Belliraj et les tueurs du brabant

Revenons à nos moutons.

Premier meurtre attribué à Belliraj : Raoul Schouppe, tué dans son magasin le 28 juillet 1988 à Bruxelles. La victime avait été officier dans la force aérienne belge. source :
Al-Maghred, the Barbary Lion: A Look at Islam (voir google books page 288)

L'avocate Hirsh à ce sujet : "Dans ses aveux rétractés, il donne des détails que seul un témoin direct de ces événements pouvait connaître et qui ne sont jamais parus dans la presse de l'époque, indique Michèle Hirsch. Il décrit ainsi s'être présenté au magasin de Raoul Schouppe et l'avoir saisi par l'ouverture du guichet que Schouppe s'était fait construire pour se protéger des agressions. Belliraj seul pouvait connaître ce détail et le morceau d'ambre qu'il avait demandé au commerçant et que l'on a retrouvé en perquisition. C'est moi qui ai rouvert pour la première fois ce vieux dossier couvert de poussière. Invente-t-on des détails pareils? Source : https://www.levif.be/actualite/belgique/affaire-belliraj-un-polar-sans-fin/article-normal-54995.html

L'activiste islamiste Abdelkader Belliraj, arrêté le mois dernier au Maroc, est aussi accusé d'avoir tué un commerçant à Bruxelles car il le croyait juif, affirment mardi plusieurs journaux belges, qui identifient ainsi la cinquième de ses victimes présumées dans le pays.

L'homme, âgé de 50 ans et de nationalité belgo-marocaine, a reconnu avoir abattu le 23 juillet 1988, d'une balle de calibre 7,65 mm dans la tête, Raoul Schouppe, un ancien sous-officier de 65 ans qui avait ouvert une épicerie près de la gare du Midi, indiquent les quotidiens La Dernière-Heure et De Standaard.

Le parquet fédéral belge s'est refusé à commenter l'information. Abdelkader Belliraj, chef présumé d'un réseau islamiste soupçonné d'avoir préparé des attentats dans le pays, a selon les autorités marocaines reconnu au total être l'auteur de six assassinats en Belgique à la fin des années 1980. Des meurtres jusqu'ici non élucidés.

Les quatre premières victimes avaient été rapidement identifiées. Il s'agit d'un représentant de la communauté juive de Belgique, de deux membres modérés de la communauté musulmane et d'un chauffeur de l'ambassade d'Arabie Saoudite, pris pour un diplomate. Selon les informations que les deux journaux belges précisent avoir obtenu au Maroc, Abdelkader Belliraj aurait abattu l'épicier bruxellois parce qu'il le pensait d'origine juive, ce qui n'est pas établi.

Raoul Schouppe, qui parlait arabe et s'était spécialisé dans les épices d'Afrique du nord, était très populaire dans la population marocaine du quartier du Midi. Les enquêteurs belges n'ont en revanche toujours pas identifié la victime du sixième meurtre dont Abdelkader a avoué être l'auteur. Selon ses déclarations au Maroc, il s'agirait d'un homosexuel bruxellois, indiquent De Standaard et la Dernière-Heure.

Source : https://www.lalibre.be/belgique/belliraj-aurait-tue-un-commercant-qu-il-croyait-juif-51b8993ae4b0de6db9b1ce44

Article fort intéressant : https://fondspourlejournalisme.be/telechargements/Brewaeys112014.pdf

Citation :

Citation :

Citation :  Patrick Haemers mesurait 1,89 m( comme le prouve le document rare retrouvé : Haemers sous la toise à la police ). Une taille particulière, au point qu'on a imaginé, à un moment, listr toutes les personnes ayant une physionomie approchante. Et procéder par élimination.
Ce travail fastidieux n'a finalement pas été entrepris . Et David Van De Steen reste sur son nom de Patrick Haemers.  
 

'' CE TRAVAIL FASTIDIEUX N'A FINALEMENT PAS ETE ENTREPRIS ''

Formidable! Un gamin de 9 ans survis à cette tuerie, il livre le physique d'un auteur, ce physique concorde avec d'autres témoignage et que fait la CBW. . .Comme pour le témoignage de Diederik Palsterman et le reste. . .RIEN DU TOUT. . .


Fainéantise ? Incapacité d'action ? Pas la permission ?

