Stay-Behind (OTAN & CIA) / Gladio (Italie)

titu a écrit:

Michel, demandez plutôt au père noël, mais attention ! Il a la fâcheuse tendance a oublié les chargeurs !!!

Sérieusement, vous avez une piste ?

Non mais j'imagine que ces armes n'ont pas toutes été rendues. Mais conservées alors par qui?

Les réserves en or prévues pour les gladiateurs se trouvent actuellement encore dans un coffre fort du SREL. Alors pour les armes, je demanderais dans le bureau just à côté.
Actuellement il reste encore quelques 400kg d'explosifs disparus des vols des "Bommeleeër"...

Une lecture "historique" pour la fin de l'année :

http://www.scribd.com/doc/76584907/Dirty-Work-CIA-in-Europe-Philip-Agee-1978

Au sujet de l'auteur :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Philip_Agee

michel a écrit:

titu a écrit:

Michel, demandez plutôt au père noël, mais attention ! Il a la fâcheuse tendance a oublié les chargeurs !!!

Sérieusement, vous avez une piste ?

Non mais j'imagine que ces armes n'ont pas toutes été rendues. Mais conservées alors par qui?

"j'imagine que" Pourquoi imaginez? Pourquoi ne pas prendre les rapports officiels comme base d'investigations? C'est une constante ici de contester tout et son contraire. Comment voulez vous avancer?

Michel,

quant au rapport de la commission de contrôle du service de renseignement luxembourgeois sur le STBH, je vais vous donner quelques exemples du "sérieux" de ce rapport.

Le rapport a été effectué sur la base des archives du SREL. Aucun entretien n'a été effectué. Aucune personne n'a été entendu. D'ailleurs la commission ne dispose même pas du pouvoir d'entendre des fonctionnaires de l'état sous serment. L'ancien directeur du SREL avait été invité à la commission et il a tout simplement refusé. Fin de l'histoire !

La commission est composée des chefs de groupes parlementaires représentés au parlement. La commission ne dispose pas de collaborateurs au de secrétaires. Vous voyez le président d'un groupe parlementaire descendre dans les archives du SREL ? Moi, non !

Le rapport a été rédigé par des collaborateurs du SREL même ! Vous l'imaginez ?
Mais même si on aurait voulu faire un travail sérieux, il n'y aurait eu aucune chance qu'on aboutisse. Parce que la police judiciaire avait déjà fait au par avant une perquisition au SREL, et ils ont emmené tout ce qui avait à faire de prêt ou de loin au STBH.

D'après ce qu'un ancien du SREL m'a raconté on sortait des caisses par la porte de derrière pendant qu'on retardait la PJ devant la porte d'avant. C'est ce que j'appelle une bonne collaboration entre les services ;-)

Je voudrais vous partager une lecture récente qui pourrait vous intéresser.

A la page 350 du livre suivant :

The Nazi Hydra in America: Suppressed History of a Century

Par Glen Yeadon,John Hawkins

Frank Wisner was the man in charge of the CIA covert operation in Europe following WWII. Wisner came up with hiring ex-Nazis to create a fifth column against the Soviet Union. By 1952, he had operations in 47 countries, an official budget of $ 84 million and staff of 3,000. It is unknown how much funding he may have received from the Black Eagle. Wisner was supported by powerful friends : the Dulles brothers, George Keenan, Averell Harriman, and Joe and Stewart Alsop.

Likewise in Japan in the immediate postwar period, American forces used funds recovered from the Golden Lily. Three secret funds existed during the military occupation : the M-Fund, the Yoshida Fund and the Keenan Fund. MacArthur was instrumental in setting up the M-Fund, initially believed to be as large as $ 2 billion. Money for it came from the sale of confiscated gold, silver, gems and other strategic materials.

(...)

Vous trouverez la suite sur Google Book.

Quand on parle de Frank Wisner (Sr), on peut penser à Gladio.

En outre, il est plus que probable que le neveu du Général MacArthur cité dans l'extrait était au courant de l'existence de ces fonds. Ce neveu est souvent cité dans les affaires qui nous occupent. Voir notamment le fil "European Institute of Management" ( EIM ).

