le Dernier Mensonge (Robert Beijer)

Beijer dans de mauvais draps - Zwarts - délit continué - recel de cadavre.

jc1243401 a écrit:

Beijer dans de mauvais draps - Zwarts - délit continué - recel de cadavre.

La Russie n'étant plus l'URSS => négociations diplomatiques Belgique / Russie pour confirmation des employeurs GRU de Beijer => Comme déjà dit par Henry : traitre à son pays !! ( peu de chance (?) qu'il figure dans les fichiers )

jc1243401 a écrit:

négociations diplomatiques Belgique / Russie pour confirmation des employeurs GRU de Beijer

Je crois plutôt à un recrutement false flag. Je crois que Beijer se rend compte de ça maintenant et il veut savoir qui étaient ses vrais maîtres.

Dans son livre, Beijer n'est pas très respectueux d'Amory ou Bouhouche, mais il ne parle jamais de Buslik.

Buslik s'est réfugié en Floride. Il n'a pas caché sa vraie identité mais les autorités belges et américaines l'ont laissé tranquille. Ce qui fait croire à un complot, bien sûr. Mais une autre possibilité est qu'il a infiltré la bande Bouhouche-Beijer, travaillant pour les américains. Lekeu habitait sous son vrai nom en Floride. Il aurait été la chose la plus facile de monde pour lui de "disparaître" en utilisant un faux nom.

Mais il a été exposé par deux journalistes, le belge Raf Sauviller et l'américain Jay Cheshes. Ils travaillaient ensemble sur ce projet.

Ces deux journalistes sont intéressants.

Raf Sauviller fait partie du circle of trust autour de Douglas De Coninck. Lorsque De Coninck a reçu le document Van Brussel/De Jonghe, il l'a partagé avec Marie-Jeanne Van Heeswyck, Ruf Sauviller et Hilde Geens. Aucun membre de ce groupe n'a mentionné la fameuse l'organisation de foux furieux avec les opinions politiques dangéreuses, pour laquelle Patrick Haemers aurait travaillé, de quelque façon que ce soit.

Jay Cheshes est le meilleur ami de Sheri de Borchgrave, qui a écrit un livre sur l'aristocratie belge qui s'appelle A Dangerous Liaison: One Woman's Journey Into a World of Aristocracy, Depravity and Obsessive Love.

J'ai lu ce livre. Je crois que son but était de discrediter la noblesse belge, de façon mensongère, en l'accusant d'une depravité totale.

J'ai également lu le livre de Sheri de Borchgrave. Il n'est pas très facile à trouver mais j'ai eu un exemplaire d'occasion via internet il y a quelques années.

Il a fait beaucoup de bruit ... à mon avis, pour peu de choses. Je ne vois pas comment on pourrait parler de dépravation totale de la noblesse (belge) à partir de ce qui est dit. En fait, c'est plutôt triste ... une histoire d'amour qui se termine très mal.

Bien entendu, la famille "de Borchgrave", ce n'est pas n'importe qui. Elle comprend notamment un prénommé "Arnaud" qui travaille au Washington Times (à ne pas confondre avec le Washington Post), qui est plutôt "à droite" et favorable aux services secrets (des Etats-Unis).

http://www.washingtontimes.com/staff/arnaud-de-borchgrave

Je ne connais pas Jay Cheshes et je ne sais pas trop si l'on peut tirer des enseignements de tout ceci pour ce qui nous concerne.

Vous pourriez être intéressés par

http://www.scribd.com/doc/7848838/sheri-de-borchgrave-x-dossiers

mais je vous laisse tirer (éventuellement) vos propres conclusions.

jc1243401 a écrit:

Svp, swansongunsung, les rares fois où j'interviens encore, puis-je espérer échapper à votre sempiternel couplet sur les toujours mêmes journalistes mensongers ?

Pas le mêmes. J'en ajoute deux.

Je vous rappelle que j'ai établi, sans le moindre doute, que ces journalistes ont protégé De Grafé. Mais visiblement vous vous en foutez complètement.

HERVE a écrit:

Je ne vois pas comment on pourrait parler de dépravation totale de la noblesse (belge) à partir de ce qui est dit.

