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| Alost, 9 novembre 1985 | |
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Auteur | Message |
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K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: poursuite Mer 21 Oct - 21:01 | |
| je pense que cela n'est qu'une partie
1.:En sortant à l'arrière ils sont poursuivis par une camionette (VW et un R4 ) qui le perds de vue par le sur la rampe du pont sur l'autoroute. ils ne voient pas le GTi prendre à droite qui le perds de vue donc sur ce pont.
2.: un pieton les a vus tourner à droite là qq part(avenue de l'industrie)
3: Sur le R45 ils dépassent (ou?) un jeune avec un nouveau BMW qui est fils d'un politicien. il les suit à grand vitesse ,fait des signes de feux et( dépasse d'autres voitures à 200km/h) et est vue par un autre politicien qqpart. puis l'histoire du chauffeur de jeep....qqpart)
4;: un nouveau témoin kur. à vu une voiture sans feux tourner à droite sur le R45 ,tandis que lui sortait de cette rue...à confirmer;
5: Main -du-Bois entre Alost et ninove :inconnu pour google c'est un lieu-dit non officiel?
6:Ronquieres :etc |
| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: pourtant Jeu 22 Oct - 20:20 | |
| deux ,c'est important
pourqoui il prennent cette avenue? qui venait travailler là ?
qui d'autre avait son atelier en face?
C'est pas St Maarten ni Zwette Piet. |
| | | michel Admin
Nombre de messages : 8625 Localisation : Bruxelles Date d'inscription : 16/11/2005
| Sujet: Re: Alost, 9 novembre 1985 Jeu 22 Oct - 20:52 | |
| - K a écrit:
- deux ,c'est important
pourqoui il prennent cette avenue? qui venait travailler là ?
qui d'autre avait son atelier en face?
C'est pas St Maarten ni Zwette Piet. Bien oui, qui? _________________ "Ne rien nier à priori, ne rien affirmer sans preuve." ( Dr. Robert RENDU)
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| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: ! Dim 25 Oct - 14:48 | |
| Podev. et en face VdAb./ Vdst ! |
| | | michel Admin
Nombre de messages : 8625 Localisation : Bruxelles Date d'inscription : 16/11/2005
| Sujet: Re: Alost, 9 novembre 1985 Mar 8 Déc - 14:43 | |
| Les témoins oculairesLe débutVingt minutes après l'étrange coup de téléphone à la radio Mi Amigo, un client veut se garer sur le parking du Delhaize d'Alost. Dans le magasin, les clients remplissent leurs charriots pour le long week-end de la St Martin, qui est plus célébré à Alost que la St Nicolas. Devant l'entrée du magasin, un témoin voit quatre hommes, à deux mètres de distance les uns des autres. Trois d'entre eux portent une arme à feu et tirent en direction de l'entrée. Ils sont masqués. Le quatrième a l'air de donner des ordres. Il n'est pas masqué, assez petit, âgé de 25 ans environ et il porte une moustache. Le témoin s'enfuit avec sa famille. Un autre Alostois attend sur le parking au volant de sa voiture pendant que sa famille fait des emplettes. Il voit très bien l'entrée. Trois hommes arrivent. Ils portent des cagoules et sont armés d'une mitraillette à canon court (? - ndt). Ce qui s'est passé à ce moment-là, le témoin l'a raconté déjà des milliers de fois : "Le premier homme a couru jusqu'au sentier de l'Osbroekpark lelong du magasin, le second s'est dirigé vers les vidanges d'où il voyait le parking, la sortie et le petit chemin de Osbroek. Le troisième a attrapé un client qui venait de sortir. J'ai entendu une détonation et le client s'est affaissé. J'entendais des femmes hurler." Le témoin s'enfuit immédiatement – son fils se trouve à l'arrière de la voiture – il continue à rouler, même quand son pare-brise arrière vole en éclats suite à une balle. Il ressent une douleur à la tête, il saigne. Il dépose son fils dans un café proche et retourne sur place pour aller chercher sa femme. Il la trouve au premier étage au dessus d'une taverne. Elle a pu voir le malfrat qui se trouvait sur le parking. Sa tête avait la forme d'un trapèze, le côté le plus large vers le bas. Entretemps, les gangsters se sont dirigés vers le magasin. L'un d'eux tire sur tout ce qui bouge. Le vent souffle