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| Vague d'attentats au Luxembourg | |
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Auteur | Message |
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michel Admin
Nombre de messages : 8625 Localisation : Bruxelles Date d'inscription : 16/11/2005
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Mar 16 Avr 2013 - 20:14 | |
| Geiben a habité à ...Bruxelles.
Geiben: une piste sabotée 2013-04-16 01:00:00
Le déroulement de l'enquête embryonnaire menée en octobre 1985 à propos de l'ancien commandant de la BMG, Ben Geiben, s'avère surprenante.
De notre journaliste Olivier Landini
Ce n'est pas son procès, mais le spectre de celui qui fut un temps considéré comme le suspect numéro un dans cette affaire hante toujours les débats. La chambre criminelle a poursuivi hier l'exploration du volet de l'enquête portant sur Ben Geiben. Le procès dit du Bommeleeër est entré, hier, dans sa sixième semaine. Au cours de cette 21e audience, la chambre criminelle de Luxembourg présidée par Sylvie Conter a continué à explorer le volet de l'enquête portant sur l'ancien commandant et fondateur de la brigade mobile de la gendarmerie (BMG), Ben Geiben. Un homme cité comme simple témoin dans ce procès, mais qui visiblement était la «meilleure piste» si l'on en croit les déclarations faites pendant l'instruction par celui qui dirigeait à l'époque la cellule d'enquête consacrée au Bommeleeër, Armand Schockweiler. L'enquêteur principal, Carlo Klein, est revenu hier sur la démission de Ben Geiben de la gendarmerie en octobre 1984. «Vous seul connaissez les vraies raisons de mon départ», avait indiqué ce dernier, tout en exprimant ses regrets, dans une lettre adressée au commandant de la gendarmerie, le colonel Jean-Pierre Wagner, dont le domicile avait été pris pour cible lors du dernier attentat de la série (le 25 mars 1986). Selon Carlo Klein, Ben Geiben faisait là explicitement référence à son homosexualité, connue du commandement de la gendarmerie. «Il y avait une tolérance zéro à l'égard de l'homosexualité. Ce n'était pas supportable dans la gendarmerie. Et tout le monde savait que le colonel Wagner était extrêmement conservateur», précise l'enquêteur principal.
Pas facile d'arriver à des certitudes Cette séquence a donné lieu, hier, à de vifs échanges entre Me Gaston Vogel et le procureur d'État adjoint Georges Oswald. L'avocat reprochant au parquet de ne pas avoir fait suivre les lettres rédigées par Ben Geiben à l'Office fédéral de police criminelle en Allemagne (BKA) qui avait établi un profil des poseurs de bombes. «Narcissique» et présentant des «traits d'omnipotence» pour reprendre les termes de Me Lydie Lorang, le profil de Ben Geiben collait pourtant bien à la description faite par les experts allemands selon la défense, qui demande qu'une analyse psychologique de Ben Geiben soit réalisée. Carlo Klein a également révélé que son équipe – qui n'a repris le dossier Bommeleeër qu'en 1998 – n'a pas réussi à déterminer comment la piste Ben Geiben a vu le jour. Plusieurs enquêteurs de l'époque s'étant renvoyé la balle lors de l'instruction. Les soupçons semblent en tout cas être nés en octobre 1985. Et comme le fait remarquer Sylvie Conter, l'abandon de la piste semble tout aussi mystérieux, environ deux semaines plus tard, après l'observation programmée mais avortée de Ben Geiben, le jour de l'attentat contre le palais de justice (le 19 octobre 1985). Plus précisément, contre le bureau du juge d'instruction chargé de l'affaire qui avait ordonné quelques jours plus tôt une commission rogatoire à Bruxelles visant à enquêter sur sa personne (Ben Geiben habitait à l'époque à Bruxelles où il travaillait pour une société privée de sécurité). Carlo Klein a en outre fait savoir hier que Ben Geiben avait relativement vite appris qu'il était suspecté et qu'une commission rogatoire avait été ordonnée à son encontre. Comment l'avait-il su? Par ses anciens collègues? Par les gendarmes belges qu'il avait côtoyés de près lorsqu'il était lui-même gendarme? Ou par le procureur d'État Jean-Marie Hary dont il était un proche, comme le suggère la défense? Le mystère reste entier. Le procès se poursuivra cet après-midi avec la suite du volet Geiben. Les enquêteurs reviendront, entre autres, sur l'observation avortée de ce dernier le 19 octobre 1985 – le jour de l'attentat contre le palais de justice à Luxembourg – dont les circonstances restent des plus opaques.
Et revoilà le Prince Jean
Me Gaston Vogel a révélé hier qu'un couple de témoins, victimes collatérales de l'attentat sur le domicile du notaire Camille Hellinckx, aurait aperçu le Prince Jean (le frère du Grand-duc Henri) aller et venir dans le quartier du Cents le jour de l'attentat (le 16 février 1986). Une information qu'ils auraient d'ailleurs transmise à l'époque aux autorités mais dont on ne retrouve aucune trace au dossier. Selon l'avocat, les témoins auraient par la suite reçu régulièrement la visite d'agents mystérieux. Me Vogel a également présenté hier un document émanant du Bundestag qui confirme qu'une collaboration a eu lieu entre les services de renseignements allemand et luxembourgeois.
