|
| Degrelle, Léon | |
|
+28guy mayeu Limir Etienne totor Cheshire cat falco Galahad CQB241 titu CS1958 arthur29923 Hoho michel-j Et In Arcadia Ego g.damseaux K pami75 dim HERVE Willy-Nilly alain Henry dentifrix Dimitri newdivision undercover EVE michel 32 participants | |
Auteur | Message |
---|
HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Degrelle, Léon Sam 11 Sep 2021 - 3:45 | |
| https://www.cia.gov/readingroom/docs/DEGRELLE%2C%20LEON_0025.pdf |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Degrelle, Léon Mer 22 Sep 2021 - 20:30 | |
| |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Degrelle, Léon Jeu 21 Oct 2021 - 22:33 | |
| Pour information
https://fr.timesofisrael.com/ce-que-jaguar-nous-apprend-du-double-jeu-de-franco-sous-le-nazisme-et-apres/
Ce que « Jaguar » nous apprend du double jeu de Franco sous le nazisme – et après
La série Netflix met en lumière l’assassinat de milliers de républicains espagnols dans les camps de concentration nazis – avec l’aval du dictateur et de l’Église
21 October 2021
(...)
https://www.netflix.com/be-fr/title/81122682
|
| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Degrelle, Léon Sam 25 Déc 2021 - 6:12 | |
| A book that may interest you: Albert Spaggiari "Le fogne del Paradiso", OAKS Editrice, 2016, with the postfaction of Tomaso Staiti di Cuddia (aristocrat, monarchist, neofascist, participated in the creation of the "Lega Meridionale", a party created by Gelli and Delle Chiaie with the support of the mafia). Staiti tells in the book that he encountered Spaggiari in Rio de Janeiro in February 1977, in the same hotel where Alain Delon was housed (that Staiti suspected to be in close contact with Spaggiari). Spaggiari later gave a book written by Leon Degrelle to Staiti. _ _ _ https://it.wikipedia.org/wiki/Lega_Meridionale https://it.wikipedia.org/wiki/Tomaso_Staiti_di_Cuddia_delle_Chiuse (Tomaso Staiti, né à Vercelli, le 2 décembre 1932 ; Albert Spaggiari est aussi né en décembre 1932) _ _ _ (traduction) TOMASO STATTI DI CUOCIA A un vrai ami "Deviens ce que tu es", disait le grand Nietzsche. Et Albert Spaggiari était fatalement et heureusement destiné à devenir ce qu'il était vraiment : un provocateur loyal et charmant et un soldat d'aventure chimérique. L'aventure est la vie parfaite, son essence nue, une sublimation spirituelle et la seule chose qui puisse - au moins en partie - expliquer notre présence fortuite sur cette terre. Qu'est-ce qu'Albert aurait pu être ou devenir d'autre en ce milieu de siècle, un siècle dit "court" mais riche en événements ? Dans ce contexte historique et politique où les gens pouvaient encore se bercer de l'illusion qu'ils n'étaient pas complètement asservis par des technologies inhumaines ou par des décisions prises par-dessus leur tête, sous la bannière de cette démocratie moderne qui fixe les résultats avant même qu'ils ne se produisent ? À moins de dix-huit ans, il se porte volontaire dans les parachutistes français en Indochine pour servir un pays encore plein de "grandeur", qui mène une guerre déjà perdue non seulement sur le plan militaire ; puis, fatalement passé à l'O.A.S. - Organisation Armée Secrète - pour l'Algérie française, désormais victime prédestinée de la politique des différentes républiques qui a hâte de se débarrasser de ce problème, qui a entraîné avec elle des concepts tels que l'honneur, la fidélité, la fidélité à sa parole et dignité personnelle. Pour tenir ses engagements moraux, un officier de famille noble, Jean Bastien Thiry, sera fusillé comme "traître" après l'attentat