Je rappelle que, selon Alain :

EIM avait des lignes directes ( contacts avec PINOCHET ,DEGRELLE ,FRANCO ,et les anciens de AGINTER au Portugal ) via le secretariat de Betsy Heris.

Cette Betsy Heris travaillait pour

Management Centre Europe ("The European Headquarters of the American Management Association International") au 15 de la rue Caroly à 1040 Bruxelles.

On parle de ces fonds dans d'autres ouvrages, comme

Japanese and U.S. World War II Plunder and Intrigue

Par Rodney Stich

The New fund was administered by General MacArthur's Headquarters with advisory input from Japanese sources, primarily Prime Minister Shigeru Yoshida. The fund came to be known to insiders as the "M-funds" or "Marquat-Fund", after an officer named Marquat who was identified with the fund's establishment and early operation.

ET ,pourquoi pas regarder le tres bon doc mardi 10 01 12 sur fr2 :Klaus Barbie par Delahousse .
Le gd bazar de la CIA ,DGSE ,SDRA et les nazis !

Deux nouveaux documents sur

http://www.scribd.com/BEGHINSELEN

En format PDF, des chapitres extraits de "L'extrême-droite et l'Etat" (auteurs divers, 1981) et "Les Brigades Noires" (Serge Dumont, 1983).

On retrouve des noms connus (Betsy Heris, etc)

Sur le documentaire dont parle Alain :

http://www.docandfiction-tv.fr/klaus-barbie-criminel-nazi-france-2-zoom.php

Si l'anglais ne vous dérange pas, il y a un document récent sur MEREX à :

http://www.scribd.com/doc/76881930/The-Shadow-World-Nazi-Connection-MEREX

Voir aussi, sur GoogleBook :

Private warriors
Par Ken Silverstein,Daniel Burton-Rose

(pages 121 et suivantes)

Merci Hervé, on y retrouve le suivant: "L'un des meilleurs agents d'infiltration de cette organisation dans les milieux progressistes est Philippe Créteur, ancien membre du FJ passé à l'APON, puis devenu dirigeant du MSP. En 1978, Créteur s'inscrit au "Mouvement Belge pour l'Indépendance" (MBI) et au "Parti Communiste Marxiste-Léniniste" (PCMLB) Après la dissolution du PCMLB bruxellois en 1979, Créteur adhère au "Front Anti-Fasciste" (FAF) dont il rend compte des réunions à son organisation. En 1980, devenu étudiant en journalisme à Bruxelles, on le retrouve au "Mouvement Marxiste-Léniniste" (MML), organisation étudiante du "Parti du Travail de Belgique" (PTB). Il offre aussi de collaborèr à-l'hebdomadaire de ce parti, "Concret". Après s'être livré à une minutieuse enquête, l'hebdomadaire "Concret': dénonçait en mai et juin 1982 l'infiltration du MSP au sein du PS, du FDF, des "Amitiés Belgo-Israéliennes", de .'l'Association Belgique- Kampuchéa", de .'l'Association Belgique-Chine", de. "l'Association Belgique-URSS", du "Comité Afghanistan" et d' organisations de la communauté juive de Belgique. Par voie détournée, des infiltrés du MSP auraient eu des contacts avec l'OLP en se faisant passer pour des amis de la cause palestinienne, D'autres membres du MSP s'infiltrent chez les trotskystes de la "Ligue Révolutionnaire des Travailleurs" (LRT). Créteur, lui, continue son travail de sape sans problème: il devient coordinateur du "Comité Afghanistan" en 1980 et, parallèlement, adhère aux "Jeunes Socialistes" de Watermael-Boisfort et à la section du PS de Drogenbos."

