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| Wavre, 30 septembre 1982 | |
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Auteur | Message |
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HERVE
Nombre de messages : 21559 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Wavre, 30 septembre 1982 Lun 10 Nov 2014 - 21:35 | |
| C'est vrai que ce n'est pas n'importe qui, cet Abbas Hamadé :
http://conflits.revues.org/145?lang=es#tocto1n3
(...)
Le Hezbollah et le clan Hamade au Liban
Les exigences des ravisseurs sont clairement exprimées dès le départ. Une de leurs deux conditions pour la libération des otages était la non-extradition de Mohamed Hamade. Ils l'obtiennent, le 24 juin 1987, par le gouvernement de Bonn. Le 7 septembre 1987, Alfred Schmidt est remis en liberté par ses geôliers. La seconde des conditions se rapportait à la libération elle-même des frères Hamade. Le Hezbollah ne l'obtient pas. Quand prend fin le procès de Abbas Hamade et lorsque commence celui de son jeune frère Mohamed, le 5 juillet 1988, le "parti de Dieu" détient encore Rudolf Cordes, son unique moyen de pression, bien que d'autres prises d'otages ne soient pas exclues, si nécessaire.
De quelles assurances disposaient les ravisseurs, de la part de Bonn à l'automne 1987, pour prendre en toute confiance une première initiative ? A moins qu'en faisant montre de leur bonne disposition, de manière unilatérale, ils aient voulu influer sur la procédure judiciaire des deux Libanais ? Quoiqu'il en soit marchandage concerté ou non -, leur décision était destinée à lier celle de leur otage au sort de Mohamed et Abbas Hamade en RFA. La libération rapide d'Alfred Schmidt peut logiquement répondre au geste politique et juridique allemand en faveur du premier des frères (la non-extradition vers les USA). Celle de Rudolf Cordes, le 12 septembre 1988, qui s'opère après le procès de Abbas et au cours de celui de Mohamed Hamade, dépend, selon toute vraisemblance, d'une négociation plus large. Les termes de cette dernière peuvent relever de trois domaines, jouant chacun un rôle déterminé pour la conduite de tractations : économique, juridique et politique. Les ravisseurs doivent se prêter à une négociation compte tenu du fait que la RFA, état de droit, ne peut transiger sur le principe de sa légitimité ou sur toute revendication qui affaiblirait sa souveraineté. De plus, ses intérêts comme ses desseins politiques, qui apparaissent modérés sur la scène proche-orienta1e, sont la source de peu de conflits et donc l'objet de "marchandages" restreints. Les termes du contrat entre les membres du Hezbollah et la République fédérale peuvent reposer avant tout sur le terrain commercialo-financier, fer de lance de la présence allemande dans la région mais également de la force et de l'identité allemandes en général. L'hypothèse d'une rançon, qui monnayerait le "bon vouloir" des ravisseurs, doit être retenue tout comme celle de promesses relatives à des contrats ou arrangements commerciaux dont bénéficieraient des pays tiers, impliqués directement ou indirectement dans les prises d'otages. Cette composante matérielle, inhérente aux clauses d'une négociation, sera vérifiée en seconde partie de cette étude, dans le cadre des différentes réponses allemandes apportées aux ravisseurs et aux états responsables des prises d'otages.
Deux autres hypothèses, qui touchent au rôle du judiciaire et du politique en RFA, permettent d'avancer l'idée que les autorités fédérales assurent les ravisseurs d'engagements allemands spécifiques à moyen terme - le facteur temps demeurant décisif pour toute crédibilité accordée à l'une ou l'autre partie engagée dans les discussions. Par exemple : l'éventuel engagement de Bonn d'"alléger" les peines des frères Hamade, dans un délai suffisamment raisonnable pour les autorités gouvernementales allemandes et suffisamment honorable pour les terroristes, pourrait expliquer que les ravisseurs libèrent Rudolf Cordes, le 12 septembre 1988, alors que le procès de Mohamed Hamade n'est pas parvenu à son terme.