1983 l'affaire des disparu de l'Isère en France, Jérôme Janvier à vu le physique du kidnappeur de son petit frère Ludovic. Jérôme Janvier est toujours dans le cycle primaire, comme David Van De Steen.
Il témoignera dans l'émission de Jacques Pradel '' l'affaire du Sadique de Romont Michel Peiry  ''  
(17'32'') que les gendarmes Français venaient jusqu'à le chercher à l'école afin de lui faire feuilleter des classeurs et des classeurs de photos pour voir si le personnage s'y trouvait. . .

Qu'on t-il fait à la CBW avec le témoignage de David ?  Ils ne sont pas la lie de la police mondiale pour rien.



Cordialement,

A lire également : https://www.hvlaw.eu/sites/default/files/online/news/actualites/Dr-Wybran-Article-Le-Vif-6-dy-cembre-2013.pdf

Et s'il ne fallait retenir qu'un phrase de l'article : le Parquet fédéral veut enterrer l'affaire.

Pourquoi donc?

Je note que M. Bille a été abattu dans les bois de Braine-le-Château.

Le 6e meurtre de Belliraj

Gilbert Dupont Publié le mercredi 12 mars 2008 à 07h00 - Mis à jour le mercredi 12 mars 2008 à 07h00

En août 1988, un Bruxellois de 53 ans fut tué non parce qu'il était juif, mais homosexuel. Toujours au pistolet 7,65 mm !

BRUXELLES Selon nos infos, la dernière des six victimes à identifier d'Abdelkader Belliraj est connue depuis hier. Il s'agit de M. Marcel Bille, un Koekelbergeois de 53 ans tué en 1988 d'une balle de 7,65 mm dans la tête : 7,65 mm, le calibre de Belliraj. Avec le Dr Jo Wibran et l'épicier de Saint-Gilles Raoul Schouppe, Abdelkader Belliraj aura donc tué trois Belges. Mais c'est à Braine-le-Château que le corps de M. Bille fut trouvé en août 1988. L'affaire était traitée par le parquet de Nivelles, ce qui explique qu'il ait fallu trois semaines depuis l'arrestation de Belliraj pour retrouver ce dernier dossier.

Belliraj a tué le Dr Wibran parce qu'il était juif, modéré et représentatif; l'imam Abdullajh el-Hasi et le bibliothécaire du Centre culturel islamique de Bruxelles Salem el-Behir parce qu'ils préconisaient le dialogue après les Versets sataniques de Rushdie; le chauffeur égyptien de l'ambassade saoudienne parce qu'il aidait un pays pro-américain.

Dans son épicerie proche de la gare du Midi, l'ancien adjudant Raoul Schouppe, qui avait 65 ans, fut tué parce que, ancien de la Force aérienne, il ne faisait pas mystère de ses origines juives. Sixième dans la liste, Marcel Bille a été tué parce qu'il était homosexuel. Parions que l'enquête établira que M. Bille draguait des prostitués dans les milieux allochtones. C'est la seule façon : Belliraj a dû l'apprendre et c'est ce qui a déterminé son choix.

Le cadavre du Koekelbergeois fut trouvé le 16 août 1988 dans un bois de Braine-le-Château près de la rue Saint-Véron. Une balle dans la tête, tirée sous l'oreille. Dès le mois suivant, feu l'expert balistique Claude Dery liait l'exécution de Marcel Bille au meurtre de Raoul Schouppe le 28 juillet précédent dans l'épicerie de la rue de Mérode.

À l'époque, nous écrivions : "La même arme réapparaît [...]; les policiers se demandent comment ils pourront empêcher d'autres victimes" . En fait, on avait donc détecté très vite la main d'un tueur en série... ce qui n'empêcha nullement les quatre assassinats de 1989. Cinq eurent pour cadre l'arrondissement judiciaire de Bruxelles. Qu'un sixième ait été confié au juge nivellois Marc Cruysmans (compétent pour Braine-le-Château) explique, vingt ans plus tard, le retard mis à retrouver ce dossier.

