Christiaan Bonkoffsky

24 pages de hectolitres de bile deversées sur la gendarmerie ,cela a du soulagé plein de mythomanes ?

je vous ai prévenu un peu tardivement mais allez , vous aurez pu le lire
plus tôt par vous même : Cela était ds la vielle presse

Citation :

on a écrit 22 pages  (maintenant24 ).
j'y croyais peu mais j'ai cherché....

personne a réagi sur mes infos que bonk était très occupé ds
son groupe de carnaval "uilenspiegel" pendant la vague 1  ,
ce qui l'exclut pour ce periode là ... un peu

par contre pour la vague 2 je n'ai pas d'info's

cet histoire à quand même eu la mérite que même Be est retourné voir ce que on allait mettre sur son Dos .

je me demande pourqoui il s'inquietait ?


Bou se retournait ds ces cendres car il s'était interessé à prendre les TBW lui-même et il s'était interessé au planning des garde par tireurs d'élite sur les toits auprès de A.

Il n' a pas eu l'occasion de les confronter  : les TBW ont pris peur de son ombre ... ou ....

mais ces gardes n'était instaurés que la semaine après Alost (dixit Haquin et mottard)

finalement on doit donc demander a Michel de démenager tout ce bataclan et bile de la ligne "Suspect" vers "les autres"

.

K a écrit:

24 pages de hectolitres de bile deversées sur la gendarmerie ,cela a du soulagé plein de mythomanes ?

je vous ai prévenu un peu tardivement mais allez , vous aurez pu le lire
plus tôt par vous même : Cela était ds la vielle presse

Citation :

on a écrit 22 pages  (maintenant24 ).
j'y croyais peu mais j'ai cherché....

personne a réagi sur mes infos que bonk était très occupé ds
son groupe de carnaval "uilenspiegel" pendant la vague 1  ,
ce qui l'exclut pour ce periode là ... un peu

par contre pour la vague 2 je n'ai pas d'info's

cet histoire à quand même eu la mérite que même Be est retourné voir ce que on allait mettre sur son Dos .

je me demande pourqoui il s'inquietait ?


Bou se retournait ds ces cendres car il s'était interessé à prendre les TBW lui-même et il s'était interessé au planning des garde par tireurs d'élite sur les toits auprès de A.

Il n' a pas eu l'occasion de les confronter  : les TBW ont pris peur de son ombre ... ou ....

mais ces gardes n'était instaurés que la semaine après Alost (dixit Haquin et mottard)

Effectivement, la décision de recourir à des tireurs d'élite pour garder les supermarchés n'avait été prise en réalité que le 15 novembre 1985. Soit 6 jours après le hold-up d'Alost.

Après les hold-up de Braine-l'Alleud et d'Overijse, n'avait été seulement prise que la décision de protéger les vendredi et samedi en soirée une cinquante de grands magasins situés dans le Brabant (ce qui amena les tueurs à se rabattre sur celui d'Alost, situé lui en Flandre Orientale), ainsi que celle plus générale de donner comme directive aux patrouilles de faire de temps en temps des rondes aux abords des supermarchés (ce que venait précisément de terminer la R4 de la gendarmerie peu avant l'arrivée des tueurs).

Il est dès lors totalement faux d'affirmer que le supermarché d'Alost avait été volontairement laisser sans surveillance le soir du 9 novembre 1985 comme je le lis régulièrement sur ce forum.

.

.

Non, les tueurs avaient déjà décidé AVANT le hold-up d'Alost que cette attaque serait quoi qu'il arrive la toute dernière.

C'est pour cette raison qu'avant cet hold-up ils se sont débarrassés, en y boutant le feu, de toute une série d'objets dans le bois de la Houssière. Et ils ont terminé le "ménage" 48 heures après les faits, en jetant les "encombrants" dans le canal.

@Chronos:

Citation :

Effectivement, la décision de recourir à des tireurs d'élite pour garder les supermarchés n'avait été prise en réalité que le 15 novembre 1985. Soit 6 jours après le hold-up d'Alost.

Après les hold-up de Braine-l'Alleud et d'Overijse, n'avait été seulement prise que la décision de protéger les vendredi et samedi en soirée une cinquante de grands magasins situés dans le Brabant (ce qui amena les tueurs à se rabattre sur celui d'Alost, situé lui en Flandre Orientale), ainsi que celle plus générale de donner comme directive aux patrouilles de faire de temps en temps des rondes aux abords des supermarchés (ce que venait précisément de terminer la R4 de la gendarmerie peu avant l'arrivée des tueurs).