Toutefois, cette opération est possible uniquement grâce au soutien des pays qui exercent une influence déterminante sur les structures du Hezbollah et sur les différents groupes qui le composent : l'Iran et la Syrie. L'Iran, pour son rôle de "tuteur" vis-à-vis du Hezbollah en tirant les ficelles de ses organisations clandestines comme le Jihad islamique ; la Syrie, en raison du contrôle stratégique qu'elle exerce dans la zone géographique où évolue le mouvement chiite, principalement à la périphérie sud de Beyrouth et à Baalbek. Ainsi, bien que le sort des otages ne dépende pas directement de Damas, aucun accord ne peut se réaliser sans son assentiment du fait de son "omniscience" au Liban12. Ces états "commanditaires", par la voix du gouvernement iranien et du président Hafez el Assad, doivent assurer eux-mêmes aux ravisseurs que certaines "garanties" ont été trouvées pour une "solution du problème des frères Hamade13.
En contrepartie, ils font pression sur les ravisseurs pour que ces derniers libèrent avant le procès leur dernier otage. Mais ces services se paient. Ils sont liés, en toute logique, à l'attitude politique de la RFA au Proche-Orient et plus précisément au traitement des affaires proche-orientales au sein de la Communauté européenne où Bonn joue un rôle non négligeable.
Il s'agira pour les responsables des prises d'otages de conduire l'Allemagne à se faire l'interprète d'intérêt(s) particulier(s) de Damas et de Téhéran ou de plaider leur réhabilitation auprès de ses partenaires de la CE. A partir de ces attentes, sinon conditions, le gouvernement fédéral aura alors à gérer un nouveau dilemme. Comment répondre à ses intérêts nationaux compatibles au demeurant avec ceux des Iraniens et des Syriens sans développer une politique de cavalier seul qui fasse défaut à tout esprit de solidarité en matière de lutte antiterroriste ou de politique européenne commune ? Le Cheikh Fadlallah, chef religieux des chiites libanais et du mouvement Hezbollah, en appelant la RFA, qui "est un état souverain" à "prendre en compte ses propres intérêts" joue sur ce dilemme. Pour lui, "les Allemands sont (suffisamment) pragmatiques et raisonnables" pour faire passer leurs intérêts nationaux avant les discours de solidarité occidentale
(...)
_ _ _
Voir aussi :
http://conflits.revues.org/758
(...)
Par ailleurs, l'implication de Franz-Joseph Strauss, ministre-président de Bavière, dans la libération de Alfred Schmidt induit deux réflexions. Elle corrobore le volet économico-commercial dans la conduite de négociations et la multiplicité de contacts entrepris avec le Hezbollah et les états "Parrains", au risque de concurrencer la diplomatie du gouvernement fédéral au profit des propres intérêts politiques du chef de la CSU. Grâce à ses rapports très étroits avec le ministre de la Défense syrien, le général Tlass, et ses contacts personnels avec le président Hafez el Assad, Franz Joseph Strauss revendique, en 1987, une partie de la responsabilité dans la libération du premier otage allemand. Cette revendication repose sur des liens particuliers avec le régime syrien, noués à travers le règlement de contrats commerciaux, en particulier dans le domaine des produits oléagineux et de l'armement. Au cours de l'année 1987, le dirigeant politique de Bavière dépêche, à Damas, son fils, Max, et un de ses proches, homme d'affaires d'envergure internationale, Dieter Holzer, afin de conclure des arrangements économiques susceptibles de constituer une base solide d'intérêts mutuels. Ces pratiques se concrétisent parallèlement aux efforts entrepris par le Gouvernement. Mais lorsque Franz-Joseph Strauss assure à Hafez el Assad qu'un des frères Hamade serait libéré à court terme, il met, à son tour en exergue, un des points cruciaux du panier des négociations : le volet juridique.
Les enjeux des procès Hamade
(...)
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| | | HERVE
Nombre de messages : 21559 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Wavre, 30 septembre 1982 Lun 10 Nov 2014 - 21:45 | |
| https://hal.archives-ouvertes.fr/file/index/docid/1053319/filename/conflits-129-04-les-attentats-de-1986-en-france-un-cas-de-violence-transnationale-et-ses-implications-partie-1.pdf
(...) Les auteurs des attentats
La nouvelle série prévue en 1987 :
Peu après la condamnation à perpétuité de Georges Ibrahim Abdallah, une nouvelle série d'attentats était prévue. Elle devait ensanglanter à nouveau Paris. A cet effet, le responsable du groupe Ali Fouad Saleh devait recevoir de Mohamed Ali Hamade, en Allemagne, du nitrate de méthyle, explosif liquide très instable, mais très puissant. Etant donné l'importance des stocks retrouvés, la série prévue aurait été sans doute bien plus longue et bien plus sanglante que celle de septembre (...)
