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| Stay-Behind (OTAN & CIA) / Gladio (Italie) | |
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+57oro Gurkhov Limir Etienne C.P. GODFROID Denis Hoho Mathieu cobra Tahchak LV1985 Galahad arthur29923 AS1987 lrsn fanta guy mayeu Whoknows lrnt Niet Simpel totor ginlo CLEMENTL. g.damseaux pierre romeo luanda Et In Arcadia Ego pami75 Cheshire cat David Hubert Bonisseur de La Ba K CS1958 rob1 Willy-Nilly Saint Val dentifrix aurore FAITESVITE Kranz Jo001 alain De Paris dim jc1243401 Jean Marchenoir dislairelucien billbalantines Marlair Jean-Claude michel VicarInAspic Henry Trisch michel-j SiscoF 61 participants | |
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HERVE
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| Sujet: Re: Stay-Behind (OTAN & CIA) / Gladio (Italie) Ven 31 Mar 2023 - 17:47 | |
| Quelques extraits des publications du Centre Manlio Brosio de Turin... (traduction) PRÉFACE La contribution du libéralisme à la résolution des problèmes de la société moderne passe par la réaffirmation réconfortante des valeurs originelles des sociétés capitalistes et bourgeoises et exclut tout compromis avec les valeurs originelles de la gauche. Telle est la position fondamentale du Centre Manlio Brosio, en opposition ouverte et claire à celle des différents libéralismes de gauche, des soi-disant "libéraux", des radicaux ou des libéro-socialistes. Le Centre organise donc une série de rencontres avec la conviction que la crise du libéralisme en Italie est une crise culturelle et que, comme le soutiennent depuis longtemps Sergio Ricossa et Antonio Martino, elle est la conséquence de l'abandon par les libéraux de leur philosophie politique. Le fait est d'autant plus grave aujourd'hui que cet abandon, largement due à des considérations d'opportunité politique contingente, a été et reste un sacrifice de positions intellectuelles valables en hommage à un accord avec une gauche intellectuellement en crise. Les caractéristiques et les références constantes de la philosophie politique de la gauche ont été, pendant une longue période de l'histoire, la politisation totale, avec la prépondérance du public sur le privé et l'expansion illimitée de l'État interventionniste, avec la prépondérance de la contrainte idéologique sur la liberté de choix individuel. (...) |
| | | HERVE
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| Sujet: Re: Stay-Behind (OTAN & CIA) / Gladio (Italie) Ven 31 Mar 2023 - 19:05 | |
| Le centre Manlio Brosio ... et Léo Tindemans _ _ _ _ _ _ _ https://www.levif.be/belgique/la-carriere-politique-de-leo-tindemans/ (...) Il revient au gouvernement en 1981, comme ministre des Affaires étrangères dans l’exécutif Martens V. Il y reste huit ans au travers de mandats marqués par une politique atlantiste, résistant notamment aux gigantesques manifestations pacifistes des années ’80 contre l’installation en Belgique des missiles américains. (...) |
| | | HERVE
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| Sujet: Re: Stay-Behind (OTAN & CIA) / Gladio (Italie) Ven 31 Mar 2023 - 19:26 | |
| Un autre contributeur : David M. Abshirehttps://en.wikipedia.org/wiki/David_Manker_Abshire (...) Ambassador to NATO In 1983–1987 Abshire was Ambassador to NATO where, in reaction to the threat posed by Soviet SS-20 missiles, he was appointed to oversee the deployment of Pershing and Cruise missiles. For his service, he was given the Distinguished Public Service Medal.[11] Special Counselor to President Reagan Abshire was recalled as the Iran-Contra Affair unfolded to serve as Special Counselor to President Reagan with Cabinet rank.[12] His charge was to assure a full investigation of the sale of arms to Iran so as to restore the confidence of the nation in the Reagan presidency. (...) _ _ _ https://www.washingtonpost.com/wp-dyn/content/article/2006/04/06/AR2006040602321.html (...) |
| | | HERVE
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| Sujet: Re: Stay-Behind (OTAN & CIA) / Gladio (Italie) Sam 1 Avr 2023 - 11:36 | |
| https://www.cvce.eu/obj/pierre_werner_joseph_luns_et_leo_tindemans_lors_de_la_reunion_ministerielle_de_l_otan_luxembourg_17_mai_1982-fr-481ac2ff-a2ae-49fc-af98-b54aeb5404c2.html Le 17 mai 1982, Pierre Werner (à gauche), président du gouvernement luxembourgeois, Joseph Luns (au milieu), secrétaire général de l’Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN), et Leo Tindemans (à droite), ministre des Relations extérieures de la Belgique, se rencontrent lors de la réunion ministérielle de l’OTAN au Luxembourg. |
| | | HERVE
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| Sujet: Re: Stay-Behind (OTAN & CIA) / Gladio (Italie) Lun 3 Avr 2023 - 11:24 | |
| https://www.knack.be/nieuws/belgie/politiek/wat-is-het-gevolg-wanneer-een-land-zijn-recente-eigen-misdadige-geschiedenis-ontkent/
Opinie
‘Wat is het gevolg wanneer een land zijn recente eigen misdadige geschiedenis ontkent ?
