Vague d'attentats au Luxembourg

Citation :

16:27
0 Die Staatsanwaltschaft will von Ermittler Klein wissen, warum überhaupt die beiden Geiben-Geschäftspartner Michels und Santer observiert wurden. Klein: Sie rutschten durch Zufall in die Ermittlungen.

qui est ce Michels?

http://www.tageblatt.lu/nachrichten/story/15237154

live update

"De son côté, Luc Frieden (CSV), actuel ministre des Finances, aurait tenté à plusieurs reprises, entre 2002 et 2007, d'influencer les autorités judiciaires pour enterrer l'affaire Bommeleeër, selon les révélations effectuées mardi par la radio 100,7."

http://www.lessentiel.lu/fr/news/luxembourg/story/Qui-sait-quoi-comment-et-sur-quels-sujets--18657098

http://www.wort.lu/de/view/bommeleeer-live-weiter-mit-geiben-51752a44e4b0b3baac01e15e


17:54

In wenigen Augenblicken werden wir eine Kopie des Briefes von Patrick Heck erhalten. Die Journalisten im Gerichtssaal hatten während der Pause nur einen kurzen Blick darauf werfen können. Wir werden das Schreiben an dieser Stelle veröffentlichen


plus lisible pour décortiquer:

Citation :

Reçu le 22.04.2013



Luxembourg, le 19 avril 2013

Objet : Remise volontaire de fiches et de microfiches et déclaration de l'ancien
chauffeur du Colonel Armand BRUCK. chef de l'Etat-Major de l'Armée - Affaire
Bommeleër».

Monsieur le Procureur adjoint,

En raison des développements récents dans le cadre du procès dit « Bommeleér*.
j'ai l'honneur de vous communiquer deux informations qui me semblent importantes

1. Remise volontaire de fiches et de microfiches.

Lors de la levée partielle des scellés judicaires dans les archives du Service de
Renseignement de l'Etat (dénommé ci-après le «SRE») le 18 avril 2013, les
personnels du SRE. sous le contrôle des officiers de Police Judiciaire, ont examiné en
détail le fichier des personnes physiques en vue d'y ressortir les fiches des requérants
ayant demandé l'accès aux fichiers personnels dans le cadre de la lo* du 2 août 2002
relative à la protection des personnes à l'égard du traitement des données à caractère
personnel A cette occasion, les fiches ont été examinées une à une et trois fiches
pouvant intéresser le procès dit « Bommeleër » ont été trouvées :


-Une fiche « Licio GELLI » , numéro 015/20-15 (référant à une microfiche) et
numéro 30/5489 (référant à 4 microfiches), contenant des documents relatifs à
la cavale de Monsieur Licio GELLI dans les années 1984 à 1986. Les
microfiches contiennent essentiellement des coupures de presse mais elles
recèlent également des copies de notices rouges d'Interpol qui ont été
communiquées au SRE par la Gendarmene ainsi que des demandes
d'informations de la part de services partenaires du SRE.











--------------------
Une fiche « Vol d'explosifs à Luxembourg « numéro 20-615 (référant à un
microfiche) et numéro 30-5595 (référant à une microfiche) Cette fiche contient
essentiellement des coupures de presse mais également des documents de la
Gendarmerie, de services de polices étrangers et de services de
renseignement étrangers ayant examiné les vols d'explosifs à Luxembourg

Afin d'éviter toute erreur de procédure, le SRE a demandé à ce que ces fiches restent
sous scellés, tout en proposant que le Parquet du Tribunal d'Arrondissement de
Luxembourg en soit informé afin qu'il prenne les mesures nécessaires. Ceci a été
verbalisé dans le procés-verbal réalisé par la Police Judicaire en date du 18 avril
2013.

2. Déclaration de l'ancien chauffeur du Colonel Armand BRUCK chef de l'Etat-
Major de l'Armée.

A sa demande, l'ancien chauffeur du Colonel BRUCK (entre 1982 et avril 1984) a
demandé à me rencontrer pour me faire des déclarations relatives à deux
événements qu'il juge € surprenants». Le soldat, qui désire rester anonyme, avait
entendu de par d'anciens collègues, que j'avais eu des entretiens avec une quinzaine
de personnes au moment de la révélation de la présumée écoute illégale visant le
Colonel HARPES en octobre 2012. Ceci la amené à me contacter
Il m'a déclaré que le Colonel BRUCK s'est rendu à deux reprises en début de l'année
1984 (une fois pendant la journée et une deuxième fois pendant la nuit) à proximité
des antennes d'RTL installées entre les villages de Brouch, Rippig et Beidweiler dans
la région de Junglinster. Selon la déclaration de ce soldat, le Colonel BRUCK aurait
effectué une reconnaissance des environs et se serait surtout intéressé aux chemins
d'accès ver» la région formant un triangle entre ces trois villages Le soldat s'interroge
maintenant si le Colonel BRUCK a effectué une reconnaissance de la région où a
explosé la première bombe attnbuée au « Bommeleêr » fin 1984.

