Alost, 9 novembre 1985

http://www.tvoost.be/nl/2012-11-09/david-van-de-steen-over-bende-onderzoek/#.UJ61bIZa4cV

Question

Citation :

-le 29 juin 1983 par acte de notaire la firme "Nutribel" devient "Nutribel international industries" et
par hasard un notaire à Alost >>??dossier dekaise .

Font partie de la société depuis le 29.06.83 :

VAN Baelen Willy (directeur administrateur délégué)
Montgomery KEE David (girecteur administrateur principal)
MONTGOMERY KEE Rory Georges ( fils de David)
ARRATOOM Aileen (épouse de MONTGOMERY KEE David)
VEIGA MARQUES Maria-Clementine
Dr. PIERRET Yvan

-le 30 juin 1983 Van Baelen est interpellé

-le 30 juin 1983: menace vers Dekaise :Tu vas bientot crever (fautif)> c'est le lendemain le 1 juillet vers 12h

vu la panique on peut se demander pourqoui juste avant il courent à un notaire à Alost !


vu que vb vivait avec sa portugaise ds la fermette de monty près de Ronquieres et
les kees preferaient faire leurs affaires ds les hotels à bruxelles il ne reste que de chercher ce fameux homme de paille "pierrot" dans les alengtours de alost !

mais qu'est ce qu'ils ont tous de vouloir courir à Alost pour trouver un notaire surtout si Dekaise et Nivelles sont liées ????

Citation :

-l'enquete etablie que Elise Dewit avait travaillé de 81....... à ...82...........pour ce même notaire à la ville de bruxelles et que ses fonctions , très modestes , de cadre special temporaire l'avait neanmoins mise au courant de certains projets
(elle peut y avoir rencontré Dubois (dixit T&L))

- durant 1983 Fourez entre en contact avec Jacques L. a qui il loue qqs jours avant sa mort le joy club , emile jacqmain , dont un membre declare que le BSR y venait aussi

-peu avant de trouver la mort J.F. et E.Dew. avait pris contact avec le notaire P.D. à Alost pour acquérir un domaine en Walonnie d'une valeur de plusieures centaines de millions de franc belges (rumeurs que le terrain etait destiné pour dechets nuceaires)
- ils partent à Paris quand ?

- Nivelles, 17 septembre 1983

les notaires y ont plus de humour ?

K a écrit:

mais qu'est ce qu'ils ont tous de vouloir courir à Alost pour trouver un notaire surtout si Dekaise et Nivelles sont liées ????

Citation :

-l'enquete etablie que Elise Dewit avait travaillé de 81....... à ...82...........pour ce même notaire à la ville de bruxelles et que ses fonctions , très modestes , de cadre special temporaire l'avait neanmoins mise au courant de certains projets
(elle peut y avoir rencontré Dubois (dixit T&L))

- durant 1983 Fourez entre en contact avec Jacques L. a qui il loue qqs jours avant sa mort le joy club , emile jacqmain , dont un membre declare que le BSR y venait aussi

-peu avant de trouver la mort J.F. et E.Dew. avait pris contact avec le notaire P.D. à Alost pour acquérir un domaine en Walonnie d'une valeur de plusieures centaines de millions de franc belges (rumeurs que le terrain etait destiné pour dechets nuceaires)
- ils partent à Paris quand ?

- Nivelles, 17 septembre 1983

les notaires y ont plus de humour ?

Un Notaire qui a de l'humour ?????

Emission de la télévision flamande peu de temps après la tuerie d'Alost :

http://www.euscreen.eu/play.jsp?id=EUS_CE5C9E0743F440399839AC6C2EE4D35F

Et qui permet de tordre le cou à un drôle de canard : la famille Vandesteen n'était pas juive, leurs funérailles étant chrétienne.

Le raid mené sur le delhaize d'Alost est "l'apothéose" si l'on peut dire des tueries du brabant ...
les assassins disparaîtront ensuite dans la nature pour ne jamais être inquiété le moins du monde ...

