Degrelle, Léon

https://books.google.be/books?id=CBPaMMHk-MAC&pg=PA9&lpg=PA9&dq=joseph+luongo+,post-war+period+of+an+american+anti-communist+network&source=bl&ots=FRSOi086a7&sig=ACfU3U1C-sir-Md2xEAQxifSPf9NtWTiPw&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwin3pXXyvHpAhUE66QKHbi1BJ0Q6AEwAHoECAoQAQ#v=onepage&q=joseph%20luongo%20%2Cpost-war%20period%20of%20an%20american%20anti-communist%20network&f=false

Terrorisme in België: Polarisering en politiek geweld
Paul Ponsaers





(traduction)

160   Partie II. L'histoire de la guerre et les milices privées

Selon Lekeu, "dans le cadre de mes idées d'extrême droite, j'ai rencontré un imprimeur à plusieurs reprises (...). Il a vécu à Schaerbeek. Je l'ai accompagné dans un hôtel où se tenait une réunion d'anciens SS". Selon les notes du substitut Acke, il s'agissait d'un certain "Lambert". C'est lui qui aurait présenté Lekeu en 1977 à Léon Degrelle en Espagne, avec lequel il entretenait de bons contacts. Selon Lekeu, il a rencontré Degrelle deux fois au cours du même séjour. Malgré le fait que Lekeu puisse tranquillement être qualifié de fantaisiste, il semble y avoir une certaine vérité dans cette affirmation. Lors d'une perquisition, on a trouvé une bibliographie sur Degrelle par Louise Narvaez, pseudonyme de Luisa Isabel Maria del Carmen Cristina Rosalia Joaquina Alvarez ("la duchesse rouge de Valence"), avec la mention "A mon ami Lekeu", signée Léon Degrelle.

(principalement en néerlandais)

https://www.vrt.be/vrtnu/a-z/de-nieuwe-orde/1/de-nieuwe-orde-s1a1/

Programma van canvas
De nieuwe Orde
De kleine diktators
84 min
beschikbaar tot 31 december 2025

Il y a de longs passages en français, par exemple avec Francis Balace à partir de 33'50" et 40'06"





A noter :





http://bibliotheque.territoires-memoire.be/doc_num.php?explnum_id=2002

(...)  La structure interne de Rex confiait l'exercice de sa direction à un Conseil Général. Par la force
des démissions, de la mobilisation, de la captivité en Allemagne ou en France de la plupart des
personnalités importantes du mouvement, il se composait en juin 1940 d'individualités assez
effacées et d'opinions plus conservatrices que vraiment révolutionnaires: le notaire Léon
Brunet, le député de Meester de Heyndonck, Maurice Vandevelde, Camille Damman,
propriétaire d'une importante chaîne de cinémas, les comtes Guy de Liedekerke et du Val de
Beaulieu, ainsi que Charles Raty, beau-frère de Degrelle et dirigeant de la S.A. Presse de Rex. (...)

Guy de Liedekerke : volontaire de la guerre de 1914 qui embrassa la carrière militaire ; il est l'auteur de deux petites publications intitulées "Ni préjugés, ni passions, raison" et "Faillite des démocraties" publiées en 1937 aux éditions Rex.

Voir aussi :

https://www.cegesoma.be/docs/media/Cahiers_Bijdragen_CHSGM/Cahiers_Bijdragen_10.pdf

et, sur Camille Damman :

https://lib.ugent.be/fulltxt/RUG01/002/033/429/RUG01-002033429_2013_0001_AC.pdf

Pour information

https://www.lasexta.com/programas/sexta-columna/noticias/espana-lugar-de-acogida-de-nazis-tras-la-guerra-se-les-permitio-vivir-aqui-con-la-condicion-de-que-no-hicieran-ruido_202010235f93074f23b09f00017ac339.html

(tradution)

L'Espagne, lieu de refuge pour les nazis après la guerre : "Ils étaient autorisés à vivre ici à condition de ne pas faire de bruit".

Plus d'une centaine de nazis sont restés dans notre pays après la guerre. Les Alliés les ont réclamées en 1947, mais Franco, pour une raison quelconque, a dû mal comprendre la demande car il n'a jamais renoncé aux nazis qui s'étaient échappés.