Source : http://www.lequotidien.lu/bommeleer/44058.html _________________ "Ne rien nier à priori, ne rien affirmer sans preuve." ( Dr. Robert RENDU)
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Mar 16 Avr 2013 - 20:42 | |
| Oui, et une commission rogatoire sur Geiben a ete saboté par la gendarmerie belge. Un rôle-clé là-dedans jouait un certain major Guido Torres, ancien Chef du groupe DIANE. Ce n'est certainement pas un hazard. https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t1595-torres-guido |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Mar 16 Avr 2013 - 21:24 | |
| vu que les relations de mr.Fin.victime à Overijse , avec le monde policier (de Vr..) et gendarmerie , je commence à me demander si il connaissait aussi par ex. Mr. Torres , Geiben et d'autres car il y mention même des liens avec des service helvétiques.
donc
>la démission de Ben Geiben de la gendarmerie en octobre 1984.
>J'ai lu que Geiben a travaillé apres deux ans à bruxelles afin de monter une boite de protection? en France . >>Securitas ?????
>Les soupçons semblent en tout cas être nés en octobre 1985
>Et comme le fait remarquer Sylvie Conter, l'abandon de la piste semble tout aussi mystérieux, environ deux semaines plus tard, après l'observation programmée mais avortée de Ben Geiben, le jour de l'attentat contre le palais de justice (le 19 octobre 1985). Plus précisément, contre le bureau du juge d'instruction chargé de l'affaire qui avait ordonné quelques jours plus tôt une commission rogatoire à Bruxelles visant à enquêter sur sa personne (Ben Geiben habitait à l'époque à Bruxelles où il travaillait pour une société privée de sécurité).
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| | | soldat inconnu
Nombre de messages : 66 Date d'inscription : 30/03/2013
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Mar 16 Avr 2013 - 22:09 | |
| http://newwww.wort.lu/wort/assets/2012/fotogalerien/02/BOMMELEEER_objects/m2.pdf
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| | | dislairelucien
Nombre de messages : 1137 Age : 85 Localisation : B - 6660 Houffalize Date d'inscription : 14/06/2008
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Mer 17 Avr 2013 - 9:16 | |
| Bommeleeër, «stay behind», Service de renseignement... Rencontre avec Gérald Arboit, directeur de recherche du Centre français de recherche sur le renseignement. Journal "le jeudi"
Quel regard portez-vous sur ce qui se joue actuellement autour du renseignement luxembourgeois? Gérald Arboit: «Avec une communauté du renseignement qui se limite réellement à une vingtaine de personnes, le Luxembourg n'a jamais eu à mettre sur la place publique la question du renseignement. C'est désormais le cas... Mais il est toujours sain pour une démocratie, à un moment ou à un autre, de débattre de ces sujets, ne serait-ce que pour lever le mythe qui tourne autour. Mais avec l'affaire du Bommeleeër qui s'y greffe, nous sommes sur une question judiciaire, et je ne suis pas certain que pour bâtir une culture du renseignement, la justice soit le meilleur moyen.» A votre avis, pourquoi le Srel est-il sur les feux de la rampe? G. A.: «Précisément parce que la question du Bommeleeër n'a jamais été réglée. A chaque fois qu'elle ressort, on greffe une nouvelle chose dessus, l'histoire de l'espionnage du Premier ministre en est une.» Que le patron du renseignement "écoute" le Premier ministre, ce n'est pas banal… G. A.: «On lance une patate chaude médiatique quand on a un terrain propice à l'entendre et à l'interpréter. Or, comme avec le Bommeleeër on est aussi en train de nettoyer les écuries du Service de renseignement luxembourgeois, pourquoi ne pas en rajouter une couche?»
Est-on vraiment en train de nettoyer les écuries? G. A.: «Le Luxembourg en fait pour la première fois son expérience. Face aux services de renseignement en général, nous sommes en présence d'un objet de fantasme parce que ces services, pas seulement au Luxembourg, n'ont jamais communiqué. Ils commencent maintenant à le faire pour trois raisons: restaurer une image de marque, faire comprendre leur mission aux décideurs et à l'opinion publique et recruter. Au Luxembourg, pas besoin de recrutement et le Srel a toujours été bien géré puisqu'on en a jamais réellement parlé.»