Il est dès lors totalement faux d'affirmer que le supermarché d'Alost avait été volontairement sans surveillance le soir du 9 novembre 1985 comme je le lis régulièrement sur ce forum.

Pouvez-vous donner votre source? Pourquoi n'en parlez-vous que maintenant alors que ce sujet à fait l'objet de dizaines de post ?

D'avance merci pour vos réponses.

Enquêtes parlementaires 05 59-5 1988 Page 14

.

Etienne a écrit:

Les intentions et les faits.
L'ordre de retrait donné par Gudule serait une légende ?

Alost étant hors Brabant, il s'agissait de rondes alternées. Donc il n'y avait pas à proprement parlé de surveillance propre. Donc, Alost n'a pas été délaissée ou laissée sans défense, car, elle n'était pas singulièrement défendue. Cette info était confirmée par le successeur du bourgmestre Uytersprott (père de la coquine, pour ceux qui suivent :-D ) dont le nom m'échappe, dans la Commission d'enquête 1988.

pour ceux qui se sont informés un peu il y a eu une conf. de press par le bourgemestre pour corriger certaines déclarations , bruits et lettres anonymes (venant des services de police )2-3 semaines après les évènements .

tout le cirque autour des  TBW et BVN est une prélude à ce que on vit au USA with T-rex and the Pussy-grabbers.

Tous ces tips et ragots ont été vérifiés pendant 2-3 mois et finalement on a du abandonner et les enqueteurs mixtes venus en renfort sont retournés ds leurs services comme  GAND , Oudenaerde ....etc

ce n'est que  après les premiers arrestations des elements de la bande DEST/ donc après le vol de sigarettes ds le magasin de LOKEREN

que les équipes anciennes ont été reconstitués mais à Termonde =ce qu'on a nommé DELTA .

------------------

Question:

qu'est ce que une action codée pour la police judiciaire ?

simplement action(observation, infiltration ....) pour instruction criminelle sous le direction du parquet ou J.I. suivant le code de l'instruction criminelle ?

ou c'est autre chose ?

.

Chronos a écrit:

K a écrit:

24 pages de hectolitres de bile deversées sur la gendarmerie ,cela a du soulagé plein de mythomanes ?

je vous ai prévenu un peu tardivement mais allez , vous aurez pu le lire
plus tôt par vous même : Cela était ds la vielle presse

Citation :

on a écrit 22 pages  (maintenant24 ).
j'y croyais peu mais j'ai cherché....

personne a réagi sur mes infos que bonk était très occupé ds
son groupe de carnaval "uilenspiegel" pendant la vague 1  ,
ce qui l'exclut pour ce periode là ... un peu

par contre pour la vague 2 je n'ai pas d'info's

cet histoire à quand même eu la mérite que même Be est retourné voir ce que on allait mettre sur son Dos .

je me demande pourqoui il s'inquietait ?


Bou se retournait ds ces cendres car il s'était interessé à prendre les TBW lui-même et il s'était interessé au planning des garde par tireurs d'élite sur les toits auprès de A.

Il n' a pas eu l'occasion de les confronter  : les TBW ont pris peur de son ombre ... ou ....

mais ces gardes n'était instaurés que la semaine après Alost (dixit Haquin et mottard)

Effectivement, la décision de recourir à des tireurs d'élite pour garder les supermarchés n'avait été prise en réalité que le 15 novembre 1985. Soit 6 jours après le hold-up d'Alost.

Après les hold-up de Braine-l'Alleud et d'Overijse, n'avait été seulement prise que la décision de protéger les vendredi et samedi en soirée une cinquante de grands magasins situés dans le Brabant (ce qui amena les tueurs à se rabattre sur celui d'Alost, situé lui en Flandre Orientale), ainsi que celle plus générale de donner comme directive aux patrouilles de faire de temps en temps des rondes aux abords des supermarchés (ce que venait précisément de terminer la R4 de la gendarmerie peu avant l'arrivée des tueurs).

Il est dès lors totalement faux d'affirmer que le supermarché d'Alost avait été volontairement laisser sans surveillance le soir du 9 novembre 1985 comme je le lis régulièrement sur ce forum.