A ce jour, l'enquête sur les tueries est pour moi à ZERO ... oui la CBW a bien trouvé de temps en temps de minces indices pour faire croise aux familles des victimes que l'on s'intéressait à l'enquête mais il n'en est rien ...

Une sois disant nouvelle cellule d'enquête a été mise sur pied ... dans quelques temps on trouvera de nouveau quelques broutilles d'indices mais encore une fois cela ne mènera NUL PART.... en déplaise à Mme Michel , juge (actuel) d'instruction pour les tueries ...

Une hypothèse peut être évoquée en ce sens que les assassins aient été tout simplement éliminés ... par qui ? sûreté de l'Etat ?

Dans 2 ans ce sera la prescription définitive ... beaucoup de personnages qui ont trempé dans l'histoire attendent cette date avec
impatience ... ( monde politique, monde judiciaire, noblesse ... )

seammjasani7134 a écrit:

Le raid mené sur le delhaize d'Alost est "l'apothéose" si l'on peut dire des tueries du brabant ...
les assassins disparaîtront ensuite dans la nature pour ne jamais être inquiété le moins du monde ...

A ce jour, l'enquête sur les tueries est pour moi à ZERO ... oui la CBW a bien trouvé de temps en temps de minces indices pour faire croise aux familles des victimes que l'on s'intéressait à l'enquête mais il n'en est rien ...

Une sois disant nouvelle cellule d'enquête a été mise sur pied ... dans quelques temps on trouvera de nouveau quelques broutilles d'indices mais encore une fois cela ne mènera NUL PART.... en déplaise à Mme Michel , juge (actuel) d'instruction pour les tueries ...

Une hypothèse peut être évoquée en ce sens que les assassins aient été tout simplement éliminés ... par qui ? sûreté de l'Etat ?

Dans 2 ans ce sera la prescription définitive ... beaucoup de personnages qui ont trempé dans l'histoire attendent cette date avec
impatience ... ( monde politique, monde judiciaire, noblesse ... )

trempé sur base d'éléments objectifs ou parce que l'imagination parfois débordante des journalistes et de l'opinion les y a trempés ?

seammjasani7134 a écrit:

Le raid mené sur le delhaize d'Alost est "l'apothéose" si l'on peut dire des tueries du brabant ...
les assassins disparaîtront ensuite dans la nature pour ne jamais être inquiété le moins du monde ...

A ce jour, l'enquête sur les tueries est pour moi à ZERO ... oui la CBW a bien trouvé de temps en temps de minces indices pour faire croise aux familles des victimes que l'on s'intéressait à l'enquête mais il n'en est rien ...

Une sois disant nouvelle cellule d'enquête a été mise sur pied ... dans quelques temps on trouvera de nouveau quelques broutilles d'indices mais encore une fois cela ne mènera NUL PART.... en déplaise à Mme Michel , juge (actuel) d'instruction pour les tueries ...

Une hypothèse peut être évoquée en ce sens que les assassins aient été tout simplement éliminés ... par qui ? sûreté de l'Etat ?

Dans 2 ans ce sera la prescription définitive ... beaucoup de personnages qui ont trempé dans l'histoire attendent cette date avec
impatience ... ( monde politique, monde judiciaire, noblesse ... )

Je veux bien te croire... mais... pourquoi te croire ?

C'est sans doute le reflet de l'opinion publique et de ce que vehiculent les medias...la théorie du complot fait vendre et conforte les gens (moi compris, on est tous pareil) dans leurs fantasmes, c'est pas nouveau. Mais est-ce que c'est vrai? J'ai l'impression que tout le monde préfére une rumeur qui fait vendre qu'une vérité peut-être moins passionante.
Pourtant les faits sont là, tous les jours des personalités importantes (politiques, show biz, hommes d'état, ...) sont impliqués dans des scandales, preuve que nul n'est au dessus des lois et qu'à la limite la notoriété implique la médiatisation (donc on a plus de chance qu'une affaire 'sorte' si on est connu que si on ne l'es pas, même à tord)...mais on continu de penser que ces gens sont 'couverts', 'au dessus des lois'...
Perso je pense qu'au contraire si cette affaire venait vraiment de ce type de commanditaires, çà fait longtemps qu'on le saurait, les opposants se seraient fait un plaisir de balancer...meme sans preuves!!

césar a écrit:

Juste avant l'attaque, on demandera une dédicace à une radio locale. Le demandeur s'exprime en flamand sans accent et demande la chanson "op voet naar scherpenheuvel" "pour 19h15 précise, car après il sera trop tard".

