 1999
(4 ans, 1 mois et 22 jours)

Prédécesseur Jacques Delors

Successeur Manuel Marín

1er Premier ministre luxembourgeois
22e chef du gouvernement
14 juillet 1989 – 5 janvier 1995

Monarque Jean

Prédécesseur Lui-même
(président du gouvernement)
Successeur Jean-Claude Juncker

20e président du gouvernement luxembourgeois
22e chef du gouvernement
20 juillet 1984 – 14 juillet 1989

Monarque Jean

Prédécesseur Pierre Werner

Successeur Lui-même (Premier ministre)

Citation :

Santer-Poos Ministry I


Wikipedia, the free encyclopedia

The Santer-Poos I Ministry was the government of Luxembourg between 20 July 1984 and 14 July 1989. It was the first of three led by, and named after, Prime Minister Jacques Santer. Throughout the ministry, the Deputy Prime Minister was Jacques Poos.
Ministers

Name Party Office
Jacques Santer
CSV
Prime Minister
Minister for Finances

Jacques Poos
LSAP
Deputy Prime Minister
Minister for Foreign Affairs, Foreign Trade, and Cooperation
Minister for the Economy and the Middle Class
Minister for the Treasury

Benny Berg
LSAP
Minister for Health
Minister for Social Security

Robert Krieps
LSAP
Minister for Justice
Minister for Cultural Affairs
Minister for the Environment

Fernand Boden
CSV
Minister for National Education and Youth
Minister for Tourism
Jean Spautz
CSV
Minister for the Interior
Minister for the Family, Social Housing, and Social Solidarity

Jean-Claude Juncker
LSAP (???erreur je pense correction:: CSV?)
Minister for Work
Delegate to the Department for Finances
Charge of the Budget

Marcel Schlechter
LSAP
Minister for Transport
Minister for Public Works
Minister for Energy

Marc Fischbach
CSV
Minister for Agriculture, Viticulture, and Rural Development
Minister for the Police Force
Minister for the Civil Service
Minister for Physical Education and Sport

Johny Lahure
LSAP
Secretary of State for the Economy

René Steichen
CSV
Secretary of State for Agriculture and Viticulture
Robert Goebbels
LSAP
Secretary of State for Foreign Affairs, Foreign Trade, and Cooperation
Secretary of State for the Middle Class
Source: Service Information et Presse


Santer-Poos I (1984 – 1989)



http://en.wikipedia.org/wiki/Santer-Poos_Ministry_I

Citation :

Claude Juncker
Carrière politique[modifier]
Membre du Parti populaire chrétien social (CSV) depuis 1974, il en devient, en octobre 1979, le secrétaire parlementaire. Il en sera le président entre janvier 1990 et février 1995.
Il est nommé en décembre 1982, à 28 ans, secrétaire d'État au Travail et à la Sécurité sociale.
En juin 1984, Jean-Claude Juncker est élu pour la première fois au Parlement luxembourgeois et sera nommé ministre du Travail et ministre délégué au Budget dans le premier gouvernement dirigé par Jacques Santer, puis, après les élections législatives de juin 1989, ministre des Finances et ministre du Travail.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Claude_Juncker

Premier ministre

La désignation de Jacques Santer comme président de la Commission européenne par le Conseil européen et sa confirmation à ce poste par le Parlement européen, conduit le grand-duc Jean à nommer Jean-Claude Juncker Premier ministre et ministre d’État le 20 janvier 1995. Même en tant que chef du gouvernement, il continuera à exercer les fonctions de ministre des Finances, ministre du Travail et de l'Emploi et ministre du Trésor.
….

Législatives de 2004

En juin 2004, après la victoire de son parti, qui, avec plus de 35 % des voix, remporte vingt-quatre des soixante sièges aux élections législatives, et trois des six sièges aux élections européennes, Jean-Claude Juncker refuse, malgré l’« amicale » pression de la majorité des dirigeants européens, le poste de président de la Commission européenne.

maintenant: du dossier boemelaars:

Citation :

Relevé chronologique des faits importants en relation directe avec les attentats à l'explosif des années 1984 à 1986



1984
1) Entre le 20 et le 23 janvier 1984  :Entre 17.00 et 08.00 heures : Helmsarme: Vol d'explosif etc (3,5 kg LUXTiTE)
2) 2) Entre le 02 et le 07 mars 1984  :Entre 16.00 et 04.00 heures :Wasserbillig : Vol d'explosif etc (50 kg LUXÏTE)
3) 3) Le 30 mai 1984 :A 23.20 heures : Beidweiler : Attaque pyrotechnique du pylône n°18
4) 2 Juin 1984 A 23.20 heures Beidweiler Dégradation du pylône n°18
2 jambes de pivot-renversement (ail.élec.)

