- michel a écrit:
- AC30 a écrit:
- Et concernant Biefnot, je suis dégoûté par l'hypocrisie de Di Rupo, quand on sait qu'il a de sérieuses casseroles en matière de pédophilie, mais pour lui, classement sans suite à la cour de cassation alors qu'il y a des témoignages formels, notamment des flics qui 'lont interpellé aux grands larges avec 2 mineurs dénudés dans sa voiture.
Il serait bon de citer vos sources...
Ca par exemple, en sachant aussi que le flic qui a conseillé à ses collègues de déposer est toujours joignable.
Di Rupo: PV's
On sait qu'en Belgique, la pédophilie n'est pas une tare, mais plutôt
le tremplin pour faire carrière dans un Etat où les loges maçonniques
semblent moins influentes que les réseaux pédophiles. Utilisée comme
moyen de chantage politique, la pédophilie brise moins les carrières
qu'elle les inspire, le cercle des vicieux étant représenté à tous les
étages de la vie politique, économique, culturelle, sociale et
religieuse du pays. Le meilleur exemple: Celui de l'ex vice-président
du gouvernement belge, Elio Di Rupo, aujourd'hui président du Parti
Socialiste. La Cour de cassation sous l'autorité du Conseiller Fischer
vient de décider définitivement non pas que le dossier de cet homme est
vide ou qu'il n'est pas pédophile, mais qu'elle ne donnera pas suite au
dossier! Un pédophile, un de plus, qui peut toujours sévir impunément
en Belgique. LES VIEUX ET VRAIS DOSSIERS DE PEDOPHILIE DE DI RUPO. Car
il y a effectivement d'innombrables témoignages et plaintes contre Elio
Di Rupo sur lesquels pèse un lourd silence et qu'on n'est pas
spécialement pressé d'éclaircir. Voyons-en le détail par
l'intermédiaire des pièces importantes retrouvées dans le dossier pénal
initial de M. Elio Di Rupo auquel nous avons eu accès. Un procès verbal
de la police judiciaire daté du 4 décembre 1996, portant le numéro
46492, dans lequel s'exprime le patron d'une boîte pour homosexuels,
"Le Cancan". Ce patron qualifie Di Rupo d'homosexuel qui fréquentait
son bar deux fois par mois en compagnie de J.C. Un procès verbal de la
police de Namur, portant le numéro 12852/98, dans lequel est auditionné
Jean-Marie Rulens, client – callboy de la boîte "La Brique" à Liège. Ce
dernier déclare que Di Rupo s'y amusait toujours avec des jeunes de
plus ou moins quatorze ans, qu'il les payait 15 000.- pour les gâteries
et que Di Rupo aurait pratiqué de la fellation et de la sodomie avec
des mineurs. Nous avons rencontré Rulens et il nous a confirmé ses
dires lors des auditions concernées, avec moult détails à l'appui. Une
note du Parquet portant le numéro 3766117528/96, qui se réfère aux
déclarations du même Rulens et qui indique l'identité de deux mineurs
de 13 et 14 ans, S.P. et C.V., ayant eu des contacts sexuels avec Di
Rupo et Grafé pour des "honoraires" variant entre 3000 et 5000 francs.
On retrouve une phrase significative dans ce rapport, phrase chère à Di
Rupo: "il n'y a jamais eu de violences envers les mineurs qui étaient
consentants." Nous avons retrouvé ces deux garçons: ils confirment
avoir couché, l'un alors qu'il était âgé de moins de 14 ans, avec celui
qu'on appelait alors "Elvis" dans les boîtes à la mode. Un procès
verbal de la BSR de Wavre daté du 29 octobre 1996. Une certaine Monique
Delneste y confie aux enquêteurs des allées et venues de jeunes gens en
compagnie d'Elio Di Rupo dans un immeuble voisin. Nous avons interrogé
Mme Delneste et visité cet immeuble pour y effectuer l'enquête de
voisinage que les forces de police se sont bien gardées de réaliser.