fort, le bandit vise les panneaux publicitaires. Un autre ménage, monsieur, madame et une fillette – vient de passer à la caisse. Leur ticket mentionne 19h40. Juste devant l'entrée, la fillette demande un bonbon. Son père cherche dans le panier à provisions. La femme entend qu'on tire des coups répétés. Le monsieur se jette sur sa fille et crie "Couchez-vous par terre" et attire sa femme sur le sol. Ils sont face contre terre. La femme reçoit des coups de pied et feint d'être morte. On la tire alors vers le haut par l'épaule gauche. Elle se retrouve nez-à-nez avec un homme sur la poitrine duquel pend une arme. Il l'attrape par la gorge. Elle dit " Lâchez-moi" et voit dans un éclair le directeur-adjoint du magasin qui se trouve là. Il supplie "Mais lâchez-la". "Mettez-vous de côté alors" répond le gangster dans un néerlandais correct. La femme s'enfuit, paniquée, dans un petit bureau adjacent au magasin. Là elle voit un homme qui sort quelque chose du coffre. Elle se retourne et court vers la réserve, d'où elle voit un autre homme qui vide la caisse treize. Celui qui lui a donné des coups de pieds est parti. Il était très grand dira-t-elle plus tard, sûrement 1,90 mètres. Dans le supermarché, un homme entend des détonations qui le font penser à un feu d'artifice. Près d'un appareil téléphonique, il voit un garçon d'une douzaine d'années avec un livre et un ballon. Le garçon pleure et hurle. Le monsieur veut se diriger vers lui, mais à ce moment-là il entend un bris de verre. Il se retrouve tout-à-coup nez-à-nez avec l'un des bandits, qui entre d'un pas souple dans le magasin. "Un hold-up ! un hold-up !" Un autre enfant entend des coups de feu, des cris et des pleurs depuis le parking. Tout le monde se couche par terre. Son petit frère a peur et il pleure. Le gamin se lève et va se coucher sur son petit frère. Des clients foncent dans le magasin et s'enfuient vers la sortie à travers les rayons. Tout le monde crie "Un hold-up, un hold-up". On court dans tous les sens. Un enfant crie : "Ne rien me faire, ne pas me prendre !". Un homme voit 4 bandits. Un autre client voit comment on abat une femme juste derrière lui. Les jambes de la victime lui tombent presque dessus. Un enfant enregistre tout visuellement. "Ma marraine était couchée devant l'entrée. Elle essayait de ramper à plat ventre pour s'enfuir. C'est alors que le premier bandit a passé son arme à travers le trou dans la porte et a tiré sur ma marraine. Elle a été atteinte à la gorge et est décédée sur place. Le choc a dû la projeter en arrière, ce qui a libéré l'entrée. Les trois gangsters sont sortis. Le numéro 1 portait un costume brun clair serrant, et sous son veston une veste comme les paras. A la ceinture il portait trois sachets et un couteau d'une vingtaine de centimètres. A son cou était suspendu un couteau dans un étui en cuir. Il mesurait 1,90 mètre, il avait l'air d'un bodybuilder. Il portait un riot gun et parlait français et néerlandais. Alors que les bandits sont encore sur le parking, la police arrive sur place. Depuis le café en face de la sortie du parking, des habitués voient un homme d'environ 1,90 mètre, mince, long manteau, cagoule, mitraillette attachée sur le dos, se diriger tranquillement vers une Golf GTI foncée, occupée par deux personnes. La portière arrière de la voiture est ouverte. Quand la police le voit, il tire, glacial. La police riposte. Du fait de la densité du trafic, la police doit faire attention à ne pas atteindre un passant. Le tireur ne cherche pas de protection et continue à tirer. Les agents plongent derrière un muret. Finalement le tireur saute à l'arrière de la voiture, qui file tous feux éteints vers Ninove. Deux voitures de police la suivent. Eddy Nevens vise trois fois les fugitifs. Maintenant qu'ils sont sûrs que les bandits sont partis, les agents et les services de secours arrivent sur le champ de bataille Il y a des voitures détruites partout : criblées de balles, les vitres explosées. Toutes les maisons dans la rue ont des impacts de balles. Au volant d'un véhicule se trouve un homme gravement blessé, il décèdera plus tard à l'hôpital. Dans