Libert, Michel

Savez-vous comment Madani Bouhouche a connu J-F Calmette ?

>>> Non ... seulement surpris, lors de nombreuses conversations et de propos relevés "au vol", les acquaintances en question.


C'était via l'officier de gendarmerie Mayerus ? ou via Emile Lecerf ? ou via un autre chemin ?

>>> Désolé mais les souvenirs sont trop loin, trop confus et leur contenu, pour moi et à l'époque, anodins.

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Au sujet de J-F Calmette ...


Monsieur,

Il y a beaucoup d'allusions et d'opinions tronquées au sujet de la personne dont objet.

JF Calmette était un personnage d'une grande sensibilité, idéaliste à tous crins, doté d'une fort gentille et craquante naïveté et d'un sens éthique exacerbé.

Je l'ai connu dans son intimité. Il était de grande bienveillance et accompagné d'une épouse/compagne charmante et dévouée.

Il m'avait confié, lorsque nous avions lancé une maison d'édition, un roman philosophique dont le fond et la forme sont comparables, quoique quelque peu maladroits, à l'esprit des oeuvres de Paulo Coelho.

Toutes ces appréciations réunies - quoique fort personnelles, bien entendu -  ne me convainc  de voir en JF Calmette un quelconque manipulateur, exécuteur de basses oeuvres ou monstre de coulisses.

Il est pour moi loin d'être un monstre du Géveaudan parmi d'autres.

TC

ML

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Monsieur,

JF C n'est jamais entré dans les détails de son passé. Néanmoins, il ne m'a jamais caché avoir servi des autorités officielles, notamment françaises.

TC

ML

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Michel Libert sur Patrick Haemers...

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Peut-être pouvez-vous en dire un peu plus sur la relation Haemers - Latinus ?

>>> Tout est, fort malheureusement, trop loin pour me souvenir du contexte et/ou de l'objet de conversations de tout ordre. 

Je ne peux que confirmer que Paul Latinus connaissait fort bien Patrick Haemers et que si lien il y a à chercher, c'est dans le cadre d'une enquête à effectuer non pas au sein du WNP mais dans les réseaux parallèles auxquels j'ai fait allusion moultes fois. 

Dans quels contextes avez-vous entendu parler de Patrick Haemers ?

>>> Contextes politique et gangstérisme "en col blanc ... ou pas".

A savoir, possibles mises à disposition (*) d'hommes de main, d'hommes de confiances, de chauffeurs, confection vrais-faux papiers, passeurs de valises, etc ...

(*) il était question de procédures strictes, de contacts via des personnes introduites

Patrick Haemers avait été "cité". Aucun rapprochement direct avec notre structure/réseau n'était mis en exergue dans les conversations et son nom se mêlait allègrement à d'autres quidams d'origine française, espagnole et est-européenne. 

Est-ce que le nom de Elio Ciolini vous dit quelque chose ?

>>> A l'époque, non ... De telles considérations ne relevaient pas de mes rôles, fonctions et responsabilités.

Depuis, j'ai pu, grâce à vos colonnes, appréhender l'étendue des pouvoirs de nombre de milieux dont le Elio Ciolini avait obtenu le contrôle.

TC

ML
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Michel Libert sur les "dossiers drogue" constitués par le WNP

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Dans ses nombreuses recherches, le WNP s'est notamment intéressé aux trafics de drogues.

>>> En effet. De façon systématique mais sans volonté de compromission ou but de coërcition. Il n'y avait aucune spécifique volonté de nuire.

Pouvez-vous encore vous souvenir de plus de détails à ce sujet ?

>>> Chaque dossier ouvert (simple fiche ou dossier informatif) revêtait un devoir de couverture"totale". Quel que soit l'individu, la personne morale ou le groupement, un très large prisme de requêtes étaient prévu pour accomplir son "scanning" (vices et vertus, orientation sexuelle, orientation politique, orientation religieuse, environnement, habitudes alimentaires, cadre de vie, évolution économique, etc ...), y compris une case pour une éventuelle addiction (drogues, jeux, etc ...)

Copie de tous les rapports étaient contractuellement remis à Herr Wilhelm pour info.

Le but, comme au PAL, était la Maîtrise des dossiers en cours ainsi que ceux fraichement constitués sur base d'informations émanant des médias et des informateurs.

A votre avis, quel était le but de ces recherches ?

>>> Les flux d'information étaient particulièrement abondants et une info relevant du trafic de drogues (l'info concernant la consommation ne représentait que le maillon nécessaire afin de remonter la ligne de pêche) représentait une potentielle aubaine pour soulever des couvercles de casseroles liées au terrorisme.

La fâcheuse impression que j'ai eu au long de la période qui nous occupe est que ce genre d'info était souvent réduit au silence car semblant servir les intérêts, les opérations ou les frasques de nos propres responsables dans des dossiers gigognes.

Le système aurait-il été inversé dans sa conception ? ... Je le crois ... 

TC

ML
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Michel Libert sur les mercenaires...

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Monsieur, salutations du jour.

Je réponds par une absolue affirmation.

Il était question de mercenaires, entre-autres, en ce qui concerne les opérations «Lybie», «Liban» et «Congo».

La matière en était souvent ... non seulement débattue ... mais abordée ouvertement durant les réunions auxquelles j'ai assisté chez Emile Lecerf.

Cela démontre une nouvelle fois que d'autres réseaux intégrés, à l'instar des WNP et autres surgeons-consorts, fonctionnaient de concert sous la même autorité regroupant les sempiternels mêmes dirigeants.

TC

ML

Un message de Michel Libert

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A la lecture de tous les commentaires émergeant dans les colonnes de ces dernières semaines, il va me falloir, je le crains, une fois encore corriger le tir des artilleries de campagne me gardant inexorablement à portée de tir.

Je me réserve le droit de pousser, dans un proche avenir, si besoin, plus loin certaines réflexions dont l'esprit coercitif perturbe mon intellect.

Voici, déjà à titre d'apéritif, quelques éléments pouvant altérer les conclusions hâtives de certains intervenants, nicknames sur lesquels je ne m'arrêterai volontairement pas .

1. Je prie les lecteurs et intervenants de se référer aux termes de mon interview, lequel est consultable à souhait en ce forum autant que sur Google (Michel Libert, l'interview), notamment en ce qui concerne les grandes "surfaces"? TOUTES confondues (et non "magasins").

2. Les opérations dites de surveillance des grands magasins n'en étaient pas. Personne n'était désigné (ou supposé l'être) pour "surveiller" quoi que ce soit ni qui que ce soit. Il s'agissait de collationnement de renseignements les plus divers dans un cadre opérationnel défini.

3. Si "on" a parlé des "grands magasins" et que je suis intervenu volontairement dans le cadre de cette conjecture, c'est suite à des pressions d'ordre intellectuel de plusieurs journalistes qui m'opposaient, à l'époque, des conclusions qui pouvaient être aisément légitimées suite à des convergences de faits rendant "probable" une liaison de cause à effet entre des rapports à caractère géographique et des actions violentes sur le terrain. Rien de plus.