Et: "Déjà en 1970, le régime des colonels grecs avait mis sur pied une agence de presse internationale baptisée '''World Service". Noyautée par le KYP,services spéciaux- qrecs, cette agence possédait 329 correspondants dans 23 pays du monde. On s'endoute, ces correspondents étaient triés sur le volet: des'néo-fascistespurs et durs. En France et en Belgique, la "World Service" recrutaainsi quelques militants d' 'Ordre Nouveau" qui furent entraînés à la guerilla urbaine et au terrorisme"

Il y a beaucoup à dire et peu de temps dans un documentaire sur Klaus Barbie. Il serait cependant intéressant de parler de Stefano Delle Chiaie.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Stefano_Delle_Chiaie

Stefano Delle Chiaie participa notamment, aux côtés de Klaus Barbie, au "Cocaine Coup" dirigé par Luis Garcia Meza Tejada en 1980 en Bolivie :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Luis_Garc%C3%ADa_Meza_Tejada

Durant une audition devant le sénateur Giovanni Pellegrino, pendant laquelle il rapporte ce fait, il raconte avoir voulu participer à un « mouvement révolutionnaire mondial » et se référait à une « internationale noire fasciste ».

Mentionnant la Ligue anticommuniste mondiale, il prétendit l'avoir quittée après un meeting au Paraguay, affirmant qu'il ne s'agissait que d'une vitrine pour la CIA. Il admit seulement avoir participé à l'organisation New European Order (Nouvel Ordre Européen) et nia avoir travaillé avec l'International Anticommunist Alliance vers 1974.

En 1982, il rencontre à Miami Abdullah Catli, le numéro deux des Loups gris, groupe ultranationaliste turc infiltré par Gladio.

http://www.monde-diplomatique.fr/1998/07/NEZAN/10656

Il faut aussi relire

Puppetmasters: The Political Use of Terrorism in Italy

Par Philip Willan

disponible sur GoogleBook (pages 164-165)

pour voir les liens entre Stefano Delle Chiaie et Elio Ciolini (actuellement en prison en Italie pour une énorme tentative d'escroquerie ... ce personnage est loin d'être fiable mais devrait être au courant de beaucoup de choses, y compris en ce qui concerne la Belgique).

et sur Maurice Lippens, père de...: "une des figures marquantes de l'empire colonial de la Société Générale (dont il fut d'ailleurs conseiller). De plus, Lippens-avait-été gouverneur général du Congo - de - 1921 h 1922. C'était également un cousin d'André de kerckhove [...] Grâce a l'intervention d'Andre de Kerchove, Lippens parvint à se faire recevoir en octobre 1934 par les nouveaux dirigeants allemands (Goebbels, Goring et Hitler lui-meme) : Lippens devenait ainsi le premier homme dqtat belge à être reçu par le Führer - deux ans avant Léon Degrelle. [...] En 1936, Lippens fut encore proposé par i'arnbassade allemande comme candidat à la présidence d'un futur Comité d'études belgo-allemand et d'une Association belgo-allemande (Deutsch-Belgische Gesellschafi). [...] Remarquons ici que Lippens et De Bruyne, tout comme Defauw, furent invités après 1936 aux congrès du Parti nazi à Nuremberg [...] Avant la guerre, les époux Didier organisent régulièrement - notamment à Knokke, dans le domaine de la famille Lippens - des rencontres entre jeunes nazis et participants venus de différents autres pays européens. Une idée revenait sans cesse à la surface, au cours de ces rencontres comme au salon Didier : celle d'un Ordre Nouveau européen, qui ferait accepter par l'Ouest,
une expansion sans contrainte du IIIe Reich à l'Est"

Il est instructif de faire une recherche avec "Lippens" dans le livre suivant :

http://www.scribd.com/doc/77005107/L-Ordre-nouveau

En effet, dans son livre "La grande cohue de 1940", Léon Degrelle parle des Lippens et autre Empain prêts à rechercher une collaboration économique avec les allemands qui à ce moment là étaient considérés comme les maîtres de l'Europe.