(...)

(traduction partielle)

(...)

Au lieu de cela, ont participé à l'initiative en question, outre CAPOTONDI précité, Carlo Maria MAGGI (né à Villanova del Ghebbo le 29.11.1934) ; Jean Robert DEBBAUDT (né à Forest le 20.08:1926, de nationalité belge, rédacteur en chef du périodique "Europe Réelle", agence de presse N.O.E.), Gaston AMAUDRUZ (né à Lausanne le 21.12. 1920, nationalité suisse), Patricia Annie PEDEGERT (née à Chateu Thierry le 27.06.1932, nationalité française), Robert LEROY (né à Paris le 27.11.1908, nationalité française), Henri VALLIOT (né à Tours le 29.04.1910, nationalité française) et Hubert KOMLER (né à Fevrener le 1.1.1930, nationalité française).

(...)

https://www.hln.be/kunst-en-literatuur/de-duitse-nazi-die-spion-werd-voor-de-mossad-biografie-vertelt-ware-verhaal-van-otto-skorzeny-de-favoriete-commando-van-adolf-hitler~a8c725c2/





De Duitse nazi die spion werd voor de Mossad: biografie vertelt ware verhaal van Otto Skorzeny, de favoriete commando van Adolf Hitler.

Geen traditionele Boekenbeurs dit jaar, maar met de herfstvakantie in het verschiet is dit wél de periode om aandacht te besteden aan onze auteurs én boeken. Gedurende twee weken fileert een van hen zijn eigen oeuvre en het huidige aanbod voor het Feest van het Boek, met als resultaat enkele tips voor een bezoek aan de boekenwinkel. Zoals auteur Stuart Smith, die een biografie schreef over SS-luitenant-kolonel Otto Skorzeny. Hij was een waaghals en de favoriete commando van Adolf Hitler, en voerde in dienst van nazi-Duitsland spectaculaire acties uit. Maar ook na de oorlog bleef SS-luitenant-kolonel Otto Skorzeny bijzonder actief.

Dominique Trachet 01-11-20, 18:00

(...)

Christian Bouchet est un leader depuis les années 1970 de groupes "nationalistes-révolutionnaires" français.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Christian_Bouchet

https://www.facebook.com/christian.bouchet.125/posts/266924454835673

il a vraiment la tête de l'emploi sur la photo à gauche

(traduction)

LE QUATRIÈME REICH

Klaus Barbie : "Boucher de Lyon", assassin notoire de la Gestapo, a participé à la "Solution finale" d'Hitler. Accusé de torture, de massacre et de déportation de Juifs jusqu'à leur mort, la carrière de Barbie dans la SS n'est qu'une petite partie d'une incroyable vie secrète...

C'est en Amérique du Sud que Barbie a exploité ses compétences de manière mortelle. Courtisé par les dictatures militaires de droite, il est devenu la plaque tournante d'un réseau qui a atteint le cœur du commerce de cocaïne de plusieurs millions de dollars. Il a dirigé des escadrons de la mort, organisé des coups d'État militaires et a été impliqué dans des activités illégales de corruption.

Son histoire terrifiante est d'abord racontée dans ce livre par une équipe de journalistes d'investigation experts dirigés par Magnus Linklater et Neal Ascherson de The Observer et Isabel Hilton du Sunday Times, qui ont passé un an de recherches intensives dans 10 pays, reconstruisant pièce par pièce la preuve de l'existence d'un monde néo-fasciste secret.

(...)

Presque tous les jours pendant les mois d'été, un vieil homme énergique et debout peut être vu sur le front de mer de Torreblanca, une station balnéaire de la Costa del Sol dans le sud de l'Espagne. Sa démarche est confiante, ses manières sont autoritaires et montrent de légers signes de déclin de vigueur alors qu'il a déjà quatre-vingts ans.