Pour être clair, le soldat ne m'a pas affirmé qu'il s'agissait effectivement d'une
reconnaissance, mais cette coïncidence et cette proximité en lieu et en temps l'a
interpellé, particulièrement suite aux récentes révélations concernant le procès
« Bommeleêr» Répondant à mes questions, l'ancien soldat, qui a quitté l'armée en
avril 1984, m'a répliqué ignorer si l'armée planifiait un exercice militaire dans la région
et si le Colonel BRUCK connaissait Monsieur GEIBEN. J'ai repris contact par la suite
avec quelques officiers militaires en retraite que j'avais déjà sollicités au moment de
mes recherches sur les présumées écoutes contre le Colonel HARPES. Il m'a été
expliqué que le Colonel BRUCK et Monsieur GEIBEN se connaissaient très bien et
que Monsieur GEIBEN avait été membre de la môme compagnie que le Colonel
BRUCK quand ce dernier a été jeune officier et que le Colonel BRUCK avait
convaincu Monsieur GEIBEN d'entamer la carrière d'officier.



Il m'a également été indiqué que l'armée avait effectivement organisé un exercice
dans cette région au printemps 1984 et que le Colonel BRUCK s'était très
vraisemblablement intéressé pour cette région en vue de la préparation de cet
exercice, dont la confirmation devrait sans doute être retrouvée dans les archives se
l'armée. Le soldat m'a ensuite relaté des informations qu'il a qualifié de
« troublantes ». à savoir des visites suspectes du Colonel BRUCK au moment des
exercices militaires Oesling 1982 et 1983 Ce récit me paraît néanmoins peu crédible
car me paraissant tout à fart normal avec le déroulement des manoeuvres militaires
pendant les années 1980. Ce n'est finalement qu'en raison de la relation personnelle
et amicale entre le Colonel BRUCK et Monsieur GEIBEN que je juge important de
vous relater ce témoignage .Ceci dans un but d'exhaustivité et dans le souci d'éviter
de faire une erreur en ne vous communiquant pas ces informations.
Je me tiens personnellement à votre disposition pour les suites que vous jugerez
opportunes de réserver aux informations que je vous communique par la présente
Je vous prie de croire, Monsieur le Procureur adjoint, l'assurance de ma considération
très distinguée.

Patrick Heck
directeur

Citation :

17:40
Ex-Polizist Guy Santer, der 1985 die Luxemburger Zweigstelle der Sicherheitsfirma gründen wollte, ist übrigens ein Cousin Jacques Santer. Gegenüber den Ermittlern erklärte er, dass es zwischen ihm und Geiben im Bezug auf die Frimengründung Meinungsverschiedenheiten gab. Er erfuhr früh, dass er als Bommeleeër-Verdächtiger galt. Nach dem Streit mit Geiben, leitete dieser offenbar rechtliche Schritte ein. um zu verhindern, dass Santer den Namen Monitor Luxemburg benutzte.

Montag, den 22. April 2013

17:41
Er taufte die Firma zunächst in Molitor um, dann in LSD (Lëtzebuerger Secherheetsdengscht)Montag, den 22. April 2013

17:42
Santer hatte später keinen Kontakt mehr zu Geiben.
Montag, den 22. April 2013

17:42
Lydie Polfer hatte Santer zufolge gute Kontakte zu Geiben und Zovilé.

