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 La piste libanaise

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K




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MessageSujet: Re: La piste libanaise   La piste libanaise - Page 9 EmptySam 8 Oct 2011 - 17:26

puis quand on lit la presse de 1983-1984 on voit reapparaitre des nouveau les noms du proces François ils disent
dans la presse

tous on repris le même chemin , fraichement liberé.

je doit donc regarder où je peut trouver les histoires autour de ce proces

gendarme Raes p;e;?
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alain




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MessageSujet: Re: La piste libanaise   La piste libanaise - Page 9 EmptySam 8 Oct 2011 - 17:32

K a écrit:
je connais l'histoire en france mais cela est encore à l' étude

la question ici c'est :qui connait les massacres à bruxelles ds le milieu des libanais

quel dossiers tenait Latinus , dixit sa mère ?

ne me sort pas la soucoupe volante PINON c'est le monstre de Loch Ness

les belles libanaises m'interessent aussi ,mais surtout celle qui venaient à ALOST


Minimouse en demandait qqs chose 2007 mais un ancien du bureau de la drogue(,) à vite lancé la discussion vers d'autres horizons.

pourqoui les victimes de Alost n'ont jamais eu access aux dossiers de Wavre ?
parce que il y avait des libanais(es) aussi ????
PINON :monstre du LOCH NESS 100/100 ok
maar pour les LIBANAISES ,la ,c est + sérieux .......mais personne n en veut bom cheers
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K




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MessageSujet: Re: La piste libanaise   La piste libanaise - Page 9 EmptySam 8 Oct 2011 - 20:26

pourtant déjà en 2007 un membre s'interessait au libanais(es):

Citation :
minimouse

Réponses: 198
Vues: 4606
Rechercher dans: Autres pistes Sujet: La piste libanaise Mer 21 Fév 2007 - 0:25
Mijnheer FB,

Bestaat de mogelijkheid om u, en uw ex-collega 'B', te ontmoeten -buiten deze site om- in verband met de Libanese piste?

Ook in Aalst lopen er in de jaren '80 sporen naar Libanon (Maroun, Chebib, Lekeu, Bouhouche, Beier). Er zijn er nog andere.

Sinds lang hadden wij u (jullie) daarover graag eens gesproken. Kan dat?

Vriendelijke groeten.



et puis un ancien de francois a enmené la discussion sur d'autres voies.
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HERVE




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MessageSujet: Re: La piste libanaise   La piste libanaise - Page 9 EmptySam 15 Oct 2011 - 15:10

En lien avec le Liban on pourrait notamment penser à Freddy Bracke (BYBLOS BANK SA a son siège à Beyrouth) :

Head of Operations - Controller
BYBLOS BANK SA, Brussels

Privately Held; 11-50 employees; Banking industry

1982 – 1987 (5 years)

_ _ _


Il y a aussi un lien avec Ecoovie :

HAQUIN,RENE

Page 8

Jeudi 9 mars 1989

La secte Ecoovie: quel fric cachent les fumées de l'énigmatique Indien Tiam ?

Trois mois d'instruction judiciaire n'ont pas suffi à disperser les fumées qui noient les activités d'une série de personnes et de sociétés liées d'une façon ou de l'autre à l'énigmatique Canadien Pierre-Doris Maltais, mieux connu sous d'autres noms tels que Tiam ou Norman William. Son arrestation, suivie de celle de Keteleer, ont fait détaler une poignée d'individus qui eux aussi s'affublent d'identités changeantes et des plus suspectes.

L'affaire fait peur parce qu'elle touche à la secte Ecoovie qui a terrorisé des familles françaises et belges et qui visait probablement à s'installer en Belgique, parce qu'elle révèle aussi un montage d'associations et de sociétés «bidon» qui en ont abusé plus d'un, parce qu'enfin le parfum des fumées de l'Indien sent la combine et l'argent douteux, avec peut-être même un arrière-goût de poudre...

Entre les (rares) certitudes de l'enquête menée sous l'autorité du juge Van Espen et ce qui se dit ou s'écrit, la distance est celle qui sépare la chose établie de la chose pressentie. Exemple: les autorités judiciaires ne connaissent même pas encore aujourd'hui avec certitude l'identité de l'homme (qui se dit indien de la tribu mic-mac) arrêté à Bruxelles le 9 décembre sous le nom de Pierre-Doris Maltais, celui qu'on appelle le gourou d'Ecoovie. Le Canada, dont Maltais a la nationalité, ne semble guère pressé de fournir au juge les éléments d'identification. Ainsi, Interpol-Ottawa n'a toujours pas transmis les empreintes demandées. Maltais, dont on affirme qu'il appartint à la mouvance terroriste du Front de libération du Québec, ne fait par ailleurs jusqu'ici l'objet d'aucune demande d'extradition.

Quant à la puissance financière dont se réclame Norman William (des immeubles, d'importants dépôts bancaires, des oeuvres d'art...), on n'en trouve guère de trace.

Mystérieux millions

D'où viennent alors les millions qui ont servi au rachat du château de Sainval à Tilff par une énigmatique fondation Pont-Spoerry, dont un des personnages clés est le Français Robert Pont alias Michel Pons, accolyte de l'Indien dans les activités d'Ecoovie? Peut-être du commerce de tisanes, d'herbes et de confitures fait par Ecoovie? C'est aussi à ce «pasteur» qu'appartiendraient les films à caractère pédophilique remis par un intermédiaire au juge Van Espen et qui semblent provenir du château de Sainval. Dans ce contexte pas très clair, le commissaire de Tilff et un policier liégeois font déjà les frais de leurs petites enquêtes personnelles: le parquet de Liège va requérir leur renvoi en correctionnelle comme on sait, l'un pour recel, l'autre pour vol de documents touchant à Ecoovie et à Sainval.

Par l'intermédiaire de personnages douteux tels que le pasteur namurois Dessart, Norman William est entré en relations avec diverses personnalités belges et avec des hommes d'affaires étranges tels que le Belge Gustave Keteleer, arrêté lui aussi depuis décembre.

Norman William et sa bande, qui louent (sans payer) trois immeubles du boulevard Poincaré à Bruxelles où se trouvent les sièges du Conseil mondial des peuples et d'autres succursales associatives, présentent des projets de développement tiers-mondistes et ont probablement réussi à obtenir des aides financières publiques, notamment de l'opération 11.11.11., comme l'a révélé ces jours-ci La Libre Belgique. Ils s'intéressent aussi à la paix dans le monde, à l'oecuménisme, à la survie des Indiens d'Amazonie mais roulent en Mercedes munies de documents irréguliers et campent alternativement nus sous des tippies indiens et fringués dans les suites les plus chères des grands hôtels. C'est dans leur sillage que des personnalités telles qu'un ambassadeur, un ancien parlementaire, des scientifiques réputés ou des chasseurs de (faux) titres de chevalerie ou de noblesse sont aujourd'hui éclaboussés et tentent un peu tard de prendre la distance.

Café ou terrorisme?

Par Keteleer, le petit monde de Norman William met aussi le doigt dans des engrenages d'une autre envergure, puisqu'il s'agit ici de fabuleux contrats portant sur des centaines de millions de dollars en échange de fournitures à livrer au Moyen-Orient. Ces dollars furent initialement payés à l'administration Carter par l'Iran du Chah dans les années septante, avant l'arrivée de Khomeyni.

Ce serait un intermédiaire libanais d'une certaine envergure, Hassan Zubaidi, qui aurait reçu pour ces transactions en 1980 des commissions fabuleuses (3,5 milliards de dollars) transformées en promissory notes, en traites indonésiennes payables à terme. Zubaidi était un des financiers de l'O.L.P. et dans certains milieux palestiniens l'on dit aujourd'hui que par son intermédiaire, Israël et les Etats-Unis voulaient semer la discorde entre dissidents palestiniens. Ce qui expliquerait que Zubaidi, basé d'abord à Beyrouth, se soit retrouvé ensuite à Damas, en Syrie, d'où il utilisa Keteleer pour écouler les promissory notes indonésiennes en Europe, en échange de diverses fournitures (farine, café, construction, bus...).