L'ancien chef du Srel, Charles Hoffmann, parle beaucoup. Il réfute toute implication du "stay behind" dans les attentats du Bommeleeër et vise la gendarmerie... G. A.: «Il enfume, ça c'est certain. Mais il dit aussi beaucoup de choses sensées. C'est un homme du renseignement. »
Donc du mensonge? G. A.: «Pas forcément. Le renseignement est une arme de l'information de la même façon que le journalisme. Il n'y a quasiment aucune différence entre un journaliste, un chercheur en sciences humaines et un officier du renseignement. Aujourd'hui, un service de renseignement gère de l'information très spécialisée dans l'intérêt des Etats concernés. Pour le Luxembourg, l'intérêt primordial c'est son économie, sa Place financière. Il y a cinquante ans, c'était le communisme, la déstabilisation de l'Etat, le contexte de la guerre froide.»
On retombe dans le "stay behind"... G. A.: «Le "stay behind", c'est une décision qui a été prise vers la fin de la Seconde Guerre mondiale. Du point de vue des planificateurs militaires, l'avenir ressemblait à une série de crises qui auraient pour issue un déferlement des chars soviétiques sur l'Europe. Face à cela, l'objectif du "stay behind", c'est donc bien de rester derrière quand tout le monde sera parti. On a ainsi créé des réseaux de résistance prépositionnés un peu partout en Europe. Ce sont juste quelques personnes bien introduites dans le tissu social qui, après l'hypothétique invasion russe, auront la capacité d'organiser l'exfiltration des décideurs et de coordonner la résistance. En attendant, ils devaient se fondre dans le décor, il s'agissait de fonctionnaires, d'employés, d'ouvriers. La base, bien sûr, c'était d'être anticommuniste, mais sans l'afficher de manière ostentatoire. Le "stay behind" luxembourgeois a été fondé en même temps que le réseau belge et en relation avec celui-ci. Surtout parce que pendant la Seconde Guerre mondiale, les services spéciaux luxembourgeois travaillaient soit directement pour les Britanniques, soit pour les Belges. Chaque service national connaît évidemment le réseau qu'il y a sur son territoire et chaque service national est en relation avec les services des autres pays membres de l'Otan. C'est d'ailleurs pour cela qu'on a longtemps cru que l'Otan pilotait les réseaux "stay behind". Or, abriter une réunion où se rencontrent des gens qui gèrent le réseau, ce n'est pas le piloter.»
«Un serpent de mer de la justice»
On associe pourtant souvent le réseau aux exercices de l'Otan qui se sont déroulés dans le début des années quatre-vingt dans l'Oesling... G. A.: «Pour les exercices Oesling, les gens du "stay behind" ont été utilisés. Cela correspondait exactement à leurs tâches: exfiltration, préparation d'attentats et autres actions.»
Des sabotages aussi? G. A.: «Je n'irai tout de même pas jusqu'à dire qu'ils ont fait sauter des pylônes de la Cegedel!»
Et l'attaque de la caserne de Vielsalm (B) en 1984? G. A.: «Qu'il y ait des gens de son propre camp qui aillent tester la sécurité pour savoir si l'on est prêt à assumer une attaque, du point de vue des renseignements, c'est normal. Rien ne dit qu'en Belgique, cela n'ait pas été le cas.»
Mais selon vous le "stay behind" ne s'est pas réveillé au Luxembourg? G. A.: «On n'est jamais à l'abri d'une action violente secrète, pilotée par le service pour remplir des objectifs particuliers, et accomplie de telle manière à ce que l'on ne puisse pas identifier le pays qu'il y a derrière. Là, on retombe typiquement dans du paramilitaire. Plus proche de l'armée que du renseignement.»
Il n'y aurait donc, selon vous, pas de liens entre le "stay behind" et le Bommeleeër? G. A.: «Je ne pense pas que le "stay behind" luxembourgeois ait quelque chose à voir avec ces attentats parce que la philosophie du réseau n'était pas de faire sauter quoi que ce soit, mais de se réveiller au moment où il aurait fallu évacuer les élites et organiser la résistance. Il ne fallait donc surtout pas se faire repérer. Peut-on totalement exclure le "stay behind"? Oui et non. Oui parce cela ne correspond pas à la philosophie du "stay behind" et non parce qu'on a vu des agents du "stay behind" italiens prendre part à des tentatives de coup d'Etat.»
Un témoin accuse d'ailleurs clairement le "stay behind" piloté par Charles Hoffmann! G. A: «Dans tout procès, il y a toujours des personnes qui veulent apporter leur grain de sel mais qui n'ont rien vu ni entendu. C'est commode de faire parler un mort et de "coucher" chez le notaire le témoignage de celui qui a entendu ce que le mort a dit. Cela devient une vérité juridique. Il n'empêche que c'est l'homme qui a vu l'homme qui a vu l'ours... Cela nous renvoie aux fantasmes autour du service de renseignement. Si on remet les choses à la taille du Luxembourg, les quelque dix agents du "stay behind" qui ont tous un beau-frère, une cousine,... ça commence à faire beaucoup de monde parmi les Luxembourgeois…Vous croyez qu'ils vont s'amuser à faire les guignols en sachant que n'importe quel type qui va au travail le matin peut les reconnaître? Et accuser le service de renseignement, c'est le meilleur moyen de noyer le poisson et d'en faire un serpent de mer de la justice.»