Ce placement de tireurs d'élite sur les toits des magasins est peut être l'explication de l'arrêt des attaques. Car tout protégés qu'ils étaient chacun par leur gilet pare-balle, un sniper ne pardonne pas. Ils auraient laissé au moins l'un des auteurs sur le parking sans compter les tirs sur le véhicule de fuite, autrement plus précis. La question de savoir pourquoi Bouhouche se renseigne sur les horaires est donc cruciale. Car la décision d'arrêter a sans doute été décidée juste après si l'hypothèse d'une participation de Bouhouche dans la bande est fondée. Dans le cas contraire, que voyez-vous comme hypothèse à cette demande de Bouhouche à Amory?

cela m'a pris qqs jours mais pourtant la réponse est simple et diabolique et ....  jamais prouvable .

il faut commencer à lire l'acte de accusation du proces qui contient qqs infos .

le directeur de prison où il residait qqs temps a aussi fait un déclaration qui va ds une direction.

on a affaire à des gens plus intelligent que la moyenne  ....

il faut donc attendre qu'un IQ + 140 passe et s'interesse ds ces affaires et met son nez là dedans.

je doute que cela leur interesse ce basse monde ...

à Namur il y a de nouveau un cadavre ds la Sambre ....il y a deux heures

http://www.standaard.be/cnt/dmf20181101_03897504

Etienne a écrit:

Les intentions et les faits.
L'ordre de retrait donné par Gudule serait une légende ?

L’explication à cet ordre (qui n’était pas un ordre de retrait comme vous le prétendez mais de nouvelles instructions) se trouve dans le document que j’ai publié précédemment.

La patrouille se rendait à la position déterminée selon le dispositif habituel prévu en cas d’alerte (dispositif du district).

Or l’une des mesures prises par l’Etat-Major de la Gendarmerie le 4 octobre 1985 prévoyait la mise en place d’un dispositif particulier en cas de nouvel hold-up commis par les tueurs du Brabant.



Ce dispositif particulier était géré par l’Etat-Major, Etat-Major qui utilisait l’indicatif Gudule. La patrouille a donc tout simplement reçu des instructions dans le cadre de ce dispositif et a du aller se positionner à un autre endroit, conformément au plan prévu.

Il n’y a donc une fois de plus absolument rien d’anormal à tout cela !

Comme lors des précédents hold-up les tueurs prenaient toujours la fuite en direction de Bruxelles, les personnes qui ont élaboré ce plan l’ont conçu de manière à ce que les patrouilles soient positionnées sur les principales voies d’accès menant vers la Capitale. Pas de chance, ce jour-là les tueurs se sont dirigés vers le bois de la Houssière.

pami75 a écrit:

Chronos a écrit:

Effectivement, la décision de recourir à des tireurs d'élite pour garder les supermarchés n'avait été prise en réalité que le 15 novembre 1985. Soit 6 jours après le hold-up d'Alost.

Après les hold-up de Braine-l'Alleud et d'Overijse, n'avait été seulement prise que la décision de protéger les vendredi et samedi en soirée une cinquante de grands magasins situés dans le Brabant (ce qui amena les tueurs à se rabattre sur celui d'Alost, situé lui en Flandre Orientale), ainsi que celle plus générale de donner comme directive aux patrouilles de faire de temps en temps des rondes aux abords des supermarchés (ce que venait précisément de terminer la R4 de la gendarmerie peu avant l'arrivée des tueurs).

Il est dès lors totalement faux d'affirmer que le supermarché d'Alost avait été volontairement laisser sans surveillance le soir du 9 novembre 1985 comme je le lis régulièrement sur ce forum.

Ce placement de tireurs d'élite sur les toits des magasins est peut être l'explication de l'arrêt des attaques. Car tout protégés qu'ils étaient chacun par leur gilet pare-balle, un sniper ne pardonne pas. Ils auraient laissé au moins l'un des auteurs sur le parking sans compter les tirs sur le véhicule de fuite, autrement plus précis.

Elle ne peut l'être. La décision de faire garder les grandes surfaces par des tireurs d’élite a été prise le 15 novembre 1985. Les tueurs se sont débarrassés de toutes leurs affaires dans la nuit du dimanche 10 au lundi 11 novembre. Cette mesure ne concernait de toute façon que les supermarchés situés dans les environs de Bruxelles et ne pouvait perdurer dans le temps. La raison est donc ailleurs.

pami75 a écrit:

La question de savoir pourquoi Bouhouche se renseigne sur les horaires est donc cruciale. Car la décision d'arrêter a sans doute été décidée juste après si l'hypothèse d'une participation de Bouhouche dans la bande est fondée. Dans le cas contraire, que voyez-vous comme hypothèse à cette demande de Bouhouche à Amory?

