Christiaan Bonkoffsky

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michel
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MessageSujet: Re: Alost, 9 novembre 1985 Mar 27 Juil 2010 - 16:49 Sélectionner/Désélectionner multi-citation Répondre en citant


LES MINUTES APRES L'ATTAQUE
"C'était l'enfer"
"Sors de la voiture, sors. Couche-toi." Je tire mon amie Fabienne hors de la voiture et nous nous abritons dans un jardin avoisinant. Nous entendons des détonations. Sur le Haring, des gendarmes armés de mitraillettes. Des agents courent dans tous les sens sur les pelouses. Des gens hurlent, pleurent. Dans leur fuite vers l'autoroute, les gangsters doivent emprunter le même chemin que nous. Pour les éviter, je braque au dernier moment. Je crie "Filons". A la Hoezestraat, nous quittons notre véhicule. Si les fuyards passent par le Haring, nous sommes en plein dans la ligne de tir de leurs poursuivants. Nous nous accroupissons, protégés par ma voiture, un muret et des buissons. Il est précisément 19h50. Une petite R4 de la gendarmerie remonte la Parklaan en marche arrière. Un homme en tenue de combat court vers un coin sur lequel se trouve un restaurant d'où des badauds observent la scène.
Tout va vite. Sur un refuge un autre gendarme. Sur la pelouse devant le garage "Central" cinq policiers courent dans tous les sens. Suivent cinq, six, peutêtre sept détonations. Au loin le bruit angoissant de sirènes. Des gendarmes et des policiers courent sur la chaussée de Ninove. Pendant un instant nous ne voyons rien et il fait calme. Ensuite, un va-et-vient entre les entrées du magasin et la rue. Des policiers et des civils. Des portes s'ouvrent. René De Witte, à l'époque journaliste à la Gazet van Antwerpen, parle. Ce jour-là, son chemin a croisé celui des tueurs du Brabant wallon.
"Où est notre gamin ?"
Juste avant huit heures, le parking est devenu un véritable enfer. Quelques agents tiennent la foule à distance. Une rumeur se répand, les gangsters seraient encore sur le parking. Des gens pleurent, s'embrassent, s'enlacent. Une femme est hystérique. "Notre gamin. Il s'y trouve encore." Elle désigne un parking où des policiers, nerveux, s'activent. Soutenue par un couple, la femme est inconsolable jusqu'à ce qu'un homme accoure du parking. Son oreille saigne "Ce n'est rien, ce n'est rien, il n'a rien !" La dame lui tombe dans les bras. Ils pleurent. Par-dessus l'épaule de cette dame, on voit le regard perdu de l'homme. Les yeux pleins de larmes, le visage en sang et l'air accablé, inconsolable, mais surtout en colère et plein de haine.
Près d'un autre couple, un garçon dans les bras de son père, tellement serré contre lui qu'on croirait qu'on veut le lui arracher. L'homme est petit,une vingtaine d'années, il a le regard délavé. Entre les larmes et les baisers à son enfant, j'entends des bribes de ce qu'il raconte. Il explique comment sa petite famille a échappé à la mort. Un homme traverse la foule et les aborde. Votre nom et votre adresse, svp. "Non, dit la femme, nous savons ce que c'est." Mais ce monsieur n'est pas un journaliste. "Police, vous comprendrez que nous avons besoin de votre témoignage. Mais je vous assure la plus grande discrétion". L'agent est en civil et ce n'est qu'après avoir montré sa carte de service qu'il obtient les renseignements qu'il souhaite. Quand il s'en va, le monsieur continue à raconter son histoire à ceux qui l'entourent. L'agent se retourne, prend l'homme par les épaules et lui dit, furieux : "Si vous voulez que la police soit discrète, soyez-le aussi."