Leon Degrelle est un survivant. Pendant trente ans après la guerre, il fut le collaborateur nazi le plus recherché de Belgique, condamné à mort par contumace pour trahison, détesté dans les mémoires comme le confident d'Hitler et faisant l'objet de plusieurs tentatives d'enlèvement par des chasseurs nazis. Jusqu'à récemment, il évitait la mondanité, cachant son identité derrière son nom espagnol en attendant que sa peine de mort expire.
Mais maintenant Degrelle vit au grand jour, désireux et impatient d'exposer ses vues inchangées sur le nazisme et de se souvenir de son amitié intime avec Hitler qu'il appelle "le plus grand génie et le plus grand chef de ce siècle".

Degrelle est une référence de choix pour tout ancien officier SS qui souhaite se souvenir du bon vieux temps. Son cercle d'amis à Madrid comprenait des nazis tels que le colonel Otto Skorzeny, l'homme que Hitler appelait son «commando spécial» et le général Karl Wolff, commandant SS en Italie et chef d'état-major de Himmler.

Parmi ses humbles invités, il y avait Klaus Barbie, venu deux fois en Espagne pour affaires de son pays d'adoption, la Bolivie, et qui a rendu hommage à Degrelle et à Skorzeny, bien qu'aucun des deux «grands hommes ne le tienne en haute estime. "Il n'est qu'un capitaine," dit Degrelle avec mépris." "Un capitaine - c'est le moins que l'on puisse faire en temps de guerre", a déclaré Skorzeny.

Plus important encore et plus flatteur pour Degrelle est le flux constant de jeunes visiteurs qui viennent s'asseoir à ses pieds dans les années 1960 et 1970. Il y avait, a-t-il découvert avec joie, une nouvelle génération de zélateurs de droite prêts à reprendre et à porter le flambeau du fascisme. Ils étaient désireux d'écouter les opinions des nazis.

Loin d'être répugnantes, les convictions fascistes de Degrelle apparaissent en parfait accord avec les leurs. Il s'est retrouvé invité à faire le salut lors de rassemblements du parti extrémiste espagnol Fuerza Nueva, au cours desquels des milliers de jeunes levaient les bras en signe de salut fasciste, ce qui lui a valu une immense satisfaction. L'accueil qu'il a reçu n'a pas l'a surpris. "Les jeunes ont toujours eu besoin de se battre pour une idée", a-t-il déclaré.

Parmi eux, un jeune homme l'a particulièrement impressionné : Stefano delle Chiaie, un néofasciste italien qui lui a été présenté en 1970 par un vieil ami, le prince Valerio Borghese, l'un des "plus brillants commandants de guerre" de Mussolini. Delle Chiaie, dit Borghese en confidence, était un homme d'action, un "zélateur" de la cause de la droite et "l'un des rares hommes capables de remettre les choses en ordre en Italie". La façon dont Delle Chiaie a "remis les choses en ordre" a été particulièrement violente. Sa carrière, d'abord comme chef de gang, puis comme terroriste d'extrême droite dans les rues de Rome et de Milan, a commencé dans les années 1950, à peu près au moment où Klaus Barbie quittait l'Europe pour l'Amérique du Sud afin de tisser les fils de sa nouvelle vie.
Il n'est pas exagéré d'établir des parallèles entre les carrières des deux hommes : tous deux croyaient en l'utilisation du contre-espionnage, de l'infiltration et de méthodes impitoyables contre les communistes et la gauche. Tous deux ont reçu l'aide de services secrets travaillant pour des gouvernements de droite et tous deux ont fini par travailler ensemble en Bolivie, le jeune fasciste et le vieux nazi, chacun avec ses talents particuliers.

Delle Chiaie a grandi dans les sombres années d'après-guerre de l'Italie vaincue, dans un immeuble anonyme d'Appio Latino, dans la banlieue de Rome. Après avoir assisté avec peu de succès à la Faculté des sciences politiques, il a exercé la profession d'assureur avec encore moins de succès.
De petite taille et mince - il ne mesurait qu'un mètre cinquante - il était surnommé de manière péjorative "Il Caccola" (argot romain pour "pleurnichard").