Walter De Smedt Strafrechter op rust, enige Belg die ooit zowel lid was van het Comité P als het Comité I
(traduction)
Quelle est la conséquence lorsqu'un pays nie sa propre histoire criminelle récente ?
Une politique qui nie la vérité sape sa propre crédibilité", écrit Walter De Smedt. Il rappelle que de nombreuses questions restent sans réponse en ce qui concerne le dossier des tueurs du Brabant et son influence sur l'histoire récente de la Belgique.
Se référant à la série télévisée " 1985 ", Walter Pauli énumère, en six (sic) épisodes sur Knack Be, ce qui s'est passé dans ce pays entre 1972 et 1998, pendant les "longues années 80" : un coup d'État déjoué, un réseau secret Gladio et une série de crimes commis par des organisations d'extrême-gauche et d'extrême-droite.
(...)
Bien que les enquêtes parlementaires sur le réseau Gladio et sur les tueurs du Brabant n'aient pas abouti et que de nombreuses recherches puissent encore être effectuées, elles ont soudainement pris fin. Le ministre de la justice, Koen Geens, et le procureur général de Valkeneer ont dû reconnaître publiquement que l'enquête avait été manipulée. Dans l'affaire Dutroux, les opérations privatisées et secrètes de la gendarmerie, bien qu'incontournables et conduisant d'ailleurs aux pires "dysfonctionnements" imaginables, ont été épargnées dans la prise de décision. Ce qui a été tenu à l'écart du procès d'assises s'est retrouvé dans le dossier bis. Lorsque l'enquête se poursuit au sein du Comité permanent P à partir de la documentation de Francis Dossogne, dirigeant du Front de la Jeunesse, les enquêteurs sont accusés d'abus de pouvoir et le procès est interrompu. Au Comité permanent I, l'enquête d'un commissaire sur le rôle réel du baron noir de Bonvoisin est bloquée par le président et l'enquêteur est écarté de la manière la plus inconvenante.
(...)
Personne ne peut nier l'impérieuse nécessité d'apporter tout le soutien possible au peuple ukrainien dans l'épreuve de force entre le monde libre et la dictature de Poutine. Toutefois, le fait que la reprise de la guerre froide menace maintenant de devenir une nouvelle conflagration mondiale ne devrait pas être une raison pour étendre la deuxième facette fortement sous-estimée du traité de l'OTAN, l'action des agences de renseignement secrètes qui y sont liées, pour en faire un assujettissement obscur de notre propre politique. L'abdication de souveraineté accordée au réseau de renseignement de l'OTAN par le Premier ministre Spaak à l'époque, qui a fait de lui le secrétaire général de l'institution, ne doit pas être une raison pour sacrifier nos libertés constitutionnelles au nom de ce réseau, pour transformer l'action judiciaire dans les affaires criminelles en une opération de renseignement et pour limiter les attributions et les compétences de ceux qui sont chargés de la surveiller.
Le danger d'une telle réforme sociétale n'est pas seulement à chercher dans les articles ou les livres écrits à ce sujet par de solides journalistes d'investigation. On le comprendra encore mieux en lisant l'ensemble (et très volumineux) du dossier des tueries. Mais cette lecture est l'apanage de ceux qui ont maintenu le dossier inaccessible depuis plus d'un quart de siècle.
Pendant ce temps, nous aussi, nous restons dans le "dysfonctionnement". Qui aurait cru qu'on en arriverait un jour à la prise d'assaut du Capitole ? Faut-il vraiment en arriver là pour que les coupables d'une politique erronée soient inculpés, que les dossiers secrets soient déposés sur la table du juge et que les citoyens puissent voir et entendre, lors d'un procès public, comment ils ont été trompés depuis le début ?