Vous avez raison. C'est trop fort. Jacques était un vrai psycopathe, selon Sheri. Et des membres de sa famille était pervertis. Je parlerai plutôt de décadence en décrivant son milieu sociale.

Je chercherai le livre. Ca fait 6 ans que je ne l'ai plus lu.

HERVE a écrit:

En fait, c'est plutôt triste ... une histoire d'amour qui se termine très mal.

La famille a contesté en bloc la version de Sheri. Et le livre, sous le titre Adel Verplicht, n'était jamais vendu en Belgique. Les lois américaines sur la diffamation sont beaucoup moins strictes. Elle a néanmoins était intérrogé par les journalistes américains. Ce qui m'a frappé est qu'elle n'a sorti aucun témoin pour étayer ses dires.

Je crois que j'ai un article du Sunday Times britannique au sujet de la veracité, ou non, des dires de Sheri. Je le chercherai.

HERVE a écrit:

Bien entendu, la famille "de Borchgrave", ce n'est pas n'importe qui.

Je ne sais pas s'il y a un lien de parenté avec le fameux Arnaud De Borchgrave.

HERVE a écrit:

Je ne connais pas Jay Cheshes

L'article qu'il a écrit sur Buslik était très bien écrit, et très bien informé.

Voilà l'article sur Sheri de Borchgrave, et son livre, dans le Sunday Times britannique.

http://www.scribd.com/doc/28712117/Sunday-Times-19931003

boek Adel verplicht ! in BIB te Ronse


.

Buslik semble avoir été protégé, non? Malgré l'existence d'un international arrest warrant les autorités américaines et belges l'ont laissées tranquille pendant des années. Mais suite aux articles de Sauviller et Cheshes, elles étaient obligées d'agir. Il était, comme nous savons, acquitté.

Je croyais d'abord que Buslik était "méchant" et qu'on avait affaire à un complot. Mais je crois maintenant que c'est beaucoup plus simple. Buslik a infiltré avec l'aval des autorités américaines.

On voit ci-dessous que l'employeur de Buslik lui faisait confiance, et était un committed Christian. J'aimerais bien savoir si c'était le cas pour Buslik aussi.

https://tueriesdubrabant.1fr1.net/autres-f49/buslik-jean-francois-t197-165.htm?vote=viewresult

Советские власти будут давать их архивы шпионажа ?

jc1243401 a écrit:

Советские власти будут давать их архивы шпионажа ?

Même si c'était le cas, est-ce qu'on pourrait leur faire confiance?

Buslik avait-t-il des liens avec Lekeu ? La Floride était-elle le sanctuaire ?

paco223 a écrit:

Buslik avait-t-il des liens avec Lekeu ? La Floride était-elle le sanctuaire ?

Je me pose la même question.

peut-être ça ne vaut rien mais Monsieur Felix P, lui aussi se retrouve chez lui en Floride, par example comme administrateur de la société Bal Har 7F Corp depuis (au moins) ’90 (s - Corporationwiki)

Puis Delle Chiaie y a été vu...

et bien sur il y la société Wackenhut, fondé en Floride en 1954...

n!oublions pas: bvn:

Citation :

Tijdens de ontvoering van Paul Vanden Boeynants in 1989, die in een villa in het Franse Le Touquet werd bewaard, belden de jongens van Haemers voortdurend nummers in California en in Florida.

En een week voor de huiszoeking van 14 oktober 1986 werd in de Noorse hoofdstad Oslo een Amerikaanse bankovervaller, de zoon van een Amerikaans legerofficier, gearresteerd die met een Mercedes van Haemers rondreed. Haemers had aan de politie verteld dat die auto was gestolen. Toen men hem vertelde dat hij in Zweden was teruggevonden, krabbelde hij terug en zei dat hij helemaal vergeten was dat hij die auto aan zijn Amerikaanse vriend had uitgeleend.

Je vois venir la question suivante : que faisait Lionel Ruth en Floride il y a quelques semaines ?

Mais il faut bien reconnaître que rien ne filtre à son sujet et qu'il ne sert pas à grand-chose de laisser son esprit faire des tas d'interprétations sans éléments concrets.