(suite)

Son visage pouvait passer complètement inaperçu parmi les gens, bien qu'il se soit plus tard laissé pousser une barbe pointue qui est devenue presque un signe d'identification sur les cartes d'identité que lui fournissaient les services secrets en Europe et en Amérique du Sud sous une série de pseudonymes. Son apparence, cependant, était trompeuse, car derrière elle se cachait un véritable patron. Dès l'école, il a développé une ambition tenace et un extraordinaire sens de l'organisation qu'il a utilisés pour réaliser ses idéaux politiques violents. L'un de ceux qui se souviennent de lui tel qu'il était à ses débuts évoque la colère et la frustration ressenties par Delle Chiaie et ses petits gangs dans une Europe où le cours des événements semblait tendre vers la gauche et où il semblait même que les communistes allaient faire partie du gouvernement.

"Nous nous fichions de l'idéologie", a-t-il affirmé, "nous étions juste irrités. Nous avons entrepris de détruire des sections du parti communiste, des plaques commémoratives et des pierres tombales de partisans qui avaient assassiné Mussolini, de violer des cimetières juifs et d'incendier les bureaux de la ligue ... tout ce qui peut nous venger."

Alors que delle Chiaie était encore adolescent, dans les années 1950, il rejoignit le parti fasciste italien MSI. Presque aussitôt, cependant, il trouva l'organisation trop étouffante à ses goûts et ainsi en 1958, à l'âge de 22 ans, il passa dans un nouveau groupe plus extrémiste fondé à Rome deux ans plus tôt et appelé le «Ordine Nuovo». Son emblème était une hache à deux tranchants et son mot d'ordre, sa devise était celle des SS nazis: «Notre honneur est notre loyauté». Ordine Nuovo avait commencé à rétablir le type de fascisme que Mussolini voulait - "le fascisme pur de nos origines", comme le Duce lui-même l'avait défini - et était prêt à admettre la violence comme moyen d'atteindre le but. Cependant, après un an de militantisme dans Orine Nuovo, delle Chiaie a rejoint les rangs d'un groupe plus petit et encore plus activiste et militant, Avanguardia Nazionale, qui sous sa direction deviendrait responsable de certains des actes terroristes les plus sanglants de l'après-guerre en Italie. "Nous sommes pour le combat d'homme à homme", a déclaré l'un des tracts d'Avanguardia Nazionale. «Avant de commencer, nos hommes sont moralement prêts à apprendre à briser les os même de quelqu'un qui tombe à genoux et pleure». Bien que l'organisation de delle Chiaie soit petite, ses actions participent à des attaques de plus en plus violentes contre les étudiants et les groupes communistes, dispersent les manifestations et attaquent les maisons des militants de gauche. Mais delle Chiaie lui-même était bien plus qu'un voyou de la rue. Il croyait en la création de liens avec d'autres organisations similaires à la sienne en Europe et, si possible, outre-Atlantique. Lors de certains voyages en Espagne, en Grèce et au Portugal, il a établi des contacts avec de nombreuses organisations fascistes pour comparer leurs notes et discuter de leurs objectifs politiques. Comme les activités de ces groupes ont commencé à attirer de plus en plus l'attention du monde extérieur, ils ont été surnommés l'"Orchestre noir" et toute une série d'actes terroristes inexpliqués leur ont été attribués. Au fil du temps, il sera de plus en plus difficile pour Interpol de faire la distinction entre les actes violents des Brigades rouges de gauche et leurs homologues de droite de l'Orchestre noir.

Outre Delle Chiaie, une autre figure marquante de l'Orchestre noir était un parachutiste français résolu du nom d'Yves Guérin-Serac, un vétéran de l'Organisation de l'armée secrète française (OAS) qui avait pris part à la guerre contre les nationalistes algériens dans les années 1950. Guérin-Serac dirigeait une agence de propagande de droite appelée Aginter press qui comptait parmi ses correspondants Stefano delle Chiaie se cachant sous le faux nom de Roberto Martelli. Aginter press n'était pas une agence de publicité ordinaire ; c'était la couverture d'un bureau d'espionnage utilisé par les services secrets portugais ; c'était un centre de recrutement de mercenaires en Afrique et de coordination d'une petite armée clandestine de mercenaires connue sous le nom "Organisation Armée Contre le Communisme International". Son patron était le colonel Otto Skorzeny, ancien combattant nazi.