Pensez-vous que les gendarmes aient vraiment pu faire le coup? G. A.: «Si on veut faire aboutir le procès sans trop se poser de questions et en respectant le timing fixé, il faut suivre la piste des pieds nickelés… Des gendarmes qui iraient faire sauter des pylônes pour que l'on donne plus de moyens à leur administration? C'est un peu léger quand on a autour de soi des périls plus grands pour l'équilibre des institutions.»
Quels périls? G. A.: «Le contexte de 1981 à 1986, c'est la résurgence d'un anti-communisme virulent au sein d'une partie de l'opinion sans même aller jusqu'à l'extrême droite. Ce qu'on veut, c'est mettre en place des régimes plus durs, c'est notamment le cas en Italie. Il faut réfléchir dans ce contexte au Luxembourg. Pour les conservateurs, les écolos c'est comme la pastèque, ils sont verts au dehors mais rouges à l'intérieur. Idem pour les "roses". C'est l'esprit des années 80 et de la raison d'être du "stay behind": la peur des soviétiques. Elle a été ravivée après la mort de Brejnev. On ne sait pas où va l'Union soviétique et on ressort l'attirail anti-communiste. Là-dessus on a des initiatives pour établir des régimes forts ou pour créer une tension qui débouche non pas sur un renversement des régimes bourgeois par des forces de progrès mais par un renforcement du conservatisme des gouvernements en place.»
Propos recueillis par Olivier Tasch
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Mer 17 Avr 2013 - 9:24 | |
| J'étais en contact avec monsieur Arboit en 2009. Ses propos sont basés sur le rapport de la commission du contrôle du SRE de 2008. Il n'apporte aucun fait nouveau et ne connait pas les faits en détail. C'est plus une réflexion générale. Attendant plutôt la fin de la journée, je pense qu'il y aura du neuf dans les heures à venir ;-)
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| | | dislairelucien
Nombre de messages : 1137 Age : 85 Localisation : B - 6660 Houffalize Date d'inscription : 14/06/2008
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Mer 17 Avr 2013 - 10:41 | |
| GERALD ARBOIT :DIRECTEUR DE RECHERCHE DU CENTRE FRANCAIS DE RECHERCHE SUR LE RENSEIGNEMENT
C'est je crois une analyse qui a sa place sur le fil et que bien sûr vous contestez directement Cette analyse vous dérange ? Donc fatalement pour vous, cette personnalité, comparée à votre suffisance, c' est un ignorant: "il ne connait rien". Vous faites une nouvelle fois un procès d'incompétence à un historien qui ne s'aligne pas sur vos conceptions.
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| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Mer 17 Avr 2013 - 11:59 | |
| http://www.wort.lu/de/view/bommeleeer-geiben-beschattung-laesst-viele-fragen-offen-516d954ce4b064fdcdfaa6f5
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Mer 17 Avr 2013 - 14:56 | |
| Non, j'ai pû vérifier la base d'information sur laquelle ce chercheur arrive à ses conclusions. Et c'est claire que les infos, depuis, ont évolué. Mais pusique vous n'êtes pas au courant ! Le président de la commission d'enquête a hier déclaré après l'audition de André Ke.mmer, ancien membre du SRE, que le rapport de la commission du contrôle SRE devrait être revu. Ce n'est pas moi qui le dit (si, je l'ai répété à maintes reprises sur le forum), mais c'est Alex Bodry (LSAP). Il serait entretemps claire, que la commission ne disposait pas de toutes les infos et documents, dont disposent entretemps les médias, la commission d'enquête et la justice. Ke.mmer aurait déployé une piste dans l'affaire des Bommeleeër sur laquelle on aurait travaillé au SRE, qui mênerait vers les réseaux parallèles du STBH. De nouveau ce 'est pas moi qui le dit (si p-e un peu) mais an ancien agent du SRE sous serment ! Bonne journée |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Mer 17 Avr 2013 - 19:12 | |
| [USO BAITRAG 12h - radio 100,7] D’SREL-Enquetekommissioun héiert de Mëtteg nach eng Kéier de fréiere Geheimdéngschtmataarbeschter André Kemmer. Nieft dem Frank Schneider an dem Marco Mille ass et den drëtten EX-SREL-Member, dee fir d’zweet gehéiert gëtt.
Eng wichteg Informatioun, déi z’iwwerpréiwe bleift, ass déi, ob et nieft der illegaler Opnahm vum Gespréich Mille-Juncker eng weider illegal Opnahm gëtt.