4. Dans le même ordre d'idées, j'ai volontairement répondu positivement à une demande de collaboration émanant de  l'équipe de la BSR de Wavre (à leur demande expresse), afin de participer "de concert", entre de multiples autres devoirs d'enquêtes fort diverses ... à tenter de réunir les faits et documents probants pouvant "potentiellement" alimenter les innombrables thèses de l'époque. Rien de plus.

5. Les résultats de cette collaboration fut réduite à néant par des strates de juridictions supérieures, alors que nous avions en fort peu de temps réuni des conclusions relatives non pas, aux tueries dites du BW mais, par contre, au sujet d'autres dossiers gigognes particulièrement brûlants impliquant un nombre plus que considérable de "puissants" (belges et étrangers). L'équipe fut dissoute. Les dossiers furent "conditionnés" et confiés à d'autres mains "expertes". Après l'épisode de la "table ronde" près le Parquet de Bruxelles, qui s'est révélée totalement bidon et qui m'a noyé d'amertume et de doute en ce qui concerne les Instances de ce pays,  ce second épisode aurait du me convaincre de définitivement laisser là une patate chaude que chacun se repassait avec vigueur.

6. J'ai, par après, eu le malheur de commenter des faits et des appréciations crédibles exposées par des journalistes qui me développaient des thèses plausibles et préoccupantes. C'est à partir de cet instant, que les médias ont verrouillé instantanément ma personne dans un carcan pour près de 40 années. "Il en parle ! ... Il en parle ! Donc ... c'est lui" aurait proclamé tout Accusateur public durant l'époque de la Terreur en Terres de France.  J'avais eu la "très" mauvaise idée, par pur civisme, de leur exprimer une ébauche de sentiments tout à fait personnels.

En voici, les lignes majeures: "Si il s'avère que ces tueries ont été exécutées sur base de documents établis par nos services et subtilisés ou copiés par de piètres individus au profit de comploteurs ou de truands, "j'aurais" la très désagréable impression d'avoir plongé mes mains bien involontairement dans le sang".

7. Il n'en fallait pas plus pour mobiliser les intérêts des "Unes" dans une presse hystérique. Ces paroles, ces sentiments particuliers ont été travestis par nombre de journalistes qui, jafin d'alimenter le "buzz" de l'époque, les ont publiés en adaptant voire en coupant les portions adéquates. Ils m'ont transformé instantanément en la bête de l'Apocalypse et ont fait de moi un des objets médiatiques les plus courtisés jusqu'à ce jour.

8. Il n'a pas fallu longtemps pour que le monde judiciaire s'empare ensuite de cette opportunité qu'offrait ma personne médiatiquement fragilisée pour progressivement justifier des devoirs incongrus et incompréhensibles dans une course à l'échalotte où chaque autorité voulait indépendamment sortir vainqueur.

Je pourrais continuer à argumenter et alimenter la polémique existante à l'aide de détails de procédures particulièrement déroutantes mais je m'arrête là, me réservant de développer plus loin encore les évènements judiciaires et commentaires médiatiques absurdes dont j'ai fait l'objet jusqu'à ce jour ... si nécessaire.

Pour en terminer ... oui ... je confirme ... qu'à partir du jour où l'équipe de la BSR de Wavre a été réduite au silence, l'enquête n'a point dérapé mais fait l'objet d'un nettoyage en règle d'affaires malsaines toutes intimement et solidairement imbriquées, émergeant contre toute attente subitement au sein de la Gendarmerie, de la Sûreté, de la police judiciaire et du Parquet de l'époque (sans compter les autres multiples et diverses officines étrangères) ... toutes impliquant de "notables" et "très respectables" sommités dont on ne pourrait contester ni l'éthique, ni l'honnêteté, ni l'irréprochabilité, ni la droiture céleste ... bien entendu.

TC

ML

Réaction de Michel Libert à ce que Guy Bouten dit de lui et du WNP...

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Monsieur, salutations.

Ci-dessous mes légitimes interventions par item.

Merci d'insérer dans les fils adéquats, et notamment le mien (Michel Libert, who's who ou Michel Libert, le shéma)

PREMIERE PARTIE

Une fois encore (et je subbodore, hélàs, que cela n'aura jamais de fin), le devoir intellectuel d'objectivité m'oblige à rectifier des données et des propos concernant tout autant ma personne que des évènements peu ou prou cadrés ou démontrés.

Mon image a été pervertie, maltraitée par nombre de personnages profitant de leurs positions et pouvoirs afin de réduire à néant toute ruade légitime au sein de dossiers dont les contenus et objets gigognes faisaient que la casserole devenait extrêmement chaude pour chacun des intervenants judiciaires et politiques.

Mais, je le reconnais humblement, cela est ma faute.

J'ai, en effet, "fort naïvement" accepté, lors de demandes clairement exprimées et réitérées émanant de divers responsables des multiples enquêtes dont objet, de suivre leur FERME INSTRUCTION de rester discret, de ne pas intervenir dans les flux d'informations médiatisées afin de pouvoir, disaient-ils, agir "proprement", "sereinement" et "efficacement" dans les recherches.

Avec le recul, je m'accorde le droit à être décoré de la croix du Mérite de la Connerie personnifiée.

Avoir fait confiance aux Institutions et Instances diverses (de l'époque) m'a coûté fort cher à tous points de vue.

Quant aux médias, sur ordre de leur hiérarchie, à part l'un ou l'autre journaliste intervenant à titre personnel, honnête et scrupuleux ... TOUT DROIT DE REPONSE M'ETAIT SYSTEMATIQUEMENT REFUSE (version contemporaine de l' Inquisition et du Pilori)

Je n'ai aucune animosité à l'égard de Monsieur Bouten, personnage que je respecte profondément.

Rares sont les journalistes d'investigation à s'être investi autant que celui-ci.

Courageux, très courageux bonhomme, franc camarade et aimable interlocuteur.

Par contre, je me dois de lui faire les reproches globaux suivants (reproches que je pourrais étendre sans aucune difficulté à d'autres journalistes dont la déontologie liée à leur profession fait cruellement défaut):

a. d'avoir accepté des conclusions plus que "orientées" émanant de magistrats et d'enquêteurs sans étude ni comparaison à postériori du contenu de celles-ci;

b. d'avoir alimenté "à la louche" ses ouvrages de quantités d'informations se révélant à terme inexactes, improbables ou à son insu constituées d'appréciations et d'accusations ad nominem que les concernés auront bien du mal à corriger si ce n'est à s'attaquer à coup de kilomètres de Typexx au niveau mondial à toutes les oeuvres incriminées;

c. d'avoir unilatéralement noyé voire détruit la réputation (et la vie sociale si ce n'est ... la vie "tout court"), à plusieurs reprises, d'individus qu'il aborde dans ses paragraphes sans leur avoir nécessairement demandé ou proposé un débat contradictoire avant publication;

d. d'avoir manqué de structuration dans la rédaction de ses oeuvres, privilégiant la quantité d'informations à la qualité de celles-ci, donnant la priorité au terme calendrier (dead-line) au lieu d'un délai de réflexion objective.

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Mr B... La grande majorité était antisémite et passionnée par Hitler et Degrelle.

>>> Oui, en effet.

Climat nauséabond au sein de toutes les structures, de façon générale.