manqué contre Charles de Gaulle. Le même sort aurait pu frapper Albert, si Pierre Lagaillarde - l'un des plus grands soutiens de l'Algérie française - avait fait l'appel qu'il attendait, l'index sur la gâchette de son fusil braqué sur le général, lors d'une visite officielle à Hyères, la ville natale de Spaggiari. Mais peut-être les choses avaient-elles déjà pris la tournure que presque tout le monde souhaitait et l'O.A.S. avait-elle déjà été utile à la France. (traduction d'un extrait) Je pense qu'il a tout compris. Bref, nous sommes devenus amis : il est né comme moi en décembre 1932, à trois jours d'intervalle. Nous traînons ensemble à Rio et avons aussi des amis communs. Je le soupçonne de rencontrer Delon, qui loge dans le même hôtel que moi. Quelques jours plus tard, il m'a dit qu'il devait partir, à la recherche d'une tombe viking en Argentine. Il m'a donné un livre de Léon Degrelle, avec une dédicace écrite pour lui à Madrid. J'ai lu son vrai nom. Mais je le connais déjà. Cette réunion était un accident. Pour ceux qui, comme moi, croient au hasard. |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Degrelle, Léon Sam 1 Jan 2022 - 21:01 | |
| https://www.28maggio74.brescia.it/flamini-golpe-ott/Binder1--flamini-golpe-3-2-ocr-ott.pdf (traduction) Pour l'instant, c'est le tour de la solidarité. L'Italiano" en rapporte un vaste panorama (responsable Carla De Paoli, correspondant de Lausanne Guy Amaudruz, d'Athènes Kostas Plevris, de Stuttgart Bruno Zoratto, de Malmoe Per Engdahl, de Bruxelles Jean Robert Debbaudt). |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Degrelle, Léon Dim 16 Jan 2022 - 1:06 | |
| Pour information, un documentaire (1h11) : https://www.rtlplay.be/belgique-nazie-p_21028/belgique-nazie-c_12912417 Belgique nazie_ _ _ Il y a un élément peu connu mais qui pourrait avoir son importance : il s'agit de Marie-José de Piémont, soeur de Léopold III. Elle s'est mariée au prince héritier Humbert de Savoie en 1930. https://fr.wikipedia.org/wiki/Marie-Jos%C3%A9_de_Belgique https://fr.wikipedia.org/wiki/Humbert_II_(roi_d%27Italie) _ _ _ https://okmagazine.ro/povestea-frumoasei-marie-jose-de-piemont-ultima-regina-a-italiei/a20070673 FRIDAY 19 MARCH 2021 Povestea frumoasei Marie José de Piemont, ultima regină a Italiei (traduction) L’histoire de la belle Marie José du Piémont, dernière reine d’Italie_ _ _ Cela pourrait être intéressant au vu des sentiments monarchistes de Alliata di Montereale et de Amos Spiazzi. C'est un point à étudier. Peut-être faut-il voir là l'explication de l'appartenance de Amos Spiazzi à l'association des "Vétérans du roi Albert 1er" (et de ses éventuels contacts avec Robert Close). |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Degrelle, Léon Lun 17 Jan 2022 - 3:55 | |
| Un avis d'expert sur Umberto II, le beau-frère de Léopold III ... _ _ _ Spiazzi and Alliata di Montereale were monarchists, so they supported and were close to Umberto II. Indeed, Alliata was also an Italian member of the Chamber of Deputies for the I, II and III legislature. In that period, he went to Cascais, where Umberto II was "exiled", and gave information and news about Italian politics and the monarchist party to the former king. You can read about one of Alliata's meeting with Umberto II in the book "The two impostors" (1949, published in Italy in 1950 as "Il Ritorno dei Re") by Daniele Varé, a former Italian diplomat (colleague and friend of Alliata's father) who was a monarchist. Also, with a bit of irony, you can read about Alliata's meetings with the former king in