Montag, den 22. April 2013

17:46
Klein: Santer will von jemand gehört haben, dass Geiben gesagt habe, er könne Wagner eine Bombe in den Briefkasten legen. Santer kann sich aber nicht mehr erinnern, wer im das gesagt haben könnte.
Montag, den 22. April 2013

Si donc Geib. travaillait en Belgique pour après à PARIS et à Luxembourg monter une affaire similaire qui s"appelle "MONITOR" il y a une forte possibilité qu'il travaillait déjà pour "MONITOR" en Belgique ?

confirmation donc ds un ancien article de titu avec 5 ans d'avance , slik

Citation :

titu



MessageSujet: Re: Bernard Geiben Ven 5 Déc 2008 --------------------------------------------------------------------------------



Geiben travaillait pour la société Monitor S.A. qui est devenu la I.M. Security S.A. en 1989. Elle fut repris par le Groupe Group4Falck en 1992

cela est complèment sorti de mon mémoire : suite sur "MONITOR" et les israéliens ici

https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t1434-bernard-geiben

http://www.g4s.be/fr-BE/Who%20we%20are/History/

Geiben connaissait-il la bande des S. ?

https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t1264-l-affaire-wnp


tiens ds "le style MONITOR"

NEMRY en parle ds son P.V.


A votre demande de savoir si je connais, dans le cadre du WNP, le nommé Madani BOUHOUCHE dit Dany, il me semble avoir rencontré une fois l’intéressé. Je m’en expliquerai un peu plus loin. Je dois cepndant dire qu’en septembre 1981, Alain WEYKAMP s’est retiré du WNP. C’est à ce moment qu’il m’a fait part qu’il avait un ami Dany qui pouvait obtenir n’importe quel renseignement. Par la suite, j’ai demandé à WEYKAMP de se renseigner sur un médecin, l’actuel ami de ma mère. C’est ainsi que j’ai obtenu l’identité complète et qu’il m’a été dit qu’il était dans le colimateur de la BSR de Uccle. Cela se passait en 1982. Par la suite, j’ai également demandé de se renseigner sur Jean Pol DAUPHIN car il me donnait l’impression d’être suspect concernant la mort de LATINUS. J’ai effectivement reçu un renseignement complet sur la personne en question et ce, toujours par l’intermédiaire de WEYKAMP. En 1983, j’ai été invité à me rendre chez LAMMERS pour effectuer une réunion car il était envisagé de créer un service de sécurité style MONITOR. Je me suis rendu sur place. S’y trouvaient notamment, LAMMERS, VERMEIREN, DEBONDT, WEYKAMP et un copain de ce dernier qui, dans mon esprit pouvait être BOUHOUCHE. Il me semble le reconnaître, mais je n’en suis pas certain. A ma connaissance, cette société n’a jamais été créée.



Bizar qu'il parle du style MONITOR et pas d'un autre nom d'un firme de protection .

https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t1793-un-artricle-du-guardian-2001

Citation :

Moni tor is de vierde grootste bewa­kingsfirma in België. Deze bewakings­firma werd in 1971 opgericht door Ely Baron, de Israëlische firma Modi'In Ezrachi (vrij vertaald "Civiele Infor­matie" ) , een Israëlisch advokaat en 3 Israëlische gewezen politie-officie­ren, waaronder Amos Ben Gourion (zoon van David Ben Gourion, de "vader" van Israël). Het is opmerkelijk dat insi­ders vertellen dat Monitor destijds o.a. werkte voor de Mossad, de Israë­lische geheime dienst. In 1974 werd Ely Baron eigenaar van de grote meer­derheid van de aandelen, waarbij in een Monitor-brochure wordt opgemerkt: "zodoende blijft de vennootschap onaf­hankelijk van vreemde belangen of in­vloeden."(sic) Ely Baron, een gewe­zen Israëlisch duikbootkommandant, heeft sindsdien de touwtjes in handen. In dit verband kunnen wij de joodse achtergrond van de firma aanhalen. Moni tor verzorgt het waardevervoer van de diamantnijverheid, waar de Bel­gisch-joods gemeenschap de touwtjes in handen heeft. Monitor is in volle expansie, hoewel zij ook een aantal


pag 25

tegenslagen kende : vorig jaar heeft zij haar bewakingskontrakt voor de NAVO-basissen in België aan Group 4 Securitas verloren.
De hoofdzetel van de bewakingsfirma Intergarde te Waterloo is bovendien het adres van de Vereniging van de Be­wakingsondernemingen, waarvan de vier grootste bewakingsfirma's lid zijn. Er bestaat ook een Internationale Liga der Bewakingsmaatschappijen, opgericht in 1933 (in een periode van ekonomi­sche krisis dus). In een tekst van deze Internationale staat : "Oe bewa­kingsmaatschappijen van ge vrije we­reld hebben tot opdracht bescherming te bieden. Zij hebben tot doel aan de produktie een akti vitei t te verze­keren vrij van beroering en herrie en zich derwijze in diehst te stellen van het welzijn en het geluk der men­sen. Daarom betekent de notie die in de woorden "bewaking" en "veiligheid" vervat is een positief iets in de vrije wereld." Stakers, pas op !

difficile a dire si G connaissait "Securitas" aussi

sec >421>Sud?

