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| Vague d'attentats au Luxembourg | |
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+44aurore soldat inconnu Kranz gie VictoryII kowalski Tom36 xyu perplexe HERVE michel-j Et In Arcadia Ego Castor Machin dim alain spielmann K Carlo4 Saint Val FAITESVITE Jean Marchenoir IMduM davidoff dislairelucien rob1 nervien wil Dr Strangelove ludivine ManoeuvresInTheDark guruguru EVE pendulum nooneisinnocent billbalantines Tom welkominn ludoke pierre Trisch undercover Henry michel 48 participants | |
Auteur | Message |
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K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Sam 29 Juin 2013 - 20:46 | |
| via les poubelles de Reuter on arrive à Congo Brazza ! gèré par ELF , coup d'état contre Lissouba
>>85% du pétrole consommé en France semble provenir de là .
le Luxembourg ,centre financier des magouilles d'une monde encore peu connu: Gelli, Pavitt....déjà "d'époque " puis les suivants dans son jus ... c'est bon. |
| | | Et In Arcadia Ego
Nombre de messages : 1103 Date d'inscription : 30/03/2012
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Dim 30 Juin 2013 - 4:19 | |
| Ambiance dans les faubourgs de Luxembourg... - Citation :
- Le détective privé menacé de mort
Les déclarations d'André Durand, détective privé chargé d'enquêter sur des soupçons de pédophilie contre Biever, n'étaient pas moins choquantes. Il a confirmé avoir récemment révélé ces informations à la presse. Il aurait depuis reçu des menaces de mort sous forme d'une poupée avec une balle dans la tête. L'ancien membre du SREL, André Kemmer , aurait par ailleurs indiqué à une connaissance que Durand «ferait mieux de fermer la bouche».
Finalement, le détective privé engagé par le SREL a détaillé devant le tribunal qu'André Kemmer lui avait demandé de faire «un petit photoreportage» du voyage de Robert Biever en Thaïlande. Kemmer avait, selon ses informations, prétendu que le procureur était un pédophile.
(Michel Thiel/ L'essentiel Online) |
| | | dislairelucien
Nombre de messages : 1137 Age : 85 Localisation : B - 6660 Houffalize Date d'inscription : 14/06/2008
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Dim 30 Juin 2013 - 10:09 | |
| - VictoryII a écrit:
CERNÉE AU CŒUR DE L'EMPIRE, LA VIEILLE GARDE MEURT ET NE SE REND PAS. |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Lun 1 Juil 2013 - 16:11 | |
| life from process tagesblatt - Citation :
- 15:42
0 Guy Stebens bricht vor Gericht in Tränen aus: Meine Familie und ich müssen viel ertragen. Es ist nicht mehr auszuhalten. hat Er Angst fur seine Familie? quel panier de rats et serpents sont à l'œuvre ? ils vont falloir foutre beaucoup de merde dans le ventilateur pour couvrir cela? (expression favourite d'un ex- president (déjà condamné à deux ans) dixit le canard) |
| | | dislairelucien
Nombre de messages : 1137 Age : 85 Localisation : B - 6660 Houffalize Date d'inscription : 14/06/2008
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Lun 1 Juil 2013 - 20:21 | |
| - K a écrit:
- via les poubelles de Reuter on arrive à Congo Brazza ! gèré par ELF , coup d'état contre Lissouba
>>85% du pétrole consommé en France semble provenir de là .
le Luxembourg ,centre financier des magouilles d'une monde encore peu connu: Gelli, Pavitt....déjà "d'époque " puis les suivants dans son jus ... c'est bon. pff... fatiguant cet ignorant qui vient sur des fils intéressants avec ces âneries répétitives dans un sabir incompréhensible |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Lun 1 Juil 2013 - 21:18 | |
| - Citation :
- Accompagné de Schneider et de Kemmer, Mille lui avait présenté, ainsi qu’à son ministre de la Justice Luc Frieden, les faits d’armes de Reuter lors d’un briefing en janvier 2006. Reuter avait donné un coup de main à l’ancien président du Congo-Brazzaville, Pascal Lissouba, alors en exil à Londres après avoir été chassé du pouvoir en 1997 par Denis Sassou Nguesso, pour ouvrir un compte auprès de Bayerische Landesbank Luxembourg. Cette ouverture, avec un dépôt de 150 millions de dollars, se fit au début des années 2000 par l’intermédiaire du banquier Alain Weber, selon les documents qui furent présentés en 2006. Le Srel se les était procurés d’une façon peu conventionnelle en explorant les recoins – peut-être même les poubelles – d’un appartement de Reuter plateau du Saint Esprit. Des centaines de pages y détaillaient les dessous de l’affaire Elf, ainsi que les commissions payées à des intermédiaires dans des juridictions exotiques. L’enquête Elf en France avait déjà été jugée et
rejugée, mettant en cause de nombreuses personnalités de l’establishment parisien, mais aussi deux intermédiaires d’origine irakienne et propriétaires du holding GMH au Luxembourg : Nadmhi Auchi et Nasir Abid. Ce dernier, avant de devenir le principal sponsor de Sandstone constituée par Frank Schneider après qu’il quitta le secteur public, deviendra auparavant une source importante de renseignement pour l’ex-chef des opérations. Schneider a écrit une note de service à son sujet en le présentant comme un proche de l’ancien Premier ministre CSV Jacques Santer. Nommé administrateur de GMH, ce dernier a tenté d’introduire Abid chez son successeur, Jean-Claude Juncker, lequel s’est toujours refusé au moindre contact avec un personnage qui fut abondamment cité dans l’histoire de la Mitterrandie.
à votre service trou du cul ! |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Lun 1 Juil 2013 - 21:24 | |
| - Citation :
- Elf, affaire d’État en France, semble aussi en être une au grand-duché. Une célèbre juge d’instruction française s’était d’ailleurs cassée le nez au Luxembourg en cherchant à remonter la piste des rétro-commissions liées à l’exploration pétrolière en Afrique et payées à des dignitaires de la République. « Si la justice française avait disposé des pièces en possession de Gérard Reuter, l’affaire aurait pris une autre tournure, notamment sur l’implication de ministres », explique un proche du dossier. Mais à l’époque du briefing, le volet Elf était clôturé. Par contre, l’enquête qui avait été initiée contre l’ancien président de la Chambre des comptes au Luxembourg était toujours en cours et les pièces qui avaient été présentées en 2006 auraient probablement pu alimenter son casier judiciaire et faire la lumière sur ses fréquentations barbouzardes françaises. Reuter y a été présenté comme un agent à la solde du Renseignement français et recruté en 1997. Or, rien ne fut transmis au Procureur, comme si les autorités avaient cherché à éviter la confrontation avec Paris. Pour ne pas faire revenir les affres de l’affaire Elf et des filières luxembourgeoises du financement de la Françafrique et des réseaux politiques à la surface de l’eau ?