A décharge, les mises au point historiques et contextuelles n'avaient pas encore fait l'objet d'études comparables à celles effectuées depuis et les gens étaient restés dans une notable ignorance des réelles atrocités commises au nom d'un hypothétique et fallacieux avenir.


Mr B... Libert a trouvé le Front de la jeunesse peu efficace et pas très sérieux.

>>> Je confirme.

De plus, ce milieu ressassait continuellement les mêmes registres de haine, de déceptions diverses (qu'elles soient motivées ou pas), de contestations abruptes, de dénis des réalités. Quant au plan des idées purement politiques, quel manque de discernement, quelle absence de cohérences sociales et économiques ... voire purement humaines.

Mr B... En tant que nazi convaincu, son point de vue était assez simple.

>>> Nazi convaincu ?

Faux ! ...

Mais un homme de "droite musclée", attiré par un mode de gouvernement "fort" (sous la botte, si nécessaire) mais "éclairé", animé par de profonds principes sociaux voire socialistes et profondément ancré dans l'ouverture culturelle universelle (mes écrits publiés en attestent).

Rien n'est incompatible.

Depuis lors, et fort heureusement, j'ai balayé d'un revers de manche mon côté "nationaliste" car il était devenu obsolète eut égard à l'évolution de l'Histoire et de la société humaine. Le "nationalisme" n'a plus aucune raison d'être et, qui plus est, reste une source intarrissable de conflits dont l'émergence factuelle revêt un fort sombre horizon en de multiples contrées.

J'attire l'attention du lecteur averti que, dans le cadre du régime "nazi", j'aurais été ... suite à de nombreux "critères incompatibles" avec le Reich troisième du nom ... un des premiers à bénéficier d'un traitement "particulier" au sein d'un des camps de vacances établis par le régime.

Animé, éducation aidant, par des convictions européennes extrêment vives ... j'ai servi au sein de réseaux émergeant d'un segment structurel encadré par des officiers d'origine allemande (sortie de la guerre oblige), issu des réseaux de résistance (initialement bâtis contre une invasion des forces alliées), établi, contrôlé et piloté par des structures officielles (notamment le MAD) afin de participer à la lutte anti-bolchevique et, par extension, aux combats préventifs contre toute incursion soviétique.

Point barre.

Mais à force de publier (et je ne parle pas seulement de Monsieur Bouten) des inexactitudes par le simple fait que la chose ait été réitérée, rapportée et alimentée par une galaxie d'intervenants ne m'ayant jamais abordé ou osé m'aborder, un stéréotype fut alors conséquemment aisément officialisé, à l'insu même du concerné et au plus grand bénéfice de ragots diffusés à la pelle par des médias peu scrupuleuses et soucieuses au plus haut point de leurs audimats respectifs.

Quoiqu'il en soit, voilà qui est mal connaître mes points de vue, ma personne et mon périple social particulièrement axé sur l'humanisme. Hors les devoirs exécutés au sein des services concernés par les dossiers judiciares que chacun laisse traiter par son vulnérable voisin de faction présent au mauvais moment et au mauvais endroit, mes actes de la vie courante ont démontré plus que toute autre chose mon implication en faveur du faible, du meurtri ou du persécuté, combats multiples que je mènerai jusqu'à mon dernier souffle.

Je ne vais pas m'attarder une fois encore sur ce genre d'échange à sens unique. Je tiens assez de documents qui attestent du contraire.

De plus, j'ai déjà abordé et édulcoré ce genre d'allégation à l'emporte-pièce dans les colonnes du présent forum (TROIS fils de dizaines de pages sont à votre disposition).

BASTA à l'égard de ceux qui ne veulent ou ne peuvent pas lire.

Mr B... L'Occident a trois ennemis: le judaïsme, la franc-maçonnerie et le bolchevisme.

>>> Je confirme mes propos dans les grandes lignes qu'ils peuvent représenter.

Mais une profonde mise au point est nécessaire.

a. le Judaïsme ... OUI ... MAIS dans son approche politique orthodoxe de "sionisme exacerbé" mettant à mal son voisin le plus concerné et ayant pourtant les mêmes droits à l'existence que l'entité "occupante".

L'état d'Israël est aujourd'hui un fait incontestable et en conformité "historique" avec les législations internationales et approbations notamment ONUsiennes.

Tant mieux pour tout le monde, soit ...

Mais on entretient, tout là-bas, un brûlot, un ferment d'un conflit armé d'ampleur mondiale ... pour une infantile volonté illégale de colonisation, ou plutôt à vrai dire ... de "confiscation territoriale unilatérale injustifiée" !?

De plus, pour anticiper mes détracteurs potentiels, je défie quiconque de trouver dans mes écrits et propos (que vous trouverez facilement en fouillant les archives de la Bibliothèque nationale de Belgique), la moindre trace d'anti-sémitisme.

Eut-ce été le cas, n'aurais-je pas fait l'objet, depuis 40 ans, d'une procédure judiciaire distillée par une quelconque instance d'obédience juive ?

b. la Franc-maçonnerie ... OUI ... MAIS ... je pointe du doigt celle dite "spéculative".

Profonde différence s'il en est, abyssale même, si on la compare avec celle dite "opérative" et sa dérivée purement "spirituelle".

c. le Bolchevisme ... OUI ... sous toutes ses formes.

Mr B... Son appartement était décoré avec des photos de toutes sortes de dirigeants totalitaires: Hitler, Mussolini, Pinochet, le Shah d'Iran ...

>>> Faux ! ... ou plutôt ... fort inexact.

Primo, il ne s'agissait pas de mon appartement mais de ma chambre.

Secundo, mes murs (encore actuellement et jusqu'à mon dernier soupir) sont décorés d'estampes napoléoniennes, de représentations d'essences spirituelles diverses et de souvenirs marquants.

Tertio (et je sais de qui vient l'affirmation dont objet et à qui je conseille de prendre des pincettes lorsqu'on ignore le pourquoi), aucune photo de Mussolini, ni de Pinochet n'était plantée sur la tablette inférieure du "mega meuble blanc". Les cadres (de très petites dimensions) présentaient Hitler, Franco, Jose Antonio Primo de Rivera, le Shah d'Iran, Mustapha Kemal Ataturk et le couple argentin dont Evita Peron, bien connue par les fans de chansons et de comédie musicale.

Ces cadres servaient à poser des questions "effervescentes" et à "brûle-pourpoint", afin d'évaluer des candidats dont je devais exécuter un interview avant incorporation dans l'un ou l'autre service selon ses affinités et convictions.

Mr B ... Sa bibliothèque donnait la même image: "Mein Kampf", des livres de Degrelle, des classiques de l'antisémitisme ...

>>> Faux !

Je n'aime pas Degrelle et n'ai donc jamais affiché en ma bibliothèque (dont je partageais les oeuvres disposées avec tous mes proches désireux de s'informer plus avant) ses propos.

Par contre, oui, "Mein Kampf" (note personnelle: un véritable torchon dans les deux tiers de sa composition) cotoyait "Das Kapital", "Le mémorial" de las Case, "Le Coran", "La Bible", le "Livre d'Enoch", les "Tables d'Emeraude", les "Upanishad"," Le manifeste de Jose Antonio Primo de Rivera", les "Pensées de Marc-Aurèle", les oeuvres de Platon, celles de Sénèque, celles de Cicéron, le "Tao-toe King", les propos de "Maître Dong", une grosse vingtaine de tomes relatant la période de la révolution francaise et de l'Empire, une collection de luxe remarquable en douze tomes relatant "La république romaine" et l'empire du même nom, sans compter les innombrables bandes dessinées et collections de revues culturelles les plus diverses.