On voit que les phases test des bommellers tombent ensemble avec les elections en juin 1984

Qqs mois après l'histoire recommence
Début février 1985


il va falloir trouver la date exacte des élections en juin 1984 pour voir si le dernier attentat a eu une influence sur les élections.

On a pu constater que Jacques Santer voulait parfois s'entourer de personnes douteuses (je pense à Pierre Eveillard).

Ceci dit, il pourrait être intéressant aussi de voir les liens entre Jean-Claude Juncker et Clearstream...

Selon un lecteur attentif, Clearstream permet aux grandes entreprises, banques, de mettre hors-balance (et off-shore) des pertes, des passifs, des valeurs toxiques etc... Ce qui a attiré des dizaines de milliards vers le paradis bancaire & fiscal luxembourgeois.

mais cela est beaucoup plus recent

pour la periode qui nous interesse le plus:


http://www.ipu.org/parline-f/reports/arc/LUXEMBOURG_1984_F.PDF

Citation :

LUXEMBOURG
Date des élections: 17 juin 1984

But de la consultation
Renouvellement de tous les membres du Parlement à l'échéance normale de leur mandat.
Caractéristiques du Parlement
Le Parlement monocaméral du Luxembourg, la Chambre des députés, se compose de 64
membres élus pour 5 ans*.


…..
Considérations générales et déroulement de la consultation
Les élections de 1984, qui ont eu lieu en même temps que l'élection des représentants du
Luxembourg au Parlement européen, se sont soldés par un renforcement notable du parti
d'opposition, le Parti ouvrier socialiste luxembourgeois. Son gain de sept sièges qui lui donne
un total de 21 a été attribué en partie à l'accroissement du chômage (de 2% environ) dans
le pays parallèlement, entre autres, à une régression de l'industrie sidérurgique. Néanmoins,
le Parti chrétien-social reste, avec 25 sièges, le plus grand parti à la Chambre des députés
élargie. Avec l'élection de deux de ses candidats, le Parti écologiste s'est fait représenter pour
la première fois au Parlement.

Le 20 juillet, le Parti chrétien-social et le Parti socialiste ont formé un nouveau gouvernement
de coalition dirigé par M. Jacques Santer (chrétien-social) en qualité de Premier
ministre. Les socialistes ont remplacé les démocrates (libéraux) qui étaient les partenaires
dans la coalition sortante.

on voit que en Luxembourg les socialistes entrent ds le gouvernement et les libéraux sortent !

c'est le mouvement invers de la Belgique un peu plus tôt

>>les attentas peuvent avoir eu un effet sur les élections

1.: aidé les socialistes de venir au pouvoir ?>mission accompli !?

2.: diminuer le ras de marée des élècteurs vers la gauche pour sauver la coalition existante > mission faillie ?


seule possibilité c'est de évaluer la presse d'époque si on parle de ces attentats ala une dans les journaux ou pas ?

Pour information, ce qu'en dit "La Libre" de ce jour ...

http://fr.scribd.com/doc/153120391/Luxembourg-La-Libre-11-Juillet-2013

la libre en qoui ? libre de relire ce que on a déjà lu ailleurs


il faut lister les scandales dont on parle et ceux dont on ne parle pas.

1.: les stay behind :compliqué , j'y crois pas trop , mais d'autres dur comme du fer:


http://lafinanceoffshore.blogspot.be/2013/02/affaire-bommeleeer-paravent-stay-behind.html


regarde le paragraph "Mutation"


des noms reviennent du gouvernement et aussi des membres eminents du parlement Eu 1979-1984

Il ne faut pas aller trop vite dans des sujets complexes :

http://en.wikipedia.org/wiki/Clearstream#A_.22black_box.22_of_Cedel

Clearstream Banking S.A. (CB) is the clearing and settlement division of Deutsche Börse, based in Luxembourg and Frankfurt.

Clearstream was created in January 2000 through the merger of Cedel International and Deutsche Börse Clearing

_ _ _


Cedel was a clearing company of securities. It was founded in 1971 and was owned by of 92 banks.