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| | | HERVE
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| Sujet: Re: Stay-Behind (OTAN & CIA) / Gladio (Italie) Mar 11 Avr 2023 - 10:57 | |
| https://www.gettyimages.fr/vid%C3%A9os/lyman-lemnitzer?assettype=film&phrase=lyman%20lemnitzer 13 vidéos et rushes de Lyman Lemnitzer59 Images - 6 Evénements https://www.google.com/search?q=lyman+Lemnitzer&sxsrf=APwXEddiHyhw4S45XVPgl_EBc7GRUDY73A:1681203948323&source=lnms&tbm=isch&sa=X&ved=2ahUKEwjAtYnhvKH-AhULLOwKHWVeAPIQ_AUoAXoECAIQAw&biw=1536&bih=775&dpr=1.25 Voir aussi : The Secret SurrenderAllen Dulles (1966) Note : in March 1945, Nazis and Allies met in the picturesque Ticino village of Ascona for secret surrender negotiations. et https://abcnews.go.com/US/story?id=92662 U.S. Military Wanted to Provoke War With Cuba |
| | | HERVE
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| Sujet: Re: Stay-Behind (OTAN & CIA) / Gladio (Italie) Jeu 13 Avr 2023 - 9:08 | |
| https://www.antimafiaduemila.com/home/mafie-news/254-focus/94813-la-strategia-della-tensione-e-i-legami-tra-destra-eversiva-mafia-e-massoneria-deviata.html
La strategia della tensione e i legami tra destra eversiva, mafia e massoneria deviata
11 Aprile 2023
(traduction du début de l'article)
La stratégie de la tension et les liens entre droite subversive, mafia et franc-maçonnerie déviante
Juges de Bologne : "Stefano Delle Chiaie était chez lui dans les bureaux des Affaires Réservées".
Le massacre de Bologne fait partie de ce mécanisme propre à la stratégie de la tension qui a commencé le 25 avril 1969, jour où deux bombes ont explosé : la première a explosé à 18 h 57 dans le tunnel de sortie du pavillon Fiat de la foire de Milan, un lieu toujours plongé dans la pénombre parce qu'on y projetait des diapositives. La seconde a explosé à 20h45 à la gare centrale, dans le bureau de change du Banco Nazionale delle Comunicazioni, situé dans la galerie supérieure.
Le 12 décembre, il y a également eu le massacre de Piazza Fontana.
Cette stratégie avait une double intention : les manœuvres néofascistes visaient à provoquer un tournant autoritaire en Italie, tandis que leurs inspirateurs - "les stratèges de la stratégie de la tension", comme les a définis Aldo Moro en 1978 dans ses mémoires de captivité - voulaient déstabiliser l'ordre public afin de stabiliser l'ordre politique de manière à favoriser un tournant dans une direction modérée, en affaiblissant les communistes.
Dans les motivations de la condamnation au premier degré, les juges ont soutenu avec des "preuves granitiques" que le néo-fasciste Paolo Bellini était également présent à Bologne le matin du 2 août, le cinquième homme du massacre après Valerio Fioravanti, Francesca Mambro et Luigi Ciavardini, définitivement condamnés, et Gilberto Cavallini, reconnu coupable jusqu'à présent seulement en première instance, tout comme Bellini.
Mais outre les néo-fascistes, il y avait aussi d'autres "entités" derrière le mécanisme de la stratégie de la tension.
Procédons dans l'ordre.
La figure de Federico Umberto D'Amato dans l'analyse du Procureur général de la République
La figure de Federico Umberto D'Amato, le puissant directeur du Bureau des affaires réservées du ministère de l'Intérieur de 1971 à 1974, émerge fortement à la lecture de la sentence.
"Il a déjà été dit que Federico Umberto D'Amato était affilié à la loge maçonnique P2 et qu'il était en contact personnel avec le "patron" Licio Gelli, même pendant la fuite de ce dernier en Suisse.
La thèse du ministère public est que le projet "stragiste" de Licio Gelli a été repris par le binôme Federico Umberto D'Amato - Mario Tedeschi, mentionné dans le Document/Annexe de Bologne comme bénéficiaire de fonds de la part de Gelli. Les deux hommes étaient unis non seulement par l'amitié, mais aussi par une longue collaboration au sein des services de renseignement, dont témoigne le livre de Lando Dell'Amico 'La leggenda del giornalista spia', acquis dans les actes du procès.
Les juges rappellent également que "les services secrets italiens, militaires et civils, avaient comme points de référence respectifs les deux organisations subversives de droite : Ordine Nuovo travaillait avec les militaires ; Avanguardia Nazionale avec l'Ufficio Affari Riservati.
Cette répartition des tâches a été évidente dans l'affaire de la Piazza Fontana, où l'action a été menée par ON avec ses connexions parmi les militaires, tandis que la tromperie envers les anarchistes a été organisée, dirigée et gérée, comme les sources historiques l'attestent désormais avec certitude".