Oui, n'en déplaise au lecteur, je suis un homme particulièrement "ouvert" et tolérant.

Mr B... Selon Libert WNP a formé un maillon dans une chaîne, faisant partie d'un ensemble plus vaste et plus international.

>>> Vrai.

Sachant que j'étais invité dans les années 90 à participer à un débat concernant Gladio, j'avais demandé à ma hiérarchie si j'avais le droit d'user du dernier document constitué à l'attention du juge Coppieters (un shéma devant, sur volonté du magistrat instructeur, tout résumer en "une" page ... exploit que j'ai tenté d'atteindre avec force difficultés) ... Feux vert m'a été donné. J'en ai fait bien entendu, vu les aggressions verbales non dissimulées, un usage ... quoique volontairement encore quelque peu "bridé".

Je n'ai eu de cesse d'être interrompu.

A la fin du débat, lorsque je quittai la salle de meeting, il m'a été susurré, dans le sas nous séparant du couloir principal, de dorénavant éviter de donner de tels détails.

J'avais accepté, entretemps, la requête de Mme Vandemoortele qui animait le débat, de revenir pour une seconde émission, sous peu.

Mr B ... En plus du renseignement, Libert était responsable de la sécurité intérieure du WNP. En août 1982, il succède à Paul Latinus comme informateur de la sécurité d'État.

>>> Vrai

Mr B... Libert avaitt apparemment un compte à régler avec Latinus, qu'il considérait comme un traître.

>>> Vrai ... mais dans ce cas, les pareillement concernés étaient nombreux.

Fort heureusement, un règlement de compte dépassait mes convictions philosophiques, compétences, devoirs et prérogatives.

Cela n'était pas de mon ressort.

Mr B ... Fin 1983, il aurait ordonné l'élimination de Latinus, car il avait trahi le groupe avec le policier Marnette (op).

>>> Faux ...

J'ai dit que j'en avais référé à ma maison-mère (PAL) pour qu'elle prenne les mesures adéquates suite au dérapage volontaire initié par Latinus. Il s'agissait d'un pur et inexplicable sabordement.

Quelles qu'aient été les mesures envisagées Outre-Rhin, Latinus, entretemps, s'était pendu suite à une déception/dépression amoureuse profonde, avérée et cruciale.

Si Monsieur Bouten avait pris le temps de lire les colonnes du Forum, s'y rapportant, il aurait gagné un temps précieux et un gain de crédibilité supplémentaire.

Mr B ... Latinus était très préoccupé par l'évolution du WNP et par son implication dans une machine à assassiner, les tueurs du Brabant.

>>> Le WNP était une structure bien trop jeune pour lui attribuer tout ce que les autorités et médias se sont bornées à lui décerner.

Là encore, j'ai tout développé dans les colonnes du Forum.

Durant des décennies, je me suis époumonné à suggérer aux très successives équipes d'enquêteurs de poursuivre plutôt d'autres pistes telles que Scorpion, Alliance, Allianz, Minerve, Beil, Trident, la GAP et particulièrement d'aller taquiner le BURAFEX sans oublier de gratter le vernis du dossier des CCC.

On m'a traité de manipulateur, de mythomane et d'autres qualificatifs et quolibets particulièrement jouitifs (bah ... même pas fâché) durant plus de trois décennies jusqu'à ce que:

a. un journaliste bien informé vienne à confirmer, il y a de cela deux ans, que Minerve existe bien ...

b. un intervenant néérlandais actif dans les réseaux dont on débat, vienne à confirmer, il y a deux mois, qu'il a bel et bien travaillé pour les intouchables puissants du ... BURAFEX ...

c. le même également de tirer les mêmes conclusions que moi au sujet du lien Latinus et les CCC ...

d. le même, enfin, qui confirme les liens entre nos réseaux et Mr Carl Magnus Armfeld (dont le PAL et ma personne ont été chargé de surveiller durant près de 24 heures une villa située à Knokke où celui-ci tenait réunion avec ... Paul Latinus) ...

Question personnelle adressée à tous les enquêteurs privés autant que professionnels:

... et ... si la nébuleuse soumise aux caprices de Paul Latinus, lequel devait respecter ses engagements face à ses référants américains, n'avait subitement plus été sous souhaitable contrôle de son propre responsable, pour des raisons encore à déterminer, ne serait-ce pas là un début de justification de la chute orchestrée de tous ces dominos ?

C'est ainsi qu'il aurait préféré, afin de préserver sa précieuse liberté et de garder un semblant d'invulnérabilité, dévoiler sur le bureau du Commissaire Marnette (en présence du Maître de cérémonie Viandox délégué par la SN, présent à l'insu du magistrat instructeur) un barbecue judiciaire chauffé à blanc devant passer dans des mains expertes afin de trouver une issue qui lui soit favorable.

Mr B ... Libert: "À Evere, on m'a proposé de passer au SDRA.

>>> Vrai.

Mon identité se trouvait déjà dans les registres.

Mr B ... Par exemple, j'ai rencontré le major Bougerol à deux reprises dans le bureau d'Emile Lecerf, le patron du NEM, dans la Dekenstraat.

>>> Vrai

Mr B ... Au WNP, il y avait des gendarmes et des soldats."

>>> Vrai mais pas que ...

Il y avait des personnes de tous horizons mais ... de nombreux membres et candidats relevant des cadres de la Gendarmerie, de l'Armée et de la Police.


TC

ML

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Suite des réactions de Michel Libert au sujet du livre de Guy Bouten (Mr B)

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ABBAYE D'AULNE

Mr B ... Selon un rapport du GP de Bruxelles, Libert et Barbier ont également été invités aux réunions de Bougerol et de ses amis de la Milice de Jésus-Christ, à Aulne.

>>> Faux, du moins pour ma part.

Mr B ... Agenda de Libert pour la semaine du 29 mars au 4 avril 1982:

- le début du cours d'officier prévu le 4 avril 82, et confirmé le 3 avril, participants OTAN qui doivent ajuster leur agenda en fonction d'une réunion déjà programmée.

- Orf, connexion argentine, contactez à nouveau.   (Orf était le nom de code de Latinus)

- Milice de Jésus-Christ. Un rappel pour une étude de situation ou une enquête interne.

- Reprise de l'administration de Karl De Lombaerde concernant un engagement envers la Falange espagnole à travers son état-major.

- Statut périodique d'un certain nombre de membres actifs. Aide, Junior et autres.

- Examen pour les étudiants de la promotion 127, la prochaine étape serait une date ou un examen partiel.

- Téléphoner à Salza  (Barbier) dans le cadre de la promotion 127.

- Finaliser le document 1527 pour la Sûreté de l'Etat et vérifier si la première partie y a bien été reçue.

- Prendre contact avec le dénommé Marchedieu 5230377 via le numéro de téléphone indiqué. (Probablement le nom de code du colonel René Mayerus)

- Cette semaine, commencer l'écoute téléphonique sur les lignes commençant par 539.