_ _ _


https://www.bil.com/en/corporate/history/pages/default.aspx

(...)

Création de la CEDEL dont la BIL fait partie des membres fondateurs et est une des principales banques dépositaires. La CEDEL deviendra Clearstream International en Janvier 2000.

(...)

La BIL absorbe la Banque Lambert Luxembourg. Il s'agit de sa première grande acquisition.

Note : Jean-Claude Juncker a plus que probablement des liens avec la BIL ... et doit bien connaître Clearstream ...

_ _ _


https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9v%C3%A9lation$

Le livre comporte trois parties :

Une première partie sur la finance internationale, la compensation interbancaire (clearing), et la société Cedel International-Clearstream. Dans cette dernière partie relative à Clearstream, il est fait état de comptes occultes non publiés, de comptes appartenant à des personnes physiques et de l'implication de l'institution dans plusieurs gros scandales financiers : faillite de la BCCI, faillite de la Banco Ambrosiano.

Note : sur la BCCI, voir http://fr.scribd.com/doc/152972118/BCCI-pdf

bommeleers sont un paravent ?

Citation :

Stay behind...

Dès le départ de ce marathon judiciaire, Finance Offshore informait sur le risque inhérent des différents points de rupture pour un exercice serein de la justice. On pourrait se rassurer en imaginant qu'il n'est jamais trop tard pour bien faire, cependant l'affaire Bommeleeër est bien la boîte de Pandore que nous soulignons. S'attaquer à l'histoire d'un état comme peut l'être le Grand-duché de Luxembourg, s'est assurément marquer la logique d'une future affaire d'état. Le réseau « Stay Behind » fait déjà son effet dans les débats, pour cause, raillé un peu trop vite par certains, il fera son entrée en force dans les débats. Les journalistes ne s'y rompent pas, ou plus, l'édifiante chronologie des attentats et faits d'armes du réseau sont imbriqués dans un calendrier très surprenant.
Chacun peut comprendre que l'affaire Bommeleeër est bien le paravent de tout l'édifice! Il peut l'être de fait, mais bien plus par extension, celle qui permet de brouiller les autres pistes...
Celles qui doivent nous faire remonter dans la genèse du dossier, ...s'attaquer aux secrets d'état n'est pas un exercice facile, il faut ménager bien des susceptibilités, des personnalités de haut rang qui n'ont pas l'intérêt primaire de voir déclamer en audience... leur vérité!





Homme d'état...

Nous sommes toujours plus proches de la raison d'état, il ne serait pas surprenant que les acteurs de cette partition, toujours plus contraints, « Enterrent une certaine hache de guerre. Le consensus sera toujours plus évident qu'un effet domino, celui que l'exercice louable de la justice devrait, pourtant devoir garantir. »

En fait, un scénario simple s'impose, « Deux inculpés, et pour l'instant, un seul objectif: Ne jamais sortir des rails! »

Telle devrait se résumer l'issue de ce marathon judiciaire.

« Les historiens feront le tri, plus tard, bien plus tard. »

A moins que mère courage s'invite aux débats et que certains acteurs, épris de noble justesse, décident enfin se mettre à table, pour la postérité?

Le respect de leur pays, ses institutions, et finalement peut-être enfin le fameux banco de l'honneur...

une pièce de théatre pour les études en diplomatie et des marionetistes , donc


a Kriegs-spiel , game pour enfants gâtés

http://en.wikipedia.org/wiki/Clearstream#The_October_surprise_conspiracy

The October surprise conspiracy

Ernest Backes ( http://fr.wikipedia.org/wiki/Ernest_Backes ) also indicated in Révélation$ that he was in charge of the transfer of $7 million from Chase Manhattan Bank and Citibank, on January 16, 1980, to pay for the liberation of the American hostages held in Tehran's embassy (Iran). He gave copies of files that he asserted shed new light on the October surprise conspiracy to the French National Assembly.

Banks with accounts in Clearstream

Bank of Credit and Commerce International , which, although officially closed in July 1991, continued to operate via Clearstream through unpublished accounts — as did Bank Menatep, involved in the "Kremlingate" (diversion of IMF funds), and owned by Mikhail Khodorkovsky
Banque Générale du Luxembourg
Carlyle Group
Crédit Lyonnais, one of France's major financial crashes during the 1990s
Société Générale
Banco Ambrosiano, controlled by the Vatican Bank and involved in one of Italy's major financial and political scandals
Siemens (Published Accounts by Lucy Komisar)
More than 38,000 others; as Clearstream is an international clearing and settlement organization, most member companies and banks have published accounts. Dealing with Clearstream is entirely legal; accounts used for tax evasion or money laundering is not.

