20 indices/liens theor entre le doss. TBW et le doss Mendez

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04 :01 :88: Balfroid muté à Auderghem avec privation du grade de BSR

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11 janvier 88

Citation :

Milieux montois
La CBW prend contact, le 11.01.1988, avec la gendarmerie de Mons et le Ier MdL
Amory pour se faire remettre la documentation personnelle de ce dernier, étant une
documentation sur le milieu montois; il apparaît qu'Amory sera en suite placé sous
mandat d'arrêt par le juge d'instruction Schlicker le 19.01.1988 (pour association de
malfaiteurs et détention d'armes; pièce 122).96

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13 :01 :88 Audition du gendarme Bihay
A la demande de celui-ci, le sous-officier Bihay est entendu le 23 janvier 1988 par le juge d’instruction Lacroix lequel avait reçu de la BSR de Wavre et de son collègue Schlicker de Nivelles, une copie des rapports mentionnés ci-dessus.
Le gendarme Bihay déclare que les recherches qu’il menait à l’époque avec le gendarme Balfroid, « déplaisaient»; il précise qu’il vient d’être muté administrativement, et non pas disciplinairement, à la gendarmerie de Gembloux avec perte de la qualité de membre BSR (86).
et puis deux jours apres...

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14:01:88 l’ informateur Asmoui à Valenciennes  p60

14.01.1988 >>Contacts CBW-Asmaoui
Le 14 janvier 1988, la CBW rencontre à Valenciennes, un sujet algérien, Asmaoui,
sumommé "deux rois", informateur du SRPJ français et disant avoir des informations
sur le Brabant wallon.97
idem, pièce 12,CBW 21136/88 du 14.01.1988




14:01:88  cadre Mendez :Quitner dit a la BSR que Beyer a demandé après le premier perquisitioin chez lui de prevenir Bouhouche que les boxes sont compromis (cfr proces mendes )

15  

Armory et

Quitn. arreté


15:01:88 Bouhouche fait des déclarations hors PV à Doreane p34 procesMendez[/b]

16 janvier

audition ASMOUI par CBW


(-synthèse des auditions de Amory in Ch, FI4, CA49, FA Ill, pièce 119, CBW, 21309/88 du 16.02.1988)

17

18  tjang wai ling arret

18 :01 :88 >(Le colonel Michaux situe sa mission en tant que coordinateur national gendarmerie
Brabant Wallon et interlocuteur privilégié cellule enquête Mendez : "Le BCR, c'était un service qui rendait des services à la demande. Mais comme je vous l'ai dit, nous n'avons
pas classé au BeR la documentation policière ou bien les procès-verbaux de Mendes;
vu que nous ne les recevions pas. Le colonel Michaux n'est pas le mieux informé, il est
informé un peu de tout, donc il peut faire des relations. Les magistrats m'invitent à leurs
briefings. )Donc le 18 janvier 1988, lors du briefing mixte qui se déroule à Nivelles et
dont M. Doraene vous a parlé, je suis présent. Et puis j'ai connaissance de toutes les
relations. Dans le fond, les mieux informés, ce sont les enquêteurs des différentes
cellules. Ils connaissent les dossiers à fond. Donc, moi je suis très intéressé quand je
vois que jusqu'à octobre 1988, il Y a une excellente relation entre Jumet et Nivelles, que
les juges se rencontrent, que les enquêteurs se rencontrent et que Goffinon fait des
exposés jusqu'au 5 octobre 1988 sur le dossier Mende: à la cellule de Jumet, en présence
de M. Hennart". (Audition du 9 juillet 1997, pp. 18 et 19).

(poss que Hennart est aussi deja present?)


yes car:

Citation :

Donc le 18 janvier 1988, lors du briefmg mixte qui se déroule à Nivelles et ...
988 sur le dossier Mendez à la cellule de Jumet, en présence de M. Hennart----------------------

18:01:88 Beyer fout la merde un peu avant ......ds le proces des borains- pourqoui il est re- arreté
Le juge d'instruction Lacroix précise le point d'ancrage :
"Le procès de la filière boraine devant la Cour d'Assises du Hainaut va cependant capoter; la session (ouverte le 18 janvier 1988 va être reportée (Ndlr: le 21 janvier 1988 à une date ultérieure
(Ndlr: au 6 avril 1988) sur base de deux éléments. :