une autre voiture, la dépouille d'un homme, la tête sur le volant. Sur la banquette arrière, le corps sans vie de sa petite fille. Juste devant l'entrée du magasin, les agents voient trois corps ensanglantés. Certains bougent encore. A droite se trouve une femme, couchée sur le dos. Elle porte une robe blanche. Sa joue est éclatée. Son collier de perles est cassé, les perles et une boucle d'oreilles se trouvent un peu plus loin. A côté de sa tête se trouve un panier à provisions, plein d'impacts. Une femme est couchée dans le sas près de l'entrée. Elle n'a plus de gorge. Elle est affalée contre un caddy. Un pompier trouve une fillette dont le bas de la joue est arraché, la main posée sur la poitrine de son père. On dirait qu'ils se sont enlacés dans la mort. A l'intérieur se trouve un homme dont la joue gauche a été arrachée, mais il vit encore. Un ambulancier voit un homme qui cache un enfant sous son manteau, il erre en panique à travers le magasin. Les blessés sont conduits à l'hôpital. Un quart d'heure après le massacre, les auditions commencent. Luc Boeve travaille depuis exactement une semaine à la BSR d'Alost. Il est précisément de service ce week-end-là. Un silence de mort Luc Boeve : "J'étais au bureau depuis une demi heure quand l'avis nous est parvenu. J'ai immédiatement pensé aux attaques d'Overijse et Braine-l'Alleud. J'ai sauté dans la voiture avec mon 9 mm. A la rotonde du Haring, tout près du Delhaize, il y avait déjà des voitures de police. Nous sommes entrés sur le parking du magasin. Je me souviens d'un silence de mort, du vent violent qui soufflait à travers les arbres sur le Osbroekpark et les douilles des cartouches qui volaient dans tous les sens. Tant bien que mal j'essayais que les traces matérielles ne disparaissent pas." "Le magasin avait l'air vide, c'était hallucinant. Les gens fuyaient en paniquant, avant même qu'on ait pu leur dire un mot. Des curieux qui avaient entendu qu'il s'était passé quelque chose essayaient de rentrer dans le Delhaize par l'avant, à l'avenue du Parc. A la télévision, on me voit dire à un garçon en uniforme "Ne laissez plus rentrer personne, s'il vous plait, mais notez les adresses des témoins". Pendant ce temps, notre liaison radio continuait à crachoter. Des équipes par ci, des équipes par là. Nous avons entendu des gens pendant toute la nuit. Nous avons immédiatement commandé une maquette du magasin et de ses environs, de manière à ce que les témoins puissent indiquer où ils avaient vu qui, quelle voiture ou quel comportement suspect. Le chaos était immense. Certains témoins avaient vu des auteurs déguisés avec des perruques de père fouettard, d'autres décrivaient des hommes cagoulés, d'autres encore des paramilitaires. Les gangsters roulaient en Golf, mais la couleur allait, d'après les témoins, de l'anthracite au vert ou au bleu, le modèle de trois à cinq portes. Certains témoins avaient vu une vieille voiture, d'autres un véhicule neuf. C'était à désespérer." A Bruxelles, le commissariat-général de la police judiciaire comparait la description des auteurs à celle qui avait été donnée lors des attaques de Beersel le 7 octobre 1983 et à Braine-l'Alleud et Overijse le 27 septembre 1985. Une description détaillée du "géant" des tueries a été établie sur cette base. Il mesurerait environ 1,90 mètre et aurait entre 25 et 45 ans. Il est francophone mais peut s'exprimer en néerlandais. A Alost il dit "Mettez-vous de côté" d'une voix grave, qui, d'après certains témoins, venait directement de la gorge. Il apparaît comme le chef, il semble être sûr de lui et déterminé, il prend tranquillement son temps pour tout. Son pas est particulier, mais il est décrit de manières différentes. A Beersel il semblait boiter légèrement, "comme s'il avait des ampoules aux pieds". A Overijse et Braine-l'Alleud, on parlait d'un pas lent, souple et une d'une allure dégingandée, légèrement voûtée. A Alost les témoins ont trouvé que le géant "marchait comme un robot" et qu'il déplaçait bizarrement sa jambe droite vers l'avant, presque en slow motion. Il portait un riot gun, et à Overijse et Braine-l'Alleud il