Entretemps la police peine a contenir les curieux à l'entrée du parking. Les ambulances arrivent et repartent. Dix, vingt et plus qui se remplacent mutuellement. Les premières sont arrivées presque immédiatement sur place. Elles tournent jusque 20h30. Ce qui rend perplexes beaucoup des personnes présentes. Trois morts, cinq morts dit-on, mais personne ne sait vraiment. Et personne ne peut imaginer la souffrance derrière les vitres des ambulances. Certains s'adressent aux postes de surveillance, mais les agents ne savent rien, ou disent ne rien savoir. Des barrages bloquent totalement le parking et l'entrée de la Parklaan. Sur la Parklaan, le tableau est tout aussi triste. Des gens pleurent. Ici pas de cadavres, pas de sang, puisque l'attaque a eu lieu de l'autre côté du magasin. De ce côté-ci, il y a moins de caisses. C'est par ici que la plupart des clients et des membres du personnel se sont enfuis. Ils ont entendu du vacarme mais n'ont rien vu. Des présentoirs à cigarettes renversés près des caisses, mais pas vraiment de bazar. Guy V.H. d'Alost est un des jobistes "permanents". Il est épuisé et rentre chez lui. Les caissières et le personnel du côté parking se trouvent maintenant à l'avant du bâtiment. Sous le regard de centaines de spectateurs.
"Nous étions morts de peur"
La gentille dame chez qui je vais souvent régler mes achats pleure sans arrêt. J'ai la gorge nouée. Peter V.M. d'Erembodegem, jobiste lui aussi, avait congé ce jour-là. C'est peut-être à cela qu'il doit la vie, parce que normalement il travaille dans la "zone de la mort". Son père est fâché quand il le retrouve dans la foule. "Tu aurais pu nous appeler. Nous étions morts de peur." La seule histoire concrète parmi les centaines d'expressions de colère et de douleur est celle de Patrick. Il habite la Lokerenveldstraat, pratiquement à l'ombre des enseignes du Delhaize. Il vient de faire ses déclarations à la police et se mêle maintenant à la foule. "Non, j'aime mieux ne pas donner de nom." Je note ce qu'il répètera plus tard à la télévision et aux journalistes qui arrivent les uns après les autres. Il y a une heure, Patrick a eu la peur de sa vie. Il donnera de précieux renseignements.
"Ca m'a déjà semblé bizarre quand je suis arrivé à huit heures moins le quart sur le parking et qu'il n'y avait personne. Habituellement, et surtout le samedi, c'est très animé. Aujourd'hui, rien. J'ai vu un homme qui entrait en courant dans le Robert's Place, un café. J'ai entendu des coups de feu, mais ils pouvaient provenir de gosses qui jouaient avec des pétards. Qui pense à un hold-up ? Je continue donc jusqu'à ce que j'aperçoive au loin un homme encagoulé, peut-être s'agissait-il d'un bas-nylon tiré sur le visage. Je me cache derrière le coin du Brico Center et j'entends qu'on tire. Je vois alors un deuxième homme. Il marche courbé sous quelque chose de pesant, qu'il porte dans les bras. Il peine. Ensuite un troisième homme. Un grand fort gaillard armé d'un fusil. Il tire sur tout ce qui bouge. Sur moi également, et sur un panneau réclame qui flotte dans le vent. Il tire à travers tout. Un combi de police arrive. Je crie : "Stop, ils sont là sur le parking." Ils sont deux, sortent du véhicule. Un agent s'enfuit, l'autre traverse la rue avec moi. Il crie aux gens dans les entrées "rentrez, rentrez ! Il me montre son pistolet : "Que dois-je en faire ?" Ce que Patrick raconte après, d'autres personnes l'ont vu, depuis le café. Deux gangsters dans une Golf GTI gris anthracite quittent le parking. Phares éteints. Le tireur est à pied, s'arrête sur le trottoir, remarque un deuxième combi garé tout au plus à cent mètres, sur la piste cyclable du Haring. Il tire. Il y a cinq impacts de balle. Le coffre de la Golf est resté ouvert. Le tireur s'y installe. Ils fuient à toute allure vers Ninove. Entretemps, la R4 de la gendarmerie est aussi arrivée. Le premier combi et la petite voiture engagent la poursuite. Une course inégale, tandis que depuis la banquette arrière le bandit fait feu comme un sauvage. Les commentaires vont bon train dans la foule. Comment les forces