Ils indiqueront aussi à la police le nom de code de plusieurs Libanais qui auraient, eux, commis directement les attentats puis seraient repartis. Parallèlement à ces événements, les services français recevaient de leurs homologues ouest-allemands, en janvier 1987, des renseignements concernant les liens qui existeraient entre le groupe Hamade arrêté en RFA le 13 janvier pour détention d'explosifs et le groupe français. Selon le Bundeskriminalant les explosifs d'Hamade étaient destinés au groupe parisien après un passage par Frankfort et auparavant par Chypre et le Liban. Le groupe Hamade en RFA avait en effet comme mission, semble-t-il, d'approvisionner en armes et en argent les autres groupes européens et l'on retrouvera plusieurs numéros de téléphone du groupe Fouad Saleh chez Hamade : tout d'abord celui de Ali Fouad Saleh lui-même sous le pseudonyme d'Ali el Tounsy (le Tunisien), ensuite celui de Mehdi Diab à l'adresse de Fetih Bourguiba, et, enfin, celui d'Hussein Mazbou sous la fausse identité qu'il employa à plusieurs reprises Hassan Ali. De plus le conditionnement des explosifs, les sacs servant à les transporter et les modalités de falsification des passeports sont identiques dans les deux groupes. A ce stade, il est impossible de croire à des coïncidences. Les deux groupes Hamade et Fouad Saleh coopéraient étroitement. Le groupe Hamade convoyant les explosifs (du nitrate de méthyle) jusqu'en France et de la drogue soit pour s'autofinancer, soit parce qu'un des frères Hamade au Liban dirige une filière de drogue.
(...)
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| | | CS1958
Nombre de messages : 3169 Age : 66 Localisation : LILLE Date d'inscription : 26/05/2011
| Sujet: Re: Wavre, 30 septembre 1982 Lun 10 Nov 2014 - 22:13 | |
| Selon DES INFOS.com (lié aux intérêts Israéliens), en complément:
Un rappel:
7 déc. 1985 : Deux explosions se produisent successivement au rayon vaisselle du sous-sol des Galeries Lafayette et au rayon parfumerie du rez-de-chaussée du Printemps Haussmann, faisant au total 43 blessés. L’enquête démontre la responsabilité du Hezbollah.
- 3 fév. 1986 : Une explosion au rez-de-chaussée de la galerie du Claridge, avenue des Champs-Elysées, également attribuée au Hezbollah, fait un mort et huit blessés.
- 4 fév. 1986 : Une explosion suivie d’un incendie au sous-sol de la librairie Gibert-Jeune, place Saint-Michel, blesse cinq personnes. L’acte s’inscrit également dans la liste des attentats commis par le Hezbollah en France entre décembre 1985 et septembre 1986.
- 5 fév. 1986 : Une explosion au magasin Fnac-Sport du Forum des Halles fait 22 blessés.
- 20 mars 1986 : Un attentat par explosif dans la galerie Point Show, avenue des Champs-Elysées, fait deux morts et 29 blessés. Ce jour-là, Jacques Chirac prenait ses fonctions de premier ministre de la première cohabitation.
- 12 sept. 1986 : Une explosion dans la cafétéria du magasin Casino au centre commercial Les Quatre Temps à la Défense blesse 54 personnes.
- 17 sept. 1986 : L’explosion d’une bombe devant le magasin Tati, rue de Rennes, fait un carnage : 7 morts et 55 blessés.
La mise en cause de:
Ces attentats étaient perpétrés par trois équipes du Hezbollah soutenu par l’Iran, les deux équipes du réseau logistique, celle de Hamade et celle de Fouad Saleh puis l’équipe opérationnelle dirigée par Mazbou puis par Haïdar, ces artificiers ne venaient que pour les attentats et rentraient ensuite au Liban. Voici le premier type de réponse de la théocratie au refus français.(...)