_ _ _


Je trouve que cela devient compliqué mais ce n'est pas une raison pour renoncer à comprendre un peu mieux cette "nébuleuse". Ce qui se passe au Luxembourg pourrait nous aider à y voir plus clair ...

ok BCCI& Clearstream :affaire n° 2

affaire 3: les sous de lissouba: très mal recherché par les journalistes lux et c° qui immédiatement font des amalgames et assument le même comportement avec d' autres chef d'états africains


hélas pour ceux qui cherchent un peu vont voir que le rédac en chef du canard a temoigné à un procès en son faveur . Pourqoui,
c'est simple
le dernier jour du gouvernement ballamou sous chichchi un avion est parti du bourget pour livrer des armes via le bongolarium à cet opposant du president élu democratiquement a Brazza.
et le canard avait publie cela.

beau cadeau a jospinia pour son debut ?

en tout cas cela pu du petrol (reniflé par les avions) et la banque petrol ,failli (2000)qui fait tout là bas.

bien vu du près déchu de planquer ces sous pour un contre coup , hors de la France barbouze mais malencontreusement ds un autre pays aussi les pieds ds les magouilles et la boue > sous vaporisés d'un montant de 150 millions de dollars !


puis il y a Angola- gate affaire(4)
BMW gate (5)
horlogerie(6)
les poubelles de Reutemeteut(7)

bon je prends une pauze

Il faut des spécialistes pour mettre à jour les montages financiers de certains groupes criminels.

Je crois cependant qu'il est difficile d'avancer dans les dossiers qui nous intéressent sans connaître un peu la Banque Lambert (ne serait-ce que parce que l'ex-ambassadeur Douglas MacArthur II y a eu des responsabilités).

Vu que Samuel Lambert a fondé sa banque "Lambert, agent Rothschild" en 1853, c'est évidemment un peu long ...

http://fr.wikipedia.org/wiki/Lambert_(banquiers)

http://users.skynet.be/fb822050/100622_AMD_LLambert.pdf

http://announcements.thetimes.co.uk/obituaries/timesonline-uk/obituary-preview.aspx?n=philippe-baron-lambert&pid=153731709&referrer=2282

L'histoire des Rothschild mérite aussi d'être mieux connue ... certains sont passés par le Bilderberg :

http://www.bilderbergmeetings.org/former-steering-committee-members.html

Voir aussi :

http://www.lemonde.fr/economie/article/2013/04/05/l-empire-offshore-du-baron-elie-de-rothschild-dans-les-iles-cook_3154629_3234.html

L'empire offshore du baron Elie de Rothschild dans les îles Cook

LE MONDE | 05.04.2013 à 10h39 • Mis à jour le 06.04.2013 à 20h21 |

(...) Une histoire dans laquelle le secret, celui des affaires, celui de la fortune, occupe une large place... Jusqu'à aboutir aujourd'hui à cette révélation, issue des fichiers du Consortium international de journalistes d'investigation (ICIJ) : Elie de Rothschild, figure tutélaire de la branche française de la famille, mort en 2007 à l'âge de 90 ans, s'est constitué un véritable empire offshore, à l'ombre des palmiers des îles Cook, entre 1996 et 2003. (...)

_ _ _


Il n'est pas question que de Pathok Chodiev dans les fichiers du Consortium international de journalistes d'investigation (ICIJ) ...

Serais-ce pour jeter un discrédit sur BG et/ou un règlement de compte avec le Ministre ?!

Wicki:Emile Krieps= éminent carrière de résistant deux fois échappé d'un camp conc.allem  et internement (Espagne) est arrivé à Londres puis parachuté au lux .

juste après la guerre on a déjà essayé de le discréditer en mettant un coup d'état imaginé à ces basques .

je doute que qqun croyait à cela .


mais c'est possible qu'il était du même couleur  polit.  comme Geiben et sa fulgurante carrière a fait des jaloux.

la première vague peut avoir influencé les elections de juin 1984 mais le premier lettre signé n'est arrivé que en 1985 après l'explosion du chalet de  bourscheid 12 avril 1985 qui n'est même pas recherché (dixit proces
la lettre C23y78 (dossier) arrive que le 27 avril 1985 (voir dossier 130 pages) bizarrement tandis que les autres lettres arrivent plus vite.
recuperation ?
possible que le chalet a hébèrgé une partie des explosifs volées (début 2005) et que cela a été un accident.

de l'autre coté on semble avoir retrouvé ds les environs du Bourscheid un cadavre décapité vers 2001d'un détective belge disparu vers 1985

je pense donc que le "jeu" a commencé avec le lettre du 27 et ils n'ont plus pu s'arrêter
c'est comme cela qu'un ministre d'époque semble avoir déclaré à RTL en direct
que les bommleer ont depassé  leurs objectifs.

comment il peut connaitre les objectifs? alors ?