Transfert d'un membre, prénom Eric, à Bruxelles après réception des instructions de l'état-major.

>>> Je suis navré de ne pouvoir fournir un quelconque commentaire sur ce qui précède.

En effet, les souvenirs de tels détails opérationnels et/ou administratifs se sont émoussés voire évanouis au fil des décennies.

Par ailleurs, j'attire l'attention du lecteur sur les constats suivants:

a. les autorités judiciaires ne m'ont jamais demandé d'expliciter (sauf quelques timides cas d'espèce) le détail des données alimentant mes agendas;

b. ces mêmes autorités m'avaient promis, afin que je puisse justifier de mes actes au fil des auditions ou lors d'un hypothétique procès,  la restitution soit de tous mes agendas, du moins, une copie conforme de chacun d'eux. 

Jamais ... jamais ... je n'ai reçu le moindre signe de bonne volonté à ce sujet. Ces agendas sont encore sous séquestre;

c. une série d'agendas au quotidien de format A4 dit "opérationnels" (ceux-ci étaient destinés à rester dans les bureaux où se déroulaient les permanences afin d'assurer le suivi) et composés de feuilles volantes journalières reprenaient sous le couvert de codes les activités, buts, commentaires, objectifs de chaque jour, de chaque opération, de chaque recherche. 

Jamais on ne me les a présentés pour tenter de découdre leurs contenus;

d. j'étais totalement disposé à aider les autorités à décrypter les données codées dans d'innombrables documents ayant fait l'objet de perquisitions et qui pouvaient être encore dissociées en fonction des dernières mises-à-jour des systèmes de cryptage. 

Cela, visiblement et pour une raison qui me restera fort étrange jusqu'à mon dernier souffle ... ne les intéressait PAS ... mais ... PAS DU TOUT.

Situation ubuesque, n'est-il pas ?

Le lecteur tirera ses conclusions personnelles de ce qui précède, tout autant que je l'ai fait ... 

Perso, j'ai fort bien "capté" le message subliminal.

Mr B ... Michel Libert a également maintenu des contacts avec le gendarme Bouhouche.

«Madani Bouhouche n'était pas un ami ou un camarade, mais une relation avec qui je devais garder ouverte la possibilité de contact. Bouhouche était membre du WNP, plus précisément de la section «Helpers", ce qui ne change rien au fait qu'il aurait pu avoir un statut différent au sein d'un autre satellite de l'Organisation. Pour les quelques fois où je l'ai rencontré, je l'ai trouvé très ambitieux, déterminé, sérieux, très éduqué avec une certaine tendance au cynisme. Il est clair qu'il était une figure pivot au service des puissants, nageant dans l'aquarium BURAFEX, et serviteur de toutes sortes d'intérêts qui sont restés cachés à nous, les exécutants.

>>> Vrai.

Mr B ... Libert a envoyé ses messages via un code spécial, «l'échelle de Rosenberg» 

>>> Vrai.

Trois codes étaient d'application dont les plus fréquents:  l'Echelle Rosenberg (pour le WNP et autres) et le Disque Sedan (pour le PAL).

Mr B ... et possédait deux Riot-guns de la marque Winchester, le type qui était également utilisé par les tueurs.

>>> Vrai.

Mais je viens d'apprendre en ces lignes la marque de ces armes (je n'avais et n'ai toujours qu'un intérêt extrêmement superficiel au sujet des armes à feu).

Je les ai "spontanément" présentées au Commissariat de police de ma commune lorsque la Loi sur la détention de telles armes avait été actualisée et officialisée et de "bon gré" laissées à leur appréciation.

Mr B ...  En 1988, les enquêteurs l'ont interrogé sur les meurtres, mais ont oublié d'enquêter sur ces armes.

>>> Pas ma faute ...

Mr B ... L'équipe dirigée par Martine Michel l'a fait arrêter en 2014 et a dû constater que les armes avaient disparu.

>>> Bis repetita ... Pas ma faute ...

Mr B ... LIBERT : "Avec le recul, je peux maintenant conclure que les figures-clés du WNP et de BURAFEX étaient le colonel Mayerus, le major Bougerol, Lecerf, Maïtre Dumont, Mercier, Robert Thomas et Charles Verpoorten. 

>>> Exact.

Mais la liste est loin d'être ... exhaustive.

Mr B ... Mon arrestation en 2014 était le résultat d'un harcèlement de Pierre Fievez, ancien adjudant du BOB

>>> Vrai.

Complètement "marteau" (mais ...peut-être avait-il ses raisons de paraître ainsi)

Note: ses références nominale et téléphonique apparaissaient déjà dans les fiches correspondant aux divers "référants" avec lesquels Paul Latinus (entre-autres) entretenait des relations suivies ... bien avant l'officialisation de la branche WNP.

Mr B ...  dont le nom apparaissait dans toutes sortes de fichiers mal fondés, comme celui de Dekaise et Bultot. "

>>> No comment allowed.

Mr B ... Selon Libert, il en coûtait environ 10 000 euros par mois pour faire fonctionner la "machine" WNP. Il supposait qu'une grande partie de cet argent provenait du baron Benoît de Bonvoisin, ce que ce dernier a formellement nié lors d'une de nos nombreuses conversations. 

>>> Exact.

Mais  les fonds utiles et nécessaires provenaient de bien d'autres sources encore, sources déjà citées dans d'autres colonnes du Forum (Spécial l'Eventail, réseau IRIS, Faez-al-ajjaz, Agfa-Gevaert, VW, ...)

Mr B ... Au contraire, il a parlé avec dédain de Latinus et de ses hommes 

>>> Triste appréciation. Pauvre Ame errante !

Mr B ... et est même allé jusqu'à affirmer qu'ils avaient placé des dispositifs d'écoute dans sa maison

>>> Fort probable.

Mr B ... sur ordre de Raes.

>>> Cela m'étonnerait fort.


MARCHANDS D'ARMES

Mr B ... Au cours de l'année 1983, Michel Libert a eu le sentiment qu'il était utilisé pour tuer, espionner et écouter des gens ...

>>> Vrai.

Sentiment profond d'avoir été utilisé à bien d'autres fins que ceux relatifs aux objectifs premiers de lutte contre la menace soviétique. Trois quarts des réquisitions et opérations concernaient ostensiblement plus des intérêts privés ainsi que des cercles privés, financiers, économiques et politiques. 

Mr B ... Il ne se sentait pas en sécurité et recevait diverses menaces téléphoniques.

>>> Vrai

Mr B ...  Le lendemain de son arrestation, le 15 septembre 1983, le soixantenaire Fons Jacobs,  s'est rendu avec une voiture chic dans une cachette du WNP pour y récupérer des documents.

>>> Vrai.

Je l'ai appris bien plus tard. 

Mr B ... Cet ancien du front de l'Est habitait Kapellen et faisait affaire avec le marchand d'armes Herman Geschier, surnommé le Russe. Geschier était de Bruges, tout comme Albert Raes, et a travaillé pour lui de temps en temps. Geschier a non seulement fourni des armes aux Phalangistes libanais, mais aussi au régime d'apartheid d'Afrique du Sud. Son adjoint, Eric Scherps, a dirigé à Beyrouth une milice chrétienne d'au moins cinq cents hommes, qui avait des liens avec le Mossad.