D’Menace, datt fréier SREL-Memberën eng Réunioun mam Premier Jean-Claude Juncker a mam deemolege Justiz, Budgets- an Trésorsminister Luc Frieden ouni deenen hiert Wëssen opgeholl hu, konkretiséiert sech. 100,7-Informatiounen no behaapten an tëschenzäit méi fréier SREL-Memberen, datt esou eng Opnahm gëtt. D’Wochenzeitung Lëtzebuerger Land hat virun engem Mount fir t’éischte Kéier vun esou enger Rumeur geschriwwen, ouni datt een dat politescht Gewiicht nach de potentielle Schued ofweie kéint, deen eng Revelatioun an där Affär kéint hunn. D’parlamentaresch Enquetekommissioun kann de Mëtteg dozou Kloerheet verlangen: den André Kemmer war an der Réunioun dobäi, d’selwecht wéi de fréiere SREL-Direkter Marco Mille an de fréiere SREL-Member Frank Schneider, dee virum Weekend fir d’zweete Kéier gehéiert gouf.
Wéini d’Réunioun SREL-Regierung war, ass net bekannt. Et soll viru méi Joere gewierscht sinn, nach virun der illegal Opnahm vum Gespréich Mille-Juncker. Am Ministère vum Luc Frieden nogefrot, huet et no der Publicatioun vum Land-Artikel geheescht, de Minister kéint sech net un d’Réunioun erënneren. De Luc Frieden wier mat Secherheet net driwwer informéiert gewierscht, datt et eng illegal Opnahm vun der Réunioun géif ginn.
Wat awer gouf deemols tëscht dem SREL an de Regierungsmembere geschwat? Ophänker war eisen Informatiounen no de Blanchiment vun afrikanesche Gelder, ënnert anerem vum fréiere kongolesesche President Pascal Lissouba. Mille, Schneider a Kemmer mussen Informatioune gehat hunn, datt där Suë bei der Bayerischen Landesbank placéiert gewierscht wieren. Weider schénge si Theoriën entwéckelt ze hunn iwwert de Réseau, deen d’Geldwäsch erméiglecht huet. Dobäi sinn an der Réunioun vun deemols wéi et schéngt och konkret Finanzkonstrukter ernimmt ginn: esou zum Beispill en internationale Fong, deen offiziell humanitär Hëllef gemaach huet, a mat deem de Gérard Reuter, fréiere President vun der Chambre des Comptes a Relatioun bruecht gouf. Dee Fong muss och probéiert hunn eng Relatioun mam Liccio Gelli opzebauen, den Italiener, deen de Gladio matgegrënnt soll hunn, den italienesche Stay Behind. Den Numm vum Liccio Gelli ass och rezent am Bommeleerprozess op d’Tapéit komm.
De Parquet sot eis de Moien op Nofro hinn, et hätt ee keen Unhaltspunkt fir vun enger weiderer illegaler Opnahm vun engem Gespréich auszegoen. Bei der parlamentarescher Enquetekommissioun ass dat anescht: hiere President Alex Bodry hat no der Auditioun vum fréiere SREL-Member Roger Mandé gemengt, d’Auer, déi de Marco Mille benotzt huet fir de Premier ufank 2007 illegal opzehuele, kéint méi dacks benotzt gi sinn. |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Mer 17 Avr 2013 - 19:28 | |
| Le premier ministre Juncker et le ministre de la justice ont été informés lors d'un briefing du SRE en debut 2006 de la présence de Gelli sur le territoire luxembourgeois. Plus important encore, le SRE aurait exposé lors de ce briefing aux deux ministres l'existence de reseaux parallèles du STBH et leur implication dans l'affaire des Bommeleeër. Les deux ministres n'ont pas informé le parquet !!! |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Mer 17 Avr 2013 - 19:47 | |
| on peut aussi se demander ce que son précuseur savait ...ou il n'avait pas besoin d'un briefing |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Mer 17 Avr 2013 - 21:01 | |
| Restons un peu chez les responsables politiques d'aujourd'hui. Cela montre qu'ils savent plus et qu'ils ne veulent pas contribuer qu'on aboutisse !!! |
| | | Tom36
Nombre de messages : 3 Date d'inscription : 25/03/2013
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Mer 17 Avr 2013 - 22:44 | |
| "Le premier ministre Juncker et le ministre de la justice ont été informés lors d'un briefing du SRE en debut 2006 de la présence de Gelli sur le territoire luxembourgeois. Plus important encore, le SRE aurait exposé lors de ce briefing aux deux ministres l'existence de reseaux parallèles du STBH et leur implication dans l'affaire des Bommeleeër. Les deux ministres n'ont pas informé le parquet !!!"
Quelle est la source de cette info? |
| | | xyu
Nombre de messages : 20 Date d'inscription : 16/03/2013
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Jeu 18 Avr 2013 - 12:59 | |
| La source serait Gérard Reuter, ancien président de la Cours des Comptes.