Ce n’est pas un hasard alors si Juncker a demandé aux membres de la Commission d’enquête de montrer une certaine tolérance à son égard pour qu’il n’évoque pas « certaines affaires ». Au nom du secret d’État ?... |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Mar 2 Juil 2013 - 16:37 | |
| wort.lu la vérité en vue ? - Citation :
15:15 Er wiederholt stoisch seine Erklärungen von gestern. "Wenn etwas schief gelaufen wäre, wäre ich verantwortlich gewesen. Ich war der disziplinarische Vorgesetzte von Ermittlern, die jahrelang an diesem Dossier gearbeitet haben. Also habe ich mich alle sechs Monate gemeldet um nachzufragen, ob alles seinen geregelten Lauf nahm", so Reuland. "Und das ist aus meiner Sicht reibungslos gelaufen".
15:14 Der Zeuge schein entnervt.
15:13 "Ich will nur meine Rolle erklären. Und da ich täglich Rechenschaft ablegen musste, wieso dieser Ermittler hier arbeitete und dieser Ermittler dort, musste ich darauf aufpassen", so Reuland.
15:12 Reuland will das Gericht nun wieder über die Rolle des Generaldirektors belehren. Er sei nicht da gewesen, um Ermittlungen zu leiten. Das Management des Personals sei seine Hauptsorge gewesen.
15:11 "Die Leute lügen also alle, nur Reuland nicht?", meint der beigeordnete Staatsanwalt. Der Substitut habe ja laut Reuland jetzt auch gelogen.
15:11 "Die Bemerkung war administrativ. Dabei bleibe ich", ein genervter Zeuge.
15:10 Die Richterin weist ihn aber darauf hin, dass die Ermittlungen am 1. Mai 2004 offiziell verlängert wurden. Reuland habe also am 30. März wissen müssen, dass dies in einem Monat der Fall sei.
15:09 Reuland hatte daraufhin gesagt, dass der Satz am Rande der DNA-Entnahme durch die Ermittler am 30. März 2004 gefallen sei, da er noch der Meinung war, dass die Ermittlungen nun eingestellt würden.
15:09 Die Richterin spricht wieder den Spruch Reulands an: "Ihr kommt bis zu einem gewissen Punkt und dann ist Schluss". Reuland habe sich diesbezüglich auf einen Brief der U-Richterin bezogen, den er zuvor erhalten hatte. In diesem Brief vom 6. Oktober 2003 hatte die U-Richterin seinen Aussagen zufolge angekündigt, die Ermittlungen möglicherweise zu beenden.
15:07 "Das Gespräch hat es nie gegeben", sagt nun Pierre Reuland. "Ich verlange Details zu dem Datum und zu dem Gespräch. Im Moment aber hat das Gespräch nie stattgefunden", so Reuland wortwörtlich.
15:06 Nach den Aussagen von Pierre Reuland vor Gericht gestern, habe sich Substitut Robert Welter dazu entschieden, diesen Bericht zu verfassen.
15:06 Er habe damals nichts auf das Gespräch gegeben, weil er der Meinung war, dass die Staatsanwaltschaft auf dem gleichen Wissensstand war, wie der Polizist Reuland, so Welter.
15:05 "Wir waren an den Bommeleeër dran, sie wussten genau, dass sie das nächste Mal dran seien", sagte Reuland dann.
15:04 Welter habe Reuland gefragt, ob er denn der Bommeleeër sei. "Nein, höher", so Reuland. "Der Großherzog?", entgegnete Welter wieder. "Nein, nicht so hoch", habe Reuland wieder geantwortet.
15:04 Gleich zwei Mal habe Reuland ihm gesagt: "Hues de verstan?"
15:03 Das Dossier sei alt, es gebe dringendere Fälle. Sowieso komme man nur bis zu einem gewissen Punkt und dann sei Schluss, habe Reuland ihn gefragt.
15:03 Reuland habe auch ihn auf das Dossier Bommeleeër angesprochen. Bis zur Verhaftung der beiden Beschuldigten sei das Dossier aber kein Thema gewesen. "Aus diesem Grund konnte ich ihm nicht auf seine Fragen antworten", so Welter.
15:02 Er sei von 1995 bis 2003 Mitglied der staatlichen Verkehrskommission gewesen. Bei einer der Treffen habe er ein Gespräch mit Pierre Reuland gehabt, auch Mitglied in dieser Kommission.
15:01 Der Substitut Robert Welter liest eine "note" vor.
15:01 Die Sitzung ist eröffnet
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| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Mer 3 Juil 2013 - 17:23 | |
| der Untergang: http://www.tageblatt.lu/nachrichten/luxemburg/story/-Herr-Reuland--Sie-wissen-mehr--13838398 - Citation :
\"Herr Reuland, Sie wissen mehr"Erneut im Zeugenstand, betont Ex-Polizeichef Pierre Reuland nicht zu wissen, wer der Bommeleeër sei. Doch Richtern und Staatsanwaltschaft genügt diese Aussage nicht: "Herr Reuland, Sie wissen mehr". |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Mer 3 Juil 2013 - 18:06 | |
| Bommeleeër-Prozess im Liveticker: Pierre Reuland in Erklärungsnot
Am 59. Verhandlungstag im Bommeleeër-Prozess muss sich weiter Pierre Reuland erklären. Der Druck auf den Ex-Polizeigeneraldirektor stieg in den vergangenen Tagen stetig an. Erst am Dienstag hatte ihn die Staatsanwaltschaft schwer belastet. Gegenüber Substitut Robert Welter soll Reuland nicht nur einmal gefragt haben, wann das Dossier denn endlich abgeschlossen wird, sondern auch bizarre Andeutungen gemacht haben, die den Eindruck erweckten dass er wisse, wer der Bommeleeër ist. Am Dienstag stritt Reuland ab, dass ein solches Gespräch je stattgefunden hat. Bleibt abzuwarten, wie seine Position am Mittwoch aussieht. Aus dem Gerichtssaal tickert LW-Journalist Eric Hamus. |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Mer 3 Juil 2013 - 18:21 | |
| http://www.lessentiel.lu/fr/news/dossier/bommeleeer/story/18354494 02 juillet 2013 18:49; Act: 03.07.2013 10:55 Le poseur de bombes serait «très haut placé» LUXEMBOURG - Pour le deuxième jour consécutif, Pierre Reuland, l'ancien chef de la police accusé d'entrave à la justice, a témoigné devant la Cour, ce mardi. Une note choc a été dévoilée. Ce mardi, devant la Cour de justice, Pierre Reuland a choisi une nouvelle fois de camper sur ses positions et de rejeter toutes les accusations qui pèsent sur lui. Pourtant, un élément à charge a longuement été dévoilé: une note choc rédigée par le substitut du procureur Robert Welter, suite à un entretien avec Pierre Reuland. Selon cette note, il aurait demandé à l'ancien chef de la police s'il savait qui était le Bommeleeër. Reuland a alors répondu: «Non, mais c'est quelqu'un de haut placé, très haut placé». Welter a alors demandé s'il s'agissait du Grand-Duc, ce à quoi Reuland a répondu: «Non, pas le Grand-Duc. Haut placé, mais pas si haut placé. Et d'ailleurs, il ne faut pas croire que le poseur de bombes était seul». Il a voulu faire une «blague» Un témoignage tellement fracassant que l'avocat de Marc Scheer (NDLR: l'un des deux prévenus) a carrément demandé à Pierre Reuland l'identité du poseur de bombes. Il n'a bien évidemment pas eu la réponse. L'ancien chef de la police a expliqué que la conversation retranscrite dans cette note n'avait jamais eu lieu. Toujours selon Robert Welter, Pierre Reuland lui aurait dit que le dossier Bommeleeër «était vieux et que d'autres dossiers étaient plus urgents». Selon lui, «les enquêteurs remonteraient jusqu'à un certain point et après l'enquête serait clôturée». Selon Pierre Reuland, ces propos sont d'ordre administratif, au vu «des procédures et de la durée de l'enquête». Ce mardi, Reuland a également été confronté à l'accusation selon laquelle il aurait menacé les enquêteurs du Bommeleeër lors d'une cérémonie d'adieu. Il a expliqué qu'il s'agissait d'une «blague». |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Mer 3 Juil 2013 - 20:14 | |
| bon - Citation :
- Non, pas le Grand-Duc. Haut placé, mais pas si haut placé. Et d'ailleurs, il ne faut pas croire que le poseur de bombes était seul».