Probablement aucun rapport, mais une ville en brabant flamand porte ce nom : Scherpenheuvel. La copine de De Staerke à l'époque y travaillait comme prostituée. Encore une coincidence de plus...

A ce sujet, j'ai reçu une information à la foire du livre : le jour de la tuerie, dans un café près du cimetière d'Alost, quatre individus jamais vu des habitués, froids et concentrés prenaient une consommation sans échanger le moindre mot. La radio en question était branchée dans l'établissement. Au moment où la dédicace est passée, ils se sont levés, ont payés et sont partis. Les témoins de cette scène qui sont probablement décédés depuis ont toujours eu l'impression que ces hommes étaient les assaillants du Delhaize d'Alost.

Qui a recueilli leurs témoignages ?
Un café fréquenté par des personnes agées ???
Combien de stations à l'époque accesibles à Alost ?
Comment savoir avant de s'y rendre que l'établissement était animé par radio amigo ?
On avait parlé d'un autre pub avec un homme qui présentait bien sur un autre fil...

CS1958 a écrit:

Qui a recueilli leurs témoignages ?
Un café fréquenté par des personnes agées ???
Combien de stations à l'époque accesibles à Alost ?
Comment savoir avant de s'y rendre que l'établissement était animé par radio amigo ?
On avait parlé d'un autre pub avec un homme qui présentait bien sur un autre fil...

Témoignages non-exploités par la police.
Le café est fermé et les témoins sont morts (déjà âgés en 1985).
Trop tard.

Non exploités....
Distance entre cimetière et Parklaan (Delhaize) ?
Pas même le nom du Café ?
Le nom du propriétaire ?
Des confidences à ce sujet à des amis, descendants, employés plus jeunes ?

CS1958 a écrit:

Non exploités....
Distance entre cimetière et Parklaan (Delhaize) ?
Pas même le nom du Café ?
Le nom du propriétaire ?
Des confidences à ce sujet à des amis, descendants, employés plus jeunes ?

Le cimetière est proche (quelques centaines de mètres).
Pour le reste, rien de plus.

oui mais à Alost on raconte bcp de conneries, des mythos dans tout les coins

michel a écrit:

césar a écrit:

Juste avant l'attaque, on demandera une dédicace à une radio locale. Le demandeur s'exprime en flamand sans accent et demande la chanson "op voet naar scherpenheuvel" "pour 19h15 précise, car après il sera trop tard".

Probablement aucun rapport, mais une ville en brabant flamand porte ce nom : Scherpenheuvel. La copine de De Staerke à l'époque y travaillait comme prostituée. Encore une coincidence de plus...

A ce sujet, j'ai reçu une information à la foire du livre : le jour de la tuerie, dans un café près du cimetière d'Alost, quatre individus jamais vu des habitués, froids et concentrés prenaient une consommation sans échanger le moindre mot. La radio en question était branchée dans l'établissement. Au moment où la dédicace est passée, ils se sont levés, ont payés et sont partis. Les témoins de cette scène qui sont probablement décédés depuis ont toujours eu l'impression que ces hommes étaient les assaillants du Delhaize d'Alost.

Est-ce que ça rejoint ce fil michel ?

https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t1703-la-theorie-de-kuros

CS1958 a écrit:

Non exploités....
Distance entre cimetière et Parklaan (Delhaize) ?
Pas même le nom du Café ?
Le nom du propriétaire ?
Des confidences à ce sujet à des amis, descendants, employés plus jeunes ?