Le livre d'origine est

The Fourth Reich: Klaus Barbie and the neo-Fascist connection

Les nazis ont-ils survécu ?
Nicolas Lebourg







(...)




_ _ _

https://fr.wikipedia.org/wiki/Groupe_Naumann

Martin A. Lee, The beast reawakens, 1999, p. 134: "Owned by Frau Lea Lucht (a cousin of exiled Waffen SS General Leon Degrelle), this shadowy corporation employed Otto Skorzeny as its Madrid representative."

https://books.google.be/books?redir_esc=y&hl=fr&id=SX4B7pNG3W8C&q=Degrelle#v=snippet&q=Degrelle&f=false

https://books.google.be/books?redir_esc=y&hl=fr&id=SX4B7pNG3W8C&q=Degrelle#v=snippet&q=Lea%20Lucht&f=false

De Elite van de Macht...'
Walter Baeyens
(p.582)


(...)  Een duidelijk zichtbaar element van het nazicontinuüm dat via het Skorzenyfiliaal en zijn project Stille Hilfe gelieerd was aan het Bormannnetwerk, was de Naumann Kreis. Dr. Werner Naumann was een oorlogsheld die nog voor zijn dertigste de graad van generaal droeg. Hij had actie gezien aan het oostfront, was meermaals gewond, verschillende keren nipt aan de dood ontsnapt en was Goebbels’ persoonlijke adjudant geweest. Na diens zelfmoord in Berlijn was Naumann zelfs even de opvolger geweest van Josef Goebbels op het Rijksministerie voor Propaganda. Naumann had vlak na de oorlog gepoogd om een nazipartij op te richten in Duitsland. Zijn Gauleiterkreis infiltreerde in 1950 de Duitse fdp, die na een coalitie met Adenauer in de regering zetelde. Tegen 1952 begon Naumanns stille overname van de fdp al aardig vorm aan te nemen. Het was de Britse inlichtingendienst die in 1953 een einde zou maken aan de politieke ambities van dr. Naumann. Wie niet op de hoogte was van het complot zag in dr. Naumann een stille zakenman die de Düsseldorfse firma H.S. Lucht beheerde. Aan het hoofd van dit import-exportbedrijf stond Lea Lucht, dochter van een Belgische generaal en weduwe van Herbert Lucht, oorlogsheld en ex-medewerker van Goebbels.

Lea Lucht was een opmerkelijke vrouw die zeer nauwe banden had met Léon Degrelle. Er werd zelfs gespeculeerd dat Degrelle de echte baas was van de firma H.S. Lucht. Ernst Achenbach, raadsman van de firma, was tijdens de oorlog de politieke adviseur was geweest van Otto Abetz, de Duitse ambassadeur in Vichy.

De Britse huiszoekingen bij de Naumann Kreis leverden documenten op die de verbindingen met nazivluchtelingen in Argentinië en met fascistische kopstukken in België, Engeland en Frankrijk blootlegden. Ook kwam aan het licht dat het H.S. Luchtfiliaal in Madrid werd geleid door Otto Skorzeny, de ss-held die de Britse en Amerikaanse diensten op 27 juli 1948 hadden laten ontsnappen uit Darmstadt  (...)

Sur Jean-Robert Debbaudt...









(traduction, en corrigeant l'orthographe des noms)

En particulier, Debbaudt a déclaré publiquement mettre son mouvement (une organisation nazie) au "service total et inconditionnel de la résistance palestinienne".

Debbaudt lui-même, à Paris, le 28 mars 1970, anime une réunion du "groupement pour la libération de la Palestine". Le fondateur du groupe est François Duprat, qui est également le chef d'"Ordre Nouveau", l'organisation nazie française, qui sera tué par ses propres camarades, accusé d'être trop "mou". La réunion a également été suivie par des délégués italiens au nom de Avanguardia Nazionale et de Ordine Nuovo, Giancarlo Cartocci et Bruno Luciano Stefano.

