Cocu, Michel

@FreCR, non à gauche avec cravate brassard Gendarmerie BSR, non ???

Bonjour à toutes et tous,

A droite avec le brassard PJ je crois que c'est Louis Fichefet inspecteur à la PJ de Charleroi qui fut membre de la CBW à Jumet.

Cordialement

En tout cas, ils ont l'air de bonne humeur!?

pour info

COLFONTAINE C’est aux alentours de midi que Jean-Pierre Lepine, premier échevin de Quaregnon, et Luciano D’Antonio, bourgmestre de Colfontaine, ont été avertis par les services de police de la zone que des explosifs avaient été découverts sur le site désaffecté de l’Institut national des mines, situé à la rue Grande.

Cent kilos de dynamite et de la nitroglycérine entassés dans un bunker à l’arrière du site. Trop volatiles pour être transportés, les explosifs ont dû être désamorcés sur les lieux. Après l’établissement d’un large périmètre de sécurité et l’évacuation des riverains se situant dans un rayon de 250 m autour de la rue Grande, deux explosions, l’une vers 15h30, l’autre une demi-heure plus tard, ont été provoquées par les cinq démineurs.

Environ un mètre cube de produits toxiques et cancérigènes reste sur place ainsi que des coffres contenant vraisemblablement des détonateurs. “Il faut assainir tout le site”, a précisé Jean-Pierre Lepine qui se dit outré par le manque de responsabilité de l’entreprise qui occupait les locaux il y a plus de quinze ans.

L’endroit, abandonné depuis le départ en 93 de l’ISSEP – Institut scientifique de service public – est le rendez-vous des squatteurs ou des enfants qui s’approprient ce terrain comme un vaste terrain de jeux. “On a frôlé la catastrophe”, confie le premier échevin, visiblement sous le choc. “Cela fait quinze ans que ces explosifs

https://www.dhnet.be/archive/100-kilos-d-explosifs-a-colfontaine-51b7e71fe4b0de6db996caf3

j ai mis cet article ci dessus  en lien avec colfontaine ,mais il y un lien avec delperdange
deferm et les stand de tir  (?)

Cent kilos de dynamite et de la nitroglycérine entassés dans un bunker à l’arrière du site.
L’endroit, abandonné depuis le départ en 93 de l’ISSEP

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Plombé par un climat interne délétère depuis dix ans, l'Institut scientifique de service public (Issep),

garante de l'excellence publique en matière de contrôle de la qualité de l'air, de l'eau et des sols, joue son avenir.

L'organisme est l'héritier régionalisé de l'ancien Institut national des industries extractives (Iniex).
(...)
Coup de boule entre deux agents, insultes, menaces de mort inscrites dans les toilettes...

plusieurs travailleurs dénoncent un "climat de terreur"

https://www.levif.be/actualite/belgique/mandat-de-la-derniere-chance-a-l-issep/article-normal-388883.html

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Mis en ligne le 6/12/1989

L'INIEX ETRANGLE POUR ETOUFFER LE SCANDALE? SUR LE GRILL...

et techniquement douteuses, Georges Viatour (deux de ses collaborateurs aussi) est, comme nous l'avons rapporté déjà, l'hôte de la prison de Lantin

(...)
son utilité vient d'être mise en avant à Jette: c'est l'Iniex, en effet, qui, de concert avec l'administration des mines, assure en principe des missions de certification (hygiène, sécurité) dans des domaines tels que les stands de tir.

https://www.lesoir.be/art/%252Fl-iniex-etrangle-pour-etouffer-le-scandale-sur-le-grill_t-19891206-Z0269T.html

Mis en ligne le 16/11/1989 à 00:00 par Emile Bonmariage

L'enquête tente encore de faire la lumière sur certaines missions à l'étranger, sur des avantages accordés au personnel et sur une grave malversation; celle-ci se serait produite à Jalhay, dans la région verviétoise.

https://www.lesoir.be/art/trois-ex-directeurs-de-l-iniex-arretes_t-19891116-Z024JW.html
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@Invité

Sujet: Re: Zeus computers   Zeus computers EmptyVen 1 Fév 2008

divorce. Chacun reprend ses billes. Claude Delperdange meurt assassiné par son épouse, d'un coup de fusil de chasse, quelques jours seulement avant que ne disparaisse, également de mort violente, André Cools...