RTL vient de publier une reportage extrêmement intéressante sur le sujet (en luxembourgeois): http://replayaudio.newmedia.lu/2013/04/18/4b8637fd6debd9d0826e53652d84a542.mp3 |
| | | kowalski
Nombre de messages : 270 Date d'inscription : 28/03/2013
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Jeu 18 Avr 2013 - 14:09 | |
| Je me demande pourquoi la juge d'instruction Doris Woltz ne voulait pas entendre la version de Kemmer,portant sur l'existence de reseaux parallèles du STBH et leur implication dans l'affaire des Bommeleeër ... |
| | | dislairelucien
Nombre de messages : 1137 Age : 85 Localisation : B - 6660 Houffalize Date d'inscription : 14/06/2008
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Jeu 18 Avr 2013 - 15:35 | |
| - titu a écrit:
- A Dislaire "Non, j'ai pû vérifier la base d'information sur laquelle ce chercheur arrive à ses conclusions. Et c'est claire que les infos, depuis, ont évolué. Mais pusique vous n'êtes pas au courant ! Le président de la commission d'enquête a hier déclaré après l'audition de André Ke.mmer, ancien membre du SRE, que le rapport de la commission du contrôle SRE devrait être revu. Ce n'est pas moi qui le dit (si, je l'ai répété à maintes reprises sur le forum), mais c'est Alex Bodry (LSAP). Il serait entretemps claire, que la commission ne disposait pas de toutes les infos et documents, dont disposent entretemps les médias, la commission d'enquête et la justice. Ke.mmer aurait déployé une piste dans l'affaire des Bommeleeër sur laquelle on aurait travaillé au SRE, qui mênerait vers les réseaux parallèles du STBH. De nouveau ce 'est pas moi qui le dit (si p-e un peu) mais an ancien agent du SRE sous serment ! Bonne journée
Titu Restons un peu chez les responsables politiques d'aujourd'hui. Cela montre qu'ils savent plus et qu'ils ne veulent pas contribuer qu'on aboutisse !!! Dislaire " LA NUIT DES COMMANDOS " chapitre "Bommeleeër page 83: "De Dislaire à rédaction "Le Jeudi" Luxembourg mars 2008 J'ai pris connaissance du rapport de la commission de contrôle parlementaire du service de renseignement de l'Etat:les activités du réseau "Stay Behind Luxembourgeois. Comme quoi la langue de bois s'écrit aussi en luxembourgeois.../...Ce ne sont pas des fantômes sans identité : ils sont bien quelque part. Ceci n'étant qu'un "détail de l'histoire". Ce rapport orienté se révèle inodore,incolore,insipide. Et surtout indolore pour les services mis en cause " Voici présentée en quelques mots en 2008 la synthèse prémonitoire de tous les événements qui secoue aujourd'hui le landerneau politique luxembourgeois... "De nouveau ce 'est pas moi qui le dit (si p-e un peu) mais un ancien agent du SRE sous serment !" "NUIT DES COMMANDOS" page 88 -On sait qu'en droit luxembourgeois le faux témoignage sous la foi du serment devant le Juge d'instruction n'est pas punissable ( Dixit le Procureur d'Etat Robert Biever) J'en passe et des meilleurs ... |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Jeu 18 Avr 2013 - 16:48 | |
| Je pense qu'on peut parler d'une percée, ici au Luxembourg. J'espère que cela aura aussi des répercussions en Belgique. Toutes les instances, la justice, les médias et le parlement sont maintenant tournés vers la piste des réseaux Stay-Behind ! |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Jeu 18 Avr 2013 - 17:19 | |
| titu , xyu - Citation :
- La source serait Gérard Reuter, ancien président de la Cours des Comptes.
RTL vient de publier une reportage extrêmement intéressante sur le sujet (en luxembourgeois): http://replayaudio.newmedia.lu/2013/04/18/4b8637fd6debd9d0826e53652d84a542.mp3 mon compréhension du luxembourgois n'est que 10% : pouvez vous confirmer que on parle de 1.: trois stay- behind dont un est à l'origine des bommeleers 2.:que Gelli était au Luxembourg parce que des sommes faramineux devait transiter par la venant du Congo et de BENIN ? |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Jeu 18 Avr 2013 - 17:28 | |
| merci , je l'avais bien compris , j'ai trouvé confirmation: http://5minutes.rtl.lu/fr/actualite/luxembourg/427736.html - Citation :
- SREL a briefé gouvernement sur théorie stay-behind en 2006
RTL - 18.04.2013, 12:27 | Dernière mise à jour: 18.04.2013, 15:45 | 0 Commentaire(s)
Selon des infos RTL, le SREL avait fait une analyse sur le Bommeleeër et avait conclu qu'un réseau de stay-behind aurait été responsable des attentats.
Cette analyse a été présentée en janvier 2006 au ministre de la Justice de l'époque, Luc Frieden, et au Premier ministre, Jean-Claude par 3 hommes du SREL. Ce briefing a vraisemblablement aussi été enregistré clandestinement.
L'ancien président de la Cour des comptes, Gerard Reuter, nous a confirmé qu'il avait une habitation à Bscharage aux frais du SREL et que maintenant, c'est la firme Sandstone de l'ancien agent du SREL, Frank Schneider, qui paie ce loyer.