Pour revoir la vidéo :

Le «boucher de Lyon», Klaus Barbie, chef de la Gestapo à Lyon durant la Seconde Guerre mondiale, est à l'origine de la mort de milliers de juifs et de résistants. Réfugié en Allemagne après la guerre, il est recruté par les services secrets américains à la veille de la guerre froide.

http://www.pluzz.fr/klaus-barbie-criminel-nazi-2012-01-10-20h35.html

Durée : 115min. ( 20H35 - 22H30 )
Cryptage : En clair
Genre : Docu-info - Découverte
Année de réalisation : 2012
Réalisation : Laurent Delahousse, Camille Ménager, Florence Troquereau

Par ailleurs, si vous vous levez tôt :

Rediffusion(s) : 15/01/2012 à 04:15 sur France 2

Pour revoir la vidéo :

Le «boucher de Lyon», Klaus Barbie, chef de la Gestapo à Lyon durant la Seconde Guerre mondiale, est à l'origine de la mort de milliers de juifs et de résistants. Réfugié en Allemagne après la guerre, il est recruté par les services secrets américains à la veille de la guerre froide.

http://www.pluzz.fr/klaus-barbie-criminel-nazi-2012-01-10-20h35.html

Durée : 115min. ( 20H35 - 22H30 )
Cryptage : En clair
Genre : Docu-info - Découverte
Année de réalisation : 2012
Réalisation : Laurent Delahousse, Camille Ménager, Florence Troquereau

Par ailleurs, si vous vous levez tôt :

Rediffusion(s) : 15/01/2012 à 04:15 sur France 2

http://www.cyberpresse.ca/arts/livres/200904/12/01-845951-tim-weiner-la-cia-sans-fard.php

Publié le 12 avril 2009 à 11h53 | Mis à jour le 12 avril 2009 à 12h01

Tim Weiner: la CIA sans fard

«Il faudra au moins cinq ans pour construire un corps professionnel d'espions américains.» Cette phrase est un sempiternel leitmotiv à la CIA. Le deuxième directeur de l'agence l'a proférée pour la première fois en 1947. George Tenet, qui a dirigé l'agence sous Clinton et Bush fils, a réitéré le même verdict à deux reprises, en 1997 et 2004.

Cette incapacité des États-Unis à bâtir un service d'espionnage efficace est détaillée en long et en large dans une histoire de la CIA, Des cendres en héritage, écrite par un journaliste du New York Times, Tim Weiner. La traduction française du livre paru en 2007 vient d'être publiée.

«J'ai commencé à m'intéresser à la CIA voilà 20 ans, au retour d'un voyage clandestin en Afghanistan», explique M. Weiner en entrevue téléphonique. «J'avais demandé à rencontrer des experts de la CIA avant mon voyage, mais on m'avait dit que ce n'était pas possible. Dès que j'ai remis les pieds aux États-Unis, la CIA m'a contacté pour m'inviter à rencontrer ses experts. Mais ce ne sont pas eux qui m'ont donné des informations. Aucun des quatre experts n'avait jamais mis les pieds en Afghanistan. Ils avaient plus besoin de moi que moi d'eux.»

Cet épisode a laissé M. Weiner avec une profonde fascination pour cette institution si prestigieuse, mais aux fondements fragiles. «J'ai dû me rendre dans cet énorme édifice installé dans une forêt en banlieue de Washington. Dans le hall d'entrée, il y a une citation de l'Évangile selon Jean, «vous saurez la vérité et la vérité vous rendra libre». Penser à toutes les erreurs, qui auraient souvent pu être évitées rend cette solennité encore plus frappante.»

La recherche de M. Weiner est impeccable. «Je me suis beaucoup inspiré de ma mère historienne», dit-il. On apprend notamment que le chef de la CIA dans les années 50, Allen Dulles, décidait du sort du monde avec son frère, qui était secrétaire d'État, et leur soeur, une diplomate haut placée, sur le bord de la piscine de leurs parents en prenant l'apéritif. Que la funeste obsession de la CIA de privilégier l'espionnage électronique plutôt que des espions en chair et en os remonte à un tunnel creusé sous Berlin-Est en 1953, qui a permis pendant six mois d'intercepter les communications des Soviétiques. Qu'en 1987, une secrétaire de la CIA a envoyé aux 40 espions actifs en Iran la même lettre à la même adresse, une erreur qui a éradiqué la capacité de la CIA dans ce pays aujourd'hui crucial.