Dès son arrestation le mois passé, Belliraj a cité, depuis le Maroc, six assassinats commis en Belgique avec le même type d'arme, sinon la même arme. Et tous se sont vérifiés. S'agissant de meurtres dont la police belge elle-même avait parfois oublié l'existence, il ne peut s'agir d'un hasard. Le simple fait de les avoir cités constitue une forme d'aveux. En parlant de meurtres "entre 1986 et 1989" , Belliraj ne se trompait que sur les dates : tous dataient de 1988 et 89.
Gilbert Dupont

Le 6e meurtre de Belliraj

belliraj

Il était connu du parquet bruxellois dès 1986 pour coups et blessures, auxquels s'ajoutèrent en 1987 le trafic d'armes, l'abus de confiance et la confection de faux passeports, et son nom aurait été cité en 1989 dans une affaire très médiatisée de détournement de subsides de l'Irak et de la Libye via le syndicat chrétien au profit de Lekbir Nouri, président de la section arabe de ce syndicat, au sein de laquelle militait... Belliraj,

Depuis la fin des années 1990, Belliraj aurait été un informateur de la Sûreté de l'État belge, rémunéré sur base mensuelle en tant que tel, cette information n'a été ni démentie ni confirmée, mais sa divulgation, ainsi que celles concernant le statut d'informateur de certains de ses compagnons, a entraîné le dépôt d'une plainte contre X par l'administrateur délégué de la Sûreté. Il semble que cette fuite, comme d'autres dans ce dossier, ait été opérée dans le cadre d'une rivalité entre la police fédérale belge et la Sûreté belge, seule la première ayant eu accès au dossier judiciaire marocain

Assassin mercenaire en 1986-1989 ?

https://fr.wikipedia.org/wiki/Abdelkader_Belliraj
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un autre article fort intéressant

https://www.mo.be/fr/artikel/dossier-belliraj-un-seul-homme-connait-toute-la-verite

(...)
En réponse à une attaque contre le Boeing du roi Hassan II en 1973, le DGED (Direction Générale des Etudes et de la Documentation) et la DGST (Direction Générale de la Surveillance du Territoire) ont été mises en place.
En Belgique, tant la DGED que la DGST marocaines entretenaient de bonnes relations avec la Sûreté de l’Etat dirigée à l’époque par Albert Raes.



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https://www.lesoir.be/art/%252Fplus-personne-en-prison-dans-l-affaire-javeau_t-19891124-Z0256U.html

Avaient alors surgi de nombreuses interrogations sur la libération de l'otage belge Jan Cools et le rôle qu'y aurait joué (ainsi que dans d'autres dossiers) un permanent de la CSC, M. Nouri Lekbir.

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Raoul Schouppe, tué dans son magasin le 28 juillet 1988 à Bruxelles. La victime avait été officier dans la force aérienne belge.

un ancien sous-officier

65 ans -épicier rue de merode

le morceau d'ambre qu'il avait demandé au commerçant

michel a écrit:

A lire également : https://www.hvlaw.eu/sites/default/files/online/news/actualites/Dr-Wybran-Article-Le-Vif-6-dy-cembre-2013.pdf

Et s'il ne fallait retenir qu'un phrase de l'article : le Parquet fédéral veut enterrer l'affaire.

Pourquoi donc?

Parce que certains services de renseignements l'ont employé comme informateur pendant des dizaines d'années, malgré son passé terroriste?

Etait-il plus facile à manipuler, précisément à cause de ce passé, resté impuni?

Pourquoi le Président du Comité R (de contrôle des services de renseignements) dit-il que le rôle de la Sûreté dans le dossier des TBW doit être examiné? : https://bendevannijvel.com/2018/03/06/rol-van-staatsveiligheid-in-bendedossier-moet-worden-onderzocht/

Pourquoi ne fait-on rien alors?

Ce président n'est pas n'importe qui. C'est un magistrat très respecté ...

Raison d'Etat, encore une fois? Ou est l'Etat de Droit dans tout ça?

Proposition visant à instituer une commission d’enquête parlementaire chargée d’examiner l’action  des services de renseignement et de police dans l’affaire Belliraj (déposée par M. Bart Laeremans et consorts)

...
Le  ministère  marocain  de  l’Intérieur  relie  le  groupe   dirigé par Belliraj à Al Quaïda et déclare que le butin des  attaques à main armée servait à fi nancer le terrorisme  international depuis la Belgique. Ainsi, le nom du Belgo- Marocain, Abdellatif Bekhti, fi gure également sur la liste  de  32  suspects.  Il  a  été  (le  seul)  condamné  à  20  ans   d’emprisonnement pour son implication dans le specta- culaire hold-up  d’un dépôt de Brink’s Ziegler à Luxem- bourg le 17 avril 2000. Le butin s’élevait à 17,5 millions  d’euros. En 2003, Bekhti avait été «libéré» d’une prison  luxembourgeoise. Cette même bande serait également  responsable  du  vol  de  diamants  à  FedEx  à  l’aéroport   Brucargo à Zaventem le 24 novembre 2005. À l’époque déjà, Behkti était un intégriste musulman  car,  après  son  arrestation,  les  enquêteurs  ont  trouvé   à son domicile de la propagande islamiste radicale et  un grand nombre de cassettes vidéo sur les confl  its en  Tchétchénie.  Une  piste  qui  n’a  visiblement  jamais  été   investiguée.  