Stefano fréquentait le night club "Diplomat" à Rome, fermé par la police en juin 1972, également pour trafic d'armes.

http://historyofthewaffenss.com/community/knights-cross-holders-main-discussion/leon-degrelles-daughters-wedding-spain-1962/

Leon Degrelle's daughter's wedding, Spain, 1962

(...)

En espagnol :

https://www.abc.es/historia/abci-insolita-entrevista-abc-1969-general-nazi-hitler-quiso-como-hijo-eramos-apostoles-202101260114_noticia.html?ref=https:%2F%2Fwww.google.com%2F

La insólita entrevista de ABC en 1969 al general nazi que Hitler quiso como a un hijo: «Éramos apóstoles»

Un cuarto de siglo después de la Segunda Guerra Mundial, este diario mantuvo una larga y profunda charla con Léon Degrelle, dirigente al que el «Führer» condecoró personalmente en varias ocasiones y al que ayudó a perpetrar su barbarie en Bélgica, pero que consiguió huir de los Juicios de Núremberg y su condena a muerte

(...)

(traduction)

L'interview insolite, en 1969, du général nazi qu'Hitler aimait comme un fils, par ABC : "Nous étions des apôtres".

Un quart de siècle après la Seconde Guerre mondiale, ce journal a eu un long et profond entretien avec Léon Degrelle, un chef que le "Führer" a personnellement décoré à plusieurs reprises et qu'il a aidé à perpétrer sa barbarie en Belgique, mais qui a réussi à échapper au procès de Nuremberg et à sa condamnation à mort.

(...)

https://www.elmundo.es/loc/famosos/2020/08/08/5f2052effdddff39a78b459c.html

Jaime de Mora y Aragón: el 'dandy' vividor que hizo caja con su hermana Fabiola

Sábado, 8 agosto 2020 - 02:35

(traduction)

Jaime de Mora y Aragón : le dandy qui s'est enrichi avec sa sœur Fabiola

(...)

(traduction)

En ce sens, il convient de noter que depuis que l'ancien ministre de Franco, José Antonio Giron de Velasco, s'est installé en 1956 sur la Costa del Sol, la région s'est transformée en un nid d'ultras.

Des nazis célèbres, comme Léon Degrelle, considéré comme un criminel de guerre par les Belges, aux néo-fascistes comme Bruno Stefano, l'idéologue de l'Ordine Nuovo, toute une légion de l'ultra-droite nationale et européenne a trouvé refuge sur les plages ensoleillées de la Méditerranée espagnole.

Toutes ces questions sur le vol de Marbella auraient pu être éclaircies une fois pour toutes avec la capture de Stefano delle Ghiaie et d'Alberto Spaggiari ; au contraire, le 10 février, toute l'opération mise en place à cet effet à Madrid s'est effondrée parce que la Brigade régionale d'information de Barcelone a arrêté dans cette ville le fasciste Ernesto Mila Rodriguez.

Fondateur du CEDADE (Centro de Estudiod de Amigos de Europa), Mila était l'un des rares fascistes espagnols à avoir des contacts internationaux, principalement grâce à son livre publié il y a quatre ans intitulé "L'offensive néofasciste" et à ses travaux publiés dans la revue "Confidential" dont le rédacteur en chef était Salvatore Francia. Mila était apparemment l'une des personnes censées organiser la réunion de l'"Internationale noire" à Madrid.

The Fourth Reich: Klaus Barbie and the Neo-fascist Connection – 1 novembre 1984

Pour information (en espagnol) :

https://www.rtve.es/play/videos/somos-documentales/el-hombre-mas-peligroso-de-europa-otto-skorzeny/6067498/

"El hombre más peligroso de Europa, Otto Skorzeny"

(traduction)

"L'homme le plus dangereux d'Europe, Otto Skorzeny"





Otto Skorzeny, le soldat d'action préféré d'Hitler, considéré un jour comme "l'homme le plus dangereux d'Europe".

Le réfugié fugitif en Espagne après la Seconde Guerre mondiale.

Qui était réellement Otto Skorzeny et qu'a-t-il fait pendant les presque 30 ans où il a vécu parmi nous ?

Contenu disponible jusqu'au 13 septembre 2021.