G. Faure mercredi 1er avril 2009 (extrait)
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| | | HERVE
Nombre de messages : 21559 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Wavre, 30 septembre 1982 Mar 11 Nov 2014 - 8:40 | |
| Dans le secret des présidents: CIA, Maison-Blanche, Elysée : les dossiers ...Par Vincent Nouzille Sauf erreur de ma part, c'est dans ce cadre qu'est intevenu Jean-François Etienne des Rosaies ... Ce que je sais--: Les Atrides, 1974-1988Charles Pasqua Seuil, 2007 - 300 pages (...) Jean-François Étienne des Rosaies me rendait également de précieux services. (...) |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Wavre, 30 septembre 1982 Mar 11 Nov 2014 - 10:13 | |
| si on met touts les liens des clients Dekaise postérieurs aux affaires on va avoir le MONDE
si on commence "une fois" avec son début à Wavre.
personne n'a remarqué une anomalie ? |
| | | Hubert Bonisseur de La Ba
Nombre de messages : 218 Date d'inscription : 28/10/2012
| Sujet: Re: Wavre, 30 septembre 1982 Mar 11 Nov 2014 - 10:59 | |
| - K a écrit:
-
personne n'a remarqué une anomalie ? Allez, faites vous plaisir, éclairez nos lanternes |
| | | Hoho
Nombre de messages : 1024 Date d'inscription : 17/10/2010
| Sujet: Re: Wavre, 30 septembre 1982 Mar 11 Nov 2014 - 11:29 | |
| L'ayatollah n'a pas réagi ? C'est ca l'anomalie ? |
| | | Et In Arcadia Ego
Nombre de messages : 1103 Date d'inscription : 30/03/2012
| Sujet: Re: Wavre, 30 septembre 1982 Mar 11 Nov 2014 - 11:59 | |
| Je crois que K veut parler de la date à laquelle Dekaise a obtenu sa licence. La profession d'armurier étant (en principe) réglementée... |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Wavre, 30 septembre 1982 Mar 11 Nov 2014 - 12:04 | |
| c'est bien ,
il y a un membre qui a lu le pv de l'audition Dekaise
il faut donc dater les liens...sur le diagramme
ça sert a RIEN de mettre tout dans une diagramme .
on doit y trouver le nom aussi de l'armurier copain a qui il a téléphonait presque tout les jours...
et où RAES et Bouhouche avait fait une perquisition qqs années avant
par hasard un des chargeurs de la gendarmerie saisi à ce moment là est utilisé pour saboter les trois mousqetaires de Wavre.
Même blanchis par l'auditoire militaire ils sont encore attaqués par Dépretre (procureur très Royale , dixit) comme des brigands à un moment vers début janvier 1984 ? |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Wavre, 30 septembre 1982 Mar 11 Nov 2014 - 12:27 | |
| donc trouve "une fois" ce Marchetto ds ce putain de diagramme dela super CBW comm parlement: - Citation :
- Citation:
« Vous vous êtes insuffisamment expliqués concernant la découverte chez Dekaise de deux canons dans une enveloppe de la gendarmerie. Vous en avez dit un mot mais vous n’en avez plus parlé ensuite. Comme vous le savez, c’est un point très important. Certains écrivent que vous avez échangé ces canons contre des balles pour vos revolvers. … ».
Réponse de MM. Balfroid et Bihay : « Il y a deux éléments : l’exposé que je vais faire et l’analyse qui a été faite par notre délégué syndical au vu des pièces. Je vais me permettre de vous lire mon rapport, vous aurez tous les détails : « Contrairement aux affirmations de M. Deprêtre, nous n’avons rien à voir avec ces canons. Il s’agit d’une machination ourdie par Dekaise, à l’instigation de Beijer, afin de nous empêcher de poursuivre l’enquête sur les trafics d’armes de Dekaise. Le major Mouthuy nous a alors confrontés à Dekaise. Celui-ci, s’apercevant que ses explications ne tenaient pas, a surenchéri : nous lui aurions remis des chargeurs appartenant à la gendarmerie et l’adjudant-chef Dussart serait en possession d’une arme volée. Dekaise affirmait que les canons, chargeurs et armes provenaient d’une saisie effectuée en cause de Marchetto.