(ps

Geiben était en 1978 lieutenant ds ce lettre
puis commandant vers 1982 et à sa sortie Major 1984 je pense


il avait le vent en poupe ?)

http://www.lemonde.fr/europe/article/2013/07/11/luxembourg-m-juncker-contraint-a-la-demission_3446234_3214.html

Luxembourg : Jean-Claude Juncker contraint à la démission

LE MONDE | 11.07.2013 à 12h46 • Mis à jour le 11.07.2013 à 14h56 | Par Jean-Pierre Stroobants (Bruxelles, correspondant)

Il s'est battu pendant sept heures à la Chambre des députés de Luxembourg mais, mercredi 10 juillet, Jean-Claude Juncker a préféré annoncer sa démission pour éviter l'humiliation d'un vote de défiance. Il aurait été, depuis 1848, le premier chef de gouvernement de son pays à subir un tel affront, auquel auraient en outre participé ses alliés du LSAP, le parti socialiste.

Après dix-huit années au pouvoir, l'ex-président de l'Eurogroupe s'est vu reprocher par ses alliés comme par ses adversaires sa mauvaise gestion des services de renseignement de l'Etat luxembourgeois (SREL). La crise couvait depuis vendredi 5 juillet, lorsque le Parti populaire chrétien-social (CSV), le parti du premier ministre, a, seul, rejeté le rapport incendiaire d'une commission d'enquête parlementaire sur le fonctionnement de la sûreté nationale.

Deux affaires étonnantes se sont additionnées pour former le cocktail qui a fait exploser la coalition du toujours populaire premier ministre. La première remonte aux "années de plomb" que traversa le petit Etat en 1985 et 1986. Un mystérieux poseur de bombes – le "Bommeleeër" – ou, plus vraisemblablement, un groupe d'individus formés aux méthodes paramilitaires, fit exploser des lignes à haute tension, des bâtiments publics, les locaux d'un journal et le bureau du juge d'instruction chargé de l'enquête.

Une opération de déstabilisation ? Un épisode luxembourgeois de la "stratégie de la tension" à l'oeuvre dans d'autres pays européens, comme l'Italie ou la Belgique, en vue de démontrer la faiblesse de ces Etats et de favoriser l'émergence de pouvoirs autoritaires ? Simultanément, le Luxembourg connaissait, en tout cas, une vague d'attaques contre des banques.

THÈSE D'UN COMPLOT LIÉ À UN RÉSEAU "STAY-BEHIND"

Les enquêteurs luxembourgeois, pourtant aidés par le FBI et la police judiciaire fédérale allemande (BKA), ont longtemps pataugé. Jusqu'à l'arrestation, en 2007, de deux anciens membres de la Brigade mobile de la gendarmerie, une unité d'élite. Ces deux hommes sont jugés depuis février et les plus hautes autorités du pays – dont M. Juncker et des membres de la famille régnante – ont été appelés à la barre. Le procès-fleuve doit reprendre mi-septembre. Les avocats des deux ex-gendarmes, qui se disent innocents, avancent la thèse d'un complot lié à un réseau stay-behind, héritier des cellules clandestines créées au temps de la guerre froide pour endiguer la menace communiste. Ces structures liées à l'OTAN devaient "rester derrière" en cas d'invasion soviétique et mener une guerre clandestine de partisans.

Les parlementaires luxembourgeois affirment n'avoir trouvé aucune preuve de cette piste, peut-être avancée par les services de renseignement pour égarer la justice. Leur enquête a toutefois montré qu'une cellule stay-behind était bien présente à Luxembourg jusqu'en 1990 et disposait d'importantes sommes d'argent, en cash et en or. Ils ont également découvert que Licio Gelli, ancien grand maître de la loge maçonnique P2, lié au réseau Gladio et aux autres cellules anticommunistes, avait séjourné au Grand-Duché dans les années 1980, pour une raison inexpliquée.