Sur ce point, l'ancien magistrat Giuliano Turone est explicite : "L'autre groupe néo-fasciste, Avanguardia nazionale, fut particulièrement efficace dans l'infiltration de ses militants dans les groupes d'extrême gauche (Mario Merlino, infiltré chez les anarchistes, en fut le plus connu). Ce groupe, fondé et dirigé par Stefano Delle Chiaie, établit des relations étroites avec le Bureau des affaires réservée (UAR), le "service secret" du ministère de l'Intérieur, dirigé par le puissant Federico Umberto D'Amato, dont il reçoit l'aide financière et la protection". "Delle Chiaie, lit-on, était chez lui dans les bureaux de l'UAR, de l'aveu même de Federico Umberto D'Amato". Il existe de nombreux témoignages à ce sujet, dont celui du général Gianadelio Maletti, ancien chef du département de contre-espionnage de la Sid : "La protection était assurée à Delle Chiaie par le Bureau des affaires réservées et surtout par son chef, le docteur D'Amato". Ordine nuovo, en particulier, était en contact étroit avec les services de renseignement américains et avec les services de renseignement des bases de l'OTAN. Pino Rauti lui-même, dans des déclarations faites lors du procès de Piazza Fontana en 2000, l'a admis : "Il est possible que dans Ordine nuovo il y ait eu des épisodes de contiguïté et de collaboration avec les Américains de la CIA". Et sur ce point, il y a aussi les dépositions de certains officiers supérieurs de nos forces armées, comme le général Emanuele Borsi : "Ordre nouveau était une structure soutenue par les services de sécurité de l'OTAN avec des tâches de guérilla et de renseignement" ; et le général Umberto Nardini : "Nous connaissions l'existence d'une organisation paramilitaire, Ordre nouveau, soutenue par les services de sécurité de l'OTAN".
(...)
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| | | HERVE
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| Sujet: Re: Stay-Behind (OTAN & CIA) / Gladio (Italie) Jeu 13 Avr 2023 - 10:43 | |
| The Secret SurrenderAllen Dulles (1966) |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Stay-Behind (OTAN & CIA) / Gladio (Italie) Sam 15 Avr 2023 - 10:53 | |
| (2013) In addition to firing Allen Dulles, Richard Bissell and Charles Cabell, the president made an attempt to immediately deal with the CIA and redefine its mandate by issuing two new National Security Action Memoranda (55 and 57) on June 28, 1961, whereby he stripped the CIA of its covert military operational capacity and put it back into the hands of the Pentagon and the Joint Chiefs of Staff - at least on paper. Ultimately, the memoranda may not have changed anything, other than to incur the further wrath of CIA higher-ups. Kennedy then moved "quietly", according to historian Arthur Schlesinger Jr., "to cut the CIA budget in 1962 and again in 1963, aiming at a 20 percent reduction by 1966." So bold were these moves, according to L. Fletcher Prouty, they shocked the entire national security apparatus. It was the beginning of a "dead man walking" in the White House. Indeed. Allen Dulles, the man who extracted the final revenge - the man who Mary Meyer once compared to "Machiavelli, only worse" - inadvertently let it slip to a young editor many years later what he really thought: "That little Kennedy ... he thought he was a god". Little did Dulles understand his statement was just his own psychological projection. It was Dulles himself who, for nearly twenty years, "thought he was a god", as he and his CIA imperium pillaged the integrity of American democracy. On July 20, 1961, during heightened tensions over Berlin, President Kennedy attended a National Security Council meeting. He listened attentively as the Joint Chiefs of Staff, including General Lyman Lemnitzer and Allen Dulles, who was still in charge at the CIA; presented a plan for a first-strike, preemptive nuclear attack on the Soviet Union that would take place in late 1963, 237 Mary's Mosaic preceded by a well-orchestrated series of events designed to produce "heightened tensions" between the two superpowers. The scheme for "heightened tensions" was eventually codenamed "Operation Northwoods", and it had the written approval of all the Chiefs of Staff in the Pentagon. According to author James Bamford, who first reported it in his bestselling book Body of Secrets (2002), "the plan called for innocent people to be shot on American streets ; for boats carrying refugees fleeing Cuba to be sunk on the high seas ; for a wave of violent terrorism to be launched in