the attached newspaper "L'Avanti!" (Italian Socialist Party), where on page 3 they report about Alliata's travel to Cascais (with the monarchist marquis Falcone Lucifero). The newspaper said that those meetings were useless, as Alliata wasn't able to understand Italian politics. Umberto II was also an "honorary general grand inspector" of Alliata's masonic obedience in the 1950s. Both Spiazzi and Alliata never "betrayed" the trust of Umberto II. When Umberto II died in 1983, he should have been replaced by his son, Vittorio Emanuele III. But many Italian monarchists didn't like him and accused him of: wasting his family's finances, marrying an untitled woman (who they called "La biscottaia", the biscuit-maker, because his dad had a biscuits and flour industry), of causing an incident shunting his Ferrari, of being the killer of Dirk Hamer (a young boy who was killed by gunshot that was shot by Vittorio Emanuele in his yacht) and of being a member of the P2 (masonic card 1925; the P2 lists were made public in May 1981). So, this side of the monarchists splitted and chose his cousin, Amedeo d'Aosta, a former member of the Italian Navy who was considered a moderate and more inclined to be sit on a throne. Alliata and Spiazzi both rejected this side of the monarchists and stayed close with Vittorio Emanuele III. _ _ _ _ _ _ The Two ImpostorsVare, Daniele Edité par John Murray, 1949 |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Degrelle, Léon Ven 8 Avr 2022 - 1:31 | |
| https://www.archives.gov/files/iwg/reports/hitlers-shadow.pdf |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Degrelle, Léon Sam 4 Juin 2022 - 2:36 | |
| https://www.mers.be/BOOK/8773.php |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Degrelle, Léon Sam 4 Juin 2022 - 4:56 | |
| La mafia des S.S.Victor Alexandrov |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| | | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Degrelle, Léon Sam 23 Juil 2022 - 5:38 | |
| https://www.tandfonline.com/doi/full/10.1080/07075332.2020.1845777
The End of the Affair: The International Dispute over the Deportation of Degrelle from Spain to Belgium, 1945–1946
Pablo del Hierro
Pages 761-780 | Published online: 07 Jan 2021
Abstract
The aim of this article is to study the evolution of the multilateral negotiations aimed at the expulsion of Leon Degrelle between 1945 and 1946, in an attempt to understand why Britain and the USA failed to obtain his repatriation. By following an international history approach, this article shows how legal concepts like extradition, repatriation or expulsion were, by the end of World War II, insufficiently developed to deal with the intricacies of prosecuting war criminals who had fled their countries of origins. Furthermore, this paper will underscore how those legal concepts became more about diplomacy than law, with the foreign-affairs branches of domestic governments interfering with matters that traditionally pertained to the judiciary power. The sensitivity of the Leon Degrelle case, the prominent position that he had had in Belgium, together with the need to readjust relations with the Francoist regime in the context of deteriorating relations between Western countries and the Soviet Union, forced the governments in London and Washington to tread very carefully in order to balance their national interests with the defence of justice and human rights. Ultimately, the pragmatic approach adopted by the Anglo-American authorities explains why Degrelle was not extradited to Belgium in 1945-1946.
(...)