Keteleer, dont on connaît l'essentiel de la version, affirme que les contrats liés aux promissory notes ne pouvaient toucher à des commandes d'armements. Il précise par ailleurs n'avoir rien conclu d'autre avec Norman William que d'envisager la mise en oeuvre de projets communs.

Mais Keteleer ne sait peut-être pas tout. Ainsi Zubaidi était-il déjà aussi en contact avec Norman William et le pasteur Dessart dans un projet axé sur le Sénégal, qui prétendait avoir pour objectif la récolte de fonds pour faire reverdir le désert. Zubaidi, dit-on encore, aurait été pris au piège d'un chantage libyen et impliqué ensuite dans une entreprise de blanchissement d'argent provenant de trafics de drogue pour financer des trafics de voitures et d'armements au bénéfice de filières terroristes.

L'intermédiaire

A noter que le nom du pasteur namurois Francis Dessart revient inlassablement dans tout ce dossier, chaque fois qu'on se demande comment l'un ou l'autre de ces personnages ont été mis en contact. Dessart a ainsi joué les intermédiaires tant entre Norman William et Keteleer, des politiciens, un diplomate ou des scientifiques qui s'en mordent aujourd'hui les doigts. C'est encore Dessart, homme proche d'un commissaire de la Sûreté, qui avait publié le petit livre vert de Khadafi et qu'on retrouve lorsque se nouent les relations entre Zubaidi et Norman William puis Keteleer. C'est aussi Dessart qui insistait auprès de l'équipe namuroise du mensuel Dialogue international pour réaliser un gros reportage sur Ecoovie, à l'époque où Norman William vint déposer un tippie chez le directeur de l'équipe, Hamady Abdel Jelil à Wépion...

Revenons à l'enquête du juge Van Espen. Les enquêteurs, on le sait, ont fait poser quelques questions à Djakarta par notre représentation diplomatique sur place: elles sont relatives à ces promissory notes indonésiennes dont une, de 2,8 millions de dollars, a été saisie à Grammont. Sont-elles fausses, ont-elles fait l'objet d'un troc par un proche du président Suharto (le général Hartomo dont on retrouve la signature au bas des traites), sont-elles sans valeur ou l'Indonésie doit-elle les honorer?

Comment de telles sommes, s'il s'agit de traites à honorer, ont-elles pu tomber dans les mains de personnages d'aussi peu de surface que Gustave Keteleer? Les enquêteurs n'ont pas encore de réponse à toutes ces questions. Et c'est évidemment de ces réponses que dépend principalement le maintien ou non en détention de Keteleer, qui avait aussi entraîné le bourgmestre de Vielsalm, Marcel Remacle, dans cette aventure embrouillée et très éclaboussante...

RENÉ HAQUIN.

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CLEMENTL.




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MessageSujet: Re: La piste libanaise   La piste libanaise - Page 9 EmptyLun 30 Avr 2012 - 15:10

@ Herve

Sujet: Re: La piste libanaise Sam 15 Oct 2011 - 15:10

"...C'est dans leur sillage que des personnalités telles qu'un ambassadeur, un ancien parlementaire, des scientifiques réputés ou des chasseurs de (faux) titres de chevalerie ou de noblesse sont aujourd'hui éclaboussés et tentent un peu tard de prendre la distance."

auriez vous des infos sur l'Ambassadeur ?
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HERVE




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MessageSujet: Re: La piste libanaise   La piste libanaise - Page 9 EmptyLun 30 Avr 2012 - 15:55



Peut-être celui dont on parle ci-dessous ? (sans certitude)


http://archives.lesoir.be/ecoovie_t-19890404-Z01HX9.html

Ecoovie

HAQUIN,RENE

Page 8

Mardi 4 avril 1989

Ecoovie: mandats d'arrêt levés mais le parquet fait appel...

Alors que le juge Van Espen venait de faire interroger le FBI sur l'énorme marché américano-iranien et sur les lourdes commissions qui seraient à l'origine de l'existence des traites indonésiennes suspectes saisies en marge du dossier Ecoovie

(...)

Pour le reste, Djakarta se borne à répondre que les signataires de ces traites ne pouvaient engager qu'eux-mêmes, et pas l'Etat indonésien. La défense de Keteleer produit cependant un document de l'ambassadeur indonésien à Damas qui certifie l'inverse.

(...)

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MessageSujet: Re: La piste libanaise   La piste libanaise - Page 9 EmptyDim 27 Mai 2012 - 13:23

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MessageSujet: Re: La piste libanaise   La piste libanaise - Page 9 EmptyDim 27 Mai 2012 - 21:54

LH .d ok ,maintenant avec un ancien de la Pj en retraite doré sous le soleil , ok

His master voice le connait il me semble avoir lu qqs part
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MessageSujet: Re: La piste libanaise   La piste libanaise - Page 9 EmptyJeu 31 Mai 2012 - 9:45

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MessageSujet: Re: La piste libanaise   La piste libanaise - Page 9 EmptyJeu 31 Mai 2012 - 10:58

mais bon il y a peu de policiers et gendarmes qui ne portent pas le moustache


regarde le frèrè barbier écrire ds un lettre qu'il était de nouveau suivi par" le Moustache"


Si les cours de fillation de Smets était comme cela:


"regarde ds le vitre d'un magasin et regarde si tu vois ds les reflets un moustache en face ==Bingo!"


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MessageSujet: Re: La piste libanaise   La piste libanaise - Page 9 EmptyJeu 31 Mai 2012 - 11:21

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MessageSujet: Re: La piste libanaise   La piste libanaise - Page 9 EmptyJeu 31 Mai 2012 - 13:20

je l'avais vu mais chez plein de peuples c'est un signe de force...... d'asterix ou obelisk
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MessageSujet: Re: La piste libanaise   La piste libanaise - Page 9 EmptyMer 6 Juin 2012 - 10:34

Citation :
minimouse



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Sujet: Re: La piste libanaise Mar 27 Fév 2007 - 21:47

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Mijnheer Beijer,

Ik heb eigenlijk nog een vraagje in verband met de 3 emails van mijnheer C.. Hij spreekt over een wapen afkomstig van een Kolonel van de Rijkswacht die gepromoveerd zou zijn naar een nucleaire centrale.

Is het mogelijk om aan mijnheer C. te vragen wie die kolonel was en van welke nucleaire cenrtale hij verantwoordelijk geworden is voor de bewaking?

Nog een bedenking over dat wapen: ik dacht dat de moord op Jacques Van Camp gebeurd is met een rijkswachtwapen dat gestolen is tijdens de hold-up op de Colruyt in Nijvel?




vu que le colonel semble = Lh et qu'il a travaillé ala comm eu c'est pe ds le centre de recherche de euratom a ISPRA ou ds les années 80 il y avait un reacteur nucleaire de laboratoire


donc pas en corse ni en italie comme on a ecrit


ce centre semble avoir été assez ......secret
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CS1958




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MessageSujet: Re: La piste libanaise   La piste libanaise - Page 9 EmptyJeu 26 Juil 2012 - 14:31

Dossier: Fouad Malek
Former Chief-of-Staff of the Lebanese Forces (LF)

