J'ai reconnu l 'homme à la Golf

HERVE a écrit:

Il faut lire "La Libre" de ce week-end...

Note de l'administrateur : les messages concernant l'article de la Libre de ce  21 juin 2014 ont été retirés du fil "Jean-Marie Tinck" pour faire l'objet d'un fil de discussion à part.

Très bonne initiative en effet  

malvira a écrit:

CS1958 a écrit:

Caporal chef ?
"Chef"(brigadier) dans la gendarmerie ?
ça se dit en Belgique ?

On glisse souvent le mot "chef" dans une phrase banal ou dans une expression,mais comme dit Frederic c'est souvent péjoratif pour faire comprendre qu'on est soi-même le chef.

Quand a l'autocollant qu'ont n'enlève pas parce qu'ont se sait "protéger" par les forces de l'ordre c'est un peu ridicule.
De 1. Enlever un autocollant d'une vitre ne dure même pas 1 minute.
De 2. La description de la voiture avec l'autocollant a dut être donner à toutes les polices du royaume,et même si ont peut être protéger par "quelques copains policiers" ont n'est pas a l'abri de se faire arrêter partout ou l'ont circule.

Absolument; changer la peinture et laisser l'autocollant qui ne passe pas inaperçu !

CS1958 a écrit:

malvira a écrit:

CS1958 a écrit:

Caporal chef ?
"Chef"(brigadier) dans la gendarmerie ?
ça se dit en Belgique ?

On glisse souvent le mot "chef" dans une phrase banal ou dans une expression,mais comme dit Frederic c'est souvent péjoratif pour faire comprendre qu'on est soi-même le chef.

Quand a l'autocollant qu'ont n'enlève pas parce qu'ont se sait "protéger" par les forces de l'ordre c'est un peu ridicule.
De 1. Enlever un autocollant d'une vitre ne dure même pas 1 minute.
De 2. La description de la voiture avec l'autocollant a dut être donner à toutes les polices du royaume,et même si ont peut être protéger par "quelques copains policiers" ont n'est pas a l'abri de se faire arrêter partout ou l'ont circule.

Absolument; changer la peinture et laisser l'autocollant qui ne passe pas inaperçu !

pas envie de le décoller peut-être, à cette époque les autocollants collaient fort

Si l'autocollant était resté collé, la fille de Van Camp aurait pu croiser et reconnaître sa propre voiture... et donc voir de visu les tueurs de son père.
Bizarre. C'est la première chose que l'on doit enlever.

Le chef devait (si cette histoire est exacte) être le blessé (après le vol à la bijouterie ?) situé à l'arrière.

Frédéric a écrit:

Si l'autocollant était resté collé, la fille de Van Camp aurait pu croiser et reconnaître sa propre voiture... et donc voir de visu les tueurs de son père.
Bizarre. C'est la première chose que l'on doit enlever.

Si je ne me trompe pas,dans un article de presse de l'époque parlant de l'attaque des 3 canards (faut que je le retrouve)il était stipuler la présence de l'autocollant.
Donc comme a l'époque la Belgique entière s'intéressait aux affaires des tueurs,n'importe qui,police y compris pouvaient les identifier.
Encore une abberation comme il y en a des 10 aines dans ce dossier.

Donc si n'importe qui pouvait les identifier c'est qu'on ne voulait pas les identifier. Ils avaient donc des complicités.

Robert du Bois a écrit:

Donc si n'importe qui pouvait les identifier c'est qu'on ne voulait pas les identifier. Ils avaient donc des complicités.

Un contrôle routier.
Une information connue des forces de l'ordre.
Toute la police et la gendarmerie complices ?
L'explication réside ailleurs....

CS1958 a écrit:

Robert du Bois a écrit:

Donc si n'importe qui pouvait les identifier c'est qu'on ne voulait pas les identifier. Ils avaient donc des complicités.

Un contrôle routier.
Une information connue des forces de l'ordre.
Toute la police et la gendarmerie complices ?
L'explication réside ailleurs....

Décidément il y en a qui n'ont pas envie de comprendre ; avec un scanner et quelques complices (dans la police) il est très possible de savoir où ont lieu les contrôles routiers.

Robert du Bois a écrit:

CS1958 a écrit:

Robert du Bois a écrit:

Donc si n'importe qui pouvait les identifier c'est qu'on ne voulait pas les identifier. Ils avaient donc des complicités.