Si G a été est suspecté comme bommeleer et il travaille pour Monitor il faut pas être estomaqué que le bases de l'OTANn foutent les bommeleer dehors par la grande porte et ils retournent de nouveau en parachute ou sous- marin , incroyable

MONITOR et OTAN ,88 ou !!


dommage que on n'a pas de dates pour verifier ce cirque.

Citation :

Ook in de beheersraden en de direkties van bewakingsfirma ' s vindt men gewe­zen ambtenaren uit de wereld van de ordehandhaving terug. We hebben reeds René Lechat en Maurice Fastrez als op­richters van Group 4 Securitas vermeld. Ook de beheerraad van Wackenhut is reeds de revue gepasseerd. Ri jks­wachtkolonel op rust André Bastin is ook beheerder van Wackenhut Belgium geweest.
Nog namen noemen? Eduoard Janssens : een voormalig parketmagistraat die na een carrière als hoofd van de Algeme­ne Rijkspolitie en kabinetchef van een zestal ministers van Binnenlandse

pag 33

Zaken, juridisch adviseur bij de bewa­kingsfirma Monitor werd. De kontro­leur werd gekontroleerde ! Monitor bezit een afwijking op de wet inzake privé-milities, omdat zij als een niet-politieke organisatie wordt be­schouwd.
Maar haar juridisch adviseur draagt een duidelijk politiek rugnum­mer. Eduoard Janssens behoort name­lijk tot de rechtervleugel van de PSC (ex-CEPIC). Ook in andere middens is hij goed geïntroduceerd. Zo was hij ui tgenodigd op de stichtingsverga­dering van het geheime anti-terreur kollege op 27 juni 1983 (28), en su­perviseerde hij de ordehandhaving tij­dens -het Pausbezoek in april 1985. Kortom, een bijzonder man.

Een ander voorbeeld : in 1979 heeft Bernard Geiben in het Groothertogdom Luxemburg een anti-terroristische po-­litiedienst opgericht. Later was hij als "director of operations" bij Moni­tor aktief. Hij zette destijds zijn handtekening op de "shooting certifi­katies" van de Monitor-bewakers. Op die certifikaten staat hij vermeld als "moni teur de tir de I' Ecole Nationale de la Police Nationale Française" en "FBI National Academy Shooting Expert".


Om langdradigheid te voorkomen, nog een aantal namen kort vermelden : ge­wezen politiekommissaris A. Smeyers (Monitor) , ^
rijkswachtkolonel Albert Turlet (Group 4 Securitas),
rijkswacht­generaal op rust Alex Lorgé (ABECO),
de inmiddels overleden rijkswachtkolo­nel René Mayerus (European Insti tute for Management).

Deze en nog zoveel andere voorbeelden tonen aan dat de verstrengeling met rijkswacht, politie, gerechtelijke politie en zelfs Staatsveiligheid niet mag onderschat worden. Deze per­sonen zijn niet alleen "boegbeelden" van de bewakingsfirma ' s , maar kunnen tevens al tijd van pas komen als er aan "een oude bekende" een dienst kan bewezen worden. Handig, héél handig.

et dire que je n'ai pas bien lu ce que jai mis sur site moi- même !!


Geiben was in Belgie DIRECTOR of OPERATIONS et ne roulait pas en triporteur de fonds mais avait une belle poste a responsabilités.
c'est bizarre que "MONITOR" n'existait pas a PARIS ni à LUXEMBOURG

Si MONITOR nous mène au MOSSAD et aux diamantaires
puis LAMMERS qui est présent au réunion pour créer une sorte de MONITOR on peut se demander si Boubou ne cherchait pas de personnel pour MONITOR FRANCE > non car

Geiben n'était pas encore en Belgique à ce moment là car:

la démission de Ben Geiben de la gendarmerie en octobre 1984.

@ K, je pensais que c'était clair ? Il a rejoigné Monitor à Bruxelles immédiatement après avoir quitté la Gendarmerie.