Bouhouche n’a absolument rien à voir avec ces tueries.

Et même si Amory l'affirme, il ne lui a vraisemblablement jamais demandé d’informations au sujet de la surveillance des grands magasins.

Comment d’ailleurs en octobre 1985 Bouhouche aurait-il pu lui demander des renseignements sur quelque chose qui n’avait pas encore été à ce moment-là décidé ? (la décision de placer des tireurs d’élite ayant été prise pour rappel le 15 novembre)

Lorsque vous êtes gendarme, que vous n’avez pas les mains toutes propres (on va dire cela comme ça), que vos acolytes ont des soucis avec la justice et que vous-même êtes à votre tour suspecté, le système de défense le plus simple consiste à dire que vous étiez en mission d’infiltration.

C’est ce qu’Amory a du faire. (Bouhouche et Beijer en feront de même en affirmant avoir agi pour le compte de la Sureté).

Mais pour que ses propos aient un minimum de crédibilité, il a dû inventer une histoire justifiant le bienfondé de cette prétendue mission d’infiltration, une raison qui l’aurait amené à côtoyer de près Bouhouche. Lui vint alors cette idée : il le suspectait de faire partie des tueurs du Brabant. Pour quelle raison le suspectait-il ? Lui vint cette autre idée : parce qu'il s’était renseigné auprès de lui concernant la surveillance des supermarchés.

Il ne se doutait évidemment pas lorsqu’il eut ces deux idées des conséquences désastreuses qu’allait avoir ces petits mensonges pour ses deux anciens comparses. Mais il lui était impossible dorénavant de faire marche arrière. Beijer ne semble pas trop lui en avoir tenu rigueur.

K a écrit:

cela m'a pris qqs jours mais pourtant la réponse est simple et diabolique et ....  jamais prouvable .

il faut commencer à lire l'acte de accusation du proces qui contient qqs infos .

le directeur de prison où il residait qqs temps a aussi fait un déclaration qui va ds une direction.

on a affaire à des gens plus intelligent que la moyenne  ....

il faut donc attendre qu'un IQ + 140 passe et s'interesse ds ces affaires et met son nez là dedans.

je doute que cela leur interesse ce basse monde …

Amusante réflexion. Mais je ne serai pas aussi catégorique que vous quant au fait que cela ne puisse les intéresser, que du contraire même puisqu’ils ont généralement une grande attirance pour les casse-têtes et autres énigmes. Et les tueries en sont indubitablement une.

Le problème, c’est que même si un THQI venait à s’intéresser à cette affaire, expliquerait le comment et le pourquoi de ces tueries et en viendrait même à identifier le principal auteur, peu d’intervenants seraient réellement en mesure de percevoir le bienfondé de ses propos, puisque les humains ont une capacité limitée à percevoir l’intelligence chez les autres et qu’à partir d’un certain seuil, l’intelligence perçue ne suit plus l’intelligence réelle.

Et comme le pourcentage de personnes capables de percevoir le niveau d’intelligence d’un THQI n’est guère très élevé (quelques pourcents tout au plus), ses explications ne convaincront en définitive pas grand monde. Vous êtes d’ailleurs inconsciemment la preuve de ce que j’avance.

.

le horizon est proche

la solution visiblement aussi ....

toujours sur la piste de l'épicier du coin ?

.

.

pour repondre à notre chronomètre  THQI

Citation :

Et même si Amory l'affirme, il ne lui a vraisemblablement jamais demandé d’informations au sujet de la surveillance des grands magasins.

Citation :

Mais pour que ses propos aient un minimum de crédibilité, il a dû inventer une histoire justifiant le bienfondé de cette prétendue mission d’infiltration, une raison qui l’aurait amené à côtoyer de près Bouhouche. Lui vint alors cette idée

je laisse les membres comprendre par eux mêmes si A. invente ou raconte la vérité
regarde aussi son clampin ala quelle il n'a pas acces et qu'il n'a pas pu retroactivement faire des changements.

les recherches effectuées et la réponse sur la date de la mise en route des gardes sur les toits venait APRES  et  venait de mon  IRC en Thailande:olé

et pas d'un membre THIQ ou pas....