C'est à la faveur de l'enquête sur le "Bommeleeër" que des révélations fracassantes ont été faites au sujet du fonctionnement des services de renseignement. Certains soupçonnent le SREL, aussi petit (60 fonctionnaires) qu'opaque, d'avoir effacé certaines données de l'enquête et d'avoir exercé des filatures sur les policiers en charge du dossier.

En novembre 2012, un magazine révélait surtout qu'un ancien patron du service, Marco Mille, avait enregistré clandestinement – à l'aide d'un bracelet-montre – le premier ministre Jean-Claude Juncker. Au cours de cet entretien, M. Mille aurait évoqué les "contacts permanents" du grand-duc Henri, le chef de l'Etat, avec les services secrets britanniques...

Pourquoi avoir bafoué toutes les règles en enregistrant, à son insu, le chef du gouvernement ? M. Mille a déclaré qu'il voulait ainsi prouver à ses collègues qu'il avait bel et bien évoqué les informations concernant le grand-duc devant M. Juncker. Quand les députés ont voulu obtenir une transcription de l'entretien, il leur a été répondu qu'il n'en existait aucune. Une copie leur est finalement parvenue, par le biais d'un journaliste. En congé sans solde, M. Mille ne sera toutefois pas poursuivi : l'affaire est prescrite...

"LE RENSEIGNEMENT N'ÉTAIT PAS MA PRIORITÉ"

A la faveur de 40 réunions et sept mois de travail, les parlementaires ont mis en évidence d'autres extravagances qui ont fini par coûter cher à celui qui était censé contrôler le SERL : le premier ministre. Aujourd'hui, il est accusé d'avoir passé trop de temps à diriger l'Eurogroupe ou à rêver d'un grand destin européen, et de pas en avoir assez consacré à son propre pays. Malgré les dénégations qu'il a opposées, mercredi au Parlement, à ses rivaux, au cours d'une intervention de deux heures, M. Juncker ne pouvait résister au flot des critiques contenues dans le rapport.

"Le renseignement n'était pas ma priorité", a-t-il expliqué avec beaucoup de franchise aux rapporteurs. Ces derniers ont énuméré une douzaine de griefs à l'encontre du SREL : écoutes illégales, missions effectuées hors de tout cadre juridique, tentative de corruption, fichage d'élus et d'organisations, accumulation d'informations sur des citoyens politiquement engagés avec, à la clé, viol du secret bancaire – ce qui ne manquera pas d'étonner à Luxembourg.

Une véritable "police parallèle" s'était semble-t-il mise en place. Elle enquêta, par exemple, sur les préférences sexuelles de certaines personnalités et tenta de faire tomber dans une fausse affaire de pédophilie l'ex-procureur d'Etat chargé de l'enquête sur les attentats des années 1980.

Hors de toute légalité, le service logea aussi gratuitement un ancien président de la Chambre des comptes, qui avait été chargé de le contrôler. Les responsables du SREL comptaient s'adjoindre ses services. L'absence de contrôle financier, de contrôle interne ou de coordination interministérielle pour piloter cette machine devenue folle est patente : "Depuis 1994, le SREL est placé sous l'autorité de M. Juncker, ministre d'Etat", note perfidement le rapport. Or, "il est établi qu'il n'a pas su consacrer (...) le temps et l'attention nécessaires, indispensables pour diriger et surveiller".

"Est-on responsable de quelque chose qu'on ne savait pas ? Ce serait une bonne nouvelle pour tous les fonctionnaires qui veulent faire des bêtises, car cela voudrait dire qu'il y aura toujours un ministre pour les protéger", a ironisé, mercredi, l'intéressé. Mais, cette fois, son humour n'a pas porté.

M. Juncker devait donc présenter, jeudi, sa démission au grand-duc et le prier d'organiser des élections dans les trois mois. Il compte bien conduire à nouveau son parti au combat. Mais au sein de celui-ci, certains ne semblent pas de cet avis, jugeant que l'ère Juncker s'est achevée mercredi.

Pour continuer sur les messages "Lambert - Rothschild" de la page précédente ...

Dans son livre " Crapule de luxe " de Walter Baeyens, on peut lire à la page 140 ce qui concerne Meyer Lansky (né en Pologne sous le nom de Majer Suchowlinski).