si R. a voulu impressioné son interlocuteuret ce qui'il dit est vrai il faut interpreter "ce pas si haut" donc suivant le protocol des singes: 1.: le gross 2 sa femme 3 ses fils et filles 4 le marechal de la court ? & l'archeveque ?(prpr du Wort .lu !) 5 le premier ministre & chef de l'instit de la justice 6 les ministres importants 7 les présidents des deux chambres , le general en chef de l'armee etc ds un état lac ,point (4) devait pas exister mais dans cette monarchie bananière tout est possible c'est bien (4) qui a interpellé l¨'inspecteur generale de la pol Z de venir s'expliquer sur les rumeurs soi disant répandu par lui autour du Stellvertreter. d'autres sources citent que le BMG G connaissait (4) et ..aurait connu sa fille ? mais bon entre tout ces rumeurs va savoir qui joue au basket ou au boules. mais ce serait un debut pourqoui en a essayé de mettre tout sur le dos de G. |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Jeu 4 Juil 2013 - 12:25 | |
| http://www.wort.lu/de/view/bommeleeer-die-selbstdemontage-des-pierre-reuland-51d475e6e4b0ab8886782e13
LëtzebuergVeröffentlicht am 03.07.13 21:05 Bommeleeër: Die Selbstdemontage des Pierre Reuland Ex-Polizeichef gibt vor Gericht keine gute Figur ab.
Pierre Reuland beharrte vor Gericht auf seiner Position.
Foto: Anouk Antony
(gs) - Auch am 59. Verhandlungstag des Bommeleeër-Prozesses musste sich der ehemalige Polizeigeneraldirektor Pierre Reuland im Zeugenstand erklären. Und was er dort veranstaltete, kam noch mehr einer Selbstdemontage gleich als seine Auftritte der vergangenen Tage.
Es war einfach nur eines ehemaligen Generaldirektors der großherzoglichen Polizei unwürdig, was Pierre Reuland sich am Mittwoch vor Gericht alles herausnahm. Er antwortete nämlich nicht nur nicht auf Fragen und verwies immer wieder auf eine selbstverfasste Stellungnahme, es war vor allem seine unglaublich rechthaberische Attitüde, die ihn in einem noch schlechteren Licht als die Tage zuvor erschienen ließ.
Gebetsmühlenartige Antworten
„Lesen sie meine Stellungnahme, darin sind alle Antworten enthalten“, so der Satz, den Reuland gebetsmühlenartig jeder konkreten Frage des Gerichts, der Staatsanwaltschaft und der Verteidigung entgegnete.
Dabei ging es um die Unterredung, die Reuland zwischen 1995 und 2001 mit Substitut Robert Welter hatte. Welter hatte bekanntlich das Gericht am Dienstag über dieses Zusammentreffen informiert und Reuland schwer belastet. Nachdem Reuland das Treffen zunächst noch ausgeschlossen hatte, schloss er „nach Konsultierung seiner Notizbücher“ nun zumindest nicht mehr aus, dass es ein solches Gespräch gegeben haben könnte.
Reuland bleibt Antwort schuldig
Was er aber in diesem Dialog mit Welter gemeint hatte, darauf wollte Reuland nicht nachvollziehbar antworten. Stattdessen verwies er immer wieder auf seine Stellungnahme. Auch auf konkrete Fragen, z.B. wen er gemeint habe, als er von „héijen“ Tätern sprach, blieb Reuland eine Antwort schuldig.
Ebenso hielt er es mit dem Nachhaken der Prozessparteien in Bezug auf seine Aussage „Mir waren hannert den Täter a si wosste genau, datt mir se beim nächsten Attentat geholl hätten“. Wiederum keine Antwort, sondern nur der Verweis auf die Stellungnahme.
Vorfall in der Portiersloge
Es war demnach fast surreal was sich im Gerichtssaal abspielte. Mehr als einmal forderte Reuland die vorsitzende Richterin Sylvie Conter auf, ihm nun doch mal zuzuhören. Der raue Ton der Sitzung war denn auch bereits zu Beginn gegeben, als die Richterin ihrerseits Reuland rügte: „Für wen halten Sie sich eigentlich?“
Hintergrund war ein Vorfall vom Dienstag: In einer Verhandlungspause hatte sich Reuland zur Portiersloge des Bezirksgerichts begeben, um dort zu telefonieren. Dabei soll er die dortige Mitarbeiterin harsch überrumpelt und sie gar aus der Loge ausgeschlossen haben.
Als die Richterin ihn hierzu befragte, meinte Reuland, dass er doch als Polizist das Recht habe, ein staatliches Telefon zu benutzen. Sollte dies nicht der Fall sein, dann werde er dies in Zukunft eben nicht mehr tun.
Eine Lex Reuland?
In Bezug auf das Gesetz gegen Justizbehinderung will Reuland während dessen Ausarbeitung nie interveniert haben. Er habe nur im Januar 2008 Minister Luc Frieden darauf aufmerksam gemacht, dass Staatsanwalt Robert Biever in jenem Schreiben, in dem er ihn (Reuland) stark kritisiert hatte, auch ein solches Gesetz gefordert hatte.