Il nous est apparu par la suite que Marchetto était un ami d’enfance de Dekaise et que les Zoller et Malicieux placés sur la ligne de Dekaise laissaient apparaître qu’ils se contactaient journellement.
… A la demande de l’auditeur général, l’adjudant Triolet du détachement judiciaire, nous a interrogés sur l’affaire des canons. Laquelle enquête a établi qu’il y avait collusion entre Dekaise et Beijer — voir déclaration de Beijer au détachement militaire. » (audition du 21 févrierxxxxxxxxxxxxx |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Wavre, 30 septembre 1982 Mar 11 Nov 2014 - 12:31 | |
| et ce fabriquant de silencieux
16 :6 :81 licence armurier pour MV
(14 :10 :83 PV512/83 Bih&Balf saissisent silencieux et interrog M.V. de court st etienne mec de DEKAISE pag 195 masset) Debut fabrications moderateurs pour dekaise mi 81 pag 196
|
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Wavre, 30 septembre 1982 Mar 11 Nov 2014 - 12:34 | |
| et cherche aussi ds le diagramme aussi l'editeur des revues AMI doit être ds le diagramme car Dekaise y mettait de la publicité |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Wavre, 30 septembre 1982 Mar 11 Nov 2014 - 12:36 | |
| Pourtois , Montomery KEE, Van Baelen , schoeffer?
Dernière édition par K le Mar 11 Nov 2014 - 13:02, édité 1 fois |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Wavre, 30 septembre 1982 Mar 11 Nov 2014 - 12:41 | |
| - Dekaise s'inscrit aux régistres des armuriers dans la ville de Wavre en qualité de fabricant d'armes et de munitions et artisan d'armurier (autorisation du 22.07.82)'. (tiens et avant ? )
2 mois après il est presque mort et l'année après menacé ,
depuis xx aout 1982 Van Baelen ne va plus chez Dekaise
cessation de association avec Pourtois avec van Baelen en aout 1982
donc donc donc
si vous mettez des liens il faut mettre les dates de début et fin!!!! autrement ces diagrammes devienent salades et il ne manque que la mayonaise , des frites et des tomate-crevettes. |
| | | Cyrano
Nombre de messages : 35 Date d'inscription : 10/12/2009
| Sujet: Re: Wavre, 30 septembre 1982 Mar 9 Déc 2014 - 15:18 | |
| Je m’étonne que tout le monde semble prendre au premier degré la fameuse phrase ‘On a ce qu’on cherchait’. C’est à ma connaissance la seule fois où les tueurs ont pris la peine de donner une indication assez explicite sur le but de leur action. Tellement explicite qu’elle en devient suspecte : on peut se demander si ce n’est pas un piège gros comme une maison pour orienter les enquêteurs dans une certaine direction. Pourquoi ne pas dire ‘Nos commanditaires libanais seront contents’, tant qu’ils y étaient…
Et comme par hasard, on a peu après Vandeuren qui, selon le très fiable Bultot, se vante d’être l’un des auteurs et qui parle lui aussi de vengeance dans un trafic d’armes. C’est aussi la seule fois que quelqu’un revendique une action dans le cadre des TBW. Coïncidence ?
D’autre part, si Dekaise avait mis au point un prototype de silencieux si révolutionnaire et si recherché, est-il normal qu’il le mette dans une simple vitrine près de son comptoir ? Ça ne devrait pas plutôt se trouver dans son atelier de fabrication ou dans un endroit plus protégé ?
Même s’il a commis cette imprudence, comment les voleurs, eux, ont-ils pu croire qu’en ouvrant la première vitrine venue ils tomberaient automatiquement sur ‘ce qu’ils cherchaient’ ? S’ils étaient à la recherche d’un prototype bien précis, on s’attendrait plutôt à ce qu’ils pointent leur arme sur Dekaise (en venant de préférence à un moment où il est seul, peu avant la fermeture, par exemple) et qu’ils l’obligent à les conduire jusqu’à l’endroit où se trouvent ces fameux prototypes.