Gary C. Gambill and Ziad K. Abdelnour

One of the most arresting characteristics of Lebanon, bewildering to outsiders, is the propensity of its most prominent public figures to don and shed political positions like seasonal clothing when the temperature changes. Some are true political chameleons, like Druze leader Walid Jumblatt, who has managed to position himself as the predominant interlocutor of the Druze community under periods of Israeli and Syrian hegemony in Lebanon. Others, like the late Elie Hobeika, learned only to mimic this art - selling out once and enjoying the fruits of power for a time, only to find themselves expendable to their patrons, discredited among their own constituents, and unable to revive themselves politically (or, in the case of Hobeika, assassinated in the course of trying).
Fouad Malek joins a long list of militia commanders who, like Hobeika, once violently contested Syrian control of Lebanon, only to switch sides and seek the patronage of Damascus in a bid to outflank political rivals. It is doubtful that Malek will ever achieve a powerful political post in exchange for revolting against his former boss, jailed Lebanese Forces leader Samir Geagea. But his pursuit of one has helped paralyze what was once the dominant Christian political organization in Lebanon.
Background
Malek, a Maronite Christian, was born in 1934 in the village of Anan in the Jezzine district of south Lebanon. After completing his secondary education, he enrolled in the military academy and graduated as an artillery officer three years later. After training in France from 1959-60, Malek returned to active duty in the Lebanese army, eventually attaining the rank of major.
In 1975, Lebanon descended into civil war between Christian militias and a coalition of leftist and Palestinian forces. After the army split along confessional lines in January 1976, Malek and many other Maronite officers joined Christian militia forces seeking to oust Palestinian guerrillas from positions in predominantly Christian east Beirut. In a war characterized more by long-distance shelling than traditional ground combat operations, those who had artillery training were in hot demand. By the summer of 1976, Malek was commanding Christian militia forces besieging the Tal al-Za'atar refugee camp.
Whereas most army officers returned to their barracks after the initial phase of fighting ended, Malek pledged loyalty to Phalange (Kata'ib) militia leader Bashir Gemayel, who unified the various militias operating in the Christian enclave into the Lebanese Forces (LF). By the end of the decade, the LF had assumed all of the administrative functions of a government.
In 1979, Gemayel appointed Malek head of the LF office in France. During his stay in Paris, Malek remarried and obtained dual Lebanese-French citizenship. Upon his return to Lebanon, he slipped into relative obscurity (due in part to accusations, perhaps politically-motivated, that he stole funds from the LF office in France). In 1987, the new leader of the LF, Samir Geagea, reshuffled its military command and appointed Malek chief-of-staff.
After a period of conflict between the LF and the interim military government of Michel Aoun at the end of the decade, Geagea endorsed the Taif Accord, an American and Saudi-sponsored agreement signed by the surviving members of Lebanon's parliament in 1989. Following the US -sanctioned rout of Aoun's army units in east Beirut by Syrian forces in October 1990, the country settled into an uneasy calm. Assured by the United States that the Syrian occupation would be temporary, pending the "rehabilitation" of the Lebanese army under the new government, the LF disarmed in 1991 and became established as a political party. Malek was appointed head of its executive committee.
Over the next few years, Damascus refused to redeploy its forces as promised and hopes for the resurrection of Lebanese democracy quickly faded. Geagea refused to participate in a succession of post-war puppet governments and became a vocal opponent of Syrian control of the country. Throughout the early 1990s, LF supporters were subjected to a steadily escalating campaign of harassment by the authorities. Several outspoken members of the LF, such as Boutros Khawand, were abducted by Syrian intelligence operatives and carted off to detention centers in and around Damascus.
The Sayyidat al-Najjat Bombing