In der Zeit danach will er sich mit dem Gesetz nicht weiter befasst haben, bis es Mitte 2010 den Ministerrat passierte. Erst zu diesem Zeitpunkt habe er Guy Schleder, „Administrateur général“ im Justizministerium, aufgesucht. Ihm sei es aber damals nur daran gelegen gewesen, sich zu informieren und seine Meinung kund zu tun. Er will auch nie von „Versicherungen“ gesprochen haben, denen „nicht Rechnung getragen“ worden sei.
"ACSP nicht instrumentalisiert"
Was er sich konkret von Schleder erhofft hatte, wollte Reuland dem Gericht auch nicht verraten. Nach dem Treffen mit Schleder will er nur noch seine Gewerkschaft, die ACSP, auf das Gesetzesprojekt aufmerksam gemacht haben. Diese habe er aber nie instrumentalisieren wollen.
Auf die Frage, was ihn denn an dem Absatz bezüglich der Strafvereitelung im Amt gestört habe – wenn er sich nichts vorzuwerfen habe – verwies Reuland auf seine persönliche Situation. Das Gesetz sei von Beginn an auf ihn gemünzt gewesen. Obwohl er sich nichts vorzuwerfen habe, sei er dennoch abgesetzt worden. Und er habe eben befürchtet, dass es ihm früher oder später auch einmal vor Gericht so ergehen könne.
Mit dieser „memorablen“ Sitzung geht der Bommeleeër-Prozess in die Sommerpause. Er wird erst wieder am 16. September fortgesetzt
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| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Jeu 4 Juil 2013 - 12:28 | |
| http://www.wort.lu/de/view/dossier-srel-die-geheimdienstaffaere-von-a-bis-z-50e5f5a9e4b01992f27d4153 l'affaire du SREL en // avec les boemmelaars continu encore qqs jours - Citation :
- Dossier SREL: Die Geheimdienstaffäre von A bis Z
Was zunächst nach einem Nebenkriegsschauplatz in der Bommeleeër-Affäre aussah, hat schnell eine Eigendynamik entwickelt. Nachdem öffentlich wurde, dass der Geheimdienstchef heimlich ein Gespräch mit dem Premierminister aufgezeichnet hat, stellen sich viele Frage über das Innenleben des SREL und dessen Aktivitäten in den vergangenen 50 Jahren.
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| | | dislairelucien
Nombre de messages : 1137 Age : 85 Localisation : B - 6660 Houffalize Date d'inscription : 14/06/2008
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Ven 5 Juil 2013 - 10:52 | |
| Procès Bommeleeër: Un témoin que personne ne croit vraiment RTL - 03.07.2013, 18:26
Au procès Bommeleeër, ce mercredi, l'ancien chef de la Police, Pierre Reuland a remis une prise de position dans laquelle figuraient essentiellement - 2 citations:
- Ech sinn net de Bommeleeër. Je ne suis pas le Bommeleeër - Ech weess net, wien de Bommeleeër ass. Je ne sais pas qui est le Bommeleeër
Pierre Reuland a toutefois reconnu qu'il a peut-être eu une conversation avec le Substitut Robert Welter, dans laquelle il aurait dit que l'enquête irait jusqu'à un certain niveau élevé et qu'ensuite ce serait terminé. Retour sur l'audience de mercredi
Après 28 minutes, c'est le Procureur Oswald qui a déclenché les hostilités: le témoin Reuland aurait une manière irrespectueuse de se comporter avec la Cour, il n'aurait encore jamais vécu quelque-chose comme cela. Nous sommes habitués tantôt au chaud, tantôt au froid, a enchaîné la juge, ramenant ainsi implicitement l'ancien chef de la Police au niveau d'un quelconque délinquant.
Et c'est une sacrée pièce que Pierre Reuland a livré à la Cour. Au moins 30 fois, il a répété que tout se trouverait dans sa prise de position. Cette réponse tombait chaque fois que la Défense, la Juge ou le Procureur voulait savoir quelque-chose de plus précis sur ce qu'il avait dit à l'époque au Substitut Welter. Notamment que le Bommeleeër serait à trouver à un niveau élevé et qu'ils auraient été, à l'époque, à cela de surprendre les auteurs en flagrant délit. Si le policier le plus gradé du pays a dit quelque-chose comme cela, alors, il devait quand même savoir de qui et de quoi il parlait.
Et là, revenait la réponse: tout est dans mon courrier, dixit Pierre Reuland.
Cependant, dans ce courrier, on trouve seulement qu'il aurait éventuellement eu une sorte de conversation de comptoir avec le Substitut Welter et qu'il ne serait pas le Bommeleeër et enfin, qu'il ne saurait pas qui est le Bommeleeër.
Personne n'a été satisfait des remarques continuellement pareilles de Pierre Reuland, mais il en est obstinément resté là. Et il continue à se sentir innocent, simplement parce qu'il s'est placé dès novembre 2007 derrière les 2 hommes aujourd'hui accusés. ../… C'était un début houleux pour une séance qui a continué à être houleuse, avec un témoin très particulier.
C’ÉTAIT LA DERNIÈRE SÉANCE avant la pause estivale Le procès reprendra le lundi 16 septembre. Et il n'est pas exclu que l'on y revoie Pierre Reuland à l'automne ...
La lumièr' revient déjà Et le film est terminé Je réveille mon voisin Il dort comme un nouveau-né Je relèv' mon strapontin J'ai une envie de bailler C'était la dernièr' séquence C'était la dernière séance Et le rideau sur l'écran est tombé
Bye Bye les héros que j'aimais L'entr' acte es terminé
La lumière s'éteint déjà La salle est vide à pleurer Mon voisin détend ses bras Il s'en va boire un café Un vieux pleure dans un coin Son cinéma est fermé, C'était sa dernière séquence C'était sa dernière séance Et le rideau sur l'écran est tombé
Rendez vous en septembre Eddy Mitchell
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| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Sam 6 Juil 2013 - 10:27 | |
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http://www.voltairenet.org/article179259.html
La guerre secrète au Luxembourg par Daniele Ganser
Nous reprenons durant l’été la publication par épisodes de l’ouvrage fondamental du professeur Daniele Ganser sur le Gladio. L’article d’aujourd’hui, sur le Luxembourg, ne se fondait que sur la déclaration du Premier ministre Jacques Santer, en 1990. Nous y avons ajouté une actualisation sur les révélations de RTL et le procès des poseurs de bombes.
(...)
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| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Sam 6 Juil 2013 - 10:41 | |
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http://www.luxprivat.lu/News/Commission-europeenne-les-pannes-frauduleuses-du-service-de-securite-L-Europe-des-Fraudes-de-Jean-Nicolas-XXVI
(...)