Deferm bénéficiera initialement du soutien actif de «parrains» politiques et de syndicaux liégeois. Le conseil d'administration de TTH reflète cette synergie. Y siègent : Jacques Vandebosch, aujourd'hui bourgmestre socialiste de Seraing, Georges Goldine, libéral, administrateur délégué de la Compagnie Générale des Eaux, Jean Sequaris, social-chrétien, alors vice-président de la SRIW et Georges Viatour, ex-directeur de l'INIEX.

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LE CLUB 109,PIEGE MORTEL...
UNE LONGUE LISTE MACABRE LE 5-7,LE 6-9 ET ...
A JETTE,LA BOULE DE FEU A TUE DOUZE PERSON...
COMMENT EST NEE LA TEMPETE DE FLAMMES DANS...

https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t2478-raida
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Mis en ligne le 4/12/1989 à 00:00 par Alain Guillaume, René Haquin et Marc Metdepenningen

A JETTE,LA BOULE DE FEU A TUE DOUZE PERSONNES EN QUELQUES SECONDES AU STAND DE TIR LA LISTE DES VICTIMES

!...)
l'armurier Alexandre Mertens, eut été placé sous mandat d'arrêt, à la mi-juin, par le juge d'instruction Paulus de Châtelet, pour une tentative d'assassinat commise en janvier 1980 sur la personne du premier conseiller de l'ambassade du Congo, M. Emmanuel Ayessa.

la BSR de Bruxelles rouvrirent un dossier de trafic d'armes mis à charge de M. Alexandre Mertens en 1983, suite à la découverte de caisses vides...

https://www.lesoir.be/art/a-jette-la-boule-de-feu-a-tue-douze-personnes-en_t-19891204-Z02647.html

https://www.dhnet.be/actu/faits/sur-les-tueries-du-brabant-deux-confidences-de-l-ancien-de-l-antigang-5fecc30f7b50a652f75be460

Tueries du Brabant : deux confidences d’Alex Deloyer, ancien de l’antigang

Publié le 31-12-20 à 06h41 - Mis à jour le 31-12-20 à 06h53

"J’ai contrôlé à Ixelles le chauffeur de taxi assassiné la nuit de sa mort"


Ancien de l’antigang de la PJ de Bruxelles, Alex Deloyer a deux choses à dire sur les tueries du Brabant.

La première: à l’arrière du Colruyt de Nivelles (trois victimes, en septembre 1983), les enquêteurs trouvèrent, accroché à du fil barbelé, un morceau de tissu pouvant provenir d’un vêtement d’un auteur : nous maintenons le conditionnel.

Sauf qu’en audition au GRB, un des suspects de la filière boraine a fourni cette précision qu’il ne pouvait connaître que s’il avait été présent. S. D., qui l’interrogeait (toujours vivant), est connu pour avoir toujours été d’une correction parfaite. "Cela fait trente ans que je m’interroge, confie Alex Deloyer. Ce détail ne s’invente pas. Il fallait se trouver sur les lieux."

Pour rappel, les membres de la bande boraine ont été acquittés pour les faits liés aux tueries du Brabant. Mais la piste est-elle écartée ? En 2015 (DH 24/7/2015), nous annoncions que le procureur Christian De Valkeneer, sachant (le chef de bande suspecté) Michel Cocu très malade, s’était rendu chez lui pour l’inviter à dire ce qu’il savait. Cocu, un ancien policier, avait refusé. Il est décédé en 2016.