Michels, de mémoire, était un associé de Geib.en dans un projet initial de société de renseignement privé au Luxembourg. Une histoire qui oppose Geib.en à Mich.els et San.ter.

mes vieilles neurones commençent à flancher et oublier ce que j'ai lu et écris deux ans avant;
il faut repeter encore et encore mais là cela devient très grave:


le principal suspect du début (et p.e. de la fin >Wag*) devient sans interruption ni contrôle chef des operations pour une firme belge "MONITOR ,monté par des israéliens du Mossad qui protège des bombes atomiques américaines pour l'OTAN.
en plus il monte au Luxembourg une firme de renseignement privé avec un cousin de S*anter
San*ter lui même qui est à la base des stay behind où des aumonniers , tenanciers et c° décident qui à l'intelligence d'être instruite pour GLADIO .

le même des années après en haute position doit être dissué de prendre E. comme assistant personnel car possiblement mélangé avec l'affaire sécuritas, blanchi qqs années après par je juge qui comme J.I l'avait instruit qqs années avant !

enzovoort ,enzovoort, et ..... alors

niente dans la presse belge tous .................


et au même moment 1984-1986 GELLI , enfuit de suisse et recherché par la justice Italienne est bien au chaud au Casino en Luxembourg ,comptant ses sous tranferrés par le CONGO et le BENIN vers d'autres paradis fiscaux.

le BENIN était marxiste à ce moment là mais faisait parti d'un des deux zones du CFA.

Ces monnaies était en échange fixe avec le franc français , la France ds laquelle le gouvernement français se composait des ministres socs et cocos .


En introduisant en masse des faux monnaies CFA on déstabilisait non seulement le gouvernement de BENIN mais aussi l'économie Française ?.

c'était donc une grande machine à laver du faux monnaie ?.

je ne connais pas d'autre raisons pourquoi des sommes immenses pourrait passer par le Benin vers le Luxembourg.

au Zaire , Mobutu faisait la même chose en distribuant largent fraichement imprimé en triple quantité mais avec du vraie monnaie.

peu de gens le savent mais au Portugal une chose pareille c'est passé au début du siècle dernier.
On imprimait officièlement le double de quantité du monnaie pour distribution dans les colonies;
Seulement le sur-imprimation (outre mer ?) était "oublié ".

Au-delà de son amnésie, l'ancien directeur de la police Pierre Reuland aurait tenté de dissuader les enquêteurs de poursuivre leurs investigations.



De notre journaliste
Olivier Landini


L'enquêteur principal dans l'affaire Bommeleeër a révélé hier en audience que l'ancien directeur de la police avait tenté d'entraver son travail.

La 26e audience dans le procès dit du Bommeleeër aura été plus que secouée hier par l'exposé du commissaire principal dans cette affaire, Carlo Klein. Poursuivant l'exploration du volet de l'enquête portant sur Ben Geiben, qui fut un temps le suspect principal dans ce dossier – et qui le reste aux yeux de la défense – le commissaire de la police judiciaire a mis en lumière le rôle plus qu'ambigu joué par Pierre Reuland dans cette affaire, l'ancien directeur de la police qui avait été démis de ses fonctions en 2008 suite à ses déclarations lors de l'instruction judiciaire.

Si l'amnésie totale de celui qui était en charge de la brigade mobile de la gendarmerie (BMG) lors de la série d'attentats à la bombe perpétrés dans les années 1980 sur le territoire luxembourgeois avait déjà été évoquée publiquement, ce n'était pas le cas des détails de ses auditions. Quant à l'épisode du 23 octobre 2006, il restait totalement inconnu.

Il est 17 h 50 lorsque Carlo Klein ouvre ce sombre chapitre de l'histoire récente de la police grand-ducale, laissant la chambre criminelle, les représentants du parquet et la défense stupéfaits. En 2006, Pierre Reuland, qui était toujours directeur de la police, aurait tenté de dissuader le groupe d'enquêteurs qui avait repris le dossier Bommeleeër de poursuivre ses investigations tout en insinuant qu'il en savait bien davantage que ce qu'il prétendait.



L'épisode

du 23 octobre 2006

L'épisode se déroule le 23 octobre 2006 à Schuttrange à l'occasion d'une fête de départ d'un officier de la PJ. Dès l'arrivée du groupe d'enquêteurs, Pierre Reuland aurait exprimé du mépris à leur égard. Lors du repas, il serait ensuite venu s'installer à leur table. À l'époque, son adjoint, Guy Stebens – qui le secondait également au sein de la BMG – venait d'être entendu dans le cadre de l'instruction de l'affaire Bommeleeër. Lui devait l'être prochainement.