portait également un sac en plastic gris portant la mention "Propsac". Quand les premiers rapports balistiques rentrent, les enquêteurs sont frappés de stupeur. Au Delhaize d'Alost, on a tué des personnes avec le même riot gun que celui qui a été utilisé deux ans auparavant pour tuer le mari de la concierge de l'entreprise textileWittock-Van Landhegem à Tamise. C'est à ne pas le croire, mais visiblement les malfrats ont pris le risque de conserver une arme avec laquelle des faits très graves ont été commis pour commettre des actes plus atroces encore. Humo – Hilde Geens – Octobre 2005 Source : www.bendevannijvel.com (traduction lagloupette02) _________________ "Ne rien nier à priori, ne rien affirmer sans preuve." ( Dr. Robert RENDU)
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| | | lagloupette02
Nombre de messages : 163 Date d'inscription : 08/10/2007
| Sujet: Re: Alost, 9 novembre 1985 Mar 8 Déc - 20:45 | |
| Merci qui ? |
| | | billbalantines
Nombre de messages : 1364 Date d'inscription : 23/03/2007
| Sujet: Re: Alost, 9 novembre 1985 Mar 8 Déc - 21:02 | |
| - lagloupette02 a écrit:
- Merci qui ?
Merci à toi car cette traduction est plus qu'intéressante. Elle illustre bien le coté 'carnage' et violence gratuite (ils tirent sur les panneaux publicitaires) pour impressionner et donner un signal? (à la direction de Delhaize?, d'autres?) ou camoufler une intervention plus ciblée. Aussi cette difficulté de cerner des témoignages fiables dans une grande confusion. Etonnement sur cette précision balistique. On peut réellement 'tracer' les balles qui sortent d'un riot-gun? Comment? empreintes des douilles? Le lien Tamise-Alost serait donc du domaine de la certitude du moins par lien des armes utilisées? |
| | | René De Witte
Nombre de messages : 34 Date d'inscription : 12/05/2007
| Sujet: Re: Alost, 9 novembre 1985 Mer 9 Déc - 0:01 | |
| L'homme dont parle René de Witte a semble-t-il été envoyé juste avant l'attaque au Delhaize d'Alost par sa femme pour acheter un poulet, chose qu'il ne fait jamais. Il a préféré aller dans une boucherie. Depuis il se demande s'il n'a pas été envoyé sciemment pour y être abattu.
Farfelu? René de Witte estime le témoin crédible.
A suivre.
On confond. L'homme du poulet n'est pas Jan Palsterman. |
| | | René De Witte
Nombre de messages : 34 Date d'inscription : 12/05/2007
| Sujet: Re: Alost, 9 novembre 1985 Mer 9 Déc - 0:19 | |
| L'homme du poulet est crédible. Je pense... |
| | | michel Admin
Nombre de messages : 8625 Localisation : Bruxelles Date d'inscription : 16/11/2005
| Sujet: Re: Alost, 9 novembre 1985 Mer 9 Déc - 10:14 | |
| @René De Witte Dans mon esprit, l'homme au poulet n'est pas Palsterman. Il s'agit plutôt de celui-ci : https://tueriesdubrabant.1fr1.net/alost-9-novembre-1985-f70/la-theorie-de-kuros-t1703.htmSinon dans la traduction de notre précieuse et précise lagloupette02, plusieurs choses à retenir : ils étaient 4 et non 3 comme on le pense souvent. L'un agissait à visage découvert (jeune et moustachu). Le géant avait une carrure de bodybuilder (le garçon pris en otage à Braine disait la même chose). Il parlait le néerlandais car il a su répondre à quelqu'un dans cette langue. Il marchait aussi bizarrement. _________________ "Ne rien nier à priori, ne rien affirmer sans preuve." ( Dr. Robert RENDU)
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| | | romain gary
Nombre de messages : 313 Date d'inscription : 10/10/2009
| Sujet: Re: Alost, 9 novembre 1985 Mer 9 Déc - 15:58 | |
| deux suspects déjà cité qui ont le profil : grand, démarche bizarre.. Tourmaniantz (supposé mort avant les faits mais... d'autres faits lui sont attribués: vols déguisé en femme à BXL) Delperdange (on a retrouvé des chaussures avec des talons rehaussés après son meurtre)
Reste l'usage de la langue, qui semble ici intéressant: Qui de Tourmaniantz ou Delperdange savait s'exprimer sans accent en Néerlandais? Delperdange était liégeois, avait-il un usage courant du néerlandais de part ses affaires en informatique? Tourmaniantz parlait-il néerlandais? Il a été incarcéré précédemment à Leuven, si j'ai bonne mémoire...