Deuxième chose : une des premières victimes des tueurs fut Constantin Angelou, chauffeur de taxi indépendant à Bruxelles. Le commissaire Deloyer confie que, pur hasard, il a contrôlé Angelou, la nuit de l’assassinat, vers minuit, alors qu’il était en attente de client, avenue de l’Hippodrome à Ixelles. "Il me disait qu’il terminait et allait boire un café (grec) et rentrer chez lui."

C’est, évidemment, l’adresse qui interpelle : l’avenue de l’Hippodrome à Ixelles. Encore une fois, ce quartier est très régulièrement cité, avec Watermael-Boitsfort, dans l’enquête (relire par exemple notre article du 11 mai 2017). Sûr, quelque chose se passait là.

Une comparaison de ce que disait M.C avant sa 1 ère arrestation lors d'une confession spontanée pendant son bref engagement à la légion et du contenu de la lettre qui lui aurait été attribuée.
Dans le 1er cas, on parle de faits de pur banditisme.
Dans le 2nd, il s'agirait de commettre " des actes de terrorisme en Belgique sous couvert de banditisme" , le tout organisé par L.Degrelle depuis son exil espagnol - sic ( on ne comprend pas très bien pourquoi frapper à Maubeuge si l'on suit cette fable ).
La seule question qui vaille : qui a écrit cette lettre destinée de toute évidence à brouiller les pistes ?
Il me semble avoir lu que M.C a refusé de se soumettre à un test d'écriture mais je n'en suis pas certain.
D'autres suspects lanceront ultérieurement les enquêteurs sur des pistes politiques.

Pourquoi parler d'une "fable" ?

Il y a plusieurs éléments qui mettent en cause le milieu dans lequel Léon Degrelle vivait en Espagne, notamment les extrémistes italiens et Aginter Presse.

Je suis bien d'accord que l'on a brouillé les pistes ... encore faut-il savoir où et quand...

HERVE a écrit:

Pourquoi parler d'une "fable" ?

Il y a plusieurs éléments qui mettent en cause le milieu dans lequel Léon Degrelle vivait en Espagne, notamment les extrémistes italiens et Aginter Presse.

Je suis bien d'accord que l'on a brouillé les pistes ... encore faut-il savoir où et quand...

Bonjour Hervé,
je parle de " fable " car ce qui est dit spontanément avant son arrestation par M.C et qui a été rapporté par son compagnon de chambrée
( " il m'a dit que c'était l'argent qui l'intéressait " ) contredit ce qui est écrit après son arrestation.
J'ajoute que je ne vois pas l'intérêt de simuler des braquages dans un but terroriste .
Je trouve enfin étonnant que plusieurs suspects de ce dossier évoquent une piste politique, comme s 'il s'agissait d'éléments de langage.

Bonjour Pyrénéen,

Je crois que Mc était motivé par l'argent et rien d'autre mais il s'est laissé manipulé et s'est retrouvé, malgré lui, dans une une histoire qui le dépassait complètement
Il n'est probablement pas le seul ...
Lorsqu'il déclare "c'était l'argent qui l'intéressait" cela peut vouloir dire que sa motivation personnelle n'était pas politique.

pyrénéen a écrit:

Une comparaison de ce que disait M.C avant sa 1 ère arrestation lors d'une confession spontanée pendant son bref engagement à la légion et du contenu de la lettre qui lui aurait été attribuée.
Dans le 1er cas, on parle de faits de pur banditisme.
Dans le 2nd, il s'agirait de commettre " des actes de terrorisme en Belgique sous couvert de banditisme" , le tout organisé par L.Degrelle depuis son exil espagnol - sic ( on ne comprend pas très bien pourquoi frapper à Maubeuge si l'on suit cette fable ).
La seule question qui vaille : qui a écrit cette lettre destinée de toute évidence à brouiller les pistes ?
Il me semble avoir lu que M.C a refusé de se soumettre à un test d'écriture mais je n'en suis pas certain.
D'autres suspects lanceront ultérieurement les enquêteurs sur des pistes politiques.