de l'ordre ont-elles pu laisser filer les malfrats ? Pourquoi la première équipe de policiers n'a-t-elle pas bloqué l'entrée du parking ? Au café "Corner", au Haring, il y a aussi beaucoup de remue-ménage. Dans les bras de sa mère, un gars regarde, sans comprendre. Sa tête saigne. Il accompagnait sa mère qui faisait des achats. Sur le parking, le père veut fuir à bord de son Opel Kadett. Il roule lentement, mais lorsqu'il donne brusquement des gaz, on lui tire dessus. Plus tard, des dizaines de curieux iront voir les quatre impacts sur la vitre arrière et la vitre latérale explosée.
Maurits De Vulder a vu fuir les gangsters
"A huit heures moins le quart samedi soir je me trouvais juste en face du parking du Delhaize, dans un café de la Geraardsbergsestraat", raconte Maurits De Vulder, 57 ans, d'Alost. "Brusquement, nous avons entendu des tirs à l'extérieur. Une femme est entrée en courant, paniquée. Elle criait qu'une attaque avait lieu et que son mari se trouvait dans le Delhaize. Toutes les lumières ont été immédiatement éteintes dans le café. De là j'ai pu observer la suite des événements. Deux minutes plus tard environ une voiture de police est arrivée" poursuit Maurits De Velder. "Le véhicule s'est garé une dizaine de mètres après l'entrée du parking. Deux policiers en sont sortis. L'un courait vers le rond-point, l'autre a traversé la rue et s'est caché derrière un conteneur à verre, en oblique par rapport à l'entrée. C'est alors qu'une personne masquée est arrivée en courant du parking sur la rue".
"Il portait une veste en cuir sombre, était grand, avait une chevelure assez abondante. Il avait une arme à la main. Il a tiré quelques coups en direction du rond-point. Juste après, une Golf est arrivée de l'arrière du parking dans la Geraardsbergsestraat en direction de Denderleew. Pendant la fuite on a encore tiré quelques fois depuis le coffre. Il est apparu plus tard que le véhicule de police - vide - a été touché à ce moment-là. Peu après, je ne sais pas combien de temps, est arrivé un combi de la gendarmerie. Il a suivi la même direction que la Golf en fuite".
"Ta gueule"
Dans le magasin, il est difficile de trouver des témoins parmi les trop nombreux curieux. Des explications glanées ça et là permettent de mieux imaginer le scenario. Un des gangsters a pris un homme en otage. Une dame qui se trouvait tout près se fait rabrouer : "Ta gueule". Les attaquants étaient-ils francophones ? On ne trouve plus de témoins capitaux. Très rapidement après les faits, des policiers en civil ont recherché des témoins pour les entendre. Des témoins privilégiés reçoivent l'ordre de quitter immédiatement les environs et de ne faire aucune déclaration. Personne du reste n'ose s'adresser aux caissières quand, après de longues heures et très éprouvées, elles quittent le magasin. Pas plus que la dame qui sort du magasin avec ses deux enfants et un caddie bien rempli. Personne ne se demandera quelle nuit d'insomnie les attend.
Vers minuit, on me demande si je peux accompagner pour une audition. Dans le magasin, je croise des échevins et le bourgmestre Uyttersprot. Sous le choc. Des escaliers étroits mènent au magasin. A gauche, dans la cantine, les membres du personnel attendent. A droite, dans un débarras, entre des cintres, des brosses et du matériel d'entretien, un homme est assis devant une machine à écrire portable. Poliment mais avec détermination il me dit que je ne dois pas compter sur lui pour obtenir des informations. Le devoir de discrétion est absolu, dit-il. Je suis son dernier client. Il tape à toute allure. A côté de lui, des chemises brunes pleines de témoignages. "Notre enquête est un puzzle" dit-il finalement. "Chaque détail compte." Dehors, une pluie maussade a commencé de tomber.
Source : Gazet van Antwerpen – René de Witte – Novembre 1985