>>> Vrai.

Mr B ... Quelques mois avant son arrestation, Libert s'est introduit chez Hatraco, la firme anversoise de Geschier, à la recherche d'informations sur d'obscures transactions, à savoir la livraison de 20 tonnes de haschich libanais en échange d'armes. Le commissaire Joseph Kausse, nom de code "Lapin", était au courant de l'opération.

>>> Vrai.

Mais je ne peux confirmer le sujet des 20 tonnes de haschich libanais. 

TC

ML
.

Michel Libert sur l'adjudant Goffinon

_ _ _

Je confirme, par le présent message, que Mr Goffinon était un intercesseur de «premier niveau» pour l'organisation criminelle dont nous parlons.

Il apparaissait initialement, tout autant que le gendarme Fieviez, dans l'organigramme des «référents» auxquels nous devions être tôt ou tard confrontés au plus grand bénéfice des principaux concernés.

Les indices ... que dis-je ... les preuves ... se trouvent notamment au sein des multiples documents confisqués lors des toutes autant multiples perquisitions effectuées dans notre réseau ciblé a contrario comme illégitime.

Depuis près de 40 ans on se paye la trombinette de tous les citoyens belges, outre Quiévrain autant que d'outre-Rhin.

TC

ML

Quelle était la forme juridique du WNP ?

Les milices privées ne sont-elles pas illégales ?
Ou illégitimes si vous préférez.

Etienne a écrit:

Quelle était la forme juridique du WNP ?

Les milices privées ne sont-elles pas illégales ?
Ou illégitimes si vous préférez.

Effectivement, les milices privées sont interdites en Belgique loi de juillet 1934.

Après, en ce qui concerne la forme juridique du WNP c'est  une très bonne question, car je n'ai jamais faits attention à ce détail.

Par contre, ce genre d'organisation devait être plutôt une organisation de fait qui n'a pas de personnalité juridique et qui est une association temporaire de personnes.

Pas de contraintes, car n'est pas soumis aux lois spécifiques qui régissent selon.le choix  asbl, SPRL, etc...

D'ailleurs depuis 2017 ou 2018 cela a encore changé les associations de fait et asbl doivent enregistrer les personnes qui siègent au CA dans un registre en ligne appelé UBO.

Ultimate Beneficial Owner’

Le registre UBO est utilisé pour la lutte contre le blanchiment d'argent et aussi concernant le financement d'organisation terroriste.

Une réaction de Michel Libert sur Léon Finné :

_ _ _

La personne de Léon Finné m'était inconnue jusqu'à la lecture de vos colonnes.

Je peux très facilement imaginer que celui-ci ait fait partie intégrante du Burafex.

En effet, trop d'éléments mènent à ne point contester tant d'apparences et, une fois de plus (comme pour d'autres personnages) ... tant de convergences.

Monsieur Van Haperen nous en dira plus, je le suppose, dans les semaines à venir.

TC

ML

Michel Libert au sujet de Pierre Fievez :

_ _ _

Vous me demandez ce que je pense de ce personnage haut en couleurs ?

J'en ai déjà abordé le thème dans mes précédentes colonnes et prie le lecteur d'en relire les termes, termes excessivement bien choisis et présentant ce Commissaire sous son vrai jour en son quotidien d'enquêteur.

L'expérience que j'ai eu de ce triste sire durant les auditions ... que dis-je ... les interrogatoires visqueux d'intentions malsaines m'a édifié.

En résumé, je place ce "Cow-boy" exactement au même pied de considération  que celui que j'exprimais à l'égard du Commissaire Marnette.

Les façons d'être et de faire de ce personnage particulièrement sournois et professionnellement nombrilique n'ont aucunement (une fois de plus) participé à me réconcilier avec les Instances se targuant de hisser haut les valeurs de justice, d'équité et d'honnêteté dans des dossiers d'une telle portée.

Ne tenant compte d'aucun élément à décharge, éléments pourtant nombreux, incontestables et qui n'ont jamais fait l'objet de recherches afin d'obtenir confirmations utiles, je peux me permettre ... après avoir "gastronomiquement" dégusté de sa personne durant des heures ... de le qualifier professionnellement dans ce genre d'enquête réclamant d'affinées précautions de totalement ... "marteau". (*)

Mais je ne doute point que Monsieur Fiévez ait été, à l'instar de Monsieur Marnette, un excellent policier dont l'univers de prédilection le plus adéquat fut celui du monde des truands et petits voyous.

(*) je me réserve d'exprimer en temps utile une conclusion supplémentaire basée sur une confidence qui me fut faite dans un passé pas trop lointain et qui pourrait participer à justifier son attitude autant à mon égard qu'à celui de l'enquête, à l'insu peut-être même du Juge d'Instruction dont il dépendait.

C'est tout ... pour aujourd'hui ...

Selon Michel Libert, les relations avec l'Afrique du Sud se faisaient

"via (à mon niveau d'information de l'époque) K Verpoorten, KDL et un financier flamand."

KDL = Karel de Lombaerde

_ _ _

Voir :

https://www.rtbf.be/info/belgique/detail_quand-une-certaine-belgique-soutenait-l-apartheid?id=8151848

Quand une certaine Belgique soutenait l'apartheid

(...)

Manuel Abramowicz, enseignant à la HELB et auteur d'essais politiques sur l'extrême droite anime le web-journal RésistanceS, un observatoire belge de l'extrême-droite. Il rappelle que de tout temps, en Belgique comme ailleurs, l’extrême-droite a soutenu l’apartheid : "Dans les années 80, c’était le VMO (Vlaams Militanten Orde) et le FJ (Front de la Jeunesse). De nos jours, le Vlaams Belang entretient la nostalgie d’une Afrique du Sud blanche. L’apartheid était soutenu à l’époque par le Nouvel Europe Magazine, qui était le carrefour entre l’extrême-droite et les branches les plus conservatrices du PSC, le CEPIC, et du PLP."

A titre personnel – et non officiellement comme représentants de leur parti – de nombreux parlementaires flamands de l'ex-Volksunie (parti nationaliste dissout en 2001), du CVP (l'ancien CD&V démocrate-chrétien flamand) et du PVV (l'ancien Open VLD libéral) étaient membres de Protea, un lobby flamand de soutien à l'apartheid. "Ils agissaient au Parlement pour éviter ou retarder ou adoucir des résolutions anti-apartheid, ou des décisions contre le boycott de l’Afrique du Sud", explique Manuel Abramowicz. "Ils faisaient aussi un travail de sape en coulisse en commissions. Par exemple quand la loi antiracisme est enfin venue au parlement, après avoir été 'encommissionnée' depuis les années 60, ils ont déposé un nombre énorme d’amendements, toujours pour retarder sa mise en application. Ils voulaient soutenir le racisme en Afrique du Sud, en tâchant d’édulcorer la loi pour en faire un texte light, mais ils craignaient aussi pour eux-mêmes. Cette loi permettrait de les poursuivre en justice pour appartenance à une organisation raciste."

(...)