Allure de "body-builder": Pas franchement la physionomie de Delperdange.... Tourmaniantz était plutôt filiforme? Mais il a pu s'entrainer...
Détail: la veste militaire sous le veston... Pour masquer un gilet pare-balle? Est-ce possible que les gilets pare-balles fussent employés?
En rapport Michel avec l'autre fil sur Kouros: le témoin parle d'un Grand libéré peu avant de la prison de Gand...
Qui peut éventuellement savoir qui était ce grand bonhomme libéré peu avant...
Peut-être que le Grand (ou Géant) marchait lentement PARCE QU'IL NE POUVAIT PAS FAIRE AUTREMENT? (une blessure, un handicap, etc...)
Sinon, comment expliquer sa démarche? Cela va à l'encontre de son propre instinct de survie... |
| | | dim
Nombre de messages : 1674 Date d'inscription : 28/10/2008
| Sujet: Re: Alost, 9 novembre 1985 Mer 9 Déc - 16:54 | |
| N'oublions pas Haemers quand-même... - Citation :
- Pas franchement la physionomie de Delperdange
: peut-être un effet optique, imagine qq'un qui porte un gillet pareballes, une veste militaire et un veston - Citation :
- marchait lentement PARCE QU'IL NE POUVAIT PAS FAIRE AUTREMENT? (une blessure, un handicap, etc...)
ou des chaussures avec talons rehaussés? |
| | | dim
Nombre de messages : 1674 Date d'inscription : 28/10/2008
| Sujet: Re: Alost, 9 novembre 1985 Mer 9 Déc - 17:03 | |
| autres descriptions:
- "magere man met een gebroken neus, een struise kerel, en een zigeunertype." Ford Taunus, Osbroekpark / Luc en Suzy zagen ze goed: de eerste als een erg grote, struise, geblokte man met lederen vest, weinig behaard. De Taunusbestuurder met een dikke ronde kop, zwart haar en een snor, van het Italiaanse type, “Clayton uit Dallas, maar jonger”. De derde, die uit het pad kwam gelopen als de oudste van de drie, 45-50 jaar met een scherp gezicht.
- En opnieuw had de bestuurder van de Taunus zijn lichten gedoofd. Er zaten vier mannen in de wagen. De chauffeur had ze het best gezien, hij had een 'Carl Huybrechts'-permanent.
- photo femme blonde (Houssière)
- café The Fox: golf noir, membre de la bande Haemers (lequel?)
- café 't Christoffelken: déscriptions?
- mercedes: vlak voor de raid zagen Delhaizeklanten op een van de parkeerterreinen van het warenhuis een Mercedes met Nederlandse nummerplaat waarin een man aan het stuur zat te wachten.
- Durant l'attaque: Le quatrième a l'air de donner des ordres. Il n'est pas masqué, assez petit, âgé de 25 ans environ et il porte une moustache. |
| | | Kranz
Nombre de messages : 823 Date d'inscription : 08/11/2008
| Sujet: Re: Alost, 9 novembre 1985 Mer 9 Déc - 17:20 | |
| - michel a écrit:
Le géant avait une carrure de bodybuilder (le garçon pris en otage à Braine disait la même chose). Attention de ne pas se laisser aveugler, les témoignages sont fait sous l'emprise de la panique; il est également dit: Depuis le café en face de la sortie du parking, des habitués voient un homme d'environ 1,90 mètre, mince, long manteau, cagoule, mitraillette attachée sur le dos, se diriger tranquillement vers une Golf GTI foncée.