Les faits délictueux se sont déroulés en 1993 et 1994. D’après des éléments ont été payés sans contrepartie de travail. Des cas de népotisme ont également eu lieu et des fausses factures ont été émises. Fin 1994, Pierre Eveillard, l’un des personnages centraux de la Commission dans cette affaire, fut suspendu de ses fonctions au service de sécurité et muté sur une voie de garage dans le secteur des transports de l’institution.
C’est à ce moment là que le chef du département sécurité, Pieter de Haan, apprit que le nouveau président de la Commission, Jacques Santer, désirait incorporer à partir de janvier 1995 Pierre Eveillard dans son cabinet. Cette promotion assez surprenante n’a finalement pas eu lieu. Mais elle met en lumière les excellentes relations entre la famille Eveillard, dont Christian, inspecteur de police à Etterbeek, le frère de Pierre, figurait comme «officier de liaison» pour la Commission, et la mouvance de Paul Vanden Boeynants. Un Christian Eveillard qui était d’ailleurs un visiteur régulier de la fameuse taverne «le Dolo», sinistrement célèbre depuis quelques années et connue pour avoir été un rendez-vous d’éléments d’extrême droite.
Sans vouloir faire le moindre amalgame, on peut quand même s’étonner du fait que la Commission recrute dans un environnement fréquentant des endroits répertoriés comme proches de l’extrême droite et même cité dans les dossiers de Marc Dutroux et de Jean-Michel Nihoul. Et le fait que le président de l’institution européenne -encore une fois inconscient et mal conseillé où quelque peu compromis par ses relations ? - demande justement de disposer pour ses besoins personnels de sécurité d’un fonctionnaire suspendu et muté pratiquement la veille de son arrivée pour une implication dans un cas de fraude, intrigue également.
(...)
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| | | Et In Arcadia Ego
Nombre de messages : 1103 Date d'inscription : 30/03/2012
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Sam 6 Juil 2013 - 11:30 | |
| On peut lire plus loin : - Citation :
- Quant à la non concordance de pièces, encore un fait habituel à la Commission, notamment en matière de facturation tronquée, le rapport privé relève : «Il y a eu quelques disparités de facturation, dues à l’application d’un index des prix erroné. Il n’y a aucune preuve pour pouvoir suggérer qu’il s’agit d’autre chose qu’une erreur». Il n’y a bien sûr aucune preuve non plus pour ne pas admettre le contraire. Mais il y a preuve au moins qu’il y a eu «disparités».
Cette prise de position officielle du group 4 confirme dans une version de défense que d’une part, il y a bien eu, comme dans d’autres affaires, pratique de «sous-marins» détournés de leurs objectifs par la Commission et qu’il y a eu «disparités de facturation». Ce n’est pas l’accusation qui parle, c’est bel et bien la défense.
Le groupe 4 a eu droit à une perquisition le même jour que la Commission. http://www.luxprivat.lu/News/Commission-europeenne-les-pannes-frauduleuses-du-service-de-securite-L-Europe-des-Fraudes-de-Jean-Nicolas-XXVI Il est intéressant de noter que l'un des prestataires informatiques de la Commission était la société Intracom S.A. dirigée par un Grec du nom de Socrates Kokkalis. Les liens de ce dernier avec Alexander Schalck-Golodkowski (cousin de Gol...?) et la Stasi sont connus... - Citation :
- In August 1992, the German magazine Capital disclosed that Socrates Kokkalis "went to Greece after Alexander Schalck-Golodkowski ordered him to establish Intracom." Golodkowski was a leading personality of KO KO (Kommerzielle Koordinierung) and Komplexprogramm 2000, which had the aim to fill the technology gap between East and West countries, after embargo.
http://eur-lex.europa.eu/smartapi/cgi/sga_doc?smartapi!celexplus!prod!CELEXnumdoc&lg=fr&numdoc=62002CJ0294 http://cryptome.org/kokkalis-stasi.htm |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Sam 6 Juil 2013 - 14:16 | |
| arca & hervé & ganser
http://www.gouvernement.lu/functions/liens/medias_internet.html
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La presse luxembourgeoise
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Télévision •RTL Télé Lëtzebuerg: www.rtl.lu/ •Nordliicht TV: www.nordliicht.lu
javais pensé que les affaires troubles au Luxembourg étaient 10 fois moins compliqués vu sa petite grandeur mais je me suis trompé !
vous aviez tout lété pour vous mettre au niveau de cette affaire des Bommeleeer et l'affaire SREL devant le comm du parlement qui est interlié .
le procès continue mi septembre et le culoté Re va retourner bien probablement puis aussi So qui a la chiasse depuis qqs semaines .
il y qqs meurtres aussi qui sont dépoque comme le detective belge decapité au bourscheid, ..leporteur de valise Grau qui essaie déchapper de intensive care par le fenestre avec des draps ....etc et dautres affaires comme GELLIGATE, angolagate ,elfgate e...et des sommes pharamineux qui sont disparus des comptes bloqués,comme celle de Lissouba (dont on fait une amalgame fautive avec des faiteurs de coup detat Ngousso etc
on peut télécharger le procès 130 pages et lire aussi les archives politiques de D'Letzebuerger Land: www.land.lu
puis aussi les 58 jours du procès bommeleer live sur
•d'Wort: www.wort.lu •Tageblatt: www.tageblatt.lu
attention comme je lai démontré ds un exemple sur "les années wort .lu est partièlement propriété de larcheveque ! donc ils oublient de noter les passages où on parle de ....SANTER !... mais ils sont plus complète que Tagesblatt qui est très bien pour décrire les émotions des témoins
Land et RTl semblent avoir eu des infos , mais aucune idée qui manipule qui.
note aussi certaines coïncidences de dates avec le campagne Akkerman des CCC juste avant leur arrestation et les attentat des TBW et bommeleer avec le KRISTALNACHT=TBW Alost= prise de pouvoir de NAPOLEON=bommeleer palais de justice (to be rechecked), =CHUTE du mur de berlin piu tarde
(et encore un attentat en flandre)
décidement des dates illustres
attention aussi aux fausse pistes comme les stay behind & gladio ala Kramer
il faut attendre le jugement des docteurs mais si on a suivi ces derniers jours les auditions on peut se demander si le juge ne faisait pas mieux de les passer tous les témoins devant un conseil des médecins. (chiasse, Alzheimer , hypernerveux, commence à pleurer , refus de répondre aux simples questions , etc
>>>des ménaces de toutes sortes sont a lœuvre ?