Gerard Reuter confirme aussi l'analyse stay-behind. A l'époque, quand il contrôlait encore les comptes du SREL, ils auraient toujours dit que la CIA aurait été responsable des attentats à la bombe. Gerard Reuter confirme également que Licio Gelli, membre de la Loge P2 et de Gladio, et terroriste d'extrême droite, était au Grand-duchéau début des années 80.
Explications de Nico Graf
Ce serait des hommes de Stay-behind qui seraient responsables des attentats à la bombe des années 80. Cette analyse a été réalisée par le SREL et il l'a communiquée au gouvernement au début 2006.
Janvier 2006 – au ministère d'Etat, 5 personnes sont assises côte à côte et parlent, plus précisément: 3 hommes du SREL – Marco Mille, Frank Schneider et André Kemmer – ils briefent 2 ministres, le Premier d'entre eux, Jean-Claude Juncker et le ministre de la Justice de l'époque, Luc Frieden.
Il est question pour l'essentiel de documents qui sont arrivés au SREL par des chemins obscurs et qui y ont été exploités. Il est question de Gerard Reuter, l'ancien président de la Cour des comptes et il est question de beaucoup d'histoires d'argent au noir, de blanchiment, d'escroquerie avec des sociétés-écrans, de sommes faramineuses - et tout transite toujours par le Luxembourg, est dans des banques ici, des gens n'y arrivent plus, d'autres veulent y arriver, le Congo joue un rôle, et le Bénin, et beaucoup passe par Bruxelles et aussi par des loges bizarres.
Et à la fin de la séance, Jean-Claude Juncker dit: Marco explique une fois en 4 min à Luc ta théorie sur le Bommeleeër. Les explications de Marco Mille pour Luc Frieden durent finalement 1/2 heure. Et ce qu'on entend est fort intéressant: il en ressort - en une phrase - que des partisans de la ligne dure de Stay-behind auraient organisé et commis les attentats à la bombe.
On sait que l'ancien membre du SREL, Frank Schneider, avait reçu de Marco Mille la charge de travailler sur le dossier Bommeleeër et d'analyser en particulier le rôle su SREL de l'époque. Marco Mille a bien présenté les découvertes de Frank Schneider. Il est question de 3 réseaux Stay-behind, dont l'un aurait été le Bommeleeër. Ce briefing a eu lieu en janvier 2006, l'instructioun sur l'affaire Bommeleeër était alors encore en cours.
Mais revenons-en à Gérard Reuter. Ce dernier était président de la Cour des comptes et, à ce titre, il avait aussi ses entrées au SREL, il a dû autoriser les écoutes et il a contrôlé les finances du SREL. Gerad Reuter confirme aujourd'hui la théorie Stay-behind du SREL.
Gerard Reuter: A cette époque, il a été dit que la CIA pourrait vraisemblablement entreprendre quelque-chose en Europe, après ce qu'elle avait déjà apparemment entrepris à Bologne, que la CIA devait édifier quelque-chose partout, à cause de cette crainte que le communisme gagne du terrain ... il fallait établir des structures...
Qui dit CIA et Stay-behind, dit aussi Gladio. Et avec ce réseau italien terroriste d'extrême droite, Gerard Reuter a aussi vaguement quelque-chose à voir. Le fondateur de la Loge P2 et membre du Gladio, Licio Gelli ou son fils, a pris copntact avec lui pour d'obscures histoires de placement d'argent, et Gerard Reuter sait précisément que Lico Gelli était au Grand-duché; au SREL, il avait entendu dire...
Gerard Reuter: … que monsieur Gelli, un beau jour, avait fui la Suisse ou avait été poussé à la fuite, cela n'était pas très clair, mais en tout cas qu'un soir, à 18h00, il avait atterri ici, à Mamer, avec un hélicoptère vert.