HERVE a écrit:

Je vois venir la question suivante : que faisait Lionel Ruth en Floride il y a quelques semaines ? Mais il faut bien reconnaître que rien ne filtre à son sujet et qu'il ne sert pas à grand-chose de laisser son esprit faire des tas d'interprétations sans éléments concrets.

Non, mais il faut bien admettre que l'on pourrait être quelque peu informé ! On nous balance bien souvent des faits divers de troisième zone ...

Ces indices sont intriguants. Pas suffisants pour être considérer comme une preuve quelqconque, mais quand même très intéressants.

Il ne faut pas oublier Ciolini non plus, qui vivait et travaillait près de Miami.

J'aimerais bien voir le zoller-malicieux des coups de téléphones entre la bande Haemers et la Californie.

Citation :

que faisait Lionel Ruth en Floride il y a quelques semaines ?

Bonne question. Il faut creuser. Est-ce que Ruth a pris des vacances familiales, où est-ce qu'il est allé tout seule? S'il est allé tout seule, est-ce que c'était quelque chose d'exceptionelle, ou avait-il l'habitude de partir seule comme ça?

Je serais particulièrement intéressé si Ruth est allé en faisant partie de, ou ayant l'intention de rencontrer, un groupe de personnes qui ont des intérêts en commun. Ca pourrait être des échecs, des oiseaux, le tir, le vin, une église... le sujet n'étant pas important.

Ce qui est important, c'est que ces gens ont besoin d'un cover story pour se rencontrer.

Un ancien espion russe doute de l’histoire de Robert Beijer
Christophe Lamfalussy et Boris Toumanov, à Moscou

Mis en ligne le 26/05/2010


L’ancien gendarme belge affirme avoir travaillé pour le renseignement militaire soviétique. A Moscou, un ancien du GRU conteste.
Un ancien officier du GRU, le service de renseignement extérieur de l’armée russe, met sérieusement en doute les propos de Robert Beijer qui, à l’occasion de la sortie de son livre "Le dernier mensonge" en février dernier, affirmait avoir travaillé pour ce service secret soviétique pendant les années de plomb en Belgique.

C et officier, aujourd’hui âgé d’une septantaine d’années, a accepté de parler sous le couvert de l’anonymat. Il a été contacté par "La Libre" à Moscou. Il affirme qu’il est très peu probable que Robert Beijer ait travaillé pour le GRU car plusieurs incohérences apparaissent dans sa thèse qu’il qualifie de "folklorique".

L’ancien officier travaillait autrefois à la division Europe du GRU. Il dit qu’il n’y a pas de traces du nom de Beijer dans les archives du renseignement extérieur soviétique, pas plus que de son père, un certain "Herman" , que l’ancien gendarme belge présente comme son vrai géniteur. Les archives du GRU, toujours en activité, et du KGB ne sont pas accessibles au public.

Le fait qu’il n’y ait pas de dossier au nom de "Beijer" dans les archives ne signifie pas que Beijer ou son père n’aient pas, d’une manière ou d’une autre, collaboré avec les services secrets soviétiques. Mais ce qu’il trouve hautement suspect, c’est l’affirmation de Robert Beijer que les agents soviétiques lui auraient confié que son père était "un officier soviétique" .

Beijer, un ancien gendarme et ex-gangster dont le nom apparut dans de nombreux dossiers des années de plomb, dont les tueries du Brabant, écrit dans son livre que jeune étudiant, il fut approché par des agents soviétiques, en 1970, alors qu’il jouait aux échecs dans le café "Le Greenwich" à Bruxelles. Ces agents l’informèrent que son vrai père n’était pas le sien, mais un certain Herman, un Luxembourgeois, germanophone, étudiant à l’ULB en journalisme dans les années cinquante et brillant journaliste freelance.

Que Beijer ait été approché dans un café alors qu’il jouait aux échecs correspond à la technique du GRU d’alors de ratisser les lieux publics à la recherche d’une recrue éventuelle. Mais jamais ces agents n’auraient pu révéler que son père était "un officier soviétique" . Primo : les services secrets soviétiques n’avaient pas l’habitude de révéler à qui que ce soit, même à leurs enfants, le nom de leurs agents, affirme cette source. Secundo : le père présumé de Beijer ne pouvait pas être "un officier soviétique" car ce n’était possible qu’au cas où il était citoyen soviétique clandestinement établi et naturalisé en Belgique sous un faux nom.