Il y a 500 mètres entre l'entrée avant du Delhaize et l'entrée du cimetière



Un bon candidat pour l'emplacement du café en question est le croisement de la Kerkhoflaan et de la Leodebethunelaan au coin "supérieur droit" où actuellement un magasin plus récent a été reconstruit ("De Fruitkorf").

totor a écrit:

michel a écrit:

césar a écrit:

Juste avant l'attaque, on demandera une dédicace à une radio locale. Le demandeur s'exprime en flamand sans accent et demande la chanson "op voet naar scherpenheuvel" "pour 19h15 précise, car après il sera trop tard".

Probablement aucun rapport, mais une ville en brabant flamand porte ce nom : Scherpenheuvel. La copine de De Staerke à l'époque y travaillait comme prostituée. Encore une coincidence de plus...

A ce sujet, j'ai reçu une information à la foire du livre : le jour de la tuerie, dans un café près du cimetière d'Alost, quatre individus jamais vu des habitués, froids et concentrés prenaient une consommation sans échanger le moindre mot. La radio en question était branchée dans l'établissement. Au moment où la dédicace est passée, ils se sont levés, ont payés et sont partis. Les témoins de cette scène qui sont probablement décédés depuis ont toujours eu l'impression que ces hommes étaient les assaillants du Delhaize d'Alost.

Est-ce que ça rejoint ce fil michel ?

https://tueriesdubrabant.1fr1.net/t1703-la-theorie-de-kuros

Je suis incapable de le dire par manque d'informations supplémentaires.