Quelque temps avant le procès, une indication était arrivée à la police judiciaire de Nivelles, selon laquelle un pistolet se trouvait dans de la sauce bolognaise dans un congélateur chez Bouhouche. En réalité c'est Beijer qui a donné cette information . Nous avons été avisés que cette arme était confiée à Nivelles pour expertise. Dans un premier temps, l'expert Dery fait la liaison entre cette arme et deux munitions de 9 mm qui ont été retrouvées, l'une dans la voiture Santana, si ma mémoire est bonne, et l'autre dans le bois de la Houssière. La mission
alors était confiée à un Collège d'experts composé de M. Celens de l'Ecole royale militaire et du Colonel Demanet. Finalement, il n'y avait plus aucune certitude que cette arme-là ait pu servir dans les faits du Brabant wallon. En tout cas, les munitions de référence qui avaient servi àfaire la comparaison, en pratique, ne pouvaient pas avoir  être tirées par cette arme-là. Au départ, le premier résultat qui arrive au niveau de la Cour d'Assises est assez mitigé. D'autre part, ont été entendus à ce moment-là en tant que témoin, M. Schlicker et M. Goffinon (Ndlr : Chef BSR dans l'enquête Mendez) qui déclarent qu'il doit y avoir une liaison entre Bouhouche, Beijer et les faits du Brabant wallon. Surprise, ces éléments, les deux témoignages plus le rapport concernant le .....
Masset ....p166 )

le soir sur Comm2 : decl doreane

Citation :

RETOUR SUR LES INDICES
Directeur de l'office de lutte contre la délinquance financière organisée, Jean-Pierre Doraene a réétudié depuis 18 mois l'hypothèse d'un racket et a réanalysé les indices qui conduisent du dossier Mendez aux tueries.
Dès la fin de 1986, après l'arrestation de Bouhouche, Beijer parlait des tueries à plusieurs enquêteurs. En décembre 1987, on découvrait dans son ordinateur le réseau des flats, des boxes, les faux noms utilisés, les armes et véhicules volés, le stockage d'explosifs. Puis l'ex-gendarme Amory révéla le projet de racket contre GB-Inno-BM, la location dès 1985 par Mendez, sous le faux nom de Lopez, d'une ancienne brasserie qu'un tunnel reliait au réseau d'égouts de Bruxelles, et le projet d'évasion de Bouhouche.
C'est alors que la femme de Bouhouche, arrêtée, a «donné » le pistolet «à la bolognaise» caché dans son congélateur. Jusqu'à sa mort, l'expert en balistique Dery (contredit par d'autres) maintiendra que cette arme touchait aux tueries.

- Quand je le lui ai appris en prison, le 18 janvier 1988, ajoute Doraene, Bouhouche s'est effondré. Il a dit : «Quel coup fourré !» Puis il m'a «donné» les armes cachées sous le pont de Vilvorde : des armes volées à la gendarmerie en 1981 et chez Mendez en 1985. C'est que, pour lui, qui niait toujours tout, il y avait un lien possible entre le GP «à la bolognaise» et les tueries. Je pense d'ailleurs qu'aujourd'hui, une nouvelle expertise de ce GP serait intéressante. De même, on n'a jamais fait l'enquête sur le pistolet 7,65 mm abandonné par Beijer et Bouhouche après le meurtre de Suleiman à Anvers en 1989. Or ce 7,65 mm provenait de l'école de gendarmerie.

et la version de J.I. Lacroix devant le comm2:

Citation :

Le juge d'instruction Lacroix précise le point d'ancrage : "Le procès de la filière
boraine devant la Cour d'Assises du Hainaut va cependant capoter; la session (ouverte
le 18 janvier 1988) va être reportée (Ndlr: le 21 janvier 1988) à une date ultérieure
(Ndlr: au 6 avril 1988) sur base de deux éléments.

Quelque temps avant le procès, une
indication était arrivée à la police judiciaire de Nivelles, selon laquelle un pistolet se
trouvait dans de la sauce bolognaise dans un congélateur chez Bouhouche.
En réalité c'est Beijer qui a donné cette information. Nous avons été avisés que cette arme était
confiée à Nivelles pour expertise.