Se référant explicitement à l'audition qui l'attendait, «Pierre Reuland (leur) a clairement fait comprendre qu'(ils) (NDLR : lui et Stebens) ne pouvai(en)t et ne devai(en)t pas tout dire», relate Carlo Klein. Pierre Reuland leur aurait notamment confié qu'il s'était concerté avec son adjoint avant les auditions et s'étaient mis d'accord «qu'ils ne se souviendraient de rien».

«Il nous a dit que ce sur quoi on enquêtait était bien beau, mais qu'il fallait qu'on tourne la page. Qu'on ne pouvait pas y travailler éternellement. Et qu'il y avait plein d'autres enquêtes très intéressantes à mener», poursuit l'enquêteur principal. Quant au fond de l'affaire : «Ce n'est pas aussi grave que vous le pensez», leur aurait-il lancé.

«Nous n'avons pas compris ce qui se passait. D'autant plus que cela venait d'un directeur de la police», se rappelle l'enquêteur principal. Choqués par les propos tenus par Pierre Reuland, les enquêteurs auraient ensuite immédiatement quitté la fête après le repas avant de se concerter et de consigner par écrit ces déclarations.



Une amnésie plus

que suspecte

Un épisode qui éclaire largement les dépositions de Pierre Reuland et Guy Stebens qui n'ont cessé de botter en touche lors de l'instruction invoquant sans cesse l'amnésie. Comment la piste Geiben était-elle née? Qui avait ordonné l'observation de ce dernier le 19 octobre 1985 (le jour de l'attentat sur l'ancien Palais de justice)? Qui avait, la veille, briefé les membres du SREL? Les deux hommes n'ont cessé de prétendre qu'ils ne se souvenaient de rien. Ils n'auraient d'ailleurs jamais été impliqués dans l'enquête sur Geiben.

Si la thèse paraît en soi peu crédible (la cellule qui avait demandé l'observation était dirigée par Stebens et était sous la tutelle de la BMG que dirigeait Reuland), s'y ajoute le fait que les témoignages d'autres officiers ou membres du SREL impliqués dans l'observation du 19 octobre 1985 viennent totalement contredire cette version. Ainsi, si la présence de Pierre Reuland au briefing du 18 octobre reste incertaine, celle de son adjoint semble, quant à elle, ne plus faire aucun doute. L'un des policiers ayant participé à l'observation assure avoir averti Pierre Reuland de l'arrêt prématuré de l'observation. Enfin, l'un des membres du SREL a déclaré avoir été remobilisé pendant la nuit par Pierre Reuland avant que l'observation ne reprenne au petit matin. À cette occasion, c'est d'ailleurs Pierre Reuland lui-même qui aurait présenté aux agents du SREL une photo de Geiben dans les locaux de la BMG pour qu'ils puissent l'identifier.

Selon l'ancien directeur de la police, ces derniers doivent faire erreur sur la personne. «Cela fait quand même beaucoup de personnes qui se trompent», ne peut que constater la présidente de la chambre criminelle. Le procès reprend cet après-midi.


Le mail de Marco Mille

Dans une lettre adressée, hier, à la présidente de la chambre criminelle, le procureur général d'État, Robert Biever, annonce avoir reçu une nouvelle information de la part de Patrick Heck, le directeur actuel du SREL.

Ce dernier vient en effet de trouver un courriel adressé (le 21 février 2008) par son prédécesseur, Marco Mille, à l'attention de Frânck Schneider et d'André Kemmer. Suivant ce courriel, Marco Mille aurait fait part oralement (en 2006 et en 2008) à Robert Biever de l'hypothèse d'une implication possible du réseau Stay-Behind dans les attentats à la bombe. Si Robert Biever ne peut exclure que Marco Mille ait pu laisser tomber les mots «Stay-Behind» lors de l'une de leurs entrevues, il est en revanche certain qu'une «hypothèse» à ce sujet n'y a jamais été développée.

Le procureur général d'État indique que si tel avait été le cas, il n'aurait pas manquer d'en faire part «sans délai» à la juge d'instruction, «ceci d'autant plus que c'est désespérément, que l'on cherchait à élucider l'affaire de façon complète»

Selon la défense, soit Marco Mille avait véritablement évoqué l'hypothèse et il serait «impardonnable» que Robert Biever n'en ait pas averti la juge d'instruction. Soit, il dit vrai et admet donc que l'enquête aurait certainement été réorientée.