DES PERSONNAGES ET DES VEHICULES SUSPECTS – Des gangsters connus -

Il existe des indications que plus de personnes, et surtout plus de véhicules ont été impliqués dans l'attaque. D'après des témoins visuels, pas mal de bandits connus fréquentaient Alost au moment de l'attaque. Un homme d'affaires était entré avec ses emplettes du Delhaize au café The Fox, situé juste à côté des lieux lors de la fusillade en criant "Ca y est, ça y est". Ce monsieur continue de dire que dans le café il a vu un monsieur très chic, bien coiffé, bien habillé, qu'il a reconnu bien des années plus tard sur une photo de journal comme un membre de la bande Haemers. Le malfrat serait monté à bord d'une Golf foncée, qui était garée devant le pub. Dans un café un peu plus loin, le Christoffelken, d'autres membres de la bande ont été signalés cette nuit-là. Mais les témoins, quelques marchands ambulants qui n'ont témoigné qu'un an après les faits, se sont rétractés quand ils ont été confrontés aux suspects qu'ils avaient désignés sur photo.
Des déclarations si tardives doivent bien-sûr être examinées avec circonspection, mais immédiatement après l'attaque, la cellule Delta a entendu des habitants d'Alost déclarer qu'ils avaient remarqué des agissements bizarres dans les environs du Delhaize. Leurs témoignages concordants donnent l'impression que ce funeste soir, des "troupes de soutien" étaient présentes pour soutenir le commando de tireurs et pour les aider au cas où l'affaire aurait mal tourné. Pour commencer, beaucoup d'Alostois ont vu circuler une Mercedes immatriculée en Hollande dans les jours précédant l'attaque. Le jour même du hold-up, un enfant de Liedekerke, une commune voisine, a noté le numéro d'immatriculation d'une voiture grise. La plaque semblait appartenir à la Maison d'Orange et les enquêteurs en ont déduit que l'enfant s'était trompé. Le même jour, entre l'heure de midi, un certain nombre de témoins ont vu une voiture semblable dans la rue en face du parking du magasin. Certains témoins ont signalé que peu après 16 heures une Audi est arrivée, à bord de laquelle se trouvaient quatre personnes qui se sont adressées aux occupants de la Mercedes. En fin d'après-midi, une Mercedes immatriculée aux Pays-Bas a été vue sur le parking du Delhaize. Une heure environ avant le hold-up, vers 18h30, une Mercedes grise a été signalée dans le bois de la Houssière, à environ 50 km du Delhaize d'Alost. La voiture se trouvait près d'une Golf à bord de laquelle se trouvaient des hommes armés. Peu après 19 heures, une grande Mercedes gris clair immatriculée aux Pays-Bas, occupée par trois passagers, était signalée sur l'E40 à Ternat. Les témoins ont eu l'impression qu'elle était suivie par une Golf foncée à trois portes, également occupée par trois personnes. Les deux véhicules roulaient en direction d'Alost. Tout juste avant le hold-up, des clients du Delhaize ont vu une Mercedes immatriculée aux Pays-Bas sur le parking, au volant de laquelle un homme attendait. S'agissait-il de l'"explorateur" de la bande, qui devait prévenir ses complices dans la Golf dès que la patrouille de gendarmerie s'en irait ? En tous cas, la bande est passée à l'attaque juste après que la R4 de la gendarmerie ait quitté le parking pour aller contrôler un autre magasin. Par après, Delta a tenté en vain d'identifier la Mercedes hollandaise. Une enquête a été menée sur tous les hollandais qui avaient séjourné à Alost dans les mois autour du hold-up. Il n'y en avait que trois, et aucun d'entre eux ne possédait de Mercedes. Les gangsters disposaient de trois voies pour fuir. A l'avant, le Delhaize donne sur la Parklaan, il n'y a pas de parking, mais un véhicule – la Golf noire que l'homme d'affaires avait remarquée au Fox ? - aurait pu se garer sur le côté pour permettre aux assaillants de fuir. A l'arrière du magasin se trouvent trois parkings, où les gangsters pouvaient se débarrasser aisément de leurs véhicules, mais ils auraient été faits comme des rats si la police décidait de boucler cette sortie. Il restait encore une troisième sortie. Un petit chemin piéton conduit de la sortie du parking au parc d'Alost. Si on le suit, on atteint, au bout de 300 m environ, un chemin asphalté qui mène à la Parklaan. On raconte à Alost que ce soir-là, une Ford Taunus claire attendait, prête à prendre la fuite.
En tous cas, vers 19h, une demi-heure avant le hold-up, un étrange convoi a traversé le centre-ville en direction de la grande surface. Une enseignante a vu surgir deux véhicules tout près de la place du Marché alors qu'elle-même s'apprêtait à démarrer. Il s'agissait d'une Taunus de couleur claire qui roulait tous phares éteints. Il faisait déjà nuit et la dame a vu qu'un piéton faisait remarquer au conducteur de la Taunus qu'il n'avait pas allumé ses phares, suite à quoi le conducteur les alluma. La dame s'en alla. Elle suivit un autre chemin que la Taunus, mais alors qu'elle attendait à un feu rouge, elle vit à nouveau les deux véhicules. Cette fois, elle les croisa. Le conducteur de la Taunus avait à nouveau éteint ses phares. Quatre hommes occupaient le véhicule. C'est le conducteur qu'elle a le mieux vu, il était coiffé d'une permanente "Carl Huybrechts". Quoi qu'il en soit, les bandits n'ont pas dû faire usage de leurs plans de secours. La police n'a pas bloqué les issues des parkings.
Source : Humo 2004/www.bendevannijvel.com

Donc pas le même établissement visiblement....

En 1979 il existait un café 'Sint Kristoffel' au coin de la Kerkhoflaan et Diepestraat:





Dans les environs du cimetière, il y avait en 1981 encore un autre café 'Touring' au coin de la August Marcelstraat et la Diepestraat:




Je ne trouve pas de café dans les années '80 à l'entrée du cimetière, juste une pancarte publicitaire pour Rondo koffie.

Merovingien a écrit:

En 1979 il existait un café 'Sint Kristoffel' au coin de la Kerkhoflaan et Diepestraat:





Dans les environs du cimetière, il y avait en 1981 encore un autre café 'Touring' au coin de la August Marcelstraat et la Diepestraat:




Je ne trouve pas de café dans les années '80 à l'entrée du cimetière, juste une pancarte publicitaire pour Rondo koffie.

Ma source a précisé : à proximité du cimetière, pas nécessairement en face. Ce café n'existe plus/

Deux équipes ?
L'une au "Fox", l'autre dans un second café (le Christoffelken qui est "un peu plus loin" que le "Fox").
Une troisième équipe dans un café près du cimetière ?