Dim 1 Juil 2018 - 9:44    
________________________________________
18 février 1988 pour J.I. La. par Pj.Fi.  et BSR Mi.  doss 42/87  pv21322

audit . A à Charlerloi

Citation :

Citation :

Je vous réponds que mon intention de récupérer les armes du Brabant Wallon germe depuis septembre 85, quand BOUHOUCHE m’avait demandé des renseignements au sujet de la surveillance des grands magasins. Mon intention a toujours été, à partir de cette époque, de tendre une souricière entre le MDA et BOUHOUCHE au moment où les armes seraient livrées

là c'est pas clair si c'est avant ou après overijse/braine  mais on va voir ...

(9/344)






Lun 2 Juil 2018 - 15:02
________________________________________
en relisant les qqs auditions de A. qi sont arrivés en public il y a qqs années en se demande pourqoui A a été enmené jusqu'au procès .

Il explique en long et large son investissement ds des recherches diverses en risquant beaucoup.

A:
Citation :

Citation :

Je prends note que la présente déclaration a pour but l'analyse des carnets de renseignements contenus dans la caisse no II, qui m'ont été saisis pour les besoins de votre enquête. Je marque mon accord pour répondre aux questions que vous jugez utiles à ce sujet.......

déjà en 1985 (et bien avant aussi) il était convaincu d'un double vie de Bou


-regulièrement tout les trois mois il a eu contact avec B&B jusqu'à le séparation des duponts ds ARI

après c'était surtout Bou qui le téléphonait pour avoir du contact

Citation :

Citation :

,,,- Comme je vous l'ai déclaré le 09 février 1988 (P.V 21230), il m'arrivait assez régulierement de rencontrer BOU.et BE. après avoir quitter la BSR de Bruxelles. Nous ne nous sommes jamais perdus de vue mais nous restions cependant deux ou trois mois sans nous revoir. Le plus souvent, c'était BOU. qui téléphonait à mon bureau .à la BSR de Mons et - qui me fixait rendez-vous soit à Mons, dans mon bureau ou dans l'un ou l'autre établissement de la ville, ou, encore à Bruxelles à l'agence de la rue Souveraine, mais, dans ce cas, BE. était toujours présent. A Mons, il nous arrivait assez souvent de nous rendre au "Drugscafé" situé sur la Place et, si ma mémoire est bonne, nous sommes allès dînér ensemble au restaurant "La Soublonnière" et une fois à "la petite Provence"

>A:
Citation :
il a eu contact fin septembre et on a parlé de mercenaires  :

clampin:

Citation :

Page 23: Renseignements G. F..
En ce qui concerne le nommé G. Fr., j'ai appris qu'il s' agissait d'une personne étant le président d'une association Con. qu'il pouvait être contactable au no de téléphone 02/...... et qu'il pouvait fournir du travail à des aventuriers désirant se rendre à l'étranger. En bas de cette page ,
vous pouvez constater que j'ai inscrit Le Marseillais, mercenaire Afrique du Sud. Il s'agit d'un résumé de là conversation que j'avais eue avec BOU. lorsque je lui avais demandé et dit que je désirais trouver un travail plus intéressant et que CAL. dit "le MARSEI. engageait pour l'Afrique-du Sud des mercenaires qu'il payait 150.000 francs par mois. Comme vous pouvez le constater, l'audition précédent ces renseignements date du 25 septembre 85, c'est donc à peu près à cette époque que BOU. a dû me parler de cela. Il faut peut être que je vous apporte la précision suivante: l' information concernant G. m’est parvenue d'une source tout à fait étrangère à celle de BOU.. C'est pourquoi l'écriture et la couleur d'encre employée est différente.

Citation :

Page 26: Colruyt...Delhaize. Il s'agit d'un travail qui m'a  demandé par l'Adjudant Chef CO. chef de la BSR de Plons afin d'obtenir des plans en reduction des magasins Colruyt , Delhaize , chaussée du Roeulx en, prévision des dispositions à prendre pour assurer la protection des dits magasins. Cette demande précède d'une quinzaine de jours l'installation de tireurs sur les toits des magasins en question.

le 25 c'était un mercredi donc A. a vu Bou qqs part le 26 ou 27 septembre  mais à ce moment là ils parlent de ce que peut gagner un mercenaire qui part travailler en afrique.

vu que rien avait indiqué que la deuxième vague commençait le 27 septembre 1985 on ne peut penser que la décision de placer des tireurs sur les toits soit pris que le samedi , dimanche ou lundi 30 septembre 1985 et