Bref, je crois plutôt à un simple vol d’armes commis par de simples truands, qui ont pris les premières armes venues et non pas ‘ce qu’ils cherchaient’. MAIS, et c’est ça qui est intéressant, des truands qui connaissaient suffisamment Dekaise pour être au courant de ses recherches et de ses relations, peut-être tendues, avec certains acheteurs ‘douteux’, libanais ou autres. Et qui ont donc délibérément prononcé la phrase en question (et obtenu plus tard le témoignage de Bultot sur Vandeuren) pour détourner les soupçons.
Il est assez tentant de voir l’ombre de Bouhouche là derrière… |
| | | lesommetdumonde
Nombre de messages : 168 Localisation : brabant-wallon Date d'inscription : 03/11/2012
| Sujet: Re: Wavre, 30 septembre 1982 Mar 9 Déc 2014 - 21:14 | |
| @ Cyrano
Vous voyez les commanditaires libanais demander à trois bonhommes d'aller avant d'attaquer l'armurerie de Wavre, d'aller voler une arme à Dinant, par la suite d'aller à Maubeuge voler ce que l'on sait. Après Wavre, aller à Beersel voler ce que vous savez. Puis vous irez voler une Saab et vous tuerez le chien de huit balles de 22lr, et avec cette voiture vous irez voler à Tamises des gilets pour aller à Nivelles voler du café, des pralines etc...
Cyrano, sans vous offenser, restons sérieux.
Lorsque les auteurs disent on a ce que nous voulions, et oui dans une armurerie, il y a des armes. Ce qu'ils étaient venus chercher. Ils en ont assez, ils peuvent quitter les lieux.
Quant à Vandeuren, là vous ne dite pas la vérité, bien d'autres se sont vantés d'avoir fait partie de la bande. Vous pouvez constater qu'aucun d'eux n'a été inculpés. A l'exception de PH. D.
Vous pensez qu'il étaient à la recherche d'un prototype d'arme sophistiquée, pour faire quoi, aller voler des bouteilles de champagne, du vin, des assiettes, etc et tuer un pauvre homme dans son lit à Beersel. Pour par la suite aller voler du café à Nivelles etc...
Pour parler de Bouhouche, je pense que la justice à suffisamment travailler sur lui, pour le laisser reposer en paix. Il a manipulez l'enquête des tueries, mais uniquement par intérêt personnel. Il a joué avec certains enquêteurs qui se sont laissés manipuler. Mais rien ne prouve qu'il avait des liens avec les tueurs. Et s'il en avait eu, l'affaire serait déjà résolue, car le bonhomme aurait crié bien haut et fort que grâce à lui l'enquête était résolue. Questionner Bayer, il pourra vous éclairer.
Avec le plaisir de vous lire.
Bien à vous.
|
| | | Cyrano
Nombre de messages : 35 Date d'inscription : 10/12/2009
| Sujet: Re: Wavre, 30 septembre 1982 Mar 9 Déc 2014 - 22:23 | |
| - lesommetdumonde a écrit:
- @ Cyrano
Vous voyez les commanditaires libanais demander à trois bonhommes d'aller avant d'attaquer l'armurerie de Wavre, d'aller voler une arme à Dinant, par la suite d'aller à Maubeuge voler ce que l'on sait. Après Wavre, aller à Beersel voler ce que vous savez. Puis vous irez voler une Saab et vous tuerez le chien de huit balles de 22lr, et avec cette voiture vous irez voler à Tamises des gilets pour aller à Nivelles voler du café, des pralines etc...