On February 27, 1994, a bomb exploded during Sunday Mass at the Sayyidat al-Najjat (Our Lady Of Deliverance) Church in Zouk Mikhael, killing ten people and sending shock waves through the Christian community. The next day, Geagea held a press conference and accused the government of failing to shoulder its responsibility to protect citizens. However, media leaks soon indicated that the investigation was focusing on suspects with alleged ties to the LF. On March 10, army units surrounded the LF headquarters and barred access to journalists and visitors.
On March 23, Malek was seized from his car in the mountains north of Jounieh and hauled to the defense ministry for questioning. Following an emergency cabinet meeting that same day, the government issued decrees outlawing the LF, confiscating all of its assets, and prohibiting private television and radio stations from broadcasting news or political programs.
Maronite Patriarch Nasrallah Boutros Sfeir, who had met with Malek hours before he was taken into custody, protested the latter's arrest. After government officials visited Sfeir and presented him with evidence implicating Malek, however, the patriarch fell silent. The following day, two of Malek's aides were taken into custody. More arrests of LF members followed, after which Defense Minister Mohsen Dalloul announced that the Sayyidat al-Najjat bomb had been assembled at Malek's office in Jounieh. "The preparations took place in his office and it is impossible that this could happen without his knowledge."1
The authorities were not interested in Malek, though - he lacked the charisma to be a serious political threat to the regime. It was Geagea they were after and they wanted Malek to cooperate with the investigation. This did not take much encouragement - he reportedly had a nervous breakdown in prison. Family members who visited Malek a few days after his arrest said he was crying uncontrollably. In early April, the conditions of his detention suddenly improved and Malek instructed his lawyer to publicly declare that widespread media reports about his mistreatment in custody were false. In part because of Malek's readiness to cooperate, the authorities opened investigations into Geagea's alleged responsibility for several assassinations during the war. Other detainees were more reluctant to cooperate and were subjected to brutal torture, meticulously documented by Amnesty International and other human rights groups, to extract statements implicating Geagea. One detainee, Fawzi al-Racy, died in custody from what officials called a "heart attack" - the government refused to permit an independent autopsy, or even allow his family to see the body, which was reported to have been grossly disfigured by acid.
Geagea, who had gone into seclusion following the bombing, was said to have been contacted by sympathetic Christians in the government who were aware of where the investigation was heading and offered safe passage out of Lebanon. He refused, and on April 21 was taken into custody.
The government first tried Geagea on charges of ordering the assassination of Dany Chamoun in 1990 - apparently because they wanted to first ensure a conviction of Geagea before they gave Malek leniency in the Sayyidat al-Najjat bombing trial. Although he did not specifically implicate Geagea in court, he testified that the assassination of a major political figure would not have been carried out by LF operatives without Geagea's knowledge and affirmed that the LF leader would have been the sole beneficiary of Chamoun's death. In a trial that Amnesty International said was "seriously flawed" by the court's failure to disallow confessions extracted through torture,2 Geagea was convicted and given a death sentence, commuted to life in prison. Subsequent show trials led to convictions for the 1989 killing of LF official Elias Zayek, the 1991 attempted assassination of then-Defense Minister Michel Murr, and the 1987 killing of then-Prime Minister Rashid Karami. Ironically, Geagea was found not guilty of involvement in the Sayyidat al-Najjat bombing
Malek was rewarded for his cooperation. In May 1995, he was released on bail (a "perk" that was not granted to other major defendants awaiting trial) and immediately announced that his captors had treated him "very well" and pledged never to engage in politics again.3 The following year, he received a light 18-month sentence for "striving to form military brigades." After serving his time, Malek walked free in 1997.
Geagea, the only militia leader to be tried for crimes committed during the civil war, has remained in solitary confinement in the basement of the Defense Ministry - an indication of how dangerous the authorities deem this political prisoner to be. A statement released last year by his lawyers described the conditions of his imprisonment:
"He is subjected to ruthless, systematic, deliberate and devastating psychological torture in a narrow, airless and lightless underground dungeon . . . Jailers handcuff him and blindfold him whenever he is taken out of his cell and each week he is allowed to talk to his relatives, lawyers and priests for no more than 60 minutes . . . He is often shaken out of sleep to be randomly frisked in a degrading manner . . . He is not allowed to read newspapers or magazines and his requests to have a television set have all been turned down. He is allowed no incoming or outgoing mail.4
Geagea's confinement gave the government a powerful bargaining chip with which to intimidate his followers. It has become a nearly ubiquitous ritual in Lebanon for unnamed government sources quoted in the media to hint that a "political decision" to release the LF leader will be made once the Christian community has reconciled itself to the Syrian-backed political order. Some of Geagea's supporters, including his wife, Sethrida, have moderated their opposition to the regime at critical junctures over the last eight years because they were led to believe that it would help win his release. Geagea's incarceration also facilitated efforts by the regime to co-opt second-tier LF leaders anxious to jump back into politics. With Geagea in complete isolation from public life, those who were willing to accommodate the regime could do so without fear of being rebuked by the movement's leader.
LF supporters were subjected to harassment and detentions by the security forces, prompting an estimated 1,500 to flee the country. The ban on the movement prevented those who remained from organizing collectively. The most glaring illustration of this has been the absence of any large-scale demonstrations organized specifically to call for Geagea's release. This demand is mainly expressed by the abundance of posters and signs bearing his image at religious and nationalist gatherings, such as annual commemorations of the 1982 assassination of Bashir Gemayel.
The ban weakened the movement by removing institutional mechanisms to elect an accountable leadership and adopt a specific political platform. However, it also helped prevent a power struggle between Sethrida Geagea and Malek, each of whom was careful to act only in an unofficial capacity.
After boycotting the 1996 parliamentary elections, the LF and other Christian opposition groups participated in municipal elections in 1998. Sethrida and Malek established an efficient and disciplined campaign management team and forged electoral alliances with a variety of different political factions in each district. Candidates affiliated with the LF were elected to nearly 300 municipal seats and gained control of over 30 municipal councils. In Geagea's hometown of Bsharri, the LF won all of the municipal council seats. In Beirut, LF candidate Joseph Sarkis joined the Beirut Accord list backed by Prime Minister Rafiq Hariri, rather than the opposition list of his nationalist and leftist opponents, winning a seat on the most powerful municipal council in Lebanon. LF members "who at one time were not allowed to breathe have proven . . . that they deserve to be acknowledged" proclaimed Malek after the result. Throngs of LF supporters openly celebrated in the streets of east Beirut.
The Split
Sethrida and Malek drew different conclusions from the electoral success of 1998. Prior to the 2000 parliamentary elections, a bitter dispute erupted. Malek and several other former LF officials didn't want to join other Christian groups in boycotting the polls, arguing that it was the LF's refusal to participate in the political process that led the regime to arrest Geagea and ban the movement in 1994 - only by reversing this "historic mistake" could the LF hope to win Geagea's release and exert influence in the government.
Sethrida and Geagea's former political advisor, Toufic Hindi saw things differently. Because of district gerrymandering and other mechanisms put in place to orchestrate the electoral process, LF candidates would have been able to win seats only by joining the electoral slates of ruling pro-Syrian elites. And the price of admission to these "steamroller lists" was well known. Suspecting that Malek and like-minded LF figures were interested only in personal advancement, Sethrida and Hindi joined other Christian groups boycotting the polls.
After the elections, Malek and several other former LF officials began seeking accommodation with the regime. The members of this accommodationist camp, not all of whom were working in unison at the time, included George Kassab, former head of the LF in Kesrouan; George Abdelmassih, former head of the LF media department; Alfred Madi, the head of the LF information office in Washington until 1982, Robert Farah, the head of the LF information office in Washington from 1986 to 1999; Adel Saqr, former head of the LF in south Metn; Richard Jreissati, Geagea's former foreign policy advisor; Joseph Rizk, former LF deputy chief-of-staff; and Khalil Bassil, the head of the LF in Jbeil. Malek was reportedly told by Interior Minister Elias Murr that he would grant the LF a license to operate as a legal political party once the "moderates" had consolidated their leadership of the group and sidelined Sethrida. Lifting the ban on the LF would allow Malek's faction to claim the estimated $70 million in LF assets and properties seized by the government in 1994.
In December 2000, Damascus released several members of the LF who had been illegally detained in Syrian prisons for years, while carefully excluding Aoun's followers - a message clearly intended to convey that the "moderate" stance of Malek and others toward the regime would be rewarded. The head of Lebanon's Press Syndicate, Melham Karam, was allowed to visit Geagea in prison - the first time that anyone other than his close relatives, lawyers and priests had been permitted to meet with the LF leader since his incarceration.
The April 2001 establishment of the Qornet Shehwan Gathering, a loose coalition of Christian public figures opposed to the Syrian occupation and backed by the Maronite Christian patriarch, caused considerable concern in Damascus. Three LF officials backed by Sethrida and Hindi joined the coalition, in which Aoun's Free National Current (FNC) participated as an observer, unifying the mainstream and rejectionist opposition currents.
This led the Syrians to accelerate efforts to create Christian vehicles of political support for Lebanese President Emile Lahoud. The authorities began promoting a bid to gain control over the Phalange party by Karim Pakradouni, formerly the number two LF political leader under Geagea during the 1980s, who had since aligned himself with the regime. A combination of sticks and carrots were used to intimidate the executive committee of the Phalange party into electing Pakradouni, effectively eliminating the party as an institutional expression of Christian consensus.
For the same reasons, the authorities began to quietly promote the idea of reincarnating the LF under a compliant pro-Syrian leadership. Malek and other accommodationists were now granted a direct meeting with the Lebanese president. "After years of boycotting the movement and its activities, the fact that the president agreed to meet with members of the LF and highlight this even in the media is a sign of breaking the ice," declared Kassab.5 Malek began hinting that he had a channel to Damascus - the ultimate arbiter of Geagea's fate - noting that he "has contacts in the government, who have contacts with Syria."
Malek faced competition in his pursuit of the regime's backing from Geagea's predecessor as head of the LF, Elie Hobeika, who had become a Syrian ally back in the mid-1980s. The regime was clearly divided over whom to support - Hobeika had the merit of having served Damascus unquestionably for a decade and a half, but had lost credibility among Christians. Malek was a more recent convert whose loyalties were untested, but lacked Hobeika's sordid wartime past and had support from other members of the LF executive committee.
In an effort to outflank Hobeika, Malek proposed to Sethrida that a general assembly of LF members be held to choose a new leadership, but she rejected the obvious ploy to seize control of the movement. As Malek's confrontation with Sethrida came into the open, some LF figures who had supported his initiative began to distance themselves. Rizk abruptly withdrew his backing, while Madi packed up and moved to Dubai, apparently giving up politics.
On June 1, several Lebanese newspapers carried a statement from Geagea, relayed to the press by his lawyers, which accused Malek of betraying the political doctrines of the LF and launching a "political coup d'etat" aimed at dividing the movement. "If these political doctrines do not suit Fouad any longer, he has to say so publicly or establish a [separate] political party to advocate his new doctrines," said the statement.
Malek quickly issued a rebuttal, questioning the authenticity of Geagea's statement. Lebanese Prosecutor-General Adnan Addoum then stepped in and issued a decree prohibiting the LF leader's attorneys from visiting him in jail "because they have overstepped their professional duties by carrying political messages to and from Geagea." The decree was revoked after protests by the Beirut Bar Association. A subsequent statement from Geagea, issued by his wife, accused Malek of being "a link in the chain that the regime is patching together to encircle and weaken the opposition."
Malek began to openly contest the legitimacy of Sethrida's leadership. "Our dispute surfaced because I am proposing a truce with the state while Sethrida is adamant in her continuous opposition," he told the daily Al-Safir in July. "The political command of the LF should have taken control of the party after the arrest of Geagea," he added. "It is not possible for the leadership of the party to go from Geagea to his wife."
Malek's rebukes of Sethrida did not go over well among LF supporters. "We are with Sethrida. We surely do not agree with Malek's views," declared the head of the LF Student Committee, Salman Samaha, noting that the executive committee members had deserted Geagea at his moment of need and sought to ingratiate themselves with the authorities. The LF, he said, cannot "form a relationship with the same government that is detaining Geagea." Malek's faction accused Samaha of abandoning the movement's political line by coordinating student protests with the FNC, which rejects the Taif Accord.
In August, the Lebanese security apparatus launched a massive crackdown on the anti-Syrian opposition, arresting nearly 150 members of the FNC and 40 LF activists loyal to Geagea, including Samaha, Hindi, and Elie Keyrouz, a prominent attorney. While the crackdown was condemned by most Christian public figures (and many Muslims, including Prime Minister Hariri, who was not consulted beforehand), Malek openly defended it, declaring that security agencies which made the arrests were "doing their jobs" and that the judiciary which indicted his LF colleagues "is above suspicion."
In November, LF leaders abroad held their annual conclave in Washington DC and announced that Malek was expelled from the group. The vice-chairman of the LF Political Council (which groups LF chapters outside of Lebanon), Rashid Rahmeh, accused Malek of attempting to "liquidate the LF cause and the whole LF program."6
In late 2001, the leadership structure of the new LF was announced, with Malek as president, Jreissati as deputy president, Kassab as secretary-general for internal affairs, Farah as secretary-general for political affairs, Saqr as secretary-general for developmental affairs, and Bassil as chairman of the organization's honorary council. That same day, Samaha and Keyrouz were released by the authorities - an apparent message to LF supporters that recognizing the leadership of Malek and other LF "moderates" would lead to softer treatment by the government.
In January 2002, Malek's faction held its first political conclave at a monastery north of Beirut. At the gathering, which drew only several dozen LF members, Malek indirectly apologized for the movement's opposition activities in the early 1990s, saying it had "departed from the political position" it assumed when it accepted the 1989 Taif Accord, and called for "reason and logic" in its future positions. A document drafted by the participants of the conclave outlined the party's support for President Lahoud and called upon the movement's rank and file to "get ready to join" the soon-to-be legalized party.
However, despite a continuous flow of media reports suggesting that official recognition of Malek's LF faction was imminent, the much-awaited political license did not materialize. By the middle of 2002, several figures who had been squarely in Malek's camp began appearing less often with him in public, or not at all.

Malek sought to encourage defections from the group's student committee - the heart and soul of grassroots LF activism - but was rebuffed. One prominent member of the committee who met several times with Malek but declined to switch sides may have paid a very heavy price for his stance. In May, Ramzi Irani was abducted in broad daylight in the streets of Beirut by unknown assailants who tortured him mercilessly and dumped his body in the trunk of his car. The conspicuous reluctance of the authorities to investigate the murder cast a pall of fear over the Christian community.
Desperate to secure the government's stamp of approval, Malek adopted increasingly exaggerated expressions of solidarity with Damascus. When Lebanese Christians from around the world convened in June at the International Maronite Congress in Los Angeles and voted overwhelmingly to endorse the Syria Accountability Act (SAA) under consideration in congress, Malek obediently condemned the event. In September, days before a US congressional subcommittee began hearings on the SAA, Malek's faction participated in an anti-American rally organized by the regime that was not only boycotted by most Christian groups, but failed to attract any representatives from several leftist and Muslim groups that had been invited to send delegations.
A few weeks later, Malek's faction held a meeting at its new office in the Sahel Alma neighborhood of Kesrouan and named the heads of the party's chapters in Beirut, Bsharri, Marjayoun, Baabda, Metn, Kesrouan, Jbeil and Koura. LF supporters were not impressed, however, particularly when the man designated to head the Koura office, William Aql, released a statement saying that he had neither accepted nor been informed of his appointment.
The interior ministry continues to withhold the official recognition that Malek so desperately seeks. The decidedly unenthusiastic response of the movement's supporters to Malek's initiative may have led Lahoud to question whether the LF can be reincarnated as a vehicle of political support for his presidency. Despite the fact that Malek has been allowed to openly organize and canvas for support in the name of the LF - privileges denied to Sethrida - he has been unable to mobilize LF supporters behind him.
Indeed, Malek has even lost the support of some LF figures who advocate accommodation with Syria because of growing suspicions that the regime never seriously entertained the idea of granting him a political license - that the limited freedom to operate he has been given was intended from the very beginning only to weaken and divide the LF. This quasi-legal status is indicative of a time-honored strategy used by Damascus to secure the allegiance of its Lebanese proxies. Political "carrots" are most effective in eliciting desirable behavior when they can be easily revoked. Allowing Malek's LF faction to hold press conferences and open offices, but without according it any formal legal rights, ensures that the former army colonel will not deviate from his scripted pronouncements of support for the Syrian occupation. Denounced as a traitor by the majority of LF supporters, Malek cannot now return to the fold - he is destined to remain a mere pawn in Syria's efforts to divide the Christian community.
Notes

1 Al-Diyar (Beirut), 31 March 1994.
2 Amnesty International, "'Lebanese Forces' Trial Seriously Flawed," 24 June 1995.
3 Nida'a al-Watan (Beirut), 19 May 1995.
4 Al-Nahar (Beirut), 27 July 2001.
5 The Daily Star (Beirut), 28 April 2001.
6 Al-Nahar (Beirut), 24 November 2001.

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MessageSujet: Re: La piste libanaise   La piste libanaise - Page 9 EmptyJeu 26 Juil 2012 - 14:37

HERVE



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Sujet: Re: de Bonvoisin et Cie (Brewaeys P.& Deliège J-F) Jeu 29 Mar 2012 - 13:13

--------------------------------------------------------------------------------

Pour en revenir au Liban (à partir de la page 139 du livre) ...


Du côté des militants d'extrême-droite, on se mobilise pour soutenir les chrétiens libanais (...) Grâce à ces contacts dans les milieux pro-phalangistes en Belgique, Karel Delombaerde aurait vendu au Liban des unités médicales de la firme Modulmed. (...)
Alors que Latinus organisait des manifestations avec l'ambassade du Liban, Francis Dossogne, président du Front de la Jeunesse, se rendait au pays des cèdres (...) Objectif du mini-trip : organiser un camp d'entraînement militaire pour les militants du Front sous la direction de Gemayel.
Dossogne ne s'est pas rendu seul à Beyrouth (voir ci-dessus : Herman Geshier dont Europe Magazine vante les mérites - Eurosystem). (...)
Jean Bougerol, la cheville ouvrière de PIO, s'est rendu en 1978 au Liban. S'il faut l'en croire, son chef direct, le général Roman, l'y avait envoyé en mission (...)
(Note : dans une émission télévisée, André Moyen dévoile que le général Roman préparait un coup d'Etat à la fin de sa vie)
L'ancienne secrétaire de Jean Bougerol au sein de PIO donne une version fort différente de cette visite au Liban. selon Mme Legon, c'est PDG et non l'armée qui a financé le voyage. (...)
Les liens de Jean Bougerol avec les milieux de l'extrême-droite libanaise étaient bien plus profonds que ce qu'il veut bien en dire. Des phalangistes libanais tournaient également autour du 68 de l'avenue d'Auderghem, siège de la branche militaire de PIO.
(voir la société Krafis dirigée par une amie de Bougerol, Laure Khoury, une chrétienne libanaise)
(voir le colonel Fouad Malek)
Ces connexions intriguent et inquiètent certains policiers. Ils savent que la majeure partie des activités des extrêmistes phalangistes sont liées au trafic d'armes et de drogue.


Pour information, jai trouvé une référence dans

http://www.maebrussell.com/Bibliography%20Sheets/499s1.html

Les articles du Los Angeles Times (juin 1981) sont sur :

http://www.scribd.com/BEGHINSELEN

http://www.scribd.com/doc/87177238/LAT-June-1981-PLO-Falangists-Neo-Nazis

PLO, Falangists Each Say Other Trains Neo-Nazis

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HERVE




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MessageSujet: Re: La piste libanaise   La piste libanaise - Page 9 EmptySam 6 Sep 2014 - 17:49


Il y avait eu une conférence régionale de la WACL à Beyrouth en 1975 ... Drenikoff n'y a probablement pas participé et il n'y a rien à ce sujet dans ses archives (à ma connaissance).

Voir :

http://www.renenaba.com/le-tribunal-special-sur-le-liban-a-lepreuve-de-la-guerre-de-lombre/

(...)   C’est depuis Beyrouth que la guerre culturelle souterraine de la CIA contre l’idéologie marxiste a été menée, dans les années 1950-1980, sur l’ensemble du Monde arabe, à travers la presse pétro monarchique, à coups d’opération oblique, de presse périphérique, d’informations annexes et de renseignements connexes. C’est depuis la capitale libanaise que se sont ourdies les opérations de déstabilisation des régimes arabes. C’est à Beyrouth enfin que la conférence régionale de la WACL s’est tenue au début de la guerre civile, en 1975, sous la présidence de Camille Chamoun, ancien président de la République du temps de la première guerre civile libanaise, pour convenir de la réplique américaine à la perte de Saigon et de Pnom Penh, les deux bastions américains en Asie, signe de l’importance stratégique de la capitale libanaise et de l’implication occidentale dans le conflit libanais (4). Fondée à Taiwan par Tchang Kaï-Chek, la Ligue anti-communiste mondiale (WACL), une Internationale fasciste regroupant d’anciens criminels de guerre nazis et nippons, a constitué la matrice de la contre insurrection dans les zones de confrontation avec la guérilla marxiste. Elle passe pour avoir recruté des mercenaires en vue de leur intégration au sein des milices chrétiennes libanaises, préludant à l’alliance militaire des phalangistes avec Israël, l’ennemi officiel du Monde arabe.   (...)


Hariri de père en fils: Hommes d'affaires et premiers ministres
Par René Naba


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_ _ _


Billings Gazette

Billings, Montana, United States of America

21 sep 1975


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MessageSujet: Re: La piste libanaise   La piste libanaise - Page 9 EmptyMer 4 Nov 2015 - 7:00

comme "à controler" ici au debut :


Citation :
Personal life[edit]
Solange Tutunji married Bachir Gemayel in 1977. Their first daughter, Maya, was born the following year. She was killed in 1980, by a car bomb intended for her father. A second daughter, Youmna, was born in 1980, and a son, Nadim, in 1982, only months before his father's assassination. Solange Gemayel raised her two surviving children to carry on their late father's legacy. Nadim indicated his intention to follow in the footsteps of his father and mother by participating in the political process.


conclusion Hage Maroun probablement pas famille de Gemayel
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Cheshire cat

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MessageSujet: Re: La piste libanaise   La piste libanaise - Page 9 EmptyDim 8 Juil 2018 - 0:59

michel a écrit:

Oui, cela reste très hypothétique. Pourtant, la piste libanaise fut suivie par les enquêteurs. Les tueurs lors de l'attaque de l'armurerie Dekaize se sont emparées d'armes (dont une Beretta, mitrailette avec silencieux) qui intéressaient les Libanais. Un toxicomane décédé en 1983 et qui se vantait d'être membre de la bande a accusé un de ces Libanais de posséder une des armes utilisées par les tueurs. Cette arme se serait retrouvée ensuite au Liban. Mais vu la situation de ce pays, aucun enquêteur n'a jamais pu se déplacer jusque là-bas.

Il est vrai que les phalangistes n'avaient pas intérêt à se brouiller avec les Belges mais c'est sans compter sans certains éléments non-contrôlés.

La piste libanaise n'explique pas à elle seule les TBW mais elle peut peut-être expliquer l'attaque de Wavre et aussi celle de Tamise.

1. C'est la guerre au Liban et on y  retrouve l'OLP dirigée par le Fatah
Les fedayins multiplient les attaques contre Israël
Delhaize s"approvisionne chez les israéliens (y compris la Bande de Gaza)
Il ne pouvaient pas s'en prendre à la France puisque force forces françaises sont présentes à Beyrouth, ni a Israel

2.
fialin a écrit:
Michel a écrit:
Enfin je vois mal les phalangistes, à l'époque en pleine offensive de soutien diplomatique, risque de se brouiller définitivement avec un pays comme la Belgique.
Ils ne sont pas indispensable à notre bonheur. De plus il n'ont rien à nous offrir et  ils n'ont même pas de pétrole. (contrairement à leurs ailliés de l'OPEP)

1977-1981 : intervention israélienne au Sud, offensives chrétiennes au Nord
19 avril 1981 - Tournage à Namur - Chasse au trésor -Dieuleveut
1er juin 1981 - Naïm Khader, 12ème représentant de l’OLP, est assassiné devnt son domicile à Bruxelles (un vrais cimetière, cette ville, lol) ensuite c'est le tour d'un diplomate Turc

---------------  13 mars 1982 - Vol du fusil à Dinant
07 mai 1982 - Tournage à St Hubert - Chasse au trésor
11 mai 1982. - Tournage à Coxyde - Chasse au tréso
r
6 juin (au 29 septembre 1982) -  Intervention militaire israélienne au Liban

----------------  13 août 1982 - Maubeuge : Par intuition je dirais que des palestiniens ont essayer une incursion en France mais se sont fait "accrohé" à la frontière

21 août au 13 septembre 1982 - Forces françaises sont présentes à Beyrouth
30 aout 1982 Escorté et protégé par les légionnaires du 2e REP,  Arafat est forcé de quitter Beyrouth, assiégée par l’armée israélienne


14 septembre 1982 Assassina de Bachir Gemayel
16 au 18 septembre 1982 - Massacre des populations palestiniennes civiles des camps de Sabra et Chatila, sous le regard des militaires israéliens - Yasser Arafat et ses fedayins prennent le contrôle de l'OLP

28 décembre 1982, sous la médiation américaine, des négociations sont entamées entre le Liban et Israël ; Un accord, conclu le 17 mai 1983, décide du retrait des forces israéliennes, syriennes et palestiniennes du Liban.
Mais cet accord n’est accepté ni par la Syrie ni par le Front de la résistance nationale libanaise.

---------------   11 février 1983 Supermarché Delhaize à Genval
---------------- 25 février 1983 Supermarché Delhaize à Uccle
---------------- 03 mars 1983 Supermarché Colruyt à Hal,
05 mai 1983 Tournage à Spa (et dernier tournage) - Chasse au trésor
---------------  07 mai 1983 Supermarché GB à Houdeng-Gœgnies
17 mai 1983 Un accord décide du retrait des forces israéliennes, syriennes et palestiniennes du Liban.
--------------- 17 septembre 1983  Supermarché Colruyt à Nivelles

26 septembre  1983 Cessez le feu suite à d'intenses combats
31 octobre au 4 novembre 1983 une conférence se tient à Genève
21 décembre 1983 - Arafat et 4000 de ses partisans quittent Tripoli sur des bâtiments grecs protégés par la marine francaise. Il s’installe à Tunis

15 février 1984 Première prise d'otages d'occidentaux au Liban.
Cristian Joubert (France) : chef de chantier pour le compte de l'entreprise Bornhauser-Molinari, libéré le 15 avril 1984. Il n'a pas bénéficié de la reconnaissance du statut d'otage.
A partir de cette date la prise d'otage et les détournement d'avion deviendront "une industrie criminelle"

?-?-1985 Le 11e régiment parachutiste de choc (DGSE) renait de ses cendres. Il sera à nouveau dissous en 1993
- Terry Anderson (États-Unis) : directeur général de l'agence de presse américaine Associated Press, enlevé le 16 mars 1985 et libéré le 4 décembre 1991.
- Marcel Fontaine et Marcel Carton (France) : diplomates, enlevés le 22 mars 1985, libérés le 4 mai 1988 (Voir affaire des otages du Liban).
- Gilles Sidney Peyroles (France) : directeur du centre culturel français de Tripoli (nord du Liban), enlevé le 23 mars 1985 et libéré le 2 avril 1985.

mai-juin 1985  Première "guerre des camps" entre combattants palestiniens et miliciens chiites d'Amal
- Michel Seurat et Jean-Paul Kauffmann (France) : respectivement, chercheur au CNRS et journaliste à L'Événement du jeudi enlevés le 22 mai 1985. Michel Seurat décède au cours de sa détention, Jean-Paul Kauffmann est libéré le 4 mai 1988
- Thomas Sutherland (États-Unis) : doyen de la faculté d'agronomie de l'Université américaine de Beyrouth, enlevé le 9 juin 1985 et libéré le 18 novembre 1991.
- Alberto Molinari (Italie) : cadre commercial, enlevé le 11 septembre 1985 et disparu.

6 août 1985 - Dieuleveut porté "disparut" aux environs d'Inga
1er octobre 1985 - un avion de chasse israélien F-15 bombarde le siège de l’OLP à Tunis où devait se tenir un meeting entre les dirigeants du mouvement, mais Arafat arrive en retard
26 octobre 1985, un texte intitulé « Projet pour une solution nationale au Liban » est signé par les représentants des trois partis qui, au regard de la Syrie, sont les plus influents sur la scène libanaise.

------------   9 novembre 1985 Supermarché Delhaize à Alost, province de Flandre-Orientale, Belgique

28 décembre 1985 - Accord Tripartite - fin de l’état de guerre


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MessageSujet: Re: La piste libanaise   La piste libanaise - Page 9 EmptyDim 8 Juil 2018 - 19:45

michel a écrit:

Oui, cela reste très hypothétique. Pourtant, la piste libanaise fut suivie par les enquêteurs. Les tueurs lors de l'attaque de l'armurerie Dekaize se sont emparées d'armes (dont une Beretta, mitrailette avec silencieux) qui intéressaient les Libanais.
On en a retrouvé au Liban (par défaut je considère ca comme "acquit")
Néanmoins, il est aussi possible qu'une partie de ces armes soient restées en Belgique aux mains des "infiltrés". Pour ne pas se découvrir ils sont venus sans armes et il fallait bien qu'ils s'en procurent "sur le terrain".
Un rapport balistique pourrait le démontrer mais ce sont forcément des informations que les enquêteurs ne vont pas révéler au public. Ca donnerait "une version officielle" qui indisposerait le Gouvernement et la diplomatie fédérale Laughing
Voir la "ligne du temps", ils ont même changé leurs méthodes puisque de "attaque contre Delhaize" ils sont passé à "prise d'otage"
Alost c'était probablement "un dernier pour l'honneur"

michel a écrit:

Il est vrai que les phalangistes n'avaient pas intérêt à se brouiller avec les Belges mais c'est sans compter sans certains éléments non-contrôlés.
Ils n'avaient certainement pas intérêt à se brouiller avec les CCC. Ils pourraient même avoir joué un rôle de "renseignement" Mais ce n'est pas la peine de leur poser la question puisqu'ils nieront dans tous les cas de figure Laughing
Néanmoins il fait allusion au GIA qui n'existait pas encore. Les CCC sont en relation avec d'autres groupes plus anciens dont notamment ;
-  "Action Directe" ;Action directe commet plusieurs attentats contre des sociétés américaines et israéliennes.
Le groupe se replie régulièrement en Belgique et joue un rôle au sein des CCC
Les CCC leur fourniront des explosifs volés. Bref ca veut dire que les CCC ce ne valaient pas mieux que ces "klèttes" du WNP (lol) mais ils ont étés "encadrés" par des "anciens".Emile Ballandras est arrêté le 10 octobre 1984. André Olivier, Joëlle Crépet et Bernard Blanc sont arrêtés le 28 mars 1986
-  "Fraction Armée Rouge ( RAF) une puissante organisation allemande (3 générations)

michel a écrit:

La piste libanaise n'explique pas à elle seule les TBW mais elle peut peut-être expliquer l'attaque de Wavre et aussi celle de Tamise.
Il y a des choses qui n'ont rien à voir avec les TBW. Ce n'est pas parce que elles leurs sont "attribuées" par (de plus) les enquêteurs que c'est forcément vrais. D'ailleurs eux-même n'en savent rien...
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MessageSujet: Re: La piste libanaise   La piste libanaise - Page 9 EmptyDim 8 Juil 2018 - 23:52

michel a écrit:
Bouhouche n'était-il pas d'origine arménienne plutôt?
Non , Algérienne...  et ca nous rapproche du Liban (je dirais plus tard pourquoi)

Citation :
Madani Bouhouche (June 14, 1952 – November 22, 2005)
Madani "Dany" Bouhouche was born in Brussels, son of an Algerian father and Belgian mother.
Madani "Dany" Bouhouche was born in Brussels, son of an Algerian father and Belgian mother. He started his police career with the Bijzondere Opsporings Brigade (BOB), a special investigative branch of the Gendarmerie, the former national police of Belgium. Soon after joining the BOB, Bouhouche developed illegal activities with other gendarmes of the BOB. One of them, Robert Beijer, later set up a private detective bureau with Bouhouche in 1983, the Agence de Recherches et d'Informations.
On sait qui est sont père ?

Ca ne m'étonne pas qu'il soit partit en France, c'est un "pieds-noirs" je le suspecte même d'être  « pieds-verts » ....

Séance de rattrapage pour les "nouveaux" né après 1980/90
Le terme « pieds-noirs »  désigne notamment les Français originaires d'Algérie et en particulier "les rapatriés d'Algérie" après l'indépendance.  
Le terme « pieds-rouges » désigne les pieds-noirs communistes révolutionnaires.
Le terme « pieds-verts » (référence à la couleur verte de l'islam et du drapeau algérien) est utilisé pour désigner ceux qui sont restés en Algérie après 1962.
Le terme « petits pieds-gris », enfants issus de pieds-noirs et de métropolitains aux pieds blancs »
Le terme « petits pieds-bleus » peut être utilisé pour désigner les Schtroumpfs de Peyo mais on peut dire "les Schtroumpfs"  Laughing


Après plus d'un siècle de colonisation française, à l'issue d'une guerre d'indépendance longue et meurtrière et à la suite du référendum d'autodétermination du 1er juillet 1962, l'Algérie proclame son indépendance le 5 juillet 1962.
Madani Bouhouche est né en juin 1952, son père a du émigrer au moins 9 mois avant sa naissance (septembre 1951) juste avant la Guerre d'Algérie (1er novembre 1954 - 9 septembre 1962)
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MessageSujet: Re: La piste libanaise   La piste libanaise - Page 9 EmptyLun 9 Juil 2018 - 0:29

Entre 1976 et 1983, la Ligue Arabe entretenait une Force arabe de dissuasion durant la guerre du Liban.

Le sommet de Ryad légitima cette intervention, avec la création de cette Force arabe, avec l'accord de Soleimane Frangié, président de la République libanaise, et Yasser Arafat, chef de l'Organisation de libération de la Palestine.
L'Égypte en fut exclue de la Ligue en 1979 (accords de Camp David avec Israël)  et le siège de l'organisation fut déplacé du Caire à Tunis (de 1979 à 1990). Et qui retrouve-ton "juste à côté de l'Algérie" à Tunis ?
Yasser Arafat et 4000 de ses partisans... cheers
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Roulio




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MessageSujet: Re: La piste libanaise   La piste libanaise - Page 9 EmptyMer 24 Oct 2018 - 22:42

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arthur29923




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MessageSujet: Re: La piste libanaise   La piste libanaise - Page 9 EmptyMar 13 Nov 2018 - 19:25

https://fr.wikipedia.org/wiki/Arm%C3%A9niens_du_Liban

Après la guerre qu'a connue le Liban des années 1970 à début 1990, et les récentes tensions que connaît le pays, une partie non négligeable de la communauté arménienne a émigré vers l'Amérique du Nord et l'Europe (en France principalement).

Cette communauté, malgré sa coexistence avec d'autres religions, est profondément intégrée et active dans la société libanaise : elle participe à la vie politique et sociale du pays, ainsi qu'au commerce. De plus, elle dispose de plusieurs églises, écoles, universités, centres sportifs et culturels.

Elle est essentiellement concentrée au centre de Beyrouth ainsi que dans la ville voisine de Bourj Hammoud. Enfin, les Arméniens du Liban, lors de leur exode de Turquie, ont été placés par la France à l'est du pays et ont ainsi fondé une cité au sein de la vieille ville d'Anjar, située à l'est du pays, dans la vallée de la Bekaa, qui devient alors l'équivalent d'Armenia Town.

Les trois principaux partis arméniens, Dashnak, Hentchak et Ramgavar, participent activement à la vie politique du Liban.
-------

Bourj Hammoud a été fondée par des survivants du génocide des Arméniens de 1915

(...)
En 1987, la montagne de Bourj Hammoud est au centre d'un important trafic de déchets toxiques entre des entreprises italiennes et libanaises, avec la complicité des Forces libanaises. Un rapport de l'organisation Greenpeace précise que « 15 800 barils de différentes tailles et 20 conteneurs de déchets toxiques ont été exportés illégalement d'Italie au Liban. Des hommes armés appartenant aux Forces libanaises ont dissimulé l'opération, soudoyés avec une partie de la somme payée par une société italienne à des entreprises libanaises ». En 1988, la baignade est interdite au Liban tant les eaux sont contaminées par ce trafic

https://fr.wikipedia.org/wiki/Bourj_Hammoud

---
Anjar

Anjar est une ville du Liban dans la plaine de la Bekaa, à peu près à mi-chemin sur la route de Beyrouth à Damas. Sa population est estimée à environ 5 500 habitants et elle est essentiellement d'origine arménienne.

`Anjar fut l'exemple d'un centre de commerce à l'intérieur des terres : elle est située à l'intersection de deux routes importantes : celle menant de Beyrouth à Damas dans le sens Ouest-Est et la route Nord-Sud traversant toute la Bekaa et menant d'Homs vers Baalbek puis le sud du Liban.

De 1984 à 2005, Anjar est le Quartier Général des services de renseignements syriens au Liban. C'est aussi un centre illégal de tri et de détention, contrôlé par services secrets syriens.

À la suite de la découverte d'un charnier, la Syrie a été montrée du doigt. Une enquête a été réalisée et on a conclu que c'était un cimetière ottoman. Le corps le plus ancien date de 50 ans.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Anjar
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Limir




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MessageSujet: Re: La piste libanaise   La piste libanaise - Page 9 EmptyVen 25 Jan 2019 - 22:57

L'actualité nous ramène donc au Liban.
"Un policier a été interpellé dans le cadre de l'enquête sur un trafic présumé de visas humanitaires, rapporte vendredi Het Nieuwsblad sur son site internet.
L'agent, qui travaille pour les services centraux à Bruxelles, aurait informé une ou plusieurs personnes de l'imminence de perquisitions, dans la foulée de l'interpellation du conseiller communal malinois Melikan Kucam. Le parquet n'était pas directement joignable vendredi soir pour confirmer l'information"
.(source la Libre Belgique 25 Janv. 2019)
Quelqu'un se souviendrait d'un juriste infiltré dans le bureau du procureur fédéral Vandersypt (actuel porte parle dans l'affaire dont s'occupe ce site), juriste arreté pour pratiques similaires pour des membres d'oranisations criminelles le lendemain du proces des trafics de visas à Sofia ?
Vous avez cherché le mot "ambassade" sur google en lien avec les trafics de visas humanitaires (Mechelen et ailleurs)? Curieux ce black out concernant ceux qui délivraient effectivement ces visas (notamment l'ambassade à Beyrouth, ...).
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frederic lavachery




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MessageSujet: Re: La piste libanaise   La piste libanaise - Page 9 EmptySam 26 Jan 2019 - 0:55

Limir a écrit:
L'actualité nous ramène donc au Liban.
"Un policier a été interpellé dans le cadre de l'enquête sur un trafic présumé de visas humanitaires, rapporte vendredi Het Nieuwsblad sur son site internet.
L'agent, qui travaille pour les services centraux à Bruxelles, aurait informé une ou plusieurs personnes de l'imminence de perquisitions, dans la foulée de l'interpellation du conseiller communal malinois Melikan Kucam. Le parquet n'était pas directement joignable vendredi soir pour confirmer l'information"
.(source la Libre Belgique 25 Janv. 2019)
Quelqu'un se souviendrait d'un juriste infiltré dans le bureau du procureur fédéral Vandersypt (actuel porte parle dans l'affaire dont s'occupe ce site), juriste arreté pour pratiques similaires pour des membres d'oranisations criminelles le lendemain du proces des trafics de visas à Sofia ?
Vous avez cherché le mot "ambassade" sur google en lien avec les trafics de visas humanitaires (Mechelen et ailleurs)? Curieux ce black out concernant ceux qui délivraient effectivement ces visas (notamment l'ambassade à Beyrouth, ...).

Quelles ont été les suites judiciaires de l'affaire des trafics de visas de Sofia ?


http://www.panapress.com/Le-chanteur-congolais-Papa-Wemba-arrete-pour-trafic-de-visas--13-688697-17-lang4-index.html

Le chanteur congolais Papa Wemba arrêté pour trafic de visas

Bruxelles- Belgique (PANA) -- Le chanteur congolais Papa Wemba a été arrêté lundi à Paris dans une affaire de trafic de visas suite à un mandat d'arrêt international lancé par le juge belge Jean Coumans, a-t-on appris mercredi de source officielle à Bruxelles.
Le porte-parole du ministère belge des Affaires, Dider Seeuws, a indiqué que le téléphone de l'artiste congolais avait été mis sur écoute, ce qui a permis son arrestation par la police française.
M.
Seeuws a ajouté que le ministère des Affaires étrangères a ouvert une enquête interne pour établir si des diplomates belges sont impliqués dans ce trafic et que ceux-ci pourraient perdre leur emploi.
On ignore pour l'instant si le chanteur congolais va être extradé pour être jugé en Belgique où les personnes impliquées dans les réseaux de trafic d'êtres humains sont passibles de lourdes peines de prison.
Papa Wemba s'était produit samedi soir à Bruxelles dans le cadre de la 'Semaine africaine', organisée sur l'initiative du ministre belge des Affaires étrangères Louis Michel dans le but de sensibiliser la population de son pays à la problématique de la paix dans la région des Grands Lacs.
Le chanteur devait se produire samedi prochain à la soirée de gala devant marquer la clôture de cette manifestation en présence notamment des présidents Joseph Kabila de la RDC et Pierre Buyoya du Burundi, a confirmé M.
Seeuw.
Cette affaire éclate alors que le Sénat belge, réuni en session plénière, doit examiner jeudi à Bruxelles le rapport de sa sous commission sur la Traite des êtres humains que présentera la présidente, Mme Anne-Marie Lizin.
Ce rapport dénonce notamment le fait que certains musiciens congolais arrivent en Belgique avec des groupes composés de chanteurs, instrumentistes et danseuses ainsi que des personnes ne faisant pas partie de l'orchestre.
Ces immigrés clandestins arrivent ainsi en Belgique d'où ils partent dans d'autres pays européens pour demander l'asile politique.
Selon le rapport, l'ambassade de Belgique à Kinshasa est au courant de ces pratiques bien connues dans les milieux congolais de Bruxelles.
Devant les difficiles conditions d'octroi de visas à l'ambassade de Belgique à Kinshasa, les parents désireux d'envoyer leur enfant en Europe s'adressent aux musiciens pour le faire mettre sur la liste des artistes contre paiement de 3.
500 dollars américains par individu, indique le rapport.
19 Fevereiro 2003 19:30:00


https://www.lalibre.be/actu/politique-belge/louis-michel-a-recu-des-menaces-de-mort-prises-au-serieux-par-la-surete-de-l-etat-5c2efab0d8ad5878f0bfdabe

POLITIQUE BELGE
Fin d'année passée, le ministre d'Etat Louis Michel pris à partie par des opposants congolais et a reçu plusieurs lettres contenant des menaces de mort, rapportent les titres Sudpresse vendredi.

"J'ai reçu plusieurs lettres de menaces. J'ai refusé la protection rapprochée mais je suis effectivement sous surveillance. Je ne souhaite pas en dire plus", a confirmé le député européen, ancien commissaire européen et père de l'actuel Premier ministre.


Les menaces ont débuté le 10 décembre dernier, à Oslo, lors de la remise du Prix Nobel de la Paix au docteur congolais Denis Mukwege, après laquelle une dizaine d'opposants congolais, de la mouvance de l'UDPS (l'Union pour la Démocratie et le Progrès Social) s'en sont pris à l'homme politique.

Durant le mois décembre, Louis Michel a encore reçu des lettres contenant des menaces de mort explicites à son domicile de Jodoigne. L'élu a porté plainte et l'affaire a été prise très au sérieux par la Sûreté de l'État qui lui a proposé une protection rapprochée. Comme il le confirme lui-même, il ne l'a pas acceptée mais il est sous surveillance discrète depuis lors.

Belga


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