_ _ _ _ _ _
Du même auteur :
https://www.tandfonline.com/doi/full/10.1080/13507486.2021.1962253?cookieSet=1
‘From Brest to Bucharest’: Neofascist transnational networks during the long 1970s
Pablo del Hierro
Pages 520-547 | Received 14 Aug 2020, Accepted 27 Jul 2021, Published online: 07 Jun 2022
Abstract
This paper focuses on the transnational neofascist network during the long 1970s. Specifically, it revolves around the period between the consolidation of the generational change (made explicit in 1968), and the beginning of the 1980s, when many of these political actors decided to migrate to South America, increasingly aware of the shortcomings of their European project. From a spatial perspective, this paper concentrates on the concept of a ‘Third Force Europe’, paying particular attention to Latin connections, especially France, Italy, Spain and Portugal – countries which remained at the forefront of the network. The main premise will be that the new generation of neofascist militants that was beginning to dominate the political stage during the 1960s was dissatisfied with the old ways in which neofascist groups were conducting politics, thus becoming determined to find a place to be politically active outside the traditional parties; in fact, they needed to find their own political space vis-à-vis the more nostalgic older generation. This physical space would eventually be found in Italy, Spain, Portugal and many Latin American countries which had offered a safe refuge for the older fascists who had wanted not only to escape, but also to settle down and consolidate a series of political and personal relationships which they had established over the past two decades. From a strategic perspective, the growing dissatisfaction would also create a new form of struggle: black terrorism. This terrorism became widespread in Europe in the late 1960s and 1970s and, as a result of this, many neofascists were forced to flee their countries to find refuge, once again, in Spain, Portugal and Latin America. This diaspora would further enhance transnational neofascist cooperation that would reach one of its high points between 1969 and 1981.
(...)
_
Voir notamment le chapitre " The case of Ernesto Milá " : "In turn, Milá would end up in Bolivia working as a political adviser for the short-lived dictatorship of Luis García Meza, along with other neofascists ‘comrades’ such as Stefano delle Chiaie and Klaus Barbie."
Sa contribution au trimestriel " Confidentiel " est seulement évoquée. Pour une récente étude de ce périodique, voir
Galadriel Ravelli (2022). "Strategies of Survival: Reviving the Neo-Fascist Network Through a Transnational Magazine". European History Quarterly. 52 (1): 65–86. doi:10.1177/02656914211069262
https://journals.sagepub.com/doi/pdf/10.1177/02656914211069262
_
http://www.piantiamolamemoria.org/gli-spintaneisti-neri-che-volevano-essere-dimenticati/
(traduction)
(...) Le 14 décembre 1979, Nistri, âgé d’un peu plus de vingt ans, et deux autres jeunes terroristes noirs, Giuseppe Dimitri et Alessandro Montani, avaient été capturés dans un repaire romain du Nar via Alessandria 129, près de Porta Pia. Curieusement, le même numéro de maison abritait la rédaction de « Confidential », un magazine proche d’Avanguardia Nazionale (le mouvement subversif dirigé par Stefano Delle Chiaie) à l’époque dirigé par Adriano Tilgher. Après une brève fusillade, la police les avait arrêtés et, fouillant le repaire, s’était retrouvée devant un véritable arsenal : les chroniques de l’époque rapportent « 15 fusils « Winchester », quelques mitrailleuses, de nombreux pistolets, munitions, plusieurs kilos d’explosifs avec fusibles, puis des uniformes de la police financière (...)
https://archivio.unita.news/assets/main/1979/12/15/page_010.pdf
_
Le fait que le général Robert Close ait accordé une longue interview à Paulo de Castro de " Confidentiel " est évidemment significatif. Il en va de même de la rencontre de Robert Close avec Augusto Pinochet et de ses activités à Argenteuil.