Belliraj habitait (sa femme et ses enfants y demeu- rent  toujours)  dans  un  quartier  résidentiel  tranquille   d’Evergem depuis des années et était seulement connu  de la police gantoise pour un fait qualifié de «mineur».  Pendant plus de vingt ans, cet homme a pu mener,  depuis  la  Belgique,  des  activités  terroristes  sans  être   inquiété, faire des allers-retours vers le Maroc grâce à  sa double nationalité, habiter une villa sans travailler et  entretenir des contacts avec des personnes qui ont déjà  été condamnées pour grand banditisme.  
Comme si tout cela ne suffisait pas, une fuite révéla le  29 février que Belliraj travaillait comme informateur pour  la Sûreté de l’État  et percevait même des rémunérations  régulières en échange. Assez bizarrement, cette infor- mation n’a pas du tout transité par les canaux habituels.  La  Sûreté  de  l’État  aurait  tu  le  statut  d’informateur  de   Belliraj et n’en aurait pas informé l’Organe de coordina- tion pour l’analyse de la menace (OCAM), spécialement  créé pour permettre la transmission d’informations entre  les différents services

Si l’administrateur général de la Sûreté de l’État, Alain Winants,  a  délibérément  retenu  cette  information,  on  peut s’interroger très sérieusement sur sa compétence et son sens des responsabilités en tant que chef de la Sûreté de l’État.
.

il est clair, en tout cas, que nos services de police et de  renseignements ont totalement échoué dans une série  d’assassinats politiques importants qui ont eu lieu dans  les années quatre-vingt. Ils n’ont pas réussi non plus à  découvrir que le suspect principal dans ce dossier était,  jusqu’il y a peu, le chef d’un réseau terroriste interna- tional à grande échelle. Tous ces éléments ont été mis  au jour par les services de police et de renseignements  marocains sans qu’ils aient fait appel, à cet effet, à nos  services de sécurité. Par  le  biais  de  la  présente  proposition,  nous  sou- haitons  instituer  une  commission  d’enquête  chargée   d’examiner  toute  cette  affaire  de  manière  approfondie   et d’identifi  er les causes de l’échec de nos services de  sécurité. Elle devrait aussi donner une vision claire sur  le fonctionnement de la sûreté de l’État, sur le choix des  priorités et sur la gestion des informateurs.
...

Human a écrit:

Proposition visant à instituer une commission d’enquête parlementaire chargée d’examiner l’action  des services de renseignement et de police dans l’affaire Belliraj (déposée par M. Bart Laeremans et consorts)

...
Le  ministère  marocain  de  l’Intérieur  relie  le  groupe   dirigé par Belliraj à Al Quaïda et déclare que le butin des  attaques à main armée servait à fi nancer le terrorisme  international depuis la Belgique. Ainsi, le nom du Belgo- Marocain, Abdellatif Bekhti, fi gure également sur la liste  de  32  suspects.  Il  a  été  (le  seul)  condamné  à  20  ans   d’emprisonnement pour son implication dans le specta- culaire hold-up  d’un dépôt de Brink’s Ziegler à Luxem- bourg le 17 avril 2000. Le butin s’élevait à 17,5 millions  d’euros. En 2003, Bekhti avait été «libéré» d’une prison  luxembourgeoise. Cette même bande serait également  responsable  du  vol  de  diamants  à  FedEx  à  l’aéroport   Brucargo à Zaventem le 24 novembre 2005. À l’époque déjà, Behkti était un intégriste musulman  car,  après  son  arrestation,  les  enquêteurs  ont  trouvé   à son domicile de la propagande islamiste radicale et  un grand nombre de cassettes vidéo sur les confl  its en  Tchétchénie.  Une  piste  qui  n’a  visiblement  jamais  été   investiguée.  