Dans un premier temps, l'expert Dery fait la liaison
entre cette arme et deux munitions de 9 mm qui ont été retrouvées, l'une dans la voiture
Santana, si ma mémoire est bonne, et l'autre dans le bois de la Houssière. La mission
alors était confiée à un Collège d'experts composé de M. Celens de l'Ecole royale
militaire et du Colonel Demanet. Finalement, il n'y avait plus aucune certitude que cette
arme-là ait pu servir dans les faits du Brabant wallon. En tout cas, les munitions de
référence qui avaient servi àfaire la comparaison, en pratique, ne pouvaient pas avoir
être tirées par cette arme-là. Au départ, le premier résultat qui arrive au niveau de la
Cour d'Assises est assez mitigé. D'autre part, ont été entendus à ce moment-là en tant
que témoin, M. Schlicker et M. Goffinon (Ndlr : Chef BSR dans l'enquête Mendez) qui
déclarent qu'il doit y avoir une liaison entre Bouhouche, Beijer et les faits du Brabant
wallon. Surprise, ces éléments, les deux témoignages plus le rapport concernant le
pag166

pistolet à la bolognaise, ont pour résultat le report de la session à une date ultérieure.
Le procès va être repris le 6 avril 1988. Etaient convoqués les six membres de lafilière
boraine. Toujours est-il que celui qui commence le 6 avril 1988 va durer trois semaines.
Plus de 120 témoins vont être entendus. On va en arriver à des acquittements pour les
faits concernant le Brabant wallon proprement dits. (Ndlr: Arrêt du 2 mai 1988). il Y
a eu des condamnations qui concernent des faits commis dans le Borinage qui ne sont
pas liés directement aux faits du Brabant wallon", ajoutant par ailleurs: "La session
de la Cour d'Assises a été ouverte assez rapidement (. .. ) Les borains ont étéjugés. Nous
connaissons le résultat ( ... ) il n'avait toujours pas été répondu à la question de savoir
si oui ou non, Bouhouche et Beijer pouvaient être impliqués dans les faits du Brabant
wallon. C'est la raison pour laquelle, nous souhaitions, pour pouvoir répondre à cette
question, soit par l'affirmative, soit par la négative, avoir accès au dossier Mendez;
c.-à-d. à l'ensemble du dossier qui était instruit au départ par M. Schlicker et ensuite
par M. Hennart". C'est dans ce contexte-là que la décision des procureurs généraux est
intervenue." (Audition des 23 mai et 15 juillet 1997, pp. 13 à 14 et 4 à 5).

19 janvier 88

Citation :

Milieux montois
La CBW prend contact, le 11.01.1988, avec la gendarmerie de Mons et le Ier MdL
Amory pour se faire remettre la documentation personnelle de ce dernier, étant une
documentation sur le milieu montois; il apparaît qu'Amory sera en suite placé sous
mandat d'arrêt par le juge d'instruction Schlicker le 19.01.1988 (pour association de
malfaiteurs et détention d'armes; pièce 122).96

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Citation :

"Le procès de la filière boraine devant la Cour d'Assises du Hainaut va cependant capoter;
la session (ouverte le 18 janvier 1988 va être reportée (Ndlr: le 21 janvier 1988 à une date ultérieure
(Ndlr: au 6 avril 1988) sur base de deux éléments. :

Quelque temps avant le procès, une indication était arrivée à la police judiciaire de Nivelles, selon laquelle un pistolet se trouvait dans de la sauce bolognaise dans un congélateur chez Bouhouche. En réalité c'est Beijer qui a donné cette information . Nous avons été avisés que cette arme était confiée à Nivelles pour expertise.

Dans un premier temps, l'expert Dery fait la liaison entre cette arme et deux munitions de 9 mm qui ont été retrouvées, l'une dans la voiture Santana, si ma mémoire est bonne, et l'autre dans le bois de la Houssière.

La mission alors était confiée à un Collège d'experts composé de M. Celens de l'Ecole royale militaire et du Colonel Demanet.
Finalement, il n'y avait plus aucune certitude que cette arme-là ait pu servir dans les faits du Brabant wallon.
En tout cas, les munitions de référence qui avaient servi àfaire la comparaison, en pratique, ne pouvaient pas avoir  être tirées par cette arme-là. Au départ, le premier résultat qui arrive au niveau de la Cour d'Assises est assez mitigé.