Ce qui m'interpelle dans ce que dit Cocu (à condition que le journaliste ne déforme pas ses propos), c'est que les hold-ups auraient été commis à 4 avec qqn qui attendait dans la voiture, or ils étaient vraisemblablement commis à 3, sans personne qui attendait dans la voiture, c'est d'ailleurs là-dessus que Chronos base toute son argumentation pour dire qu'ils n'étaient que 3 dans la bande.

à Totor:
pour ce qui est de Genval, l'acte d'accusation de la filière boraine précise en sa page 1 qu'un 4eme TBW est resté au volant de la Peugeot.
Par ailleurs, l'armement utilisé à Nivelles notamment me semble bien fourni s'il n'y avait que 3 auteurs agissant de nuit.

@pyrénéen : Je ne savais pas pour Genval, pour Nivelles j'en conviens qu'ils devaient être plus que 3 mais je ne le classe pas dans la catégorie hold-up mais plutôt dans celle des cambriolages, qui a mal tourné certes.

En tout cas Totor, votre remarque est fort pertinente .
Car si le témoignage du compagnon de chambrée de M.C n'a pas été déformé, celui-ci  aurait fourni en aout 83 une précision étonnante  sur le nombre d'intervenants .

à totor:

vous conviendrez qu'il y a une certaine ressemblance entre le processus que ce Delespesse indique lui avoir été décrit par M.C et celui figurant dans l'acte d'accusation de la filière boraine .

Pour se convaincre de l'implication d'un réseau dit Degrelle, il faut s'intéresser à ceux qui ont exfiltré et hébergé PH. Celui qui tirait les ficelles avait des liens anciens avec LD.

Stefano Delle Chiaie connaissait très bien Léon Degrelle en Espagne. Il connaissait aussi Jean-Robert Debbaudt, un proche de Léon Degrelle et un pilier de l'extrême-droite en Belgique.

Je reste persuadé qu'il faut chercher de ce côté, avec notamment Elio Massagrande, Jean-Pierre Cherid, Amos Spiazzi (monarchiste), Clemente Graziani (qui a accueilli Jean Bultot au Paraguay) ... et peut-être Caterino Falzari et Monique Bruyninck.

Du côté italien, nous sommes dans la région de Vérone ... où le général Robert Close (monarchiste lui aussi) avait une résidence secondaire.

Patrick Haemers et Paul Latinus se connaissaient bien.

Paul Latinus connaissait aussi un nommé Cocu (très probablement Michel Cocu).

Un de ceux qui ont facilité l'exfiltration de PH était lié à la P2

@zorba

Ce que vous écrivez est de plus en plus intéressant vu l'implication de la P2 dans les attentats en Italie.

J'espère que les enquêteurs se sont intéressés à ce personnage.

Je note que Stefano Delle Chiaie (fondateur de Avanguardia Nazionale) et Licio Gelli se connaissaient et que des membres de Avanguardia Nazionale ont très probablement participé aux attentats italiens (je pense notamment à Paolo Bellini dont le procès se tient actuellement à Bologne).

Je suis aussi persuadé que César de la Vega (P2 argentine) est dans le schéma de Paul Latinus.

Dans ce mélange politico-mafieux parfois les alliances sont circonstancielles et opportunistes parfois elles sont idéologiques.L'un peut avoir prêté allégeance ou être membre de deux organisations en même temps, pour avoir un levier sur la deuxième organisation. Tout est très complexe dans cette nébuleuse.

Le Soir  -  5 août 2022

Un procès auquel ne " participait " pas Richard B, l'entrepreneur chez qui a été vu la Saab et ou travaillaient de temps à autre les 2 Michel.
Mais bon, on ne peut pas revenir dessus.