Washington. D.C., Miami. and elsewhere. People would be framed for bombings they did not commit ; planes would be hijacked. Using phony evidence, all of it would be blamed on Castro, thus giving [General] Lemnitzer and his cabal [at the Pentagon] the excuse as well as the public and international backing, they needed to launch their war. Sound familiar? We need only to remember how President George W. Bush - under the direction of Dick Cheney and Donald Rumsfeldt - took us into a war with Iraq under false pretenses. (traduction) Outre le licenciement d'Allen Dulles, de Richard Bissell et de Charles Cabell, le président a tenté de s'attaquer immédiatement à la CIA et de redéfinir son mandat en publiant deux nouveaux mémorandums d'action sur la sécurité nationale (55 et 57) le 28 juin 1961, par lesquels il a dépouillé la CIA de sa capacité opérationnelle militaire secrète et l'a remise entre les mains du Pentagone et de l'état-major interarmées - du moins sur le papier. En fin de compte, les mémorandums n'ont peut-être rien changé, si ce n'est qu'ils se sont attirés les foudres des hauts responsables de la CIA. Selon l'historien Arthur Schlesinger Jr, Kennedy a alors entrepris "discrètement" de réduire le budget de la CIA en 1962, puis en 1963, avec pour objectif une réduction de 20 % d'ici à 1966. Selon L. Fletcher Prouty, ces mesures étaient si audacieuses qu'elles ont choqué l'ensemble de l'appareil de sécurité nationale. C'était le début d'un "homme mort qui marche" à la Maison Blanche. En effet, Allen Dulles, l'homme qui a pris la revanche finale - l'homme que Mary Meyer a un jour comparé à "Machiavel, mais en pire" - a laissé entendre par inadvertance à un jeune rédacteur en chef, bien des années plus tard, ce qu'il pensait vraiment : "Ce petit Kennedy... se prenait pour un dieu". Dulles était loin de comprendre que cette déclaration n'était que sa propre projection psychologique. C'est Dulles lui-même qui, pendant près de vingt ans, "s'est pris pour un dieu", alors que lui et son imperium de la CIA pillaient l'intégrité de la démocratie américaine. Le 20 juillet 1961, alors que les tensions autour de Berlin sont à leur comble, le président Kennedy assiste à une réunion du Conseil national de sécurité. Il écoute attentivement les chefs d'état-major interarmées, dont le général Lyman Lemnitzer et Allen Dulles, toujours responsable de la CIA, présenter un plan d'attaque nucléaire préventive de première frappe contre l'Union soviétique, qui aurait lieu à la fin de l'année 1963, 237 La mosaïque de Mary précédée d'une série d'événements bien orchestrés destinés à produire des "tensions accrues" entre les deux superpuissances. Ce plan de "tensions accrues" a finalement reçu le nom de code "Opération Northwoods" et a reçu l'approbation écrite de tous les chefs d'état-major du Pentagone. Selon l'auteur James Bamford, qui l'a rapporté pour la première fois dans son best-seller Body of Secrets (2002), "le plan prévoyait que des innocents soient abattus dans les rues américaines, que des bateaux transportant des réfugiés fuyant Cuba soient coulés en haute mer, qu'une vague de terrorisme violent soit lancée à Washington, D.C., Miami et dans d'autres villes du monde". D.C., Miami et ailleurs. Des personnes seraient accusées d'avoir commis des attentats à la bombe qu'elles n'ont pas commis ; des avions seraient détournés. À l'aide de fausses preuves, tout cela serait imputé à Castro, donnant ainsi au [général] Lemnitzer et à sa cabale [au Pentagone] l'excuse ainsi que le soutien public et international dont ils avaient besoin pour lancer leur guerre. Cela vous rappelle quelque chose ? Il suffit de se rappeler comment le président George W. Bush, sous la direction de Dick Cheney et de Donald Rumsfeldt, nous a entraînés dans une guerre contre l'Irak sous de faux prétextes. |
| | | HERVE
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| | | | HERVE
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| Sujet: Re: Stay-Behind (OTAN & CIA) / Gladio (Italie) Sam 15 Avr 2023 - 12:05 | |
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| | | HERVE
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| Sujet: Re: Stay-Behind (OTAN & CIA) / Gladio (Italie) Sam 15 Avr 2023 - 12:22 | |
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| | | HERVE
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| | | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Stay-Behind (OTAN & CIA) / Gladio (Italie) Sam 15 Avr 2023 - 19:14 | |