Un contrôle routier.
Une information connue des forces de l'ordre.
Toute la police et la gendarmerie complices ?
L'explication réside ailleurs....

Décidément il y en a qui n'ont pas envie de comprendre ; avec un scanner et quelques complices (dans la police) il est très possible de savoir où ont lieu les contrôles routiers.

Vous avez un avis autorisé (?) en ce qui concerne cet autocollant alors que le véhicule a été repeint ?  

@CS1958:

Pour repeindre la carrosserie du véhicule, n'a-t-on pas caché les parties qui ne devaient pas être peintes, dont les vitres avec le fameux autocollants...et ledit autocollant, dont le design ne jurait pas avec la nouvelle peinture est banalement resté sur la custode...   

bernarddeboussu a écrit:

@CS1958:

Pour repeindre la carrosserie du véhicule, n'a-t-on pas caché les parties qui ne devaient pas être peintes, dont les vitres avec le fameux autocollants...et ledit autocollant, dont le design ne jurait pas avec la nouvelle peinture est banalement resté sur la custode...      

Je suis totalement convaincu.....  

Sinon, pour Ohain (et par la suite Anderlues), ce rappel concernant donc un complice a priori de notre individu:
Source : www.bendevannijvel.com

source : les tueurs (Dupont-Ponsaers)

Interview Catherine Van Camp – Humo octobre 2004


« Ce dont je suis sûre, c'est que celui qui a tiré sur nous dans la cuisine est actuellement en prison."

Pipi dans la culotte

Que voulez-vous dire ? Que la police connaît l'auteur des faits ?

"Absolument. D'après les enquêteurs, ce suspect s'est confié à un codétenu. Il aurait déclaré que cette nuit-là on "s'était bien marré" aux Trois Canards, parce qu'"une des jeunes filles avait fait pipi dans sa culotte". En fait, en tirant sur la jobiste, l'auteur avait tiré à travers la porte d'un frigo, ce qui avait fait exploser une bouteille de vin blanc."

N'avait-il pas lu l'histoire dans un journal ?

"Celui qui raconte cela doit l'avoir vécu. Mais par après le suspect a nié avoir tenu ces propos."

Ce suspect est-il toujours en prison ?

"Entretemps il a été extradé vers la Tunisie ou le Maroc, nous ont dit les enquêteurs il y a quelques années. Un jour, alors que ce monsieur se trouvait encore en prison en Belgique, nous avons dû nous rendre avec le personnel de l'époque à la cellule de Jumet pour une identification. La personne qui se trouvait devant nous nous paraissait plus petite que dans mon souvenir, mais lors de l'attaque j'étais couchée par terre, ce qui fausse l'image de la taille de quelqu'un qui se trouve debout près de vous. Je ne pouvais rien dire de sa voix, puisqu'un masque devant le visage déforme la voix. Personne parmi nous ne pouvait dire avec certitude s'il s'agissait, ou non, de l'auteur. C'est la seule fois en vingt ans que j'ai été confrontée à un suspect. Je n'ai jamais pu entendre la voix du deuxième suspect."

Il doit s'agir de Mohammed El Bourajradji. D'après les rapports de la commission tueurs, tous les témoins des Trois Canards ont été confrontés à El Bourajradji. Mais El Bourajradji prétend qu'il n'était même pas en Belgique la nuit du meurtre de votre père.  

Par ailleurs   :

TUERIES DU BRABANT:NON-LIEU POUR LES DERNIERS BORAINS DE STAERCKE RESTE SEUL INCULPE

RENE HAQUIN

Page 15

Vendredi 3 janvier 1997

"La justice ne l'a finalement pas poursuivi, les preuves étaient trop minces que pour l'envoyer devant les Assises. C'était la parole de l'un contre celle de l'autre, disaient les enquêteurs."

Huit des dix personnes encore inculpées (depuis treize ans) dans le cadre des tueries du Brabant, des Borains pour la plupart, ont bénéficié hier d'un non-lieu prononcé par la chambre du conseil de Charleroi.

Il s'agit de Robert Becker, Francesco Nardella, Jean François, Jean Dramaix, Hendrik Rauwens, Harry Moelandts, Marinko Radujkov et Mohammed El Barajraji, qui avaient été inculpés à partir de 1983 pour une série de faits infractionnels dont les juges d'instruction restent donc saisis.