Source : http://www.lequotidien.lu/bommeleer/44320.html

Teilnehmer der Militär-Übung Ösling 84. Auf dem Foto erkennt man die zwei SREL-Mitarbeiter Nico Bock (stehend links) und Pierre Schiltz (kniend). Das Foto war u.a. von Le Jeudi bereits 2008 veröffentlicht worden. Die Bildzeile: US-Special forces haben den Luxemburgern während der Übung Flintlock84 die Kunst des Guerilla-Kampfes beigebracht.


http://www.tageblatt.lu/nachrichten/story/Schockweiler-kann-sich-auch-nicht-erinnern-12837952

est-ce quelqu'un me peut confirmer

si l'alias, faux nom utilisé par Nico Bock était "Lieutnant Huberty" de l'Armée Luxembourgeoise?

si Pierre Schiltz a une taille impressionante; aux alentours de 190 cm ?

Merci

Je ne saurais pas vous renseigner, mais je pense que Tageblatt ne reprend pas correctement les propos de la défense. Nico Bock serait la personne dans la première rangée devant Schiltz. Lorsqu'on lit le document top secret avec les noms des agents du STBH, on appprend que Schiltz "était une connaissance de M. Santer".

si

Citation :

le principal suspect du début (et p.e. de la fin >Wag*) devient sans interruption ni contrôle chef des operations pour une firme belge "MONITOR ,montée par des israéliens du Mossad

est vrai je doute que G. était lui-même de cet obedience ?
ou ils avaient déjà de solides liens en operations ?


je doute aussi que l'OTAN laisse gérer la securité des bases par des imbéciles>formation en U.S.A. et
doit y avoir aussi des solides accords entre l'otan et israel pour ce cette situation a debuté.(quand?)

monitor a perdu ce boulot juste par le risque que l'affaire" bommeleer" expose d'autres cooperations, comme le trafic darmes ?via la Belgique comme Bultot a declaré à un moment ,

"molitor" au lux ou "Monitor" en belgoland , peu d'info à trouver ds les banques de données.

qui a plus d'info's ?

ca ne colle pas; il doit y avoir au moins une erreure

rtl montre d'autres visages encerclés que le tageblatt
à voire aussi le reportage de hier qui montre la photo avec les visages encerclés et à comparaître avec avec la photo du tageblatt que j'avais posté hier ici dans le forum

http://news.rtl.lu/bommeleeer/news//429376.html


de plus la foto a été prise en 1983 ou 1984
le leaked document mentionne que Schiltz a été actif jusqu'on 1976.
alors Schitz ne peut dans aucun cas être un jeune soldat lux su ladite photo

La photo est belle et bien de 1984, mais les personnes sur la photo sont des soldats ordinaires.

confirmation via les médias

Arméi: Zaldote op Manöver84-Foto si keng Bommeleeër
http://news.rtl.lu/bommeleeer/news//429660.html

Wort-ticker
http://www.wort.lu/de/view/bommeleeer-was-sagte-die-gendarmerie-spitze-zu-ben-geiben-517907f4e4b0d6af515db3ae

Für reichlich Diskussionsstoff hatte in der Verhandlung am Mittwoch ein Tageblatt-Foto aus dem Jahr 1984 gesorgt. Es hieß, auf dem Gruppenfoto seien neben Luxemburger Soldaten und amerikanischen Special Forces auch SREL-Agenten zu sehen. Namentlich genannt wurden dabei SREL-Operationschef Nicki Bock und "Plan"-Gruppenleiter Pierre Schiltz.

Das Bild wurde nach Abschluss des "Oesling84"-Manövers auf dem Bauernhof Ney in Wahl aufgenommen, in dem heute das "Musée Rural Vivant Thillenvogtei" untergebrach ist. Die Luxemburger und amerikanischen Soldaten auf dem Foto waren im Manöver-Szenario den "roten Truppen" zugeteilt, die hinter feindlichen Linien operieren sollten.