A. déjà en renfort à Bruxelles (ou pas) pour la garde des CCC se trouve en plus incorporé ds l'organisation des anciens tireurs d'élite de ESI  ds sa region ds des magasins Colruyt , Delhaize , chaussée du Roeulx en, prévision des dispositions à prendre pour assurer la protection des dits magasins.

fin septembre 1985  il y a plusieures possibilités :

1.A. était déjà envoyé ou pas temporairement en renfort à Bruxelles pour aider ds les protections contre les attaques CCC( cfr auditions)

il se re-memorise d'avoir eu une barbe à ce moment car regulièrement il avait des problèmes de peau .

il a pu avoir un rencart qqs part avec Bou

2 : A. était appelé par tel pour aller manger ensemble comme d'habitude avec Bou avant braine/overijse

3 : A. après avoir vu Bou est appelé pour des infos en plus la semaine suivante

etc

en tous cas mais pas encore retrouvé quand Bou semble avoir contacté deux fois A. et il trouvait cela louche.

A. n'avait pas peur et faisait courageusement ces recherches mais les enqueteurs ont pensé qu'il en savait beaucoup plus et du coup ils l'ont mis en tôle et ont bloqué  definitivement A.








Mer 4 Juil 2018 - 13:43  
________________________________________
30 janvier 1988 Fi. pv 21184 Charlerloi pour J.I. Lacroix
Citation :

Citation :

....
De fin ,1983 à fin 1985, nous avons continué à nous rencontrer épisodiquement,mais à chaque rencontre nous évitions de parler du projet dont il question plus avant.
J’en suis arrivé à l'idée qu'ils l'avaient abandonné.
Ce n'est que fin 1985, que j'ai à nouveau eu des doutes lorsque B. m’a téléphoné en me demandant si des surveillances et des protections étaient toujours organisées sur les grands magasins. Après réflexion,quelques jours plus tard, je me suis dit qu'il pouvait être un des auteurs des tueries du Brabant Wallon. Lors d'une rencontre je lui ai demandé pourqoui il avait posé une pareille question.

C’est à ce moment-là que B. m'a fait part de son intention de s’approprier la prime de dix millions offerte par les grands magasins et ce de la manière que j’ai déjà relatée lors d'une audition précédente à la BSR de Bruxelles

ds ce pv c'est difficile de placer les tel et meeting ds le temps mais l'intention de B. est clair .



Lun 9 Juil 2018 - 9:48
________________________________________
Citation :

Citation :

Bij een confrontatie in de Bendecommissie bis met onderzoeksrechter Hennart, die het dossier Mendez behandeld had, wees Lacroix erop welke nadelige gevolgen dit voor het Bendeonderzoek had: `Zo hebben wij onder meer de verklaringen van Amory opgetekend. Men moet toch een correct geheugen hebben!

U moet weten dat het Amory is, die ons is komen zeggen dat Bouhouche en Beijer bij hem kwamen informeren naar de plaatsen waar de scherpschutters zich op de daken van de supermarkten opstelden  na de overvallen van 1985.

…..
question est donc si en octobre 1985 il y avait déjà des tireurs sur les toits


Dim 29 Juil 2018 - 12:55
________________________________________
15 พฤศจิกายน 1985 ในการประชุมที่กระทรวงยุติธรรมของข้อเสนอที่แสวงหาเพื่อให้เป้าหมายโดยพลซุ่มยิงและ ..

Haquin et Mottard

Etienne a écrit:

Tous les THQI ne sont pas aussi blessants.
Quoiqu'il en soit vous n'avez qu'une partie de la solution à l'équation qui selon votre théorie a(vait) 3 inconnues.
J'ai entendu dire qu'il est possible d'améliorer son QI. Pour le QE, je ne sais pas. L'empathie on l'a ou pas.

Désolé, je ne vois pas en quoi est-ce blessant de dire à quelqu’un qu’il ne fait pas partie des 6 ou 7% de personnes capables de percevoir le bienfondé d’un raisonnement élaboré par un THQI. C’est un simple constat.

Mais peut-être faites-vous partie de ceux qui pensent qu’une personne à l’intelligence plus limitée vaut "moins" qu’un homme doté d’une très grande intelligence. Ce qui expliquerait votre remarque. Ou pis, de ceux qui se moque d’elle. Personnellement, je juge la valeur d’une personne non pas par ce qu'elle est, mais par ce qu’elle fait.