.
Un conseil de Michel Libert :

_ _ _ 

Vous procurer la dernière mise à jour du réseau WNP (en phase avec ess consoeurs) muni des codes en trois chiffres (essentielle info) identifiant chaque département serait réellement salutaire à la résolution des differentes hypothèses surgies dernièrement sur le Forum.

Au moins quatre exemplaires ont été remis (sans obligation et de facon spontanée conformément aux instructions d'usage de l'époque (cfr procédures Puma 900 ... si je ne m'abuse) peu après ma libération de la Maison d'Arret de Forest ... aux autorités de la Gendarmerie (Mm De Pauw et Courtin), de la SN (MM Kausse et Estievenaert) et du PAL (Herr Wilhelm) ).

TC

ML
.

Un message de Michel Libert sur la "garde rapprochée" de Paul Latinus

_ _ _

Monsieur, le bonsoir.


Voici par item.

Pouvez-vous confirmer que Paul Latinus avait une sorte de garde rapprochée ?

>>> Je confirme.

Plusieurs individus,

autant de sexe féminin que masculin,
belges et étrangers,
au nombre de 18, au moins (*)
groupe équipé d'un ou de plusieurs scanners et d'émetteurs-récepteurs

(*) je vous rappelle l'épisode des 20 cartes vierges établies sur base des éléments alphanumériques communiqués, réclamées par Paul Latinus. <20-1 (pour PL) - 1 (non réclamée ou non attribuée) = 18 >


En savez-vous plus sur ses contacts avec Michel Cocu ?

>>> Non.

Le nom était revenu souvent lors de nos entretiens.

Voilà pourquoi, ce nom se retrouve dans le shéma que j'ai adressé au juge Coppieters t'Wallant.


Ce dernier a-t-il fait partie de cette garde rapprochée ?

>>> Je ne peux l'affirmer mais en suis personnellement persuadé.


Note: connaître la ou les personnes qui accompagnait/aient Paul Latinus à Paris (ou le "réceptionnait/aient) lorsqu'il rencontrait de Grossouvre offrirait, je crois, un tremplin pour comprendre bien des revers des dossiers qui le concerne.

TC

ML

Pour information :

Helmut R. Hammerich:„Stets am Feind!“ Der Militärische Abschirmdienst (MAD) 1956-1990. Verlag Vandenhoeck & Ruprecht, Göttingen 2019. 520 S. m. 39 Abb. und 12 Grafiken, 40 €.

(traduction)

Helmut R. Hammerich : "Toujours sur l'ennemi !" Le Service de contre-espionnage militaire (MAD) 1956-1990, publié par Vandenhoeck & Ruprecht, Göttingen 2019. 520 p. m. 39 ill. et 12 tirages, 40 €.

Après avoir traité des débuts du Service fédéral de renseignement et de l'Office fédéral de protection de la Constitution, voici l'histoire du troisième service de renseignement de la République fédérale, le Service de contre-espionnage militaire des forces armées allemandes (MAD). Il est responsable de la sécurité de la Bundeswehr. Pour la première fois, un historique de l'organisation et de son personnel de 1956 à 1990 est disponible sur fichier. Il tient compte de la continuité du personnel au sein de la nouvelle génération ainsi que des principaux domaines d'activité de la sécurité du personnel et du matériel, du contre-espionnage et du sabotage et de la lutte contre l'extrémisme politique et le terrorisme. En outre, la relation difficile entre le MAD et les médias sera discutée. Comme pour les autres services de renseignement, il y a des continuités et des ruptures dans le MAD. Au total, le MAD a su s'imposer face à un adversaire toujours supérieur en termes de personnel et de matériel, malgré quelques mésaventures et scandales.

_ _ _

https://www.vandenhoeck-ruprecht-verlage.com/downloads/productPreviewFiles/LP_978-3-525-36392-8.pdf

(...)  Depuis quelques années, des commissions d'historiens se consacrent également à l'histoire des services de renseignement allemands au niveau fédéral. Depuis 2011, une Commission indépendante d'historiens (UHK) effectue des recherches sur l'histoire du Service fédéral de renseignement (BND). Il est soutenu par un groupe de travail du BND. Outre l'examen des débuts du BND sous son premier président Reinhard Gehlen, un profil social du BND a été établi, ainsi que les réseaux personnels des premières élites dirigeantes et, enfin, la politique intérieure  (...)

Mais surtout, il est important de noter que le statut du MAD en tant que l'un des trois services de renseignement allemands a été particulier dès le début, sur fond de passé nazi : plus fort que les autorités comparables dans d'autres États occidentaux, le MAD a dû faire face au scepticisme du public et aux limitations de ses compétences, tout comme le BND et le Verfassungsschutz.  Cependant, à partir du début des années 1970, le MAD semble avoir réussi à réduire la méfiance dont il faisait l'objet tout en élargissant ses compétences.  Ce processus doit être examiné, car il s'agit également d'une conséquence (indirecte) de l'ère nazie. Par exemple, l'évolution du rôle du MAD dans l'ensemble de l'administration fédérale allemande dans le domaine de la politique de "sécurité intérieure", la politique de la direction du bureau vis-à-vis du monde extérieur et la relation du service au public méritent d'être étudiées.  (...)

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https://www.tagesspiegel.de/kultur/literatur/landesverteidigung-im-kalten-krieg-feind-hoert-mit/25760088.html

21.04.2020, 23:09 Uh

Défense nationale de la guerre froide

L'ennemi écoute  (Feind hört mit !)

Helmut R. Hammerich enregistre les hauts et les bas du "Military Counter-Intelligence Service" MAD

(...)

La continuité du "Troisième Reich"

Pour les raisons mentionnées ci-dessus, la coopération interne des autorités de police et de sécurité de l'État est une exception, mais pas leur passé commun et la continuité du personnel avec leurs prédécesseurs du Troisième Reich. Ils avaient déjà inventé le slogan "Feind hört mit !", qui, compte tenu des affaires Kloss et Krase, aurait été un meilleur titre de livre que le martial "Stets am Feind !", un slogan du quatrième chef du MAD, Paul Albert Scherer. Plus formateurs que le social-démocrate Scherer ont été les pères fondateurs du MAD, Gerhard Wessel en tant que premier directeur et son successeur Josef Selmayr, tous deux anciens officiers de défense de la Wehrmacht et travaillant initialement pour l'organisation Gehlen, plus tard le Service fédéral de renseignements. Pour Gehlen, c'était la garantie que le MAD ne se transformerait pas en un service de renseignement concurrent comme la défense militaire de l'amiral Canaris, d'où venait son adversaire dans la lutte pour un service de renseignement fédéral allemand - Friedrich Wilhelm Heinz, qui faisait concurrence à Gehlen avec un service de renseignement de la Chancellerie, petit mais de qualité.

Heinz avait déjà rédigé un organigramme pour un "service de défense des troupes" en 1951, avant même que la Bundeswehr n'existe. Gehlen y sent la résurgence d'une défense militaire indépendante à la Canaris. Non sans raison, car le nom "Abwehr" avait été choisi par la Reichswehr uniquement comme désignation de camouflage en raison de l'interdiction de la reconnaissance militaire allemande à l'étranger dans le traité de Versailles. Gehlen a exhorté Gerhard Wessel à abandonner ce terme. Le projet de "Militärischer Abwehrdienst" devient ainsi un nom créé par Wessel, qui reste MAD : "Militärischer Abschirmdienst".