Cyrano, sans vous offenser, restons sérieux. Mais personne - et encore moins moi - n'a jamais dit que des Libanais auraient commandité tous les actes des TBW ! Ce n'est pas du tout ce que j'ai dit. C'est seulement dans le cas précis de Wavre que la "piste libanaise" (ou plus largement: la piste d'un règlement de comptes dans le cadre d'une commande d'armes qui se serait mal passée) est évoquée. Vous en trouverez plusieurs échos dans les 53 pages de ce fil... Vous constaterez aussi que la phrase "On a ce qu'on cherchait" est l'un des arguments, parmi d'autres, qui est cité à l'appui de cette thèse. A moins que j'aie mal lu, personne ne semble penser que cette phrase ait pu être prononcée intentionnellement, comme fausse piste. Ce que je dis, c'est qu'il est curieux que, pour une fois, les tueurs glissent une allusion sur leurs mobiles et que ce n'est peut-être pas anodin. Donc, pour être clair: je ne crois pas à des commanditaires libanais, ni de manière générale dans le cadre des tueries (comme tout le monde), ni même dans le cas de Wavre (et là, tout le monde n'est pas d'accord). |
| | | lesommetdumonde
Nombre de messages : 168 Localisation : brabant-wallon Date d'inscription : 03/11/2012
| Sujet: Re: Wavre, 30 septembre 1982 Mar 9 Déc 2014 - 22:38 | |
| @ Cyrano
Je vous demande de m'excuser, j'avais mal interprété vos écrits dont question.
Bonne nuit et bien à vous |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Wavre, 30 septembre 1982 Mar 9 Déc 2014 - 23:06 | |
| cette phrase ne semble pas etre entendu par dekaise car il etait grogy
ll me semble avoir lu cela qu'il ny a que un témoin à l'interieur qui a déclaré cela et je pense même que cette piste n'a été suivi que vers mars 1983 quand les mousqetaires ont recommencé à zero
ils l'ont proposé à leur chef Duterme et celui ci aurait dit : vous y travaillez jusqu'à votre retraite si vous voulez !
c'est que à ce moment que ils ont suivi la piste des moderateurs puis les ont pris chez Vaj mais ... |
| | | Cyrano
Nombre de messages : 35 Date d'inscription : 10/12/2009
| Sujet: Re: Wavre, 30 septembre 1982 Mer 10 Déc 2014 - 10:26 | |
| @ Sommetdumonde: aucun problème, bonne journée à vous aussi.
@K: phrase entendue par un des deux clients au moment où les voleurs partaient, Dekaise était effectivement sans connaissance à ce moment-là.
Mais en plus de cette phrase, peut-être mal entendue, je trouve vraiment étonnant que, s'ils étaient venu chercher quelque chose de bien précis et sans doute de confidentiel, comme un nouveau concept de silencieux, ils l'aient trouvé comme ça, dans une simple vitrine du magasin.
Pour moi, s'ils ont vraiment dit cette phrase, alors "ce qu'on cherchait"= les armes volées, et donc ce n'est pas non plus la piste des commanditaires libanais, des silencieux révolutionnaires etc.
"Chez Vaj" = ? Vous utilisez souvent des abréviations, ce n'est pas toujours facile à suivre... TBW : OK mais si je mets FAA pour Faez Al Ajjaz, on risque de ne pas comprendre! |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Wavre, 30 septembre 1982 Mer 10 Déc 2014 - 11:36 | |
| Je veux pas utiliser les noms complètes pour mes pensées car souvent ils se reveillent fausses et ils seront effacés peu après.
il suffit de lire qqs bouqins pour suivre : il s'agit d'un copain Tjech d'où le nom , armurier aussi habitant en belgique, qui fabrique les silencieux pour dekaize qui en est l'inventeur
ici il manque qqs lettres et j'ai la flème de chercher mais c'est in "c " qui manque au moins |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Wavre, 30 septembre 1982 Mer 10 Déc 2014 - 11:40 | |
| allez ds mon timeline
16 :6 :81 licence armurier pour MV
(14 :10 :83 PV512/83 Bih&Balf saissisent silencieux et interrog M.V. de court st etienne meccano pour DEKAISE pag 195 masset) Debut fabrications moderateurs pour dekaise mi 81 pag 196
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| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Wavre, 30 septembre 1982 Mer 10 Déc 2014 - 11:51 | |
| les noms sont souvent écrits de plusieures façons
pour moi le TEMPS est plus important car c'est difficile de re-écrire les évènements
si tu mets toutes les timelines des bouquins et articles de presse ensemble en word un peu par mois, semaine cela vous procure un bon paquets de données mais il faut le faire ici et là un peu ,sinon cela devient ennuyant
puis vous vous serviez de votre ordinateur pour chercher sans vous fatiguer.