Dernière édition par K le Mer 10 Juil 2013 - 10:36, édité 1 fois |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Sam 6 Juil 2013 - 19:27 | |
| le rapport SREL est prêt http://fr.slideshare.net/wort_fr ……extrait page 7 & 8 - Citation :
I. Introduction
1- L'«affaire du SREL»: le fil des événements ayant débouché sur l'instauration d'une commission d'enquête parlementaire
Le 19 novembre 2012, la station de radio RTL relaie l'information selon laquelle l'entretien du 31 janvier 2007 entre le directeur de l'époque du Service de Renseignement de l'Etat, M. Marco Mille, et le Premier Ministre, Ministre d'Etat, Jean-Claude Juncker, a été enregistré par le premier nommé à l'insu de son interlocuteur et ce au moyen d'une montre spécialement conçue à cet effet.
Le 22 novembre 2012, la station de radio RTL continue l'information selon laquelle un entretien entre le Premier Ministre, Ministre d'Etat, et le Grand-Duc, ayant eu lieu au courant de 2005 ou au début de 2006, ait fait l'objet d'un enregistrement clandestin sauvegardé sur un CD crypté.
Le 27 novembre 2012, la Commission de Contrôle parlementaire du Service de Renseignement de l'Etat se réunit suite à la révélation que l'entretien du 31 janvier 2007 entre le directeur de l'époque du SREL et le Premier Ministre. Ministre d'Etat, a fait l'objet d'un enregistrement clandestin au moyen d'une montre spécialement conçue à cet effet.
Le 28 novembre 2012, la Commission de Contrôle parlementaire du Service de Renseignement de l'Etat, soucieuse d'obtenir une transcription de la conversation enregistrée entre le Premier Ministre, Ministre d'Etat, et le directeur de l'époque du SREL, M. Marco Mille, se réunit dans les locaux du SREL. Au cours de cette réunion, les membres de la Commission de Contrôle parlementaire du Service de Renseignement de l'Etat sont informés que le SREL ne dispose pas d'une copie de l'enregistrement précité.
Le 30 novembre 2012 (matin), des extraits du Verbatim de cet entretien sont publiés dans le journal hebdomadaire «LëtzebuergerLand».
8 | P a g e
On y trouve confirmation que l'entretien précité entre M. Marco Mille et le Premier Ministre a notamment porté sur un autre entretien antérieur, à savoir celui entre le Premier Ministre, Ministre d'Etat, et le Grand-Duc au sujet de l'affaire «Bommeleeër» et qui aurait été enregistré et transcrit sur un CD crypté.
L'entretien enregistré entre M. Marco Mille et le Premier Ministre a également porté sur la Cour grand-ducale. Il en ressort que celle-ci aurait essayé de se procurer du matériel d'interception de communication et aurait entretenu des liens avec les services secrets britanniques
M. Marco Mille y révèle l'existence de 300.000 dossiers individuels dans les caves du SREL qui seraient le résultat d'un espionnage politique effectué au temps de la Guerre Froide. De même, M. Marco Mille évoque avoir mis sur écoute une personne, spécialiste en matière de télécommunications et source externe au SREL, qui a remis le CD crypté au SREL, ainsi que d'avoir opérer l'interception d'un entretien téléphonique avec cette même personne effectuée à partir d'un portable de service du SREL.
Le 30 novembre 2012 (après-midi), la Commission de Contrôle parlementaire du Service de Renseignement de l'Etat a convoqué le Premier Ministre, Ministre d'Etat, afin d'avoir des explications sur le contenu de l'entretien qu'il a eu avec M. Marco Mille lequel a été enregistré par ce dernier à l'insu de son interlocuteur et sur le CD crypté qui contiendrait un entretien secrètement enregistré entre le Premier Ministre, Ministre d'Etat, et le Grand-Duc.
Le 1er décembre 2012, un communiqué du Maréchalat de la Cour grand-ducale «[...] dément de la façon la plus formelle les informations parues dans les médias concernant les relations qu'elle aurait entretenues avec les services secrets britanniques. »
Le 4 décembre 2012, la Chambre des Députés, réunie en Séance plénière, décide d'instaurer une commission d'enquête en vue «d'examiner les méthodes opératoires du service de renseignement depuis sa création, d'en vérifier la légalité au vu de la législation en vigueur au moment où ses méthodes ont été appliquées, de faire rapport à la Chambre des Députés et d'en tirer les conséquences conformément à l'alinéa 2 de l'article 189 du Règlement de la Chambre des Députés, et ce dans les meilleurs délais.»
Le 31 janvier 2013, la Chambre des Députés, réunie en Séance plénière, décide, au vu des premiers résultats découlant des travaux et des devoirs d'instruction menés et ordonnés par la Commission d'enquête sur le Service de Renseignement de l'Etat, de même que des informations et des déclarations des différents témoins auditionnés au cours du mois de janvier 2013 ont révélés la nécessité de procéder à une extension du champ d'action matériel de l'enquête tel que défini dans la résolution du 4 décembre 2012 «de compléter la mission initiale de la commission d'enquête instaurée le 4 décembre 2012 en l'élargissant aux missions, à l'organisation et au mode de fonctionnement du service de renseignement;
d'incorporer dans la mission d'enquête de la commission la question du contrôle dudit service; d'intégrer les conclusions de la commission d'enquête sur les aspects supplémentaires de la mission dans le rapport à soumettre à la Chambre des Députés.»
2. La Commission de Contrôle parlementaire du Service de Renseignement de l'Etat - travaux préparatoires
……..
c'est donc clair quils doivent continuer a mentir car autrement c'est trahison contre letat et la population due au fait qu'on travaille pour un autre pays , non ?. et aussi la possibilité que pendant une querelle der grosse semble avoir menacé de sortir des affaires du gouvernement mais de quel gouvernement ? |
| | | Et In Arcadia Ego
Nombre de messages : 1103 Date d'inscription : 30/03/2012
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Sam 6 Juil 2013 - 19:45 | |
| Je ne parle pas luxembourgeois, si quelqu'un peut me préciser le sens de la phrase suivante, trouvée sur un forum grand-ducal ? : - Citation :
- wien war den den letzebuerger latinus ??