Wie das "Luxemburger Wort" am Donnerstag aus zuverlässiger Quelle erfuhr, handelt sich bei den Personen auf dem Bild nicht um SREL-Agenten. Bei dem als Nicki Bock identifizierten Mann aus der ersten Reihe handele sich, um Mike G., der heute im Personalbüro der Armee angestellt ist. Bei dem Mann in der zweiten Reihe, angeblich Stay-Behind-Chef Pierre Schiltz, handele es sich in Wahrheit um Alain S., der heute bei einer privaten Stiftung arbeitet. Bei dem Mann im Pullover, ganz links im Bild, handelt es sich der Quelle zufolge um den Offizier der Einheit Paul H.

détail sur l'hypothese des renseignements israélien enoncée ici plus tôt

Immer wieder ist die Rede von einem "israelischen Spion". Dabei geht es um den Wagen Ben Geibens bei seinem Besuch in Luxemburg Mitte Oktober 1985. Das Fahrzeug war auf einen Libenesen mit jüdischem Hintergrund angemeldet.

tageblatt live ticker
http://www.tageblatt.lu/nachrichten/dossier/bommel/story/Wissen-die-Gendarmen-Chefs-mehr--10165200

Citation :

perpective:

19 octobre 1985 : en Belgique :attentat contre un centre de recrutement de l'armée à Namur

presse au Luxembourg :

>Les soupçons contre G;=bommeleer au lux semblent en tout cas être nés en octobre 1985


>Et comme le fait remarquer Sylvie Conter, l'abandon de la piste semble tout aussi mystérieux, environ deux semaines plus tard, après l'observation programmée mais avortée de Ben Geiben, le jour de l'attentat contre le palais de justice (le 19 octobre 1985).


Plus précisément, contre le bureau du juge d'instruction chargé de l'affaire qui avait ordonné quelques jours plus tôt une commission rogatoire à Bruxelles visant à enquêter sur sa personne (Ben Geiben habitait à l'époque à Bruxelles où il travaillait pour une société privée de sécurité).

Bommeleer proces 28 jour :25/04/2013
17:28
Immer wieder ist die Rede von einem "israelischen Spion". Dabei geht es um den Wagen Ben Geibens bei seinem Besuch in Luxemburg Mitte Oktober 1985. Das Fahrzeug war auf einen Libenesen mit jüdischem Hintergrund angemeldet

>20 octobre 1985 : cocktail molotov contre la voiture de Pierre Galand, chef du Comité national d'action pour la paix et le développement

on voit du nouveau l'etrange coincidence entre les attentats bommeleer et les attentat du CCC

on constate que qoui que on espionnait Geiben on tombe sur une voiture inscrite sur le nom dun ressortissant Libanais d'origine Juive habitant la Belgique ?


il voulait discuter sur MOLITOR -MONITOR avec GUY SANTER ?

Citation :

Ex-Polizist Guy Santer, der 1985 die Luxemburger Zweigstelle der Sicherheitsfirma gründen wollte, ist übrigens ein Cousin Jacques Santer. Gegenüber den Ermittlern erklärte er, dass es zwischen ihm und Geiben im Bezug auf die Frimengründung Meinungsverschiedenheiten gab. Er erfuhr früh, dass er als Bommeleeër-Verdächtiger galt. Nach dem Streit mit Geiben, leitete dieser offenbar rechtliche Schritte ein. um zu verhindern, dass Santer den Namen Monitor Luxemburg benutzte

titu a écrit:

La photo est belle et bien de 1984, mais les personnes sur la photo sont des soldats ordinaires.

Profil bas une fois de plus. (Enrageant, c'était si beau )

Agent quadruple zéro:
Pour la clarté , le site étant francophone quand vous polluez en français merci d'apporter les corrections en français et de ne pas noyer l'observateur dans un flot de prose en luxembourgeois.

RTL - 25.04.2013, 12:26 |
L'Armée a réagi à propos de la photo publiée mercredi, où figurent des soldats lors des manoeuvres dans l'Oesling en 1984.
Ces soldats n'étaient pas des Bommeleeër, mais seulement des jeunes garçons en manœuvres, dit-on.
Et d'abord une confirmation: la photo a effectivement été prise dans l'Oesling, dans une ferme et après les manoeuvres de l'Oesling 84. Sur la photo figurent 5 soldats luxembourgeois et les autres étaient américains et faisaient partie des Forces spéciales. Ces derniers appartenaient à ce que l'on appelait la „partie rouge“. La „partie bleue“ était l'armée normale…/…
…/…Nous n'étions pas et nous ne sommes pas des Bommeleeër, disent-ils à l'Armée.
Encore une chose: les jeunes sur la photo, n'étaient pas au SREL, ils n'étaient pas non plus appelés Schiltz et Bock par le SREL, comme il l'a été dit…/…
DONT ACTE