Les deux principaux hauts faits de la CIA ont eu lieu au début de la guerre froide. Elle a aidé la Grande-Bretagne à renverser le président iranien Mossadegh en 1953 parce que la nationalisation de l'Anglo-Iran Oil privait le budget britannique, profondément déficitaire, de quelques malheureux millions en dividendes, une somme ridicule mais qui faisait toute la différence dans un pays encore soumis au rationnement de guerre. Et en 1954, une tête brûlée de la CIA a installé une dictature militaire au Guatemala - c'était le même agent qui avait parachuté des milliers de Sud-Coréens et de Chinois derrière les lignes ennemies durant la guerre de Corée, les envoyant vers une mort certaine à chaque fois.

Pratiquement la seule contribution positive de la CIA a été les appels au calme de ses espions à Berlin durant le blocus de 1948, alors que les généraux américains préparaient une frappe préventive contre les Soviétiques.

Malheureusement, les chapitres concernant les déboires récents de la CIA sont trop succincts. Tim Weiner note que les prisons illégales où ont été interrogés et souvent torturés 3000 prisonniers ont ressuscité un vieux concept utilisé durant la guerre de Corée, la prison se trouvant alors à Panama. «Sur ces 3000 prisonniers, dit M. Weiner, seulement 14 étaient des hauts dirigeants d'Al-Qaeda. L'administration Bush a vraiment ramené la CIA à ses pires moments du début de la guerre froide.»

Barack Obama arrivera-t-il à rendre la CIA plus propre? «Il est extrêmement difficile d'espionner de façon morale, puisque par définition il faut briser les lois des autres pays, dit le journaliste new-yorkais. Mais au moins, nous sommes le seul pays au monde à tenter d'y parvenir.»

____________________________________________


Des cendres en héritage - L'histoire de la CIA

Tim Weiner Éditions de Fallois, 456 pages, 39,95$

Mouais... trop simpliste pour être une analyse juste. Aucun service ne peut être incompétent pendant 60 ans et continuer à exister.

Je ne suis pas certain qu'il en aurait appris plus en parlant avec des gladiateurs ...

Michel Van Hussel, alias Georges 923, a écrit un livre en 1991.

Beijer a également montré une cache d'armes (dans un bois proche de Villers-la-Ville)... il avait aussi un émetteur-récepteur puissant (les membres de Gladio avaient des "Harpoon").

André Moyen a aussi raconté des choses ...

Mais je ne crois pas qu'il y a beaucoup de vérités à tirer de ces personnages ...

J'ai acheté un livre qui vient de sortir sur Gladio ... c'était vraiment décevant.

Je pense donc que les informations les plus fiables que l'on puisse avoir sont celles de Ganser.

http://www.scribd.com/doc/78396587/Gladio-The-Secret-War-in-Belgium

Un lien mercenarial entre les assassins de Lumumba ? Cela a le mérite de nous faire revenir en Belgique à moins de vingt ans de distance par rapport à l'époque qui nous concerne . Dans ces fameux activistes d'extrème-droite belges, trouve-t'on des noms prononcés dans le dossier TBW ?

Ganser n'est pas fiable. Sa description du STBH met trop en évidence le rôle de l'OTAN, des US et GB. Les réseaux avaient un degré d'autonomie très important !

J'en reviens donc aux anti-bolchéviques forcenés patentés par les Américains et dont les faits d'arme en Afrique n'ont pas été particulièrement glorieux. Une piste ?

CS1958 a écrit:

J'en reviens donc aux anti-bolchéviques forcenés patentés par les Américains et dont les faits d'arme en Afrique n'ont pas été particulièrement glorieux. Une piste ?

Une piste ? Oui.On ne peut pas dire que la France fût plus glorieuse sur le sol africain.Pas besoin de remonter à Lumumba, il y a 50 ans .
Il y a beaucoup plus frais au Ruanda et l'opération turquoise mennées par la France pour se faire échapper ses amis génocidaires, formés par ses cadres à tailler à la machette dans la masse, laissant un million de démembrés sur le carreau. Suffisance et prétention les deux mamelles de la France?

M. Dislaire, il est bien entendu que la France s'est trés mal comprtée également en Afrique et ailleurs mais j'évoque cet épisode en raison des TBW en Belgique...