Enfin, l’ex-agent soviétique ne croit pas du tout à la thèse de Beijer selon laquelle il aurait été recruté pour déstabiliser la Belgique et "miner discrètement le système de l’intérieur" . L’URSS, malgré son agressivité à l’égard de l’Occident et de l’Otan, avait d’autres chats à fouetter que de miner la gendarmerie belge. Beijer affirme dans son livre - mais sans donner le moindre détail - qu’il a suivi dans les années 70 plusieurs formations à l’espionnage qui l’amenait notamment à voyager via l’aéroport de Split (Trogir), en ex-Yougoslavie. Lors de ces stages, écrit-il, il apprenait "à être gris, inodore, sans saveur, passer inaperçu mais en étant toujours présent" .

Ce n’est pas la première fois que Beijer avance une telle thèse. Son avocat Me Pierre Chomé témoigne : "Vers 1989, Beijer m’expliquait déjà cette histoire des services secrets et évoquait un certain Mosseiev qui avait des liens avec les phalangistes libanais , explique-t-il . Puis au cours de son procès (devant la cour d’assises du Brabant, à Nivelles, NdlR) en 1994, on a tenté de joindre au téléphone les deux noms que Beijer m’avait donnés. On a téléphoné à l’ambassade de Russie à Paris et demandé à parler aux deux agents (du GRU) . On a l’impression qu’on va nous passer les types. Le lendemain, on retéléphone. On nous dit qu’ils n’existent pas et qu’il ne faut plus retéléphoner. Ce n’est bien sûr qu’une impression. Pour une vérité judiciaire, il faut plus qu’une impression."

Pour tirer l’affaire au clair et demander des précisions, "La Libre" a contacté Robert Beijer, qui vit entre la Belgique et l’étranger. Mais l’ancien gendarme n’en dit pas plus. Doté d’un solide sens commercial, il ajoute qu’un second livre est en préparation et que celui-ci éclairera la question du lien avec les services soviétiques. "Sachez que souvent le pouce ne sait pas ce que fait l’annulaire" , dit-il, en référence aux doutes de l’ancien officier du GRU.

"Beijer est un type extrêmement intelligent, qui prépare toujours le coup suivant et laisse peu de place à l’improvisation" , sourit M e Chomé.

Bref, un vrai joueur d’échecs.

www.lalibre.be

On en fait grand cas du Beijerkov. Son incommensurable intelligence ? Elle n'a vraiment pas brillé de mille feux lorsqu'il est venu faire sa promo et tester les forumistes ( et les inscrits qui ne s'expriment pas ) ici même. J'ai comme l'impression que Beijerkov va doucement aimer ces journalistes qui lui font une pub monstre tandis qui'il se dort la pilule à Pattaya.

Bref, un bon joueur à la mors moi le noeud.

"Sur place, Beyer m'a signalé qu'il avait un lot d'armes soit 15 à 20 armes à vendre. Il fallait quelles soient vendues hors de Belgique, de préférence à un mouvement de gauche a fin que si l'on découvrait ces armes dans les mains de ces mouvements, "cela foutrait encore plus la merde!'." (M. Asmaoui, PV2139 - 16.01.88 - CBW Jumet)

Les armes
fourguées aux cocos d'en face, une opération d'intox
somme toute " banale ".
On " foutrait encore plus la merde " à bon compte.
Pas sorcier du tout, mais bigrement efficace !

Cordialement.

Quel déconneur ce Bob... L'intox sur ce mode est plus brune que rouge...

[quote="dim"]"Sur place, Beyer m'a signalé qu'il avait un lot d'armes soit 15 à 20 armes à vendre. Il fallait quelles soient vendues hors de Belgique, de préférence à un mouvement de gauche a fin que si l'on découvrait ces armes dans les mains de ces mouvements, "cela foutrait encore plus la merde!'." (M. Asmaoui, PV2139 - 16.01.88 - CBW Jumet)[/quote

Bas les masques !
Stratégie de la tension.
Extrême droite qui mouille la gauche.
Et d'ex gendarmes qui tirent les ficelles pour leur propre compte (turpitudes et intérêts)