Gerard Reuter, un haut-magistrat, s'est retrouvé dans une obscure affaire avec de nombreux volets à la fin des années 90. Apparemment, il n'y avait rien dans ces accusations ou pas assez; mais Gerard Reuter est aujourd'hui dans une mauvaise passe financière. Et cet homme, qui sait beaucoup de choses, a pour cette raison, vécu aux frais du SREL, en toute connaissance de cause de la part du gouvernement, et il confirme qu'aujourd'hui, c'est l'entreprise Sandstone de Frank Schneider qui paye le loyer. |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Jeu 18 Avr 2013 - 21:50 | |
| BENIN ,ZAIRE
cela me fait penser à des affaires comme: faux Zaire et francs CFA
http://survie.org/publications/les-dossiers-noirs/dossier-noir-no2-les-liaisons/article/filieres-valises-vraie-fausse
http://www.rfi.fr/actufr/articles/057/article_30690.asp
|
| | | xyu
Nombre de messages : 20 Date d'inscription : 16/03/2013
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Ven 19 Avr 2013 - 9:43 | |
| Il semble que le service secret a entretenu un archive secret au château de Senningen dont ni les enquêteurs Bommeleeër, ni la commission parlementaire SREL n'avaient connaissaince jusqu'à ce jour:
http://www.lessentiel.lu/fr/news/dossier/espionnage/story/Des-archives-secretes-du-SREL-mises-au-jour--12425431
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| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Ven 19 Avr 2013 - 10:54 | |
| et qqun ecrit comme commentaire là dessus: - Citation :
- C...... le 19.04.2013 09:15 Report
Témoignage sous serment
lors de la commission d'enquête, implique de dire la vérité, mais aussi de ne pas cacher une vérité. Comment Santer et Juncker pourront-ils nier avoir connaissance de ce 2e archive au château de Senningen, forteresse du gouvernement, lieu de rencontre des ministres. Quel est le rôle du Haut-commissariat de la Protection Nationale, sous leurs ordres, établi à Senningen, au contrôle des communications, et responsable de la préparation et de la conduite de la partie luxembourgeoise des exercices OTAN ? -------------------- la même chose sur le rapport des services français: http://www.lequotidien.lu/bommeleer/44113.html - Citation :
Un rapport des RG sur Geiben
L'enquêteur principal dans l'affaire du Bommeleeër, Carlo Klein, a révélé hier l'existence d'un document qui risque de faire couler beaucoup d'encre. Il s'agit de la copie partielle d'un rapport émanant des services de renseignement français (Renseignements généraux, RG) portant sur Ben Geiben et daté du 9 octobre 1986. Selon Carlo Klein, l'intérêt à l'époque des RG pour la personne de Ben Geiben doit être en lien avec la création de son entreprise de sécurité qu'il avait fondée cette année-là à Paris. Une société qui offrait notamment ses services à des VIP. Et qui par conséquent avait dû, selon l'enquêteur, tout naturellement attirer l'attention des services de renseignement. Le rapport détaille le parcours de l'ancien commandant de la BMG mais fait également mention de sa démission de la gendarmerie en 1984 «suite à un désaccord avec ses supérieurs». Une information qui n'a pas manqué de faire réagir la défense qui fait remarquer que la chose est enfin dite pour la première fois : Ben Geiben a démissionné de la gendarmerie suite à un désaccord avec ses supérieurs contrairement à ce que le procureur général d'État écrit dans son réquisitoire.
Le rapport indique également que Ben Geiben a été suspecté d'être lié à la série d'attentats au Luxembourg, mais qu'il a été blanchi notamment après avoir présenté des alibis pour les différentes dates. Or Ben Geiben n'avait officiellement jamais été interrogé à cette date dans le cadre de l'enquête sur le Bommeleeër.
Selon Carlo Klein, les informations contenues dans ce rapport ont par ailleurs logiquement dû être transmises aux services de renseignement français par le SREL. et dans ce rapport on trouve probablement aussi où travaillait Geiben à Bruxelles? s'il monte une affaire protection V.IP. à Paris c'est qu'il a fait ces gammes à Bruxelles dans les services de Sécuritas travaillant pour les communautés européènes?, commission, Euratom, parlement ?, eveill., thom? il n'était pas convoyeur de fonds!......ni porteur de valises. ..p.e. chauffeur d'un commissaire comme un lieutenant-colonel de la gendarmerie plus tard. |
| | | kowalski
Nombre de messages : 270 Date d'inscription : 28/03/2013
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Ven 19 Avr 2013 - 12:53 | |
| quelques réflexions:
une helico vert qui se posait un jour dans un champas à Mamer; la couleur verte me fait penser à un helico militaire ou paramilitaire; porquoi pas un helico du CIA? le CIA qui a ete nommé par le témoin dans cette affaire ...
et si Charles Hoffmann était lié aux tueries du Brabant? "...Charles Hoffmann, der die Interessen der Benelux-Staaten vertrat..." ;CH qui representait les pays Benelux dans »Mein Vater hat Münchner Bombe mitgebaut« Gespräch mit Andreas Kramer. Über das Sprengen von Strommasten in Luxemburg, über das Attentat auf das Oktoberfest im Jahre 1980 und darüber, welche Rolle Kramer senior dabei gespielt haben soll http://www.jungewelt.de/2013/04-13/003.php
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| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Vague d'attentats au Luxembourg Ven 19 Avr 2013 - 14:01 | |
| durée de vie d'un moteur hélico est de 1000 heures et 1500 heures pour un petit coucou avant revision general > c'est chère et pour cela on ne trouve guère de docs sur des vieux helico's civil's inscrite en cet periode là. mais un grand pilote d'hélico français faisait des réunions d'helico à Annecy ds les pérodes 1982, 83,84 et il y avait une 80 helico's civils présents >>photo's
donc si on ne trouve pas que c'est un helico militaire cela pe un de ces appareils là;
question est si gelli est partie de Annecy après sa fuite ds le coffre du gardien , vers le sud de la France ou il est partie illeco vers le Luxembourg ?
il y a aussi des rumeur que notre "james pont" national faisait du hélico et celui là et son entourage avait de l'experience en exfiltration des neo's recherchés à un moment. va savoir après 30 ans |
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