Quant au fait que je serais moi-même un THQI, il s’agit là d’une libre interprétation de mes propos précédents. Cette interprétation n'est pas forcément la bonne. Il fut d'ailleurs un temps où me soupçonniez, à tort, d'être un ancien enquêteur en charge de la CBW.

Fin de la digression

K a écrit:

pour repondre à notre chronomètre  THQI

Chronos a écrit:

Et même si Amory l'affirme, il ne lui a vraisemblablement jamais demandé d’informations au sujet de la surveillance des grands magasins.

Chronos a écrit:

Mais pour que ses propos aient un minimum de crédibilité, il a dû inventer une histoire justifiant le bienfondé de cette prétendue mission d’infiltration, une raison qui l’aurait amené à côtoyer de près Bouhouche. Lui vint alors cette idée

je laisse les membres comprendre par eux mêmes si A. invente ou raconte la vérité
regarde aussi son clampin ala quelle il n'a pas acces et qu'il n'a pas pu retroactivement faire des changements.

les recherches effectuées et la réponse sur la date de la mise en route des gardes sur les toits venait APRES  et  venait de mon  IRC en Thailande:olé

et pas d'un membre THIQ ou pas....



Dim 1 Juil 2018 - 9:44    
________________________________________
18 février 1988 pour J.I. La. par Pj.Fi.  et BSR Mi.  doss 42/87  pv21322

audit . A à Charlerloi

Citation :

Citation :

Je vous réponds que mon intention de récupérer les armes du Brabant Wallon germe depuis septembre 85, quand BOUHOUCHE m’avait demandé des renseignements au sujet de la surveillance des grands magasins. Mon intention a toujours été, à partir de cette époque, de tendre une souricière entre le MDA et BOUHOUCHE au moment où les armes seraient livrées

là c'est pas clair si c'est avant ou après overijse/braine  mais on va voir ...


>A:
Citation :
il a eu contact fin septembre et on a parlé de mercenaires  :

clampin:

Citation :

Page 23: Renseignements G. F..
En ce qui concerne le nommé G. Fr., j'ai appris qu'il s' agissait d'une personne étant le président d'une association Con. qu'il pouvait être contactable au no de téléphone 02/...... et qu'il pouvait fournir du travail à des aventuriers désirant se rendre à l'étranger. En bas de cette page ,
vous pouvez constater que j'ai inscrit Le Marseillais, mercenaire Afrique du Sud. Il s'agit d'un résumé de là conversation que j'avais eue avec BOU. lorsque je lui avais demandé et dit que je désirais trouver un travail plus intéressant et que CAL. dit "le MARSEI. engageait pour l'Afrique-du Sud des mercenaires qu'il payait 150.000 francs par mois. Comme vous pouvez le constater, l'audition précédent ces renseignements date du 25 septembre 85, c'est donc à peu près à cette époque que BOU. a dû me parler de cela. Il faut peut être que je vous apporte la précision suivante: l' information concernant G. m’est parvenue d'une source tout à fait étrangère à celle de BOU.. C'est pourquoi l'écriture et la couleur d'encre employée est différente.

Citation :

Page 26: Colruyt...Delhaize. Il s'agit d'un travail qui m'a  demandé par l'Adjudant Chef CO. chef de la BSR de Plons afin d'obtenir des plans en reduction des magasins Colruyt , Delhaize , chaussée du Roeulx en, prévision des dispositions à prendre pour assurer la protection des dits magasins. Cette demande précède d'une quinzaine de jours l'installation de tireurs sur les toits des magasins en question.

le 25 c'était un mercredi donc A. a vu Bou qqs part le 26 ou 27 septembre  mais à ce moment là ils parlent de ce que peut gagner un mercenaire qui part travailler en afrique.

vu que rien avait indiqué que la deuxième vague commençait le 27 septembre 1985 on ne peut penser que la décision de placer des tireurs sur les toits soit pris que le samedi , dimanche ou lundi 30 septembre 1985 et

Peut-être qu'en publiant dans sa version néerlandaise cet extrait du rapport de la Commission d'enquête, ça vous paraîtra plus clair :




A moins bien sûr qu'à une source officielle, vous préféreriez vous fier aux dires d'une personne qui était à l'époque suspectée d'avoir perpétrer des vols et crimes en bande organisée.

ne faudrait-il pas continuer cette discussion sur le fil Alost ? Alost, 9 novembre 1985