c'est à cela que sert un ordinateur mais il faut le faire bouffer puis il remue à votre place des recherches des évènements.
mais il faut 12Mbytes de mémoire autrement cela fait tuut tuut |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Wavre, 30 septembre 1982 Mer 10 Déc 2014 - 11:56 | |
| puis pour retourner au silencieux
vu la date on voit clairement que l'histoire du saissit des silencieux se passe plus d'une année après l'attaque de chez dekaize
donc où est l'importance de la phrase exprimée c'est que personne ni dekaise ni les clients y ont vu qqs chose importants ou ils l'ont voulu cacher cette fabrication .... qui était au final LEGAL (voir masset) |
| | | arthur29923
Nombre de messages : 509 Date d'inscription : 08/07/2015
| Sujet: Re: Wavre, 30 septembre 1982 Lun 27 Juil 2015 - 5:07 | |
| - B.R. a écrit:
- michel-j a écrit:
- @ Kranz;
Il existe une "subtilité" très curieuse dans la législation Belge concernant les armes "autorisées" ou pas en ces temps là ( surement les mêmes qu'aujourd'hui, mais sous forme différente).
Par exemple, vous aviez à l'époque des copies d'armes de guerre en vente libre parce que le canon dépassait une certaine longueur... parce qu'elles ne tiraient pas en mode "automatique" (en fait, semi-automatique)... parce que la crosse n'était pas pliable... mais dont les munitions, par contre, étaient soumises (ou pas) à autorisation !
Absurde mais tout à fait réel !... Comme certaine copie Armalite de fusils de guerre chambrées en 7,65... plutôt qu'en 7,62 ! Un coup de lime suffisant à les transformer en "automatique" tout à fait performant !
Résultats de tractations mystérieuses entre producteurs, vendeurs... et accros au pinard servi au pot plutot qu'au verre ! Permettez-moi d'ajouter un exemple à l'intention de Kranz... Ce que personne ne sait et encore moins les enquêteurs... : Dans l'affaire Vernaillen, ce sont des fusils cal.223 RM qui ont tiré. En réalité, ce sont des armes AR15 cal 222 RM achetées en vente libre (à l'époque) qui ont été utilisées. Mais elles ont été transformées par Dekaize en cal 223 RM, ce qui était un jeu d'enfant pour Dekaize. De telle sorte que les enquêteurs ont toujours cherché des 223 RM. Pourquoi les avoir transformées? Simplement parce qu'il y avait trop d'enrayages en 222 RM, l'arme AR15 étant faite en principe pour du 223 RM factory. D'autre part, cela permettait de brouiller les pistes! L'AR-15 est basé sur l'AR-10 calibre 7,62 mm, conçu par Eugene Stoner, L'AR- 15 a été développé comme une version allégée, au calibre 5,56 mm de l'AR-10. L'original AR- 15 est une arme très légère, pesant moins de 2,7 kilos avec chargeur vide. équipées d' un canon lourd peuvent peser plus de 3,8 kg. la qualité de l'aluminium 7075-T6 venant de l'industrie aéronautique qui est léger, très résistant à la corrosion, et usinable Citation : Bouten : Chez l'armurier Dekaize on a trouvé le canon (?loop) d'une arme à feu dans une enveloppe de la gendarmerie, qui provenait d'une perquisition chez l'armurier Marchetto. Balfroid et Bihay voulaient soi-disant le monnayer. Il s'agit donc de corruption. Deprêtre : Oui, je persiste et signe, en âme et conscience. Bouten : Vous avez utilisé cela pour les écarter de l'enquête. Mais par après il est apparu que Beijer avait procuré ce canon (?) à Dekaize dans le but de discréditer ses collègues de Wavre. Carrière militaire de l'AR-10Utilisé intensivement lors des guerres coloniales portugaises, il s'y montra précis et fiable. Ces armes venaient des Pays-Bas via une société bruxelloise. Néanmoins, les Forces armées portugaises lui préférèrent le HK G3. Quelques-uns de ces AR-10 lusitaniens connurent ensuite les guerres civiles angolaises et mozambicaines. https://fr.wikipedia.org/wiki/AR-10 |
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| | | | Wavre, 30 septembre 1982 | |
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