|
| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Degrelle, Léon Mar 16 Aoû 2022 - 2:24 | |
| Sauf homonymie (qui me semble très peu probable), Heinz Forsteneichner que l'on retrouve à l'abbaye de Royaumont et à l'AEPS était SS et membre de la brigade Wallonie de Léon Degrelle. Il semble même qu'il servait d'interprète. https://www.facebook.com/520809125028872/posts/808484162928032/ |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Degrelle, Léon Mar 16 Aoû 2022 - 2:29 | |
| Léon Degrelle et la Légion Wallonie : La fin d'une légendeEddy de Bruyne |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Degrelle, Léon Dim 21 Aoû 2022 - 0:27 | |
| https://www.yumpu.com/en/document/read/5422798/who-is-otto-von-habsburg-executive-intelligence-review _ _ _ https://biblio.ugent.be/publication/4175616/file/4175676.pdf _ _ _ https://magazin.spiegel.de/EpubDelivery/spiegel/pdf/42622988 (traduction) L'apaisement progressif de l'hystérie de la guerre de Corée laisse Degrelle sans emploi et le confronte à la nécessité d'essayer de se réhabiliter politiquement en Belgique. En 1952, il fait publier ses mémoires, bien que par une maison d'édition de Tanger, dans lesquelles il se présente comme un anticommuniste incompris, il a également établi des relations, par l'intermédiaire du marquis conservateur de Valdeiglesias, avec le "Centre européen de documentation" d'Otto de Habsbourg, qui compte parmi ses membres non seulement des ministres fédéraux allemands, mais aussi des aristocrates belges. _ Voir https://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=CRIS_252_0001 (...) La constitution du "C.E.D.I. International" date de 1949. L’initiateur du mouvement est l’Archiduc Otto de Habsbourg. Le C.E.D.I. International a son siège à Munich. (...) Le Secrétariat général a son siège à Paris. Le Secrétaire général est actuellement une personnalité autrichienne, le Baron von Gaupp-Berghausen, qui a succédé en 1964 au Conseiller d’Etat espagnol, le Marquis de Valdeiglesias. Le trésorier est un administrateur du C.E.D.I. belge : le Comte J.P. de Launoit. (...) Les représentants belges au Conseil International du C.E.D.I. sont jusqu’en 1964 le Chevalier De Roover, le Comte Jean-Pierre de Launoit, le Comte Thierry de Limburg-Stirum, l’ancien parlementaire social-chrétien Maurice Schot et M. Jacques Solvay. (...) _ _ _ |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Degrelle, Léon Dim 21 Aoû 2022 - 2:05 | |
| Spain and the Process of European Integration, 1957–85J. MacLennan _ _ _ Voir : https://es.wikipedia.org/wiki/Jos%C3%A9_Ignacio_Escobar_y_Kirkpatrick Note : sur la photo du message précédent, le marquis de Valdeiglesias est à côté de Nicolas de Kerchove d'Ousselghem, proche de Jean Gol et de Paul Vanden Boeynants... |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Degrelle, Léon Mar 23 Aoû 2022 - 22:05 | |
| Dans sa thèse de doctorat, Klaartje Schrijvers mentionne le lien entre Otto de Habsbourg et Léon Degrelle ... Zo frequenteerde hij in zijn Leuvense en Brusselse periode Léon Degrelle, aan wie hij zijn uitgesproken sympathieën voor Rex liet blijken en aan wie hij steun vroeg om in Oostenrijk een gelijkaardig politiek initiatief op te zetten (189) .(traduction) Pendant sa période louvaniste et bruxelloise, par exemple, il a fréquenté Léon Degrelle, à qui il a fait connaître ses sympathies ouvertes pour Rex et à qui il a demandé un soutien pour mettre en place une initiative politique similaire en Autriche. _ _ _ |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Degrelle, Léon Mar 30 Aoû 2022 - 0:52 | |