CS1958 a écrit:

DES PERSONNAGES ET DES VEHICULES SUSPECTS – Des gangsters connus -

Il existe des indications que plus de personnes, et surtout plus de véhicules ont été impliqués dans l'attaque. D'après des témoins visuels, pas mal de bandits connus fréquentaient Alost au moment de l'attaque. Un homme d'affaires était entré avec ses emplettes du Delhaize au café The Fox, situé juste à côté des lieux lors de la fusillade en criant "Ca y est, ça y est". Ce monsieur continue de dire que dans le café il a vu un monsieur très chic, bien coiffé, bien habillé, qu'il a reconnu bien des années plus tard sur une photo de journal comme un membre de la bande Haemers. Le malfrat serait monté à bord d'une Golf foncée, qui était garée devant le pub. Dans un café un peu plus loin, le Christoffelken, d'autres membres de la bande ont été signalés cette nuit-là. Mais les témoins, quelques marchands ambulants qui n'ont témoigné qu'un an après les faits, se sont rétractés quand ils ont été confrontés aux suspects qu'ils avaient désignés sur photo.
Des déclarations si tardives doivent bien-sûr être examinées avec circonspection, mais immédiatement après l'attaque, la cellule Delta a entendu des habitants d'Alost déclarer qu'ils avaient remarqué des agissements bizarres dans les environs du Delhaize. Leurs témoignages concordants donnent l'impression que ce funeste soir, des "troupes de soutien" étaient présentes pour soutenir le commando de tireurs et pour les aider au cas où l'affaire aurait mal tourné. Pour commencer, beaucoup d'Alostois ont vu circuler une Mercedes immatriculée en Hollande dans les jours précédant l'attaque. Le jour même du hold-up, un enfant de Liedekerke, une commune voisine, a noté le numéro d'immatriculation d'une voiture grise. La plaque semblait appartenir à la Maison d'Orange et les enquêteurs en ont déduit que l'enfant s'était trompé. Le même jour, entre l'heure de midi, un certain nombre de témoins ont vu une voiture semblable dans la rue en face du parking du magasin. Certains témoins ont signalé que peu après 16 heures une Audi est arrivée, à bord de laquelle se trouvaient quatre personnes qui se sont adressées aux occupants de la Mercedes. En fin d'après-midi, une Mercedes immatriculée aux Pays-Bas a été vue sur le parking du Delhaize. Une heure environ avant le hold-up, vers 18h30, une Mercedes grise a été signalée dans le bois de la Houssière, à environ 50 km du Delhaize d'Alost. La voiture se trouvait près d'une Golf à bord de laquelle se trouvaient des hommes armés. Peu après 19 heures, une grande Mercedes gris clair immatriculée aux Pays-Bas, occupée par trois passagers, était signalée sur l'E40 à Ternat. Les témoins ont eu l'impression qu'elle était suivie par une Golf foncée à trois portes, également occupée par trois personnes. Les deux véhicules roulaient en direction d'Alost. Tout juste avant le hold-up, des clients du Delhaize ont vu une Mercedes immatriculée aux Pays-Bas sur le parking, au volant de laquelle un homme attendait. S'agissait-il de l'"explorateur" de la bande, qui devait prévenir ses complices dans la Golf dès que la patrouille de gendarmerie s'en irait ? En tous cas, la bande est passée à l'attaque juste après que la R4 de la gendarmerie ait quitté le parking pour aller contrôler un autre magasin. Par après, Delta a tenté en vain d'identifier la Mercedes hollandaise. Une enquête a été menée sur tous les hollandais qui avaient séjourné à Alost dans les mois autour du hold-up. Il n'y en avait que trois, et aucun d'entre eux ne possédait de Mercedes. Les gangsters disposaient de trois voies pour fuir. A l'avant, le Delhaize donne sur la Parklaan, il n'y a pas de parking, mais un véhicule – la Golf noire que l'homme d'affaires avait remarquée au Fox ? - aurait pu se garer sur le côté pour permettre aux assaillants de fuir. A l'arrière du magasin se trouvent trois parkings, où les gangsters pouvaient se débarrasser aisément de leurs véhicules, mais ils auraient été faits comme des rats si la police décidait de boucler cette sortie. Il restait encore une troisième sortie. Un petit chemin piéton conduit de la sortie du parking au parc d'Alost. Si on le suit, on atteint, au bout de 300 m environ, un chemin asphalté qui mène à la Parklaan. On raconte à Alost que ce soir-là, une Ford Taunus claire attendait, prête à prendre la fuite.
En tous cas, vers 19h, une demi-heure avant le hold-up, un étrange convoi a traversé le centre-ville en direction de la grande surface. Une enseignante a vu surgir deux véhicules tout près de la place du Marché alors qu'elle-même s'apprêtait à démarrer. Il s'agissait d'une Taunus de couleur claire qui roulait tous phares éteints. Il faisait déjà nuit et la dame a vu qu'un piéton faisait remarquer au conducteur de la Taunus qu'il n'avait pas allumé ses phares, suite à quoi le conducteur les alluma. La dame s'en alla. Elle suivit un autre chemin que la Taunus, mais alors qu'elle attendait à un feu rouge, elle vit à nouveau les deux véhicules. Cette fois, elle les croisa. Le conducteur de la Taunus avait à nouveau éteint ses phares. Quatre hommes occupaient le véhicule. C'est le conducteur qu'elle a le mieux vu, il était coiffé d'une permanente "Carl Huybrechts". Quoi qu'il en soit, les bandits n'ont pas dû faire usage de leurs plans de secours. La police n'a pas bloqué les issues des parkings.
Source : Humo 2004/www.bendevannijvel.com

Extrait de wikipedia:
Les extraits présentant un minimum d'intérêt sont soulignés.
Le profil sociologique de l'utilisateur du véhicule peut ainsi peut-être être mieux cerné (peu fortuné, bricoleur,etc).
Il est intéressant de noter que ce type de véhicule a été finalement peu vendu (mais la Belgique était peut-être l'exception).
Je ne retiens que le modèle de la période concernée faute de plus amples précisions.

Ford Taunus (1979-1982 )
À partir de l'année 1976 le modèle Taunus et Cortina sont presque identiques, à l'exception des variations régionales (particulièrement concernant les niveaux de finition).
La TC Taunus ainsi que la Cortina Mk III et leurs successeurs ont été produites sous des formes légèrement modifiée en Europe, en Argentine et en Asie (dont certaines Cortinas construites sous licence par le constructeur automobile coréen Hyundai) jusqu'à ce que la dernière Otosan-Taunus quitte son usine turque en 1994. Toutefois, les principaux composants sont restés pratiquement les mêmes à travers toute la production courir à l’exception des modifications mineures du corps avec le re-engineering de l'année 1979.
La Taunus / Cortina a finalement été remplacée par la Sierra à la fin de l'année 1982. La Sierra hérite des moteurs de la Cortina / Taunus Pinto OHC mais disposa d'une toute nouvelle suspension indépendante.
Les modèles Taunus et Cortina sont très facile à entretenir et partagent beaucoup de composants mécaniques avec les autres voitures de Ford Europe de cette période (en dehors de la Ford Fiesta), les rendant extrêmement facile à réparer. Néanmoins ces modèles sont rares, même dans les marchés où ils étaient les plus populaires. Par exemple, l'anglais Cortinas a été vendue à plus de 1 000 000 unités, mais seulement 2 000 véhicules environ étaient en circulation en 2006. La Taunus est plus fréquente dans la circulation, dans les pays comme l'Espagne, l'Allemagne et la Scandinavie où il y a un club actif de propriétaires.
En 1982, la production de la Taunus cesse en Europe ou elle a été remplacée par la Ford Sierra. La production a continué jusqu'en 1984 en Argentine, où une version coupé (en fait une berline deux portes) est restée jusqu'à la fin (alors qu'en Allemagne, le coupé a été abandonné après le lifting 1975), et à Otosan en Turquie, où une version restylée a été produite jusqu'en 1994.

La Taunus a été vendue en Belgique durant la période de 1970-1982 à une quantité de 2 695 796 exemplaires selon Ford Genk. Cela semble un chiffre très important contrairement à ce qui est dit ci-dessus...