(...)

Une réaction que Michel Libert me demande de poster ici aussi ...

_ _ _

Forumiste d'élite Robert du Bois ... et tous ceux qui s'inspireraient de la même écume inquisitoriale ...

Voici ...

Votre propos édité sur le forum "Les années de plomb" est quelque peu insultant et offensant à mon égard.

Je suppose qu'un tel comportement est motivé par une amertume, amertume qui est la vôtre et dont je ne suis en rien ni la source, ni la fontaine, ni l'estuaire.

Vous êtes, je suppose, ignorant de mon parcours par un atroce manque d'informations dont vous auriez pu vous abreuver si, d'aventure, vous aviez pris le temps de lire les différents fils (actuellement 4 au total) me concernant et édités dans les colonnes du Forum ami et voisin "Les Tueries du Brabant".

Pour faire court ... très court
je me permets de vous informer que j'ai été un agent de renseignement parmi d'autres, particulièrement efficace, doué d'éthique, vertueux, dévoué, honnête et incorruptible.

Tout d'abord, en ce qui concerne mon "Idéal" ... vous en serez peut-être dépité.

Je suis un "doux" philosophe stoïcien, un génial administrateur que nombre de services se disputaient et un "abominable" anti-bolchevique.

Vous me reprochez des choses dont je ne suis aucunement responsable.

Ce que certains me reprochent, imaginent, sous-entendent, insinuent ... est totalement aberrant, dénué de sens et physiquement impossible tenant compte de ma personnalité, de mon engagement associatif, de mes obligations familiales de l'époque, de mon emploi du temps et des cartes de pointage auprès de mes divers employeurs, cartes qui, notamment, n'ont jamais été exploitées (je peux donc en déduire que la chose fut sciemment orchestrée).

Cela fait bientôt près de 40 ans que je collabore volontairement et sans détour avec les autorités belges, initiative O combien civique,que, avec le recul, je regrette amèrement.

Ma collaboration autant que ma confiance dans les Institutions ont été toutes deux biaisées par l'attitude malsaine et incohérente d'un bon nombre d'enquêteurs, de magistrats, de politiques et de journalistes.

A force de créer un scénario, d'alimenter en flux tendu toujours la même polémique, on crée un personnage et on lui taille médiatiquement un costume sur mesure.

En d'autres termes encore ... "cherchez le clou et vous trouverez le marteau".

Mises à part deux équipes (la première sous Mr Balfroid et la dernière sous Mr Goertz), toutes ont créé le chaos notamment en me posant des questions sur des sujets auxquels je ne pouvais répondre sans des développements au plus haut point utiles et nécessaires ... développements que ces mêmes enquêteurs refusaient sciemment d'acter (pour qui ? ... pourquoi ? ... sur ordre de qui ? ... sous pression de quelle Instance ? ...). Par ailleurs, je n'ose compter les éléments que je leur ai fournis et qui n'ont jamais été exploités.

Je devais m'en tenir "exclusivement" à leur feuille de route ...

Etrange, n'est-il pas ?

Si la piste politique se révèle exacte, il sera alors évident que ma hiérarchie (belge) m'a trompé en utilisant mon travail à d'autres buts que ceux définis au départ, notamment ceux convenus avec mon autorité de tutelle de l'époque (PAL/MAD).

Les êtres malveillants que j'ai rencontrés parfois furtivement, parfois en tête-à-tête prolongé, ont participé au fil des auditions à me ruiner, à m'anéantir professionnellement et à socialement me discriminer et m'avilir.

J'ai recommencé ma vie à zéro par six fois ... sans haine, sans colère ...

J'ai été par neuf fois (dont quatre foncièrement létales) l'objet d'atteinte physique à ma personne sans que cela ne préoccupe le moins du monde un quelconque magistrat.

Et néanmoins, rien ne m'a arrêté dans le choix que j'ai fait de vouloir participer à lever les lièvres de cette immense farce judiciaire pilotée de main de maître par des "bouffons fonctionnarisés" et tenter de découvrir quels sont les salauds en col blanc qui sont à l'origine de ce macabre dossier gigogne tout autant que ceux qui en ont été les abominables artisans de terrain.

Alors donc, forumeur Robert du Bois, épargnez moi dorénavant ce genre d'intervention.

Respectueusement vôtre,

Michel Libert

Deux messages de Michel Libert

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Monsieur, le bonjour.

Oui, j'ai connu Félix de Ceulaerde mais superficiellement car les occasions de le croiser étaient rares, ma fonction n'étant pas à l'échelle des relations entretenues à l'époque au niveau supérieur.

Il était une des personnes centrales assurant la liaison avec les autorités officielles et les contributeurs / financiers du privé.

Je suppose qu'il était ou représentait une des autorités mandatées pour l'apport / transfert du contingent de 120 candidats (Flamands et Néérlandais) qui devait être progressivement encadré, instruit et intégré à partir de 83/84.

Je me rappelle de Félix de Ceulaerde comme une personne simple, humble et dévouée.

TC

ML

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Monsieur,

J'ai en effet connu Francis Dossogne et Daniel Gilson.

Tous deux ne m'ont inspiré le moindre sesterce de confiance, dès le début de contacts pourtant particulièrement informels.

Je me retrouvais dans leurs locaux sur base d'un protocole posé pour une établir/ré-établir une relation opérationnelle avec une autorité de moi encore inconnue.

J'ai assisté à quelques réunions "ouvertes" auxquelles l'un et/ou l'autre prenait la parole. Lors de celles-ci, au bar comme en réunion, s'échangeaient beaucoup de discours creux, sans réelle pédagogie, sans aucune résonnance foncièrement éthique, rarement inspirés par une actualité socio-économique et ponctués d'appels à la violence et à un racisme quelque peu exacerbé.

Leurs périples respectifs étaient fort troubles et ont donc fait l'objet, par après, d'une surveillance permanente dont les éléments essentiels étaient enregistrés, consignés puis communiqués aux autorités représentées par nos référents locaux successifs (Gendarmerie et SN).

TC

ML

Mr Richard Schultze-Kossens ... 0049211667319
... Karl Mullerstrasse18 A
... DE-4000 Düsseldorf

Vous avez eu des contacts avec lui ?

>>> Oui ... mais une fois seulement.

Il m'a été présenté lors de l'un de mes déplacements à Köln.

Qu'en pensez-vous ?

>>> Il m'a confié connaître mes fonctions et devoirs et qu'il serait toujours disponible à mon égard pour me porter assistance utile lors de tout problème, si tous les recours traditionnels étaient épuisés. A cet effet, j'ai reçu ses références que je me devais de conserver, avec d'autres essentielles en un mini répertoire.

L'orthographe exacte est très probablement Richard Schulze-Kossens

Sur cet intéressant personnage "de dernier recours" :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Richard_Schulze-Kossens

https://www.oldfloridabookstore.com/product/sku/7316fd2

https://klangslattery.com/hitlers-adjutant-the-ss-officer-richard-schulze-kossens/


In Hitler's Bunker: A Boy Soldier's Eyewitness Account of the Führer's Last Days
Armin Lehmann, Tim Carroll

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