http://www.lux-forum.lu/politik-gesellschaft/l-tzebuerg/11-affaire-bommel-er/index6.html#post4098 Est-ce que cela laisse entendre que Latinus était Luxembourgeois? Si c'est le cas, quelqu'un peut-il confirmer? Je l'ignorais mais j'ai peut-être raté un épisode quelque part? |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Sam 6 Juil 2013 - 19:48 | |
| et pour ceux qui n'ont pas encore compris : •D'Letzebuerger Land: www.land.lu - Citation :
- 07.06.2013
Espionnite au palais de justice et contre des enquêteurs du Bommeleeër
L’homme à tout faire du Srel
Véronique Poujol
Monsieur D. a été un peu l’homme à tout faire du Service de renseignement de l’État sous l’empire de Marco Mille, où il est présenté comme la « source technique » la mieux payée, puisqu’il touchait entre 1 000 et 1 500 euros par mois pour sa collaboration. ce qui serait d’ailleurs loin d’être le cas. Ancien technicien en Belgique, recyclé dans le renseignement privé au Luxembourg et proche de l’extrême-droite, ce dont il ne se cache pas, l’homme a été utilisé, sinon exploité par le Srel pour des sales besognes et les coups tordus. Il avait aussi travaillé pour la Police judiciaire, avant de suivre André Kemmer lorsque ce dernier fut muté au Service de renseignement, puis très brièvement au ministère de l’Économie en 2009. Mais l’ancien ministre LSAP Jeannot Krecké ne se montra pas très chaud pour poursuivre une collaboration aussi sensible, après l’avoir fait travailler sur des investisseurs russes. D. a le sentiment d’avoir été lâché par ses anciens mentors du renseignement, d’autant plus qu’en 2009, une lettre anonyme adressée à la juge d’instruction Doris Woltz, venant vraisemblablement d’un des dirigeants du Srel, révèle son nom et celui de l’ancien président de la Chambre des comptes Gérard Reuter, dont il fut proche avant de se brouiller avec lui, dans un dossier sur l’extrême-droite belge et ses connexions probables avec les réseaux du Stay behind luxembourgeois, « grillant » ainsi une des sources du Srel, ce qui n’est pas dans les usages des services secrets. Accusé d’avoir balancé le détective, Kemmer portera d’ailleurs plainte pour dénonciation calomnieuse. Travaillant accessoirement pour une société de gestion d’immeubles, D. était posté plateau du Saint Esprit, siège de nombreuses administrations, dont le Service information et presse du gouvernement jusqu’en 2003, le Tribunal de commerce et la SNCI. C’est aussi dans ce bâtiment que Gérard Reuter a longtemps eu un pied à terre. Si D. fut spécifiquement mandaté par le Srel pour faire le travail de base d’un détective, comme des photos ou des observations sommaires, ce serait toutefois de sa propre initiative qu’il aurait fouillé dans les poubelles du SIP en y exhumant des photos non-autorisées des souverains ou vidé la cave de l’ancien président de la Chambre des comptes en ramenant au Srel des caisses entières de documents mettant en cause Reuter et son réseau de pseudos francs-maçons et de barbouzards du renseignement français, notamment sur les affaires Elf et les comptes de l’ancien président congolais Pascal Lissouba à la Bayerische Landesbank de Luxembourg (Land du 19 avril).
Comme avec le commerce parallèle des BMW, impliquant un ex-agent du Srel désormais sous le coup d’une enquête judiciaire couplée à une procédure disciplinaire, l’utilisation du détective privé a créé un profond malaise au sein du département des opérations du Srel, ses agents ayant le sentiment d’avoir été déconnectés du circuit opérationnel au profit d’un externe, pour des missions peu conventionnelles, voire inavouables. Lâché par le Srel après les limogeages successifs de Frank Schneider, André Kemmer puis Marco Mille, D. a rongé longtemps son frein avant que l’affaire des écoutes téléphoniques n’éclate à l’automne 2012, suivie par une instruction judiciaire liée aux agissements des ex-dirigeants du service. Le détective privé a été convoqué à deux reprises par les enquêteurs de la Police judiciaire auxquels il aurait révèlé, selon les informations de la Radio 100,7, qu’André Kemmer et le chef des opérations Frank Schneider lui avaient bien demandé des observations sur les policiers chargés du dossier du Bommeleeër. Kemmer l’aurait aussi missionné pour coller aux basques du Procureur d’État Robert Biever. Un piège aurait ainsi été monté contre le magistrat lors d’un voyage de ce dernier en Thaïlande, pour le faire tomber dans un guet-apens aux relents de pédophilie. Des micros et probablement aussi des caméras auraient été installés avec la complicité d’une seconde source du Srel. Contacté par le Land, André Kemmer dément catégoriquement ces allégations. « Nous n’avons jamais envoyé de détective privé en Thaïlande pour faire des observations sur Robert Biever, ni mandaté ce détective pour observer les enquêteurs du dossier du Bommeleeër ; quels en seraient les mobiles d’ailleurs ? », affirme André Kemmer. Mais quel serait aussi la motivation de D. à raconter des mensonges aux policiers et risquer ainsi de perdre sa licence professionnelle ?
Quoi qu’il en soit, Kemmer est lui-même convoqué ce vendredi 7 juin devant la PJ. Pour s’expliquer une seconde fois (il fut déjà auditionné en janvier et son domicile ainsi que son bureau perquisitionnés) sur les frasques supposées du Service de renseignement du temps de Marco Mille. Les policiers se sont notamment intéressés à la conversation téléphonique de 45 minutes environ qu’il a eue avec l’un des principaux témoins d’un autre enregistrement présumé, celui du Grand-Duc Henri avec le Premier ministre Jean-Claude Juncker au palais en 2006, évoqué par un certain Monsieur M., un ingénieur en électronique très doué, probablement issu de la mouvance du réseau Stay behind et très copain avec des policiers. M. est, à l’heure actuelle, une des rares personnes à connaître le contenu de l’enregistrement au Palais. Il fit un résumé de l’entretien à Kemmer, qui l’enregistra sur le téléphone de service du Srel, après que le Premier ministre eut donné son feu vert au directeur du Srel. Mais Mille, sans doute embarrassé par le contenu et la sensibilité de la conversation entre son agent et M., ne fera pas suivre l’autorisation de Juncker aux magistrats qui devaient valider l’écoute, d’où l’instruction judiciaire ouverte entre autres pour violation de la vie privée.
Que dit M. ? La teneur de l’entretien entre le chef de l’État et le chef du gouvernement ne serait pas aussi banale que les autorités veulent le faire croire : on y parlera peu – moins de cinq minutes – du Prince Jean et des attentats à la bombe dans les années 1980, mais davantage des « affaires d’État » et des comptes de certaines personnalités dans des banques luxembourgeoises. Selon des sources concordantes, M. racontera aussi que Henri, très remonté contre Juncker, le menace de révèler lui aussi des « dossiers » sensibles pour le gouvernement.