Voir aussi :  https://fr.wikipedia.org/wiki/Meyer_Lansky

Meyer Lansky était un mafieux américain, associé de la famille Luciano. Il a joué un rôle important lors de la prohibition en achetant de l'alcool au Canada et en le vendant, illégalement, aux Etats-Unis.

Son fournisseur canadien était Samuel Bronfman. La famille Bronfman a fait fortune et est devenue respectable. En 1949, Phyllis Bronfman a épousé Jean Lambert, de la banque Lambert.

Samuel Bronfman a même été décoré par la reine d'Angleterre.

Son fils Edgar a été à la tête du congrès juif mondial.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Famille_Bronfman

Il faut aussi lire ce qui concerne Seagram :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Seagram

Après la mort de Samuel Bronfman en 1971, Edgar M. Bronfman préside la compagnie Seagram jusqu'en juin 1994, époque à laquelle son fils, Edgar Bronfman Jr., est nommé président.

En 1987, Seagram prend le contrôle du fabricant français de cognac Martell, pour 1,2 milliard de dollars.

En 2000, le groupe français Vivendi prend le contrôle de Seagram, mais ne garde que la division divertissement. Il revend la division boissons à Pernod Ricard, associé à Diageo.

Pernod Ricard, cela fait penser à Charles Pasqua (voir Nicolas Sarkozy, Claude Guéant, J-F Etienne des Rosaies, ... et le SAC)

On n'est en effet pas loin :

http://lesenlumineurs.blogspot.be/2010/08/peuple-souverain-reflexions-de-pre.html

(...)

Lucky Luciano contrôle les ports américains, ce qui fait les affaires des services secrets US. Les contacts entre Luciano et lesdits services passent par Frank Wisner Sr (cofondateur de la CIA), puis par le Corse Étienne Léandri. La prohibition et Luciano font appel à un bootlegger canadien, Maurice Joly... dont le gendre, Charles Pasqua, reprendra la suite, passant cette fois de l'absinthe à l'anisette Ricard.


A noter aussi : la mention de Vivendi, nouveau nom de la CGE

http://www.lemonde.fr/economie/article/2002/07/01/de-la-compagnie-generale-des-eaux-a-vivendi-universal_283092_3234.html

et

http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/general/affaire-vivendi-edgar-bronfman-jr-condamne/523744#.Ud8a9m0eeTk

Sur Jean-Claude Juncker, un article du " Soir " du 12 juillet 2013 :


http://fr.scribd.com/doc/153329696/Le-Soir-12-Juillet-2013-Jean-Claude-Juncker

je trouve que Juncker fait bien son boulot car il assume la responsabilité des endouilles de la SREL en donnant sa démission.

mais il va reposer sa candidature et faute de mieux la population va le voir en victime et il va peut etre ,etre reélu et redevenir premier ministre et meme sortir renforcer.


il dit :j'ai du sauver l'europe( des banques) je n'ai pas eu e temps de m'occuper de la SREL.

Je n'ai pas problème avec cela

ce qui me choque c'est le AFFAIRE N° 8 le GELLI-GATE que personne n'a additioné à ma liste.


là c'est le gouvernement SANTER et ces ministres d'époque qui n'ont pas pipé mot.

Comment c'est possible que Gelli échappé du DOLLON a pu vivre en toute sécurité , n° sociale mutuelle comprises ds la Capitale de ce TRou Noir.


on va pas me dire que le cabinet restraint du gouvernement Santer et son SREL ne savait RIEN sur ce presence de GELLI ! au capitale du Lluxembourg

et qui était ds ce cabinet RESTRAINT et au SREL ?

Un lecteur attentif a une vision plus critique de Juncker ; voici son opinion :

Quant à Juncker: il aurait sauvé les banques? C'est presque drôle. Le paradis bancaire Luxembourg a contribué à la crise en permettant aux banques de masquer des passifs énormes dans des comptes 'non publiés' off-shore. Ce qui était le but de CEDEL dès son début.

CEDEL avait été fondé uniquement pour ce faire par un cartel de banques. Le Luxembourg, dès la fin de la 2GM, a été un protectorat bancaire américain. Pas question qu'il y ait au pouvoir un chef d'état non-aligné.

Santer, Juncker: atlantistes, pro-EU, pro-OTAN, Ministres Finances, IMF, World Bank....humbles serviteurs du cartel, de la 'Nébuleuse'.

On s'étonne qu'ils ne se sont pas intéressés au dossier GELLI???