D'autre part, ont été entendus à ce moment-là en tant que témoin, M. Schlicker et M. Goffinon (Ndlr : Chef BSR dans l'enquête Mendez) qui déclarent qu'il doit y avoir une liaison entre Bouhouche, Beijer et les faits du Brabant wallon.
Surprise, ces éléments, les deux témoignages plus le rapport concernant le .....
Masset ....p166 )

tout le monde ds l'erreur car Beijer est en Espagne car sa mère y est malade


je le vois difficilement donner cet info puis partir en Espagne .

il a bien assembler avec Tjang deux armes dont Tjang en a pris un cfr dixit laatste leugen

pourqoui il implique tjang?et l'autre il donne a Quitn mais cela doit ëtre avant son premier incarceration et avant le vol du Passat 16 decembre 1986 ???mais certainement  avant la découverte par perquisition  le 5/7/87

puis Be donne l'arme à Quitn pour le futur tentative de fuite de Bou mais il leur faut une voiture =passat


Donc l'arme est depuis des mois dans le congelateur de Quitn. !!!!
etc

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22 :01 :88 masset p 73 rapport 35 pages

23  janvier
-armes retrouvées du box évacué par tjang

-

Citation :

Audition du gendarme Bihay
A la demande de celui-ci, le sous-officier Bihay est entendu le 23 janvier 1988 par le
juge d'instruction Lacroix, lequel avait reçu de la BSR de Wavre et de son collègue
Schlicker de Nivelles, une copie des rapports mentionnés ci-dessus.
Le gendarme Bihay déclare que les recherches qu'il menait à l'époque avec le
gendarme Balfroid, "déplaisaient"; il précise qu'il vient d'être muté administrativement,
et non pas disciplinairement, à la gendarmerie de Gembloux avec perte de la qualité de
membre BSR.86

24

24

25  Be re-arreté pares son retour despagne et visite a Schlicker ds le trib

Beijer s'est présenté au juge d'instruction le 25 janvier 1988,
dans des conditions dont les médias se sont fait largement l'écho;
mandat d'arrêt a été décerné à sa charge le même jour, sous les...

25.01.88 :  Bihay muté à Gembloux  avec privation de grade de BSR
et aussi:
25:01:88


Beyer et son advocat vont directement voir Schlicker apres son visite de sa mère en espagne
il est recherér puis arreté au palais de nivelles


laatste leugen:

Citation :

Ik moet de speurders blijven ‘informeren’, maar ook
opletten dat ik mezelf niet in het vlees snijd, dat ik juist genoeg maar
niet te veel zeg. Ik moet lange ondervragingen doorstaan, die soms
dagen duren, en zoveel mogelijk een antwoord op alles kunnen geven.
Ik ben volledig uitgeput, maar sta nog rechtop. Na drie weken van dit
regime komt er toch goed nieuws: de laatste expertise van het bolognesepistool
ontkracht de conclusies van het genie Dery volledig. Het wapen
heeft absoluut niets te maken met de Bende van Nijvel. Ik slaak een
zucht van opluchting. Het dossier wordt meteen minder gevaarlijk. Rechter
Schlicker moet het dossier afgeven als gevolg van een klacht wegens
wettige verdenking, ingediend door de advocaat van Bouhouche   ?????.

Hij wordt vervangen door rechter Hennart, een hautaine man, misprijzend
en een carrièrejager. Bovendien kan het proces tegen de Bende van de
Borinage hervatten, en dat zuigt de aandacht van de media opnieuw
aan. Dat vind ik helemaal niet erg, integendeel. De affaire-Mendez
wordt opnieuw een banaal crimineel dossier en de aandacht voor mijn
geval verslapt, dat voel ik aan de houding van de rechter. Dat alles leidt
ertoe dat ik vrijgelaten word in augustus 1988

Het proces WNP | 25 Januari 1988

Justitie zal de zaak van de privé-militie Westland New Post, die voor de rechtbank eindigde wegens de ophef die ze verwekte in de media, niet volledig kunnen ophelderen.

Toen de zaak op 25 januari 1988 onderzocht werd door de 56ste correctionele kamer bij de rechtbank van eerste aanleg, vroeg het openbaar ministerie dat de rechtbank zich onbevoegd zou verklaren omdat de beschuldigingen betrekking hebben op politieke misdrijven die door een assisenhof berecht moeten worden en ook omdat de beschuldigden onder het militaire strafrecht vallen. Het openbaar ministerie heeft dus drie jaar nodig gehad, de duur van het onderzoek, om tot deze slotsom te komen

26

27 janvier

audition Asmoui par Fabrot