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| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Stay-Behind (OTAN & CIA) / Gladio (Italie) Dim 16 Avr 2023 - 9:57 | |
| https://www.britishpathe.com/asset/98110/
GENERAL LEMNITZER GETS EUROPE POSITION (1962)
https://www.britishpathe.com/asset/194460/
GENERAL LEMNITZER AT ARC DE TRIOMPHE (1967)
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| | | HERVE
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| Sujet: Re: Stay-Behind (OTAN & CIA) / Gladio (Italie) Dim 16 Avr 2023 - 17:35 | |
| Un État dans l'État : Le contre-pouvoir maçonniqueSophie Coignard |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Stay-Behind (OTAN & CIA) / Gladio (Italie) Dim 16 Avr 2023 - 17:47 | |
| http://aei.pitt.edu/74234/1/WEU164.pdf (...) (...) 12 mars |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Stay-Behind (OTAN & CIA) / Gladio (Italie) Dim 16 Avr 2023 - 18:00 | |
| https://doc.rero.ch/record/103817/files/1966-08-10.pdf Note : Manlio Brosio a été secrétaire général de l'OTAN du 1er août 1964 au 1er octobre 1971 |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Stay-Behind (OTAN & CIA) / Gladio (Italie) Mer 19 Avr 2023 - 14:27 | |
| Sur Politica e Strategia et la stratégie de la tension : https://ia800901.us.archive.org/16/items/LorchestreNoir/L-orchestre-noir.pdf L'Orchestre NoirFrédéric Laurent On retrouve dans les archives de Kyril Drenikoff un courrier de Eggardo Beltrametti. Achille Albonetti (IEPS avec Robert Close) a également écrit dans Politica e Strategia. https://romatrepress.uniroma3.it/wp-content/uploads/2019/05/unmo-frne.pdf _ _ _ Je me demande s'il y a eu un contact entre Achille Albonetti et Félix Przedborski via l'AIEA : https://www.iaea.org/sites/default/files/gc/gc21inf-170-rev2_en.pdf |
| | | HERVE
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| Sujet: Re: Stay-Behind (OTAN & CIA) / Gladio (Italie) Mer 19 Avr 2023 - 15:06 | |
| https://numerique.banq.qc.ca/patrimoine/details/52327/3170282 Le soleil, mercredi 20 septembre 1967 |
| | | HERVE
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| Sujet: Re: Stay-Behind (OTAN & CIA) / Gladio (Italie) Dim 7 Mai 2023 - 17:35 | |
| https://irp.fas.org/agency/army/short.pdf
A Short History of Army Intelligence
(...)
In the decades after WW II, Army Intelligence lost some of the scope and authority that it had held since 1918. Between 1947 and 1961, the U.S. established a series of intelligence agencies: the Central Intelligence Agency (CIA) in 1947, the Armed Forces Security Agency (later the National Security Agency [NSA]) in 1949, and the Defense Intelligence Agency (DIA) in 1961. Each of these agencies acquired responsibilities and resources for intelligence direction and production from the Army. To DIA, the Army surrendered one of its longest held intelligence functions, the control of the military attaché system, which had an important source of foreign intelligence since 1889.
(...)
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| | | HERVE
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| Sujet: Re: Stay-Behind (OTAN & CIA) / Gladio (Italie) Mer 17 Mai 2023 - 15:10 | |
| En anglais, une interview intéressante : https://www.youtube.com/watch?v=UEv_ZJTTFCA&t=636s The Ugly Truth of Operation Gladio : Cynthia Chung on the Dirk Pohlman Show Voir aussi : https://risingtidefoundation.net/2022/11/12/the-empire-on-which-the-black-sun-never-set-the-birth-of-international-fascism-and-anglo-american-foreign-policy-a-new-book-by-cynthia-chung/ (je n'ai pas - encore - lu le livre) Dans l'interview, il est question d'une mini-série télévisée russe de 1973 presque inconnue chez nous : https://www.imdb.com/title/tt0069628/ Seventeen Moments of SpringOriginal title: Semnadtsat mgnoveniy vesny TV Mini Series 1973 https://www.facebook.com/watch/?v=893512244548491 (Events in WW II from 12 February to 24th March 1945) https://fr.wikipedia.org/wiki/Dix-sept_Moments_de_printemps Dix-sept Moments de printemps (en russe : Семнадцать мгновений весны, Semnadtsat mgnoveniy vesny) est une mini-série télévisée soviétique en douze épisodes, réalisée par Tatiana Lioznova et diffusée en 1973. Le scénario est tiré du roman du même titre de Julian Semenov qui signe également le scénario. La série dépeint les exploits de Maxim Maximovitch Issaïev, un espion soviétique opérant en Allemagne nazie sous le nom de Max Otto von Stierlitz, interprété par Viatcheslav Tikhonov. Stierlitz est chargé de perturber les négociations, qui se déroulent en Suisse, entre Karl Wolff et