Source : www.bendevannijvel.com (traduction lagloupette02)

[quote="CS1958"]Pardonnez moi mon inculture en la matière j'aimerais poser quelques questions :

1. "code officier d'EM".
2; "District".

Peut-on identifier géographiquement ? Poste fixe ou itinérant en fonction des besoins ? Quel district ici ? Alost obligatoirement ?
Peut-on s'accaparer le nom de code et user donc d'un matériel radio totalement étranger à l'officiel ?
A la réception des messages, peut-on déterminer sur le plan technique que l'"envoyeur" est bien celui qu'il prétend être ?
Qu'est qu'un EM de district ? A partir de quel grade ? Quelle fonction ?
Merci d'avance.[/quo


Toujours pas de réponse.

EM= Etat-major
la GD implantée dans les villes=DISTRICT
depuis le district, dépendent les brigades,

soit Etat Major, Bruxelles 1040= Etterbeek
ex: District Aalst = Darra
: District Wavre = Daniel

Les fréquences radio utilisées par la Gd.....étaient exclusives GD, un scanner, à l'époque, permettait de scanner les fréquences, mais pas d'émettre....

Cdlt

[quote="Cusmenne Claude"

Les fréquences radio utilisées par la Gd.....étaient exclusives GD, un scanner, à l'époque, permettait de scanner les fréquences, mais pas d'émettre....

Cdlt[/quote]

Exact !...  Cette fréquence d'ailleurs assez proche de celle des taxis (ou ambulances ?) en gênait d'ailleurs la "capture pirate". Les "porteuses émises par les cibistes coupant les émissions perturbaient les échanges...   ce qui provoquait la colère des compagnies qui opéraient des triangulations pour localiser le cibiste...   Un de mes voisins un peu trop porté sur la dive bouteille recevait régulièrement leur visite...  Forcément, il émettait depuis le 8° étage d'une tour...   c'est dire la nuisance !...   Même les émissions télé morflaient; plus de son.

Cusmenne Claude a écrit:

EM= Etat-major
la GD implantée dans les villes=DISTRICT
depuis le district, dépendent les brigades,

soit Etat Major, Bruxelles 1040= Etterbeek
ex: District Aalst = Darra
  : District Wavre = Daniel

Les fréquences radio utilisées par la Gd.....étaient exclusives GD, un scanner, à l'époque, permettait de scanner les fréquences, mais pas d'émettre....

Cdlt

Merci Claude,
donc:
1. Pas de pollution hors GD à l'émission:
2. EM de district (Alost uniquement), provenance Gudule-Dara acquise ?
3. Qui compose un EM de district ? Quels grades ? Quelles fonctions ?

En parallèle, pourquoi pas de message style "Gudule" en ce qui concerne la police municipale ?

Etat Major, il n'y en a qu'un......>>>>>>Etterbeek (casernes)
Un district est commandé par un officier, celui ci peut etre Capitaine, Commandant, mais officier...
La BSR, dans un district.....est elle aussi commandée par un officier....ses équipes, composées de deux gendarmes, au grade de Maréchal des Logis/1er Maréchal des Logis....
Ces derniers, rendent compte au Proc ou JI..........

La Police municipale dépend du bourgemestre.....rien à voir avec la GD, l'indicatif "Gudule" était celui de l' Etat Major, les ordres de Gudule, outre passaient tous autres....