Ce qui signifie que la découverte éventuelle d'un quelconque fait nouveau doit permettre de réinculper l'un ou l'autre.

je pense que ces gens n'avaient pas le souci du détail, ce qui nous parait comme une grave erreur maintenant ne leur est peut-être pas venu à l'esprit, il faut pouvoir se remettre dans le contexte de l'époque et ne pas regarder le passé avec les lunettes d'aujourd'hui

CS1958 a écrit:

Robert du Bois a écrit:

CS1958 a écrit:

Robert du Bois a écrit:

Donc si n'importe qui pouvait les identifier c'est qu'on ne voulait pas les identifier. Ils avaient donc des complicités.

Un contrôle routier.
Une information connue des forces de l'ordre.
Toute la police et la gendarmerie complices ?
L'explication réside ailleurs....

Décidément il y en a qui n'ont pas envie de comprendre ; avec un scanner et quelques complices (dans la police) il est très possible de savoir où ont lieu les contrôles routiers.

Vous avez un avis autorisé (?) en ce qui concerne cet autocollant alors que le véhicule a été repeint ?  

Peut-être que le type qui a repeint la golf n'était pas au courant de ce à quoi elle devait servir ?

Mais le type qui a fait repeindre savait sa provenance...  

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Robert du Bois a écrit:

Peut-être que le type qui a repeint la golf n'était pas au courant de ce à quoi elle devait servir ?

Il était forcément au courant.

Les huit individus cités ci-dessus sont effectivement susceptibles... d'être suspects (pour la première vague des faits) ! Cette piste expliquerait la diversité des portraits-robots, des modes opératoires (auberges et hold-up), l'emploi d'une langue étrangère, la gestion des véhicules, etc...

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Deux choses me frappent en regardant la photo de la Golf brûlée.

On peut très nettement voir les traces des bandes noires autocollantes sur le bas des flancs.
Ce qui veut dire qu'on ne s'est même pas donner la peine de les retirer avant de la repeindre.

2è chose, l'appuie-tête du chauffeur est remonté à fond. Il devait donc être très grand.

@CQB241 : "appuie-tête du chauffeur est remonté à fond"

Certain ? Vérifiez de plus près... Il n'y a plus d'appuie tête tout simplement comme celui du passager. Ce que l'on voit côté conducteur est la veste de la personne derrière

Et In Arcadia Ego a écrit:

Je reviens sur l'article de René Haquin cité ci-dessus:

A propos de Rauwens:

Selon Charles Toumpsin de la BSR de Wavre, des témoins pensaient que les policiers avaient touché le radiateur de la Santana lors de la fusillade du Koldam. Elle n'aurait donc pu encore rouler que quelques kms. Un témoin a vu la Santana devant une maison de la Brugstraat à Hoeilaart, non loin (2km) du Koldam. Les enquêteurs découvrent dans cette rue une maison abandonnée et identifient le locataire, un certain Hendrik Rauwens.

Rauwens, garagiste à Evere, avait un casier judiciaire, les enquêteurs décident donc de l'interroger. Les explications qu'il leur donne posent question: alors qu'il venait de remeubler entièrement la maison, il aurait quitté celle-ci suite à la fusillade, ne pouvant tout de même pas vivre dans une maison à 2km d'un endroit où des policiers se sont fait tirer dessus. Une bien curieuse explication, en effet...

Selon un informateur, pilote de rallye qui le connaissait aussi du club 'Jonathan', Rauwens parlait espagnol et disposait aussi d'un hangar à Schaerbeek où il entreposait des voitures mais aussi des armes. Rauwens aurait proposé au pilote de participer au braquage chez Dekaise. Le pilote a donné des détails précis aux enquêteurs à ce sujet, mais ce n'est qu'en 1997 qu'on se décide à réinterroger Rauwens. Trop tard, Rauwens étant malencontreusement décédé entretemps...

Source: BVN
http://www.bendevannijvel.com/forum/viewtopic.php?pid=19925#p19925

Rauwens s'est-il lui aussi 'suicidé' ou a-t-il été victime d'un 'accident'?

Déjà est-il vraiment décédé ? S'agit-il de Hendrik ou Hendrick ?

https://www.google.be/?gws_rd=ssl#q=%22Hendrick+Rauwens%22

Hoho a écrit:

@CQB241 : "appuie-tête du chauffeur est remonté à fond"

Certain ? Vérifiez de plus près... Il n'y a plus d'appuie tête tout simplement comme celui du passager. Ce que l'on voit côté conducteur est la veste de la personne derrière

Bien vu ! Merci d'avoir corrigé   

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