M. a cité le nom de Jean-Claude Trichet, l’ancien président de la Banque de France puis de la Banque centrale européenne à Francfort, tout en restant très évasif sur le contexte de cette présence. Qui aurait pu souffler ce nom au souverain, sinon Marco Mille lui-même, qui avait ses entrées à la Cour grand-ducale, notamment en raison de ses fréquentations du Club Columbus. L’enregistrement entre M. et Kemmer fait partie du dossier, transmis à la justice par Patrick Heck, l’actuel patron du Srel. L’ingénieur bidouilleur, qui a crypté l’enregistrement avant de fournir le CD au Srel qui n’est jamais parvenu à en déchiffrer le contenu, avait aussi livré à André Kemmer les noms des deux employés du Palais grand-ducal lui ayant prétendument fourni l’enregistrement : ces trois hommes ont déjà été entendus par la PJ dans le cadre de l’enquête, mais rien n’a encore filtré sur le contenu de leurs auditions respectives. Ces dossiers franchiront-ils tous les caps de la procédure judiciaire pour aboutir à un procès public ou seront-ils rattrapés en cours de route par la raison d’État ? Dans une conversation enregistrée
avec la source M.,
qui a été transmise
à la justice,
des noms sont cités, dont celui de Jean-Claude Trichet, l’ex-patron de la BCE
Dernière édition par K le Mer 10 Juil 2013 - 10:32, édité 1 fois |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Sam 6 Juil 2013 - 19:54 | |
| réponse: qui était le "latinus" luxembourgois
traduit qui est mort comme fusible ?......ou dans le futur ,
c'est bien de lire les commentaires du peuple lux. ils lisent en moyenne deux journaux par jour (un sur leurs finances et un avec des comiques des boemelaars.,gendarmes et policiers devant le tribunal et avec les 007 et les superministres devant la commission SREL
Dernière édition par K le Mer 10 Juil 2013 - 10:35, édité 1 fois |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Sam 6 Juil 2013 - 20:11 | |
| il y même un machiavelli qui repond
(int ostéèns)
den letzebuerger paul latinus?
(le latinus luxembourgois)
et muss ein emol den biever froen? mei dein enqueteiert jo net an dei richtung (da moe moar a ke vragne an de Biever(proc)moa dien enketeert nie in diene richtinge)
den paul latinus wuer och am WNP ( dei waren an tueries fous du brabant verweckelt) an den WACL den paul latinus wuer toch in diene WNPe,dije warne an de bende van nievel verwickeld zulle) enne an den WACL)
an nach munch aner obskur organisatiounen (endan noke anernandere obcure organizôsje)enz
wei hien durno wollt auspacken, huet hein sech suicideiert bon, daat as dei offiziel versioun genau esou wei den madani bouhouche, dein sech maat en motorsae, einfach emol esou den kapp ofgeschnidden hat offiziel versioun: "accident"
comme vous voyez les lecteurs du courrier du littoral , de Bruges et de Gand comprennent un peu facilement le luxembourgois ,proche de lostendois.
t'as vu la date 2008 mai
lis bien la fin
Boubou aurait sa tête découpé !?
bizar |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Mer 10 Juil 2013 - 13:38 | |
|
http://www.lalibre.be/actu/international/luxembourg-jean-claude-juncker-tres-menace-51dd37d7357089491c335770
Luxembourg: Jean-Claude Juncker très menacé
AFP Publié le mercredi 10 juillet 2013 à 12h30 - Mis à jour le mercredi 10 juillet 2013 à 12h37
"La responsabilité politique du Premier ministre est incontestable"
Jean-Claude Juncker, Premier ministre du Luxembourg depuis 18 ans, était menacé ce mercredi par un vote sanction de la chambre des députés sur un rapport mettant en cause sa responsabilité dans la gestion du service de renseignement, qui pourrait provoquer son départ et des élections anticipées en octobre.
En vieux routier de la politique, M. Juncker, 58 ans, n'a rien dévoilé de sa stratégie. Mais le plus probable semblait l'annonce de la démission du gouvernement de coalition entre son parti chrétien social et le parti socialiste après la défection de son partenaire socialiste.
Doyen des dirigeants européens, au gouvernement sans discontinuer depuis plus de 30 ans, Jean-Claude Juncker est victime de l'usure du pouvoir, accusé d'avoir délaissé son petit pays au profit de l'Europe, et d'avoir ainsi laissé se développer des scandales et un climat délétère dans le Grand Duché.
S'il démissionne, la question de sa succession reste ouverte. Pour beaucoup, M. Juncker, qui reste très populaire, notamment auprès des jeunes, devrait tenter de se succéder à lui-même en étant en octobre tête de liste des chrétiens sociaux, la principale formation politique du pays.
Mais d'autres noms sont évoqués, en particulier celui de Viviane Reding, longtemps la grande rivale de M. Juncker au sein de son parti, exilée depuis près de 15 ans à la Commission européenne à Bruxelles, où elle est actuellement en charge de la Justice.
Une responsabilité "incontestable"
A partir de 14H00, M. Juncker devait s'expliquer pendant deux heures à la Chambre des députés avant que le rapport de la commission d'enquête parlementaire sur le service de renseignement (SREL), qui met clairement en cause la responsabilité du Premier ministre, ne soit mis au vote.
Une commission d'enquête parlementaire a été créée en décembre 2012 après la révélation d'une écoute faite par l'ancien chef du SREL lors d'un entretien avec le Premier ministre dans le bureau de ce dernier. Le SREL, placé sous l'autorité du Premier ministre, est aussi dénoncé pour des irrégularités et des malversations commises dans les années 2004-2009.
"La commission d'enquête parvient à la conclusion que M. le Premier ministre, en tant que supérieur hiérarchique du service de renseignement, n'avait pas seulement aucune emprise sur son service, mais il a de plus trop souvent omis d'informer la commission de contrôle parlementaire, voire le parquet sur les irrégularités, aberrations et illégalités des opérations entreprises par le service", affirme le rapport.
"La responsabilité politique du Premier ministre est incontestable", conclut le rapport.
Une coalition qui tangue
Vendredi dernier, lors d'une rencontre avec des lycéens, M. Juncker a glissé qu'il faisait "un de ses derniers actes politiques" de la législature, censée se terminer en mai 2014.
Les socialistes attendent donc de voir quelle sera l'attitude de M. Juncker avant de déterminer leur position: soit la poursuite de la coalition avec les chrétiens sociaux, soit des élections anticipées qui auraient lieu le 20 octobre, selon des documents obtenus par l'AFP.
Mais mercredi matin, le président du Parti socialiste, Alex Bodry, a dit s'attendre à "un geste fort" de sa part, dans une interview au quotidien Luxemburger Wort. Il a indiqué avoir demandé au Premier ministre de faire "un clair mea culpa", ajoutant que ce dernier avait "opté pour une autre option". "Quand on se croit infaillible, il est difficile d'admettre qu'on a fait des erreurs", a-t-il dit.
De leur côté, les deux principales formations de l'opposition, le Parti Libéral et les Verts, sont prêtes à déposer une motion de censure.
La coalition avait déjà fortement tangué le mois dernier lors du dépôt d'une motion de censure par l'opposition, la première depuis 1848. Les socialistes avaient maintenu leur soutien à M. Juncker, au terme d'un débat houleux mêlant des accusations d'immixtion d'un ministre dans le fonctionnement de la Justice et de tentative de déstabilisation d'un magistrat par les services de renseignement.
L'actuel ministre des Finances, Luc Frieden, était accusé d'avoir tenté d'étouffer, lorsqu'il était ministre de la Justice, l'enquête sur une série d'attentats à la bombe commis dans les années 1980, qui ont traumatisé le pays.
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