Cdlt

J'avais noté en provenance du site des seniors de la GD pour Aalst:Het Comdo van het Dist AALST - 1983.Kapt Bergmans - Kapt Millecam - Lt Fack
Mais je vois que je fais fausse route car la problématique se trouve donc à Etterbeek. Mias puisqu'il est question d'un ordre de Gudule, pourquoi suggérer une émission "Dara" ?
Ordre donné à Dara, récepteur et non émetteur ?

Sur la ligne fuite via La Houssière, pourquoi uniquement Dara ? Nous passons d'un district à un autre avant d'arriver à destination ?

Etterbeek

Après la deuxième guerre mondiale, le développement des missions de la gendarmerie et l'accroissement des moyens mis à sa disposition vont nécessiter la construction de nouveaux bâtiments: notamment les bureaux de l'État major (1947) à front de l'avenue de la Couronne et le Centre de Traitement de l'Informatique (1975) vers la rue Fritz Toussaint, flanqué dans les années 1990 d'une tour de communication.

Région de Bruxelles-Capitale

inventaire du patrimoine architectural

Combien d'hommes composent l'EM du Lieutenant Général de la GD en 85 ? Eventuelle sectorisation géographique ?

la GD de ces temps, était forte de +/- 18.000 hommes
quant à l'EM, il faut se renseigner auprès de.........
Cdlt

RTL 13h 12 novembre 2017

https://youtu.be/brfZGsWLzVM

Cusmenne Claude a écrit:

la GD de ces temps, était forte de +/- 18.000 hommes
quant à l'EM, il faut se renseigner auprès de.........
Cdlt

Je n'ai toujours pas de réponses Claude par rapport à mes interrogations d'hier après-midi et je commence à me poser des questions, de sérieuse questions. Pourtant, il me semble que j'avais posé mes questions de manière logique, en décomposant la raisonnement. Ai-je failli dans la méthode d'analyse ? Et j'ai passé des heures avant de me lancer sur ce terrain, en recoupant, en allant sur différents fils. Et on va me répondre que le Lieutenant Général est de toute façon mort il y a quelques années en me postant un article de la DH à la clef ?

Le tuyau de Jef Vermassen additionné à l'appel Gudule. . .Il y a de quoi mettre sur le grill l'état major de la gendarmerie. . .Je me demande si ces RESPONSABLES, puisque le terme leur sied doublement,
vont subir le sort de Jean-Marie Tinck ou de n'importe quel citoyen en ce cas . .Vont ils, au moins être interrogés?

Cordialement

HERVE a écrit:

RTL  13h  12 novembre 2017

https://youtu.be/brfZGsWLzVM

Et j'ai donc confirmation de ce que je disais hier.
Petit problème: l'avocat parle tantôt de la police puis en fin d'intervention parle clairement de la GD.
Hier, j'avais dit : curieux disais-je que le seul destinataire de l'ordre de retrait se résume à la GD et pas à la Police potentiellement concernée par le maintien de l'Ordre in situ..
Est-ce que j'ai ma réponse ?

Mais ces enquêtes ont été fait il y a longtemps. Maintenant ces gens doivent être mort.

Il y a encore d'anciens gendarmes qui doivent en savoir beaucoup : Gérard Lhost, Christian Amory, Robert Beijer ... peut-être aussi Johan Demol ...

pierre a écrit:

Mais ces enquêtes ont été fait il y a longtemps. Maintenant ces gens doivent être mort.

Quel âge moyen d'un officier d'EM en 85 ? Quel âge a un capitaine ou un commandant à ce jour ? 35-40 +32 ? C'est encore jeune ! Et même un Colonel, on va ajouter 5 ans, et encore, je suis sympa. Je suis plus que généreux dans mon appréciation de l'âge des intéressés.

HERVE,

vous avez écrit :

''Il y a encore d'anciens gendarmes qui doivent en savoir beaucoup : Gérard Lhost, Christian Amory, Robert Beijer ... peut-être aussi Johan Demol ...''

Qu'on les incarcère au secret.