D'autres témoignages vont exactement dans le même sens que celui de Mme
Delneste. Un rapport de la brigade nationale de gendarmerie du 9
octobre 1996 qui insiste également sur les rapports spéciaux entre Di
Rupo et de jeunes garçons. On y parle également d'un certain E.M.,
protégé du vice-premier ministre, retrouvé mort. Un rapport de la BSR
de Bruxelles, daté du 3 décembre 1996 et portant le numéro de référence
3766118068/96. On y relate des relations sexuelles entre Di Rupo et de
jeunes garçons âgés de 16 à 18 ans. Et on y retrouve une phrase aussi
significative qu'étonnante: "Vu la notoriété de M. Di Rupo, nous ne
poursuivons pas". Un procès verbal de la police judiciaire de
Bruxelles, portant le numéro 46663 et dans lequel s'exprime M. Robyns,
le chauffeur de Jean-Pierre Grafé (NDLR: ancien ministre), le 5
novembre 1996. Le chauffeur y évoque des "partouzes" en signalant que
son rôle se limitait simplement à y "servir des boissons". Une note
confidentielle émanant de MM. Demanet, procureur général de Mons et
Marchandise, procureur du roi à Charleroi, datée du 28
novembre 1996, où l'on parle entre autres d'un certain Jean-Luc Finet,
inculpé de détention de cassettes pédophiles et dans l'agenda duquel
figurait le nom et les coordonnées de Di Rupo. Un autre procès verbal
où le mineur L.H. affirme avoir couché avec le fameux Trusgnach, le
jeune homme clé du blanchiment de Di Rupo, dans l'appartement et le lit
de Grafé. D'innombrables lettres anonymes qui ne nous intéresseraient
même pas s'il n'y en avait plusieurs qui indiquent que Di Rupo avait
été pris en flagrant délit avenue du grand large à Mons avec un mineur
de moins de 14 ans dans une Saab blanche. Cette voiture revient assez
souvent dans les lettres anonymes. Ce témoignage sera d'ailleurs
confirmé par 2 policiers. Des témoignages et des lettres anonymes
relatant un accident de voitures de Di Rupo en compagnie d'un jeune
garçon à … Sars la Buissière, non loin de la maison de Marc Dutroux.
Des témoignages qui prouveraient que Trusgnach, Di Rupo, Grafé et une
grosse légume de la Banque Nationale dont nous détenons l'identité,
étaient vu fréquemment ensemble dans les bars "Le garage" et "Le
Tunnel", tous les deux des rendez-vous d'homosexuels. Beaucoup d'autres
pistes et informations variées souvent anonymes et donc peu crédibles.
Mais ce qui étonne, c'est qu'on ne retrouve aucune trace dans ce
dossier d'enquêtes suite à ces lettres anonymes par les enquêteurs. Des
lettres qui indiquent des adresses précises, des noms de personnages
existants qu'on pourrait finalement interroger et des faits qui
pourraient être contrôlés quant à leur possible ou leur impossible
véracité. LES VICTIMES NOUS PARLENT DEVANT … SA "GARCONNIERE" Nous
avons rencontré d'ailleurs quelques-unes une des victimes de Di Rupo.
Nous devons en savoir plus sur son anatomie que ses rencontres
occasionnelles. Nous avons recoupé, investigué et même découvert son
nouveau lieu de rendez-vous dans deux appartements communiquants d'un
ensemble résidentiel situé aux pieds de la Clinique Saint-Luc à
Bruxelles. Les appartements qui permettent des entrées discrètes par
différents immeubles, sont au nom d'un vieux Monsieur, ancien homme
puissant du …Parti Socialiste, Raemackers, dont l'amour pour les jeunes
garçons n'est un secret pour personne, surtout pas la justice. Une
information judiciaire fut d'ailleurs ouverte par la substitut Paule
Somers à Bruxelles, suite à nos investigations, contre R. Et
finalement, de voisins, commerçants du bas ou privés habitant dans les
étages et appartements avoisinants, confirment, sans cependant pouvoir
se fixer définitivement sur l'âge précis des jeunes hommes qui
accompagnent Monsieur le Président lors de ses visites dans cet
immeuble de la Marekelaan, que cette adresse était encore utilisée
comme lieu de rendez-vous jusqu'au moins en 1998. Nous avons également
rencontré le père de l'une des victimes de Di Rupo qui nous raconte:
"Mon fils se vantait qu'une grosse légume politique lui mettait la main
dans le slip. Ce n'est que plus tard que j'ai appris qu'il s'agissait
en fait d'Elio Di Rupo." LES NOUVEAUX TEMOIGNAGES DE DEUX FLICS
ASSERMENTES : CLASSES! Mais la preuve la plus évidente a été fournie
par 2 policiers communaux à Mons qui, en août 1989, en soirée et à deux
reprises, ont surpris Elio Di Rupo en bordure du lac du grand large de
Mons avec un gamin de 12 ans et un gamin de 13 ans dans sa voiture,
lors de rondes de contrôle qu'ils effectuèrent à cet endroit
particulièrement propice aux jeux sexuels cachés et aux rencontres
amoureuses illégitimes, voire illégales et perverses. "Les gamins
avaient le bas du corps dénudé", nous raconte l'un des policiers. Les
policiers ont évidemment relevé l'identité de l'Italo-belge et
également des enfants qui, adultes aujourd'hui, se souviennent encore
de ce qui leur arriva jadis. Les deux représentants des forces de
l'ordre n'avaient, à l'époque, pas rédigé de procès-verbal, leur
hiérarchie communale le leur ayant déconseillé. Or, ils changeront
d'avis après que nous les ayons retrouvés et se décideront finalement,
il y a 3 ans, à déposer entre les mains des services de l'officier de
police judiciaire Michel Steylemans. Ce dernier prendra leurs
dépositions et les transmettra finalement, voici deux ans, ensemble
dans un dossier complet résumant ses investigations très poussées et
très convaincantes, au conseiller Fischer de la Cour de Cassation. Avec
le résultat que nous connaissons: affaire classée … Article paru dans
l'investigateur N° 89 du 3/5/2001