Allen Dulles et qui visent à forger une paix séparée entre l'Allemagne et les Alliés occidentaux. La série est considérée comme l'histoire d'espionnage la plus réussie jamais produite en Union soviétique et reste l'une des séries télévisées les plus populaires de l'histoire russe. _ _ _ https://www.historynet.com/karl-wolff-peacemaker-mass-murder-or-both/ (...) The regional friendly military command, Allied Forces Headquarters (AFHQ), wanted to form its own impressions of Wolff, and dispatched two of its most senior officers: the British Major General Terence Airey, responsible for intelligence, and the American Major General Lyman Lemnitzer, the assistant chief of staff at AFHQ. They met with Wolff in Switzerland on March 19. (...) _ _ _ Intéressant aussi de noter que Karl Wolff a ensuite rencontré Léon Degrelle... C'est en tout cas ce qui est écrit dans The Nazi Legacy: Klaus Barbie and the International Fascist ConnectionMagnus Linklater, Isabel Hilton, Neal Ascherson Holt, Rinehart, and Winston, 1985 - 355 pages |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Stay-Behind (OTAN & CIA) / Gladio (Italie) Jeu 18 Mai 2023 - 13:12 | |
| L'ombre d'Hitler: les services secrets américains et les criminels nazis pendant la guerre froideRichard Breitman 2022 - 160 pages Cet ouvrage ouvre en France un champ encore inexploité des archives de la guerre froide. Comment les États-Unis ont pendant des années recruté, formé et utilisé des anciens criminels de guerre nazis ou pro-nazis en Europe de l'Est contre l'influence soviétique. Ce livre court et tonique nous rend compte de ce clair-obscur entre espionnage et infiltration que les Américains et certains Européens ont monté dans le cadre des réseaux anticommunistes, où le cynisme fit que les anciens ennemis devinrent, en dépit des victimes, des alliés de circonstances. Enfin ces archives révèlent les liens qu’entretinrent pendant la guerre les nationalistes ukrainiens de Stepan Bandera avec les nazis, chassant et assassinant juifs et Polonais. Après la guerre, pour infiltrer l’Ukraine sous le régime soviétique, les services secrets occidentaux utilisèrent tour à tour Bandera, qui restait le héros du nationalisme ukrainien. Le public verra avec stupeur que certaines problématiques très actuelles, comme la présence de néonazis en Ukraine, trouvent leurs racines dans ces années sauvages où derrière l'humanisme des vainqueurs se cachaient les anciens bourreaux trouvés dans l'ombre d'Hitler. |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Stay-Behind (OTAN & CIA) / Gladio (Italie) Sam 27 Mai 2023 - 8:17 | |
| https://outlook.live.com/mail/0/inbox/id/AQQkADAwATE0YzkwLWUwODctZjI2NC0wMAItMDAKABAAq68a7NgAzkOzDkXUA0phEg%3D%3D Operation Gladio: The CIA’s Secret Nazi-Collaborating Terror Armies in Europe & BeyondSee full episode on Patreon: https://www.patreon.com/posts/83190433 Collaboration between the US and fascists is a pattern that stretches back to the end of World War II and NATO’s founding, when the US and British intelligence services established a secret far-right terror network armies across NATO countries made up of fascists, Nazi collaborators and actual Nazis. This is just the first half of this episode. The second half is available for Breakthrough News Members only. Become a member at https://www.Patreon.com/BreakthroughNews to access the full episode and other exclusive content. _ _ _ Pour information, deux ouvrages cités : James Q. Whitman is the Ford Foundation Professor of Comparative and Foreign Law at Yale Law School. David E. Stannard is Professor of American Studies at the University of Hawaii |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Stay-Behind (OTAN & CIA) / Gladio (Italie) Sam 3 Juin 2023 - 17:01 | |
| https://lanavediteseo.eu/portfolio/educazione-americana-2/ (traduction) "Educazione americana" raconte l’histoire vraie d’une équipe clandestine de la CIA, au service du gouvernement des États-Unis pour conditionner les démocraties en Europe : ce sont des flics en civil avec une double et triple vie, des fanatiques du crime ou de simples mercenaires en quête d’émotions. Ils ont tué, financé des partis, facilité des massacres. Si un seul moment de leur vie avait pris un chemin différent, le monde tel que nous le connaissons n’aurait pas existé. De la France à Israël, de la Belgique à l’Italie. La liste de leurs opérations couvre trente ans de crimes. Ils interfèrent dans la révolution judiciaire qui, avec l’enquête "Mains propres", a changé l’histoire de notre pays, mais