Cordialement

@pierre, non, il y en a encore vivant, et nous avons une liste de noms, le tout est de savoir qui était l'Officier et responsable de garde à E-M à Eterbeek, du Secteur (Brabant Flamand n'existait pas encore) à l'heure de l'attaque, par contre une chose bizarre, la PJ de Bruxelles était de garde aussi (Commissaire Divisionnaire Tilman dit "titi", il y a donc un flou possible, peut-être, la Gendarmerie a repris ce soir là "les commandes", de toute façon Vermaasen en parle ce jour à RTL "du flou"......

Le dispatching de la GD était toujours commandé par 2 Officiers Supérieurs, minimum 1 Colonel et 1 Major.

PS : rien avoir, mais le détective privé : BOB LOUVIGNY est décédé hier RIP, il était à l'origine du Dossier PINON et très proche de LATINUS.....

ginlo a écrit:

@pierre, non, il y en a encore vivant, et nous avons une liste de noms, le tout est de savoir qui était l'Officier et responsable  de garde à E-M à Eterbeek, du Secteur (Brabant Flamand n'existait pas encore) à l'heure de l'attaque, par contre une chose bizarre, la PJ de Bruxelles était de garde aussi (Commissaire Divisionnaire Tilman dit "titi", il y a donc un flou possible, peut-être, la Gendarmerie a repris ce soir là "les commandes", de toute façon Vermaasen en parle ce jour à RTL "du flou"......

Le dispatching de la GD était toujours commandé par 2 Officiers Supérieurs, minimum 1 Colonel et 1 Major.

PS : rien avoir, mais le détective privé : BOB LOUVIGNY est décédé hier RIP, il était à l'origine du Dossier PINON et très proche de LATINUS.....

Enfin du tangible. Pas trop tôt. Même si je suis réservé sur d'éventuelles extrapolations.

Denis,

je me permet de déplacer notre conversation sur le fil approprié.

Vous avez écrit ;

''Ce qui est surprenant, ce sont les déclarations du frère quant aux visites de certains personnages à CB.''

Encore une fois, c'est son frère qui en parle, Bouhouche et Beiger sont archi connu du grand public
le 3eme nom. . .Python. . .C'est rien du tout comme info.
Et quand bien même se serait vrai, tout 3 sont gendarmes alors ce serait normal qu'ils se connaissent, rien d'étrange à cela ( selon moi )

Cordialement

Henry à questionné : QUI A DONNE L'ORDRE DE LAISSER ALOST SANS DEFENSE CE JOUR ?

guy mayeu a écrit:

Denis,

je me permet de déplacer notre conversation sur le fil approprié.

Vous avez écrit ;  

''Ce qui est surprenant, ce sont les déclarations du frère quant aux visites de certains personnages à CB.''

Encore une fois, c'est son frère qui en parle, Bouhouche et Beiger sont archi connu du grand public
le 3eme nom. . .Python. . .C'est rien du tout comme info.
Et quand bien même se serait vrai, tout 3 sont gendarmes alors ce serait normal qu'ils se connaissent, rien d'étrange à cela ( selon moi )

Cordialement

Henry à questionné : QUI A DONNE L'ORDRE DE LAISSER ALOST SANS DEFENSE CE JOUR ?

CB n'allait pas convoquer la presse pour faire sa déclaration. Quand on voit l'état dans lequel son frère était lors de son interview on ne peut croire à un subterfuge de sa part. Je n'affirme pas que CB "en était", mais on ne peut fermer cette porte aussi facilement.

Cordialement

Mais ce que l'on peut affirmer c'est qu'il n'était pas le géant aperçu par David Vandesteen et Philippe Clerbois, il ne correspond pas. . .Cela ne veut pas dire qu'il n'a pas eu un autre rôle dans l'histoire,
c'est vrai.

'' Ne rien nier à priori ''. . .ou ai-je lu cela encore :-)

Cordialement

Henry à questionné : QUI A DONNE L'ORDRE DE LAISSER ALOST SANS DEFENSE CE JOUR ?