Ces témoins "extérieurs" sont probablement moins effrayés que les autres, leur témoignage est au moins aussi fiable. |
| | | romain gary
Nombre de messages : 313 Date d'inscription : 10/10/2009
| Sujet: Re: Alost, 9 novembre 1985 Jeu 7 Jan - 10:28 | |
| Ils étaient quatre en arrivant...
Ils étaient deux dans la golf et attendaient le troisième avant de partir...
Où est le quatrième???? |
| | | michel Admin
Nombre de messages : 8625 Localisation : Bruxelles Date d'inscription : 16/11/2005
| Sujet: Re: Alost, 9 novembre 1985 Jeu 7 Jan - 10:35 | |
| A Alost, il y a un parc jouxtant le delhaize avec un chemin. on sait qu'une Mercedes se trouvait au bout de ce chemin au moment de l'attaque. Des traces de bottines militares y furent décelés. _________________ "Ne rien nier à priori, ne rien affirmer sans preuve." ( Dr. Robert RENDU)
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| | | romain gary
Nombre de messages : 313 Date d'inscription : 10/10/2009
| Sujet: Re: Alost, 9 novembre 1985 Jeu 7 Jan - 11:52 | |
| la mercedes a un lien avec Kouros? |
| | | romain gary
Nombre de messages : 313 Date d'inscription : 10/10/2009
| Sujet: Re: Alost, 9 novembre 1985 Jeu 7 Jan - 11:54 | |
| le quatrième n'était pas masqué apparemment... Ce serait donc lui le plus probablement qui aurait fui? Ou alors celui qui s'est dirigé vers le côté du Delhaize au début de l'attaque? |
| | | michel Admin
Nombre de messages : 8625 Localisation : Bruxelles Date d'inscription : 16/11/2005
| Sujet: Re: Alost, 9 novembre 1985 Jeu 7 Jan - 11:55 | |
| Je ne sais pas. Le dossier est tellement embrouillé qu'il est devenu impossible de s'y retrouver. Et cela ne va pas s'arranger dans le futur. _________________ "Ne rien nier à priori, ne rien affirmer sans preuve." ( Dr. Robert RENDU)
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| | | K
Nombre de messages : 8603 Date d'inscription : 15/02/2009
| Sujet: Re: Alost, 9 novembre 1985 Mer 10 Fév - 17:00 | |
| ds l'inventaire de alost ds les doc du parlement on trouve - Citation :
- 18. Album photos 18 - Photos 1 à 37. -
Bois à Vlezembeek-Leeuw-St Pierre. - Annexe au PV 1781 du 16-2-89 de la P.J. Alost. qqun un idee? |
| | | Cusmenne Claude
Nombre de messages : 1049 Date d'inscription : 23/10/2009
| Sujet: Re: Alost, 9 novembre 1985 Mer 10 Fév - 17:22 | |
| différents éléments lisibles sur les deux sites démontrent, que pour les faits d' Alost, plusieurs étaient en action ce jour, pas seulement 3, ce que l'on lit dans ce post en atteste...s'ils sont venus à 4, eh bien y pas photo, ils ne repartent pas à 2, un a pied, et le 4è alors ? Foutaises, par contre, différents témoignages ont identifiés certains protagonistes, le jour des faits, et le lendemain encore.... |
| | | Marlair Jean-Claude
Nombre de messages : 477 Date d'inscription : 20/06/2008
| Sujet: Re: Alost, 9 novembre 1985 Mer 10 Fév - 17:37 | |
| Alost Les quatre protagonistes repérés NE sont QUE la partie visible du dispositif. Comment peut-on imaginer TROIS attaques aussi remarquables réussir sans laisser le moindre petit "caca", sans un déployement tactique suffisant pour encadrer, protéger, couvrir et recueillir les "destructeurs" au cas où ? Et replonger dans le néant dès le 09 novembre sans JAMAIS être inquiétés ? Dans le domaine de la stratégie, sous-estimer l'ennemi est une erreur souvent fatale. De leur côté, les tueurs N'ont PAS commis cette erreur ! Cordialement |
| | | dcmetro
Nombre de messages : 480 Age : 44 Localisation : Paris Date d'inscription : 26/12/2009
| Sujet: Re: Alost, 9 novembre 1985 Mer 10 Fév - 21:22 | |
| Jean-claude, chaque année des milliers de Hold-ups sont commis dans les pays industrialises (comparable a la belgique) ,et la plupart du temps les auteurs parviennent a prendre la fuite sans etre inquietes...