ils n’empêchent pas les attaques ultérieures de la mafia. Ils volent les codes de communication de la Russie de Poutine, avec une opération internationale dans laquelle un agent américain est tué à Rome, et son corps abandonné dans le Tibre. À Bruxelles, ils participent au meurtre de Gerald Bull, le concepteur canadien du Super Cannon de Saddam Hussein. A Paris, ils jettent un jeune passant, Brahim Bouarram, dans la Seine. Leurs activités comprennent le vol de secrets bancaires en Suisse, l’enlèvement d’imams islamistes, dont Abu Omar à Milan, et les négociations pour la libération d’otages enlevés dans le désert du Sahara. Et, de nos jours, le trafic d’informations financières et industrielles, volées quotidiennement sur les ordinateurs de ministres, de gestionnaires et d’entrepreneurs sans méfiance. Dans un roman époustouflant où tout est réel, Fabrizio Gatti reconstruit l’histoire secrète que les documents ne peuvent raconter. _ Fabrizio Gatti est l’auteur de Gli anni della peste (2013), l’histoire du premier collaborateur de justice trahi par l’État. À La nave di Teseo, il a publié Educazione americana (2019) et L’infinito errore (2021). Il a également publié les livres pour enfants Viki Who Wanted to Go to School (2003) et The Echo of the Frottola (2010). Depuis 2004, il travaille comme correspondant pour l’hebdomadaire « L’Espresso ». Il a également écrit pour « il Giornale » réalisé par Indro Montanelli et pour « Corriere della Sera ». Ses recherches ont été traduites dans le monde entier et ont remporté de nombreux prix internationaux. _ _ _ _ _ _ (traduction) Gerald Bull doit mourirEnrique doit partir soudainement. Il quitte l'Europe. Il annonce la nouvelle un dimanche de fin novembre, à Florence. Le rendez-vous est sur la Piazza della Signoria. Avant de se parler, nous nous croisons deux fois. Et nous nous ignorons. Nous vérifions l'un et l'autre que personne ne nous suit. Ce n'est pas facile à savoir. La place est pleine de gens de toutes sortes et de tous horizons. Mais nous faisons confiance à notre expérience. Je le suis quand je vois il s'engage dans la Via Chiasso dei Baroncelli, une ruelle ombragée entre la Loggia dei Lanzi et les six fenêtres d'une étroite façade haute de trois étages. Il est onze heures et demie du matin et l'écho de nos pas rebondit dans l'air frais. Soudain, Enrique ralentit pour me laisser marcher à ses côtés. Il se retourne et me salue affectueusement. Nous tournons à gauche dans la Via Lambertesca. Et tout de suite à droite dans la Via dei Georgofili. Là, je lui remets une pile de papiers remplis d'informations sur les hommes politiques milanais du PSI, le parti socialiste italien, et sur les chefs d'entreprise liés au parti. Peu après, nous arrivons au Lungarno degli Archibusieri, où nous tournons à nouveau à droite sous les arches du Corridor de Vasari. "Je lui demande : "En quelle année sommes-nous ? "1989", répond Simone Pace. "C'est-à-dire que la CIA s'intéresse déjà au PSI et à son chef Bettino Craxi trois ans avant le début de l'enquête sur la corruption dans les partis ? L'enquête qui a secoué l'Italie a commencé le 17 février 1992." "Oui, confirme Simone Pace, trois ans avant l'enquête Mani pulite. Considérons que nous sommes à la fin du mois de novembre 1989. Le mur de Berlin est tombé le 9 de ce même mois. La guerre froide a pris fin et, heureusement pour nous, nous sommes du côté des vainqueurs. Il y a un nouveau monde à concevoir. Ne considérez pas la CIA comme une agence d'espionnage. Elle est bien plus que cela, du moins à l'époque. Il n'y a pas que des agents comme moi. (traduction) Imaginez plutôt un cercle d'historiens au sommet, capables d'écrire l'histoire avant qu'elle ne se manifeste. Des historiens compétents et avisés qui, tels des bulldozers, ouvrent la voie à la politique et à son consensus électoral pour que des changements aient lieu dans les pays alliés sans que Washington ne perde le contrôle. Ce sommet est le think tank de l'agence, les penseurs, le groupe d'experts. Nous, sur le terrain, sommes les exécutants... Les exécutants d'un dessein qui ne nous est même pas révélé. Les États-Unis sont remplis de groupes de réflexion publics et privés". Le grand Moïse l'écoute et nous observe avec d'étranges mouvements oculaires. L'effet des éclats de lumière continus, alternant entre le soleil et les nuages dans les grandes fenêtres, transforme les reflets sur le marbre en un regard vivant. Simone Pace poursuit son récit. |
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