| Extrait de " l'arrêt Cavallini " (2020) (traduction) Carlo Digilio rapporte que Flavio Campo vivait à Torrelinos, près de Malaga, en automne 1976 (lorsqu'il s'est rendu en Espagne pour rencontrer Eliodoro Pomar). À cette époque, d'autres Italiens se trouvaient en Espagne, dont Giancarlo Rognoni, qui vivait à Madrid dans la maison de Léon Degrelle, "le célèbre chef belge", comme l'a souligné Digilio, "un personnage légendaire pour s'être rangé du côté des Allemands pendant la Seconde Guerre mondiale avec sa Division Wallonie" (dich. G.l. Milano dotto Salvini des 20.9.1994 et 29.10.1996). (58) _ _ _ (58) A noter, comme preuve de la communauté et de la consonance des idées, que Léon Degrelle figure parmi les lectures épinglées dans ses agendas par Gilberto Cavallini, qui note son œuvre complète (qui se compose de 13 volumes). Degrelle était un homme politique belge, fondateur du rexisme, un mouvement nationaliste, mais qui s'est ensuite tourné idéologiquement vers le fascisme. Il a combattu pendant la Seconde Guerre mondiale dans le contingent wallon de la Waffen-SS sur le front de l'Est. Il était l'une des principales figures des néonazis et référent de certains mouvements de l'extrême droite européenne. Ouvertement négationiste et admirateur d'Hitler. |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Degrelle, Léon Ven 25 Nov 2022 - 22:05 | |
| https://pnws.be/is-er-dan-toch-n-link-tussen-degrelle-en-de-bende-van-nijvel/ Er zijn verschillende concrete elementen die Degrelle aan de feiten van de Bende van Nijvel linken. Martial Lekeu verklaarde dat hij zeer goede contacten had met Degrelle. De Bastognard Martial Lekeu had er al een carrière van tien jaar opzitten, toen hij in mei 1984 halsoverkop met zijn familie via Parijs en een weekje Bretagne naar de Verenigde Staten verdween: eerst naar New York, even later naar Miami en uiteindelijk naar Orlando, Florida. In het begin van de jaren zeventig was hij van simpel rijkswachter bij de Vijfde Mobile Brigade in Brussel, via één maand als anti-terroristische commando bij de elite-eenheid SIE opgeklommen naar een job bij de drugssectie van de Brusselse BOB. Daar ontmoette hij Madani Bouhouche en Robert Beijer, jongens met een reputatie. Eén van de eerste slachtoffers van de Bende – José Vanden Eynde – had eveneens zeer goede contacten met Degrelle. Ze schreven elkaar op regelmatige basis. Brieven die Vanden Eynde nadien vernietigde. José Vanden Eynde zou zich in een ver verleden opgehouden hebben in de entourage van Rex-leider Léon Degrelle. Hij zou nog met hem gevochten hebben aan de zijde van dictator Franco tijdens de Spaanse burgeroorlog. Maar daarvan is in officiële archieven niets terug te vinden. Toch oppert José’s zoon dat de moord misschien een wraak was voor wat zijn vader daar had uitgespookt. En in maart 1984 wordt een brief gevonden die aan Michel Cocu wordt toegeschreven waarin staat dat achter de feiten van de Bende een organisatie genaamd DVO zit, die gefinancierd wordt door Degrelle. Het is maart 1984. Claudine Jansens, tewerkgesteld in een Club-winkel in de Victor Allardstraat in Ukkel, heeft in een aktetas die in de winkel achtergelaten was een merkwaardige brief gevonden. Een brief die naar alle waarschijnlijkheid door Michel Cocu werd geschreven. In die brief is er sprake van de in Genval, Ukkel, Halle, Nijvel en Anderlues gepleegde feiten. De brief bevat ook een passage die betrekking heeft op Christelle Cocu en op Jacqueline Géva, de minnares van Michel Cocu. In de brief wordt beweerd dat de slachtpartijen in Brabant te wijten zijn aan een mysterieuze organisatie, VDO genaamd, een organisatie waartoe Adriano Vittorio zou behoord hebben en die gefinancierd werd door Léon Degrelle. Het doel was om in België terreurdaden te plegen die verhuld werden als hold-ups. Degrelle had in Spanje in 1992 nog een reünie met ongeveer 150 Waalse SS’ers. Wat aantoont dat er een netwerk was en dat hij een behoorlijke aanhang had in die tijd. Volgens Walter De Bock was er een link tussen Rex National en WNP. (traduction) Léon Joseph Marie Ignace Degrelle (Bouillon, 15 juin 1906 - Malaga, 31 mars 1994) est un homme politique wallon-belge qui a fondé le mouvement fasciste belge Rex en 1936. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il a levé la Légion wallonne de la Waffen-SS, des troupes qui ont combattu sur le front de l'Est. Après 1945, il a été condamné à mort par contumace en Belgique. Il a vécu jusqu'en 1994 dans l'Espagne du dictateur Franco, où il a obtenu l'asile et une nouvelle identité. Plusieurs éléments concrets relient Degrelle aux faits des tueurs du Brabant. Martial Lekeu a déclaré qu'il avait de très bons contacts avec Degrelle. Le bastognard Martial Lekeu a déjà accompli une carrière de 10 ans quand, en mai 1984, il disparaît tête baissée avec sa famille, via Paris et une semaine en Bretagne, pour les Etats-Unis : d'abord à New York, un peu plus tard à Miami et enfin à Orlando, en Floride. Au début des années 1970, il était passé de simple gendarme à la cinquième brigade mobile de Bruxelles, en passant par un mois de commando antiterroriste au sein de l'unité d'élite ESI, à un poste à la section des stupéfiants de la BSR de Bruxelles. Il y a rencontré Madani Bouhouche et Robert Beijer, des personnes bien connues. L'une des premières victimes des tueurs - José Vanden Eynde - avait également de très bons contacts avec Degrelle. Ils s'écrivaient régulièrement. Lettres que Vanden Eynde a ensuite détruites. Dans un passé lointain, José Vanden Eynde aurait traîné dans l'entourage du leader du Rex, Léon Degrelle. On dit qu'il a combattu aux côtés du dictateur Franco pendant la guerre civile espagnole. Mais il n'y a aucune trace de cela dans les archives officielles. Pourtant, le fils de José suggère que le meurtre pourrait être une vengeance pour ce que son père avait fait là-bas. Et en mars 1984, on retrouve une lettre attribuée à Michel Cocu affirmant que derrière les faits du Gang se cachait une organisation appelée DVO, financée par Degrelle. Nous sommes en mars 1984. Claudine Jansens, employée dans un magasin Club de la rue Victor Allard à Uccle, a trouvé une curieuse lettre dans une mallette laissée dans le magasin. Une lettre écrite, selon toute vraisemblance, par Michel Cocu. La lettre mentionne les actes commis à Genval, Uccle, Halle, Nivelles et Anderlues. La lettre contient également un passage faisant référence à Christelle Cocu et à Jacqueline Géva, la maîtresse de Michel Cocu. La lettre prétend que les massacres du Brabant sont dus à une mystérieuse organisation appelée VDO, organisation à laquelle Adriano Vittorio aurait appartenu et qui aurait été financée par Léon Degrelle. Son objectif était de commettre des actes de terreur en Belgique, déguisés en hold-up. Degrelle a eu une autre réunion en Espagne en 1992 avec environ 150 officiers SS wallons. Ce qui montre qu'il y avait un réseau et qu'il avait une certaine audience à l'époque. Selon Walter De Bock, il y avait un lien entre Rex National et WNP. |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Degrelle, Léon Sam 26 Nov 2022 - 5:17 | |
| Extrait : (traduction) Par l'intermédiaire du propriétaire terrien, Degrelle fit la connaissance de l'opposante et excentrique duchesse de Valence, que le publiciste britannique Randolph Churchill avait popularisée en 1946 dans les pays anglo-saxons sous le nom de "duchesse rouge", après l'avoir rencontrée dans une cellule de prison - la duchesse purgeait alors une peine de prison pour insulte à Franco. De son côté, la "duchesse rouge" recommandait le SS alerte à la coupe de cheveux courte à ses amis anglo-saxons des ambassades de Madrid comme un anticommuniste infatigable. C'est dans le salon politique de la duchesse que le chômeur trouva la mission qui lui convenait : à la demande des militaires américains, Degrelle devait organiser un groupe de "nids de résistance" au sud des Pyrénées afin de protéger le pays d'une invasion venant de l'Est. Léon Degrelle parcourut rapidement les provinces, engagea des hommes de conviction qui, comme lui, avaient quitté précipitamment leur patrie ou leur lieu de travail, et trouva finalement deux terrains isolés sur lesquels