Que vous massacriez ou pas des gens, la probabilité de se faire intercepter est la meme. Certes la Belgique etait en etat de siege a ce moment la... Mais la flandre etait moins surveillée, et de simples reperages pouvaient permettre de situer les principaux barages ...
Si vous agissez vite, que disposez d'une voiture puissante,Il n'y a rien d'anormal a reussir a prendre la fuite.
Je veux dire par la que le fait qu'ils se soient evaporés ne signifie pas forcemment qu'ils etaient encadrés par un dispositif de soutient paramilitaire...
De plus, n'oubliez pas qu'a alost les flics sont arrivés au moment ou les tbw quittaient les lieux... un pruneau bien ajusté qui atteignait le conducteur et s'en etait fini des TBW.
Si cette equipe de soutient avait existé, ne pensez vous pas qu'ils auraient declenché le feu de l'enfer sur les policiers pour permettre a leur complice de fuir...
Il n'y a rien eu. Les tbw n'ont pas ouvert le feu sur les policiers.Ils devaient fuir. Le plus vite possible.Car ils savaient pertinemment qu'ils etaient seuls face a tout ce que la belgique comptait de representants de l'ordre...
Ils ont brulé leur golf , jetés leur armes dans le canal. C'en etait fini. 8 cadavres avaient visiblement rassasié leur immonde appetit. |
| | | Marlair Jean-Claude
Nombre de messages : 477 Date d'inscription : 20/06/2008
| Sujet: Re: Alost, 9 novembre 1985 Mer 10 Fév - 22:37 | |
| dcmetro, Dans l'appréciation militaire, le premier des quatre facteurs de cette appréciation est LA MISSION. Celle-ci doit être remplie coûte que coûte ! Les éléments de la manoeuvre, qui sont le résultat de l'appréciation, tiennent donc compte essentiellement du facteur MISSION ! Tout ( Attitude surtout, mais aussi les objectifs, le dispositif, le rythme, les délais ) sont conditionnés par la MISSION. Donc, l'attitude des flancs garde dépendait essentiellement de l'énoncé de la mission, que nous neconnaissons pas. On peut se l'imaginer, mais sans la moindre certitude. Le Groupe de Destruction devait être surprotégé, mais je pense que le reste du commando ( dans ma seule hypothèse, bien entendu ) devait rester invisible. J'imagine que la MISSION était remplie avec 8 morts ! Et qu'il était temps de rentrer dans le rang... Encore une fois, pûre analyse spéculative. Cordialement. |
| | | dcmetro
Nombre de messages : 480 Age : 44 Localisation : Paris Date d'inscription : 26/12/2009
| Sujet: Re: Alost, 9 novembre 1985 Mer 10 Fév - 23:00 | |
| A quoi servait donc le groupe d'appui ?? a quoi sert-il de rester invisible ?? Si un second groupe eut eté present,leur role n'aurait-t-il pas eté de creer un espace de securité autour du groupe de tueurs pour que ceux ci puissent "travailler" (l'expression me degoute) tranquilement ??
C'est a dire se deployer aux quatre coins du parking et d'exterminer quelconque flic s'approcherait de trop pres ... ce n'est pas ce qui c'est passé.Je rappelle que nos trois gus on eu chaud aux fesses a alost.Une patrouille comprenant un tireur experimenté a surgit et a ouvert le feu sur les fuyards... Il est meme possible que l'un des gars ai eté touché,voire tué. Une equipe paramilitaire de soutient n'aurais jamais laissé cela arriver.La seule mission logique d'un groupe d'appui aurait ete precisemment de faire un tir de barage a l'encontre de cette patrouille, de les exterminer a l'arme automatique.Pas besoin d'etre un expert en guerrilla urbaine pour savoir ca... Peut-etre y avait il plus que trois tueurs,mais je ne pense pas qu'ils y avait une seconde equipe structurée. |
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| Sujet: Re: Alost, 9 novembre 1985 | |
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| | | | Alost, 9 novembre 1985 | |
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