Belliraj habitait (sa femme et ses enfants y demeu- rent  toujours)  dans  un  quartier  résidentiel  tranquille   d’Evergem depuis des années et était seulement connu  de la police gantoise pour un fait qualifié de «mineur».  Pendant plus de vingt ans, cet homme a pu mener,  depuis  la  Belgique,  des  activités  terroristes  sans  être   inquiété, faire des allers-retours vers le Maroc grâce à  sa double nationalité, habiter une villa sans travailler et  entretenir des contacts avec des personnes qui ont déjà  été condamnées pour grand banditisme.  
Comme si tout cela ne suffisait pas, une fuite révéla le  29 février que Belliraj travaillait comme informateur pour  la Sûreté de l’État  et percevait même des rémunérations  régulières en échange. Assez bizarrement, cette infor- mation n’a pas du tout transité par les canaux habituels.  La  Sûreté  de  l’État  aurait  tu  le  statut  d’informateur  de   Belliraj et n’en aurait pas informé l’Organe de coordina- tion pour l’analyse de la menace (OCAM), spécialement  créé pour permettre la transmission d’informations entre  les différents services

Si l’administrateur général de la Sûreté de l’État, Alain Winants,  a  délibérément  retenu  cette  information,  on  peut s’interroger très sérieusement sur sa compétence et son sens des responsabilités en tant que chef de la Sûreté de l’État.
.

il est clair, en tout cas, que nos services de police et de  renseignements ont totalement échoué dans une série  d’assassinats politiques importants qui ont eu lieu dans  les années quatre-vingt. Ils n’ont pas réussi non plus à  découvrir que le suspect principal dans ce dossier était,  jusqu’il y a peu, le chef d’un réseau terroriste interna- tional à grande échelle. Tous ces éléments ont été mis  au jour par les services de police et de renseignements  marocains sans qu’ils aient fait appel, à cet effet, à nos  services de sécurité. Par  le  biais  de  la  présente  proposition,  nous  sou- haitons  instituer  une  commission  d’enquête  chargée   d’examiner  toute  cette  affaire  de  manière  approfondie   et d’identifi  er les causes de l’échec de nos services de  sécurité. Elle devrait aussi donner une vision claire sur  le fonctionnement de la sûreté de l’État, sur le choix des  priorités et sur la gestion des informateurs.
...

Dommage, fort dommage que cette commission n'ait jamais vu le jour....

michel a écrit:

Dommage, fort dommage que cette commission n'ait jamais vu le jour....

Sait-on pourquoi?

Une piste ? :  Bart A.L.M. Laeremans, né le 17 avril 1966 à Gand est un homme politique belge flamand, membre du Vlaams Belang. Il est licencié en droit et fut avocat. Date et lieu de naissance : 17 avril 1966 (Âge: 53 ans), Gand (Wikipédia)

Le cordon sanitaire?

Il a été émis l'idée que le géant portait une perruque blonde, les faits montrent le contraire.

Citation Dupont-Ponsaers ( Pour les faits d' Anderlues ) :

Citation :

Les assassins s’exprimaient en français, n’étaient apparemment pas gantés, ne portaient pas de masques et étaient vêtus, l’un d’une veste kaki et son complice d’un loden vert. Le premier avait les cheveux blonds, coupés à ras  .  

'' Coupés à ras ''. . .Ce n'est donc pas une perruque, le géant est réellement blond.



Cordialement,

https://www.youtube.com/watch?v=BaPW2_7HJ5k

( Contrairement à ce que son titre laisse supposer, cette vidéo n'aborde que sommairement le cas Abd.Bell., et mentionne une fois A.A. )

Imazibraine,

Vous pouvez nous en dire plus sur les frères Bekhti et Dokh Khaled Dayesh?

Merci.

michel a écrit:

Imazibraine,

Vous pouvez nous en dire plus sur les frères Bekhti et Dokh Khaled Dayesh?

Merci.

Les frères Bekhti étaient les voisins de Belliraj à Forest début des années '80 : Mohamed, Abdellatif et Abderrahim.

Mohamed, né en 1960, était le meilleur ami de Belliraj, et, comme lui, déjà connu à l'époque pour radicalisme et extrémisme islamique.

Les deux autres font partie du crime organisé. Abdellatif a été condamné pour l'attaque du transport de fonds de Brinks-Ziegler au Grand Duché en 2000 (butin : 850.000.000 FB). Plus tard il a été condamné au Maroc avec Belliraj à 30 ans pour terrorisme.

Leur père Bouarfa Bekhti était mineur de fond à Anderlues (...).

Dokh Khaled Dayesh : Palestinien, membre du groupe terroriste d'Abou Nidal. Il a jeté des grenades dans une ligne d'attente de passagers d'El Al à Zaventem en 1979.

Il a été libéré anticipativement en février 1983, sans aucune publicité. Ceci mettait fin à tout une série d'attentats contre des cibles juifs en Belgique.

16 avril 1979: en Belgique, une équipe terroriste palestinienne jette des grenades dans le salon de l'aéroport de Zaventem à Bruxelles dans le cadre d'une attaque dirigée contre des passagers israéliens. L’agression jihadiste a fait 12 blessés.
Les travailleurs de l'aéroport ont capturé les quatre terroristes et les ont remis aux autorités belges. Il s'avère que la grève islamique était prématurée car l'avion El Al n'avait pas encore laissé ses passagers débarquer et entrer dans le salon de l'aéroport où la mitraillette brandissant des terroristes s'était positionnée.
Une organisation terroriste palestinienne jamais appelée auparavant, baptisée "Marche noire", en a revendiqué la responsabilité. La référence à la Marche noire semble indiquer que le groupe a été formé pour s'opposer à la signature le 26 mars du traité de paix israélo-égyptien. Deux Palestiniens, Hoseini Rad Mahoud, 3l, et Dayekh Khaled Dokh, 26 ans, ont avoué leur intention de tuer autant de passagers que possible d’El Al. Ils ont été reconnus coupables de tentative de meurtre le 16 août et condamnés à huit ans chacun.

https://forum.davidicke.com/showthread.php?t=146174&page=4

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pour rappel

Rich bâtit une grande partie de sa fortune en contournant l'embargo sur l'Iran établi à la suite de la prise d'otages de l'ambassade des États-Unis en Iran, le 4 novembre 1979 à Téhéran. Il est pour cela poursuivi aux États-Unis pour violation de l'embargo contre l'Iran.

Le 19 septembre 1983, un grand jury fédéral américain l'accuse de plus de 60 chefs d'inculpation

https://fr.wikipedia.org/wiki/Marc_Rich

Seconde victime attribuée à Belliraj :

En août 1988, un Bruxellois de 53 ans fut tué non parce qu'il était juif, mais homosexuel. Toujours au pistolet 7,65 mm !

BRUXELLES Selon nos infos, la dernière des six victimes à identifier d'Abdelkader Belliraj est connue depuis hier. Il s'agit de M. Marcel Bille, un Koekelbergeois de 53 ans tué en 1988 d'une balle de 7,65 mm dans la tête : 7,65 mm, le calibre de Belliraj. Avec le Dr Jo Wibran et l'épicier de Saint-Gilles Raoul Schouppe, Abdelkader Belliraj aura donc tué trois Belges. Mais c'est à Braine-le-Château que le corps de M. Bille fut trouvé en août 1988. L'affaire était traitée par le parquet de Nivelles, ce qui explique qu'il ait fallu trois semaines depuis l'arrestation de Belliraj pour retrouver ce dernier dossier.

Belliraj a tué le Dr Wibran parce qu'il était juif, modéré et représentatif; l'imam Abdullajh el-Hasi et le bibliothécaire du Centre culturel islamique de Bruxelles Salem el-Behir parce qu'ils préconisaient le dialogue après les Versets sataniques de Rushdie; le chauffeur égyptien de l'ambassade saoudienne parce qu'il aidait un pays pro-américain.

Dans son épicerie proche de la gare du Midi, l'ancien adjudant Raoul Schouppe, qui avait 65 ans, fut tué parce que, ancien de la Force aérienne, il ne faisait pas mystère de ses origines juives. Sixième dans la liste, Marcel Bille a été tué parce qu'il était homosexuel. Parions que l'enquête établira que M. Bille draguait des prostitués dans les milieux allochtones. C'est la seule façon : Belliraj a dû l'apprendre et c'est ce qui a déterminé son choix.

Le cadavre du Koekelbergeois fut trouvé le 16 août 1988 dans un bois de Braine-le-Château près de la rue Saint-Véron. Une balle dans la tête, tirée sous l'oreille. Dès le mois suivant, feu l'expert balistique Claude Dery liait l'exécution de Marcel Bille au meurtre de Raoul Schouppe le 28 juillet précédent dans l'épicerie de la rue de Mérode.

À l'époque, nous écrivions : "La même arme réapparaît [...]; les policiers se demandent comment ils pourront empêcher d'autres victimes" . En fait, on avait donc détecté très vite la main d'un tueur en série... ce qui n'empêcha nullement les quatre assassinats de 1989. Cinq eurent pour cadre l'arrondissement judiciaire de Bruxelles. Qu'un sixième ait été confié au juge nivellois Marc Cruysmans (compétent pour Braine-le-Château) explique, vingt ans plus tard, le retard mis à retrouver ce dossier.

Dès son arrestation le mois passé, Belliraj a cité, depuis le Maroc, six assassinats commis en Belgique avec le même type d'arme, sinon la même arme. Et tous se sont vérifiés. S'agissant de meurtres dont la police belge elle-même avait parfois oublié l'existence, il ne peut s'agir d'un hasard. Le simple fait de les avoir cités constitue une forme d'aveux. En parlant de meurtres "entre 1986 et 1989" , Belliraj ne se trompait que sur les dates : tous dataient de 1988 et 89.

Gilbert Dupont

J'ai un problème :
Cette piste inédite est pour moi fortement crédible.
Je dirais même plus: ces la plus credible. Sa colle de partout.
Le problème  c'est qùelle  profite à la stratégie de la
Tension . à Regan et son inplentations des missiles.
En revanche elle n'a porte rien à Beliradj et à ca cause.
A Halost Nevens dit face camera:
J'ai tirer une fois.
Je crois que je n'ai pas toucher.

Dans ces conditions quel serait  donc  l'intérêt du stratagème Roncierre .
Pourquoi insister  en 86 pou prouver que les attentats  sont bien fini?

A moins que Belliraj ai été recruté pour la mission TBW à cause de ses compétence.
Belliraj-Hammers-Desterk même combat ?

pierre a écrit:

J'ai un problème :
Cette piste inédite est pour moi fortement crédible.
Je dirais même plus: ces la plus credible. Sa colle de partout.
Le problème  c'est qùelle  profite à la stratégie de la
Tension . à Regan et son inplentations des missiles.
En revanche elle n'a porte rien à Beliradj et à ca cause.
A Halost Nevens dit face camera:
J'ai tirer une fois.
Je crois que je n'ai pas toucher.

Dans ces conditions quel serait  donc  l'intérêt du stratagème Roncierre .
Pourquoi insister  en 86 pou prouver que les attentats  sont bien fini?

Cette stratégie n'apporte rien à Belliraj et à sa cause parce que le gouvernement belge n'avait pas la possibilité légale de libérer anticipativement le détenu palestinien. Mauvais calcul donc des terroristes.

Eddy Nevens a tiré quatre fois.

Selon ce que l'ai lu, il aurait dit : "Je crois que je l'ai touché". Mais sans être sûr, parce qu'il tirait dans le vide. En tout cas, la voiture a pris la fuite à 200 à l'heure avec le hayon ouvert. Le chauffeur d'une Volvo qui les a poursuivi ne voyait que deux têtes : le chauffeur et le passager à côté. Mais plus personne à l'arrière ...

Je crois que Delaize à une dette anvers vous.
Attendez vous à recevoir un virement de 250 000e

Citation :

Leur père Bouarfa Bekhti était mineur de fond à Anderlues (...).

Mais quel rapport y a t-il

pour info

VITAMINEDZ, AGENCE DE COMMUNICATION
Adresse : Tlemcen, Algérie

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Résumé de la 12e partie n A la suite de fuites dans la presse, le nom de Salesse fut livré en pâture. Salesse ne fut toutefois pas inquiété par la Justice.Les analyses ADN ...

https://www.vitaminedz.com/tragedies-d-hier-et-d-aujourd-hui/Articles_0_5365751_0_1.html

Résumé de la 23e partie n Un mercenaire français du nom de Jacques Lafaille est soupçonné. Il fut détenu en France entre novembre 1983 et juillet 1985, période de silence des tueurs du Brabant.Une autre piste le PIO. Vers 1970,...

https://www.vitaminedz.com/tragedies-d-hier-et-d-aujourd-hui/Articles_0_5430381_0_1.html

Résumé de la 24e partie n La famille de Paul Vanden Boeynants, ...

https://www.vitaminedz.com/tragedies-d-hier-et-d-aujourd-hui/Articles_18300_5436194_0_1.html

Intéressant, où l'on reparle de Marcel Castris.