il pouvait préparer ses légionnaires à la guerre de partisans : dans la vallée du Guadalquivir près de Séville et dans une propriété près de la ville de Constantina, dans le sud de l'Espagne. Les armes nécessaires ont été fournies par les commanditaires américains. La désinformation ciblée du cercle d'amis protégeait suffisamment le colonel SS wallon contre les curieux. Tantôt on disait que son amie noble l'avait aidé à s'enfuir en Argentine, tantôt on prétendait l'avoir vu dans une station balnéaire près de Montevideo. |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Degrelle, Léon Lun 12 Déc 2022 - 23:34 | |
| In the documentation seized by the police on 31 March 1971, there was a letter sent from Jean-Robert Debbaudt of the "Mouvement Social Belge" in 1965 to the headquarters of "Ordine Nuovo". Since Elio Massagrande was one Ordine Nuovo member and Elio Massagrande and Clemente Graziani were very close, I guess that at least he knew Jean-Robert Debbaudt by name. (traduction) - Lettre de Jean Robert DEBBAUDT (169) du "Mouvement Social Belge" datée de "Bruxelles, le 26 juin 1965" adressée à "Ordine Nuovo, Via di Pietra, 84 Roma", il s'agit également d'un message envoyé à l'occasion de la conférence de l'O.N. (pièce jointe m. 3/15) ; (...) (169) Jean Robert DEBBAUDT (né à Forest le 20.08:1926, de nationalité belge, rédacteur du périodique "E urope Réelle", organe de presse de la N.O.E. qui semble avoir participé à la conférence de la N.O.E. tenue à Abbiategrasso (Ml) le 25 mars 1967 à laquelle participaient notamment Carlo Maria MAGGI, Robert LEROY et Gaston AMAUDRUZ (voir note Digos Milano Cat. A4/96,D1GOS (Sez.4 a) en date du 6 juin 1996 dans 91/97 b-b-2 p. 205,206) |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| | | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Degrelle, Léon Mar 13 Déc 2022 - 1:42 | |
| The connection between Aginter Presse and Debbaudt is very important also because, as you can see from the image below, that come from the " Stindardul" magazine, a newspaper published by the Anti-communist Romanian living in Munich, he printed one negationist book of Leon Degrelle. The " Stindardul" was very well known for his far-right views and was very well connected with the "Anti-bolshevik Bloc of Nations" and with the "Assembly of Captive European Nations", but it also reprinted the news from the "Aginter Presse", in the years in which Yves Guérin-Serac was active in Lisbon. Stindardul, the Romanian language right-wing émigré newspaper in Munich. |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Degrelle, Léon Mar 13 Déc 2022 - 2:05 | |
| Jean-Robert Debbaudt was the correspondent from Bruxelles of the neofascist magazine " L'Italiano", directed by Pino Romualdi (who was appointed by the CIA as a top member of the network "Project Los Angeles", composed by Nazi veterans). Other foreign correspondent were Kostas Plevris, an agent of the Greek colonels' regime and Bruno Zoratto, Almirante trusted man in Germany. |
| | | HERVE
Nombre de messages : 21558 Date d'inscription : 08/12/2009
| Sujet: Re: Degrelle, Léon Mar 13 Déc 2022 - 2:19 | |
| Jean-Robert Debbaudt was indicated in the Italian informatives of the Italian Ministry of the Interior ; the SID (military secret service) pointed on the ties of Jean-Robert Debbaudt with the Italian far-right (through Nuovo Ordine Europeo) and then with the "Paladin organization". The "Paladin group" was directed in Italy by Johann Schuller, former Nazi, whose lawyer was Nicola Madia, also lawyer of Delle Chiaie, Rauti, Almirante, Romualdi and other violent neofascists (he also assisted the leaders of Ordine Nuovo and Avanguardia Nazionale against the prosecutor Occorsio, later killed by the neofascists). (...) (...) (...) (...) |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Degrelle, Léon | |
| |
| | | | Degrelle, Léon | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |