Vague d'attentats au Luxembourg

kowalski a écrit:

at "notre" marco mill

il se faut méfier du wort ticker; surtout moi, j'aurais dû le savoir

Et oui quand on suit le procès en direct et sur Ticker on constate bien des divergences entre les deux.
Celui qui a le plus d'expérience c'est le reporter du Tageblatt Overdick. Il a lui suivi une formation de commando et c'est un des rares qui sait de quoi il parle

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Finn Overdick, un ancien commodo? c'est une blague?

kowalski a écrit:

Finn Overdick, un ancien commodo? c'est une blague?

Demande le la prochaine fois que tu seras au tribunal!

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Je ne comprends pas la démarche de la défense ! Citer un (mon) message du forum ! Qu'ils demandent tout simplement aux journalistes de RTL et de 100,7 qui sont présents au procès ! Ils pourront leur donner tout, sauf l'identité de leur source bien sûre !

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http://www.lemonde.fr/europe/article/2014/05/08/italie-arrestation-d-un-ex-ministre-de-silvio-berlusconi_4413548_3214.html

Mafia : arrestation d'un ex-ministre de Silvio Berlusconi

Le Monde.fr avec AFP | 08.05.2014 à 10h49 • Mis à jour le 08.05.2014 à 11h14

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deleted by user

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Donc je ne savais pas que Hellinckx a été auditeur militaire; donc procureur militaire!

http://www.lequotidien.lu/bommeleer/56363.html

2014-05-13 22:26:00

Jacques Santer: «Vous étiez le chef!»

C'est la phrase qui a été répétée à plusieurs reprises à Jacques Santer. aujourd'hui lorsqu'il a fait référence à la responsabilité des différentes administrations.

De notre journaliste
Fabienne Armborst

À l'occasion de la 166e séance du procès Bommeleeër aujourd'hui, la chambre criminelle a entendu Jacques Santer, Premier ministre et responsable politique du SREL à l'époque des attentats. Pour lui, c'est le Comité permanent de sécurité (CPS) qui était en charge de l'affaire.

Àl'époque des attentats, Jacques Santer était ministre d'État et des Finances. Selon lui, suite aux premiers attentats, il avait tout de suite été décidé de réunir le Comité permanent de sécurité (CPS). Ce CPS se trouvait sous la responsabilité politique du ministre de la Justice, Robert Krieps, et était dirigé par le chef de la gendarmerie. Les attentats n'auraient pas été beaucoup abordés au Conseil de gouvernement, mais plutôt évoqués en marge.

En ce qui concerne l'échange des informations avec la gendarmerie, Jacques Santer a expliqué que c'était le ministre de la Justice, Robert Krieps, qui était son interlocuteur, les deux n'étant pas satisfaits de l'enquête. Robert Krieps lui aurait transmis le sentiment qu'il y avait un dysfonctionnement.

En tant que ministre d'État, Jacques Santer était également le responsable politique du SREL. D'après lui, le service de renseignement ne pouvait pas prendre d'initiative dans l'enquête pénale mais le pouvait au CPS, dont il était membre. Jacques Santer a expliqué avoir régulièrement rencontré Charles Hoffmann, directeur à l'époque du SREL. Ce dernier se serait plaint d'être laissé à l'écart au CPS.

Interrogé par Me Lydie Lorang, sur la raison pour laquelle il n'était pas intervenu pour une meilleure coopération entre les différentes entités, Jacques Santer a expliqué ne pas en avoir eu la possibilité. «Qui d'autre aurait pu mettre les points sur les i au colonel Harpes? Vous étiez le chef!», s'est interrogé la présidente de la chambre criminelle, Sylvie Conter.

Le procureur d'État adjoint, Georges Oswald, quant à lui, est revenu sur une déclaration de Jacques Santer. Il y indique avoir demandé à un certain moment le rapport de synthèse sur l'enquête du Bommeleeër du SREL. Pour le procureur, une sorte de preuve que le SREL était, d'une certaine manière, actif.

À la barre, Jacques Santer a toutefois expliqué ne pas se souvenir avoir vu un tel rapport. En revanche, il a eu l'occasion d'en discuter avec le chef du service secret, Charles Hoffmann, qu'il rencontrait au moins tous les trois mois.

Malgré son insistance, la chambre criminelle n'a toutefois pas pu savoir ce que Charles Hoffmann avait raconté au témoin. «Je ne peux pas me rappeler exactement» est tout ce qu'il a donné comme réponse.


Pourquoi Hellinckx a-t-il été indemnisé ?

Jacques Santer n'a rien entendu non plus au sujet de l'observation Geiben qui avait eu lieu le week-end de l'attentat contre le Palais de justice (19 octobre 1985). C'est seulement en 2004 qu'il l'aurait appris.

Dans le cadre des attentats, il avait été décidé en octobre 1985 la création d'une banque de données. Le Premier ministre de l'époque ne semble toutefois pas s'être intéressé au suivi de cette décision : «J'avais la responsabilité politique, mais je n'étais pas le directeur des différentes instances.» La chambre criminelle regrette sur ce point «l'absence de suivi» du Premier ministre.

La présidente de la chambre criminelle a également interrogé le témoin sur les raisons de l'indemnisation du notaire Hellinckx (les Hellinckx avaient été la cible de l'attentat du 16 février 1986). Jacques Santer a pu confirmer l'indemnisation, mais ne se rappelle pas l'explication. En principe, c'est celui qui cause les dommages qui indemnise. Dans ce sens, la présidente note : «Par cette indemnisation forfaitaire, l'État accepte une certaine responsabilité.» Jusqu'à présent, l'auteur de l'attentat n'a toujours pas été identifié.

Hilarité générale dans la salle d'audience hier avec J. Santer.
Du surréalisme à chier des bulles que ça devenait plus que pénible: insupportable!
Merci Jacques pour le grand cirque.
C'était très fort.

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Intéressant, Hellinckx en tant que auditeur militaire. Il faudrait rechercher les affaires disciplinaires qu'il a traité dans cette période ! D'un autre côté c'est surprenant de voir qu'il a démissioné après un an ! Que c'est-il passé ? Il ne faut pas perdre des yeux le fait que Hellinckx a également été membre de la commission d'enquête de l'affaire dite du siècle (une geurre des polices) et d'une commission de réforme de la force publique.

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http://www.lequotidien.lu/bommeleer/46012.html

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Me Gaston Vogel revient d'abord sur l'attentat du 16 février 1986 contre la maison du notaire Camille Hellinckx. L'avocat de Marc Scheer fait référence au témoignage d'un couple qui aurait confirmé que les voisins directs du notaire se seraient vu indemniser les dommages que la bombe a provoqués sur leur maison par l'assurance de Hellinckx. «Pourquoi l'assurance aurait-elle versé cette indemnité? Le jour où on aura éclairci ce mystère, on aura mis la main sur les véritables poseurs de bombes», a souligné hier l'avocat, qui a également rappelé que l'indemnisation rapide du notaire par l'État restait suspecte.

(...)

Quel était le nom de la compagnie d'assurance ?

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